IN GRAN BRETAGNA LA CROCE ROSSA LANCIA I PRIMI AIUTI ALIMENTARI DAI TEMPI DELLA SECONDA GUERRA MONDIALE

 FONTE: RUSSIAN.RT.COM

Per la prima volta da cinquant’anni la Croce rossa distribuirà del cibo ai senzatetto britannici.

I volontari della Croce Rossa raccoglieranno fondi per il vitto dei londinesi meno abbienti per la prima volta dalla conclusione della Seconda Guerra Mondiale.

Gli esperti collegano questo fatto con la dura politica economica che viene imposta dal governo conservatore di David Cameron.

L’intervento di raccolta fondi, inizierà dal novembre 2013, ci informa The Independent. I volontari verranno mandati nei negozi e chiederanno ai clienti di fare donazioni con acquisti di beni alimentari. Dopodichè i collaboratori della Croce Rossa consegneranno il ricavato alla organizzazione britannica FareShare.

Quest’inverno FareShare comincerà a distribuire cibo tra i senzatetto britannici. Prepareranno kit di prodotti alimentari e li distribuiranno a chi ne avrà bisogno. In questo modo la Croce Rossa, per la prima volta dai tempi della Seconda Guerra Mondiale condurrà in Gran Bretagna azioni di sostegno ai senzatetto.

Il numero dei senza tetto e dei bisognosi in Bretagna sta aumentando. Dai dati risulta che nel maggio 2013 più di 500 mila cittadini del Regno Unito chiedono aiuto delle organizzazioni di beneficenza. Allo stesso tempo i politici conservatori rifiutano di ammettere il problema.

Come ha fatto Lord Freid, dichiarando che le persone che usufruiscono di cibo gratuito semplicemente vogliono vivere a carico del prossimo.

Michael Gove, ministro per l’Istruzione del governo di Cameron, a sua volta ha pero’ sottolineato come chiedano cibo ai donatori quelli che non ce la fanno con le proprie finanze.

Anche in Europa si sta verificando un repentino aumento del numero di persone che ricevono aiuti alimentari dalle organizzazioni di beneficenza. Negli ultimi tre anni il loro numero è cresciuto del 75%. E come minimo 120 milioni di abitanti del continente si trovano ora alle soglie della povertà.

«Comprendiamo che i governi abbiano bisogno di limitare le spese ma li esortiamo a non tagliare la sanità pubblica. Questo potrebbe costare molto caro», ha fatto notare il segretario generale della Croce Rossa, Bekele Geleta.

Fonte: http://russian.rt.com
Link: http://russian.rt.com/article/16664
11.10.2013

Traduzione per www.comedonchisciotte.org a cura di MASSIMO CONTINI
http://www.comedonchisciotte.org/site//modules.php?name=News&file=print&sid=12446

Funerailles de Giap

PCN-SPO / VIETNAM: LES DIRIGEANTS ET LE PEUPLE RENDENT HOMMAGE AU GENERAL GIAP 

PCN-SPO / avec AFP – RFI – Xin Hua / 2013 10 12 /

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 « Le général Giap, c’est Diên Biên Phu, la chute de Saïgon, l’homme qui a défait à la fois les Français et les Américains. Mais il n’était pas seulement un immense stratège. C’était aussi un homme à l’intelligence brillante, assez charmeur … »

– RFI

 « C’est vrai qu’un personnage mythique du 20e siècle est mort il y a huit jours. A lui seul, il a écrit plusieurs chapitres d’histoire. Son combat s’identifiait complètement à la lutte pour l’Indépendance et l’unité du Vietnam (…) Bien sûr, il parlait français, un français parfait. Et il s’est mis à citer Victor Hugo, les auteurs classiques … Un génie militaire ? Oui, sans doute. Mais, vous savez, il n’a jamais fait l’école militaire. Il avait beaucoup lu, il connaissait très, très bien les campagnes de Napoléon qu’il appelait Bonaparte, il avait également aussi lu Clausewitz. Il avait aussi lu les stratèges chinois … »

– Claude Blanchemaison, ex Ambassadeur de France au Vietnam,

auteur du livre «La Marseillaise du général Giap»

 Les dirigeants vietnamiens et des dizaines de milliers de personnes ont rendu hommage samedi au général Giap, au moment où commençaient les funérailles d’Etat de ce dernier héros de l’indépendance mort il y une semaine à l’âge de 102 ans.

 Les dirigeants communistes à la mine sombre, dont le Premier ministre Nguyen Tan Dung et le président Truong Tan Sang, ont défilé dans la Maison funéraire de Hanoï devant le cercueil de Vo Nguyen Giap gardé par des soldats en uniforme blanc et les membres de sa famille.

« Ignorant ses critiques contre la bureaucratie du Parti communiste à la fin de sa vie et trente années de mise à l’écart, le régime communiste a décidé de lui offrir des funérailles d’Etat, mettant en avant ses attributs de héros communiste comme pour renforcer sa propre légitimité » commente l’AFP.

 Selon les médias officiels, le secrétaire général du parti communiste Nguyen Phu Trong l’a ainsi remercié dans le livre de condoléances pour sa “contribution immense (…) à la révolution vietnamienne”. Giap, qui avait défait à la fois les Français et les Américains, avait “un talent exceptionnel pour la direction militaire”, a-t-il écrit.

 Lire l’analyse de Luc MICHEL :

FOCUS / LA FIGURE DU GENERAL GIAP DANS SA PERSPECTIVE HISTORIQUE ET GEOPOLITIQUE

Sur http://www.lucmichel.net/2013/10/08/luc-michel-focus-la-figure-du-general-giap-dans-sa-perspective-historique-et-geopolitique/ 

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LES FUNERAILLES D’ETAT DU GENERAL GIAP

 Sur le cercueil enveloppé du drapeau national étaient posées une photo du général, deuxième personnage le plus aimé du pays après le fondateur du PC vietnamien Ho Chi Minh, et toutes ses médailles militaires épinglées dans un cadre doré. Des fleurs jaunes, signe de respect au Vietnam, et des nuages d’encens remplissaient également la pièce. A l’extérieur de la Maison funéraire, des dizaines de milliers de Vietnamiens, dont des anciens combattants bardés de médailles et des adolescents arborant des t-shirt à l’effigie du général, ont fait la queue pour pouvoir eux aussi lui dire adieu.

 “Je n’aurais pas pu dormir sans venir le voir une dernière fois”, a commenté Nguyen Thi Bay, 68 ans. “C’était un grand homme, talentueux, un véritable esprit. J’ai pleuré à la mort de Ho Chi Minh, maintenant je pleure pour le général Giap”. Plus de 100.000 personnes ont déjà défilé cette semaine dans la villa du général pour lui rendre hommage.

 Pendant les deux jours de deuil national en cours, les concerts ont été annulés, les parcs publics fermés et les programmes habituels de la télévision d’Etat remplacés par de la musique patriotique et des documentaires. En dehors de la capitale, les autorités ont installé des autels où la population peut également venir dire adieu au général.

 Giap, génie militaire autodidacte, avait réussi en 1954 à infliger à Dien Bien Phu une cuisante défaite aux forces colonisatrices françaises, événement fondateur de l’émergence d’un Vietnam indépendant et de la fin de la domination française en Indochine. Celui dont les tactiques ont inspiré les combattants révolutionnaires à travers le monde est également considéré comme un artisan majeur de la victoire contre les Américains en 1975, qui avait mené à l’unification du Vietnam.

 Même s’il avait été mis à l’écart par le PCV ces trente dernières années, il restait immensément populaire, même chez les plus jeunes qui n’ont pourtant pas connu la guerre. “Les gens veulent montrer qu’ils honorent et respectent la vie de Giap, son esprit. Les gens savent qui est bon et qui ne l’est pas”.

 Giap sera enterré dimanche dans sa province natale de Quang Binh, dans le centre du pays, à la demande de sa famille. Une décision inhabituelle au Vietnam, où les hauts dirigeants communistes sont enterrés au cimetière Mai Dich de Hanoï, équivalent du Panthéon français. A l’exception de l'”oncle Ho” dont le corps embaumé est exposé dans un mausolée qui lui est dédié.

 PCN-SPO

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C’era una volta Alcatel, ora non c’è nemmeno Linkra

Categoria: Cronaca Pubblicato Domenica, 13 Ottobre 2013

Concorezzo. Questa volta è davvero game-over. La agonizzante Silicon-Vally del Vimercatese, quella che anni fa richiamava colossi come Ibm, Celestica, Nokia e Alcatel, è ormai al capolinea. La produzione se ne va in Polonia, in Repubblica Ceca e ovviamente in Cina, e in Lombardia restano solo capannoni vuoti e, almeno quella, la ricerca.
L’ultima tegola è arrivata con la notizia che i 270 lavoratori della Linkra, al civico 33 della Strada provinciale per Monza, a novembre lasceranno il paese. I dipendenti ex Alcatel verranno trasferiti per logiche di riorganizzazione nella sede di Cornate, dove operano altri 140 addetti a cui si aggiungono i 50 di Omate.
L’azienda che opera nel settore delle Telecomunicazioni e della difea e che appartiene al gruppo Compel non naviga da tempo in acque calme e di recente si è vista ritirare importanti commesse proprio da Alcatel. La cassaintegrazione è già stata attivata e ora i sindacati lavorano all’ipotesi dei contratti di solidarietà, perché l’alternativa sarebbe solo il licenziamento.
In settimana si attendono notizie dai tavoli sindacali: Cosa ne sarà dei due capannoni al confine con Monza non è ancora nota.
http://www.concorezzo.org/cronaca/cera-una-volta-alcatel-ora-non-ce-nemmeno-linkra-1319.html

Choc a Massa: 200 agnellini in un lager in attesa di essere sgozzati vivi da fanatici islamici

11-10-2013
 
MASSA (MASSA CARRARA) – 200 agnellini sono stati portati a Massa e sono segregati in condizioni igieniche pietose e di invivibilità, in una proprietà privata, in attesa della barbara macellazione rituale in occasione della festa islamica del sacrificio. In breve: sgozzati vivi, senza alcuna attenzione alla loro sofferenza.

I capi, secondo un esposto alla Asl 1 di una associazione animalista, avrebbero dubbia provenienza e custoditi “in violazione di elementari norme igienico sanitarie”.

Ma incredibilmente il Comune se ne lava le mani: se è tutto a norma non potrà essere impedita la macellazione, poiché la legge italiana rispetta i culti e le tradizioni religiose. Potremmo fondare un culto che sacrifica i politici inetti e ignavi.
http://voxnews.info/2013/10/11/choc-a-massa-200-agnellini-in-un-lager-in-attesa-di-essere-sgozzati-vivi-da-fanatici-islamici/

Italia, il Paese delle carceri fantasma

Mentre il presidente della Repubblica Giorgio Napolitano interviene sul dramma dell’emergenza carceri e invia un messaggio alle Camere per scuotere le forze politiche e sollecitarle all’adozione di “rimedi straordinari” con cui mettere fine al sovraffollamento, torna prepotentemente di attualità la ricerca dell’associazione Antigone sulle “carceri fantasma”.

L’associazione, nel 2011, indicò una quarantina di strutture. Spesso ultimate, a volte anche arredate, ma non utilizzate e in stato di totale abbandono. O, in rari casi, sottoutilizzate in maniera drammatica. Gli istituti penitenziari in Italia ospitano mediamente 140 detenuti ogni 100 posti. Di strutture per tamponare l’emergenza ce ne sarebbero, ma non sono funzionanti.

L’elenco delle carceri fantasma è lungo e riguarda tutta la penisola. Ad Accadia, nel Foggiano, il penitenziario consegnato nel 1993 e ora di proprietà del Comune non è stato mai utilizzato. Nella stessa provincia, a Bovino, esiste una struttura da 120 posti, completata, ma che non è mai stata funzionante. Ancora in Puglia, la struttura di Orsara. O, ancora, quella di Francavilla Fontana, utilizzata per un po’ di tempo e poi adibita a sede della Polizia municipale. L’istituto di Spinazzola, attualmente chiuso, invece, ospitava 40 detenuti , pur potendone accogliere cento.

Ci sono, poi, l’istituto di Minervino Murge, mai completato, e la struttura di Casamassima, “condannata all’oblio da un decreto del Dipartimento”. A Monopoli, dove gli sfrattati avevano trovato un tetto nelle celle, la prigione è stata dismessa.

La casa mandamentale di Volturara Appula, con 45 posti a disposizione, è incompiuta. Quella di Castelnuovo di Dauna, arredata, non è mai stata aperta, pur essendo trascorsi più di 17 anni.

Le cose non vanno meglio in Calabria. Ci sono le carceri di Mileto, Cropani, Squillace (ristrutturata e mai aperta) e le case mandamentali soppresse di Arena, Soriano Calabro, Petilla Policastro e Cropalati. C’è carcere di Palmi, fatiscente.

In Sicilia è stato aperto il carcere di Gela, ma a Villalba (Caltanissetta) esiste una prigione inaugurata 20 anni fa e costata 8 miliardi di lire, in grado di accogliere 140 persone, mai aperta. Ad Agrigento sono ormai bloccati i lavori di costruzione di un padiglione in grado di accogliere 300 persone; l’azienda costruttrice è fallita.

Carceri fantasma si trovano, poi, in Campania: quello di Gragnano è stato dismesso per un problema geologico. Dismesso anche il carcere di Frigento. Quello di Morcone è completato ma ancora chiuso.

Il carcere di San Valentino in Abruzzo è stato trasformato in una struttura di accoglienza per i turisti. A Pescia, in Toscana, il ministero ha soppresso la casa mandamentale. Il Barcagliona di Ancona ha 180 posti, ma i detenuti sono 100; la struttura è in attesa di potenziamento.

A Udine non esiste più la sezione femminile. A Gorizia è inagibile un intero piano. A Pisa i lavori per la costruzione del nuovo padiglione sono bloccati.

Criticità anche in Umbria: il centro clinico di Capanne resta inutilizzato e a Terni manca il personale per attivare un padiglione da 300 posti, completato.

In Piemonte, a Pinerolo, il carcere è chiuso da oltre 15 anni. In Emilia Romagna c’è la struttura di Codigoro, chiusa; al Dozza di Bologna era stato espropriato un terreno nei pressi del penitenziario per costruire un centro sportivo a disposizione degli agenti, ma è stato realizzato solo lo spogliatoio, diventato rifugio di senzatetto (tutto è costato 3 milioni e mezzo di euro). A Forlì era in progetto una prigione da 400 posti: la ditta è fallita e nel sottosuolo sono stati trovati reperti archeologici.

Fonte: Young
http://andreainforma.blogspot.it/2013/10/italia-il-paese-delle-carceri-fantasma.html

Il Vero Volto dell’Immigrazione

di Marcello Pamio

Attenzione alle date…

10 aprile 1981
La legge 158 ratifica la convenzione nr. 143 del 1975 dell’Organizzazione Internazionale del Lavoro dal titolo: «Sulle migrazioni in condizioni abusive e sulla promozione della parità di opportunità e di trattamento dei lavoratori migranti»

30 dicembre 1986
Legge nr. 943 che garantiva: «A tutti i lavoratori extracomunitari parità di trattamento e piena eguaglianza di diritti rispetto ai lavoratori italiani»

10 agosto 1989 – Tratto dal quotidiano “Alto Adige”
«Si calcola che nei prossimi anni, 30-40 milioni di africani verranno in Europa, e i governi centrali, hanno affidato a Italia, Spagna e Grecia il peso maggiore. Sembra che l’Italia, nella spartizione internazionale, debba farsi carico dell’immigrazione senegalese, e si stima in 5 milioni la dimensione numerica»

9 novembre 1989 – Tratto dal quotidiano “Il Giornale”
Titolo: «L’Italia deve affrontare la mina vagante degli immigrati di colore». Entro 20 anni gli immigrati dovrebbero essere 5 o 6 milioni!

19 gennaio 1990 – Tratto dal quotidiano “Il Corriere della Sera”
Titolo: «L’Italia impara a convivere con Maometto». «L’Italia sta diventando la nuova frontiera dell’Islam»

28 febbraio 1990 La legge nr. 39 firmata da Claudio Martelli apre definitivamente le porte all’immigrazione…

Legge Martelli
Il 28 febbraio del 1990 Claudio Martelli firma la legge nr. 39. Una legge rivoluzionaria!
– L’articolo 13 demolisce tutte le norme del Testo Unico delle leggi di Pubblica Sicurezza (18 giugno 1931) in materia di controllo sugli stranieri, rende l’espulsione estremamente difficile, consentendo perfino il ricorso ai tribunali amministrativi.
– L’articolo 9, comma 2 dispone che l’extracomunitario privo di documenti, possa “regolarizzare” la sua posizione sulla base di una attestazione della sua identità resa da due persone incensurate.

Articolo 9 – Comma 2. Gli interessati sono tenuti a presentarsi agli appositi uffici delle questure o dei commissariati di pubblica sicurezza territorialmente competenti, muniti di passaporto o di altro documento equipollente o, in mancanza, di dichiarazione resa al comune di dimora abituale dall’interessato e della contestuale attestazione dell’identità personale dello straniero, resa da due persone incensurate, aventi la cittadinanza italiana ovvero appartenenti allo stesso Stato dell’interessato o, se apolide, allo Stato di ultima residenza abituale dell’interessato e regolarmente soggiornanti in Italia da almeno un anno…

– L’articolo 10 prevede la concessione di licenze di commercio agli immigrati a condizioni agevolate rispetto a quelle richieste per gli italiani.

Cui Prodest?

Rileggendo con attenzione le date, si evince chiaramente che fin dagli anni ‘80 sono state votate leggi permissive ad hoc – in merito all’immigrazione – che avrebbero pian piano portato alla situazione odierna. Semplice coincidenza o fredda programmazione?
E poi, come formulare previsioni del genere se si trattava di un fenomeno spontaneo?

Gli articoli pubblicati dai giornali nazionali non lasciano spazio a dubbi: qualcuno era a conoscenza per tempo dell’”invasione” clandestina che ci sarebbe stata. Perché allora non state messe in atto strategie politico-economiche per impedirla?
Chi ha interesse che milioni di poveri disperati si riversassero nelle città europee creando instabilità sociale? E soprattutto chi ha il potere di attuare un simile e perverso programma?

La longa mano dell’Alta Finanza Internazionale

Tutti i paesi del Terzo Mondo sono soffocati dai debiti: è un dato di fatto!
Ma debito nei confronti di chi? Ovviamente delle grandi istituzioni bancarie occidentali, come per esempio il Fondo Monetario Internazionale, per dirne uno.
Questo Fondo, nato a Bretton Woods (USA) nel 1944 con lo scopo ufficiale di favorire lo sviluppo dei paesi poveri, si è rivelato nel corso degli anni invece per quello che realmente è: lo strumento principe nelle mani della Sinarchia, dal greco Syn (assieme) e Arché (comando) s’intendono quel gruppo elitario che controllano il mondo, per indebitare sempre più i paesi che ne chiedono l’aiuto e/o che ne accettano la sottoscrizione. Il tutto per avere il controllo globale.

Quando infatti uno stato o un paese non riesce a pagare i propri debiti alle banche, interviene immediatamente il FMI (per salvare le banche ovviamente), il quale costringe i governanti, siano essi dittatori o meno, ad una politica basata su privatizzazioni, riduzioni degli sprechi (sanità, istruzione, terziario, ecc.) e svalutazione monetaria (per favorire le esportazioni di noi occidentali). Tali politiche finiscono per indebitare sempre più lo stato o il paese. Chi entra nel Fondo Monetario, difficilmente ne esce.
Le conseguenze finali di queste operazioni di strozzinaggio legalizzato sono, nei paesi industrializzati: inflazione, disoccupazione, crisi economiche; mentre nei paesi più degradati: fame, guerre ed…emigrazione!

Conclusioni

L’immigrazione clandestina dai paesi africani è per tanto la conseguenza di politiche economiche e finanziarie mafiose da parte degli organi sopranazionali (ONU, FMI, WTO, Banca Mondiale, ecc.), ma anche la conseguenza di politiche colonialistiche europee (vedi Inghilterra, Francia, Belgio, Olanda, Italia, ecc.) che hanno privato i cittadini delle risorse primarie (l’Africa avrebbe tutto: oro, diamanti, petrolio, rame, ecc.) lasciando il continente devastato e impoverito.

Detto questo però si può affermare che l’immigrazione è stata agevolata e assolutamente non impedita perché funzionale! Ma funzionale per chi?

– A mafia e malavita organizzata che vedono nell’economica manovalanza extracomunitaria una manna dal cielo: sfruttamento della prostituzione, spaccio di droga, mercato di organi, killer usa e getta, ecc.

– Alle associazioni caritatevoli che ricevono proprio per l’immigrazione fondi e sovvenzioni dal governo (voci di corridoio dicono che un noto gruppo italiano dedito alla carità, “ordina” per telefono una imbarcazione o un canotto pieni di disperati, quando ha bisogno di quattrini…). Sono solo voci, ovviamente!

– Per ultimo, ma non per importanza, l’immigrazione clandestina è funzionale a quei personaggi che vogliono fomentare una destabilizzazione della società per meglio controllarne le masse. Mi riferisco alla massoneria deviata e alle lobbies di potere!
E’ risaputo che quanto più una società è tenuta sotto una campana costante di paura che viene alimentata quotidianamente da violenze gratuite, terrorismo, sciaccallaggio, rapine, stupri, ecc., tanto più le persone che appartengono a questa società sono manipolabili e controllabili.

Il terrorismo islamico, il Male per antonomasia, in tutto questo s’inserisce alla perfezione.
Il panico che i kamikaze e le loro bombe stanno veicolando – grazie ai media compiacenti – viene sfruttato dai medesimi personaggi per far passare leggi restrittive sempre più severe, guarda caso, nei confronti delle libertà civili delle persone normali. Queste leggi mirate, sono leggi che limiteranno le nostre libertà o quelle dei veri terroristi?
Anche in questo caso è applicabile, come sempre, la legge aurea del controllo: Problema – Reazione – Soluzione.

Prima hanno creato il Problema: apertura delle frontiere, leggi e decreti che favorivano l’immigrazione, anche clandestina. La Reazione è sotto gli occhi e le orecchie di tutti: basta chiedere in giro cosa pensa la gente dei marocchini, islamici, Vu comprà, albanesi, della droga e della prostituzione, ecc. Per non parlare dei kamikaze…

La Soluzione per tutto questo? Semplice: telecamere ovunque, controllo totale di internet, della posta elettronica, dei messaggi SMS, delle telefonate, dei fax, dei vostri soldi. Prelievo coatto (cioè con la forza) della saliva (se siete onesti di cosa vi preoccupate?) che sarà archiviata nella centrale mondiale del DNA a Bruxelles. Fermo di polizia fino a 24 ore senza avvocato, maggiori poteri all’esercito, ecc. ecc.

Avete capito dove vogliono arrivare?

Fonte
http://www.disinformazione.it/immigrazione4.htm
visto su Free Onda Revolution
http://freeondarevolution.blogspot.it/2013/10/il-vero-volto-dellimmigrazione.html?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed:+FREEONDA+(F+r+e+e+o+n+d+a)

Lampedusa e l’inefficienza delle politiche UE

L’orrore per i morti di Lampedusa ha sconvolto l’intero continente. Dopo l’immancabile condanna di Strasburgo…
DI LUDOVICA COLETTA

L’orrore per i morti di Lampedusa ha sconvolto l’intero continente. Dopo l’immancabile condanna di Strasburgo alle politiche migratorie italiane, mercoledì il presidente della Commissione Europea Barroso si recherà di persona nell’isola siciliana per verificare la situazione. Era necessario che morissero oltre duecento persone affinché l’Europa aprisse gli occhi di fronte a un simile problema? In un momento in cui da più parti giungono critiche all’attuale legislazione italiana in materia d’immigrazione (la legge Bossi-Fini, n. 189/2002), è  necessario considerare anche il ruolo dell’Europa. Un’Europa che appare sempre più spesso pronta a giudicare ex post che a intervenire concretamente, agendo in controtendenza con l’immagine di stretta unione che continua a ostentare.

Secondo il diritto internazionale, in particolare secondo il Protocollo ONU contro il traffico di migranti via terra, via mare e via aerea del 2000, il traffico di migranti si configura come “il procurare l’ingresso illegale di una persona in uno Stato Parte di cui la persona non è cittadina o residente permanente, al fine di ottenere, direttamente o indirettamente, un vantaggio finanziario o materiale”. In questo senso il traffico di migranti differisce dalla tratta di esseri umani (intesa dal Protocollo ONU sulla prevenzione, soppressione e punizione della tratta di esseri umani del 2000 come “il reclutamento, trasporto, trasferimento, l’ospitare o accogliere persone, tramite l’impiego o la minaccia di impiego della forza o di altre forme di coercizione, di rapimento, frode, inganno, abuso di potere o di una posizione di vulnerabilità o tramite il dare o ricevere somme di denaro o altri vantaggi per ottenere il consenso di una persona che ha autorità su un’altra a scopo di sfruttamento”), in quanto nel primo caso vi è il consenso dei migranti che partecipano volontariamente al loro ingresso illegale nel paese di destinazione.

Dal punto di vista dell’Unione Europea, il 26 ottobre 2004, con regolamento del Consiglio Europeo 2007/2004, è stato istituito il Frontex, l’Agenzia europea per la gestione della cooperazione internazionale alle frontiere esterne degli Stati membri dell’Unione Europea. Operativa dal 2005, ha il compito di  promuovere una gestione comune del controllo delle coste europee e di coordinare in tal senso il lavoro delle diverse autorità nazionali. Nella pratica, l’agenzia coadiuva gli stati membri nel reclutamento del personale in servizio presso le frontiere esterne, svolge attività d’intelligence pianificando rischi e strategie d’intervento e ha condotto diverse missioni in cui, tra le altre cose, ha assistito gli stati membri nelle operazioni di rimpatrio e nel pattugliamento dei loro mari.

Nonostante sia stato raggiunto qualche risultato positivo, il Frontex ha ricevuto in tempi recenti numerose critiche, dovute al fatto che la stragrande maggioranza del budget di cui dispone sia stato impiegato per finanziare la struttura amministrativa e non le missioni operative. In altre parole, l’Agenzia sembrerebbe soffrire dello stesso male che colpisce molte delle organizzazioni internazionali e agenzie specializzate esistenti: il divario fra la fase normativa-decisionale e quella operativa. Se è facile formalizzare in una risoluzione o regolamento le procedure da attuare per la gestione di una crisi, è ben più complicato metterle in pratica. La principale ragione di una simile inefficacia è da ricercarsi nell’inerzia di alcuni stati membri, spesso restii a impiegare propri mezzi e risorse in affari che non li riguardano direttamente. Ecco spiegato perché l’Italia viene puntualmente lasciata da sola a gestire emergenze come quelle che ogni anno affliggono l’isola di Lampedusa. Ed ecco perché l’Unione Europea e i singoli stati membri dovrebbero preoccuparsi di correggere le inefficienze del Frontex invece di limitarsi a criticare la validità della legge Bossi-Fini.
http://www.lintellettualedissidente.it/lampedusa-linefficienza-delle-politiche-ue/

Snowden award in Moscow

PCN-TV & PCN-SPO / SNOWDEN RECEIVES ‘SAM ADAMS AWARD’ IN MOSCOW

 PCN-TV / Wikileaks

With RT – PCN-SPO / 2013 10 12 /

https://www.facebook.com/PCN.NCP.TV 

https://vimeo.com/pcntv 

FIRST VIDEO OF SNOWDEN IN RUSSIA:

Snowden receives Sam Adams Award in Moscow

Published on October 11, 2013 from Wikileaks …

 The first videos of NSA whistleblower Edward Snowden have surfaced since he received asylum in Russia. The footage, provided by WikiLeaks, was taken during the “Sam Adams Associates for Integrity in Intelligence awards” ceremony.

 The video fragments of a meeting, attended by the former CIA analyst Ray McGovern, former NSA executive Thomas Andrews Drake and former FBI agent Coleen Rowley, Jesselyn Radack of the Government Accountability Project, and Sarah Harrison of WikiLeaks – all whistleblowers in their own respects – were released by WikiLeaks on Friday.

 In the first video appearance since he was granted asylum in Russia, Snowden spoke about US government transparency and dangers to democracy caused by the NSA mass spying programs. 

 Video on:

https://www.facebook.com/photo.php?v=1420145681536927 

WHAT SNOWDEN SAYS …

 “This is not about any sort of particular program, this is about a trend in the relationship between the governing and the governed in America,” Snowden said speaking about the government transparency situation in the US. “That is increasingly coming into conflict with what we expect as a free and democratic people. If we can’t understand the policies and the programs of our government, we cannot grant our consent in regulating them.”

 “As someone very clever said recently, we don’t have an oversight problem in the US we have an undersight problem.”

 The problem has grown up to a point where Americans have “an executive, the Department of Justice, that’s unwilling to prosecute high officials who lied to Congress and the country on camera but they’ll stop at nothing to prosecute someone who told them the truth,” Snowden added.

 Snowden has expressed his satisfaction that people around the globe are starting to understand mass surveillance doesn’t increase safety at all.

 “People all over the world are realizing that these programs don’t make us more safe, they hurt our economy, they hurt our country they limit our ability to speak and think and live and be creative, to have relationships, to associate freely.”

 There is a huge difference between surveillance programs aimed at increasing security and Big Brother mass surveillance, the NSA leaker added.

 “There’s a far cry between legal programs, legitimate spying, legitimate law enforcement where it’s targeted, it’s based on reasonable suspicion, an individualized suspicion, and a warranted action – and a sort of dragnet mass surveillance that puts entire populations under a sort of eye that sees everything, even when it’s not needed.”

 Although it is known that the ceremony took place in Moscow, the exact location remains a mystery for security reasons. In an exclusive interview with RT Julian Assange said Edward Snowden is safe in Russia, but the fates of journalists who helped him and published his leaks are now of more concern for WikiLeaks.

 Wikileaks / RT / PCN-TV & PCN-SPO

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http://www.scoop.it/t/pcn-spo

 

Chomsky interview Exceptionalism on RT

EODE THINK TANK/ DOCUMENT/ NOAM CHOMSKY INTERVIEW FOR ‘RT’ ON U.S. EXCEPTIONALISM

 EODE Think Tank /

Avec RT Spanish – EODE Press Office/ 2013 10 12 /

http://www.eode.org/

https://www.facebook.com/EODE.org

https://vimeo.com/eodetv 

Chomsky to RT:

“All superpowers feel exceptional, inflate security myth for ‘frightened population’”

“Exceptional in its right to use force and violence”

“Every great power that I know of has claimed to be exceptional”

“Syrian chemical weapons are not there just for fun, they were there as a counter to Israeli nuclear weapons” 

 For RT,  Dr. Noam Chomsky exclusive interview on US exceptionalism

on October 11, 2013 …

 Video on: https://vimeo.com/76745618

 RT: I’d like to begin with Iran. The new president, Rouhani, has appeared to be much softer than his predecessor. On his recent trip to the US it was hailed as progress and the first time two presidents spoke in over 30 years. Do you see US policy towards Iran changing?

 Noam Chomsky: The real issue is what will happen in the United States. The way the issue is presented in the United States, and most of the West, the problem is Iran’s intransigence and its rejection of the demands of the international community. There is plenty to criticize in Iran but the real issue is quite different. It’s the refusal of the West, primarily of the United States, to enter into serious diplomacy with Iran. And as far as Iran violating the will of the international community, that depends on a very special definition of international community which is standard in the West where the term means the United States and anybody who goes along with it. So if the international community includes the world then the story is quite different. For example the non-aligned countries, which is most of the world’s population, have vigorously supported Iran’s right to enrich uranium – still do.

The nearby region, in the Arab world, Arab’s don’t like Iran it’s quite unpopular there are hostilities that go back very far. But they do not regard Iran as a threat, a very small percentage regard Iran as a threat. The threats they perceive are the United States and Israel, so they are not part of the world as far as “international community” is concerned but it’s a western obsession. Are there ways to deal with it, whatever one takes a threat to be? Sure, there are ways.

So for example in 2010 there was a very positive advance that could have mitigated whatever the threat is supposed to be. Turkey and Brazil reached a deal with Iran in which Iran would ship out its low-enriched uranium in exchange for storage in Turkey, and in return the west would provide isotopes for Iran’s medical reactors. As soon as that was announced Brazil and Turkey were bitterly condemned by Washington and by the media, which more or less reflexively follow what Washington says. The Brazilian government was pretty upset by this, so much so that the Brazilian Foreign Minister released a letter from President Obama to the president of Brazil in which Obama had proposed this assuming that Iran would turn it down. When Iran accepted, of course he had to denounce it and Obama went right to the Security Council to try to get harsher sanctions. Well that’s one case.

There’s a more recent one that is even more interesting. Last December there was supposed to be an international conference in Finland to carry forward longstanding efforts to establish a zone free of nuclear weapons, all weapons of mass destruction in fact, in the Middle East. This is under the auspices of the proliferation treaty, basically the UN. Well it was to be in December, it didn’t happen. The first thing that happened is that Israel announced they wouldn’t participate. Then everyone who was interested was waiting to see if Iran would participate. Iran said they would participate with no conditions. Immediately Obama called off the conference, giving the reasons which are the official Israeli reasons: You can’t have a conference until there is a regional peace settlement. Of course in the background you can’t have a regional peace settlement until the US and Israel stop blocking the international consensus on an Israel/Palestine agreement – as they are doing and have been for 35 years. So no meeting. The Arab countries who have pressed for this for a long time said they’re going to go ahead with this anyway but of course you can’t without US support. The European parliament passed a resolution calling for a quick renewal of the initiative, Russia supported it. People in the United States have done almost nothing about it for a very simple reason: not a word about this has appeared in the American press, literally. You can read about it in arms control journals or international affairs journals or in things that I write or in things on the fringe. But the press is silent about it, so no pressure. Well, could that have succeeded? Maybe. There could have been steps toward mitigating the crisis. I won’t go through the record but this goes pretty far back. As long as the West, following the US lead refuses to accept a negotiated diplomatic solution the situation can be very serious.

It’s also worth remembering that every day the United States and Israel are violating international law on this issue. The UN charter, if anybody cares, bans the threat or use of force in international affairs. Every time an official says “All options are open,” that is a criminal act. Here nobody cares. We are supposed to be able to carry out criminal acts and in fact that was a dramatic illustration of that yesterday.

If you read yesterday’s New York Times big front page article on the capture of Abu Anas, the jihadi target in Libya, read down to the bottom of the article and there’s a quote from the Secretary of State who is asked in a press conference whether this was legal and he says “Yes this is legal it’s in accord with American law.” That means American law says we can go into any country we like and kidnap somebody we want and that’s legal. Of course is that anybody else’s law? Suppose Al-Qaeda or some other country, Yemen or whoever, comes to the United States and kidnaps John Kerry. Is that legal? If it’s legal by their laws. What this says is we claim that we own the world: What we decide applies universally. It doesn’t matter what international law is, no one else has these rights. An honest report would have had this as the headline and would have explained what it means but nobody is going to comment on that in the United States or England or probably most of the world but these are very important facts.

The United States has always adopted the principle of American exceptionalism, this goes back to the early colonists, but it’s not a uniquely American position.

Every great power, at least every one I know of, has taken the same position. So France was unique in its civilizing mission, which was announced proudly as the Minister of War was calling for the extermination of the people of Algeria. Russia under Stalin was uniquely exceptional and magnificent while it was carrying out all kinds of crimes. Hitler pronounced German exceptionalism when he took over Czechoslovakia, it was done to end ethnic cleansing and put people under the broader German high culture and German technology. In fact I can’t think of an exception.

Every great power that I know of has claimed to be exceptional, the United States among them: exceptional in its right to use force and violence.

 RT: Doesn’t the US take it a step further with exceptionalism?

 NC: Only because the US is more powerful. If you go back a hundred years British and French exceptionalism was far more powerful. The US had the same doctrine but what really mattered for the world was the major imperial powers. And in Russia’s domains it was Russia that was exceptional. Try to find an exception. So the exceptionalism is kind of interesting in that it seems to be without exception. Everybody accepts it, and of course it’s ludicrous in each case.

 RT: I’d like to ask you about Syria. They’ve just begun to dismantle their chemical arsenal. The US now seemingly agrees with Russia that perhaps military intervention is not the best way, although it seems to be dragging its feet on Syria policy. Do you expect provocations from the armed rebels in terms of trying to hamper this step to disarm?

 NC: There are many armed rebel groups and they’re kind of unpredictable. A lot of them are fighting each other and a lot of them are local. Some of them are even pushing for autonomy, like in the Kurdish area the armed rebels are really pressing for Kurdish autonomy and there’s also all sorts of others. There are also secular democratic elements, they’re personally the kind of people I’d like to see take over but the dynamics of armed conflict are that the harshest and most brutal elements on all sides tend to come to the fore. That’s almost inevitable so one may like them, as I do, but I don’t think their prospects are very good. I don’t think what they will do is predictable.

Actually it’s fine to get rid of Syrian chemical weapons, that’s great, but it’s not what the policy ought to be. When President Obama and the press and so on talk about the chemical weapons convention they crucially misstate it, purposefully. What’s stated is that the chemical weapons convention bans the use of chemical weapons, it’s only part of the story. The convention bans the production, storage, or use of chemical weapons. Now production and storage can’t be mentioned because if you mention them you’ve got to dismantle Israel’s chemical weapons therefore that can’t be mentioned. But this is a perfect opportunity to move to eliminate chemical weapons from the region, not just from Syria but remove them from the region.

Israel is the only country with a massive nuclear capacity in the region. So there’s a broader issue which goes back to the question of a weapons of mass destruction free zone in the Middle East, which the US has been blocking for the same reason. So this is a partial solution, it’s good in itself but very partial. The broader opportunities are not being pursued and not even being discussed outside of really marginal areas.

 RT: Recent information released by whistleblower Edward Snowden stirred up a whole lot of scandal across the globe. Some see him as a villain, others as a hero. The US wants to try him while other people are calling for him to receive the highest human rights prizes. What do you think of him?

 NC: I think he performed the responsibility of an honest citizen. Let the population know what your elected representatives are doing, the same for Bradley Chelsea Manning. Let people know what your government is doing. Those who want him hanged as a traitor, etc. what they say is he harmed security.

There are two problems with that defense. One is that when a government or others related to its claim security, it literally carries no information. The reason is it’s predictable. No matter what any state does, no matter how awful it’s going to say it’s necessary for security. A message that is completely predictable is completely uninformative. So first it’s uninformative. We can however look and see what the claim of security amounts to and here it’s pretty easy in a society like the United States, precisely because it is a very free and open society, maybe the most in the world.

So we have a huge record of declassified documents going way back that were classified for security reasons but are now available, a huge array of them, we can study them and ask to what extent was security relevant. I’ve done a lot of work on this and others can do it to and there’s a conclusion security is almost always relevant but its security of the government from its own population. That’s the security concern.

The genuine security, like the security of the population from attack, is a very low concern. You can see this in state policy as well, there’s no time to go through it, but if you run through the record of state policy from the very beginning up until the present the security of the population is not a very high priority. The United States is not alone in this, that’s pretty common.

 RT: Why do we not see more Americans scrutinizing NSA spying, Obama’s drone campaign, clear violations and certainly things that you have people abroad criticizing the US for. Why is it so quiet back home?

 NC: Because the security. It’s a frightened population and the security argument has weight. People feel, somehow, that the government is not protecting us. Take, say, drones. The drone campaign is by far the biggest terrorist campaign in the world. It’s never described that way but that’s of course what it is. Furthermore it’s a terrorist generating campaign. From the highest levels and most respected sources it’s recognized that the drone attacks create potential terrorists on quite a substantial scale. Therefore it’s a threat to US security, apart from being a terrorist campaign in itself, and almost never discussed. Take the invasion of Iraq.

The invasion of Iraq was undertaken with warnings from the intelligence services in the United States and Britain, both the attacking countries, intelligence services warned that this was going to increase terrorism. It did by a huge factor. According to government statistics by about a factor of seven in the first year. Does that help security? Well they had other reasons to invade Iraq, not security and this goes way back.

Let’s go back to 1950. The US was overwhelmingly powerful, it had about half the world’s wealth, incomparable security and so on. But there was a potentially serious danger: ICBMs with hydrogen bomb warheads. They didn’t exist but they were going to exist. Well, if the government had any interest in security it would have moved to see if Russia would have accepted a treaty to ban the production of these weapons and it’s very possible that they would have. Not because they’re nice people but because they knew they were way behind. So it might have worked.

There’s kind of a standard history of nuclear weapons policy by George Bundy who was national security advisor for Kennedy and Johnson. He had access to the highest level of internal documents. And in this book there are a couple of lines, which are most in important in the book, which observed he could not find any internal paper that even raised this possibility.

The concern over destruction of the country was so limited that they never even discussed the possibility of developing a treaty arrangement with their only adversary which could have eliminated this threat. It’s just not a concern. That’s the way states operate. Where we know anything about state policy – it’s very typical like this – they have their own power systems and they have their own lists of concerns but security of the population is not high on the list. But the population accepts it and they are afraid. And other countries too, they’re afraid. They think we need big brother to protect us from enemies so there’s very little protest and very little discussion. So check to see where you can find the drone campaign described as a terrorist campaign because it’s generating terrorists. You can find it on the fringes but most people, they’ve never heard anything like this.

 RT / EODE-TV & EODE Press Office

IL GIAPPONE SOVVENZIONA IL PENTAGONO, PERCHE’ PORTI VIA LE SUE TRUPPE DA OKINAWA. OPPURE…

A file            picture taken on April 24, 2010 shows planes and helicopters            stationed at the US Marine Corps Air Station Futenma base in            Ginowan, Okinawa prefecture. (AFP Photo)

24 APRILE 2010, la foto mostra aerei ed elicotteri stazionati alla base USA navale, la Marine Corps Air Station Futenma, a Ginowan, prefettura di Okinawa . (AFP Photo)

 La Seconda Guerra Mondiale inizio’ nel 1941 con l’attacco del Giappone a Pearl Harbor. Per 70 anni i Giapponesi sull’isola di Okinawa sono stati sotto occupazione militare da parte degli USA, ospitando  una delle basi americane chiave d’oltreoceano della Guerra Fredda, ma tutto cio’ finalmente sta finendo.Ora si fanno piani per ricollocare migliaia di truppe USA fuori dall’isola per mandarle in altri luoghi come  Guam e le Mariana Islands del Nord, ma gli USA non possono far fronte al costo che tutto cio’ implica.

Desideroso che la mossa si faccia, il Giappone ora ha sovvenzionato il Pentagono con 3.1 miliardi di dollari, per accelerare il lavoro. Alcuni dicono che sia  l’ultimo colpo di Washington per raccogliere risarcimenti di guerra dal paese che ha devastato durante la guerra.

 Secondo cio’ che riportano i residenti locali di Okinawa e le imprese, a parte il rumore del nuovo velivolo  Osprey e il danno da vibrazone dell’aeromobile agli edifici locali, sono perdurati gli altri problemi relativi ai militari USA, ovvero abuso di alcol, risse nei bar, prostituzione e stupro, che sono una fonte di tensione  sull’isola da quando sono arrivati gli Americani. I resistenti sono desiderosi di vedere un ritorno alla normalità nella comunità.

 Nel 1995 uno stupro di una studentessa da parte di due Marines ed un marinaio scatenarono  la furia sull’isola, la cui popolazione è di circa 1.4 milioni di persone. Un altro stupro nel 2012 e altri misfatti dei servitori della patria USA, hanno scatenato altre ondate di rabbia.

 L’esercio USA sarà sostituito da una flotta a lungo termine  di droni Global Hawk, che faranno base all’aeroporto.Tutta l’operazione costerà 8.6 miliardi di dollari.

 Ci si deve poi porre una domanda: l’espansione dei droni, è piu’ imporante che riparare i reattori nucleari che al momento stanno pompando radiazioni nell’ambiente, a Fukushima?

 O è questa la ragione vera per cui gli USA vogliono andarsene in primo luogo?

>> tutto l’articolo e fonte qui:

http://21stcenturywire.com/2013/10/08/broke-us-cant-afford-base-in-okinawa-japan-to-rescue-pentagon-with-bailout-for-move/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=broke-us-cant-afford-base-in-okinawa-japan-to-rescue-pentagon-with-bailout-for-move

 A PROPOSITO DI GIAPPONE…:

ORDINI AI MEDICI GIAPPONESI PERCHE’ COPRANO LA PATOLOGIA DA RADIAZIONI DI MASSA

http://cafedehumanite.blogspot.com/2013/10/il-giappone-sovvenziona-il-pentagono.html