DES DJIHADISTES BELGES IMPLIQUES DANS DES CRIMES DE GUERRE ET DES TORTURES EN SYRIE !

Luc MICHEL pour Syria Committes Website /

Avec Het Laatste Nieuws – SANA  – PCN-SPO / 2014 02 17 /

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LM - SYRIA crimes de guerre djihadistes belges (2014 02 17)  FR (1)

La thèse des autorités belges, et singulièrement de la Ministre de l’Intérieur, est de minimiser le danger des jeunes djihadistes belges partis participer au terrorisme en Syrie. On sous-estime volontairement leur nombre : « une centaine » dit-on, alors qu’ils sont de 600 à 900 (le plus gros quota de l’UE). D’autre part, on réduit la portée de leur geste, évoquant comme le parquet anti-terroriste belge des « motifs humanitaires », ou encore des actes de soutien logistique.

Les familles, dont aucune ne s’est excusée auprès des victimes syriennes de leurs rejetons terroristes, vont dans ce sens. Et les autorités belges ne leur ont jamais expliqué que les djihadistes capturés, ils sont nombreux, seront jugés et lourdement condamnés en Syrie. Bref des enfants perdus qu’il faut ramener en Belgique, sans sanctionner leurs crimes en Syrie …

Je connais bien le dossier. En juin 2013, j’ai organisé en Syrie la seule mission parlementaire de l’UE qui est allé investiguer sur ce dossier. Et j’ai rencontré et longuement dialogué avec des djihadistes venus de France, d’Espagne et du Turkménistan.

 MASSACRES DE MASSE ET TORTURES : LES DJIHADISTES BELGES IMPLIQUES !

Voilà la réalité qui rejoint les mensonges du Gouvernement …

« Plusieurs jeunes combattants belges impliqués dans des massacres en Syrie », titre le quotidien flamand Het Laatste Nieuws ce lundi 17 février 2014, qui relate des CRIMES DE GUERRE selon les Lois internationales. Mais le mot fait peur aux médias belges.

« Plusieurs jeunes Belges partis combattre en Syrie sont impliqués dans des exactions de masse. Plusieurs combattants belges seraient impliqués dans un massacre ayant eu lieu ce week-end à proximité d’Alep. Selon un message et des photos postés sur Facebook par un ressortissant français qui côtoie ces Belges, ils auraient fait une nonantaine de morts. Les images d’une séquence diffusée sur YouTube montrent des victimes habillées en civil lors de ces exactions. Au moins une d’entre elles est torturée alors qu’elle est ligotée », écrivent Het Laatste Nieuws et Belga. Il ne s’agit donc de prisonniers exécutés, et pire encore des civils !!!

LM - SYRIA crimes de guerre djihadistes belges (2014 02 17)  FR (2)

 COMMENT LES INSTITUTIONS BELGES ET LES MEDIAS MENTENT SUR LES DJIHADISTES ?

Le dossier brûlant des djihadistes « venus de l’UE » participer à l’assaut terroriste en Syrie (mais aussi en Somalie) est l’occasion depuis des mois d’une intense manipulation des gouvernements de l’UE, membres de l’Alliance atlantique, et des médias de l’OTAN. Gouvernement belge en tête, l’un des plus concernés, sinon le plus.

Les médias belges parlent de « dizaines » de jeunes belgo-flamands et de « centaines d’européens ». Lourde sous-estimation !

Les sources sécuritaires syriennes m’ont donné lors d’une mission en Syrie mi-juin 2013 (avec des parlementaires du Parlement Flamand de Belgique) de tous autres chiffres : 7.000 à 9.000 djihadistes ‘européens’, dont 600 à 700 belges – le plus gros contingent avec les néerlandais -, dont de nombreux convertis européens de souche.

A cela s’ajoutent les filles – sujet de honte pour les familles et les islamistes radicaux – parties faire le « djihad par le mariage » (sorte de prostitution militante en fait) ou pire se former au terrorisme.

Les faits – pertes sur les fronts, arrestations, retours, scandales divers – démontrent sans cesse que les chiffres syriens sont les bons et pas les statistiques truquées de l’UE et des belges.

A cela s’ajoute le volet occulté du dossier par les médias de l’OTAN :

– officiers des Forces spéciales de l’OTAN encadrant les djihadistes (au moins jusqu’en juillet 2013, les turcs – que Washington avait tancé à ce sujet – continuant toujours l’encadrement). Des officiers belges, français, néerlandais, turcs, ont été arrêtés par l’Armée Arabe Syrienne à Qusseir début juin 2013 …,

– filières djihadistes sous contrôle des services spéciaux turcs (membre de l’OTAN).

Tout ce qui explique la frilosité des gouvernements de l’UE …

Le parquet fédéral anti-terroriste belge – dont le porte-parole dit par ailleurs « comprendre » les motivations des djihadistes (sic) – enquête sur des faits que les services spéciaux belges ont couvert et organisés, à un moment où les islamistes radicaux étaient les alliés de l’OTAN en Libye et en Syrie. Vous avez dit « duplicité » ? Ou plutôt « schizophrénie » ???

L’EXPLICATION DANS L’ALLIANCE DES DEMOCRATES-CHRETIENS DE L’UE ET DES ISLAMISTES TURCS DE L’AKP ?

Comment expliquer ces complaisances des autorités belges. Les Turcs ont stoppé les enquêtes, laissé passer des djihadistes belges mineurs malgré les alertes immédiates des parents, pire arrêté des mères belges à leur arrivée à Istambul. La collaboration où le « dialogue » entre Ankara et Bruxelles est une sinistre comédie. Et pour cause, jusqu’il y a peu, ce sont les services secrets turcs qui organisaient les fillières djihadistes jusqu’en Syrie. Y compris les infrastructures logistiques – armes, hôpitaux, argent, vivres – aux frontières syro-turques. Et les islamistes d’Erdogan le faisaient en accord avec certains services de l’OTAN, dont les Français.

Mais la complaisance belge est à chercher ailleurs. La Démocratie-chrétienne de l’UE, dont fait partie la Ministre belge de l’Intérieur, est liée par une alliance politique avec les conservateurs d’Erdogan. Le leader turc est chez lui à Bruxelles ou Berlin (CDU-CSU de Merkel), y tenant même des meetings et y encadrant les communautés turques immigrées.

Qui sait que l’AKP d’Erdogan est membre associé du ‘Parti Populaire Européen’, le PPE qui regroupe la Démocratie-chrétienne de l’UE ?µ

Luc MICHEL

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# Aller plus loin :

* Luc MICHEL / FOCUS / DJIHADISTES BELGES : AU-DELA DU SCANDALE, LA SALE GUERRE DE L’OTAN ET DE LA BELGIQUE AU PROCHE-ORIENT

sur http://www.syria-committees.org/luc-michel-focus-djihadistes-belges-au-dela-du-scandale-la-sale-guerre-de-lotan-et-de-la-belgique-au-proche-orient/

* SYRIA COMMITTEES / DJIHADISTES VENUS DE L’UE : LA TRAQUE COMMENCE EN SYRIE !

sur http://www.syria-committees.org/syria-committees-djihadistes-venus-de-lue-la-traque-commence-en-syrie/

NSA / ESPIONNAGE : LES DOCUMENTS À VENIR DE SNOWDEN VONT «CHOQUER

Agence TEM/ Trans-Europa Médias

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TEM - posts - ACTU Snowden Greenwald (2014 02 17)

Et un nouvel épisode du feuilleton du scandale de la NSA …

Glenn Greenwald, qui s’est notamment fait connaître en publiant des révélations sur l’espionnage émanant de l’agence de sécurité américaine, a confié à «Télérama» ses projets.

Le journaliste Glenn Greenwald, porte-voix des révélations d’Edward Snowden sur le système de surveillance cybernétique américain, affirme que plusieurs documents secrets en sa possession, et prochainement publiés, allaient «choquer», dans un entretien à Télérama paru début février.

«Je compte bien publier ces documents jusqu’au dernier», prévient dans cette interview le reporter de l’affaire Snowden, interrogé à Rio de Janeiro par l’hebdomadaire culturel français. «Je ne veux pas dire que le pire est à venir – les gens s’habituent à ces révélations – mais il y a plusieurs documents sur ce que collecte la NSA et sur la façon dont elle le fait qui vont choquer», déclare celui qui affirme être «assis sur une montagne de documents».

Avocat de formation, Glenn Greenwald avait collaboré au printemps dernier avec l’informaticien américain Edward Snowden à la publication d’une série de documents secrets révélant un vaste système de surveillance électronique mis en place par les Etats-Unis.

 DÉFIANCE A L’EGARD DES GRANDS MEDIAS

Contacté par des «journalistes du monde entier, qui veulent travailler avec (lui) sur les dossiers qui concernent leur pays» depuis ses premières révélations, Glenn Greenwald explique comment il collabore avec eux, même si c’est «extrêmement chronophage». «Légalement, je ne peux pas me contenter de leur donner ce qui les intéresse, parce que je me transformerais en source, et la justice pourrait me poursuivre pour recel. Je peux seulement être un journaliste, alors je dois contribuer à leur enquêtes, cosigner leurs articles», détaille l’ancien avocat.

Dans cet entretien, il revient également sur sa défiance à l’égard des institutions médiatiques dans lesquels il est, selon lui, possible de bien faire son travail «si vous êtes capable de le faire en dépit de l’institution et non grâce à elle».

Après sa démission du Guardian, il se consacre désormais au lancement d’un nouveau média financé par le fondateur d’eBay, Pierre Omidyar. «Il faut bâtir sa propre institution pour lutter à armes égales contre le gouvernement qu’on met à nu», estime-t-il. «Depuis, nous avons recruté une douzaine de personnes, dont trois travaillent à Rio avec moi. Nous ne cherchons pas uniquement des journalistes d’investigation spécialisés dans la sécurité nationale et les libertés publiques, nous allons également couvrir l’économie, l’écologie ou le sport, et ce qui compte, c’est la philosophie de travail», conclut Glenn Greenwald.

TEM / avec AFP / 17 février 2014 /

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CRITIQUE DE LA POLITIQUE FRANÇAISE EN AFRIQUE

Gilbert NKAMTO pour le CEREDD /

Centre Européen de Recherches et d’Etudes sur la Démocratie Directe /

2014 01 25 / CEREDD - GIL critique de la france en Afrique (2014 02 16) FR 1

L’Afrique d’aujourd’hui comme celle d’il y a un demi-siècle ne diffère pas ni selon l’époque (aucun contraste entre l’époque coloniale, des indépendances et de l’après-indépendance) ni selon la globalisation telle qu’elle a été orientée par les USA après la chute du Mur de Berlin le 9 novembre 1989 (démocratie : multipartisme, liberté d’expression, alternance).

L’Afrique et particulièrement l’Afrique francophone se retrouve après toutes ces années (entre 1945-2014), plus de 69 ans après  en train de subir les mêmes maux comme si le mauvais sort s’était juste  emparé de cette partie du continent. Comme conséquence, elle reste toujours en proie aux conflits politiques inespérés et empêtrés dans des guerres stériles qui accompagnent l’évolution de cette zone géographique africaine  vers l’abîme.

Ces régions  – Afrique CEDEAO, Afrique CEMAC- sont  des « zones volcaniques à forte intensité » dont le « cratère » porte le nom de France.  Dès que les volcans sont en activités, les séismologues c’est-à-dire les locataires de l’Elysée sont les seuls à pouvoir déterminer s’il faut ouvrir le cratère ou le fermer. Et au fil de l’histoire, depuis que, par le fait du chaos et des circonstances, l’Allemagne de Hitler a perdu la Seconde guerre mondiale, la France a continué à escamoter les richesses africaines, à avilir sa population et à conduire ces zones vers l’abîme.

Si pour certains Africains, la prière et l’abandon du « pour soi » sont devenus les seuls signes de résignation à la fatalité, si pour d’autres , le désir d’exister et donc de faire chemin avec la France par la traîtrise, le culte de soumission aveugle, la castration par des sectes venues de la métropole française pour bénéficier des faveurs de cette France orgueilleuse de son histoire coloniale, il n’en demeure pas moins que pour d’autres, il vaudrait mieux mourir en martyrs-héros que de se laisser animaliser par ces fauves humains de notre ère.

Aujourd’hui plus que jamais, la France devrait s’interroger sur sa place dans cette Afrique qui tend à vouloir prendre ses distances. Si elle ne sait pas s’interroger, il y a des raisons évidentes qu’il faudrait mettre au devant de la scène pour que cette France comprenne justement pourquoi, elle n’est plus la bienvenue en Afrique en général et particulièrement en Afrique francophone. Dans le cas contraire, le France ferait ce qu’aucun pays n’ait jamais fait dans son histoire, faire de toute la population française, une population militaire de sorte que, partout où un français se retrouve en Afrique, qu’il soit militaire… soit un militaire français pour un habitant africain et à ce prix, l’enjeu est énorme, le coût aussi.

CEREDD - GIL critique de la france en Afrique (2014 02 16) FR 2

QU’EST-CE QUI EXPLIQUE CETTE PRUDENCE AFRICAINE LA OU SE TROUVE LA FRANCE EN AFRIQUE ?

Ce que la France ne sait pas c’est que même dans les plus hautes sphères de décision au sommet des pays africains où elle a installé ses marionnettes, elle n’est pas la bienvenue. Pourquoi ?

1- La France ne respecte jamais ses engagements et elle ne donne pas l’occasion à ses pantins de promouvoir une politique visant l’intérêt général. Sa politique vise à duper ses vis-à-vis, à les calomnier, à les laisser tomber lorsqu’elle ressent une simple envie de vouloir faire mieux, ou de vouloir s’affranchir de sa tutelle pour le bien de son peuple. Elle aime être le devant et le derrière des Africains et de leurs pantins avec en prime qu’on l’appelle le bon samaritain qui vient au secours des pauvres, donc des Africains qu’elle appauvrit derrière ses politiques coloniales d’invasion et de prédation.

2- La France infantilise l’Afrique. Son enseignement qu’elle a su apporter à l’Afrique est l’histoire de Mamadou et Bineta qui apprennent à lire le Français. Ou le conte d’un blanc debout devant des jeunes nègres aux pieds nus, le ventre ballonné, portant des habits en haillons dans une salle de classe faite de pailles dans une brousse africaine où à un angle est accrochée une lampe tempête et en dessous, une table du maître portant le cartable et les ardoises des enfants nègres qui y ont dessiné en lettre les mots A, B, C… déformés. Dans ce processus d’infantilisation de l’Afrique depuis 69 ans, la formation intellectuelle qu’elle a pu donner à ses pays francophones de l’Afrique c’est : la métaphysique, l’Art et la culture, la religion, la démocratie, les partis politiques, les biens mal acquis ; sa formation scientifique, a été par-dessus tout le VIH-SIDA, la pornographie, les mauvaises mœurs ; sa formation agricole, culture du café-cacao, banane, hévéa et la déforestation, enfin sa formation industrielle, création des industries de bière et de vin de qualité… les exemples sont légions…

 COMME CONSEQUENCES DE CETTE INFANTILISATION DE L’AFRIQUE FRANCOPHONE …

a) lorsque dans la classe politique africaine il n’y a pas d’entente, au lieu de s’asseoir autour d’une même table pour trouver une solution comme les populations indigènes le font au quotidien sous l’arbre à palabres, elle se dirige à Paris pour y trouver une solution.

b) les maux les plus connus dans la santé publique c’est le VIH, les IST, et aujourd’hui, il est plus conseillé à l’Africain d’aimer et de s’accoupler avec son semblable du même sexe car c’est ça la modernité et la globalisation.

c) il faut que l’Africain s’investisse dans la culture du café et du cacao pour ne pas affamer la France qui ne vit que de la chocolaterie, idem pour l’hévéa pour faire tourner Michelin…

d) et après tous ses efforts, il faut s’enivrer dans l’alcool pour faire dormir l’esprit en paix et se relever le lendemain sans soucis… ainsi va la France en Afrique et lorsqu’on est malade, il faut prendre le vol – si le visa est permis – pour aller trouver des spécialistes de santé à la métropole française.

Pour la France, l’Afrique n’a été pensée que dans le sens de l’avilissement des mœurs et de la personne africaine et tout ce qu’elle a pu trouver pour elle c’est le rêve, la délation, le mensonge et l’humiliation écartant de la pensée noire toute logique de science, de technique et de la technologie qui soutient tout développement scientifique, industriel, économique et militaire.

Ce cliché qui a longtemps caractérisé l’Afrique francophone et  qui continue malgré tout de traduire le mal être de l’Africain est sans doute l’élément de trop qui fait dire à l’Afrique francophone, prophète France, ton règne est terminé.

Mais il y a des rêveurs qui continuent de croire dans les arcanes du pouvoir en France que l’Afrique d’aujourd’hui est celle du passé où elle viendra au prix du canon, des bombes, des assassinats ciblés, des génocides reprendre le contrôle de nos destins collectifs pour continuer à nous avilir et à nous laisser pour compte.  CEREDD - GIL critique de la france en Afrique (2014 02 16) FR 3

LA COMPOSITION DELA MAYONNAISE FRANÇAISE EST CONNUE DES AFRICAINS.

La France elle-même aujourd’hui est surprise de la réussite sociale africaine même si ce n’est que quelques exceptions africaines.

Certains colons français, qui avaient tourné le dos à l’Afrique dans les années 90, en menant des politiques hostiles aux jeunes Africains – à rappeler qu’avant 1990, la France était la première destination des Africains pour les études et le tourisme – savaient que l’Afrique était mal partie comme l’avait déjà démontré l’agronome René Dumont dans son livre « L’Afrique noire est mal partie » paru en 1962.

24 ans après, lorsque ces mêmes colons refont une visite en Afrique, ils s’étonnent que l’Afrique soit en train d’évoluer radicalement vers la voie de son émergence et de son développement tous azimuts : des autoroutes par ci, des infrastructures sociales par là, des unités d’industries qui naissent au quotidien, ce qui réveille accidentellement les fauves de leur sommeil.

Pour rappel, dans le ‘Rapport Védrine la France et l’Afrique’, Hubert Védrine, cet homme politique qui me rappelle tristement le sang des Rwandais, cet homme d’une perfidie énigmatique lorsqu’il aborde le sujet des Africains, cet homme célèbre en France mais qui pour nous autres Africains devrait être en train de croupir dans les geôles de la CPI, c’est cet homme qui revient à concocter la science de la reconquête coloniale africaine.  Lisons ce qu’il dit dans son rapport… feuilletons la page 96, au bas de page, il dit : « Aujourd’hui, il faut aller plus loin et plus vite. La relation économique avec l’Afrique nécessite une véritable remobilisation afin que la France retrouve sa place dans la compétition qui se joue en Afrique. Pour ce faire, la France doit pleinement assumer ses intérêts en Afrique. »

La France doit pleinement assurer ses intérêts… il faut alimenter les guerres, tuer, piller car il s’agit des intérêts de la France…

Justement, Hubert Védrine se trompe de l’époque. Il faut aller plus loin et plus vite mais où était-il depuis la deuxième guerre mondiale ou encore moins, depuis 1990? Ce monsieur se trompe car l’Afrique qu’ils avaient abandonnée s’est résolument tournée ailleurs et ses intérêts dépassent désormais le seuil de ses pantins positionnés en Afrique… il n’y a plus seulement des Africains formés en France, il y a des Africains formés en Afrique, en Asie, en Amérique latine, en Russie, en Chine et dont les visions sont diamétralement opposées à la chère France et à ses pantins préposés aux commandes de nos destinées.

 LA REVOLUTION ASYMETRIQUE

Les Africains gagneraient mieux désormais à coopérer ensemble et à dénoncer. La révolution africaine des Années 90 en marquant l’histoire africaine de son empreinte a ouvert un nouvel horizon à nos peuples. A sa marque, se sont ajoutées les nouvelles technologies et la télévision par satellite qui sont des points boomerangs de notre époque contre cette France imbue de sa puissance…  elles nous auraient mal servi il y a 24 ans mais elles nous servent aujourd’hui pour déballer au grand jour les œuvres macabres de cette France et de ses pantins sur le continent. Elle n’arrive plus à dissimuler ses preuves, elle ne sait plus comment et par où manipuler la jeunesse africaine notamment dans les pays où le taux d’alphabétisation a dépassé le taux de scolarisation de 65 à 80% de la population. Le gri-gri français est tombé dans l’eau.

L’Afrique doit être vigilante, les Africains doivent être vigilants car la France veut exploiter les prouesses de sa sale guerre en Libye pour prendre à contre-pieds les pays africains qui s’obstinent à ne pas suivre le meilleur exemple infligé à Laurent Gbagbo et à Kadhafi.

Si la France ne peut pas venir derrière les élections qu’elle a montées de toutes pièces avec ses collabos dans les territoires jadis ses zones d’influence, elle viendra par le soutien humanitaire aux manifestants. Elle a des tactiques obsolètes qu’elle utilise à tort ou à raison pour remplir son cahier de charge et l’une d’elle « la revendication pacifique des reformes », et la plus osée, c’est la lutte contre la contrebande ou l’islamisme ou l’islamophobie… comme si d’un revers, la France était devenu sauveur de l’Islam et des musulmans.

Dans sa tactique, elle équipe ses collabos sur le terrain et les arrange à porter soit les tenues militaires de l’armée loyale ou celles de la police, de la gendarmerie ou de la douane… pour vu que ce soit en rapport avec un organe d’oppression du gouvernement contre lequel elle a des comptes à régler.

Ses hommes, utilisent les armes contre la population, ils tirent à tout va et contre n’importe qui, qui peut se trouver là à ce mauvais moment… il y a dans cet élan, ses gens qui filment soit avec des téléphones portables ou des cameras qu’ils postent sur des réseaux sociaux anonymes qui sont repris par l’AFP, France 24, Euronews, etc. et l’opprobre est jetée contre le gouvernement ciblé… les morts sont comptés aux torts exclusifs du gouvernement. Ensuite arrive le pompier France soutenu par la ‘communauté internationale’ (le Conseil de sécurité des Nations-Unies) pour effectivement engager une mission humanitaire pour protéger la population civile… et c’est comme ça que la France se réinstalle derrière sa mission humanitaire et impose son pantin derrière une élection collée à la joue, qui nargue le peuple.

Voila comment la guerre humanitaire de la France s’est initiée en Libye, et c’est comme cela qu’elle va continuer à faire dans les pays qu’elle veut conquérir à tout ailleurs comme le recommande le génocidaire Védrine.

 OU LA FRANCE GAGNERAIT-ELLE A S’INSERER EN AFRIQUE ?

La première chose qu’attendent les Africains de la France, ce pays historiquement au cœur de la culture africaine après 1945, c’est le transfert de la technologie de la France vers l’Afrique et surtout dans les pays francophones. La France devrait savoir que le développement de l’Afrique est irréversible et qu’avant 2020, avec elle ou sans elle, l’Afrique devrait pouvoir transformer ses matières premières sur son sol.

La deuxième chose que les Africains attendent de la France c’est d’arrêter de torpiller les projets de développement de leurs pays. Que la France cesse de tricher, de mentir et qu’elle mette son expertise de puissance dont elle se réclame en jouant le jeu de la compétition des marchés en Afrique au lieu de venir en pilleurs, en bandits torpiller les marchés déjà engagés par d’autres pays notamment le Brésil, la Chine et l’Inde.

La France elle-même doit cesser de vivre sous le couvert de l’Afrique et se jeter dans la vraie quête technologique et scientifique en devenant comme par le passé, un pole incontournable de la recherche. Elle ne doit pas être quémandeuse des biens et des richesses des autres états (Qatar, Arabie Saoudite, Cote d’ivoire, etc…).

Il faut le dire, il faut le répéter, la France a tellement réduit les pays francophones africains au bas de l’échelle qu’elle a cru à un moment de son histoire que l’Afrique était son grenier. Dans sa mission, elle n’intéresse l’Afrique que lorsqu’il s’agit de faire miroiter la vie de rêves aux Africains à travers le PMU (pari mutuel urbain, course à chevaux), les pari-foot bref tout ce qui est fait pour dépouiller l’Africain de son être.

Cette France doit revoir une énième fois sa politique d’immigration tournée contre l’Afrique, elle doit considérer les pays africains comme des partenaires et non des dominés de l’histoire. Dans cette vision, l’Afrique sera la bienvenue à la France et aux citoyens français.

 ET L’AFRIQUE DES AFRICAINS…

Après la démystification de l’homme blanc par les Africains juste aux lendemains de la première et la seconde guerre mondiale, il n’y a plus de raisons valables pour que l’Africain continue de courber l’échine devant un Français. Ils ont fait les mêmes écoles, les mêmes sciences métaphysiques et ont soutenu les mêmes thèses. Il est question aujourd’hui que l’Africain accepte sa couleur de peau, sa nature et son environnement social et géographique pour se lancer dans la reconstruction de son patrimoine.

L’un des combats africains de notre ère, c’est le dogme culturel français. Les Africains doivent savoir que RFI, TV5, France 24, CFI et tous les instituts français en Afrique ne sont pas là pour révolutionner l’Afrique. Ils sont là pour détruire le tissu culturel africain et doivent être les premières cibles des Africains dans leur quête d’autonomie. A cela doit s’y opposer le boycott en valorisant les moyens culturels africains dans nos pays, nos quartiers et nos régions pour reprendre en mains nos destins collectifs.

L’éveil de la conscience africain est irréversible et l’Afrique plus que jamais doit faire dire à la France que sa ‘puissance africaine’ était celle d’une autre époque…

Gilbert NKAMTO (*)

Photo : Une Afrique qui prend conscience …

Couverture du CD ‘A bas la françafrique’. Compilation signée Céd’, avec plus de 70 artistes venus de la France, de Belgique, de Suisse, du Gabon, de Guinée, du Maroc, du Togo, de Côte d’Ivoire, du Sénégal … STOP A LA FRANCAFRIQUE et à toute forme de colonisation !!

http://www.lucmichel.net/2014/02/16/ceredd-critique-de-la-politique-francaise-en-afrique/

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(*) www.gilbertrocheteau.blogspot.com

Correspondant du CEREDD à Tripoli, puis Yaoundé.

Secrétaire général du Conseil Panafricain du MDPR /

Mouvement démocratique panafricain pour la renaissance

www.mdpr.populus.ch

Administrateur d’EODE Zone Afrique

www.eode.org

https://www.facebook.com/EODE.africa

Ecco la Porta per il Paradiso: 99 tornanti e 999 gradini. Si trova a…

http://www.viagginews.com/2014/02/13/ecco-la-porta-per-il-paradiso/

giovedì, febbraio 13th, 2014 | Posted by 
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In viaggio verso la porta del paradiso/Roma – Vicino alla città di Zhangjiajie, nella provincia di Hunan, in Cina, c’è il Monte Tianmen, noto anche come la Porta del Paradiso. Per raggiungere la sua cima bisogna percorrere dapprima una strada (Tongtian, che vuol dire Viale verso il Cielo) ricca di vertiginosi tornanti, 99 in tutto, percorsi i quali bisogna inerpicarsi per la cosiddetta scala verso il cielo (Tianti), composta da999 gradini. Per salire su questa gradinata occorre tanto coraggio poiché lo sforzo è elevato. Per fortuna, però, questa fatica è largamente ricompensata dalla vista spettacolare di cui si gode una volta arrivati a destinazione, dove, oltre a un tempio buddista di 550 anni, si trova il meraviglioso arco di roccia naturale, profondo 70 metri e largo 30 metri, che, secondo i cinesi, sarebbe l’ingresso per il Paradiso.

Per tutti quelli che non se la sentono di mettere a dura prova il proprio corpo nel percorrere la strada tortuosa è possibile approfittare della funivia che percorre 7,5 chilometri accompagnando i suoi passeggeri proprio ai piedi della Tianti. La funivia, sospesa a 1280 metri, è dotata di 98 cabine ciascuna delle quali può ospitare 8 persone ed è studiata contro le tempeste e i terremoti. Impiega circa 20 minuti dalla città alla cima e offre uno spettacolo unico e indimenticabile. Il biglietto costa circa 30 euro e comprende viaggio andata e ritorno più il servizio navetta all’interno del parco.

Guardiamo insieme un suggestivo video che ci mostra la meraviglia di questo luogo incantato.

Cattura

Milano, No-Expo contro le ‘Vie d’acqua’: “Bloccheremo i cantieri in ogni modo”

Centinaia di persone sono scese in strada a Milano per protestare contro “la devastazione dei parchi pubblici che comporterà il progetto delle Vie d’acqua”: un’opera accessoria a Expo 2015 costituita da una serie di canali “realizzati a spese del verde cittadino”, attaccano i comitati. Il sistema inizialmente doveva essere navigabilee portare i visitatori dalla zona della Darsena, a ridosso del centro cittadino, sino all’hinterland: a Rho Fiera, luogo dell’Esposizione universale. Una soluzione tramontata quasi subito. “Così le vie d’acqua rimarranno solo una bella scenografia che peserà sull’ambiente e sul portafoglio dei contribuenti”, denunciano i No Expo che avvertono: “Bloccheremo i cantieri in ogni modo”  di Fabio Abati

E’ GIUNTO IL TEMPO PER UNA “GRANDE RICONVERSIONE BIOLOGICA”

Posted By Gianni Tirelli On 14 febbraio 2014

Lo scollamento radicale dell’uomo dalla terra, è la sola e vera causa della tragedia umana, morale e di civiltà che, presto, esploderà in tutta la sua potenza con tutte le conseguenze del caso.
Per tutto questo (con il senno di poi) avremmo dovuto investire in beni duraturi, essenziali e non soggetti a contraffazione, immuni da ogni possibile interferenza industriale che ne potesse contaminare la loro natura.
Il lavoro industriale non paga, contamina l’ambiente, annulla l’individuo, deprime ogni sua aspirazione e passione, fino a ridurre la sua esistenza a luogo di espiazione, e in supina accettazione di una condizione innaturale dove è degradato ad ingranaggio, funzionale solo ai ritmi produttivi e ai profitti del Sistema Padrone – E quel che è di peggio, ci imbruttisce e ci incattivisce, rendendoci refrattari ai bisogni degli altri e sempre più vulnerabili al dolore e alla malattia”
BASTA DUNQUE CON LE POLITICHE INDUSTRIALI!
E’ giunto il momento di un massiccio ritorno alla Terra, e di pacificazione con la natura.
L’uomo che non possiede terra e non dissoda, non semina e non raccoglie i suoi frutti benedetti, non può considerarsi tale, ma elemento improprio di un habitat in cui non si riconosce, lontano da quel disegno imperturbabile che, dall’origine, regolava e monitorava i comportamenti umani, armonizzandoli fra loro.
Questa inedita specie di uomo “moderno”, è come un’ape senza fiori, un pesce senza mare, un albero senza radici, un uccello senza cielo, una religione senza Dio, un cuore senza passione, una vela senza vento.

Non siamo che gli ingranaggi consunti e arrugginiti, di un meccanismo perverso e pervertito, i cui costi, relativi alla sua manutenzione e alla bonifica di tutte le scorie tossiche prodotte e disperse sul territorio dall’Industrialesimo Distruttore, superano di gran lunga i benefici apportati alla comunità (nel senso di qualità della vita e di felicità), e gli stessi guadagni.
La capacità di sognare, di amare, di credere e di sperare, è prodotto di quel rapporto simbiotico (scambio mutualistico) che, da sempre, l’essere umano ha avuto e coltivato con la Terra, madre indiscussa del nostro destino. Una Terra oggi, straziata, vilipesa, violentata e stuprata, da un’orda di diavoli dai bianchi colletti e cravatte chiassose, che hanno mercificato con Satana, il sangue e il futuro dei nostri figli, a fronte di vizio e di perversione.
Una buona parte del vecchio mondo ha resistito fino a 50/60 anni fa, dopo millenni in cui l’uomo (quello veramente sapiens) traeva ogni suo sostentamento, vera gioia, e vero dolore dalla Madre Suprema; la TERRA. Le nostre paure più perverse, attacchi di panico, depressione, le infinite forme nevrotiche e altro ancora, non sono che il risultato di questo scollamento fra uomo e natura. Le tradizioni, il rito magico, l’iniziazione, il folclore, il timore dell’inconoscibile, erano le fondamenta etiche di un vivere consapevole. Oggi siamo sommersi dal Nulla e avvolti in un dolore pungente dal quale non ci sappiamo liberare.
Non servono farmaci, droghe, effimere libertà, per lenire il nostro dolore esistenziale! E’ giunto il tempo della Grande Riconversione Biologica; abbandonare le città per affondare le nostre mani nella terra – zappare, seminare, raccogliere e, in fine, sperare. Questa, è la sola e vera conoscenza, medicamento e cura, per tutti i nostri mali: ritrovare la nostra vera essenza, le emozioni, le atmosfere, la magia, il silenzio e la Fede, senza la quale, nulla ha un senso.
La nostra epoca, è moderna caratterizzata da un’idolatria di quart’ordine, dove si mitizzano star della musica, calciatori, piloti, attori, politici nani, zoccole e imprenditori inquinatori, e dove il concetto di “divino” è stato per sempre cancellato da ogni azione umana, sentimento ed emozione. Una portata di fuoco diseducatrice e mistificatrice, che il Sistema Bestia ha messo in atto per mercificare (senza più alcun ostacolo di natura etica e morale), la sua effimera e insanguinata mercanzia.

Il mondo contadino del passato (che rappresentava un buon 99% della popolazione), era caratterizzato dall’autonomia e dall’autosufficienza, e ogni singolo o gruppo definiva e determinava una sua “ragion d’essere”, sulla soddisfazione dei bisogni primari ed essenziali, relativi e dipendenti al territorio; alla sua capacità di produrre beni e privilegi (acqua, fertilità, energia) e sulla spinta propulsiva di consolidate tradizioni e ataviche credenze.
La forza di volontà, che in passato aveva la funzione, lo scopo, e la potenza di produrre diversità e merito, è venuta meno, per trasfigurare in omologazione e supina accettazione.
Il Sistema, del resto, campa proprio in virtù dei nostri comportamenti irrazionali, e su una conclamata stupidità della gente che, nel tempo, è trasfigurata in un’inedita forma di schiavitù dai bisogni virtuali, del tutto inefficaci e sicuramente devastanti per la salute.
Abbiamo perduto quella conoscenza di base che, un tempo, era sinonimo di autonomia, di autosufficienza, e dove l’individuo era unico e solo artefice e responsabile della propria condizione.
Questi sacri doni che, fin dall’alba dei tempi, hanno determinato la condizione umana e le sue imprescindibili e originarie ragioni, si attestano negli elementi di, Terra, Acqua, Aria e Fuoco, in virtù di un quinto, fondante, creatore e generatore di ogni cosa che, nella Fede, esprime tutta la sua potenza e natura trascendente: Dio.

Gianni Tirelli
http://www.stampalibera.com/?p=71232

Dubai, milionari costretti a salire a piedi grattacielo di 108 piani: bollette non pagate

Il proprietario del Burj Khalifa, l’edificio più alto del mondo, minaccia di chiudere gli ascensori ai proprietari “morosi”
Il Burj Khalifa di Dubai è la torre dei grandi numeri. E dei primati. Con i suoi 828 metri d’altezza e 163 piani, è il grattacielo più alto del mondo. 57 sono gli ascensori. Oltre 900 gli appartamenti privati – lussuosissimi – tra il 12esimo e il 108esimo piano. Qui risiedono alcuni degli inquilini più ricchi del pianeta. Tuttavia, a causa di una disputa sulle bollette non pagate, il proprietario dell’edificio minaccia di spegnere l’ascensore. I milionari saranno presto costretti a salire a piedi per 108 piani? Nel frattempo, agli inquilini morosi sono state bloccate le schede d’accesso per i loro appartamenti.

MILIONARI – Ottocentoventotto metri di cemento, acciaio e vetro. Col ristorante più alto del mondo e la torre di osservazione più alta del mondo, il grattacielo è dal 2010 il simbolo della megalomania degli sceicchi arabi. L’affitto annuo per uno degli appartamenti più piccoli (da una stanza) si aggira sui 55.000 dollari e, nonostante la maggior parte degli inquilini siano tutti imprenditori milionari, ricche star dello showbiz o magnati del petrolio, si litiga per le spese accessorie. Queste corrispondono a circa 25.000 dollari all’anno che, a quanto sembra, alcuni inquilini e proprietari si rifiutano di saldare.

CARTA BLOCCATA – Come riporta tra gli altri la rete Cnn, alcuni inquilini sarebbero in mora da anni col pagamento delle tasse per i vari servizi del «condominio». Qualche settimana fa la Emaar, la società costruttrice e proprietaria dell’edificio, ha perciò spedito una missiva agli affittuari e proprietari degli appartamenti: se non vengono saldati i debiti verranno eliminati alcuni servizi. Tra questi: il funzionamento dell’ascensore e l’aria condizionata. In altre parole: i milionari sarebbero costretti a salire a piedi, per le scale, fino al 108esimo piano. Per ora, riferisce il sito Emirates 24|7, agli inquilini e proprietari morosi è stata disattivata la scheda per accedere agli appartamenti, al servizio di portineria, alla palestra, alla piscina e alla «party area».

16 febbraio 2014

http://www.corriere.it/esteri/14_febbraio_16/dubai-milionari-costretti-salire-piedi-grattacielo-108-piani-bollette-non-pagate-e54fb39c-9726-11e3-bd07-09f12e62f947.shtml

La nuova vita dell’ex imprenditore «Ora il mio ufficio è il marciapiede»

nella monarchia di Re giorgio, capitanata da tagliola Boldrini i soggetti deboli sono le banche che meritano TUTELE

La storia di Enzo, otto ore al giorno davanti alla Rinascente: «Quello che è successo a me potrebbe capitare a chiunque»

L’orario d’ufficio se l’è scelto da solo, ma non si fa sconti: dalle 12 alle 20, pioggia o sole, inverno o primavera, Enzo «il guerriero» Prosperi è sul marciapiede della Rinascente. Un cuscino a righe infilato in una borsa di corda, uno zainetto nero di marca, la ciotola dell’acqua per i cani, un barattolo per le offerte: «Non faccio questo lavoro per i soldi – sorride -, ma per dimostrare dove può finire un imprenditore onesto».
Gli abiti un po’ consunti, ma eleganti. «Non ne compro da tempo, sono quelli che mi sono rimasti dalla vita precedente o che mi hanno regalato: ci tengo molto a vestire bene». La cravatta di seta, la camicia azzurra, la giacca che esibisce una griffe famosa. Direttamente dalla scrivania al lastrico. Un cartello plastificato, incollato a terra con lo scotch dichiara in stampatello: «Imprenditore rovinato dalla cattiva politica e dalla legge che non è uguale per tutti».

Da funzionario Fininvest a clochard
LA SOLIDARIETA’ DEI PASSANTI – Un uomo, due cani e un messaggio che attirano i passanti. «Anche io ho subito angherie – si avvicina un signore, ben vestito pure lui -, voglio parlarne un po’ con lei…». Enzo, praticamente, è qui apposta: «C’è gente che addirittura viene a chiedermi consigli». Si ferma, riflette: «La cosa più devastante quando uno perde il lavoro è che non sa a chi rivolgersi. E si attacca pure a una persona come me…». Gli si incrina la voce: «Riesco a fare molte cose per gli altri, ma niente per me stesso…».

Il capo della sicurezza della Rinascente lo conosce, anzi gli è amico, «brava persona», dice ammirato. Una signora chiede di potergli scattare una foto col cellulare, una aspirante videomaker gira qualche immagine, segna il suo numero di cellulare e promette di richiamarlo, dei ragazzini accarezzano Lolly, il pechinese nano che scodinzola libero. Boris, che è un chow chow più impegnativo, ma ugualmente socievole, resta invece al guinzaglio, legato a una gamba di Prosperi. «La mattina mi sveglio presto per accudire i cani, portarli al parco. Poi sistemo la mia casetta, verso le 12-13 sono qui in ufficio», tra i portici e il selciato del corso Vittorio Emanuele.

I TEMPI PIU’ BUI – È andata anche peggio in passato, «per un anno ho dormito in un cespuglio; di andare al dormitorio o a mangiare alla mensa dei poveri non se ne parla, io non sono un barbone». Ma in qualche modo, a sessantun’anni, s’è ritrovato a terra. Lui racconta di essere stato dirigente di una rete televisiva, tanti anni fa, di aver lasciato dopo una malattia e di essersi trasferito con la moglie in Toscana, in provincia di Arezzo. Lì ha aperto un centro di produzione tv, poi un supermercato. Quindi, sostiene, ha incontrato della brutta gente, dei truffatori, anche pericolosi, ed è stato coinvolto in una vicenda legale complicata e, a sentir lui, molto ingiusta. Che al principio nel nuovo millennio l’ha lasciato pregiudicato, disoccupato e separato. Lontano anche da figlia e nipote, rimaste in Toscana.

GLI AMICI SU FACEBOOK – «Dal 2000 ho cercato qualunque tipo di lavoro». L’eloquio è forbito , l’accento di un milanese leggero. «Eppure ho solo la licenza media: ma ho studiato all’università della vita». «Guerriero» l’hanno chiamato gli amici su Facebook. Con le esperienza più varie: «Sono maestro gelatiere e pasticciere». E quando se lo può permettere, grande cuoco di paella e crema catalana: «Mi piace molto cucinare, ho una passione per le ricette spagnole, preparo anche la sangria». Nel suo piccolo appartamento in prestito. «In questi anni ho incontrato molte persone che mi hanno aiutato». Soprattutto, colleghi: «Ho vissuto della solidarietà imprenditoriale». E allo Stato che denuncia che cosa chiede? «Di prestare attenzione agli imprenditori, prima che si suicidino. Per me non voglio aiuti: ho scoperto che mi piace non avere più niente, mi dà la libertà di fare qualunque cosa».

14 febbraio 2014
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http://milano.corriere.it/milano/notizie/cronaca/14_febbraio_14/nuova-vita-dell-ex-imprenditore-ora-mio-ufficio-marciapiede-239bb78e-9553-11e3-9c90-b9ccf089642e.shtml

Via la divisa? Mi sa di no, Federico

http://ilmanifesto.it/storia/via-la-divisa-mi-sa-di-no-federico/

Cattura
Non penso occor­rano molte parole, dopo aver guar­dato que­sto video.

Fer­rara, sabato, era piena di gente scesa in Piazza e nelle strade per chie­dere — ancora una volta — giu­sti­zia per Fede­rico Aldro­vandi, ucciso a 18 anni.

.“Fin da bam­bino e da ado­le­scente la vio­lenza fisica mi ha sem­pre tur­bato; addi­rit­tura con una scena forte ma di fin­zione nei film alla tv, capi­tava che cam­biassi canale. Pro­vavo un senso di fasti­dio sapendo che erano cose che pote­vano suc­ce­dere dav­vero. Non riu­scivo a con­ce­pire il per­ché una per­sona arri­vasse ad usare le sue mani, i suoi piedi, la sua fero­cia per fare del male a un’altro essere vivente. Mi dicevo: “che senso ha?” Oggi io penso che chi usa la forza in maniera con­sa­pe­vole e pro­vo­cando dolore senza pen­tir­sene è una per­sona deviata e non si merita com­pren­sione da nes­suno. Mio fra­tello è morto a pugni, calci e man­ga­nel­late per mano di 4 vio­lenti in divisa non pen­titi. Tali respon­sa­bili ripren­dono il loro lavoro dopo una con­danna di omi­ci­dio. La domanda è sem­pre la stessa: che senso ha?”
.
 Que­sto scri­veva Ste­fano Aldro­vandi, qual­che giorno fa.
.
Un fiume di per­sone, mille secondo gli “altri” gior­nali, ben di più — quasi cin­que­mila se si guar­dano le foto del cor­teo nel video qui sopra — che ne descrive fedel­mente la forza, è sceso in piazza:
– per chie­dere la desti­tu­zione dei 4 poli­ziotti con­dan­nati (per omi­ci­dio col­poso) per la morte di Fede­rico Aldro­vandi;
– per chie­dere l’introduzione del numero iden­ti­fi­ca­tivo – per gli appar­te­nenti delle forze dell’ordne;
– per chie­dere l’introduzione del reato di tortura.
.
“Voi tor­nate in divisa, io resto dove mi avete man­dato” dice lui, il Fede­rico, come con­ti­nuano a chia­marlo i suoi amici. Anche quelli — e sono tan­tis­simi — che lo cono­scono solo da dopo che è stato ucciso. Sim­bolo delle vit­time di una vio­lenza che arriva da dove non dovrebbe arri­vare. Mai.
Federico
Fede­rico
(gra­zie all’Asso­cia­zione Fede­rico Aldro­vandi onlus per il mate­riale)
.
Via la divisa? Eh, mi sa di no, Federico.
Con­ti­nue­remo a chie­derlo, a urlarlo in tutti i luo­ghi. Ma que­sti mi pare che siano abba­stanza sordi. Per ragioni di servizio.
Due man­ga­nelli ven­nero rotti sul suo corpo. «La mag­gior parte dei man­ga­nelli della Poli­zia sono vecchi».

Perché il Muos è una partita aperta

http://comune-info.net/2014/02/muos-una-partita-aperta/

 | 17 febbraio 2014 | 

Chi pensa che la costruzione dell’enorme impianto di comunicazione satellitare di guerra della marina Usa a Niscemi, di cui i “grandi” media non parlano più, sia una questione chiusa si sbaglia. Non si tratta solo di attendere i risultati di cinque ricorsi al Tar a fine marzo o la mozione parlamentare contro il Muos, ma di prendere atto che calpestare il parare e la dignità di migliaia di uomini e di donne, stracciare i diritti della Costituzione, reprimere con violenza il dissenso hanno provocato la nascita di un movimento grande quanto determinato, che non si limita al territorio siciliano. E che il primo marzo si riprende le contrade di Niscemi

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di Nello Papandrea

Da poche settimane sono stati ultimati i lavori di costruzione del Muos di Niscemi, intanto si moltiplicano gli sforzi di tutti coloro che contrastano l’enorme impianto di comunicazione satellitare globale della marina statunitense. Ma allora, ci sono ancora speranze? Da un punto di vista legale, spiegano gli avvocati, la partita è ancora apertissima. Da un lato, si attende la decisione del Tar di Palermo sui ricorsi pendenti, dall’altro, si studiano nuove possibili azioni e si aspetta il deposito di una mozione parlamentare.

Per quanto riguarda il primo profilo, innanzi al Tar Palermo pendono cinque ricorsi riguardanti sostanzialmente tre problematiche: l’illegittimità delle autorizzazioni ambientali rilasciate dalla Regione (Ricorso avviato dal Comune di Niscemi nel 2011); la richiesta di annullamento da parte del ministero della Difesa delle revoche delle autorizzazioni operato dalla Regione il 29 marzo (si tratta di due ricorsi del ministero notificati ad aprile 2013); infine la richiesta di annullamento della revoca regionale datata luglio 2013 delle revoche della autorizzazioni ambientali del 29 marzo 2013 (si tratta di due ricorsi, il primo nato da una collaborazione Legambiente-Coordinamento dei Comitati No Muos, il secondo del Movimento No Muos Sicilia).

Per la decisione definitiva su tutti i ricorsi è stata fissata l’udienza di discussione del prossimo 27 marzo. Pur non potendosi azzardare previsioni, tuttavia secondo i legali No Muos le risultanze probatorie avvalorano la fondatezza delle tesi da loro sostenute. In particolare, la verifica compiuta da Marcello D’Amore, docente dell’Università di Roma “La Sapienza”, ha evidenziato come le autorizzazioni ambientali rilasciate dalla Regione fossero prive di rigore, su alcuni punti palesemente erronee e non rispettose delle norme che regolano la materia.

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Così da giungere a conclusioni inattendibili, soprattutto riguardo la mancanza di pericoli per la salute umana, per l’ambiente e per il traffico aereo dei vicini aeroporti. Del resto, l’illegittimità delle autorizzazioni è stata riconosciuta dalla Regione che, tramite l’ufficio di Presidenza, è intervenuta nel ricorso del Comune di Niscemi a sostegno delle ragioni del Comune e ha successivamente “revocato” le autorizzazioni. Tale revoca, essendo basata su vizi di legittimità e di istruttoria delle autorizzazioni, deve qualificarsi, per i legali del Coordinamento dei Comitati No Muos, come autentico “annullamento in autotutela”, con la conseguenza che è illegittima la successiva “revoca delle revoche” del 24 luglio (con l’ulteriore effetto che la realizzazione delle opere è stata eseguita in modo del tutto abusivo).

Inoltre, non può avere efficacia sanante il parere dell’Istituto Superiore di Sanità che, al suo interno, contiene la dichiarazione di non utilizzabilità a fini autorizzatori trattandosi di studio puramente scientifico. Lo studio, del resto, contiene forti perplessità riguardo l’innocuità dell’impianto e raccomanda attenzione soprattutto per la salute dei bambini. Allo stesso studio, inoltre, sono allegate per costituirne integrazione delle note critiche dei tecnici nominati dalla Regione che inspiegabilmente non sono state considerate dalla Regione.

I legali, quindi, confidano nell’accoglimento dei ricorsi che porterebbe all’arresto dei lavori dovendosi avviare un nuovo iter autorizzativo. Quest’ultimo sarebbe reso oggi molto difficile dal passaggio dell’area di sedime nella “Zona A” di massima tutela della Riserva Naturale Orientata “Sughereta di Niscemi” e dai vincoli paesaggistici.

A prescindere dalle questioni amministrative, il Muos si caratterizza soprattutto per una forte illegittimità di fondo che riguarda, peraltro, tutte le basi militari Usa presenti nel nostro paese. Gli accordi bilaterali, aventi contenuto politico, devono infatti essere approvati dal Parlamento e successivamente ratificati dal Capo dello Stato come prevedono gli artocoli 80 e 87 della Costituzione, cosa mai avvenuta per la costituzione delle basi Usa. Su tale argomento, il 22 ottobre si è tenuto un seminario presso il dipartimento di Scienze Politiche, all’interno del quale la tesi dell’illegittimità costituzionale delle procedure utilizzate per la costituzione delle servitù militari è stata discussa dai Agatino Cariola e Rosario Sapienza, rispettivamente ordinari di Diritto costituzionale e di Diritto internazionale presso il Dipartimento di Giurisprudenza dell’Università degli Studi di Catania.

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A giorni sarà depositata una mozione parlamentare il cui testo è stato predisposto dai legali del Coordinamento dei Comitati No Muos, mediante il quale il parlamento chiede che tutti i trattati bilaterali riguardanti basi militari straniere siano sospesi e rimessi alla valutazione del parlamento. In tale fase, gli stessi legali confidano di far valere l’incompatibilità di alcuni di tali accordi, in particolare di quello riguardante il Muos, con i principi dell’articolo 11 della Costituzione. Tale articolo sarebbe violato, infatti, sia riguardo il principio di ripudio della guerra, sia sotto il profilo della carenza di condizioni di parità (previsto dal secondo comma).

Inoltre, i legali stanno studiando e raccogliendo i dati per intraprendere nuove azioni a tutela della salute innanzi ai Tribunali Civili. Da parte dei Comitati, poi, continua la mobilitazione territoriale: ilprimo marzo ci sarà una nuova grande manifestazione proprio a Niscemi (in contrada Ulmo), mentre il 22 febbraio l’appuntamento è a Caltanissetta per protestare contro la forte attività repressiva della Questura e della Prefettura locali.

In questa occasione i No Muos vogliono denunciare le fortissime responsabilità di enti pubblici, quali la Soprintendenza di Caltanissetta e l’Azienda Foreste Demaniali, che hanno dato autorizzazioni del tutto illegittime, in dispregio dei più elementari principi di protezione di quei valori ambientali che tali enti dovrebbero proteggere. Ma anche della Questura di Caltanissetta che, mentre denunciava e sanzionava gli attivisti che legittimamente protestavano, scortava dentro la base gli operai di una ditta priva di certificazione antimafia e dello stesso prefetto che, come si apprende dai files di Anonimus, durante il periodo di sospensione dei lavori, faceva da mediatore fra Regione, governo nazionale e governo Usa per consentire la prosecuzione dei lavori. L’ultimazione dei lavori, dunque, non ha per nulla scoraggiato il Coordinamento No Muos.

 

DA LEGGERE:

Cento passi dal Muos

Quanto inquinano gli americani

La pista d’aerei Usa chiamata Italia

E’ solo una piccola croce di guerra

Azione diretta contro il Muos

Talvolta Davide ce la fa