GUINÉE ÉQUATORIALE: MANDAT D’ARRÊT CONTRE 16 PERSONNES, DONT L’AVOCAT FRANÇAIS BOURDON ET UN DIGIGEANT DE ‘TRANSPARENCY FRANCE’, POUR ‘TERRORISME ET FINANCEMENT DE TERRORISME’ !

# WEBTV LA VOIX DE LA GUINEE EQUATORIALE/

SCOOP GUINEE EQUATORIALE

WLVDLGE - Bourdon mandat d'arrêt en ge (2019 01 26) FR

Les suites du coup terroriste des 26-27 décemlbre 2017 à Mongomo en Guiné Equatoriale, à la frontière camérounaise et en France :

16 mandats d’arrêt lancés à Malabo, dont Me Bourdon et un dirigeant de Transparency France, pour « terrorisme et financement de terrorisme » !

Les 16 personnes visées par le mandat d’arrêt sont soupçonnées d’être impliquées dans le financement d’une tentative de coup d’Etat contre le président Teodoro Obiang Nguema, qui aurait été déjouée fin 2017.

La Guinée équatoriale a lancé un mandat d’arrêt contre seize personnes, dont l’ex-président de la section française de l’ONG Transparency International et Me William Bourdon, l’avocat français dans l’affaire dite « des biens mal acquis ». Daniel Lebègue, ex-président de la section française de l’ONG anticorruption ‘Transparency International’, fait partie des personnalités visées par le mandat d’arrêt. Selon un communiqué officiel lu à la radio d’Etat, il est recherché pour « blanchiment de capitaux et financement du terrorisme ». Dans le viseur du tribunal de Malabo également, Me William Bourdon, l’avocat français en pointe dans l’affaire dite des biens mal acquis, et Salomon Abeso Ndong, un des dirigeants d’une des CORED (il y en a plusieurs rivales) en exil. Les autorités judiciaires équato-guinéennes invitent les 16 personnes recherchées à se rendre à Malabo pour comparaître de leur propre initiative.

Les personnes qui font l’objet du mandat d’arrêt sont soupçonnées d’avoir financé une tentative de coup d’Etat contre le président Teodoro Obiang Nguema en 2017. Selon le communiqué équato-guinéen, les personnes recherchées qui refuseraient de se rendre à Malabo seraient considérées comme des « rebelles ».

ME BOURDON ET LE MILLIARDAIRE GEORGES SORÖS DEJA ACCUSE LORS DU PROCES DE PARIS EN JUIN 2017

Le mercenaire anglais Simon Mann, impliqué dans une tentative de coup d’Etat en 2004 contre le président équato-guinéen Teodoro Obiang, a accusé en juin 2017 le millardaire américain Georges Soros et l’avocat de Transparency William Bourdon d’avoir voulu renverser le régime.

Simon Mann, 65 ans, était cité par la défense de Teodorin Obiang, fils du président équato-guinéen, jugé à Paris dans l’affaire des biens mal acquis, devant le tribunal correctionnel de Paris. Condamné à 34 ans de prison en Guinée équatoriale pour la tentative de coup d’Etat, Simon Mann a été gracié par le président Obiang puis libéré en 2009. « Je n’ai pas de preuve écrite », a-t-il averti avant de livrer son récit. A la barre, le sexagénaire en costume sombre a affirmé avoir en 2011 « averti » le président Obiang que le financier américain « George Soros et William Bourdon », ainsi que deux autres protagonistes du coup d’Etat raté de 2004, l’opposant en exil Severo Moto et l’homme d’affaires Ely Khalil, « avaient l’intention de renverser le gouvernement ».« J’ai expliqué au président que ça pouvait être par n’importe quel moyen », a-t-il poursuivi. Selon lui, le président Obiang lui a alors produit un courriel de 2007, « du bureau d’Ely Khalil à M. Bourdon, qui mettait en cause le comportement du vice-président », Teodorin Mangue Obiang Gnuema.

Selon Simon Mann, ceux qu’il a désignés envisageaient « toutes les options, y compris légales ». Questionné par la présidente, il a affirmé qu’il n’avait pas été payé pour sa déposition devant le tribunal, mais défrayé.

L’avocat de Teodorin Obiang, Me Emmanuel Marsigny, a ensuite versé aux débats le fameux courriel de 2007, expliquant qu’il l’avait obtenu car il se trouvait dans les pièces de la défense du CCFD Terre Solidaire, qui avait été poursuivi par le président équato-guinéen en diffamation …

LM – ECUATORIAL GUINEA TV /

WEBTV LA VOIX DE LA GUINEE EQUATORIALE/

2019 01 26

# EN SAVOIR PLUS :

* Voir aussi  sur ECUATORIAL-GUINEA-TV/

LUC MICHEL DIT TOUT SUR LES COMMANDITAIRES DU COUP TERRORISTE DE FIN DEC. CONTRE OBIANG GNUEMA MBSOGO

Sur https://vimeo.com/260780910

* Voir aussi sur EODE-TV/

LUC MICHEL:

AFFAIRE DITE ‘DES BIENS MAL ACQUIS’. COMPLOT CONTRE LA GUINEE

EQUATORIALE AU ‘PROCÈS’ DE PARIS

sur https://vimeo.com/198856065

* Voir sur EODE-TV/

LUC MICHEL:

LE COMPLOT CONTRE LA GUINEE EQUATORIALE ETABLI

(LES MASQUENT TOMBENT AU PROCES DIT ‘BIENS MAL ACQUIS’)

sur https://vimeo.com/223738032

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DESTABILISATION DU VENEZUELA (I) : LE COUP D’ETAT CONSTITUTIONNEL ABOUTISSEMENT DE DEUX DECENNIES D’AGRESSION U.S.

 

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Luc MICHEL pour EODE/

Quotidien géopolitique – Geopolitical Daily/

2019 01 26/
LM.GEOPOL - Venezuela I (2019 01 26) FR

« C’est l’heure des brasiers, et il ne faut voir que la lumière »

– José Marti

 Ce 25 janvier, Nicolas Maduro a qualifié Juan Guaido, le président putschiste pro-US de l’Adssemblée national qui s’est auto-proclamé président, d’une « marionnette dont les ficelles sont tirées par les Etats-Unis » tout en se disant prêt à s’asseoir à la table du dialogue avec lui. Le chef de l’opposition Juan Guaido s’est en effet autoproclamé mercredi 23 janvier en tant que « président en exercice » du pays (sic) et « a prêté serment » (resic) pendant une manifestation à Caracas.

COMPRENDRE LA TENTATIVE DE PUTSCH CONSTITUTIONNEL ORGANISEE PAR LES USA …

J’ai beaucoup analysé sur divers média la crise du Venezuela ces dernières heures.
Mon analyse qui résume tout est celle faite pour le ‘REPORTAGE’ de PRESS TV (Iran) ce 24 janvier :

* Voir sur PCN-TV/

PRESS TV (IRAN) INTERVIEWE LUC MICHEL:

LE PUTSCH CONSTITUTIONNEL AU VENEZUELA ET LE PLAN US POUR L’AMERIQUE LATINE

sur https://vimeo.com/313349600

La présentation de la Télévision iranienne francophone iranienne indique l’inquiétude que suscite le dernier putsch pro-américain organisé par Washington et Lima au sein des Pays du Bloc émergent de l’Organisation de Coopération de Shanghai (dirigé par Moscou et Pékin et dont Téhéran est membre), inquiétude partagée par beaucoup en Afrique.

Que dit PRESS TV ?

Qui titre « Venezuela : nouveau terrain d’affrontement des deux blocs » et dénonce « Le plan US pour l’Amérique latine » : « Plusieurs pays, dont l’Iran, la Russie, la Chine et la Syrie, ont réagi au coup d’État manqué contre le Venezuela. Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Bahram Qassemi, a condamné la tentative manquée de coup d’État au Venezuela au travers de laquelle ont été aperçues les mains de l’administration américaine.

Quelle est votre analyse sur ce qui se passe au Venezuela ?

Est-ce qu’après avoir provoqué le désordre au Moyen-Orient via les forces terroristes de Daech, les États-Unis ciblent à présent l’Amérique latine ?

COMME EN LIBYE OU EN SYRIE : COMMENT WASHINGTON VOUDRAIT TRANSFORMER LA CRISE EN INTERVENTION MILITAIRE ?

En refusant d’admettre la réélection du président Maduro, en apportant leur soutien politique et financier au « président par intérim » autoproclamé Juan Guaido, les Américains cherchent à créer une situation qui s’apparenterait à une guerre civile et ce, dans le strict objectif de justifier une action militaire contre le Venezuela, mais celui-ci a reçu le soutien de taille de l’Iran, de la Russie, de la Chine voire même de la Turquie.

Après que les États-Unis, qui convoitent le pétrole vénézuélien, ont reconnu le chef de l’opposition Juan Guaido, dans le cadre de leur énième tentative de déstabilisation à l’encontre d’un État qui refuse de se résigner à leurs diktats, le président vénézuélien Nicolas Maduro a déclaré, ce vendredi 25 janvier, « qu’il ne voyait aucune raison pour se retirer du pouvoir ». « Je suis vivant et en bonne santé. Je ne vois donc aucune raison pour démissionner », a déclaré Nicolas Maduro lors d’une conférence de presse.

Il a ensuite annoncé qu’un exercice militaire serait organisé du 10 au 15 février par les forces armées vénézuéliennes :

« Les forces armées de notre pays démontreront que personne ne peut attaquer le Venezuela. Cet exercice militaire devra prouver la capacité de nos forces à protéger le sol, les côtes et les rivières du Venezuela. L’armée de notre pays a la capacité de contrer tout ennemi impérialiste voulant s’infiltrer dans le sol vénézuélien » a réaffirmé le président légal du Venezuela. Il a souligné que « le peuple vénézuélien et les forces armées du pays empêcheraient les États-Unis de lancer un coup d’État dans le pays ». « Des millions de personnes, aux quatre coins du monde, savent parfaitement que le Venezuela est un pays démocratique et que la récente crise dans ce pays est alimentée par une tentative de coup d’État américaine », a déclaré Nicolas Maduro. Et d’ajouter : « Les États-Unis ont convoqué une réunion sur le Venezuela au Conseil de sécurité. Laissez la réunion avoir lieu ! On la saluera. C’est ce que nous voulons. Je vais demander au ministre des Affaires étrangères du pays de se rendre à New York pour défendre le Venezuela ».

# COMPRENDRE LE DOSSIER DU VENEZUELA :

PRES DE DEUX DECENNIES DE DESTABILISATION, DE COUPS D’ETAT ET DE « REVOLUTIONS DE COULEUR » RAMPANTES …

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

Géopolitique – Géoéconomie – Géoidéologie – Géohistoire –

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(Vu de Moscou et Malabo) :

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Tav, guerra finale della Lega a colpi di (vecchi) numeri

https://www.ilfattoquotidiano.it/in-edicola/articoli/2019/01/27/tav-guerra-finale-della-lega-a-colpi-di-vecchi-numeri/4927073/

I veri costi – Saltata ogni ipotesi di compromesso su un progetto “ridotto”, Salvini pronto a contestare l’analisi costi-benefici degli esperti di Toninelli
Tav, guerra finale della Lega a colpi di (vecchi) numeri

Non resta che la guerra finale: la Lega ha capito che non riuscirà a ottenere alcun compromesso dal Movimento Cinque Stelle sull’Alta velocità Torino Lione.

E così prepara le munizioni per contestare l’analisi costi e benefici (pare molto negativa) della commissione di esperti al ministero dei Trasporti appena il ministro Danilo Toninelli la pubblicherà a febbraio.

Per qualche giorno i leghisti avevano coltivato l’ipotesi di un “mini Tav” al posto di quello in costruzione. Ma poiché non era affatto mini – restava il tunnel principale e si risparmiavano soltanto 1,7 miliardi, a fronte di riduzioni consistenti anche dei benefici – e poiché i Cinque Stelle e i movimenti no Tav non hanno lasciato margini, la Lega ora prepara l’ultima trincea.

Ai giornali di ieri i leghisti hanno fatto filtrare di avere pronta una contro-analisi costi-benefici che sarebbe favorevole al Tav.

Possibile che in pochi giorni Salvini e soci abbiano fatto lo stesso lavoro che ha richiesto mesi al professor Marco Ponti e agli altri esperti riuniti da Toninelli?

Come spiega un importante leghista di governo, “non c’è un vero studio alternativo, ma stiamo raccogliendo documenti e dati per essere pronti quando l’analisi costi-benefici di Toninelli sarà pubblicata, per esempio abbiamo recuperato i dati dell’Osservatorio di palazzo Chigi sul Tav”.

È il solito organismo guidato dall’ingegner Paolo Foietta che in questi anni ha alimentato tutto il fronte pro-Tav.

Ma Ponti e gli altri esperti hanno cercato di prevenire le critiche e hanno basato la loro analisi costi-benefici proprio sui dati e le previsioni di traffico merci dell’Osservatorio, in modo che nessuno potesse contestare i numeri dello studio.

Tra Francia e Italia passano circa 42 milioni di tonnellate di merci ogni anno, solo 3,9 milioni via treno, in declino rispetto a 20 anni fa.

Finora per il Tav Torino-Lione sono stati spesi circa 1,4 miliardi: ne mancano altri 10.

Andare avanti costerebbe all’Italia almeno 3 miliardi (il 35% del tunnel di base, 8,6 miliardi secondo il costruttore Telt) più i due per il collegamento finale da parte italiana.

Dopo aver vagheggiato per anni miracolosi benefici – sempre più difficili da sostenere visto che il traffico merci e passeggeri con la Francia è stagnante – la Lega si prepara a contestare la stima dei costi effettivi dello stop ai lavori.

Nello scarno dossier leghista c’è anche un articolo di due economisti della Bocconi appena uscito su Lavoce.info, sito che in passato ospitava gli articoli di Ponti e del suo braccio destro Francesco Ramella molto critici sul Tav.

Oggi invece Massimo Tavoni e Marco Percoco (Politecnico di Milano e Bocconi) attaccano frontalmente il lavoro di Ponti e sostengono: “Le analisi costi-benefici sono difficili da fare e non è sorprendente avere casi di risultati discordanti, ma vista la rilevanza pubblica e l’acceso dibattito anche in seno al governo è utile un ulteriore approfondimento”.

Tavoni e Percoco sollevano un argomento che la Lega è già pronta a usare: quando le merci si spostano dalla strada (tir) alla ferrovia, lo Stato perde gettito fiscale dalle accise sui carburanti, ma – dicono Tavoni e Percoco – è sbagliato includere questo mancato introito tra i costi dell’opera perché le accise sono molto superiori al danno ambientale che devono compensare (l’inquinamento) e quindi sono solo tasse che non c’entrano con l’analisi costi- benefici dell’opera. Applicando questa correzione all’analisi sul Terzo Valico di Genova – bocciato dalla commissione Ponti ma promosso dal governo i costi scendono di 900 milioni e l’analisi diventa positiva.

Ma Ponti e soci hanno prevenuto l’obiezione e nel loro studio hanno considerato il fatto che il danno per lo Stato da mancato gettito è un beneficio per i contribuenti, che pagano meno tasse, quindi i due effetti si elidono e l’obiezione di Tavoni e Percoco non è rilevante.

Ma la battaglia finale dei numeri è appena cominciata.

Costi e benefici delle nuove linee ferroviarie: chi ha ragione?

25.01.19

Le analisi costi-benifici danno importanti informazioni, ma non possono sostituirsi alle decisioni politiche. Anche perché sono tanti i parametri che ne influenzano i risultati. E a condurle dovrebbero essere gruppi di esperti con competenze diverse.

La nuova analisi costi-benefici sulla Tav

Il documento sull’analisi costi-benefici della Tav non è ancora stato reso noto, ma si è già saputo che l’esito è negativo, come lo è stato per quella relativa al Terzo valico, nonostante le precedenti fossero positive. Le analisi costi-benefici sono difficili da fare e non è sorprendente avere casi di risultati discordanti, ma vista la rilevanza pubblica e l’acceso dibattito anche in seno al governo è utile un ulteriore approfondimento (si veda quiqui e qui).

Le nuove analisi costi-benefici sono state condotte da un gruppo di lavoro incaricato dal ministero delle Infrastrutture e dei Trasporti, composto dal coordinatore Marco Ponti (architetto, ex professore ordinario del Politecnico di Milano) e altri quattro membri: Paolo Beria (ingegnere civile ed ex studente di dottorato di Ponti, professore associato del Politecnico di Milano), Alfredo Drufuca (amministratore delegato di Polinomia srl, laureato in ingegneria al Politecnico di Milano), Riccardo Parolin (architetto ed esperto presso la società di consulenza TRT di cui Ponti è direttore) e Francesco Ramella (ingegnere con un dottorato di ricerca in trasporti presso il Politecnico di Torino e autore con Ponti di un recente libro sull’analisi dei progetti infrastrutturali).

Nell’ipotesi che la metodologia seguita per il Terzo valico sia la stessa applicata per la Tav, come sottolineato nello stesso documento, ci concentriamo sulla prima per alcune considerazioni. In quello studio si rimarca come l’unica precedente analisi costi-benefici del 2003 (per la Torino-Lione ne sono state fatte molte di più) avesse aspetti problematici, incluse le stime di domanda e la metodologia, e facesse ipotesi poco prudenziali. La nuova analisi calcola tutte le voci principali, compresi il surplus del consumatore e del produttore, le esternalità ambientali, di incidentalità e di congestione. Il documento sviluppa anche tre scenari principali.

Le accise sono costi?

I risultati mostrano che i costi a finire dell’opera (che considerano quelli già sostenuti nel passato) superano i benefici per un valore attuale netto (negativo) di circa 1,5 miliardi di euro, che salgono a 2,3 nello scenario pessimistico, mentre in quello ottimistico i benefici sono marginalmente superiori ai costi. Dal dettaglio dei costi e benefici emerge in maniera evidente come siano le riduzioni delle accise su benzina e gasolio e dei pedaggi le voci di costo principale (oltre ovviamente ai costi d’investimento). A seguito dello spostamento da gomma a ferrovia, le entrate fiscali delle accise si ridurrebbero di un valore stimato pari a circa 900 milioni di euro nello scenario centrale.

Citando un documento di un progetto europeo del 2006, il gruppo di lavoro considera queste voci come costi. Si tratta tuttavia di una prassi non condivisa da tuttiNel manuale sull’analisi costi-benefici di E. J. Mishan e Euston Quah (pag. 240) le correzioni dell’onere fiscale in eccesso sono considerate un errore. Le linee guida della Commissione europea, poi, chiariscono che le tasse sono trasferimenti e non costi. L’eccezione è quando le tasse indirette sono intese come correzioni di esternalità. Ma a parte che le accise vanno ben oltre il costo marginale ambientale, il conteggio delle esternalità ambientali è già contenuto nelle analisi. Un discorso simile si può fare per i pedaggi, che spesso vengono considerati trasferimenti.

La questione è complessa ed effettivamente molto dibattuta in letteratura. Ha tuttavia un impatto significativo sui risultati dell’analisi costi-benefici, come mostrato nella figura 1. Partendo dal risultato base, correggendo per le accise, il valore attuale netto si dimezza e se si fa lo stesso anche per i pedaggi, diventa positivo. Un ribaltamento dell’esito.

I fattori di incertezza

Come è possibile immaginare, vi sono molti altri parametri che possono influenzare i risultati dell’analisi. Purtroppo, l’analisi costi-benefici del Terzo valico non contiene un’analisi di sensitività dettagliata. Risulta pertanto difficile sapere quanto i risultati siano robusti o sensibili a particolari ipotesi.

A ciò vanno aggiunte altre questioni che introducono ulteriore incertezza nell’analisi: 1) 390 milioni di euro dei costi di investimento (pari a 6,2 miliardi) hanno una natura squisitamente finanziaria e, come tali, non dovrebbero trovare spazio in un’analisi di benessere sociale; 2) nel calcolare i costi evitati per le autovetture si ipotizza l’esistenza di “costi percepiti”, tra cui l’ammortamento, la cui inclusione in un’analisi di convenienza sociale non è scontata; 3) la stima degli effetti (in riduzione) della congestione stradale non è stata condotta in maniera originale con uno studio di traffico specifico come richiederebbe la situazione; 4) il documento non riporta analisi di traffico e di valore del tempo risparmiati specifiche del progetto, ma si limita ad alcune considerazioni non sempre applicabili al caso italiano, al punto che nessun progetto di miglioramento infrastrutturale verrebbe non solo finanziato, ma nemmeno considerato e valutato; 5) gli autori propongono un valore del tempo delle merci pari a 50 centesimi di euro per tonnellata all’ora, che sembrerebbe essere oltre un quarto rispetto alla pratica comune.

Le analisi costi-benefici sono strumenti informativi importanti, ma non sostituiscono la scelta politica. Dal loro esito non dovrebbero dunque dipendere decisioni politiche, la cui responsabilità dovrebbe gravare interamente su chi le prende. In ogni caso, vista l’incertezza sui risultati di cui qui si è dato parziale conto, sarebbero opportune ulteriori analisi, anche di robustezza. E le commissioni che le effettuano dovrebbero essere scelte per bandi pubblici e dovrebbero contenere una varietà di competenze, incluse quelle economiche.

Figura 1 – Valore attuale netto (milioni di euro) del progetto del Terzo Valico nello scenario base (colonna di sinistra). Le due colonne di destra mostrano come il valore attuale netto cambi (fino a diventare positivo) quando le accise e i pedaggi vengano considerati come trasferimenti e non come costi.

Fonte: elaborazione degli autori dai dati dell’analisi del gruppo di lavoro.

23/03 Roma. Appello “Marcia per il clima, contro le grandi opere inutili”

http://www.notav.info/post/23-03-roma-appello-marcia-per-il-clima-contro-le-grandi-opere-inutili/

notav.info

post27 Gennaio 2019 at 13:27

Si è svolta ieri pomeriggio presso l’Università la Sapienza di Roma una partecipatissima assemblea nazionale in vista della manifestazione del 23 marzo prossimo che vedrà scendere in piazza nella capitale comitati, associazioni, movimenti e singoli che da anni si battono contro le Grandi Opere Inutili e Imposte e per l’inizio di una nuova mobilitazione contro i cambiamenti climatici e per la salvaguardia del Pianeta.

Abbiamo da subito creduto in  questo percorso, iniziato a fine settembre a Venezia e che il 17 novembre ha avuto proprio a Venaus un momento importantissimo di confronto e rilancio.

Ieri centinaia di persone, dal nord al sud Italia, con entusiasmo ed idee hanno rafforzato i contenuti dell’assemblea, ponendosi obiettivi sempre più alti, volendo rendere più esplicito il legame tra la lotta contro le Grandi Opere Inutili ed un modello di sviluppo che sempre di più spinge l’intero pianeta verso la catastrofe ecologica.

Torniamo in Valsusa carichi di entusiasmo, pronti a metterci nuovamente in marcia.

Qui di seguito trovate l’appello prodotto dall’assemblea:

MARCIA PER IL CLIMA, CONTRO LE GRANDI OPERE INUTILI 
non serve il governo del cambiamento, serve un cambiamento radicale
#siamoancoraintempo

Chi siamo
Siamo i comitati, i movimenti, le associazioni e i singoli che da anni si battono contro le grandi opere inutili e imposte e per l’inizio di una nuova mobilitazione contro i cambiamenti climatici e per la salvaguardia del Pianeta. Abbiamo iniziato questo percorso diversi mesi fa, ritrovandoci a Venezia lo scorso settembre, poi ancora a Venaus, in Val Susa e in molti altri luoghi, da nord a sud, dando vita ad assemblee che hanno raccolto migliaia di partecipazioni. Siamo le donne e gli uomini scesi in Piazza lo scorso 8 dicembre a Torino, a Padova, Melendugno, Niscemi, Firenze, Sulmona, Venosa, Trebisacce e in altri luoghi.
Dall’assemblea di Roma del 26 gennaio lanciamo l’invito di ritrovarsi a Roma il 23 Marzo per una manifestazione nazionale che sappia mettere al centro le vere priorità del paese e la salute del Pianeta.

Grandi opere e cambiamento climatico
Il modello di sviluppo legato alle Grandi Opere inutili e imposte non è solo sinonimo, come denunciamo da anni, di spreco di risorse pubbliche, di corruzione, di devastazione e saccheggio dei nostri territori, di danni alla salute, ma è anche l’incarnazione di un modello di sviluppo che ci sta portando sul baratro della catastrofe ecologica.
Il cambiamento climatico è uscito da libri e documentari ed è venuto a bussare direttamente alla porta di casa nostra.
Nel nostro paese questa situazione globale si declina in modo drammatico. La mancanza di manutenzione delle infrastrutture, la corruzione e la cementificazione selvaggia seminano morti e feriti a ogni temporale, a ogni ondata di maltempo, a ogni terremoto.
Il cosiddetto “governo del cambiamento“ si è rivelato essere in continuità con tutti i precedenti, non volendo cambiare ciò che c’è di più urgente: un modello economico predatorio, fatto per riempire le tasche di pochi e condannare il resto del mondo a una fine certa. Le decisioni degli ultimi mesi parlano chiaro.
Mentre ancora si tergiversa sull’analisi costi benefici del TAV in Val di Susa, il governo ha fatto una imbarazzante retromarcia su tutte le altre grandi opere devastanti sul territorio nazionale: il TAV terzo Valico, il TAP e la rete SNAM, le Grandi Navi a Venezia, il MOSE, l’ILVA a Taranto, il MUOS in Sicilia, la Pedemontana Veneta, oltre al al tira e molla sul petrolio e le trivellazioni , con rischio di esiti catastrofici nello Ionio, in Adriatico, in Basilicata ed in Sicilia.

Giustizia sociale è giustizia climatica
Le catastrofi naturali non hanno nulla di naturale e non colpiscono tutti nella stessa maniera. Lo vediamo purtroppo quotidianamente e chi sta in basso, infatti, paga i costi del cambiamento climatico e della mancata messa in sicurezza dei territori.
È vero fuori dai grandi centri cittadini, dove la devastazione ambientale mangia e distrugge la natura, ma è vero anche negli agglomerati urbani, luoghi sempre più inquinati in cui persino i rifiuti diventano un business redditizio.
È vero non solo dal nord al sud dell’Italia, ma anche dal nord al sud del nostro pianeta.
Milioni di migranti climatici sono costretti a lasciare le proprie terre ormai rese inabitabili e vengono respinti sulle coste europee.
Nel nostro paese terremotati e sfollati vivono in situazione precarie, carne da campagna elettorale mentre le risorse per la ricostruzione non sono mai la priorità per alcuna compagine politica.
Quando le popolazioni locali, in Africa come in Europa, provano ad opporsi a progetti tagliati sui bisogni di multinazionali e lobby cementifere la reazione dello Stato è sempre violenta e implacabile.
L’unica proposta “verde” dei nostri governanti è di scaricare non soltanto le conseguenze ma anche i costi della crisi ecologica su chi sta in basso.
Noi diciamo che se da una parte la responsabilità di rispondere al cambiamento climatico è collettiva e interroga i comportamenti di ciascuno di noi, dall’altra siamo convinti che i costi della transizione ecologica debbano ricadere sulle spalle dei ricchi, in primis le lobbies che in questi anni si sono arricchite accumulando profitti, a discapito della collettività e dei beni comuni.

Il sistema delle grandi opere inutili e il capitalismo estrattivo sono altrettante espressioni del dominio patriarcale che sollecita in maniera sempre più urgente la necessità di riflessione sul legame tra donne, corpi e territori e sarà uno dei temi portato nelle piazze dello sciopero transfemminista globale dell’8 marzo.

E’ giunto il momento di capire di cosa il nostro paese e il nostro pianeta hanno davvero bisogno.
Si potrà finalmente cominciare a dare priorità alla lotta al cambiamento climatico, cessando così di contrapporre salute e lavoro come invece è stato fatto a Taranto, dove lo stato di diritto è negato e chi produce morte lo può fare al riparo da conseguenze legali solo:
– riducendo drasticamente l’uso delle fonti fossili e del gas e rifiutando che il paese venga trasformato in un Hub del gas
– negando il consumo di suolo per progetti impattanti e nocivi e gestendo il ciclo dei rifiuti in maniera diversa sul lungo periodo (senza scorciatoie momentanee) con l’obiettivo di garantire la salute dei cittadini
– praticando con rigore e decisione l’alternativa di un modello energetico autogestito dal basso, in opposizione a quello centralizzato e spinto dal mercato
– abbandonando progetti di infrastrutture inutili e dannose e finanziando interventi dai quali potremo trarre benefici immediati (messa in sicurezza idrogeologica e sismica dei territori , bonifiche, riconversione energetica, educazione e ricerca ambientali)

E’ urgente garantire il diritto all’acqua pubblica, una nuova Strategia Energetica Nazionale riscritta senza interessi delle lobbies, la messa a soluzione delle scorie nucleari, la riduzione delle spese militari, il disarmo nucleare.

I nostri territori, già inquinati da discariche fuori controllo, inceneritori e progetti inutili, sono oltremodo distrutti da monoculture e pesticidi che determinano desertificazione e minano la possibilità di una sempre maggiore autodeterminazione alimentare.

E’ necessario che le risorse pubbliche vengano destinate ad una buona sanità, alla creazione di servizi adeguati, al sostegno di una scuola pubblica e di università libere e sganciate dai modelli aziendalisti, ad un sistema pensionistico decoroso, ad una corretta politica sull’abitare e di inclusione della popolazione migrante con pari diritti e dignità.

Appuntamenti verso il 23 marzo (agenda ancora in aggiornamento):
27 gennaio: Vicenza. Assemblea regionale dei comitati veneti
2 febbraio: Roma. Rete Stop TTIP Assemblea nazionale
2 febbraio: Napoli. Assemblea Regionale Stop Biocidio
3 febbraio: Termoli. Assemblea di movimenti e comitati in lotta contro la deriva petrolifera.

23 febbraio: Tito. Assemblea coi sindaci No Triv della Basilicata e della Campagna.
Fine febbraio (data in definizione): Napoli. Prossima assemblea nazionale verso il 23 marzo.
8 marzo: Non una di Meno – Sciopero Globale Transfemminista.
8-9-10 marzo: Roma. A Sud. Tavoli su giustizia climatica, energia, ecofemminismo.
15 marzo: Global Climate Strike
22 marzo: Roma. Giornata su alimentazione agroecologia a cura di Genuino Clandestino
15-31 marzo: Fabriano. Festival Terre Altre.

Siamo ancora in tempo per bloccare le grandi opere inutili e inutili
Siamo ancora in tempo per contrastare il cambiamento climatico
Siamo ancora in tempo per decidere NOI il nostro futuro!

GIORNATA DELLA MEMORIA

http://fulviogrimaldi.blogspot.com/2019/01/giornata-della-memori.html

MONDOCANE

DOMENICA 27 GENNAIO 2019

Il maresciallo Rodolfo Graziani massacra la Libia, occupata e seviziata dal 1911, chiude in campi di concentramento (i primi!) metà della popolazione e uccide seicentomila libici, tra civili e partigiani della resistenza, un terzo della popolazione, brucia centinaia di villaggi, bombarda centri abitati e carovane, avvelena i pozzi, impicca centinaia di libici, tra cui l’ottantenne leader della Resistenza, Omar al Mukhtar.

Gli Stati Uniti, dal 1945 ad oggi, iniziando con l’invasione della Corea e poi del Vietnam e poi proseguendo con la storica media di una guerra d’aggressione all’anno, con colpi di Stato, guerre civili innescate ad arte, sanzioni genocide, uccidono 50 milioni di persone nel mondo. Nel solo Vietnam sono uccisi 3 milioni di civili, mentre gli effetti del napalm e dell’agente Orange continuano a far nascere e morire decine di migliaia di bambini deformi.

Re Leopoldo del Belgio, occupante colonialista del Congo, provoca la morte di 20 milioni di congolesi. Il genocidio prosegue nel ‘900 per opera di fantocci dell’Occidente e delle multinazionali che controllano i territori delle risorse mineraria attraverso l’intervento del protettorato franco-statunitense del Ruanda e l’uso di milizie tribali.

Mussolini, nella guerra d’Etiopia, fa uccidere da Graziani e Badoglio 280mila abissini, 5 milioni di buoi, 7 milioni di ovini,1 milione di cavalli, 700mila cammelli. Vengono bruciate 2000 chiese e distrutte 525mila case e capanne. L’Italia perde 4.350 militari coscritti o volontari.

Per assicurare all’Italia Trento e Trieste, che l’Austria è pronta a cedere se l’Italia non dovesse entrare in guerra, e colonizzare il Sud Tirolo, il potere industriale e bancario italiano commissiona al governo Salandra e al re Vittorio Emanuele III l’ingresso in guerra. Cadono 600mila italiani, perlopiù contadini e operai, molti fucilati dai propri ufficiali. Scompare una generazione.

Nella guerra d’Algeria il regime colonialista francese rinchiude 3 milioni di algerini in campi di concentramento della tortura e dello stupro. 1 milione di algerini, su 10 milioni scarsi di abitanti. viene ucciso.

Un milione di antinazisti tedeschi vengono trucidati dal Reich tra il 1933 e il 1940.

Vogliamo parlare di Palestina 1945-2019?

Ci fermiamo qui, con un pensiero al bambino che ogni 3 secondi muore di fame e malattia nel mondo per il modo di gestire l’umanità da parte dell’Occidente.

Pubblicato da Fulvio Grimaldi alle ore 09:33

Piemonte, la fanta alleanza Pd-Fi in nome della Tav

https://ilmanifesto.it/piemonte-la-fanta-alleanza-pd-fi-in-nome-della-tav/

25 genn 19 Manifesto 

Grandi opere. Circola un sondaggio in vista delle regionali che sponsorizza le larghe intese in nome della grande opera. Le “madamin” negano la maternità dell’operazione, che potrebbe chiamarsi “l’onda”

Mauro Ravarino

In Piemonte si avvicinano le elezioni regionali. E, mentre gli schieramenti si definiscono e il Tav egemonizza il dibattito politico, aleggia un sondaggio segreto commissionato per valutare se una lista centrista Sì Tav – promossa da alcune delle organizzatrici delle due manifestazioni a favore della Torino-Lione, magari dal nome «L’Onda» – possa far nascere un’alleanza tra Forza Italia e Pd.

Attualmente i due partiti, in crisi di consensi, sono su fronti opposti in Regione (i dem guidano la maggioranza) ma sono entrambi all’opposizione a livello nazionale.

Si tratta di un’alleanza da fantapolitica? Forse. Non sembrerebbero, infatti, all’orizzonte nuovi patti del Nazareno. Però, c’è qualcuno che valuta questa opzione, come testimonia il sondaggio commissionato a Ipsos. Ma i protagonisti, interpellati, negano sia in campo una «lista ponte».

Non è nelle possibilità per l’attuale governatore, Sergio Chiamparino, candidato del centrosinistra impegnato a organizzare l’assemblea «Sì al Piemonte del Sì». Sì al Tav e allo sviluppo.

In antitesi a chi, anche nella sua attuale maggioranza, ha sostenuto il movimento No Tav o posto dubbi sulla grande opera (Leu/Sinistra italiana), assurta ormai a simulacro del dibattito non solo piemontese.

Tra i tifosi del Sì, uno degli uomini che più si è esposto negli ultimi tre mesi è l’ex sottosegretario ai Trasporti di Forza Italia Mino Giachino, che proprio nelle ultime ore ha registrato l’associazione «Sì Lavoro Sì Tav. Movimento per la crescita» con l’idea di «non sprecare il grande consenso raccolto» e trasformarla in una lista civica. È quindi lui l’uomo dell’Onda di cui si parla nel sondaggio Ipsos?

«No. Chiamparino ha perso tempo. Il nostro naturale alleato è il centrodestra con la Lega, che mai voterebbe contro la Tav. Non mi basta aver portato tutta questa gente in piazza. La vittoria sarà raggiunta quando avrò fatto cambiare idea al governo. Abbiamo dalla nostra parte la popolazione italiana che è favorevole all’opera per il 72%, prima delle due manifestazioni Sì Tav lo era solo al 50%».

Qualcuno vede Giachino già futuro assessore ai Trasporti di una giunta di centrodestra capitanata ancora da non si sa chi.

Fino a pochi giorni fa il più accreditato sembrava l’europarlamentare di Forza Italia Alberto Cirio, con qualche mal di pancia leghista. Su di lui pesa l’inchiesta Rimborsopoli. In caso di rinvio a giudizio, la sua candidatura franerebbe.

Se a contemplare l’opzione «larghe intese» non sono ufficialmente né Chiamparino né Giachino, lo saranno le sette professioniste che hanno animato la piazza pro Tav?

Anche loro negano. «Dopo le manifestazioni ci siamo prese una pausa, abbiamo ripreso a lavorare: gennaio, essendo tutte professioniste, è un mese di scadenze importanti», spiega Patrizia Ghiazza.
Il sondaggio è senza padri, quel che certo è che le madamin siano corteggiatissime dalla neonata «Grosse Koalition» Sì Tav.

I Cinque stelle candidano, invece, il consigliere uscente ed ex capogruppo Giorgio Bertola.

A sinistra, infine, sono ancora troppe le incertezze.

Tav e lavoro, i numeri reali sugli operai nel cantiere italiano: oggi sono una decina. E se partisse l’opera? 470 per 10 anni

https://www.ilfattoquotidiano.it/2019/01/24/tav-e-lavoro-i-numeri-reali-i-4mila-occupati-che-sono-400-per-10-anni-lo-scenario-formidabile-di-50mila-posti-indiretti/4912302/

Tav e lavoro, i numeri reali sugli operai nel cantiere italiano: oggi sono una decina. E se partisse l’opera? 470 per 10 anni

La battaglia sulla Torino-Lione si gioca anche sulla ricaduta occupazionale. Gli “800 operai attualmente impegnati” raccontati dai giornali? 530 sono in Francia, oltre 250 sono impiegati di Telt, 10 soltanto sono a Chiomonte. Industriali, sindacati e opposizioni lanciano però l’allarme su “4mila posti a rischio”: in prospettiva saranno massimo 720 l’anno con una media di 470 nei dieci previsti. Sull’occupazione indiretta, invece, molti numeri (Confindustria parla di “50mila”) ma nessuna certezza. Ecco il punto

“I numeri degli occupati nei cantieri della Tav già ora e di quelli che saranno impegnati a regime, dicono chiaramente qual è l’impatto positivo sull’occupazione della realizzazione della Tav e le sue importanti ricadute sul Pil nazionale”. Lo dice Sergio Chiamparino al fattoquotidiano.it mettendosi sulla scia dei politici, degli industriali e dei sindacalisti impegnati a salvare l’Alta Velocità sulla tratta Torino-Lione, dopo la bocciatura annunciata dell’opera da parte del team scelto dal governo guidato dal professor Marco Ponti. L’anticipazione ha incendiato il clima politico tra manifestazioni di piazza, mozioni urgenti, ipotesi referendarie e tentativi di formare maggioranze alternative in Parlamento. L’esecutivo giallo-verde viene accusato di essere “irresponsabile” perché, insieme ai treni merci, getterebbe al vento “migliaia di posti di lavoro”: 4mila solo per il “cantiere”, almeno altrettanto per gli indiretti. Addirittura 50mila per il presidente di Confindustria Vincenzo Boccia. La questione occupazionale però resta controversa, al di là delle cifre annunciate, sbandierate e citate sui giornali: per sapere quanti siano gli occupati diretti, impiegati cioè nella realizzazione, bisogna sentire l’azienda che costruisce l’opera mentre su quelli indiretti (il famoso “indotto”) ogni prefigurazione è invece teorica e scivolosa, al punto da essere stata accantonata nell’ultima analisi. Proviamo a fare ordine.

La società italo-francese Telt incaricata di realizzare l’opera spiega che attualmente “sul cantiere italiano si contano una decina di lavoratori, operai perlopiù”. E gli ottocento posti? E i futuri quattromila? “A Chiomonte è tutto bloccato, l’effetto Toninelli è stato questo”, dice al fattoquotidiano.it il presidente dell’Osservatorio sulla Tav Paolo Foietta. “Proprio quando dovevano partire le gare per il lotto grosso – spiega – è arrivata la sospensione e 150 persone che stavano lavorando sono rimaste ferme per sei mesi. Una parte di questo personale è stata spostata sull’altro lato, al cantiere di Saint-Martin-La-Portein Francia, un’altra è in cassa integrazione”. Quanti ne beneficino non si sa, il dettaglio non è noto a Telt, la società italo francese incaricata di realizzare l’opera perché ad attivarla sono le sue aziende fornitrici.

 

Gli 800 “nel cantiere”? 530 in Francia, altri 280 in ufficio
Vediamo di capire però quali posti. Telt spiega che dei circa 800 lavoratori attualmente impiegati 530sono all’opera nel cantiere francese, dove la fresa ha scavato 26 kmUna decina, come detto, sono al cantiere di Chiomonte, dove “lo scavo deve ancora partire e al momento sono impiegati operai per la manutenzione e transizione del cantiere a quello del cunicolo esplorativo, nell’opera di studio del terreno della zona e lo scavo vero e proprio del tunnel di base”. Altre 280 persone sono impiegate tra società di servizi e di ingegneria nella stessa società pubblica che si occupa della realizzazione della Torino-Lione. “A pieno regime i cantieri daranno però impiego diretto a 4.761 lavoratori e altrettanti nell’indotto”. Da dove viene fuori questo dato? La società spiega che è la risultante di studi-parametro effettuati sui dati relativi a cinque opere geognostiche terminate in Francia da Ltf, che l’ha preceduta.

I “4mila posti di lavoro”? Sono 476 in media per 10 anni (poi si chiude)
Va precisato però, giacché quasi nessuno lo fa, che i 4mila posti sono in realtà spalmati in dieci anni con un picco nel 2022-2023 rispettivamente di 756 e 722 addetti e poi il calo fino ai 104 del 2029 (
scarica la tabella con andamento occupazionale). La media per anno è di 476 posti e questo dato – più correttamente rappresentato che nelle semplificazioni da titolo di giornale o nelle dichiarazioni dei politici – rende meglio il peso reale della “questione occupazionale” diretta: vista così, la Tav è l’equivalente di una media azienda di riguardo, importante sicuramente, ma analoga alle 3.787 con più di 250 addetti attive in Italia (dato Istat estratto il 19 gennaio 2019). Semmai con una differenza importante che non depone a favore: la “azienda Tav”, come tutte quelle di cantiere, vive solo per dieci anni. Alla fine lavori, prevista per il 2029, chiude e il 99% delle maestranze mobilitate torna a casa. “Certo – dicono dagli uffici Telt di Torino – alla fine resteranno essenzialmente i responsabili di esercizio e manutenzione dell’opera”.

L’indotto dei “50mila posti”…
Per ammissione degli stessi promotori l’effetto occupazionale della messa in esercizio della linea “non è mai stato incentrato sull’obiettivo di creare qualche centinaio di posti di lavoro”. E’ scritto nelle contro-deduzioni del governo alla Comunità montata ormai sette anni fa: 
quei posti di  lavoro  – si legge nel documento datato 2012 – sono  “un  importante  effetto  indiretto  della  messa  in  esercizio, ma sono solo una piccola parte dei benefici attesi per l’intero sistema economico Piemontese, a seguito della realizzazione della nuova linea”. Per le associazioni datoriali, a partire da Confindustria, la Tav è diventata essenziale alla crescita del Paese: è il simbolo stesso del braccio di ferro con il governo sul destino delle grandi opere in Italia, quella che idealmente spegne o accende ogni speranza di rimettere in moto l’edilizia e smuovere il Pil (“Infrastrutture: Boccia, governo apra cantieri a partire da Tav”, “La Tav porterebbe a regime 50mila posti di lavoro, l’analisi d’impatto deve tenerne conto”). La Cisl è dello stesso parere e parla di “indubbie ricadute occupazionali” a rischio. Per l’opposizione la Tav oggi è anche il cantiere dove scavare tra le divisioni all’interno del governo, tra la Lega pro Tav e i Cinque Stelle da sempre contrari. Il 15 gennaio scorso, il Pd ha presentato in Senato la mozione di Mauro Laus che cerca di unire tutte le forze attorno al “sì Tav” isolando i Cinque Stelle e spaccando il governo. Non mancano accuse esplicite al governo, come quella del deputato piemontese Giacomo Portas che ribadisce: “Con la Tav fa perdere migliaia di posti di lavoro” (28 dicembre 2018). Gli effetti reali, su contratti da attivare, sono quelli visti poco sopra.

C’è poi un effetto indiretto e indotto sul lungo periodo da considerare. Su questo terreno però la previsione occupazionale si fa più sfuggente che mai, prestandosi a semplificazioni e usi impropri da parte di sostenitori e detrattori dell’opera. I numeri fanno per lo più riferimento a stime, la cui incertezza è dovuta alla difficoltà di calcolare con precisione i settori produttivi che beneficeranno della nuova linea ferroviaria. Iniziamo col dire che è noto come l’analisi costi-benefici sul tavolo del governo realizzata dal team del professor Ponti non si avventuri per scelta in questo campo. La ragione è teorica e metodologica, spiega lo stesso Ponti al fattoquotidiano.it: “Analisi e modelli economici sul valore aggiunto applicati alle grandi opere assumono come sempre nullo il costo/opportunità sia del capitale che del lavoro e quindi danno sempre valore positivo. Hanno senso solo nella comparazione tra opzioni diverse per capire la più favorevole, non in assoluto. E dunque non sono un criterio utile per una decisione politica basata su numeri”. Proprio su questo punto si prepara una delle dispute tra economisti più accese di sempre, appena il “dossier” che ha bocciato la Tav diverrà pubblico

…ma l’effetto indiretto non è definibile (ci hanno provato 7 studi in 22 anni)
Del resto, non meno controversi sono gli studi che presentano scenari formidabili per l’occupazione. Le analisi sugli impatti economici dell’opera, ha ricordato lo stesso Chiamparino, sono state ben sette in 22 anni. Nessuna però, evidentemente, ha fornito risposte decisive anche perché si tratta per definizione di studi teorici, basati su calcoli e modelli astratti applicati di volta in volta a scenari specifici.

Nel 2011 la Commissione Europea doveva decidere se finanziare l’opera e ne ha commissionato uno che resta forse il più corposo di tutti. Per ammissione dello stesso commissario Foietta, però, “le analisi costi benefici invecchiano come lo yogurt. Nel caso specifico, lo studio era durato un anno e mezzo e aveva dato risultati più che positivi sui vantaggi del Tav. Purtroppo era basato su dati pre-crisi, uno scenario di riferimento totalmente diverso dall’attuale e da rivedere”.

Nel 2015 la Commissione Ue ha poi commissionato un rapporto al prestigioso Fraunhofer Institut für System und Innovationsforschung. L’analisi (scarica il documento) non stima i posti di lavoro creati ma quelli che si andrebbero a perdere in caso di mancato completamento del programma. Alla base del calcolo, un’equazione per cui – nel settore dei progetti transfrontalieri – ogni miliardo di euro non investito causerebbe la perdita di 44.500 potenziali posti di lavoro.

Tra gli studi  più recenti spicca poi quello realizzato sempre su dati Telt in collaborazione tra Osservatorio Tav e il gruppo Clas, con la supervisione del professore della Bocconi Roberto Zucchetti (leggi sintesi e tavole). Applicando modelli predittivi su catene di valore indiretto lo studio ipotizza negli 11anni di lavoro previsti  l’impiego di 125mila “unità di lavoro” tra Italia e Francia, cioè addetti a tempo pieno”, così divisi: 30mila diretti, 53.144 indiretti, 42mila per indotto. Da questa stima molti dei sostenitori dell’effetto occupazionale, con Vincenzo Boccia in prima fila, hanno tratto la semplificazione sui “50mila posti a rischio”.

Il derby tra analisi e cantiere
“Non dico che le analisi lasciano il tempo che trovano”, conclude il commissario Foietta, “ma qui siamo a un bivio: o scegliamo la logica perversa del gioco dell’oca, per cui il contesto cambia in continuazione e tutte le volte che ho finito un’analisi costi benefici non faccio l’opera ma un’altra analisi, con avvitamento sugli studi, oppure in questo momento uso l’analisi che ho nel momento in cui assumo la decisione; e poi uso altri strumenti che esistono per monitorare le situazioni di contesto, ma senza rimettere in discussione tutto, al limite aggiustandola perché io sennò non farò mai un’opera ma una nuova analisi costi e benefici. Non si può dire che non esiste nulla, esistono tante cose ma non piacciono a Toninelli“.

Naturalmente su queste previsioni non sono mancate le contestazioni di metodo e di merito, non ultima sull’imparzialità del dato che proviene pur sempre dal soggetto promotore e dall’esecutore, dunque meno attendibile sul piano della terzietà e indipendenza. Se siano numeri realistici si vedrà. Negli ultimi giorni ha preso quota l’ipotesi di una mediazione tra la posizione dei Cinque Stelle e della Lega per una sorta di “mini-Tav”, che prevede la realizzazione solo del tunnel di base al confine tra Italia e Francia, senza completare la nuova linea sul versante italiano ma limitandosi ad ammodernare quella esistente con un risparmio di 1,7 miliardi. Se mai dovesse passare questa linea, tutti i numeri scritti e urlati finora sarebbero da resettare.

interessante il documento del 2012 che viene riportato nell’articolo, soprattutto nella parte osservazioni della Comunità montana valle di susa e val sangone

Documento del governo italiano “Tav Torino-Lione domande e risposte”

(http://presidenza.governo.it/osservatorio_torino_lione/PDF/DOC_controd_CMVSS16_4_2012.pdf#page=41

“LA CGIL RITROVA L’UNITÀ E ELEGGE LANDINI SEGRETARIO

https://ilmanifesto.it/la-cgil-ritrova-lunita-e-elegge-landini-segretario/

25 genn 19 Manifesto :

Il congresso di Bari. All’ex leader della Fiom il 92,7% dei voti: «Sento una grande responsabilità». Primo problema da affrontare, quello della «rappresentanza dei giovani»

Massimo Franchi

Negativo il giudizio sul reddito di cittadinanza: «Il problema è la confusione che sta facendo questo governo che comunque non ha mai ripristinato l’articolo 18 come annunciato. La povertà c’è ma non si può pensare di affrontarla mescolandola con le politiche del lavoro. Fai solo una grande confusione e non affronti né l’una né l’altro».

SULLA TAV (Landini ha appoggiato la lotta No tav negli anni scorsi) la risposta è articolata: «La scelta di andare verso un blocco generalizzato di tutti i cantieri non è intelligente, c’è un problema di piano straordinario delle infrastrutture, materiali ma anche sociali, non solo di grandi opere. Di sicuro serve potenziare le ferrovie anche da altre parti, come la linea adriatica: serve un piano straordinario di investimenti e per il Mezzogiorno»….”

“CGIL, LANDINI, IL 9 FEBBRAIO IN PIAZZA CONTRO MANOVRA, SERVONO ALTRE POLITICHE

25 genn 19 Sky tg24 :

Il nuovo segretario generale attacca la manovra: “Non c’è l’evasione fiscale, non si modifica la Fornero, non si combatte la povertà”.

“La Cgil dice sì alla Tav”, aggiunge, chiedendo maggiore attenzione alla manutenzione di tutto il territorio, soprattutto il Sud

…..“La Tav va portata avanti, ma anche la manutenzione del territorio”

In risposta a una domanda sulla posizione del sindacato sull’Alta velocità Torino-Lione, uno dei temi motivo di scontro all’interno dell’esecutivo, Landini risponde: “La posizione della Cgil dice in modo molto esplicito che è un errore aver bloccato tutte le grandi opere e tutti cantieri così come è stato fatto. Quindi noi diciamo che deve esserci uno sblocco dei cantieri”, chiarisce.

“Ma al tempo stesso – prosegue l’ex segretario della Fiom – diciamo anche che il problema del nostro Paese non sono solo le grandi opere, ma anche la manutenzione e cura del territorio”. Landini porta l’esempio del Sud, dove “non ci sono le ferrovie adatte, le strade adatte, c’è un problema di estensione delle tecnologie digitali, siamo di fronte a un arretramento del Paese. Dentro questa legge di stabilità sono stati tagliati soldi che dovevano essere investiti dallo Stato anche per le cosiddette ferrovie secondarie che trasportano molte persone”.

“Quello che noi critichiamo – attacca Landini – è che non c’è un piano, una visione di quello che dovrebbe essere il Paese nei prossimi anni. E tra l’altro definire un piano di investimenti consistenti avrebbe anche il pregio di andare in Europa e fare una battaglia vera per chiedere che questi investimenti vengano scontati dal debito e dal deficit”….”

VIDEO: https://tg24.sky.it/economia/2019/01/25/cgil-maurizio-landini-intervista.html