MILLIONS OF UKRAINIANS AGAINST EU

PCN -SPO / WHAT THE NATO MEDIA HIDE: THE  ‘CP OF UKRAINE ‘ COLLECTS 4 MILLION SIGNATURES AGAINST THE ACCESSION TO THE EUROPEAN UNION!

Luc MICHEL for PCN -SPO /

with KPU Website – LUCMICHEL. NET / 2013 12 09 /

http://www.scoop.it/t/pcn-spo

https://www.facebook.com/PCN.NCP.press.office

LM - PCN-SPO 4 millions ukrainians against EU (2013 12 10)  ENGL (1)

In a previous leader I explained that the presentation of events in Ukraine – a new ‘colour revolution ‘, a creeping coup of the West – was a “storytelling” a big media lie of NATO . The goal : to sell to the European masses the existence of a “majority impetus of Ukrainians for the EU .”

Read (in French):

‘ STORYTELLING ‘ IN KIEV : THE NATO MEDIA LIES IN UKRAINE …

http://www.lucmichel.net/2013/12/05/lucmichel-net-storytelling-a-kiev-les-mediamensonges-de-lotan-en-ukraine/

LM - PCN-SPO 4 millions ukrainians against EU (2013 12 10)  ENGL (2)

BUT the reality goes further , much further than what NATO media invent . It is in what they’re hiding. ! Little importance that 30,000 protesters become 100,000 or 350,000 , that the Maidan is almost empty out stunts . That the hard core of “democrats” who “share the values ​​of the EU ” are anti-Semitic neo-fascists who glorify the Waffen SS …

 4 MILLION UKRAINIANS HAVE JUST SIGNED FOR DEMOCRACY ( REFERENDUM ) AGAINST THE EU AND FOR THE ECONOMIC UNION WITH THE RUSSIAN BLOCK …

 

The reality is that the Communist Party of Ukraine ( KPU ) (* ) collected 4 million signatures (from 3.5 million on November 20 to 4 million now) against the accession to the European Union in November 2013.

The KPU has collected 4 million signatures for a referendum on the accession of Ukraine to the European Union. “The Communists are activated to block the accession that will destroy jobs and the country.”

The First Secretary of the KPU , Petro Simonenko , at a meeting with the heads of factions (political groups in the Ukrainian Rada ) and the Presidents of Parliament, announced on November 19, 2013 ” that the Communist Party had collected more than 3 million signatures for a referendum against the accession of Ukraine to the EU. “For Simonenko, “the people , in a referendum , are to decide”. ” We collected 3.5 million signatures , citizens have supported the Communist Party in its requirement for a referendum” announced Petro Simonenko .

Previously, the Central Election Commission of Ukraine rejected the popular initiative twice and refused registration of the initiative group.

Communists mobilized . In Oblast (district) of Kherson , ” the regional branch of the KPU announced they gathered more than 110,000 signatures, in the western regions (rather favorable to the EU) 150,000 signatures, in Odessa oblast 220,000 signatures, more than 70,000 signatures in Sevastopol , in Crimea 199,088 signatures . The largest number of signatures collected were done in Dnipropetrovsk oblasts ( 402,000 signatures) , Donetsk, Zaporozhye ( 260,000 signatures) and Lugansk”. . At the heart of the Ukrainian industrial core .

Ukrainian Communists propose an alternative : the accession of Ukraine to the Customs Union of Russia-Belarus-Kazakhstan. That Armenia will join in 2014 and which will become in 2015, with seven countries , the Eurasian Economic Area , the ‘Second Europe’ in the East …

Luc MICHEL

Photos: KPU Campaign against the EU

Luc MICHEL with KPU militants in Odessa in July 2007 during an action against the U.S. fleet in the Black Sea .

LM - PCN-SPO 4 millions ukrainians against EU (2013 12 10)  ENGL (3)

http://www.lucmichel.net/2013/12/10/pcn-spo-what-the-nato-media-hide-the-cp-of-ukraine-collects-4-million-signatures-against-the-accession-to-the-european-union/

LM - PCN-SPO 4 millions ukrainians against EU (2013 12 10)  ENGL (4)

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(*) The KPU , Communist Party of Ukraine ( and not ‘ Ukrainian ‘ as write the revisionist media of PCF, the French CP) , is a formation close to the Russian KPRF of Zouganov , that is to say, a patriotic and anti-western communism, what Western political scientists classify as “national- communist” (SPS of Milosevic, Lukashenko, KPRF , PCN-NCP … ) . This is the hard core of the pro-Russian forces in Ukraine, radically anti-NATO .

The KPU rising to 15% was the real emerging political force in the Ukrainian general election of October 2012 ( but Western media have highlighted the protégés of EU / NATO and the core of the anti-Russian coalition , the anti-Semitic neo-fascists of ‘Slovoba’ and their 7% , electorally allied with oligarch Tymoshenko ) .

LM - PCN-SPO 4 millions ukrainians against EU (2013 12 10)  ENGL (5)

ZOUGANOV, LEADER DU KPRF: ‘SOLIDARITE AVEC L’UKRAINE, NOTRE PAYS FRERE’

Déclaration du Président du CC du KPRF

(Parti communiste de la Fédération de Russie)

PCN-SPO avec KPRF Website / 2013 12 07 /

http://www.scoop.it/t/pcn-spo

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PCN-SPO - Zouganov solidarité avec l'Ukraine (2013 12 10)  FR

Le 2 décembre 2013, le président du Comité central du KPRF, Guennadi ZOUGANOV a fait la déclaration suivante à la presse sur la situation en Ukraine :

“À cette république me lient non seulement des relations professionnelles, mais aussi des relations familiales. La moitié des membres de ma famille vit en Ukraine. Je leur parle chaque jour, et ils sont tous très inquiets parce qu’un groupe de gens à l’orientation agressive impose sa volonté aux citoyens, en conformité ni avec la loi, ni avec les normes élémentaires du respect de l’ordre public.”

“L’Ukraine est déjà passé par là, elle a vu IOUCHTCHENKO avec tous ses désordres . Finalement beaucoup sont restés sans travail et sans soutien social”.

“Aujourd’hui ceux qui commettent les désordres à Kiev ont déjà oublié l’intégration européenne et provoquent un déchaînement de violence non dissimulé. Nous trouvons que c’est inadmissible à tout point de vue. C’est pourquoi, en manifestant la solidarité avec l’Ukraine, notre pays frère, nous nous sommes adressés simultanément à tous les citoyens, tous les collectifs de travail, à tous les travailleurs avec un appel : tout peser au maximum et ne pas admettre que l’on renversa le pouvoir légal, mais les événements sont allés selon ce scénario, que nous avons récemment vu en Géorgie. Cela n’apportera à personne aucuns revenus, ni aucune prospérité”.

 « L’UKRAINE EST CE MORCEAU DE CHOIX, QUE L’UE VOUDRAIT AVALER AU PLUS VITE »

“Cela fait 17 ans qu’il m’est permis de travailler avec le Conseil de l’Europe, j’ai rencontré bien des fois des parlementaires d’Etats européens et je connais parfaitement la situation actuelle. L’UE éprouve une crise extrêmement difficile, et de nouveaux débouchés commerciaux lui sont absolument nécessaires. Dans le cas présent, c’est l’immense Ukraine avec sa population de presque 50 millions. Elle est ce morceau de choix, que l’UE voudrait avaler au plus vite, en retirant toutes les barrières douanières”.

“Ce document, qui a été préparé par eux, retire presque immédiatement toutes les barrières. Finalement l’industrie de transformation en Ukraine sera tout entière supprimée. Chez nous les frontières sont ouvertes, nous sommes intéressés par l’addition de nos potentiels et la création d’un marché commun. Mais en cas d’adhésion de l’Ukraine à l’accord sur l’intégration européenne les marchandises européennes, en l’occurrence sous dénomination apparente ukrainienne, se jetteront sur le marché russe. Nous avons perdu déjà toute la construction de matériels agricoles. Chez nous la situation devient extrêmement préoccupante dans les industries motrices de l’économie. C’est pourquoi la fermeture inévitable des frontières amènera pour nous et pour l’Ukraine des conséquences très difficiles”.

“Je pense, qu’il est maintenant très important que chaque collectif de travail, chaque Assemblée se réunisse et examina la situation qui s’est formée. Pour que ceux qui viendraient aujourd’hui à Kiev de diverses régions de l’Ukraine, particulièrement de l’Ouest, qui se comportent avec agressivité, n’imposraient pas aux citoyens du pays leurs règles, leurs lois et leurs représentations. Il me semble que cela va seulement accroître la séparation de la société ukrainienne et aggraver une situation déjà extrêmement tendue sans cela”.

Guennadi ZOUGANOV,

président du Comité central du KPRF

VENEZUELA : ELECTIONS MUNICIPALES. LARGE VICTOIRE DES SOCIALISTES BOLIVARIENS DU PSUV

Luc MICHEL pour EODE Press Office /

avec AFP – Le Monde – Ultimas Noticias / 2013 12 10 /

http://www.facebook.com/EODE.monitoring

http://www.eode.org/category/eode-international-elections-monitoring/international-elections-survey/

EODE - elections news VENEZUELA MUNICIPALES 2 (2013 12 10) FR (1)

« Le peuple du Venezuela vient d’annoncer au monde que la révolution bolivarienne se poursuit encore plus forte »

–  Nicolas Maduro.

EODE - elections news VENEZUELA MUNICIPALES 2 (2013 12 10) FR (2)

« Henrique Capriles Radonski et l’opposition voulaient absolument faire de ces élections municipales de dimanche 8 décembre un plébiscite pour ou contre la politique du président vénézuélien Nicolas Maduro. Mal leur en a pris … »

– Le Figaro (Paris).

Les municipales de ce 8 décembre 2013 au Venezuela ont confirmé la domination du PSUV, le parti fondé par Chavez, au pouvoir, dans une grande partie des mairies du pays …

Selon ces résultats portant sur plus de 97% des suffrages, 80 mairies n’ont pas encore été attribuées et seulement huit sont tombées aux mains d’autres formations politiques. Le PSUV au pouvoir a emporté 196 municipalités, contre 53 pour la coalition de l’opposition. Celle-ci conserve toutefois le contrôle des deux principales villes du Venezuela, a annoncé dès dimanche soir le Conseil national électoral (CNE). Finalement, « 212 villes dont 14 capitales régionales sont acquises au PSUV contre 73 dont 9 capitales régionales à l’opposition », selon le quotidien Ultimas Noticias.

Selon les résultats publiés par le Conseil national électoral (CNE), la mainmise globale du Parti socialiste uni du Venezuela (PSUV) est donc indéniable. Au niveau national, le PSUV du président Maduro a recueilli 49,2 % des suffrages, soit un total de 5,1 millions de voix, a annoncé la présidente du CNE, Tibisay Lucena. La MUD, elle, a recueilli 42,7% des suffrages, soit plus de 6% d’écart par rapport au PSUV, pour un scrutin qui a mobilisé près de 59% des 19 millions d’électeurs vénézuéliens, une participation estimée par le CNE comme supérieure aux attentes.

« Le peuple du Venezuela vient d’annoncer au monde que la révolution bolivarienne [prônée par le défunt Hugo Chavez] se poursuit encore plus forte », s’est réjoui N. Maduro dimanche soir lors d’un meeting organisé place Bolivar, dans le centre de Caracas. « L’amour l’a emporté sur la haine, la vérité sur le mensonge », a-t-il ajouté, avant d’appeler le leader de l’opposition Henrique Capriles à quitter sa coalition après quatre défaites électorales consécutives.

EODE - elections news VENEZUELA MUNICIPALES 2 (2013 12 10) FR

LES ENJEUX : L’AVENIR DE LA ‘REVOLUTION CHAVISTE’

Le PSUV ne devrait donc enregistrer qu’un léger recul par rapport au dernier scrutin de 2008, en pleine vague chaviste, à l’issue duquel il contrôlait plus de 270 mairies. Dans le même temps, cependant, la Table de l’unité démocratique (MUD), principale coalition de l’opposition bourgeoise et pro US, est parvenue à s’adjuger plusieurs capitales d’Etats auparavant aux mains du PSUV: Merida, Valencia, Barquisimeto, San Cristobal et Maturin.

En outre, elle a déjà réussi le pari de conserver une cinquantaine de villes sur les quelque 60 conquises en 2008, dont les deux plus grandes métropoles du pays, Caracas et surtout Maracaibo (nord-ouest). Selon l’analyste politique (pro MUD) Luis Vicente Leon, l’opposition « n’a pas véritablement atteint son objectif de faire sanctionner la gestion de Maduro par les urnes ».

Le Monde (Paris) résumait (avant les élections) les enjeux :

« Les urnes, encore une fois. Les Vénézuéliens s’apprêtent à voter pour la 19e fois depuis l’élection de feu Hugo Chavez, en 1998. Et pour la première fois depuis que Nicolas Maduro a été élu pour lui succéder à la présidence. Dans un pays qui reste profondément divisé, entre chavistes et antichavistes les élections du dimanche 8 décembre ont valeur de test. Elles sont « beaucoup plus que des municipales », affirment les deux camps. A écouter les discours des candidats, les enjeux locaux pèsent peu. Les équipes de campagne tentent de faire du scrutin un plébiscite pour ou contre l’action du gouvernement en place ».

« La stratégie vise en premier lieu à limiter l’abstention, historiquement plus élevée pour les municipales », explique l’analyste Nicmer Evans.

 LE DEPIT DES MEDIAS OCCIDENTAUX

On connaît le tropisme anti-chaviste des médias occidentaux. La victoire nette du PSUV, la déroute du MUD – qui plaçait la barre très haut avec son objectif d’une centaine de municipalités – avec 6% d’écart, score qui ferait l’immense bonheur de la plupart des politiciens occidentaux (voir les scores étriqués de Sarkozy, Hollande ou Obama), ont conduit les médias occidentaux  à des analyses fallacieuses, où perce le dépit.

Ainsi l’AFP titrait sur « Une impression de statu quo politique » (sic) et commentait : « Dimanche soir, les deux formations se sont félicitées de leurs résultats et ont organisé des meetings paisibles dans des quartiers distincts de Caracas, illustrant l’impression générale de statu quo politique après ce scrutin que l’opposition s’était efforcée de faire passer pour un référendum de la gestion de Nicolas Maduro ». Pourtant le référendum de facto est clair. Et la Révolution bolivarienne » continue …

Maduro s’est lui posé en vainqueur dimanche soir, fort précisément des 6% d’écart avec le MUD, qui ont une allure de déroute au regard des objectifs affichés par la MUD, loin du score difficile des présidentielles d’avril 2013, annonçant d’emblée que la “révolution bolivarienne” prônée par son mentor Hugo Chavez était “renforcée”. Celui qui avait été élu d’une courte tête en avril dernier, dans l’ombre de Hugo Chavez, vient de prouver sa légitimité.

UN TEST ELECTORAL QUI CONFIRME MADURO DANS SON ACTION

« Ces élections avaient valeur de test pour M. Maduro sept mois après son investiture » avoue cependant l’AFP. Confronté aux pénuries, à l’inflation galopante (54% depuis janvier) et à l’explosion du dollar sur les marchés parallèles, il s’était efforcé ces dernières semaines de reprendre le contrôle de l’économie du pays disposant des plus importantes réserves mondiales de pétrole.

Le 20 novembre 2013, il a obtenu du Parlement de pouvoir légiférer par décret pendant un an afin de lutter contre la corruption et répondre à la “guerre économique” déclenchée, selon lui et avec justesse, par des secteurs de l’opposition bourgeoise, avec l’appui de Washington et de certains acteurs économiques.

N. Maduro a ensuite pris une série de mesures pour forcer la baisse de certains prix et a, dimanche soir, annoncé de prochaines dispositions pour les “secteurs du logement et de l’alimentation”.

Pour le politologue Edgar Gutierrez, «  les résultats ouvrent la porte à une radicalisation du gouvernement de Nicolas Maduro. Le président vénézuélien peut tenter d’approfondir son modèle de contrôle économique et politique parce qu’il sort renforcer vis-à-vis de son adversaire. Une fenêtre d’opportunité s’ouvre à lui ».

L’expert Luis Vincente Leon assure que « les dernières mesures économiques du président ont eu une influence sur les résultats des municipales mais n’ont pas éliminé la préférence pour Henrique Capriles dans les principales villes ». Hector Schemel, président d’Interlaces, confirme que «les mesures économiques (prises ces dernières semaines par Nicolas Maduro) ont reconnecté Nicolas Maduro au chavisme ».

« Au vu des résultats partiels des municipales, ce volontarisme teinté de populisme semble avoir touché son électorat », commente l’AFP.

« Que vont faire les dirigeants de la MUD devant cette déroute ? » s’est interrogé Nicolas Maduro lors d’un meeting dimanche soir place Bolivar. Puis s’adressant à Henrique Capriles : « Tu l’as ton plébiscite, petit capricieux, fasciste arrogant. Maintenant fais face et démissionne. » Il s’est réjoui d’un résultat qui, pour lui, montre que « le peuple du Venezuela vient d’annoncer au monde que la révolution bolivarienne se poursuit encore plus forte»…

Luc MICHEL

Pour EODE Press Office

http://www.eode.org/eode-international-elections-monitoring-venezuela-elections-municipales-2-large-victoire-des-socialistes-bolivariens-du-psuv/

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# Lire aussi :

VENEZUELA : ELECTIONS MUNICIPALES (1).

http://www.eode.org/eode-international-elections-monitoring-venezuela-elections-municipales-un-defi-pour-le-president-maduro/

Kiev: La Nuland distribuisce biscotti ai manifestanti…

CHE CI FA LA SOTTOSEGRETARIA DEL DIPARTMENTO USA CON GLI EURO FANATICI A KIEV?????????????
naturalmente lotta per la democrazia che in Ue è ai massimi livelli no????
sssss
 
Ucraina: Yanukovich chiede 20 miliardi di euro all’Ue per associarsi
Scritto da: Alessandro Pignatelli – mercoledì 11 dicembre 2013
 
Citazione:
 
Kiev cerca di forzare la mano a Bruxelles, dicendosi disponibile a firmare solo dietro assistenza finanziaria. In piazza, i manifestanti proseguono le proteste.
 
L’Ucraina chiede all’Unione Europea 20 miliardi di euro di aiuti per firmare l’accordo di associazione e di libero scambio, congelato proprio dal premier di Kiev, Viktor Yanukovich. Lo ha annunciato il premier Mykola Azarov durante una seduta di gabinetto, proposta in seguito dalla televisione nazionale ucraina.
 
Potrebbe sembrare un ammorbidimento da parte delle istituzioni dopo le manifestazioni degli ultimi giorni. Il capo del governo ha spiegato: “Coloro che si sono radunati in piazza dell’Indipendenza, chiedono che l’Accordo con l’Unione sia sottoscritto immediatamente. Anche l’esecutivo è favorevole a farlo il prima possibile, ma vogliamo creare le condizioni per ridurre al minimo le perdute per la nostra economia”.
 
E ancora: “Abbiamo invitato la Commissione europea a valutare appunto in quali condizioni l’industria ucraina, e l’economia nel suo complesso, possano funzionare. Proponiamo di risolvere la questione attraverso l’offerta all’Ucraina di assistenza finanziaria. E abbiamo stabilito il suo ammontare approssimativo in 20 miliardi di euro”. Una negoziazione, dunque, che quasi sicuramente l’Unione Europea rimanderà al mittente.
 
Questa mattina, nel cuore della rivolta ucraina – in piazza dell’Indipendenza – la polizia ucraina si è ritirata, dopo averla rioccupata parzialmente. Gli uomini della forza anti sommossa sono risaliti sugli autobus e hanno lasciato la piazza. Gli agenti della Berkut, le forze speciali, hanno abbandonato anche il municipio, occupato dai manifestanti, dopo un tentativo fallito di riconquistarlo. In piazza c’è anche il sottosegretario del Dipartimento di Stato Usa, Victoria Nuland, insieme all’ambasciatore a Kiev, Geoffrey Payette. Nuland distribuisce biscotti ai manifestanti, ma anche agli agenti.

Gruppo tenta catena umana a Montecitorio

fortuna che avevano l’approvazione della polizia-……

(ANSA) – ROMA, 11 DIC – Un piccolo gruppo di manifestanti ha tentato questa mattina di fare una ‘catena umana’ davanti a Montecitorio ma è stato bloccato dalla polizia, che ha fermato e portato in commissariato tre persone. Il gruppo potrebbe essersi ispirato alla mobilitazione dei Forconi di questi ultimi giorni pur non appartenendo al movimento. L’azione dei manifestanti mentre nell’Aula della Camera erano in corso le comunicazioni del presidente del Consiglio Enrico Letta.

http://ansa.it/web/notizie/rubriche/topnews/2013/12/11/Gruppo-tenta-catena-umana-Montecitorio_9761015.html

FORCONI, IL VIMINALE PREOCCUPATO: “NON SI CAPISCE CON CHI PARLARE”

11/12/2013 – retroscena

Oggi la tensione potrebbe spostarsi nella Capitale. Alfano va in Parlamento

ANSA

Un manichino durante la manifestazione di protesta del movimento dei forconi in piazzale Loreto a Milano

guido ruotolo
roma

Andrà in Parlamento, il ministro dell’Interno, Angelino Alfano, per riferire sugli scontri di Torino, le occupazioni dei binari dei treni, i presidii degli snodi di traffico, caselli, rotonde, piazze. E poi sulle saracinesche costrette a rimanere abbassate. E su una protesta che a macchia di leopardo si sta estendendo con il passare delle ore. Intere città assediate, come Andria, Trani, Barletta.

Intanto, dopo aver convocato un vertice con le forze di polizia, il ministro Alfano ieri sera è andato al Tg3 per ribadire che «non sarà consentito che le città vengano messe a ferro e a fuoco». Che «la legge va rispettata e la democrazia garantita».

Siamo al secondo giorno, anzi stiamo entrando nel terzo della protesta ed è come se invece di scemare per stanchezza la presenza dei cittadini sulle strade, questa presenza si alimenti con nuova linfa. Sempre di più una Babele di sigle, associazioni, forze politiche, ultras stanno riempiendo il catino della protesta.

Adesso gli strizzano gli occhi ai Forconi anche Grillo e Berlusconi. Questa «strumentalità» certo non aiuta a raffreddare il clima, e questo infastidisce lo stesso Viminale. Qualsiasi manifestazione di gruppi, lavoratori di una fabbrica o cittadini contro Equitalia ormai a tutti gli effetti vengono considerate come promosse dai Forconi.

Per tutto il giorno si era temuto il peggio. Il Viminale seguiva con preoccupazione il bollettino di guerra lanciato da improbabili leader della protesta. Uno in particolare, Danilo Calvani, di Pontinia, Latina, si era spinto ad annunciare che sarebbero state rese note «iniziative eclatanti», che se il governo otterrà la fiducia in Parlamento, milioni di italiani avrebbero occupato la Capitale.

Insomma, si era temuto che oggi il movimento volesse assediare il Parlamento. Per questo il ministro aveva convocato al Viminale i responsabili delle forze dell’ordine mentre, per rassicurare sulla tenuta dell’ordine pubblico, faceva sapere che altri contingenti di uomini avrebbero raggiunto Torino.

Ma con una inusuale smentita a mezzo stampa, il fondatore dei Forconi, Mariano Ferro, faceva sapere che non era giunto ancora il tempo di andare a Roma, e che semmai il problema andrà posto nei prossimi giorni.

Da una decina di giorni il Viminale si stava preparando alla protesta. Direttive e ordinanze avevano il compito di «dissuadere» i promotori dal prendere iniziative radicali come i blocchi stradali. Bruciavano ancora quelle due settimane di paralisi che i Forconi avevano inflitto alla Sicilia, due anni fa.

Le informazioni dell’intelligence puntavano alla Sicilia, a Torino (dove avrebbero partecipato alla protesta anche i militanti di Fratelli d’Italia), e al Nord est. E segnalavano la partecipazione degli ultrà del Catania, dell’Atalanta e del Brescia (di sicuro a Torino hanno partecipato agli scontri anche gli ultrà del Toro e della Juve). Oltre a Forza Nuova e a Casa Pound.

Tutte previsioni azzeccate. Solo che in Sicilia è stato usato il pugno di ferro, nel senso che è stata vietata dalle questure qualsiasi forma di assembramento, mentre altrove sono stati consentiti presidii con trattori e tir. Con il risultato che i Forconi sono rimasti a casa mentre dalla Puglia al Veneto, dalla Liguria al Piemonte la cronaca ci ricorda che gli autisti di tir, camion o auto sono stati costretti a lunghissimi rallentamenti, code o addirittura blocchi.

Con l’aggiornamento dei presidi e l’attività di raccolta di informazioni il quadro che sta emergendo è che il fiume della protesta conosca una biforcazione. Da una parte c’è il «movimento» che segue le indicazioni del Coordinamento del 9 dicembre 2013. Un coordinamento che ha tenuto in queste settimane riunioni in giro per il Paese. Ma l’altra ansa del fiume è quella che si alimenta dello spontaneismo dei protestatari, dei militanti delle sigle del radicalismo di destra (Forza Nuova, Fratelli d’Italia, Casa Pound, Movimento sociale europeo), degli ultrà. E quest’ansa di fiume non è governabile. Al Viminale ne sono consapevoli. Convinti che al di là di Torino e Genova, al di là di qualche disagio degli automobilisti, «alla fine non è successo nulla». Sarà anche vero. Ma perché allora si guarda con timore ad oggi, alle possibili convocazioni di manifestazioni nella capitale?

Da: Il Fatto

PIANETA POLIZIA

Il Viminale studia la galassia della violenza

di Valerio Cattano

Solidarietà dei poliziotti verso i “forconi”? Niente affatto, anzi, non è ammissibile che gli agenti possano essere “tirati per la giacca” da qualcuno che sul malcontento voglia mettere il cappello. E poi, non esasperare la tensione; insomma, più che una carica indiscriminata dinanzi al municipio per allontanare i manifestanti, è meglio individuare coloro che sono a capo delle rivolte “popolari”. Infine evitare che la protesta in cui si muovono autotrasportatori e ambulanti, militanti di estrema destra e ultràs, possa trasformarsi in qualcosa di molto più pericoloso. Queste sono alcune delle indicazioni che arrivano dal Viminale dopo quanto avvenuto lunedì mattina in diverse piazze italiane, fra cui quella di Torino. Tornando all’episodio dei caschi tolti dai poliziotti il Viminale parla di linguaggio dei gesti: l’ordine pubblico è fatto anche di messaggi, e togliersi il casco significa che non c’è più uno stato di allerta. La posizione dei vertici della polizia è condivisa pure dalla base, anche se i problemi non mancano: “Il poliziotto rischia di essere il povero di domani; ma non vuol dire che è disposto a solidarizzare con chi crea problemi di ordine pubblico”, ha ribadito il segretario generale del Sindacato autonomo di polizia (Sap), Nicola Tanzi. C’è da pensare a cosa potrebbe avvenire nella Capitale in occasione del voto di fiducia di oggi, anche se i Forconi sembrano aver rimandato alla prossima settimana la protesta a Roma; il Viminale ha preferito non correre rischi e blindare i palazzi della politica. Resta poi una questione aperta come decifrare i “rivoluzionari”.    DA UN LATO il primo obiettivo è evitare che la protesta in apparenza spezzettata trovi un leader unico, dall’altro è ancora difficile segnare dei confini netti. Da quel che si è visto a Torino, i vertici del Dipartimento di pubblica sicurezza puntano su alleanze pericolose, fra ultrà, Casapound e Forza Nuova, pure militanti di sinistra. Può degenerare a livello nazionale? Il rischio non può essere sottovalutato soprattutto se qualcuno riuscisse a cavalcare la protesta. La parola d’ ordine del Viminale è, dunque , monitorare, e studiare, magari, nuove regole d’ingaggio. Ma dentro il pianeta polizia non c’è nessuna esasperazione? La vicenda dei caschi è stata solo una errata interpretazione dei fatti? Di certo il lavoratore-poliziotto non è impermeabile alle tensioni sociali e i suoi problemi li ha, lo conferma ancora il segretario del Sap, Tanzi spiegando perchè ritiene la sua categoria a rischio povertà: “Il passaggio al sistema contributivo ci ha messo con le spalle al muro; pensiamo che lo stipendio di un agente non supera i 1300 euro. Spesso è obbligato a fare lo straordinario, che non gli viene retribuito. Il blocco degli stipendi per noi è stato di quattro anni invece che tre, il contratto era già fermo al 2008/2009”.    Rispetto poi alle carenze che il Viminale dice superate, il Sap ha un’altra lettura: “Abbiamo 15 mila uomini in meno, questo significa che i Reparti Mobili, quelli che vanno in piazza, montano ad inizio servizio e finiscono quando finisce l’emergenza. Chi si occupa di indagini anticipa soldi col proprio portafogli; i fondi per mettere a posto i mezzi non ci sono, a volte l’equipaggio di una Volante per entrare in servizio deve aspettare i colleghi che terminano il turno e usare la stessa auto”.    Dinanzi ad un panorama simile si torna al punto di partenza: possono avere ragione coloro che hanno visto in quei caschi tolti dinanzi agli applausi dei manifestanti un gesto di solidarietà verso l’esasperazione della piazza? Il segretario del Siulp Felice Romano ai microfoni di Radio 24 ha confermato che si è trattato solo di un gesto “simbolico” ma ha aggiunto: “Molti non sanno che spesso i poliziotti che vanno ad eseguire gli sfratti esecutivi a carico delle famiglie, sono gli stessi che da lì a qualche settimana saranno oggetto di uno sfratto esecutivo, che li costringerà a dormire in macchina”.

Caselli: non si deleghi la Tav a magistrati e forze dell’ordine

http://torino.repubblica.it/cronaca/2013/12/09/news/caselli_non_si_deleghi_la_tav_a_magistrati_e_forze_dell_ordine-73137215/

 Il procuratore capo di Torino: “La situazione della Torino-Lione è complessa, un problema simile vuole molteplici cure sul piano politico, economico, finanziario e dell’informazione”

Caselli: non si deleghi la Tav a magistrati e forze dell'ordine
Gian Carlo Caselli 

“La situazione della Torino-Lione è complessa, articolata e difficile: non si può pensare di delegare tutto a magistratura e forze dell’ordine. Un problema così complesso vuole molteplici cure sul piano politico, economico, finanziario e dell’informazione”. A sostenerlo è stato il procuratore capo della Repubblica di Torino, Giancarlo Caselli, commentando i quattro arresti per l’attacco al cantiere di Chiomonte, avvenuto nel maggio scorso.

Caselli, in Questura, ha voluto nell’occasione accomiatarsi dai giornalisti visto che il 27 dicembre sarà il suo ultimo giorno di lavoro prima della pensione. “Nel rispetto assoluto delle competenze e delle prerogative altrui, c’è il problema delle compensazioni in Val Susa: se poi non arrivassero, non mi sembrerebbe proprio questa la scelta migliore” ha detto Caselli, che ha proseguito: “C’è poi il capitolo dei risarcimenti alle aziende oggetto di sabotaggio. Un tema stralciato dalla legge sul femminicidio, ma che dovrebbe essere affrontato”, ha aggiunto il procuratore ricordando inoltre anche i 150 milioni di euro “stanziati per il 2015 e poi dirottati verso l’Anas”. Si tratta di questioni “che esulano dalla magistratura, ma parlarne non mi sembra fuori luogo”, ha precisato Caselli, ammonendo: “Altrimenti un problema già complesso rischia di complicarsi ancora di più”.

TORINO SOTTO ASSEDIO TRA STRADE

Da: Il Fatto
TORINO SOTTO ASSEDIO TRA STRADE BLOCCATE E SUPERMARKET CHIUSI
“SE LETTA OTTERRÀ LA FIDUCIA, FAREMO IL FINIMONDO” VERTICE IN PREFETTURA PER INDIVIDUARE I MANIFESTANTI CHE MINACCIANO I COMMERCIANTI. UN FERMO E 8 DENUNCE
di Andrea Giambartolomei
   Torino

Nel secondo giorno d’assedio, i forconi di Torino hanno stretto il palazzo del Consiglio regionale del Piemonte e obbligato i negozi a chiudere ancora una volta. Dopo i disordini di lunedì sotto la sede della giunta di Roberto Cota, con lanci di pietre e bombe carte, ieri mattina alcuni manifestanti si sono ritrovati sotto Palazzo Lascaris, dove a protestare c’erano anche alcuni metalmeccanici della Fiom. Davanti al palazzo dei 43 consiglieri indagati per le “spese pazze” ci sono stati momenti di tensione tra i due gruppi, divisi da un cordone di polizia. Da una parte i forconi intonavano l’inno nazionale, dall’altra le tute blu rispondevano con “Bella ciao”.    Per tutta la giornata il traffico è stato in tilt negli snodi principali della città per i blocchi stradali, i mercati rionali sono rimasti chiusi e molti supermercati avevano le serrande abbassate per prevenire inconvenienti, viste le proteste contro la grande distribuzione che non ha aderito allo sciopero. In alcuni casi sono dovuti intervenire i carabinieri. Il negozio di Eataly in centro città è stato fatto chiudere due volte lunedì, perché alcuni uomini dal volto coperto e armati di spranghe hanno minacciato la security. A Nichelino un assicuratore è stato picchiato ed è stato ricoverato in ospedale. In alcune zone della città i negozianti hanno ricevuto avvertimenti affinché tenessero chiusi i loro esercizi, oppure sono stati costretti a chiudere dai manifestanti di passaggio.    “SONO INACCETTABILI le minacce a commercianti per far chiudere le attività commerciali”, ha detto il ministro dell’Interno Angelino Alfano. Alle dichiarazioni politiche contro le violenze dei manifestanti si è unito anche il Movimento 5 Stelle di Torino: “L’adesione alle manifestazioni deve essere libera e pacifica, oggi invece ci segnalano intimidazioni e atti violenti. Questo è inaccettabile e va fermato”. Proprio per far fronte alle minacce ieri pomeriggio il procuratore aggiunto Paolo Borgna insieme a due sostituti (Andrea Padalino e Antonio Rinaudo) hanno incontrato i vertici dell’Ascom per instaurare una collaborazione e invitare i commercianti a denunciare i soprusi. “Condividiamo in parte le ragioni della protesta – aveva dichiarato lunedì la presidente dell’Ascom provinciale, Maria Luisa Coppa – ma non violenza e minacce”. Poche ore dopo in prefettura si è riunito il comitato provinciale per la sicurezza e l’ordine pubblico: “Abbiamo chiesto rinforzi”, ha detto il prefetto di Torino, Paola Basilone, dopo l’incontro col questore Antonio Cufalo, il sindaco Piero Fassino, i primi cittadini dei comuni della cintura, il presidente della Provincia Antonio Saitta e il procuratore capo Giancarlo Caselli. Lunedì era apparsa chiaramente la difficoltà delle forze dell’ordine nel contenere la violenza. “Non è stato sottovalutato nulla, perché nessuno immaginava una cosa del genere” , ha affermato il prefetto, mentre il questore ha aggiunto che “non c’è stata nessuna sottovalutazione, i nostri uomini si sono trovati a bissare i turni cercando di contrastare una situazione complessa e improvvisa”.    AL TERMINE della seconda giornata otto manifestanti sono stati denunciati, quattro per interruzione di pubblico servizio e altri quattro per violenza privata. Un manifestante è stato fermato dalla polizia e portato in questura dopo che aveva fatto esplodere una bomba carta vicino alla stazione Porta Nuova. E già tuonano nuove minacce: “Se Letta otterrà la fiducia, faremo il finimondo”.    Nel frattempo a Milano è stato occupato fino a sera piazzale Loreto, mentre i trattori di alcuni agricoltori si sono spinti fin sotto al Pirellone, sede del Consiglio regionale della Lombardia. Molti posti di blocco nell’hinterland del capoluogo lombardo ma anche nel resto d’Italia, in particolare Veneto, Friuli Venezia Giulia e in Puglia. I disagi più forti a Barletta e ad Andria, dove i negozianti sono stati costretti a chiudere i negozi da alcuni ultras.

Il mercato di Porta Palazzo vuoto Ansa

Brescia, gli negano un prestito, dà fuoco alla filiale della banca

arrivi a 70 anni, pensi che ti spetta la pensione ed invece devi ancora BARCAMENARTI. Ecco chi fa parte dei blocchi, persone che non hanno più molto da perdere.

11/12/2013 – IL CASO

Al rifiuto un 69 enne ha cosparso di benzina gli uffici e ha appiccato il fuoco

Ha chiesto un prestito in banca, davanti al rifiuto ha cosparso di benzina gli uffici della filiale dell’istituto di credito e ha dato fuoco. È accaduto stamani a Brescia. L’uomo, un 69enne di origini casertane, è stato arrestato dalla polizia e, secondo quanto si è appreso, attualmente si trova in ospedale. L’incendio è stato spento.

http://www.lastampa.it/2013/12/11/italia/cronache/brescia-gli-negano-un-prestito-d-fuoco-alla-filiale-della-banca-WrKoDIFnjDSgkeXFKrCtbM/pagina.html?ult=1

Povertà assoluta in Italia per un milione di bambini

oh ma guarda. Pennivendoli sono afflitti dalla povertà in cui si ritrovano molti minore DARE UN REDDITO AI GENITORI CHE HAN PERSO IL LAVORO NO EH???
PERO’ guai a ribellarsi ai voleri della troika. INSOMMA, siamo ancora in troppi ad essere vivi??

11/12/2013 – IL CASO

Allarme di Save The Children: in un anno aumentati del 30%. Boom al Nord
Il 12% dei bambini abita case sovraffollate e con problemi strutturali

Più di un milione di minori vivono in povertà assoluta, vuol dire un minore su 10, una cifra che corrisponde al 30% in più rispetto al 2012. Sono alcune delle drammatiche cifre contenute nel rapporto «L’Italia SottoSopra» di Save The Children, frutto della crisi economica e dei ripetuti tagli agli enti locali e dell’effetto combinato di entrambe che sta strozzando soprattutto le fasce più deboli della popolazione.
Per la precisione si tratta di un milione e 344 mila minori che abitano in condizioni difficili. Rappresentano il 12% della popolazione di riferimento, vivono in alloggi sovraffollati, privi di alcuni servizi e con problemi strutturali e sono il 25% rispetto al 2007.

È un esercito formato dai figli di genitori disoccupati (è aumentato dell’8,5% il tasso di povertà assoluta nelle famiglie senza occupati), oppure monoreddito (+3,1%), o ancora bambini nati da genitori con un livello d’istruzione basso. Fra i nuclei familiari con capo-famiglia privo di titolo di studio, l’incidenza della povertà assoluta è stata del 3,1%.

Per la prima volta è di segno negativo anche la percentuale di bambini presi in carico dagli asili pubblici, scesa dello 0,5%. Il 22,2% di ragazzini è in sovrappeso e il 10,6% in condizioni di obesità. Non è una contraddizione, mangiare cibo che nutra in modo sano costa, molte famiglie con figli hanno dovuto ridurre i consumi di cibo più caro. Nel 2012 il 66% di famiglie con figli – si tratta di 4 milioni 400 mila nuclei familiari con prole – ha ridotto la qualità/quantità della spesa per almeno un genere alimentare.

Si spendono 138 euro in meno in media al mese. Si risparmia su tutto: un bambino su 3 non può permettersi un apparecchio per i denti, per i libri e la scuola le famiglie in difficoltà economiche spendono 11 euro al mese, venti volte in meno di chi ha maggiori possibilità. Dei 24 paesi Ocse, l’Italia è ultima per competenze linguistiche e matematiche nella popolazione 16-64 anni e per investimenti in istruzione: +0,5% a fronte di un aumento medio del 62% negli altri paesi europei (Ocse). Sono 758mila quelli che abbandonano la scuola prima dei tempi previsti dalla legge (5 punti in più rispetto alla media europea) e oltre 1 milione i giovani disoccupati.
Tra il 2017 e il 2012, la spesa media mensile dei nuclei con bambini si ridotta quasi il doppio rispetto a quanto è accaduto al totale delle famiglie. I tagli hanno colpito soprattutto l’abbigliamento, i mobili e elettrodomestici, la cultura, il tempo libero e i giochi. E hanno colpito soprattutto Sud e Centro dove il calo è stato del 2,56 e dell’1,82% nei vestiti, il Nord per la sanità (-0,66%) e ancora il Mezzogiorno per il tempo libero e la cultura (-0,9).

Nel 2012, i minori in condizioni di povertà assoluta sono aumentati del 30% rispetto al 2011. L’aumento maggiore è stato al Nord (+ 166 mila minori, per un incremento del 43% rispetto al 2011) e al Centro (+41%). Il Sud era già povero, crisi e tagli non potevano colpire chi già non ha molto, l’aumento si è fermato al 20%.
http://www.lastampa.it/2013/12/11/italia/cronache/povert-assoluta-in-italia-per-un-milione-di-bambini-QXMuYKmduQiGT67N2KHgGJ/pagina.html?ult=1