Tav, il ministro Toninelli visiterà i cantieri della Torino-Lione in Francia

http://torino.repubblica.it/cronaca/2018/08/27/news/tav_il_ministro_toninelli_vistera_i_cantieri_della_torino-lione_in_francia-205044377/

Gli stessi del sopralluogo di agosto di Tajani. Nessuna risposta ancora alle richieste di incontro di Chiamparino  e del commissario Fojetta

di MARIACHIARA GIACOSA

 

27 agosto 2018

Il ministro delle infrastrutture Danilo Toninelli visiterà i cantieri della Tav in Francia. Lo fa sapere il comitato Transalpine, che si occupa di promuovere la realizzazione della Torino Lione in Francia, con un tweet nel quale si annuncia che il responsabile delle infrastrutture del governo Conte ha accettato, rispondendo con una mail, all’invito del presidente del Comitato francese Jaques Gounon a vedere di persona i cantieri di Saint Martin la Porte, gli stessi che visitati dal presidente del parlamento europeo Antonio Tajani, a inizio agosto. Proprio in quei giorni, la segreteria del ministro rispondeva alla lettera di Gounon spiegando che “compatibilmente con i suoi impegni istituzionali il ministro sarà felice quanto prima di visitare il cantiere del tunnel”. La disponibilità di Toninelli nei confronti dei francesi stupisce perchè in aperto contrasto con la più volte denunciata totale assenza di risposta da parte del ministro alle richieste di incontro di chi in Italia  si occupa della Torino-Lione (con l’unica eccezione degli esperti no tav del Comune di Torino). Richieste che Toninelli ha sempre rimandato, sostenendo che prima voleva attendere i risultati dell’analisi costi benefici della Torino-Lione commissionata dal suo ministero. Toninelli non ha ricevuto il commissario di Governo Paolo Foietta che da mesi attende di essere ricevuto dal ministro, così come il presidente della Regione sergio Chiamparino che, la scorsa settimana, giovedì, aveva stimato in 75 i giorni trascorsi in attesa di un cenno da parte del ministro o della sua segreteria. 

EXCLUSIF COTE D’IVOIRE : GUILLAUME SORO ATTENDU A LA HAYE CHEZ LAURENT GBAGBO !

LM pour PANAFRICOM/ 2018 08 27/

zzz

Guillaume Soro attendu à la Haye chez Laurent Gbagbo !

Le Président de l’Assemblée nationale , Guillaume Soro est attendu ce lundi 27 août 2018, pour une rencontre avec Laurent Gbagbo, détenu à la Haye dans les geôles de la CPI. Arrivé à Paris depuis peu, Guillaume Soro devait prendre le train pour les Pays Bas, en vue du rendez-vous. Affaire à suivre …

LA RÉCONCILIATION GBAGBO-SORO, CLÉ D’UN CHANGEMENT DE RÉGIME EN RCI :

JE L’AVAIS ANNONCÉE SEUL (SOUS LES INJURES) DÈS 2015 !

Sur AFRIQUE MEDIA, Le 1er mai 2015 dans l’émission ‘LE MERITE PANAFRICAIN’, je décryptais la crise politique en Côte d’Ivoire.

J’analysais la coupure en deux du pays, la situation du FPI et la stratégie des grands acteurs politiques. J’expliquais comment « la stratégie de Outtara est une impasse politique ».

Je terminais par une analyse prospective, qui avait détonné sur le plateau d’Afrique Media, mais qui avait été saluée par les téléspectateurs ivoiriens et la presse de RCI : « la solution à cette crise qui divise profondément le pays n’appartient plus à Outtara, homme du passé et des Occidentaux, mais passe par deux acteurs majeurs

: d’une part le couple Gbagbo et d’autre part Guillaume Soro, l’ex premier ministre aujourd’hui à la tête du Parlement ivoirien. En politique, il n’y a pas d’inimitiés éternelles » …

* Voir mon analyse de 2015 sur EODE-TV/

LUC MICHEL :

LA CRISE POLITIQUE EN CÔTE D’IVOIRE ET SES PERSPECTIVES A LONG TERME SUR AFRIQUE MEDIA TV

sur https://vimeo.com/126745083

Luc MICHEL

# PANAFRICOM/

PANAFRIcan action and support COMmittees :

Le Parti d’action du Néopanafricanisme !

* Suivre Panafricom-Tv/

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* Découvrir notre WebTv/

http://www.panafricom-tv.com/

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* Blog PANAFRICOM-NEWS/

https://www.scoop.it/t/panafricom

LA REVOLUTION GEOPOLITIQUE DES NOUVEAUX ACCORDS MILITAIRES SADC-RUSSIE (SOMMET DES BRICS A JOHANESBOURG II)

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Flash Vidéo Géopolitique/ Geopolitical Flash Video/

2018 08 27/

VIDEO.FLASH.GEOPOL - Accords russie-sadc - presstv (2018 08 27) FR

Le Flash Vidéo du jour …

Le géopoliticien Luc MICHEL dans le ZOOM AFRIQUE du 29 juin 2018 sur PRESS TV (Iran)

Sources :

* La video sur

PANAFRICOM-TV/

SOMMET DES BRICS A JOHANESBOURG: ACCORDS MILITAIRES SADC-RUSSIE (ZOOM AFRIQUE DU 24.08.2018 – AVEC LUC MICHEL)

Sur https://vimeo.com/286697742

* Le commentaire de PANAFRICOM-TV :

En Afrique, la Russie défie maintenant ouvertement la France, et derrière elle ces USA de Trump et du général Mattis, chef du Pentagone, qui ont désigné Paris comme le « nouveau shérif du continent noir » (à Djibouti, sur labase française, en avril 2017).

Lors du sommet des BRICS qui s’est terminé le 27 juillet à Johannesburg en Afrique du Sud, la Russie a signé avec la puissante union régionale de la SADC un mémorandum qui lui permettra de « resserrer la coopération militaire et technique avec 16 pays d’Afrique australe », selon un responsable russe. Un mémorandum d’entente dans le domaine de la coopération militaire et technique a été signé par le gouvernement russe et la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) », indique le communiqué.

# LES ANALYSES DE REFERENCE SUR

LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY …

* Voir notre dossier complet

sur :

LA RUSSIE EST DE RETOUR EN AFRIQUE :

LES CONSEQUENCES GEOPOLITIQUES ET LE NOUVEAU ‘GRAND JEU’ AFRICAIN…

sur http://www.lucmichel.net/2018/06/17/luc-michels-geopolitical-daily-la-russie-est-de-retour-en-afrique-les-consequences-geopolitique-et-le-nouveau-grand-jeu-africain/

* Voir aussi SOMMET DES BRICS A JOHANNESBOURG :

COMMENT MOSCOU DEFIE LA FRANCE, SHERIF DE TRUMP ET DU GENERAL MATTIS, EN AFRIQUE ?

Sur http://www.lucmichel.net/2018/08/20/luc-michels-geopolitical-daily-sommet-des-brics-a-johannesbourg-comment-moscou-defie-la-france-sherif-de-trump-et-du-general-mattis-en-afrique/

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

(Flash Vidéo Géopolitique/

Complément aux analyses quotidiennes de Luc Michel)

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

Géopolitique – Géoéconomie – Géoidéologie – Géohistoire – Géopolitismes – Néoeurasisme – Néopanafricanisme (Vu de Moscou et Malabo) :

PAGE SPECIALE Luc MICHEL’s Geopolitical Daily https://www.facebook.com/LucMICHELgeopoliticalDaily/

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* Luc MICHEL (Люк МИШЕЛЬ) :

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PAGE OFFICIELLE III – GEOPOLITIQUE

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* EODE :

EODE-TV https://vimeo.com/eodetv

WEBSITE http://www.eode.org/

L’ENJEU CENTRAL GEOPOLITIQUE DU MONITORING ELECTORAL (DE L’ESPACE POST-SOVIETIQUE A LA RD CONGO)

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Luc MICHEL pour EODE/

Quotidien géopolitique – Geopolitical Daily/

2018 08 24/

zzzz

Pour LIGNE ROUGE, la grande émission matinale d’AFRIQUE MEDIA, j’ai traité ce matin (à partir du cas exemplaire de la RDC) un sujet capital, non pas pour la Science politique mais bien pour la Géopolitique du XXIe Siècle : le MONITORING ELECTORAL. Ou comment le contrôle des élections conduit directement aux changements de régime au profit des occidentaux et aux remodelages géopolitiques …

* Voir sur EODE-TV/ LUC MICHEL :

TOUT SAVOIR SUR L’ENJEU CENTRAL GEOPOLITIQUE DU MONITORING ELECTORAL (L’EXEMPLE DE LA RD CONGO)

Sur https://vimeo.com/286559831

DERRIERE L’EXEMPLE DU REFUS DE KINSHASA DE LA PRESENCE DES OBSERVATEURS INTERNATIONAUX POUR LA PRESIDENTIELLE) SE DISSIMULE UN ENJEU GEOPOLITIQUE MAJEUR …

Dans mon analyse, qui brasse les années 1980-2018 et l’Espace post-soviétique, la Yougoslavie, mais aussi l’Afrique actuelle, j’ai en fait répondu aux questions essentielles :

* Quel est le véritable enjeu des missions occidentales, dites « internationales » , de monitoring électoral ? Leur rôle et leur but ?

* Comment les USA et l’OTAN, via l’Union Européenne et l’ONU, se sont-ils organisés pour prendre le contrôle des élections en Eurasie ex-soviétique et en Afrique ?

* Quelle est la fonction des ONG occidentales et des organismes d’état américains, comme la NDI ?

* Pourquoi et comment Kabila et le gouvernement congolais ont résisté, victorieusement, à la tentative occidentale de prise de contrôle des élections en RDC ?

* Pourquoi la reprise du contrôle des élections africaines par les états africains est essentielle, dites-vous, à la voie vers une « Démocratie souveraine africaine ».

* En quoi est-ce une cause essentielle du Néopanafricanisme ?

MON ACTION DANS LE MONITORING ELECTORAL AVEC ‘EODE’

Je suis aussi un spécialiste des élections et du Monitoring électoral.

Je dirige et j’ai fondé l’Ong non-alignée (Bruxelles et Moscou) EODE, « Eurasian Observatory for Democracy and Elections ».

Le monitoring indépendant du Référendum d’auto-détermination de la Crimée en mars 2018, contre les USA, l’OTAN, l’OSCE et l’UE, c’est mon travail (1) (2).

Mais aussi des dizaines de missions indépendantes, non alignées, de monitoring, organisées par EODE dans l’Espace post-soviétique (Russie, Arménie, Ukraine, Abhkazie, Transdniestrie moldave, Républiques de Donetsk et de Lugansk du Donbass ; mais aussi au Cameroun, à Magadascar, au Soudan ; mais encore des missions d’Audit en Jamahiriyah libyenne et Transdniestrie moldave) …

# ALLER AU FONDS DU DOSSIER …

Sur les enjeux du monitoring électoral :

* Moscou, 13 oct. 2011, Chambre Civique de la Fédération de Russie :

Conférence internationale « Monitoring international du processus électoral ».

Conférence de Luc MICHEL, Administrateur-général de EODE, Voir sur EODE-TV MOSCOU / Luc MICHEL : NON-ALIGNEMENT ET MONITORING ELECTORAL

sur https://vimeo.com/31178690

* Le monitoring électoral scientifique des ONGs non-alignée contre l’interventionnisme occidental :

Filmé au Centre de Presse de la Commission Electorale Centrale, à la Chambre de Commerce de Moscou, le 3 décembre 201.

Voir sur EODE-TV MOSCOU /

LUC MICHEL DÉMONTE LES MANIPULATIONS DE L’OSCE CONTRE LA RUSSIE !

sur https://www.youtube.com/watch?v=73zEsbvAS_U

* Moscou, Centre de Presse International de la Commission Electorale Centrale de la Fédération de Russie, 3 mars 2012 :

Analyse du jeu trouble de l’OSCE et des ONG occidentales en Russie (les mediamensonges occidentaux sur la Russie et la campagne russophobe sur les soi-disant «fraudes électorales»).

Voir sur EODE-TV MOSCOU /

3 MARS 2012 / LUC MICHEL DENONCE LE JEU TROUBLE DE L’OSCE EN RUSSIE sur https://www.youtube.com/watch?v=JfhNF-WCJmI

* Square Lénine, devant le Kremlin d’Astrakhan, le 4 mars 2012 :

Voir sur EODE-TV ASTRAKHAN /

4 MARS 2012 / LUC MICHEL : LA VÉRITÉ SUR LES ELECTIONS ET LA VIE POLITIQUE RUSSES

sur https://www.youtube.com/watch?v=gcySe4MBlGk&t=238s

Sur le monitoring par EODE du Référendum de Crimée :

* Voir sur EODE-TV & AFRIQUE MEDIA/

COMMENT LA CRIMEE EST REDEVENUE RUSSE/

UKRAINE VERSUS NOVOROSSIYA (1)

sur https://vimeo.com/103799370

NOTES :

(1) J’ai organisé – avec mon Ong EODE – la Mission internationale de monitoring du Référendum d’auto-détermination en CRIMEE les 14-17 mars 2014, condition indispensable de sa validité et défi à l’OTAN et à l’OSCE, à qui nous avons damné le pion. Ce Monitoring du Référendum d’auto-détermination de la Crimée et de Sébastopol, nous l’avons organisé seuls en Mars 2014. Parmi les 148 observateurs de notre Mission internationale, de nombreux observateurs de gauche et communistes. A titre d’exemple : Die Linke (Bundestag), Die Linke Berlin, KPRF (Russie), Erkki (Finlande), Juste Russie, Communist Party of Greece (KKE), Social-Democrat Party of Hungary, Party For Human Rights in United Latvia, Tatjana Ždanoka, former member of the Communist Party of Latvia, Left-wing Democratic Left Alliance (Poland), Milan Šarapatka et Milan Šarapatka (PCR, Tchéquie).

Il y a aussi de fausses infos sur Wikipedia qui mettent même en doute nos missions de Monitoring, en CEI, mais aussi en Afrique. En ce qui concerne la Crimée, voici dans les DOCUMENTS accompagnant cette analyse le mandat reçu de la Commission Electorale Centrale du Parlement de Crimée, nous demandant d’organiser le Monitoring du Référendum d’auto-détermination de la Crimée et de Sébastopol.

(2) « Au moment où il bloquait les observateurs de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), Poutine en faisait venir d’autres via le Eurasian Observatory for Democracy and Elections (EODE), organisation non gouvernementale créée et administrée par (…) Luc Michel, afin de tenter de légitimer le référendum du 16 mars 2014 en Crimée » dit la revue de l’IFRI.

Cfr. « Crimée : les contradictions du discours russe », par Jean-Baptiste Jeangène Vilmerin, in POLITIQUE ETRANGERE, 2015/1 (Printemps), éditée par l’IFRI (Paris).

Photos :

Luc MICHEL en action avec les missions de monitoring d’EODE : Crimée 2014, Russie 2011, République Moldave du Dniester (2011), Cameroun 2013.

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

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* EODE :

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L’ÉTHIOPIE FAIT BOUGER LES LIGNES GEOPOLITIQUES (GEOPOLITIQUE DE L’AFRIQUE DE L’EST III)

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Flash Vidéo Géopolitique/ Geopolitical Flash Video/

2018 08 23/

VIGNETTE ABIY AHMED ETHIOPIE

Le Flash Vidéo du jour …

Le géopoliticien Luc MICHEL en direct de Malabo (Guinée équatoriale) dans le ZOOM AFRIQUE du 23 août 2018 sur PRESS TV (Iran)

Sources :

* La video sur

PANAFRICOM-TV/

AFRIQUE DE L’EST: L’ÉTHIOPIE FAIT BOUGER LES LIGNES GEOPOLITIQUES (ZOOM AFRIQUE’ DU 23.08.2018 AVEC LUC MICHEL)

Sur https://vimeo.com/286591460

* L’article

“Éthiopie : pour qui travaille le Premier ministre Abiy Ahmed ?“

sur https://www.presstv.com/DetailFr/2018/08/23/572006/Mali-comment-Barkhane-vite-le-pire

* Le commentaire de PANAFRICOM-TV :

Comme le président Poutine le rappelait au Club Valdai  à Sotchi en 2014, « la diplomatie est l’empire du mensonge ». A cela s’ajoute l’instabilité mondiale (manifestée par Trump ou les adeptes de la « Géopolitique de l’émotion ») et la « diplomatie de théâtre », centrée sur des opérations de communication sans lendemain. Voir la rencontre de Singapour (RPDC-USA) ou le récent sommet d’Elsinki Trump-Poutine.

Les véritables changements, les pacifications et les rapprochements, et même les tournants géopolitiques (ils sont rares mais il y en a), se manifestent, eux, par des gestes et des processus concrets, qui touchent la vie même des peuples qu’ils concernent. C’est à cela que nous assistons depuis plusieurs mois en Afrique de l’Est (Ethiopie, Erythrée, Soudan, Sud-Soudan), où le nouveau premier ministre éthiopien Abiy Ahmed fait bouger profondément les lignes géopolitiques.

# LES ANALYSES DE REFERENCE SUR

LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY …

GEOPOLITIQUE AFRICAINE :

ESQUISSE DE LA GEOPOLITIQUE DE L’AFRIQUE DE L’EST ET DE LA CORNE DE L’AFRIQUE

Sur http://www.lucmichel.net/2018/07/11/luc-michels-geopolitical-daily-geopolitique-africaine-esquisse-de-la-geopolitique-de-lafrique-de-lest-et-de-la-corne-de-lafrique/

FLASH INFO/ GEOPOLITIQUE AFRICAINE :

L’EQUILIBRE DES FORCES EST-IL EN TRAIN DE CHANGER EN AFRIQUE DE L’EST ?

Sur http://www.lucmichel.net/2018/07/06/luc-michels-geopolitical-daily-flash-info-geopolitique-africaine-lequilibre-des-forces-est-il-en-train-de-changer-en-afrique-de-lest/

LA PACIFICATION ENTRE L’ETHIOPIE ET L’ERYTHREE (GEOPOLITIQUE DE L’AFRIQUE DE L’EST II)

Sur http://www.lucmichel.net/2018/07/18/luc-michels-geopolitical-daily-la-pacification-entre-lethiopie-et-lerythree-geopolitique-de-lafrique-de-lest-ii/

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

(Flash Vidéo Géopolitique/

Complément aux analyses quotidiennes de Luc Michel)

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

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* EODE :

EODE-TV https://vimeo.com/eodetv

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GEOPOLITIQUE AFRICAINE : LA REELECTION D’IBK ENTRE CRISE MALIENNE ET INGERENCE FRANCAISE

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Flash Vidéo Géopolitique/ Geopolitical Flash Video/

2018 08 21/

VIGNETTE IBK

Le Flash Vidéo du jour …

Le géopoliticien Luc MICHEL dans le ZOOM AFRIQUE du 20 août 2018 sur PRESS TV (Iran)

Sources :

* La video sur

PANAFRICOM-TV/

MALI : POURQUOI LA FRANCE NE VEUT-T-ELLE PAS D’IBK ?

(ZOOM AFRIQUE’ DU 20 AOUT 2018 – AVEC LUC MICHEL)

sur https://vimeo.com/286593248

* L’article

« Mali : pourquoi la France ne veut-t-elle pas d’ Ibrahim Boubacar Keïta, surnommé IBK ? Peur d’une réunification nord/sud ? Analyse du géopoliticien Luc Michel »

sur https://www.presstv.com/DetailFr/2018/08/20/571724/RCA-la-vrai-paix-doit-se-ngocier-par-les-Centrafricains

* Le commentaire de PANAFRICOM-TV :

Présidentielle au Mali : IBK réélu pour un second mandat avec 67,17% des suffrages. Comment comprendre la contestation de ce résultat par l’opposition ?

L’opposant malien Soumaïla Cissé, officiellement battu à la présidentielle, a affirmé jeudi « ne pas reconnaître » la réélection du président sortant Ibrahim Boubacar Keïta, qui de son côté l’a enjoint d’arrêter de se bercer « d’illusions », deux semaines après le scrutin. « Je rejette catégoriquement et sans équivoque les résultats proclamés par la Cour constitutionnelle. Par conséquent, je ne reconnais pas élu le président déclaré par elle », a déclaré sans surprise Soumaïla Cissé le 23 août, lors d’une conférence de presse dans un hôtel de la capitale. Le chef de file de l’opposition ne s’était pas encore exprimé publiquement depuis l’annonce des résultats définitifs publiés lundi.

Ibrahim Boubacar Keïta a obtenu 67,16% des suffrages au second tour le

12 août, et Soumaïla Cissé 32,84%, avait annoncé la plus haute juridiction du pays, en rejetant tous les recours de l’opposition, les jugeant irrecevables ou infondés par manque de preuves. « Cette institution s’est discréditée en se constituant prisonnière volontaire d’un régime autocratique », a accusé jeudi Soumaïla Cissé, qui, à la présidentielle de 2013, avait rapidement concédé sa défaite face à IBK.

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

(Flash Vidéo Géopolitique/

Complément aux analyses quotidiennes de Luc Michel)

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

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* EODE :

EODE-TV https://vimeo.com/eodetv

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SOMMET DES BRICS A JOHANNESBOURG : COMMENT MOSCOU DEFIE LA FRANCE, SHERIF DE TRUMP ET DU GENERAL MATTIS, EN AFRIQUE ?

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Luc MICHEL pour EODE/

Quotidien géopolitique – Geopolitical Daily/

2018 08 20/

LM.GEOPOL - Sommet des brics (2018 08 20) FR (3)

En Afrique, la Russie défie maintenant ouvertement la France, et derrière elle ces USA de Trump et du général Mattis, chef du Pentagone, qui ont désigné Paris comme le « nouveau shérif du continent noir » (à Djibouti, sur labase française, en avril 2017).

Lors du sommet des BRICS qui s’est terminé le 27 juillet à Johannesburg en Afrique du Sud, la Russie a signé un mémorandum qui lui permettra de « resserrer la coopération militaire et technique avec 16 pays d’Afrique australe », selon un responsable russe. « La Russie a signé un mémorandum portant sur le développement de la coopération militaire et technique avec 16 pays d’Afrique », a annoncé le Service fédéral pour la coopération militaire et technique de Russie (FSVTS) dans un communiqué. « Un mémorandum d’entente dans le domaine de la coopération militaire et technique a été signé par le gouvernement russe et la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) », indique le communiqué.

« UNE BASE POUR LE DEVELOPPEMENT DE LA COOPERATION MULTILATERALE DANS LE DOMAINE MILITAIRE ET TECHNIQUE ENTRE LA RUSSIE ET LES PAYS AFRICAINS »

Le président du FSVTS Dmitri Chougaïev a insisté sur le fait que la signature de ce document « créait une base pour le développement de la coopération multilatérale dans le domaine militaire et technique entre la Russie et les pays africains ». « La réalisation de projets en commun servira à maintenir la stabilité et la sécurité sur le continent africain », a souligné le responsable.

Ce mémorandum a été signé en marge du sommet des BRICS à Johannesburg.

La SADC est une des organisations les plus influentes sur le continent africain regroupant en son sein seize pays de l’Afrique australe et de l’océan indien : Afrique du Sud, Angola, Botswana, Comores, Lesotho, Madagascar, Malawi, Maurice, Mozambique, Namibie, République démocratique du Congo, Seychelles, Swaziland, Tanzanie, Zambie et Zimbabwe. Les armées de plusieurs pays de la SADC sont équipées de matériel russe et soviétique.

Pour un panorama de la rivalité militaire et sécuritaire entre Paris et Moscou en Afrique, voir mon analyse sur la TV d’Etat iranienne francophone :

* PANAFRICOM-TV/

LA CENTRAFRIQUE AU COEUR DE LA RIVALITE FRANCO-RUSSE (ZOOM AFRIQUE’, PRESS TV, 13.08.2018, AVEC LUC MICHEL)

sur https://vimeo.com/284797805

SOMMET DES BRICS A JOHANNESBURG :

TROUVER UNE REPONSE A LA “GUERRE COMMERCIALE”

Les dirigeants des cinq puissances émergentes (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) se réunissaient à Johannesburg pour trouver une manière de répondre au protectionnisme de Trump qui menace la croissance mondiale. La plus grande ville d’Afrique du Sud accueillait du 25 au 27 juillet le 10e sommet des Brics, en présence des présidents russe Vladimir Poutine, chinois Xi Jinping, brésilien Michel Temer, sud-africain Cyril Ramaphosa et du Premier ministre indien Narendra Modi. Avec pour thème officiel la “Collaboration en vue d’une croissance inclusive et d’une prospérité partagée”, ce forum, qui représente plus de 40 % de la population mondiale, n’a pas échappé au sujet qui agite actuellement l’économie mondiale : la “guerre commerciale” engagée par le locataire de la Maison-Blanche. “À Johannesburg, les dirigeants des Brics ont accordé une attention particulière au commerce mondial dans le contexte de la guerre commerciale qui oppose la Chine et les États-Unis”, note le quotidien russe ‘Nezavissimaïa gazeta’. Donald Trump mène depuis plusieurs mois un assaut contre les principaux rivaux commerciaux des États-Unis, telles la Chine et l’Union Européenne …

# LES ANALYSES DE REFERENCE SUR

LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY …

* Voir notre dossier complet sur :

LA RUSSIE EST DE RETOUR EN AFRIQUE :

LES CONSEQUENCES GEOPOLITIQUES ET LE NOUVEAU ‘GRAND JEU’ AFRICAIN…

sur http://www.lucmichel.net/2018/06/17/luc-michels-geopolitical-daily-la-russie-est-de-retour-en-afrique-les-consequences-geopolitique-et-le-nouveau-grand-jeu-africain/

Photo :

Le président brésilien Michel Temer, le président chinois Xi Jinping, le premier ministre indien Narendra Modi, le président russe Vladimir Poutine et le président sud-africain Jacob Zuma assistent au précédent sommet des Brics à Xiamen, province de Fujian, en Chine, le 4 septembre 2017.

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

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* Luc MICHEL (Люк МИШЕЛЬ) :

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* EODE :

EODE-TV https://vimeo.com/eodetv

WEBSITE http://www.eode.org/

“SVEGLIATEVI, PER FAVORE” —– MIGRANTI: SCAMBIO TRA UN BUONO E UN CATTIVO

http://fulviogrimaldi.blogspot.com/2018/08/svegliatevi-per-favore-migranti-scambio.html

MONDOCANE

VENERDÌ 24 AGOSTO 2018

 From: Marco Palombo

Sent: Friday, August 24, 2018 9:20 AM

To: comitatononato ; semprecontrolaguerra ; nowaroma ; Cicabum

Subject: (ListaNoNato) Catania, piccoli scontri ma censurati dai media al 100%

 https://video.gelocal.it/iltirreno/cronaca/diciotti-due-manifestanti-superano-il-blocco-della-polizia/107482/109072?refresh_ce

 Svegliatevi, per favore

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Ho ricevuto questo messaggio, anzi, questa sveglia da un amico e membro della mia stessa lista, che è quella No Nato. E ho risposto, in lista, con quanto scritto qua sotto. Ora amplio un po’ quella risposta e la inoltro a tutti i miei contatti, dato che il tema appare centrale nell’attuale dibattito di distrazione di massa dalle guerre imperiali, dai nostri 18 milioni di poveri e quasi, dalle cose buone che va facendo la componente 5 Stelle del governo. Mi indigna profondamente  che questa ondata di solidarietà amorosa e pietosa non si sia manifestata e mai si manifesti  per il genocidio nello, anzi, dello, Yemen e per quelli tentati un po’ ovunque dalle democrazie occidentali impegnate per i diritti umani. Mi hanno sollecitato a proposito anche le sagge e competenti osservazioni di un’amica giornalista che, come me e a differenza di altri, i paesi delle emigrazioni li conosce e sa valutare quello che succede al di là della cecità imposta dalla convinzione della propria moralissima bontà.

Ovviamente non troverete queste righe su Facebook, da cui sono bannato  da tre giorni e fino a mezzanotte, in vista della rimozione definitiva alla prossima volta che dico cose invise a chi mi ha segnalato a San Mark Zuckereberg e ai suoi monaci locali.

La sveglia a chi?

Il Ven 24 Ago 2018 12:48 Fulvio <fulvio.grimaldi@gmail.com> ha scritto:

Ma vedi un po’ di andare a svegliare i 26 paesi europei che se ne fottono e scaricano su Grecia e Italia, paesi da punire e disintegrare, un flusso “naturale” e “inarrestabile” (così lo chiamano i suoi promotori e credono i loro chierichietti) di emigranti determinato dalla strategia di svuotamento dell’Africa a vantaggio di multinazionali e mafie e Ong che campano sulla disperazione da loro causata. La Francia per esempio, dalle cui colonie arriva la maggioranza dei migranti, ha bisogno di continuare a infestare di jihadisti, militarizzare, depredare per le enormi ricchezze di quella regione (uranio, oro, diamanti, coltan, petrolio. ecc.), una ventina di paesi ex-colonie e ora ricolonizzati grazie alla condiscendenza degli accoglitori senza se e senza ma,  e poi di scaricare sui paesi europei alla deriva (soprattutto se governati da “populisti”) masse di giovani generazioni che potrebbero pretendere di realizzare da soli lo sviluppo dei loro paesi.

E visto che ci sei, vedi un po’ se riesci a svegliare anche i media e i tuoi compagnucci di PaP, che utilizzano le fandonie sulla “dittatura” eritrea e sul servizio militare a vita dei giovani di quel paese per impietosirci e farci fottere dal resto d’Europa. Parla un po’ con il collaboratore culturale eritreo, da me intervistato, presente agli interrogatori sulla concessione dell’asilo politico, che racconta che tale diritto viene concesso dagli esaminatori solo se il giovane dice di essere eritreo e di aver subito oppressione, torture e schiavitù militare perpetua. Oltre tutto, questi media e i loro utili idioti insistono su una propaganda diffamatoria obsoleta, impiegata da Obama in giù quando l’Eritrea era considerata un paese ostile all’Occidente, all’FMI e agli Usa. Ora che tutto si è aggiustato tra Usa, Etiopia, Eritrea e Somalia, quel discorso, oltrechè falso, è anche obsoleto per gli atlanto-sionisti e la loro sinistra (non nel senso di mancina) sinistra imperiale, alla “manifesto” e monadi “radicali” sparse, ma, inguacchiati come sono sulla fissa dell’accoglienza e sulla populistofobia. In ogni caso, perché i tormentati dalle presunte atrocità  del regime sulla propria gente non si chiedono perché la diaspora di quella gente continua a tornare in Eritrea, o per le vacanze, o per rimanerci, senza che gli venga torto un capello?

Eritrea? Quale Eritrea?

Allora glielo ricordo io, prima di estendere il discorso sul mio blog fra qualche giorno. Del resto una anticipo sulla svolta a destra dell’Eritrea l’ho già pubblicata in due puntate. Manca quella sull’inevitabile alleanza, oltreché con gli etiopi tornati nell’ovile Usa dopo il flirt con i cinesi, con la marmaglia di venduti somali messi dagli statunitensi e clienti africani a capo di un albergo detto “governo”, padroni di qualche quartiere di Mogadiscio, mentre il resto viene razziato dalle truppe africane dell’Unisom (ONU) e bombardato dagli Usa e dalla Francia, con il pretesto di combattere gli Shabaab, resistenza islamica somala chiamata, ovviamente, “terrorista”.

Quello che con ogni evidenza è successo, nella connivenza o dabbenaggine del comandante della “Diciotti”, è un rastrellamento pianificato di giovanotti del Corno d’Africa, con l’indispensabile corredo strappacuore di qualche donna, magari incinta e di alcuni ragazzetti abbandonati, tutti definiti eritrei (e non lo sono che in parte), onde poter tappare la bocca a chi, come Salvini, li scopre tutti giovani, come ormai da tempo arrivano da Africa e Medioriente, tra i 15 e i 35 anni, nella migliore età produttiva e riproduttiva e in buone condizioni di salute. Condizioni rimosse dal rosario di orrori attribuiti ad alcuni paesi d’origine (Eritrea essenzialmente) e di transito (Libia sostanzialmente). Orrori che, sebbene tali da ridurre all’inedia, infliggere cicatrici, provocare disadattamenti psicologici pesanti, questi effetti non sembrano li abbiano lasciati né sul fisico, né sulla psiche dei nuovi arrivati. Andate a vedere. E poi andate anche a vedere cosa abbiano inflitto a fisico e spirito dei raccoglitori di pomodori, prostitute nigeriane, spacciatori marocchini,  le condizioni riservate ai migranti nel paese dell’accoglienza e “integrazione”. Facendo magari un confronto con il prima della migrazione.

Atrocità? Chi lo dice? Gli atroci

Mi daranno del cinico per dire queste cose. Io mi direi piuttosto diffidente rispetto all’informazione data da media e pezzi di politica che manifestamente (il termine non è scelto a caso) collaborano con i grandi gestori della ricolonizzazione tramite guerre, jihadismo terrorista, neoliberismo feroce, occupazione militare e strangolamento socio-economico. La mia amica mi ricorda i 2 milioni di africani accolti nella Libia di Gheddafi, dotati di tutti i diritti di cittadinanza, felici e prosperi. Ne sono stato testimone. Come sono stato testimone di quella “democrazia diretta” che oggi viene tanto derisa e vituperata dai soloni di una democrazia parlamentare che ci ha gratificato di lobby, mafie, malgoverno settantennale. 

Con l’uccisione di quella Libia e il linciaggio del suo capo per mano o per mandato di Hillary Clinton, la candidata a suo tempo sostenuta con passione dagli stessi ambienti dell’accoglienza senza se e senza ma, questi immigrati furono consegnati alla bestialità del jihadismo indigeno (Misurata) e importato. Quelli non trucidati costituiscono la maggioranza di coloro che  dal 2013 vengono imbarcati dai trafficanti e affidati alle Ong perché li scarichino da noi, o in Grecia. I racconti delle atrocità subite nei campi libici (a proposito perché l’ONU non spedisce ispezioni dappertutto, come in Siria, e magari Caschi Blu?), che sicuramente non sono villaggi vacanze, o durante i percorsi nel deserto, sono indispensabili perché la macchina del trasferimento, indotto e dunque coatto, di popolazioni continui a girare nel consenso di almeno la parte più ingenua o disonesta della società. Poi ovviamente ci sono i nuovi arrivi, sradicati dai paesi su cui si esercitano le devastazioni, militari, sociali ed economiche dell’Occidente.

Chiedersi cosa sia successo prima del barcone

Chiudo con un’osservazione. A parte la Boldrini, tra coloro che stanno sgomitando, con radicali e sinistri vari, per arrivare davanti alle telecamere installate sulla “Diciotti” e che ha fatto la sua parte di dama  di S. Vincenzo da quelle parti, vorrei sapere quanti dei misericordiosi e solidali abbiano la benché minima conoscenza dei paesi africani e arabi dai quali provengono i “fuggitivi”. E perché vengano via da terra, casa, famiglia, habitat, comunità. L’Eritrea, per esempio, nella quale ho girato un documentario due anni fa che hanno visto coloro i quali oggi sanno cosa rispondere a chi abbaia contro la “dittatura”.

Oggi quel paese sta cambiando pelle geopolitica e dunque sociale, ma resta un’infame calunnia l’accusa di Washington e del maggiordomo Onu di violazione di diritti umani, di servizio militare perenne. La leva durava al massimo 18 mesi, ma  si poteva essere richiamati dato che l’Etiopia minacciava e attuava continue aggressioni. In Israele il servizio dura tre anni e fino ai 50 anni, per i  continui richiami, ma ovviamente nulla da obiettare, anche se quel servizio da 70 anni infligge morte e distruzione a innocenti, anzi, a giusti. In ogni caso, qualsiasi regime africano poteva essere ritenuto responsabile di violazioni ben maggiori di quelle attribuite all’Eritrea, unico paese che rifiutava presenze militari straniere. Cosa tragicamente superata oggi, data la sua collaborazione allo sterminio degli yemeniti. Ne parlerò più in là.

Noi che quelle genti le abbiamo viste e vissute a casa loro, ci stracciamo le vesti, non perché Salvini li trattiene sulla nave, per ricatto non suo, ma sotto ricatto degli operatori globalisti dei trasferimenti e a sfregio di un’Europa cinica e delinquenziale, ma all’idea che una diga italiana secchi un fiume che ha nutrito per millenni una comunità di sessantamila persone in Etiopia e che le genti così da noi colpite finiscano al 90% nella nuova tratta degli schiavi. Già, perché fatevi fare il calcolo, non da qualche Ong, su quanti, tra i migranti giunti da noi si elevano al di sopra dello stato di schiavi. Con loro teniamo sotto anche i nostri: si chiama esercito industriale di riserva.

Amare gli africani  o chi li fa emigrare?

Noi quei paesi, quelle popolazioni, la loro cultura, l’attaccamento alle loro radici, la loro lotta di liberazione dal morso necrofago coloniale, condizione per costruire, su quelle radici ricuperate, il loro futuro, i loro progetti, la loro civiltà, li abbiamo conosciuti e anche amati. E per questo amore che, sacrosantamente diventa “hate speech”, discorso dell’odio, nei confronti di chi ne abusa, li sfrutta, ci campa sopra, ci costruisce la propria miserabile autocertificazione morale e politica, che scrivo, filmo e continuerò a scrivere e filmare. E all’autore del messaggino che ha innescato tutto questo suggerisco:

Svegliati per favore tu, Marco e, con il tuo cuore generoso, cerca di difendere l’Africa, i suoi abitanti, la sua cultura, la sua liberazione dal colonialismo ora di ritorno e dalla nuova tratta degli schiavi. Ché questo e null’altro è, mio caro solidale misericordioso.

Fulvio  

Schiavi impegnati in Qatar nei lavori per i Mondiali di calcio. Ne sono morti oltre duemila. Chi se ne occupa?

Pubblicato da Fulvio Grimaldi alle ore 18:34

Ponte Morandi, sulle strade meno pedaggi e più gare

https://www.ilfattoquotidiano.it/premium/articoli/sulle-strade-meno-pedaggi-e-piu-gare/

La tragica vicenda di Genova deve indurre a una riflessione complessiva sulla gestione delle infrastrutture, in particolare quelle di trasporto. Si tratta di “monopoli naturali” che, non avendo pressioni dal mercato, devono essere regolate da autorità indipendenti, sia che vengano gestite da soggetti pubblici che privati. Perché non direttamente dal ministero competente? Perché storicamente i regolatori politici, cioè i ministeri, come regolatori tendono a essere troppo “generosi”, per ragioni di consenso o peggio, verso le imprese regolate. E queste, se sono pubbliche, tendono nel tempo a diventare inefficienti, generando alti costi di gestione (far profitti non gli interessa), e se sono private, a far profitti con tariffe troppo elevate o non garantendo sufficiente qualità e sicurezza a quello che gestiscono (spendere poco è un mezzo essenziale per fare profitti).

Il regolatore indipendente per i trasporti (Art) esiste da relativamente poco, e si è trovato non solo con poteri limitati, ma soprattutto con contratti-capestro firmati in precedenza e molto generosi (concessioni lunghissime e “blindate” per ferrovie e autostrade, e per queste ultime anche “secretate” grazie a un assurdo cavillo giuridico, probabilmente non innocente). Per regolare un monopolio naturale si possono fare due cose. La prima opzione è quella scelta dai governi italiani: regolare direttamente i gestori pubblici e privati con meccanismi che tendano a farli diventare più efficienti e a non danneggiare utenti e contribuenti. Non sembra aver funzionato molto bene. La seconda è fare gare periodiche per le gestioni (5-10 anni, non di più, in modo che il gestore abbia chiaro che sarà presto esposto alla concorrenza di altre imprese). Anche l’Antitrust ha invano auspicato a lungo soluzioni di questo genere.

Le obiezioni della politica e dei concessionari hanno sempre riguardato gli investimenti: se un concessionario ne fa con i suoi soldi, deve poterli recuperare integralmente con le tariffe, cioè avere concessioni lunghissime. Ma anche l’Antitrust osservò che bastava fare buone regole di subentro in cui il nuovo arrivato paga al gestore uscente la quota non ancora ammortizzata, per poter fare affidamenti in gara per periodi relativamente brevi.

Da un punto di vista funzionale, il sistema stradale è un disastro. Ci sono strade statali con caratteristiche simili alle autostrade ma non a pedaggio. La viabilità locale ha un regime ancora diverso, e serve la maggior parte del traffico, al punto che persino sulle autostrade a pedaggio il traffico di breve distanza oggi prevale nettamente su quello di lunga distanza (quando furono costruite le autostrade maggiori non era così). La viabilità locale, inoltre, mediamente è in pessimo stato di manutenzione, peggiore di quella autostradale. Appare ragionevole omogeneizzare il sistema dal punto di vista gestionale e di programmazione degli interventi, per orientarli non in funzione dei pedaggi ma delle esigenze del traffico. In uno scenario tendenziale di maggior razionalità, sarebbe opportuno superare radicalmente il sistema delle concessioni eterne mai seriamente messe in gara e sostituirlo con gare periodiche brevi per la manutenzione (a più manutentori, in modo da controllarli meglio), lasciando per tutta la rete gli investimenti necessari alla normale pratica di appalti europei in gara.

Il modo stradale nel complesso, principalmente con le accise sui carburanti, rende alle casse dello stato circa 22 miliardi all’anno, al netto delle spese. Per la manutenzione della rete, basterebbe destinare una quota di questi ricavi al settore stradale, eventualmente mantenendo alcuni pedaggi là dove vi siano fenomeni di congestione importanti (il sistema si chiama “road pricing”, è usato per diminuire la congestione in molte città europee, Milano inclusa). Cioè si potrebbe razionalizzare anche l’intero sistema dei pedaggi, eliminandone molti (con i relativi costi di esazione e perdite di tempo), soprattutto là dove gli utenti hanno già pagato per gli ammortamenti (persino più volte, grazie alla generosità dell’attuale sistema concessorio).

E per gli investimenti? Sembra logico omogeneizzare anche questo aspetto per tutti i modi di trasporto: gli investimenti infrastrutturali siano a carico dello Stato, non degli utenti, come nel caso delle ferrovie (sui vantaggi di efficienza di questo approccio, qui non ci si può dilungare). E se lo Stato non ce la fa per problemi di bilancio? Innanzitutto di grandi investimenti c’è molto meno bisogno di quanto si voglia far credere. In secondo luogo, può decidere di farne pagare una parte agli utenti con il pedaggio, ma in modo equo: paghino di più gli utenti che li useranno, non l’intera collettività.

Troppe grandi opere e zero competenze logistiche

https://ilmanifesto.it/troppe-grandi-opere-e-zero-competenze-logistiche/

manifesto

Infrastrutture. L’Italia non ha bisogno di grandi progetti per il trasporto. Manca invece la capacità di formare le competenze, per nuovi lavori e occupazione


 

Invece di aprire un dibattito sull’utilità e sui rischi delle Grandi opere, il crollo del ponte Morandi – una dei tanti gigantismi che ha fatto del ‘900 “il secolo dell’automobile” – sembra averlo chiuso: per lo meno nel mondo politico, sulla stampa e sui media: occorre fa presto, farle tutte e subito, il Tav, il terzo Valico, il Tap, le autostrade, il ponte sullo stretto, prima di un altro ripensamento.

“La competizione internazionale lo esige”, “il progresso non si può fermare”, “non ci si può opporre alla modernità”, “Vogliamo tornare al medioevo?”.

Difficilmente troverete sulla bocca dei politici o nei commenti della stampa qualche argomentazione meno vacua di queste. Ma siamo sicuri che “la modernità”, qualsiasi cosa si intenda con quel termine, sia proprio questo? Che il progresso debba portarci necessariamente verso la moltiplicazione dei disastri (e verso quello che li ricomprende tutti: un cambiamento climatico irreversibile)? E che l’unica regola che deve governare il mondo, e le nostre vite, sia la competizione e non la cooperazione?

Un recente saggio, chiaro e sintetico, di Sergio Bologna, uno dei pochi esperti capace di un approccio intermodale ai temi del trasportohttps://officinadeisaperi.it/materiali/ grandi-oper-un-lenzuolo-per-coprire-le-magagne-italiche/ – mette una pietra tombale su tutte le Grandi opere.

L’Italia non ha bisogno di nuove grandi infrastrutture di trasporto; ne ha già persino troppe.

Quello che manca è la capacità di utilizzarle a fondo; mancano le competenze logistiche e gli operatori per accorpare e smistare i carichi utilizzando al meglio i mezzi e le infrastrutture a disposizione.

Oltre, ovviamente, agli interventi per rendere operative le interconnessioni modali.

Promuovere quelle competenze è un compito che dovrebbe tenere impegnati per anni Associazioni di categoria, Camere di commercio, Enti locali, Ministeri (non solo quello delle Infrastrutture), Università e Istituti di ricerca. E potrebbe creare decine, se non centinaia, di migliaia di posti di lavoro qualificati al posto delle poche migliaia di addetti impiegati nella costruzione delle tante Grandi opere inutili e dannose.

Sono le competenze necessarie anche per promuovere il passaggio del trasporto merci dalla strada alla ferrovia (o alle autostrade del mare).

Un passaggio di cui Sergio Bologna riconosce le potenzialità, ma su cui rimane scettico, soprattutto perché un sistema produttivo frammentato come quello italiano ha mille motivi per preferire il trasporto su strada; motivi che non sono solo quelli indicati in quel saggio.

Il trasporto su strada da impresa a impresa è più flessibile di quello su ferrovia o di cabotaggio perché non richiede la composizione e la scomposizione di carichi molto complessi (ma richiede comunque la rottura dei carichi quando le merci arrivano in città, dove i Tir non possono entrare, e dove occorre comunque ricorrere a sistemi di city-logistic finale più o meno organizzati).

Ma è più flessibile anche perché si regge su una organizzazione del lavoro che sfrutta a fondo i trasportatori. Difficilmente una piccola impresa si rivolge direttamente a un camionista per spedire il suo carico.

C’è quasi sempre l’intermediazione di uno spedizioniere, che sono per lo più grandi imprese multinazionali, che a loro volta subappaltano il servizio a uno spedizioniere più piccolo, e questi a un altro, fino a raggiungere i “padroncini” proprietari di uno o di qualche camion e autisti loro stessi: operatori che spesso non rispettano gli standard sulla sicurezza del veicolo, né quelli sulle ore e le modalità di guida, né quelli tariffari (per di più, con un ingresso crescente di operatori e di autisti dell’est europeo, ancora meno controllabili, che lavorano però per spedizionieri italiani o dell’Europa occidentale).

Insomma, l’intermediazione dei carichi c’è già, ma la fanno i grandi spedizionieri che trovano più conveniente sfruttare a fondo il sistema attuale piuttosto che promuoverne il rinnovamento.

L’alternativa, in linea teorica, è semplice: bisognerebbe che sia gli “utenti”, cioè i produttori, che gli operatori del trasporto merci, cioè la moltitudine disperata dei trasportatori, si consorziassero, mettendo in piedi strutture in grado di organizzare i carichi complessi necessari all’utilizzo di un convoglio ferroviario. Non sarebbe, per i camionisti, un “tagliarsi l’erba sotto i piedi”; perché il trasporto ferroviario e il cabotaggio possono coprire solo alcuni, e solo una parte, dei tragitti che le merci devono compiere: molti itinerari e “l’ultimo miglio” (che per lo più di miglia ne include parecchie) dovrebbero comunque essere coperti con camion e furgoni. Invertire rotta richiederebbe un impegno politico e culturale che manca completamente a chi ha in mano le redini del paese: non solo le istituzioni pubbliche ma anche, e soprattutto, quelle imprenditoriali.

Si tratta in ogni caso di una prospettiva più realistica e praticabile dell’alternativa ventilata da Sergio Bologna: quella della riduzione dell’intensità di trasporto.

Un obiettivo pienamente condivisibile, che costituisce un pilastro della conversione ecologica del sistema produttivo, ma che richiede ben più che il potenziamento delle competenze impegnate nella supply-chain, perché coincide con uno degli obiettivi centrali dell’approccio territorialista, anche se i suoi cultori si sono finora impegnati poco nell’affrontare la dimensione industriale del loro programma.

Per ridurre l’intensità di trasporto occorre rilocalizzare – e, quindi, spesso anche ridimensionare – una grande quantità di attività produttive oggi disperse ai quattro angoli del pianeta; ma anche promuovere, tra imprese e territori contigui, rapporti il più possibile diretti, fondati su accordi di programma che facciano da argine alle oscillazioni e alle turbolenze dei mercati. E per questo ci vuole un sistema di gestione delle imprese che veda coinvolti i rappresentanti degli Enti locali, delle associazioni territoriali, delle Università e dei centri di ricerca, oltre che, ovviamente, delle maestranze: cioè l’organizzazione della produzione come bene comune”.

Insomma, un “socialismo” del ventunesimo secolo, ecologista e federalista; anche se il termine socialismo è sviante, perché è storicamente e culturalmente legato all’esatto opposto – produttivismo, gigantismo e centralismo – di ciò che oggi andrebbe perseguito.