Comité No Tav Paris -Communiqué – Eté No Tav 2013

http://notavparis.wordpress.com/2013/09/05/x/

Nous nous opposons au projet de construction de la ligne à grande vitesse Lyon-Turin et au modèle économique et sociale qui en découle, écrasant homme et nature sous le joug des intérêts privés. Nous luttons pour diffuser le modèle de vie et resistance né en Valle di Susa et pour l’autogestion des peuples sur leur territoire.

 

imagesUn nouvel été de lutte et de résistance No Tav vient de s’achever. Un été qui a vu s’exacerber encore et encore les provocations de la justice d’Etat et le niveau de criminalisation du mouvement par les médias vendus au lobby sitav. Les journalistes, de la Stampa à la Repubblica en passant par Panorama, travaillent main dans la main avec les juges afin de désinformer et de construire la peur du No Tav : monstres vêtus de noir, incendiaires, kidnappeurs de chauffeur de camion ou pire terroristes. Mais que s’est-il vraiment passé cet été en Val de Suse?

A la fin du printemps, avec le camping des lycéens, commence le cycle des marches au chantier et des blocages des entreprises du tav. Et l’on voit déjà voler les premiers « fogli di via » (interdiction de territoire) et dénonciations. En juillet, le très fréquenté camping de lutte de Venaus est lancé alors que sur le chantier clôtures et barbelés sont renforcés. La marche nocturne du 19 juillet, le pic des affrontements de cet été, s’est terminée avec 7 arrêtés, 63 blessés graves, et les violences sexistes subies par Marta et donc par toutes les femmes No Tav, sous les yeux des deux procureurs qui persécutent la vallée. Et nous sommes déjà au mois d’août lorsque tombent les accusations de terrorisme et leurs subséquentes perquisitions aux aurores. A peine le temps d’organiser une contre-manifestation, qu’arrive la “taupe”.

La foreuse est introduite par petits bouts, camouflée en transports pas si exceptionnels que ça. Tandis que le camping de lutte déménage à Chiomonte, les No Tav s’organisent pour déranger au maximum les transports de la “taupe” avec des blocages-surprise. Afin de surveiller l’autoroute vers le chantier du tav, un nouveau presidio se crée au Vernetto, c’est-à-dire au rond-point de Chianocco qui a déjà été le lieu de rassemblements et d’affrontements dans le passé. Ce presidio devient très rapidement un nouveau point de convergence pour la lutte. Celle-ci est toujours aussi forte et peuplée ce qui dément les cris de victoire des sitav pour qui le mouvement serait divisé, affaibli et sans plus d’espoir de victoire après le passage du premier bout de la foreuse. Puis rapidement une nouvelle intervention de masse de la police le 6 août alors que nous nous approchions d’un camion sans doute effectivement à destination du chantier: 3 arrestations et 17 garde-à-vue. En parallèle les No Tav organisent et font vivre également un camp dans les bois de la Clarea, près du chantier, dans l’objectif de surveiller l’avancement des travaux de très près. L’opération de surveillance du chantier dérange au plus haut point et la magistrature décide d’arrêter Giobbe, un camarade (assigné à résidence après quelques semaines de prison) en utilisant les accusations les plus incongrues (séquestration de personne) pour des faits remontant à l’année dernière. Comme si les initiatives du mouvement pouvaient dépendre d’un seul individu et prendre fin par une arrestation ! L’été se clôture par les dernières “battitures” et petit-déjeuners/blocages devant l’entrée du Chantier route de l’Avanà et par la semaine d’ “Université des luttes” organisée par les étudiants à Venaus. Et par les dernières perquisitions et obligations de résidences à domicile tombées la semaine dernière pour 7 camarades en lien avec les blocages des camions en direction du chantier, de même que l’arrestation de Davide et Paolo deux étudiants toujours en prison actuellement et d’une voiture composés de trois français et deux russes, dénoncés mais libres.

Malgré le climat pesant, les campings de lutte ont été, cette année à nouveau, un point de référence et de rencontres pour tou.t.e.s celle/ux qui viennent de plus ou moins loin apporter leur solidarité, en prenant des risques judiciaires conséquents. Ces deux derniers mois nous avons rencontré de très nombreuses personnes provenant de tous pays. Toutes et tous prêt.te.s à donner de leur temps pour lutter, découvrir et comprendre le mouvement, discuter de ce qui est imposé à la Vallée de Suse, venus voir de leur propres yeux la dévastation en cours en Val Clarea.
L’autogestion est certes toujours une activité des plus absorbantes, toutefois les campings nous ont laissé le temps de créer des liens et de nous confronter sur nos ‘idées et pratiques, ce qui est l’expérience la plus enrichissante qui soit.
Nous savons créer ce qu’ils veulent détruire : notre capacité à nous rencontrer, à nous connaitre, à discuter et analyser ensemble des thématiques qui nous sont à cœur, à nous unir et lutter ensemble. C’est là est notre arme la plus puissante et la plus crainte.
C’est pour cette raison que nous voulons répéter notre inébranlable et totale solidarité aux camarades étrangers qui ont subi les mesures répressives inventées dans ce laboratoire judiciaire nommé Val de Suse.
Nous sommes bien conscients que le parquet de Turin utilise tous les moyens à sa disposition pour effrayer ceux qui viennent témoigner de leur solidarité Val de Suse sans pour autant vivre en Italie. Globaliser la lutte est une ambition qui fait trembler nos ennemis. Mais nous résistons et nous savons que nous ne serons jamais seuls. Nous exprimons notre gratitude à tou* celle/ux qui ont “sacrifié” leurs vacances et leur temps pour s’unir à la lutte No Tav, car nos raisons sont universelles.
L’expulsion imposée au pacifiste espagnol Enrique, tout comme les dénonciations à l’encontre d’Adrian, Sami et François et des deux camarades russes, n’arrêteront jamais ni la solidarité, ni la circulation des personnes et des idées.

Les No tav n’ont pas de frontière, vous n’arrêterez jamais un mouvement sans confins.

A sarà düra
Comité No Tav Paris
05/09/2013

Letta, segno più Pil entro anno

l’avesse detto il nano di Arcore avremmo assistito ai giusti rimproveri ovunque. Ma lo dice il presentabile Letta

Pubblicato il 04 settembre 2013 da redazione

ROMA – La svolta è vicina, tanto che già a fine anno si incomincerà a vedere ”il segno più”. Professa ottimismo sul futuro dell’Italia Enrico Letta, arrivando a San Pietroburgo per il G20 forte di una situazione dei conti che finalmente è ”sotto controllo” e che permetterà, se davvero arriverà la tanto attesa ripresa, di spingere sull’acceleratore anche abbassando ”il costo del lavoro”. Questo sarà ”l’impegno per il prossimo anno” per fare in modo che il lavoro ”torni ad essere centrale e prioritario”, assicura il premier, ricordando che l’orizzonte cui guarda l’esecutivo è di almeno 18 mesi.
http://voce.com.ve/2013/09/04/letta-segno-piu-pil-entro-anno/


Tutti in fila per attaccare la Siria

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Assad è cattivo punto e basta. Così ha deciso il pentagono e così gli sgherri con la penna e senza si impegnano ad indottrinare

Posted By Redazione On 5 settembre 2013

Notizie in breve
Attacco alla Siria: John Kerry, “la coalizione per la guerra si sta formando” [1]
Petrolio: le minacce alla Siria fanno volare a 115 dollari il Brent [2]
Cina: 100 tonnellate pesci morti in un fiume [3]
Usa: Manning chiede grazia a Obama [4]
Siria: al-Qaida attacca città cristiana [5]
Pakistan-Afghanistan: ok autobotti Nato [6]
Egitto: razzi contro soldati, 2 morti e 8 feriti [7]
Afghanistan, raid Nato: 1 morto [8]
 

Della serie “piu’ israeliani di Israele”: Ferrara, guerra a Siria giusta anche senza prove
Ferrara, guerra a Siria giusta anche senza prove [9]
 

ROMA (IRIB) – Uno dei principali “vassalli” del sionismo in Italia, autorevole penna al servizio del Mossad e di Israele, Giuliano Ferrara, ha affermato che la guerra alla Siria e’ giusta in ogni caso ed anche senza prove che dimostrino in effetti un coinvolgimento del governo nell’uso di armi chimiche.
Il direttore del Foglio a 24 Mattino usa un ragionamento contorto e difficilmente comprensibile che suona piu’ o meno cosi’: “Non accetto di impostare il tema della guerra in Siria sulla questione delle prove. Guerra e pace non sono oggetto di un dibattimento processuale. Il tema delle prove è un falso tema, il caso della guerra è sempre vero e falso allo stesso tempo, lo è sempre stato nella storia”. Probabilmente come tutti gli altri sionisti, Ferrara vuole la guerra alla Siria perche’ a suo avviso “e’ voluta da Dio” o perche’ serve a realizzare l’idea di dominare la zona che va “dal Nilo all’Eufrate” o perche’ concorda con altri scenari apocalittici e folli scaturiti dall’estremismo ebraico che si palesa sottoforma del pensiero del sionismo.

Haaretz: forti pressioni su Congresso da gruppi ebraici americani per attacco a Siria

Haaretz: forti pressioni su Congresso da gruppi ebraici americani per attacco a Siria [10]
TEL AVIV – Il quotidiano israeliano Haaretz rivela che negli Stati Uniti e’ in corso una vera e propria mobilitazione degli ambienti e delle lobby ebraiche per convincere i congressisti a votare si’ alla guerra ai danni della Siria.
Assad: l’uomo che ha quadruplicato il Pil e dimezzato la disoccupazione

Assad:l’uomo che ha quadruplicato il Pil e dimezzato la disoccupazione [11]
di Antonio Merolla.
L’informazione è spesso ridotta a manicheismo. Luce e ombra. O sei un eroe o sei un brutale dittatore. Bashar Al Assad rientra nella seconda categoria. Basta leggere i giornali per esserne convinti. Lo dice anche il segretario di Stato Usa, John Kerry. Assad ha usato le armi chimiche, Assad è come Hitler e Saddam.
Kerry dimentica che, quando Saddam uccise migliaia di esseri umani con le armi chimiche negli anni ’80, lo fece con la complicità degli Usa.

Anche Erdogan, premier della Turchia, sembrerebbe considerare Assad  come un Hitler colpevole di usare armi chimiche e spinge per un deciso intervento militare in Siria (“Non può trattarsi di un attacco-lampo della durata di 24 ore”).

Erdogan dimentica che nel 2010 lui stesso usò armi chimiche contro i curdi.

Ma Kerry non disse: “Erdogan è come Hitler”. E Obama non parlò di linee rosse superate.

Il premier turco denuncia da tempo l’utilizzo da parte di Assad di armi chimiche: “Ci sono pazienti che arrivano nei nostri ospedali che hanno ferite da armi chimiche”.

Ferite da armi chimiche? Secondo Kerry, Assad avrebbe usato il Sarin, un gas nervino che non provoca ferite e ustioni come i gas urticanti.

Erdogan evidentemente si confonde con le armi chimiche usate da lui, del genere che lascia segni visibili (FOTO).

Kerry ed Erdogan avrebbero dovuto farsi una chiacchierata. Torna utile per evitare di contraddirsi.

Bertrand Russell spiegava che bisogna giudicare basandosi sempre sui fatti e non su quello che ci piace o ci conviene di più credere. I fatti dicono che non è stato ancora dimostrato l’uso di armi chimiche in Siria e che, cosa più importante, nel caso in cui fossero state usate l’Onu ammette chenon è possibile stabilire chi è il responsabile.

Altri due fatti.

Bashar Al Assad, il brutale dittatore giunto al potere nel 2000, ha quadruplicato il Pil della Siria in 10 anni grazie a sostanziali riforme economiche di apertura agli investitori stranieri. Avete capito bene: dai circa 15 miliardi di dollari del 1999, il Pil della Siria è giunto a quasi 60 miliardi del 2010.

Forse di questo aumento di Pil hanno beneficiato soltanto i ricchi e i potenti? Potrebbe essere, ma il secondo dato ci fa credere che sia andata bene anche al popolo: la disoccupazione della Siria, sotto il governo di Assad, si è più che dimezzata scendendo dal 20% del 2000 all’8.3% del 2010. Più bassa che in Italia (attualmente oltre il 12%).

Ma evitiamo il manicheismo! Con i suddetti dati non voglio farvi ora credere che Assad sia un eroe, cadendo nello stesso errore di chi vuol farvi credere che sia un dittatore spietato.

Voglio invece farvi una domanda.

E’ credibile che il popolo di un Paese in evidente crescita economica voglia morire in una guerra civile? Parliamoci chiaro: il popolo non si ribella per motivi ideologici. Il  popolo si ribella contro chi lo affama. Non contro chi dimezza i disoccupati.

La tesi alternativa alla rivolta popolare è che la “guerra civile” in Siria sia in realtà fra Assad e truppe di mercenari finanziati da altre nazioni. Così la pensa Mimmo Srour, politico italiano di origine siriana: leggete la sua intervista alla giornalista Clara Salpietro e giudicate voi se è più o meno credibile della versione di Kerry, Erdogan e Obama.

newpedia

Fonte: Imolaoggi

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Navi militari italiane verso la Siria: Roma vuole partecipare alla guerra?

 Navi militari italiane verso la Siria: Roma vuole partecipare alla guerra? [12]
IRIB – Il cacciatorpediniere lanciamissili Andrea Doria e la fregata Maestrale si dirigono verso le coste siriane ma al governo nessuno sa di preciso perchè. Incredibile ma vero, e’ ciò che e’ successo nelle ultime ore in Italia.
La notizia e’ trapelata da fonti vicine ad ambienti militari e non ci sono state dichiarazioni ufficiali da parte del ministro della Difesa Mario Mauro. Il viceministro degli Esteri Lapo Pistelli invece ha detto di non sapere niente ma ha detto di ritenere che le due navi da guerra italiane siano partite per “partecipare a esercitazioni”. Il vice presidente della Commissione Difesa Massimo Artini (M5S) e il sottosegretario alla Difesa Gioacchino Alfano (Pdl) hanno invece chiesto “tempo” per acquisire informazioni in proposito.
Possibile che nel governo nessuno sapesse dell’invio di due navi italiane in zona di guerra? Da quanto appreso da “Il Sole 24 Ore” la Marina Militare è stata invece impegnata in una complessa operazione per predisporre alla partenza Doria e Maestrale, salpate il 2 settembre, per le quali non era prevista nessuna attività tanto meno addestrativa. L’ipotesi poi di effettuare esercitazioni in un’area che sta per essere interessata da operazioni belliche, non è credibile. L’invio delle due navi solleva dubbi sul coinvolgimento dell’Italia nell’attacco a Damasco. Il quotidiano il Sole 24 Ore invece ipotizza che rappresenti la volontà di proteggere da eventuali rappresaglie siriane il contingente di caschi blu italiani schierato nel Libano meridionale e privo di armi pesanti, antiaeree e antimissile. Il cacciatorpediniere Andrea Doria è infatti una nave concepita soprattutto per la difesa aerea grazie al suo radar multifunzionale a lungo raggio Empar e all’imbarco di missili Aster 15 del sistema PAAMS. A bordo delle due unità vi sarebbero quasi 500 militari, 425 appartenenti agli equipaggi normalmente previsti più numerosi tecnici e specialisti (forse anche distaccamenti di incursori e subacquei del Comsubin) la cui presenza potrebbe risultare necessaria a seconda di come evolverà la situazione.
Il 29 agosto era salpata dal porto di Tolone il cacciatorpediniere della Marina francese Chevalier Paul, gemello dell’italiano Doria ed è probabile che le due navi abbiano il compito di garantire congiuntamente l’ombrello protettivo contro rappresaglie effettuate con aerei o missili siriani nei confronti del quasi 1.200 caschi blu italiani e 866 francesi dislocati nel Libano meridionale. Le forze di Parigi assegnate alla missione Unifil sono più esposte ad eventuali attacchi rispetto ai reparti italiani (appartenenti per lo più alla brigata Pozzuolo del Friuli) dal momento che la Francia è in prima linea nel voler attaccare Damasco. Una differenza sostanziale tra Parigi e Roma riguarda invece la comunicazione. I francesi hanno reso noto subito l’invio della loro nave verso le coste siriane, da Roma invece silenzio assoluto. E pensare che il Ministero della Difesa aveva reso pubblica pochi giorni or sono la Direttiva per la comunicazione strategica.

 http://www.stampalibera.com/?p=66272


 

Venti di guerra: La Cina invia navi militari sulle coste della Siria

Secondo un rapporto pubblicato dal sito russo del Telegrafist.org, la Cina avrebbe inviato delle navi da guerra sulle coste della Siria per “osservare” da vicino la situazione di tensione creatasi tra USA e Russia a causa di un probabile attacco americano alla Siria previsto per la prossima settimana. Stando a quanto dichiarato dal notiziario infatti,
le navi cinesi non sono state inviate per ingaggiare combattimenti ma solo per “osservare” le azioni delle navi da guerra russe e americane. Il Cremlino da parte sua sta rafforzando la presenza della propria flotta militare nell’est del Mediterraneo. Nel frattempo i mass-media americani hanno completamente censurato le ammissioni dei ribelli siriani sull’aver fatto uso delle armi chimiche durante l’attacco del mese scorso.
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La Siria si prepara all’attacco degli Usa, possibili obiettivi le basi americane in Sicilia

http://www.resapubblica.it/it/?option=com_content&view=article&id=2850&catid=122&Itemid=637

E i siriani sarebbero in grado di bombardare la Sicilia? Con quali mezzi? E naturalmente le difese contraeree americane (ed italiane) starebbero a guardare!!!

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A Damasco, in Siria, il regime di Assad si sta preparando per un attacco degli Stati Uniti contro la capitale. Nonostante un probabile ritardo in qualsiasi azione militare, il governo siriano sta sollecitando evacuazioni civili, ha spostato i soldati in appartamenti vuoti ed emesso nuove minacce di ritorsione. Il New York Times descrive così la situazione attuale nel paese. 

Lunedì un alto funzionario siriano ha dichiarato che sia l’esercito siriano che il suo alleato Hezbollah, il gruppo sciita libanese, in caso di un’offensiva guidata dagli Usa avrebbero reagito attaccando le navi da guerra americane ora nel Mar Mediterraneo.

Riferendosi a Hezbollah come alla resistenza, Khaled Abboud, un membro del parlamento e confidente del presidente Bashar al-Assad, ha detto al Wall Street Journal: “La resistenza e le forze armate sono ormai nella mia valutazione un corpo solo, Hezbollah si schiererà con la Siria in alcune operazioni che hanno di mira le navi da guerra nel Mediterraneo”.

I preparativi del governo Assad sono continuati, nonostante la mossa dell presidente Barack Obama di chiedere al Congresso l’autorizzazione per attaccare, dopo che Washington ha affermato che Damasco ha ucciso più di 1.400 persone il mese scorso in un attacco chimico.

Il governo siriano ha messo in guardia i residenti invitandoli ad abbandonare le basi militari fuori Damasco, mentre le truppe hanno cominciato a posizionarsi per la prima volta nei quartieri residenziali della città che ospitano militari, impianti di sicurezza e uffici governativi.

Gli Stati Uniti, nel frattempo, stazionano nel Mediterraneo con cinque cacciatorpedinieri armati con missili da crociera e una nave anfibia con diverse centinaia di marines a bordo, in preparazione per possibili attacchi sulla Siria.

Fanno paura anche all’Italia, intanto, le dichiarazioni rilasciate al Tg1 da Hisham Jaber, generale libanese in pensione: “Obama ha parlato di attacco rapido, ma questo dipenderà dalla reazione di Assad.” Riguardo alla possibile reazione del regime siriano, ha poi aggiunto: “Il conflitto potrebbe allargarsi alle basi americane”.

E la Sicilia si trova in prima linea, con le sue sedici basi Nato sparse nell’isola. Certo, un attacco sul continente potrebbe avere conseguenze enormi anche per la Siria. Ma se il Papa lancia un appello contro la guerra, “Mai più guerra. Violenza chiama violenza”, questo monito fa intuire che il rischio di un conflitto più ampio del previsto non è un’ipotesi improbabile. Obama avrà tanto da pensare prima di fare ogni piccola mossa.

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Antifascisti tifano per la guerra in Siria

 FASCISTI E “COMUNISTI” ITALIANI A DAMASCO PER ASSAD

delegazione nazi
In questi giorni, è a Damasco una delegazione italiana del “Fronte Europeo per la Siria”, l’organizzazione transnazionale che tentò di organizzare un’adunata internazionale a sostegno del regime siriano a Roma lo scorso 15 giugno. Portavoce del Fronte Europeo per la Siria è Matteo Caponnetti, dell’associazione romana di estrema destra “Zenit”. Grazie alla mobilitazione degli antifascisti romani, del nascente Comitato di Solidarietà con il Popolo Siriano, di intellettuali, comuni cittadini e dell’organizzazione del Gay Pride, la Questura ed il nuovo sindaco Marino negarono la piazza ai sostenitori di Assad, costretti a rifugiarsi in uno spazio occupato da CasaPound, la stessa organizzazione che aveva ospitato diverse iniziative promozionali nelle settimane precedenti. Gli antifascisti e gli amici del popolo siriano, invece, manifestarono in Piazza dell’Immacolata, nello storico quartiere di San Lorenzo.
Ecco i componenti della delegazione rossobruna italiana in Siria a sostegno del dittatore siriano Assad.
Ouday Ramadan, “comunista”, nel senso di Partito dei Comunisti Italiani, di cui è stato anche dirigente in Toscana e consigliere comunale a Cascina, provincia di Pisa. Si ignora se Ramadan sia ancora iscritto al PdCI, ma lo scorso 8 agosto ha partecipato alla Festa Regionale toscana del PRC a Rosignano Solvay, in un dibattito con un membro dell’ambasciata siriana in Italia ed un membro del PdCI, il tutto coordinato da Alessandro Leoni, del Comitato Regionale del PRC toscano. Ramadan, conosciuto anche come “Soso”, è stato protagonista nei mesi scorsi di un tour in diverse sedi di CasaPound per promuovere la manifestazione di nazifascisti europei a Roma a sostegno del regime siriano. Non risultano prese di distanza del PdCI dal suo ex (?) esponente.
http://vicinoriente.wordpress.com/2013/09/04/fascisti-e-comunisti-italiani-a-damasco-per-assad/

ovviamente gli altri articoli sul blog riprendono tutte le veline Made in Usa del feroce dittatore assad che va immediatamente deposto, ovviamente con l’aiuto dei cari gendarmi liberatori


Farsi mettere in bocca le parole altrui. La lingua come arma

http://maxbonato.blogspot.it/2013/09/farsi-mettere-in-bocca-le-parole-altrui.html

2 settembre 2013

Gli italiani sono davvero bravi a farsi mettere in bocca parole altrui. Parole che sono perlopiù giudizi precofenzionati, atti a creare luoghi comuni. Parole che non aiutano a riflettere ma che disegnano una realtà già data, senza che si debba far tanta fatica a comprenderla, impigrendo nell’eloquio, ma ancor più nel pensiero già massivamente atrofizzato dalla sottocultura imperante.

lunedì 

 
Così Bill Gates riempì le guide in linea dei prodotti Microsoft del verbo “to position” e le guide invasero milioni di scrivanie con la traduzione “posizionare”. “Posizionare”, già esistente in italiano, estendeva i suoi possibili usi a quelli che la nostra lingua consentiva nell’ambito informatico ed economico a tutte le sfere dello scibile. Arrivati i personal computer nelle nostre case e con essi tutte le guide necessarie a usare i prodotti Microsoft, in pochi anni tutti si sarebbero “posizionati” anziché seduti, messi, disposti, collocati, sistemati, sdraiati, appoggiati, stravaccati. Non vi fu più oggetto allocato, dislocato, collocato, messo, posto, riposto, disposto, alloggiato, sistemato che non si potesse “posizionare”, banalmente e massivamente. 

Il Silvio nostrano ha poi inventato tutta una galassia di modi di dire, che immancabilmente e supinamente son 
finiti ad articolare discorsi. Ne fece una raccolta e un bel libro Gustavo Zagrebelsky, dal titolo Sulla lingua del tempo presente (Einaudi, Torino 2010).
In men che non si dica, un “sì” o un “no”, argomentati, non servirono più. “Assolutamente” bastò a cacciare il relativismo tipico di una riflessione ordinatrice del pensiero: non foss’altro perché ‘”ab-solutum”, il distacco totale, rende una risposta, ancor prima che apparentemente energica, distante da qualsiasi ragionevole dubbio, e dunque ripensamento. La “crisis” è bandita, viva la certezza: “Piove? Assolutamente!” È chiaro che un “sì” o un “no” suonino ormai mediocri di fronte a un “assolutamente”, da pronunciarsi possibilmente con sorriso grifagno, sicuro di sé e un po’ aggressivo quel tanto che non guasta.
Ma Silvio ci insegnò anche che uno Stato “mette le mani in tasca” e che è per sua natura truffaldino, mentre truffaldina era la gente che dello Stato intanto faceva cosa propria, depauperando dello Stato il senso, proprio in quello strumento democratico di ridistribuzione del reddito in termini di servizi che dovrebbe adoprarsi per un uso oculato delle tasse.
Del resto chi non “è sceso in campo” almeno una volta nella vita, o non “ha messo in campo” una qualche energia o attività o sapere? E allora giù, tutti a trattare la realtà come una partita di calcio nei più reconditi ambiti, dalla politica alla scienza, dall’informale chiacchierata alla pianificazione forestale, qualcuno ha messo in campo qualcosa, passando attraverso quella formula da calcio mercato sempre innovativa per la quale chiunque può inaugurare una nuova stagione della vita “mettendo in campo” se stesso per qualcosa, con quel cipiglio abruptivo e risolutorio del “Ghe pensi mi”.
Ma ogni giorno si impara a parlare, senza saperlo, perché appunto son altri che ci mettono in bocca espressioni con cui leggiamo poi la realtà, una realtà semplificata ad usum delphini se va bene. Ma non va mai bene: la realtà viene fatta leggere a seconda di come si fa parlare il popolo, a seconda di come si vuole che il popolo parli e pensi, perché è con la parola che si pensa, il pensiero è fatto di parole. E il pensiero, attraverso la parola crea una realtà che è giudizio.
Ecco allora in questi tempi sorgere un’altra batteria di parole, un fuoco di fila con cui si va creando una barriera di giudizio, prima che in sede penale per molti, per strada e nelle bocche degli italiani comunemente.
“Terroristi”. “Terrorismo”. “Eversione”. “Anni di piombo”. “Gruppo di fuoco”.
Sono le espressioni con le quali Magistratura e giornalismo han preso a trattare il fenomeno No Tav da qualche tempo.
Dopo aver dileggiato le dichiarazioni pubbliche ripetute in più sedi dal movimento No Tav di intendere perseguire la condotta indicata da personaggi come Ghandi e Mandela (“han scomodato persino Ghandi e Mandela” si leggeva sui quotidiani torinesi), il giornalismo nostrano ha creduto bene che il dileggio e la squalificazione non bastassero, bastando però far eco alla Magistratura che aveva dissotterrato parole e idee tabù, orribili e grevi. 
Dal dizionario (ed. Paravia) dell’insigne linguista Tullio De Mauro leggiamo:
“terrorismo” – “metodo di lotta politica utilizzato da gruppi rivoluzionari o sovversivi che, considerando impossibile conseguire con mezzi legali i propri fini, tentano di destabilizzare o rovesciare l’assetto politico-sociale esistente con atti di violenza organizzata”; ma anche “regime di violenza istituito da un governo per conservare il potere”.
“eversione” – “sovvertimento radicale dell’ordine costituito compiuto con atti rivoluzionari o terroristici”, e anche “abolizione, soppressione spec. di un’istituzione”.
Ora, se le dichiarazioni fatte dal movimento No Tav sono sempre state quelle di perseguire la lotta pacifista e il sabotaggio (afferente alla stessa lotta pacifica, come lo sono i blocchi stradali); se il sabotaggio a cose e non attentati alla persona sono stati eseguiti (e le indagini sono ancora in corso per stabilire chi abbia fatto che cosa), a fronte di una ventennale sordità delle istituzioni e al dileggio degli organi di stampa; se sabotaggio a cose è rimasto circostanziato a un ben preciso territorio in ordine a una ben circostanziata, ancorché complessa, tematica quale è quella della linea Torino-Lyon, il termine “terrorismo” è come minimo fuorviante, fuori luogo, errato, surrettizio e manipolatorio. Crea cioè una realtà altra da quella che il movimento No Tav vive sul proprio territorio e nella propria lotta, per orientare ad arte il giudizio di chi della vicenda sa poco o nulla. In quale misura si attenta alla persona? In quale misura si attenta allo Stato? In quale misura è stato messo in essere un programma di eversione?
È chiaro che passato il termine ”terrorismo”, scrivere di “gruppi di fuoco” è un attimo, lo stesso che un lettore ignaro, o poco più, impiega a focalizzare nel proprio immaginario squadre ben addestrate di guerriglieri armati fino ai denti e pronti a tutto. Perché è naturale che da un “gruppo di fuoco” ci si aspetta che si faccia fuoco, non fosse che “far fuoco” significa “sparare”, e stando alle dichiarazioni pubbliche del movimento, nessuno in Val di Susa è disposto a sparare a chichessia.

La cosa peggiore è che le parole han sempre un peso, e a non soppesare le parole che ci si mette in bocca si finisce per appesantire il proprio eloquio svuotando il cerebro già atrofizzato da tanta pigra mancanza di dimestichezza con la riflessione. Si finisce cioè per credere di esibire un pensiero proprio, originale, senza accorgersi di parlare per voce altrui, con un parlato che assomiglia molto più alla virgola Nike sulle scarpe con cui si fa gratuitamente pubblicità al marchio dopo aver profumatamente pagato il prodotto; solo che ai piedi restano le scarpe, in testa il vuoto. A scorrere forum e commenti agli articoli apparsi ultimamente la parola “terrorismo” e il suo agentivo “terrorista” compaiono in quantità preoccupante. Preoccupante è che la gente comune si faccia un’immagine distorta della realtà, ovvero quella di una lotta popolare che attraverso le parole viene criminalizzata e sbattuta in prima pagina su quotidiani e rotocalchi come si sbatte un delinquente o un mafioso. Eppure, mentre Magistratura e organi di informazione non danno cenno di comprendere appieno le parole della prima definizione che De Mauro dà di “terrorismo” (o forse è proprio perché la comprendono appieno che usano la lingua come arma a loro volta, come non bastasse il manganello dissuasorio), della seconda definizione il popolo valsusino avrebbe molto da dire e molto da raccontare: “terrorismo” – “regime di violenza istituito da un governo per conservare il potere”.
 
Massimo Bonato 02.09.13

Confiscato cinghiale radioattivo a Gudo

Da (ultim’ora):
http://info.rsi.ch/home/channels/informazione.html

4 settembre 2013

Un cinghiale appena catturato è stato sequestrato lunedì scorso a Gudo per la presenza di radioattività. Un cacciatore bellinzonese, riferisce Ticinonews, aveva ucciso l’animale sull’Alpe del Gesero, sopra Arbedo ma dai controlli effettuati dai funzionari cantonali è risultato che la concentrazione di Cesio 137 (370 nanosievert) erano il doppio del valore consentito. Il mammifero è stato quindi confiscato, previo indennizzo. Il fenomeno sembra intensificarsi nell’area insubrica, tanto che tutti gli animali cacciati vengono sottoposti a ispezione in fase di registrazione.


Ingiurie, alla sbarra la sorella del ministro Kyenge

perché non è un caso di razzismo questo? L’eguaglianza dei due pesi e misure?
Ingiurie, alla sbarra la sorella del ministro Kyenge

Foto Dora, energica e creativa

Tutto nasce da un furioso litigio con la vicina di casa albanese, presa a pugni

di Roberto Damiani

 Pesaro: Dora, la sorella del neo ministro Cecile Kyenge

 (Fotoprint)

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 Pesaro, 5 settembre 2013 – Arriva dal Congo, ma sembra aver preso subito il vizio italianissimo del “lei non sa chi sono io”Kapya Kyenge, 46 anni, residente a Pesaro, salita alla cronaca per essere la sorella del ministro all’Integrazione Cecile, vittima anche in questi giorni di attacchi ed intimidazioni a sfondo razziale, è stata rinviata a giudizio davanti al giudice di pace per aver bistrattato una vicina di casa albanese.

Entrambe vivono a Ginestreto, nelle case popolari dell’Erap. Il 18 aprile scorso, Kapya, conosciuta da tutti col nome Dora, avrebbe aggredito, sferrandole un pugno in testa, la vicina Aferdita Bquiri. E l’avrebbe inoltre ingiuriata con gli appellativi di tr… e put…, oltre alla frase “io ti ammazzo”. E soprattutto “…ho le spalle coperte, mia sorella è in Parlamento“.

Al che la vicina si è fatta accompagnare al pronto soccorso dove i medici le hanno riscontrato lesioni personali con prognosi di cinque giorni. Secondo il racconto della querelante, ci sarebbe stato anche un riferimento non certo gentile alla sua nazione d’origine, l’Albania. La presunta vittima dell’aggressione sia fisica che morale ha atteso un mese e poi ha presentato querela per lesioni, minacce ed ingiurie. La procura della Repubblica ha disposto la citazione a giudizio davanti al giudice di pace con richiesta di fissazione dell’udienza.

 Dora Kyenge è accusata di essersi abbandonata a questi atteggiamenti di violenza proprio nei giorni immediatamente precedenti l’arrivo della sorella ministro a Pesaro, quando venne a trovarla in città in concomitanza o quasi del voto di fiducia in Parlamento. Non è chiaro cosa abbia provocato la lite furibonda tra vicine ma è certo che non è stato un momento di rabbia subito sbollita. Anzi, la querelante ha annunciato che si costituirà parte civile nel processo e che intende perseguire la sorella del ministro fino a vederla condannare per quell’aggressione che dice di aver subìto. Il referto medico testimonia che il colpo è stato sferrato al collo della donna albanese.

 Nel maggio del 2008, Dora Keynge salì alla ribalta cittadina dopo aver chiesto aiuto alla Lega Nord per entrare nella casa assegnatele dall’Erap. In quel momento infatti, l’appartamento era stato occupato abusivamente da una famiglia marocchina. Dora, che di professione fa la commessa in un supermercato e arrotonda lo stipendio facendo la sarta, riuscì finalmente ad entrare in quell’agognata casa dopo circa due mesi di battaglia. E visti gli inizi, anche il rapporto di vicinato sembra seguire la stessa strada tormentata.

 Roberto Damiani

http://www.ilrestodelcarlino.it/pesaro/cronaca/2013/09/05/945092-dora-kyenge-processo-ingiurie.shtml

I sauditi a Putin: terrorismo sui Giochi se difendi Assad

chi meglio dei sauditi può impartire lezioni di democrazia e civiltà?

I sauditi a Putin: terrorismo sui Giochi se difendi Assad

di Giorgio Cattaneo – 04/09/2013

 Fonte: libreidee

 Tu chiamala, se vuoi, Terza Guerra Mondiale. Se gli Usa attaccano la Siria, dice lo stato maggiore libanese, Assad è in grado di reagire col lancio dei micidiali missili Iskander, che arrivano fino a 270 chilometri oltre i confini siriani. Peggio: in caso di attacco, Putin potrebbe far alzare i suoi caccia dalla base mediterranea di Tartus. Obiettivo: l’Arabia Saudita, grande manovale – sul terreno – della destabilizzazione pluriennale segretamente armata dagli Usa per rovesciare il regime di Damasco e assediare finalmente l’Iran. Nel braccio di ferro, anche i sauditi minacciano i russi: sui Giochi Olimpici di Sochi potrebbe incombere l’incubo del terrorismo. Inizialmente sottovalutata dai media, di giorno in giorno si rivela appieno la reale portata del drammatico appello lanciato da Papa Francesco: attenti, il mondo è davvero in pericolo. Nessun’altra guerra, negli ultimi cinquant’anni, presentava questi rischi di deflagrazione internazionale. Sullo sfondo, la resa dei conti tra Washington e Pechino per il controllo strategico delle risorse planetarie si sta avvicinando. E in Siria la partita è affidata largamente al terzo incomodo, la Russia, mentre per ora l’Europa resta a guardare.

 

Sottobanco, svelaCome Don Chisciotte”, c’è stata una dura vertenza proprio tra il Cremlino e Riyad. Qualche settimana fa, Putin ha incontrato lo sceicco saudita ultra-filoamericano Bandar Bin Sultan e lo avrebbe apertamente accusato di aver reclutato, armato e addestrato le milizie anti-Assad, che hanno cinicamente trasformato in sanguinosa guerra civile l’iniziale rivolta democratica contro la dittatura siriana. Prove in base a cui la Russia può considerare l’Arabia Saudita un nemico belligerante, con tanti saluti all’“intervento limitato” promesso da Obama, se è vero che i sauditi sarebbero protetti da un patto stipulato con Washington, che impegnerebbe gli Usa a difendere Riyad a condizione che i sauditi continuino ad accettare il dollaro come moneta internazionale per le forniture di petrolio. Si mette male, in ogni caso: il biglietto verde soffrirebbe se l’Arabia Saudita venisse direttamente coinvolta nel conflitto, e anche se all’ultimo si riuscisse ad evitare il peggio, perché – senza più guerra – è possibile che venga davvero realizzato il gasdotto Iran-Siria alternativo all’attuale “Nabucco”, destinato a rifornire l’Europa, via Turchia, del gas proviente dal Caucaso.

probabile: ulteriore erosione del dollaro.

Ipotesi, queste, che forse aiutano a comprendere l’interventismo Usa anche sotto forma di business: «Bombardare la Siria o qualsiasi altro paese è una questione di affari», scrive Kurt Nimmo su “Infowars”. «La prospettiva di lanciare bombe sopra Damasco riguarda il beneficio del complesso industriale militare: si tratta di aziende transnazionali e banche internazionali piazzate per guadagnare sia cifre oscene, sia potere politico senza precedenti sulla scacchiera geopolitica». Ormai, le voci sulla guerra guidano i mercati finanziari: «Questa settimana, le quotazioni del mercante di morte Raytheon hanno toccato i loro massimi annuali e le azioni della Lockheed Martin hanno raggiunto il massimo in sei mesi lunedì, giorno in cui è davvero iniziata la propaganda bellica». Vizio antico: «Durante le guerre napoleoniche», aggiunge Nimmo, «il banchiere Nathan Mayer Rothschild svolse un ruolo determinante nel finanziare gli sforzi bellici dell’Inghilterra», approfittando poi della vittoria di Londra a Waterloo per manipolare i mercati, rastrellando obbligazioni.

Oggi la situazione è molto peggiore, date le dimensioni globali dell’economia finanziarizzata e controllata dalle lobby oligarchiche: «Aziende e banche – molto più potenti rispetto ai giorni di Nathan Mayer Rothschild – guidano inevitabilmente alla guerra il governo statunitense», avverte Nimmo. «Il “sangue blu” John Kerry Heinz e il “lettore di gobbi” Obama, attentamente sistemato dalla Cia affinché diventasse il primo presidente nero – e quindi con più teflon addosso rispetto a Ronald Reagan – sono attori minori». Sogni d’oro, nel frattempo, da parte dei media mainstream: giornali e televisioni continuano a ignorare la smisurata massa di fonti indipendenti, anche occidentali, che raccontano un’altra verità sulla macelleria siriana, destinata a fungere da alibi per l’innesco della possibile guerra mondiale contro cui, dal Vaticano, si sta battendo Jorge Mario Bergoglio, evidentemente informato di prima mano sulla reale entità del pericolo e sulle vere responsabilità della tragedia in corso a Damasco. «Non ci hanno detto che tipo di armi fossero e nemmeno come usarle: non sapevamo che fossero armi chimiche», confessa una donna combattente del quartiere di Ghouta in un allucinante reportage realizzato per “Mint Press News” da Dale Gavlak, corrispondente dell’Associated Press dal Medio Oriente nonché docente dell’università di Chicago.

 Gavlak, riferisce Tyler Durden su “Zero Hedge”, ha raccolto le voci dei miliziani anti-Assad che ammettono di aver ricevuto armi chimiche. In più, i civili della zona colpita dai gas raccontano che la Ong “Medici Senza Frontiere” avrebbe ordinato ai propri sanitari di rifiutarsi di raccogliere le denunce dei feriti, presso i quali era diffusa la convinzione che le armi chimiche fossero state impiegate dai guerriglieri e non dall’esercito siriano. 

 «Mentre Obama dice di essere “certo” che gli attacchi chimici siano stati ordinati da Assad – ribadisce Durden – sta emergendo un quadro ben diverso, se si vuol dar retta alle interviste con i medici, con i residenti di Ghouta, con i ribelli e con le loro famiglie: molti credono che alcuni ribelli abbiano ricevuto le armi chimiche dal capo dell’intelligence saudita, principe Bandar bin Sultan, e che siano responsabili degli attacchi chimici».

 Del duro scontro a porte chiuse tra il plenipotenziario saudita e il presidemte russo ha riferito nei giorni scorsi un reporter giordano, Yahya Ababneh. L’uomo di Riyad avrebbe così minacciato Putin: «Posso garantire protezione sulle Olimpiadi invernali di Sochi, in programma del prossimo anno sul Mar Nero: i gruppi ceceni che minacciano la sicurezza dei giochi sono sotto il nostro controllo e non si muoveranno senza prima coordinarsi con noi». I sauditi dunque ammettono di controllare un’organizzazione terroristica che “minaccia la sicurezza” dei Giochi Olimpici 2014. «Forse – osserva Durden – la prossima volta che qualche gruppo legato ai terroristi ceceni bombarderà Boston, qualcuno chiederà all’Arabia Saudita, per lo meno, se ne era al corrente». Quattro settimane dopo, conclude Durden, siamo sull’orlo di una guerra totale. E senza che i grandi media, naturalmente, abbiamo fatto il minimo accenno a questi inquietanti, decisivi retroscena.