FAVORITISME – NEPOTISME – DOUBLE MORALE – DYNASTIES BOURGEOISES : POURQUOI LE SYSTEME EST DEFINITIVEMENT BLOQUE

Luc MICHEL/ En Bref / avec Libération – AFP – PCN-SPO / 2014 02 06 /

L’actualité dévoile la véritable nature du Système.

L’affaire Taubira (1) tout d’abord.

« Au mieux une maladresse, au pire de scandaleuses pressions: l’information selon laquelle Christiane Taubira aurait tenté de muter pour des raisons politiques le procureur général de Paris, François Falletti, provoquait mercredi des réactions outrées dans la profession et l’opposition » commente l’AFP. LM.NET - EN BREF dynasties bourgeoise (2014 02 06)  FR

Cette gauche caviar/bobos qui ose en plus donner des leçons de morale. Et qui ne vaut pas mieux que la droite dollarisée, notamment celle des néoconservateurs à passeports français.

Gauche américaine, droite néocon, politique des millionnaires et millionnaires dans la politique : le parti de l’étranger !

Tous copains, tous coquins, tous complices, les pourrisseurs de la société et les destructeurs de l’Etat.

 LES DYNASTIES BOURGEOISES

Deuxième affaire, celle du fils Le Drian (2).

Tous copains, tous coquins, tous pourris ?

Vous en doutez encore ???

Après l’exemple Taubira, voici le cas du fils Le Drian. Où intervient une autre bobo donneuse professionnelle de leçons de morale : Najat Vallaud-Belkacem.

Après le ‘Prince Jean’ (Sarkozy) à l’EPAD, voici le baronnet Le Drian ! Jeune fils à papa, menteur et arrogant, placé dans un ‘fromage’ lucratif par la grâce paternelle.

Le Système repose entièrement sur ces dynasties bourgeoises qui constituent l’Oligarchie. Et avec les maîtresses, les amants, les gigolos, les gitons, les neveux, les enfants naturels et les épouses faisant carrière sous leurs noms de jeune fille, vous ne vous rendez pas compte de l’ampleur immense du phénomène – les changements de noms brouillant les cartes -, de cette caste politico-médiatico-financière qui a confisqué le pouvoir …

 LE CREPUSCULE DU PARLEMENTARISME BOURGEOIS

Il n’y a plus rien à attendre du Système et du Parlementarisme bourgeois, plus rien à réformer. Il faut du passé faire table rase …

Et ceux qui prétendent incarner une réforme au sein de ce Système – style le clan Le Pen, Mélenchon ou en Belgique PTB et PP – sont des créatures de ce même système, utilisées pour encadrer à gauche ou à droite le mécontentement. Et empêcher toute alternative émergente.

Le Système est bloqué, irrémédiablement.

Pour l’instant ce ne seront que des jacqueries, des révoltes sans lendemain. Et ce n’est pas un hasard si les deux révoltes du moment en France sont deux jacqueries. Celle des ‘Bonnets rouges’ qui fait écho à une révolte fiscale du XVIIe siècle, celle des marches d’extrême-droite qui rappelle idéologiquement et sociologiquement les Vendées de la fin du XVIIIe siècle.

La Sociologie des révolutions (Pareto, Thiriart) nous enseigne que lorsqu’une oligarchie bloque le Système, empêche la « circulation des élites », elle crée elle-même les conditions de la Révolution qui la détruira …

Le Système tient parce que si sa base sociale se désagrège, il n’y a pas à ce stade de ‘Parti Historique Révolutionnaire’ (3) organisé. Et parce que la révolte reste encadrée, endiguée, aux deux extrêmes du système parlementaire bourgeois. Pour l’instant la Révolution est une idée en marche (comme dirait le grand Mazzini), celle que nous incarnons notamment. Hors système, dans une Opposition radicale extra-parlementaire. Il faut commencer par former les cadres de la Révolution et répandre l’idée. Puis viendra l’explosion encadrée, organisée. Comme en 1789-93 ou en 1917-21.

Luc MICHEL

(1) http://www.liberation.fr/societe/2014/02/05/christiane-taubira-a-t-elle-voulu-ecarter-le-procureur-general-de-paris_978069

(2) http://www.liberation.fr/societe/2014/01/29/najat-vallaud-belkacem-au-secours-du-fils-le-drian_976499

(3) Cfr. Luc MICHEL, LE PARTI HISTORIQUE REVOLUTIONNAIRE, 1ère édition 1986, Editions MACHIAVEL (Charleroi). 2e édition 1995, Editions MACHIAVEL (Bruxelles-Paris-Budapest). Réédition prévue en 2014.

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Luc MICHEL /

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ELECTION PRESIDENTIELLE DANS UN AFGHANISTAN A L’AVENIR INCERTAIN

Luc MICHEL pour EODE Press Office /

avec RIA Novosti – Le Temps – EODE Zone Russia-Caucasus / 2014 02 05 /

http://www.facebook.com/EODE.monitoring

http://www.eode.org/category/eode-international-elections-monitoring/international-elections-survey/ EODE - elections news AFGHANISTAN 1 (2014 02 05) FR (2)

En Afghanistan une élection présidentielle se tient, « cruciale pour un avenir incertain » selon Le Temps (Genève). Dans un pays en guerre, plongé dans le chaos et la violence, où les milices et les gangs font la loi, c’est à nouveau une de ces « élections » douteuses que l’Occident avalise chaque fois qu’elle servent ses intérêts …

La campagne présidentielle démarre ce dimanche. « L’élection ouvrira une nouvelle ère avec le départ du président Hamid Karzaï et le départ programmé des dernières troupes de l’OTAN » commente encore Le Temps. « La course à la présidence afghane, dont le premier tour aura lieu le 5 avril prochain, fait figure de test pour la stabilité et l’avenir du pays ».

Menacé par la rébellion des talibans que 12 ans d’intervention occidentale n’ont pas réussi à mater, « l’Afghanistan est à un tournant » affirme l’OTAN. « L’intervention des troupes étrangères dee l’OTAN et les centaines de milliards de dollars versés par la communauté internationale depuis treize ans ont permis de participer à la reconstruction et au développement du pays après la chute des talibans, mais les chantiers restent innombrables » écrit le quotidien suisse. EODE - elections news AFGHANISTAN 1 (2014 02 05) FR (3)

Ce dimanche, les onze candidats à la succession du président Hamid Karzaï se sont lancés dans la campagne électorale. Ils ont en lice pour briguer la succession du président Karzaï, seul homme à avoir dirigé le pays depuis la chute du régime des talibans en 2001 et à qui la Constitution interdit de briguer un troisième mandat.

 LA FIN DE L’ERE KARZAÏ

Karzaï qui a établi avec son clan un régime hautement corrompu, n’est pas le favori de Washington. Qui lui préfère Abdullah Abdullah, un vieux complice des USA depuis les Années 80. Il a notamment été le « ministre des affaires étrangères da Ahmed Shah Massoud. Comme son mentor, c’est un islamiste dit « modéré ». Loin de la légende entretenue en Occident et singulièrement en France, Massoud, chef féodal, était le dirigeant d’un « Front islamique » nullement progressiste.

Quel que soit le vainqueur, le scrutin signera donc d’abord la fin de l’ère Karzaï. Il intervient aussi et surtout peu avant l’étape cruciale du retrait officiel des dernières troupes de l’OTAN, fin 2014.

 CAMPAGNE ET MEETINGS LIMITES A KABOUL

Dimanche matin, la capitale afghane s’est donc « réveillée en découvrant des affiches électorales placardées aux quatre coins de la ville. Les candidats ont ensuite tenu des meetings tout au long de la journée ». Car le régime pro-occidental ne contrôle guère plus de territoire. Les prétendants à la succession du président afghan Karzaï ont tenu dimanche leurs premières grandes réunions politiques à Kaboul, « un début de campagne toutefois endeuillé par les meurtres de deux membres de l’équipe d’Abdullah Abdullah », le favori du scrutin.

A noter un candidat de la société civile qui entend briser la chape de plomb islamiste. « Spectacle de danse, concert de percussions: c’est ainsi qu’ont été accueillies les quelques milliers de personnes venues assister au meeting d’Ashraf Ghani, autre favori de cette campagne. A la tribune, le candidat a déroulé un programme axé sur les jeunes, les droits des femmes et la lutte contre la corruption, fléau qui mine les institutions afghanes ». «Le changement, c’est nous!» a-t-il lancé.

Dans l’assistance quelques rares femmes, vêtues à l’Occidentale. Un spectacle que Kaboul n’avait plus vu depuis l’ère communiste d’avant 1990, où les femmes bénéficiaient de l’égalité civile et où la burqua était inconnue dans la capitale. C’était il y a moins de 25 ans, une éternité dans cet Afghanistan déchiré entre OTAN et talibans …

Luc MICHEL

Pour EODE Press Office

http://www.eode.org/eode-international-elections-monitoring-presidentielle-dans-un-afghanistan-a-lavenir-incertain/

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Photos : aspects de la campagne à Kaboul (AP, AFP).

Dernière photo : meeting d’Ashraf Ghani (Reuters).

Il Met Office britannico ammette che la terra non si riscalda più da 15 anni

pausametoffice
In un articolo del luglio 2013 sul sito governativo ufficiale del britannico Met Office intitolato La recente pausa nel riscaldamento leggiamo che
 
Le temperature medie superficiali sono salite rapidamente dagli anni ’70, ma sono state relativamente piatte nel corso dei recenti 15 anni fino al 2013. Questo ha dato origine a speculazioni sul fatto che il riscaldamento globale indotto dall’uomo non stia più avvenendo, o che almeno sarà molto minore di quanto predetto.
 
Qualcuno a questo punto si potrebbe chiedere che altro pensare se la temperatura media globale per un quindicennio resta stazionaria, però è pur vero che non sempre le cose sono così semplici come possono sembrare. Il problema è: le giustificazioni seguenti sono plausibili o sono un contorto arrampicarsi sugli specchi per non essere costretti ad ammettere la pura e semplice verità che quella piccola frazione di anidride carbonica prodotta dall’uomo (invece che da fenomeni naturali) non influisce poi tanto sull’andamento delle temperature del pianeta?
 
L’articolo continua affermando
 
Secondo alcune speculazioni questa è una pausa temporanea e le temperature risaliranno con la stessa rapidità già vista in precedenza.
 
Per motivare questa possibilità vengono segnalati tre differenti studi, tutti ovviamente basati su ipotesi e interpretazioni soggettive. E non potrebbe essere altrimenti, dal momento che il pianeta terra è un po’ troppo complesso per potere formulare teorie scientifiche soggette ad esperimenti di controllo/confutazione.
 
Si cerca di interpretare i dati in base ad ipotesi, si formulano equazioni matematiche che dipendono da alcuni parametri fisici (e la scelta dei parametri è per molti versi soggettiva) e da alcune costanti (che vengono regolate in modo che le osservazioni passate siano consistenti con i dati ottenuti tramite le equazioni), e si spera che questi modelli funzionino anche per il futuro. Speranza alquanto vana dal momento che il riscaldamento continuo ipotizzato dagli studiosi del riscaldamento globale è stato smentito dai fatti. Quindi quello che si può fare è cercare tra i fattori finora trascurati, inserirli sotto una forma matematica in nuove equazioni e … sperare di essere più fortunati.
 
Il guaio è che non possiamo fare sperimenti su modellini del pianeta Terra (sarebbero per forza di cose troppo semplificati ed inadeguati) e non c’è dubbio che è impossibile fare esperimenti su diversi pianeti uguali alla Terra
 
Il primo documento mostrerebbe che diversi indicatori climatici mostrano cambiamenti che sono consistenti con la teoria del riscaldamento globale (ovviamente fa eccezione un “piccolo dettaglio”, la temperatura media del pianeta.
 
Il secondo, leggiamo testualmente, “suggerisce che non è possibile spiegare la recente mancanza di riscaldamento superficiale semplicemente a causa dell’energia totale ricevuta dal pianeta, ovvero il bilancio tra l’energia solare entrante nel sistema e l’energia termica che ne esce”. Suggerisce per l’appunto, ma non dimostra e non può dimostrare: come argomentato in precedenza siamo nel campo delle supposizioni.
In tale documento si ipotizza che la pausa termica sia da imputare non ad un errore della teoria del riscaldamento globale, ma a cambiamenti nello scambio di calore tra la parte superiore el la parte inferirore delle acque oceaniche
 
Nell’ultimo dei tre documenti infine si vuole mostrare che l’attuale pausa termica non altera il rischio di un riscaldamento sostanziale della Terra.
 
A dir la verità gli scienziati del Met Office appaiono sconcertati dal fatto che la nuda verità mette in crisi i loro modelli teorici che non hanno funzionato, ma piuttosto che rinunciare a teorie che danno cattiva prova di sé ci si aggrappano con forza, forse anche perché sanno, (non possono non sapere), che il peggior crimine contro la vita del pianeta viene perpetrato proprio con la scusa del riscaldamento globale.
 
E’ per questo presumibilmente che non fanno cenno ad una mole di studi sempre crescente effettuati da scienziati che negano ogni validità alla teoria del riscaldamento globale causato dall’anidride carbonica.
 
Per approfondimenti scarica e leggi i documentari in power point
 
 
 
PUBBLICATO DA CORRADO 

Bosnia: 10 feriti negli scontri tra lavoratori in protesta e agenti a Tuzla

e difatti ci è riuscita. Ricordate la globalizzazione che dovevamo appoggiare perché avrebbe esportato i nostri diritti e salari a tutti i lavoratori nel mondo?

Bosnia: 10 feriti negli scontri tra lavoratori in protesta e agenti a Tuzla
TUZLA – Almeno dieci persone sono rimaste ferite in scontri scoppiati tra poliziotti e centinaia di lavoratori che protestavano per non essere stati pagati nella città di Tuzla, nel nord della Bosnia-Erzegovina.
I disordini sono scoppiati quando i manifestanti hanno cercato di irrompere in un palazzo governativo per parlare con funzionari, che a loro avviso sono responsabili della bancarotta di quattro aziende statali avvenuta a seguito della loro privatizzazione negli anni 2000-2008. Adis Nisic dell’ospedale locale ha fatto sapere che la maggior parte delle persone ferite è stata colpita da pietre. Le quattro ex compagnie statali, tra cui fabbriche di mobili e di detersivi, impiegavano gran parte della popolazione di Tuzla, la terza città della Bosnia. Le aziende furono vendute a proprietari privati, che a loro volta rivendettero le partecipazioni, smisero di pagare i lavoratori e presentarono l’istanza di fallimento.
http://italian.irib.ir/notizie/mondo/item/153747-bosnia,-scontri-tra-lavoratori-in-protesta-e-agenti-a-tuzla-10-feriti

M5S scopre un’altra porcata del governo: un condono edilizio nascosto nel DL Bankitalia !!

ma Pd e Sel con Sc sono i presentabili credibili quindi deve essere per forza giusto il loro operato….

Posted on febbraio 3, 2014

Un nuovo condono edilizio è stato scoperto dal senatore senatore Andrea Cioffi del M5S, nascosto tra le pagine del decreto legge su IMU e Banca d’Italia (as 1188).

All’interno del DL “i relatori hanno inserito un articolo per condonare ‘unità immobiliari ad uso abitativo e commerciale realizzate su aree demaniali da privati in assenza di autorizzazioni a tutto il 31 dicembre 2012‘”, si legge nelle note pubblicate dal Movimento 5 Stelle in denuncia dell’accaduto.

L’emendamento incriminato è stato presentato in Commissione Finanze del Senato da Federico Fornaro del Pd e Andrea Olivero di Scelta civica e lascerebbe la possibilità all’Agenzia del Demanio di acquisire le proprietà abusive rivendendole agli occupanti che ne faranno richiesta.

Pesante anche la denuncia di Legambiente direttamente dal Presidente Vittorio Cogliati Dezza che ha sottolineato come il “condono edilizio non può essere la soluzione per sanare problemi che si sono stratificati sul territorio in decenni di malgoverno e nemmeno per fare cassa”. “La sanatoria si estenderebbe a tutto il 2012 – aggiunge Cogliati Dezza – ma l’Italia non può più permettersi di fare regali a chi si muove nel disprezzo della legalità. Ci auguriamo che la commissione Finanze e tesoro del Senato, che sta esaminando in queste ore il provvedimento, bocci l’emendamento in questione ”. FONTE del 19/12/2013
http://siamolagente.altervista.org/m5s-scopre-unaltra-porcata-del-governo-un-condono-edilizio-nascosto-nel-dl-bankitalia/

CROLLA MERCATO GRANDI OPERE CRESCE L’EDILIZIA SOSTENIBILE

 HTTP://WWW.LASTAMPA.IT/2014/02/05/SCIENZA/AMBIENTE/FOCUS/CROLLA-MERCATO-GRANDI-OPERE-CRESCE-LEDILIZIA-SOSTENIBILE-DGFRE22SLOAVWVWHJQBYZO/PAGINA.HTML

 MARCO TEDESCHI

A fronte di una crisi del mercato delle opere pubbliche che nel 2013 si approfondisce ulteriormente, l’edilizia sostenibile mostra di muoversi in controtendenza e di essere una concreta opportunità per ridare slancio ad un comparto fondamentale per rilanciare occupazione e investimenti. È quanto emerge, in estrema sintesi, dal rapporto «Il Partenariato Pubblico e Privato e l’edilizia sostenibile in Italia nel 2013». Curato da Unioncamere, e realizzato in collaborazione con CRESME Europa Servizi – lo studio è stato presentato oggi a Roma.

 Nell’ultimo biennio, con l’aggravarsi della crisi e i tagli alla spesa pubblica, il mercato delle opere pubbliche è crollato. La flessione colpisce tanto le opere pubbliche di sola esecuzione, sino a ieri principali protagoniste della crisi, quanto il settore del Partenariato Pubblico e Privato (PPP), il settore su cui tanto si punta per rilanciare la spesa infrastrutturale del paese. Anzi, il crollo del Partenariato Pubblico e Privato è ancora maggiore. Le difficoltà del PPP dopo il crollo degli importi in gara del 2012 (-41%), persistono anche nel 2013 (-34%) e all’origine della frenata vi sono da un lato le difficoltà di accesso al credito, che hanno determinato il crollo del mercato delle grandi infrastrutture di importo unitario elevato, dall’altro permangono diverse criticità legate all’intero percorso decisionale, tecnico e realizzativo.

Parallelamente, nel 2013, al crollo del mercato delle grandi infrastrutture si contrappone una fase di crescita della domanda di interventi di importo medio-grande, trainato da interventi di riqualificazione urbana, con tassi di crescita degli importi in gara del 10% per l’intero mercato e superiori al 30% per le sole operazioni di PPP. Rientrano in questa fascia dimensionale il maggior numero di iniziative di PPP di riferimento per l’edilizia sostenibile. «In un mercato come quello delle opere pubbliche, ancora fortemente in crisi, lo sviluppo sostenibile e la tutela dell’ambiente sono leve importanti per rimettere in moto investimenti e occupazione» ha detto il Presidente di Unioncamere, Ferruccio Dardanello. «È un ambito che coinvolge asset strategici del Paese e che riguarda interventi indispensabili per mettere in sicurezza i nostri territori: i beni culturali, il riassetto di comparti urbani, l’edilizia scolastica e sociale, le strutture dedicate al tempo libero, al turismo. È una strada da percorrere con convinzione mettendo insieme le forze di tutti. Il sistema camerale è oggi impegnato a promuovere la filiera dell’edilizia sostenibile attraverso Unionfiliere e vuole essere ancora di più protagonista di questa partita. Non solo come punto di osservazione del mercato, ma anche come soggetto facilitatore dell’incontro tra domanda e offerta e sostenitore di quella `cultura della realizzazione´ che da sempre è propria delle Camere di commercio».

ABUSI SESSUALI SUI BAMBINI: L’ONU ATTACCA IL VATICANO MA DIMENTICA I SUOI SCHELETRI NEGLI ARMADI INTERNAZIONALI

L’Onu e la pedofilia, quando nei suoi docs raccomanda di non discriminare i pedofini e di educare bambini piccolissimi alla sessualità….pronti per l’abuso?
E all’Italia che si appresta a votare questo emendamento non dice niente?
ONU SEG
BAN KI-MOON, SEGRETARIO GENERALE ONU
 
di  Gianni Lannes
 
Abusi sessuali, Onu contro Vaticano:”Violata convenzione dei diritti dei minori”. Santa Sede: “No a interferenze”
 
Il Vaticano ha violato la convenzione per i diritti dei minori. Lo ha detto il presidente del Comitato Onu per i diritti dei bimbi Kristen Sandberg, rispondendo a una domanda sul dossier contenente le osservazioni finali sul rapporto della Santa Sede relativo al rispetto della Convenzione sui diritti del fanciullo. Il documento presentato oggi mostra come sia stata violata la convenzione. “La mia semplice risposta è sì, perché non hanno fatto tutto quello che avrebbero dovuto”.
 
Via i preti pedofili – Per il Comitato Onu, la Santa Sede deve rimuovere “immediatamente” dal loro incarico chi ha commesso abusi sessuali sui bambini, o che ne è sospettato, perché finora ha “adottato politiche e pratiche” che hanno portato a continuare abusi su decine di migliaia di bambini e all’impunità degli autori. E’ un atto d’accusa durissimo quello redatto nel rapporto del Comitato Onu sui diritti dei bambini, reso noto oggi. Il Comitato si dice “seriamente preoccupato” dal fatto che la Santa Sede “non abbia riconosciuto la portata dei crimini commessi, non abbia adottato le misure necessarie per affrontare i casi di abusi sessuali su minori e per proteggere i bambini. Inoltre “ha adottato politiche e pratiche” che hanno portato alla prosecuzione di abusi e all’impunità degli autori.
 
Quanti sono i bambini nati da preti cattolici? – Il Comitato delle Naioni Unite sui diritti del bambino ha esortato la Santa Sede anche a “valutare il numero di bambini nati da preti cattolici, scoprire chi sono e prendere tutte le misure necessarie per garantire i diritti di questi bambini a conoscere e ad essere curati dai loro padri”. Il gruppo auspica inoltre che la Santa Sede ponga fine alla pratica degli “accordi di riservatezza” nell’ambito di piani di sostegno finanziario per le madri.
 
La Santa Sede riveda posizione sull’aborto – L’Onu ha poi esortato la Santa Sede a “rivedere la propria posizione sull’aborto” quando è a rischio la vita e la salute delle donne incinte e a “identificare circostanze in cui l’accesso ai servizi di aborto possa essere ammesso” modificando il canone 1398 in materia. Il Comitato cita con “profonda preoccupazione” le sanzioni decise dalla Chiesa nel 2009 in Brasile contro una madre ed un medico che praticò l’aborto per salvare la vita a una bimba di 9 anni, rimasta incinta dopo essere stata violentata dal patrigno.
 
Depenalizzare l’omosessualità – Ma per il Vaticano c’è pure l’invito “a fare pieno uso della sua autorità morale per condannare tutte le forme di molestia, discriminazione o violenza contro bambini sulla base del loro orientamento sessuale o l’orientamento sessuale dei loro genitori e a sostenere gli sforzi a livello internazionale per la depenalizzazione dell’omosessualità”. Il Comitato, pur rilevando positivamente le affermazioni di Papa Francesco nel luglio 2013, è preoccupato per le dichiarazioni passate della Santa Sede sull’omosessualità che “contribuiscono alla stigmatizzazione sociale e alla violenza contro lesbiche, gay, bisessuali e adolescenti transgender e bambini cresciuti da coppie dello stesso sesso”. Il Comitato raccomanda inoltre alla Santa Sede di ritirare dalla sua legislazione, come annunciato oralmente, l’espressione discriminatoria “figli illegittimi” per i bambini nati fuori dal matrimonio.
 
Vaticano riveda politiche su contraccezione – Il Comitato Onu per i diritti dei bambini ha espresso anche “seria preoccupazione” per le conseguenze negative della posizione della Santa Sede sull’accesso degli adolescenti alla contraccezione. E raccomanda di porre l’interesse maggiore delle adolescenti al centro di tutte le decisioni in materia e a garantire che l’educazione sulla salute sessuale e la prevenzione dell’hiv/aids sia parte del curriculum obbligatorio delle scuole cattoliche.
 
Tentativo di interferire sull’insegnamento della Chiesa – In risposta alle accusa, la Santa Sede dichiara che sottoporrà a “minuziosi studi e esami” le osservazioni dell’Onu, ma vede in “alcuni punti” delle un “tentativo di interferire nell’insegnamento della Chiesa cattolica sulla dignità della persona umana e nell’esercizio della libertà religiosa”. Reitera poi suo impegno difesa fanciullo. Il comunicato esprime una risposta “di sorpresa, perché l’aspetto negativo del documento che hanno prodotto è che sembra quasi che fosse già stato preparato prima dell’incontro del Comitato con la delegazione della Santa Sede”, dice monsignor Tomasi, osservatore vaticano all’Onu di Ginevra, che parla di “linea ideologica”.
 
Rapporto_violenza_ONU-1
 
Con la Chiesa cattolica non sono mai stato tenero. E’ indubbio: molti preti hanno abusato di minori e le gerarchie vaticane hanno spesso coperto questi crimini. Ma per i fantocci telecomandati delle Nazioni Unite, al soldo del NWO (Bilderberg+Trilateral, +massoneria, eccetera eccetera…) ce ne vuole ora, a passare al ruolo addirittura di accusatori. Ma da quale pulpito? Proprio l’Onu sta facendo passare per cosa buona e moralmente giusta l’omosessualità, scontando la pedofilia. Date bun’occhiata alle ultime linee guida sbarcate in Italia – legittimate dal governo Monti (alla voce Fornero) che presto saranno operative nelle scuole pubbliche dello Stivale.
 
 
 
 
Attenti all’Onu
 
Prendete a modello d’esempio le Nazioni Unite. Il 12 ottobre 2006 presenta a Roma un rapporto che descrive la violenza sui bambini. Il titolo è paradigmatico: «Nessuna violenza sui bambini è giustificabile. Tutte le violenze sui bambini possono essere evitate».
 
                                         http://www.onuitalia.it/events/events.php
 
 
 
D’accordo, un afflato etico plausibile se non fosse che alcuni mesi dopo, salta fuori un altro rapporto che denuncia le sistematiche violenze commesse proprio dagli operatori dell’Onu sui bambini del Congo. Si tratta di almeno 150 casi accertati di pedofilia, stupri e abusi di vario genere, documentati da filmati e testimonianze delle vittime nonché di osservatori indipendenti. E poiché come scrive la più importante agenzia internazionale al mondo «tutte le violenze sui bambini possono essere evitate», non si comprende perché i diligenti funzionari delle Nazioni Unite non abbiano iniziato quantomeno a prevenire quelle commesse dai loro diretti dipendenti e sottoposti. Forse, sarebbe stato più utile e meno doloroso delle solite conferenze extra lusso? Non è certo un fenomeno isolato. Infatti, in Burundi in poco meno di due anni (2004-2005) vengono segnalati numerosi casi di abusi sui minori da parte dei famosi caschi blu. Sempre nel 2005 tre militari dell’Onu sono accusati di stupro ad Haiti, e altri commilitoni di molestie sessuali in Liberia.
 
In Etiopia ed Eritrea i soldati inviati in missione di pace dalle Nazioni Unite (olandesi e italiani) organizzavano festini adescando bambine di non più di 10 anni; inoltre filmavano le scene hard e poi, per giunta, vendevano i video a luci rosse. Casi sporadici? Neanche per scherzo. Tra il 2001 e il 2006 in diversi paesi africani – dalla Liberia alla Costa d’Avorio fino alla Sierra Leone – si consumano molteplici episodi di rapporti sessuali con minori in cambio di aiuti umanitari Onu. In una delle tendopoli sotto l‘egida dei caschi blu, la regola era proprio scritta: «Una razione di cibo per un momento di sesso». Niente male per l’organizzazione mondiale che difende sulla carta i diritti umani. Ovviamente, se uno legge i documenti ufficiali dell’Onu trova nobili principi, alti ideali, solenni promesse. Davvero commovente, ma poi nella pratica a livello internazionale sono almeno tre lustri che si discute dietro le quinte di abusi sessuali sui minori e violenze connesse da operatori in carne e ossa delle Nazioni Unite. Nel 2001 un rapporto ne riferiva come di un «fenomeno endemico». Nel 2005 in una conferenza stampa, Jane Holl Lute, assistente del segretario generale, ha ammesso che si tratta di un problema che interessa tutte le sedici missioni delle Nazioni unite nel mondo e che non sono mai state adottate le contromisure adeguate.
 
 
Post Scriptum:
 
 Pedofilia: le sconvolgenti dichiarazioni di Olivier Dupuis:
Durante il congresso del Partito Radicale (marzo 2000) l’allora Segretario, il Belga Olivier Dupuis, si lascia andare ad alcune affermazioni sconcertanti sui casi di pedofilia che avevano interessato il suo paese .
 
nel 2010 … Il business del traffico di organi ( dei bambini ) e’ business ebreo ! Bambini uccisi per poi mandare gli organi in Israele a Tel Aviv ..
 
Nel 2000 un operazione fatta partire dai carabinieri italiani e polizia russa scoprono traffico di bambini per i pedofili del mondo dove a quanto pare solo ebrei sono stati coinvolti ,, venne tutto insabbiato qui il video piu bannato del mondo ,, come al solito bambini per pedofili , film per pedofili , torture , poi uccisi e organi venduti:
 
 
Questo crimine poteva essere fermato già nel 2000 , Ma qualche potere occulto non era ancora sodisfatto e ne voleva ancor.
 
La storia di Frederic Mitteran (ebreo) ex ministro della cultura in Francia fino al 2012, nella sua autobiografia (2009/10) non prova neanche un minimo di schifo per la sua persona dichiarando apertamente di essere un pedofilo e di fottersi bambini maschi di 12 anni in Thailandia , caspita me lo vedo che da Parigi gli viene un attacco libidinoso prende il suo aereo privato e dopo 12 ore di volo arriva in Thailandia .
Eravamo rimasti alla minaccia di arresto in Vaticano del Papa n°2 Ratzinger, che evitò solo grazie alle dimissioni e alla reclusione volontaria dentro i recinti del Vaticano. Ora si va avanti, e gli scheletri negli armadi dei preti non mancano di certo.
 
Ma perché l’Onu non si occupa anche delle migliaia di bambini morti a causa delle guerre di Usa-Israele?
 
Ormai è palese il disegno in atto per distruggere la famiglia cristiana per farci diventare tutti con un sessualità sotto controllo e ben definita dall’alto.
 
Questo monito dell’ONU mi puzza tanto di avvertimento trasversale.
Evidentemente a qualcuno nelle “alte sfere” questo Papa così chiacchierone non piace. Sappiamo che l’ONU è lo zerbino dello zio Sam, il cui Governo a sua volta è sesnible alla lobby pedofila. Con questo richiamo – tecnica tipicamente mafiosa (d’altronde mica potevano fargli saltare in aria la papamobile) – gli hanno comunicato che è meglio che non alzi troppo la cresta. Farebbe meglio a farsi fare dal Berlusca un corso accelerato su come si fa a destreggiarsi in queste situazioni.
 
riferimenti:
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Grandi opere: dobbiamo fermare i (veri) sovversivi

http://www.ilfattoquotidiano.it/2013/11/15/grandi-opere-dobbiamo-fermare-i-veri-sovversivi/778099/

di  | 15 novembre 2013

 Quante volte vi è capitato di essere etichettati come dei radicali ambientalisti o degli estremisti? A me moltissime. La cosa mi ha sempre dato anche un certo godimento. Aumentava la mia autostima. Essere accusato di essere un sovversivo dai dirigenti del partito del calcestruzzo (sia da quelli di matrice neoliberista che da quelli di matrice progressista) era motivo di orgoglio. “Ma smettila di opporti alle autostrade e al Tav! Vuoi farci tornare all’età della pietra?! Estremista e ambientalista del c…!”, “Si, adesso siete anche contro l’Expo2015! Ma vergognatevi. Siete dei talebani del verde!«Ma che problemi vi dà questo outlet? Ah certo! Voi volete tornare a coltivare la terra! Bravo! Oltre ad essere ambientalista sei pure terrone!” (quest’ultima me la sono beccata da parte dei dirigenti del partito del cemento della corrente leghista).

Poi, con il passare del tempo, questa etichetta ha cominciato a starmi stretta e mi sono reso conto che in realtà, io e direi anche gli ambientalisti, siamo dei veri moderati, impegnati a moderare il peso dell’uomo sulla terra.

Di converso, quelli che non perdono occasione per sbeffeggiarci, disegnarci su un albero intenti ad abbracciare un panda oppure additarci all’opinione pubblica come i nemici della patria, hanno perso lo smalto di moderati. Approvando grandi opere, speculazioni edilizie, saccheggi vari del territorio, distruggendo biodiversità e suoli agricoli, rispettabili politici e lobbisti in doppiopetto sono diventati dei veri estremisti sovversivi, spesso polemici e pronti ad alzare i toni. Se necessario anche usando il manganello…

Esagero?

Pochi dati certi per dimostrare che i veri nemici del benessere del paese e dei cittadini che lo abitano siano proprio loro. Vediamo perché.

Che cosa è fondamentale per un popolo, per le persone che vivono su un determinato territorio? Il cibo. E che cosa è accaduto al nostro paese? È accaduto che dal ‘71 al 2010 ha perso 5 milioni di ettari di Superficie Agricola Utilizzata. Questo è dovuto a due fenomeni: l’abbandono delle terre e la cementificazione.

Per la risoluzione del primo, la politica è assente e non riesce, anzi non prova neanche, ad arginare la perdita di terreno del settore primario rispetto al mattone. Coltivare la terra rende sempre meno in termini di reddito ed è molto faticoso, nonostante la meccanizzazione. Per il secondo fenomeno, la cementificazione, la politica dominante, non solo non l’ha arginato, ma lo ha promosso: approvando normative che hanno spinto i comuni a fare cassa con la monetizzazione del territorio, realizzando opere infrastrutturali che hanno accompagnato l’espansione urbanistica (lo sprwal), favorendo la rendita urbana, coltivando il consenso facile con gli oneri di urbanizzazione che arrivano grazie alle colate di cemento.

Per rendere bene l’idea di quello che è successo nel nostro paese ci possono aiutare due grafici tratti da un rapporto sul consumo di suolo agricolo a cura del Ministero delle Politiche Agricole. Nel primo si può vedere che a fronte di un aumento della popolazione, la superficie agricola utilizzata è diminuita (del 28% in 40 anni) e la forbice tende ad allargarsi. Nel secondo grafico è chiaro ed evidente quanto l’Italia stia progressivamente perdendo sovranità alimentare. La media del nostro grado di approvvigionamento alimentare è tra l’80 e l’85% ed è in costante diminuzione. Solo 20 anni fa era pari al 92%.

 A questi dati, tenuti nascosti sapientemente all’opinione pubblica (ne avete mai sentito parlare al TG1, al TG3, a Ballarò, a Otto e mezzo?) se ne aggiunge un altro ancor più preoccupante: l’Italia è il terzo paese in Europa ed il quinto nel mondo nella classifica del deficit di suolo. Ci mancano 49 milioni di ettari per coprire il nostro intero fabbisogno, pari a 61 milioni di ettari. Siamo destinati ad essere sempre più dipendenti dalla produzione di terreni di altri paesi. Il buon senso dovrebbe portarci a fermare immediatamente per decreto il consumo di suolo, a bonificare le aree compromesse da cemento e veleni, ad incentivare il ritorno alla coltivazione delle terre abbandonate. Ma purtroppo buon senso e interesse collettivo sono spesso in contraddizione con gli interessi dei pochi e soliti noti… E questi ultimi prevalgono sempre.

Ma gli estremisti del cemento si sono resi protagonisti anche della sovversione di delicati equilibri ecosistemici. Alterazione condotta grazie alle loro azioni irriducibili, condotte talvolta nottetempo: mitici i consigli comunali alle 3 di notte per approvare varianti ai piani regolatori (nei quindici anni dal 1995 al 2009, i comuni italiani hanno rilasciato complessivamente permessi di costruire per 3,8 miliardi di mc). Le scelte di questi estremisti sono poi concausa certificata del dissesto idrogeologico e dello sprofondamento quotidiano del paese nel fango. Ma essi si ostinano a tenere la posizione, si oppongono in maniera davvero ideologica alle decine di proposte moderate.

Noi chiediamo di investire le scarse risorse nella messa in sicurezza del territorio; loro ci rispondono arroganti che sono prioritari i buchi nelle montagne per portare merci a 300 km all’ora da Torino a Lione. Noi proponiamo il recupero degli immobili esistenti, rendendoli più efficienti dal punto di vista energetico, di puntare sul risanamento/ricostruzione dei centri storici abbandonati (a partire da L’Aquila, dove recentemente si sono recati 22 sindaci moderati della Val di Susa per chiedere di impiegare in quella città le risorse destinate al Tav); loro si impuntano con le newtown in aperta campagna, le cittadelle dello sport, della moda, del design. Noi proponiamo un grande piano nazionale di piccole opere, per aiutare l’edilizia ad uscire dalla crisi (dall’abbattimento delle barriere architettoniche alla realizzazione di fognature, marciapiedi e piste ciclabili); loro ci rispondono polemicamente con nuovi piani casa, nuovi grattacieli, nuovi grandi eventi, nuove grandi autostrade, nuovi grandi padiglioni. Insomma, noi chiediamo di rallentare; loro accelerano con sprezzo del pericolo, spingendo il vapore a tutta velocità verso le estreme conseguenze, verso il baratro. Degli irresponsabili.

Risultato di queste scelte scellerate portate avanti con tanta veemenza bipartisan? Secondo l’ISPRA ogni giorno vengono impermeabilizzati 100 ettari di terreni naturali. 10 mq al secondo. Quindi cosa facciamo? Dobbiamo fermarli. Non c’è alternativa. Perché sono dei veri sovversivi. I veri estremisti di questo paese.

Bisognerebbe davvero indignarsi, invece siamo sudditi, pecore e assassini.

 

Quanto vale la vita di una persona umana a Taranto per il PD e per SEL?

Quanto vale per la cosiddetta “sinistra” la vita umana, la difesa della salute e dell’ambiente? Possibile che nessuno di indigni, chd nessuno si vergogni di condannare a morte dei bambini innocenti, colpevoli solo di abitare vicino a chi vuole solo arricchirsi sulla pelle della gente?

L’ignavia è uno dei peccati più gravi.

Ilva, approvata la nuova legge. L’Italia è fuori dalle norme europee

Il Pd ha votato a favore (con il sostegno del centrodestra), SeL si è astenuta. Il M5S ha votato contro.

La direttiva europea IPPC (Integrated Pollution Prevention and Control) impone il rilascio di un’autorizzazione per tutte le attività industriali che presentano un notevole potenziale inquinante. Tale autorizzazione viene definita AIA (autorizzazione integrata ambientale) e può essere concessa solo se vengono adottate le migliori tecnologie disponibili e se vengono così rispettate determinate condizioni ambientali, per far sì che le imprese stesse si facciano carico della prevenzione e della riduzione dell’inquinamento che possono causare.

Mi stupisce che PD e SEL si dichiarino europeiste e poi aiutano l’Ilva a sottrarsi proprio a questa direttiva europea per la protezione dell’ambiente e della salute.

Infatti da ieri la direttiva IPPC è facoltativa per legge al 20%. Sembra assurdo ma è così. ILVA potrà produrre anche se non rispetta il 20% delle prescrizioni dell’autorizzazione a produrre (la cosiddetta AIA, ossia autorizzazione integrata ambientale). E in quel 20% potrebbero rientrare proprio le prescrizioni più “toste” e costose, come la copertura dell’immenso parco minerali (grande come 150 campi di calcio), le cui polveri sporcano quotidianemente la città di Taranto e finiscono nei polmoni.
Ma poiché le leggi hanno valore generale, questa sanatoria si estende a tutti gli italici stabilimenti inquinanti che potranno beneficiare, per un ovvio principio di eguaglianza, del suddetto sconto del 20%. Potranno anch’essi non rispettare le prescrizioni al 20%. E così il governo, con l’aiuto dei brillanti parlamentari “ecodem” del PD, ha varato una delle cose più bizzarre che mente parlamentare potesse partorire.
E’ come se voi poteste guidare senza mettere le cinture di sicurezza, senza mettere le frecce e senza fermarvi allo stop. E superano il limite di velocità 2 volte su 10.
Vi fermano i carabinieri e dite: sono a norma all’80%, non fatemi la multa.
Per L’Europa si è in regola se si rispettano le norme autorizzative al 100%. Per l’Italia invece da ieri si è in regola se si rispettano le norme anche solo all’80%. E le norme per uno stabilimento grande come quello dell’ILVA sono quelle fissate proprio nell’AIA. L’AIA è un’autorizzazione europea che, oltre che a tutelare l’ambiente e la salute, serve a costringere l’acciaieria A ad adottare le migliori tecnologie disponibili così come ha fatto l’acciaieria B. Se A adotta tecnologie “sporche” e B adotta tecnologie “pulite”, A avrà sul mercato un vantaggio competitivo su B in quanto non spende quanto B per rispettare l’ambiente e la salute. I proprietari di A useranno quel denaro risparmiato per accumulare ancora più profitti (e magari portarli all’estero) o per far scendere il prezzo dell’acciaio che vende sul mercato, in modo da battere la concorrente acciaieria B.

Tutto questo si chiama “concorrenza sleale”.

Ecco perché quello che è avvenuto ieri, con l’approvazione dell’ennesima legge di sanatoria delle norme che ILVA non rispetta, è il colpo di grazia che pone di fatto l’Italia fuori dalle regole europee, accelerando la procedura di infrazione sull’ILVA avviata dalla Commissione Europea.

Cosa è questa procedura? Lo ha spiegato il senatore Sollo (ralatore al Senato per il PD): “Giovedì 26 settembre 2013 la Commissione europea ha avviato una procedura d’infrazione nei confronti dell’Italia, concedendo due mesi per rispondere, con l’ipotesi che il Governo italiano non abbia garantito il rispetto delle direttive UE da parte dell’Ilva di Taranto, con gravi conseguenze per salute e ambiente, e in particolare per la «mancata riduzione degli elevati livelli di emissioni non controllate generate durante il processo di produzione dell’acciaio”.

Già nel giugno dell’anno scorso i tecnici dell’ISPRA, deputati alle ispezioni e ai controlli, avevano rilevato nello stabilimento siderurgico gravi ritardi e violazioni delle prescrizioni autorizzative.

Ma la situazione, invece di risolversi nelle successive ispezioni, si è andata aggravando e si attende a giorni la relazione con gli esiti dell’ultima ispezione che riporterà l’elenco delle cose non fatte dall’ILVA oggi guidata da Edo Ronchi, un passato in Democrazia Proletaria, un passato prossimo nei Verdi e poi nel PD e un presente come subcommissario ILVA.

E poiché si incancrenisce la lista delle cose non fatte e delle violazioni alle prescrizioni AIA, ecco che è arrivata la sanatoria. Anche perché la prima legge Salva-Ilva (quella del dicembre 2012) era finalizzata proprio a realizzare l’AIA e la incorporava nella legge al fine di sconfiggere la magistratura che aveva posto sotto sequestro gli impianti. La Corte Costituzionale vincolava il proprio parere di costituzionalità di quella legge solo all’effettiva e scrupolosa esecuzione del cronoprogramma, che è invece saltato.
In questa situazione del tutto anomala che ha fatto il Parlamento? Ha messo una toppa.

Con la nuova legge approvata oggi in Parlamento, l’Ilva e altri impianti strategici possono essere autorizzati a produrre anche se non rispettano l’AIA integralmente in base all’articolo 7 comma 8 che consente l’attività produttiva a condizione che “siano stati avviati gli interventi necessari ad ottemperare ad almeno l’80 per cento del numero complessivo delle prescrizioni contenute nelle autorizzazioni integrate ambientali, ferma restando la non applicazione dei termini previsti dalle predette autorizzazioni e prescrizioni”.Questo recita l’articolo 7 comma 8 del del decreto-legge 10 dicembre 2013, n.136, ieri convertito definitivamente in legge dal Senato.

Che cosa significa questo?

Fate attenzione.

a) Le prescrizioni dell’AIA ILVA sono 94 (più due).
b) La prescrizione n. 1 riguarda la copertura del parco minerali.
c) E’ del tutto ovvio che con questa legge si sancisce la possibilità di non coprire il parco minerali (che vale solo l’1% delle prescrizioni).

Non solo. Quella norma consente di produrre anche se non sono state realizzate le prescrizioni. Basta che siano “avviati gli interventi”. Infatti la sapiente manina che ha redatto la legge precisa: “fermo restando la non applicazione dei termini previsti dalle predette autorizzazioni e prescrizioni”. Il che significa che è importante avviare un’opera di risanamento, non finirla nei termini temporali previsti dalle prescrizioni.
Con buona pace della Corte Costituzionale che richiedeva il rispetto rigoroso del cronoprogramma con la “puntuale, scrupolosa e costante osservanza dell’AIA”.
In sintesi, come abbiamo già detto, la legge si rispetta al 100% e non all’80%. E così pure le prescrizioni dell’AIA che sono state incorporate nella legge Salva-Ilva del dicembre 2012 che gli allora sostenitori oggi si pentono di aver fatto in quanto non può essere rispettata dall’ILVA. Se non si rispettava la legge del dicembre 2012 scattava per l’ILVA una multa fino al 10% del fatturato. Ora non più, la vecchia legge era “troppo severa” e andava cambiata. E l’hanno cambiata, proprio loro che nel dicembre 2012 giuravano trionfalmente che l’AIA sarebbe stata realizzata in tempi rapidi e che l’ILVA sarebbe diventata una fabbrica modello. Andate a leggere le dichiarazioni degli ecodem del PD.

Paradossale, vero?

Sullo sfondo di questa legge di sanatoria c’è la tragedia di Taranto, a cui per la verità il relatore del PD, il senatore Pasquale Sollo, ha fatto cenno con queste veritiere parole: “Per ciò che riguarda la perizia epidemiologica, i modelli adottati dai periti di parte nominati dalla procura di Taranto hanno attribuito per tutte le cause di morte, nei sette anni considerati: un totale di 11.550 morti, con una media di 1.650 morti all’anno; un totale di 26.999 ricoveri, con una media di 3.857 ricoveri all’anno, soprattutto per cause cardiache, respiratorie e cerebrovascolari. Gran parte delle sostanze rilevate nella perizia sulle emissioni sono state poi considerate in quella epidemiologica come «di interesse sanitario». Gli esiti sanitari per cui secondo taluni esiste una «forte evidenza scientifica» di un possibile danno che potrebbe essere attribuito alle emissioni del siderurgico sarebbero: mortalità per cause naturali, patologie cardiovascolari e respiratorie (queste ultime in particolare per i bambini), tumori maligni e leucemie”.
Non occorre aggiungere altro

Tanti, maledetti e subito. Ltf viene a riscuotere, e presto

http://www.tgvallesusa.it/?p=5155

SCRITTO DA: MASSIMO BONATO – FEB• 05•14
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Dieci giorni di tempo per pagare l’ingiunzione a LTF

Il movimento No Tav non ha avuto tempo di ringraziare chi ha dato respiro e speranza ai tre tartassati da tribunale e Ltf – Alberto Perino, Loredana Bellone e Giorgio Vair -, per l’ingiunzione di un risarcimento di 215.043,82 euro che arriva in serata la notizia riportata qui di seguito.

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COMUNICAZIONE APPENA GIUNTA DA ALBERTO PERINO.

MASSIMA CIRCOLAZIONE, MASSIMA URGENZA.

Questa sera, ai nostri avvocati, è arrivato il fax dell’avvocato Mittone (LTF) con la richiesta del pagamento di quanto stabilito dal giudice del tribunale di Torino, sezione distaccata di Susa.

Ci danno 10 giorni di tempo per pagare e così,  en passant, hanno pure provato a farci su la cresta tentando di fregarci 5.107, 73 euro dell’IVA (che non è dovuta in quanto LTF la scarica).

In totale con tutti gli ammennicoli vari ci hanno richiesto 215.043,82 euro dieci giorni di tempo per pagare e poi se li vengono a prendere.

Grazie di quanto si riuscirà a fare in questi dieci giorni.

Fate girare. Grazie.

Alberto anche per gli altri tartassati.

I contributi devono essere versati esclusivamente sul conto corrente postale per le spese legali NO TAV  n.1004906838 – IBAN – IT22L0760101000001004906838 intestato a

Pietro Davy e Maria Chiara Cebrari.

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Per saperne di più:

Tav. Denunce e risarcimenti

COLPEVOLI DI DIFENDERE LA NOSTRA TERRA E I BENI COMUNI