‘LÓPEZ OBRADOR VA-T-IL IMPOSER UN TOURNANT GEOPOLITIQUE A MEXICO ?’ (SUR ‘LES 7 DU QUEBEC’)

REVUE DE PRESSE :

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Luc MICHEL pour EODE/

Complément pour le Quotidien géopolitique – Geopolitical Daily/

2018 07 31/

RP LM.GEOPOL - 7québec mexique (2018 07 31)

Mes analyses géopolitiques quotidiennes sont de plus en plus reprise sur des sites alternatifs, certains sur une base régulières : SITA à Beyrouth, PALESTINE-SOLIDARITE à Paris, GENERAL RUSSO en Italie, ou encore nos excellents confrères des ‘7 DU QUEBEC’ (1). Excellent Webgazine où on pratique une analyse marxiste de qualité, sans fanatisme ou repli de chapelle, et qui ouvre souvent de fructueux débats.

# ‘LÓPEZ OBRADOR VA-T-IL IMPOSER UN TOURNANT GEOPOLITIQUE A MEXICO ?’

(SUR ‘LES 7 DU QUEBEC’)

Précisément le Webmagazine vient de publier une compilation de plusieurs de mes analyses (2) sur les évolutions géopolitiques au Mexique et les racines idéologiques de la phobie anti-mexicaine de Trump et des siens (directement inspirée de la fallacieuse théorie dite « du grand remplacement » – phobie « anti-latinos » -, de Samuel Huntington, qui est aussi l’auteur du « choc des civilisations.

Théories qui inspirent les Le Pen et leurs épigones en Europe, là phobie anti-arabes et anti-africains).

Le fait saillant au Mexique est l’élection d’un président pro-russe, Lopez Obrador …

* Voir sur ‘Les 7 du Québec’ :

http://www.les7duquebec.com/7-de-garde-2/lopez-obrador-va-t-il-imposer-un-tournant-geopolitique-a-mexico/

Extraits :

« Dans les années 2070, les Mexicains et les populations d’origine mexicaine constitueront la population dominante le long d’une ligne longeant la frontière américano-mexicaine à plus de deux cents milles de la Californie, de l’Arizona, du Nouveau-Mexique et du Texas et de vastes régions de la Cession mexicaine. La région ne se comportera pas comme les autres zones d’immigration. Au contraire, comme cela se produit dans les régions frontalières, elle sera culturellement – et à bien des égards, économiquement – un processus vers le nord. Une extension du Mexique. Dans tous les sens, mais légalement, la frontière aura déménagé vers le nord »

– George Friedman (THE NEXT 100 YEARS, A forecast for the 2st century).

« Lenine disait que « l’avenir politique n’était pas rectiligne comme la Perspective Nevski à Saint-Pétersbourg ». Et c’est encore plus vrai en Géopolitique, qui est structurée par des cycles longs et des évolutions logiques. Mais que bouleversent les événements et les hommes. L’avenir du Mexique semblait tout tracé : la fusion avec le Canada et les USA dans un grand Bloc continental nord-américain. Que préfigurait l’ALENA (NAFTA en anglais) et qui de l’unification économique devait passer à l’intégration politique, puis géopolitique (selon les théories sur les « grands états en voie d’unification » de Friedrich List, la théoricien du « Nationalisme économique »). C’est à cela qu’on travaillé aussi bien Bush II qu’Obama. L’unification en «blocs continentaux» (cfr. Haushofer et Thiriart) sera inévitablement la tendance des XXIe et XXIIe siècle (…) Mais la Géopolitique a sa logique qui succombe parfois devant la dynamique irrationnelle quasi biologique des idéologies : ainsi la logique rationnelle géopolitique du « grand Espace germano-slave Vladivostok-Flessingue » (Hanshofer et Niekisch), Bloc continental opposé aux thalassocraties anglo-saxonnes, succombe face au racisme biologique anti-slave de Hitler qui brise de façon suicidaire le «Pacte germano-soviétique» (« la tentation du nihilisme » dira un critique de Hitler) et fait du XXe siècle un « siècle américain ».

Ainsi la logique de l’ALENA s’affronte et se confronte au racisme WASP anti-latino de l’Alt-Right, inspirée des théories de Huntignton et rassemblée autour du scénario politique de Trump (qui est tout sauf un homme isolé –sic-, hors système -resic). La question qui se pose est celle de la portée historique de l’action de Trump et des siens. Coup d’arrêt éphémère, arrêt durable de dix à vint ans, basculement géopolitique anti-yankee ?

Trump aura réussi un exploit. En quelques mois, il a conduit le Mexique à renoncer à la logique d’intégration continentale nord-américaine de l’ALENA. Et, réveillant la mémoire collective populaire mexicaine du grand « rapt yankee » des provinces mexicaines par les USA au XIXe siècle, épopée usurpée dans l’historiographie US (« l’esprit d’Alamo ») mais « viol collectif national » dans les esprits au-delà du Rio Grande. Et, oubliant que Moscou était en embuscade au Mexique, Trump a conduit directement à l’élection d’un président pro-russe, cet «Andresmanuelovich » … »

– Luc MICHEL (Luc Michel’s Geopolitical Daily, 2018)

NOTES :

(1) Le très influent site québecquois, avec une tendance de gauche marxiste, mais ouverte :

http://www.les7duquebec.com

(2) Publications originales :

* LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY :

THE MOSCOW – MEXICO RELATIONSHIP DEEPENS. OR HOW RUSSIA INVITES ITSELF INTO THE DISPUTE BETWEEN MEXICO AND THE USA OF TRUMP …

sur http://www.lucmichel.net/2018/02/09/luc-michels-geopolitical-daily-the-moscow-mexico-relationship-deepens-or-how-russia-invites-itself-into-the-dispute-between-mexico-and-the-usa-of-trump/

* WHAT IS MEXICO TO RUSSIA? – LAVROV INTERVIEW TO THE MEXICAN NEWSPAPER EXCÉLSIOR AND SPANISH RT (THE MOSCOW – MEXICO RELATIONSHIP DEEPENS II)

sur http://www.lucmichel.net/2018/02/17/luc-michels-geopolitical-daily-what-is-mexico-to-russia-lavrov-interview-to-the-mexican-newspaper-excelsior-and-spanish-rt-the-moscow-mexico-relationship-deepens-ii/

# Complément pour le Quotidien géopolitique – Geopolitical Daily de LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

Géopolitique – Géoéconomie – Géoidéologie – Géohistoire – Géopolitismes – Néoeurasisme – Néopanafricanisme (Vu de Moscou et Malabo) :

PAGE SPECIALE Luc MICHEL’s Geopolitical Daily https://www.facebook.com/LucMICHELgeopoliticalDaily/

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* Luc MICHEL (Люк МИШЕЛЬ) :

WEBSITE http://www.lucmichel.net/

PAGE OFFICIELLE III – GEOPOLITIQUE

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TWITTER https://twitter.com/LucMichelPCN

* EODE :

EODE-TV https://vimeo.com/eodetv

WEBSITE http://www.eode.org/

26e SOMMET DE L’OTAN A BRUXELLES (II): RETOUR SUR LES ENJEUX (LUC MICHEL DANS ‘LE DEBAT PANAFRICAIN’)

 

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Flash Vidéo Géopolitique/ Geopolitical Flash Video/

2018 07 30/

VIDEO.FLASH.GEOPOL - Sommet nato bxl II - amtv (2018 07 30) FR

Le Flash Vidéo du jour …

Le géopoliticien Luc MICHEL dans LE DEBAT PANAFRICAIN du 20 juillet 2018 sur AFRIQUE MEDIA

Sources/

* La Video sur :

PCN-TV/ LUC MICHEL:

LES ENJEUX DU 26e SOMMET DE L’OTAN A BRUXELLES

sur https://vimeo.com/283321541

* LIRE LA Ie PARTIE SUR

LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY …

26e SOMMET DE L’OTAN A BRUXELLES (I):

COMMENT ANALYSER LA POLITIQUE DE TRUMP ?

sur https://www.facebook.com/Pcn.luc.Michel/posts/1356346514499763

Retour sur le 26s Sommet de l’OTAN :

Une étape de plus de la « nouvelle Guerre Froide 2.0 » vers la 3e Guerre mondiale !

Le sommet de l’OTAN Bruxelles 2018 est le 26e sommet de l’OTAN, conférence diplomatique réunissant dans la ville de Bruxelles en Belgique, ces 11 et 12 juillet 2018, les chefs d’État et de gouvernement des USA et des pays membres de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord et des alliés de l’organisation.

Il succèdait au 25e sommet de l’OTAN à Varsovie en 2016 et celui de l’inauguration du nouveau siège de l’OTAN en mai 2017.

Chaque sommet est une étape dans la marche du militarisme américano-occidental vers la Guerre. L’OTAN menace et frappe en Eurasie et en Afrique. L’OTAN n’est pas « le bouclier de l’Europe » mais un harnais qui assujettit l’Union Européenne aux USA et empêche le rapprochement et la fusion future des deux Europe, de Vladivostok à l’Atlantique …

* Voir aussi sur :

PCN-TV/

MANIFESTATION ANTI-OTAN ET ANTI-TRUMP A BRUXELLES CE 7 JUILLET (EN ATTENDANT LONDRES …)

sur https://vimeo.com/278951259

# LES ANALYSES DE REFERENCE SUR

LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY …

26e SOMMET DE L’OTAN A BRUXELLES :

COMMENT L’ALLIANCE ATLANTIQUE MENACE LA PAIX !?

sur http://www.lucmichel.net/2018/07/07/luc-michels-geopolitical-daily-31e-sommet-de-lotan-a-bruxelles-comment-lalliance-atlantique-menace-la-paix/

EXPANSION DE L’OTAN A L’EST:

COMMENT GORBATCHEV S’EST FAIT ROULER DANS LA FARINE EN 1990

sur http://www.lucmichel.net/2017/12/22/luc-michels-geopolitical-daily-expansion-de-lotan-a-lest-comment-gorbatchev-sest-fait-rouler-dans-la-farine-en-1990/

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

(Flash Vidéo Géopolitique/

Complément aux analyses quotidiennes de Luc Michel)

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

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* Luc MICHEL (Люк МИШЕЛЬ) :

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* EODE :

EODE-TV https://vimeo.com/eodetv

WEBSITE http://www.eode.org/

REVUE DE PRESSE : LE DESSOUS DES CARTES DE L’ALLIANCE GÉOPOLITIQUE ENTRE LE RÉGIME ORBAN (HONGRIE) ET LE LIKOUD ISRAELIEN (NETANYAHU)

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Luc MICHEL pour EODE/

Complément pour le Quotidien géopolitique – Geopolitical Daily/

2018 07 23/

RP LM.GEOPOL - orban-likoud lm intell (2018 07 23) FR v2

Revue de Presse :

J’ai publié pour ‘LUC MICHEL INTELLIGENCE’ un article sur l’Axe international Likoud-Netanyahu-Hongrie-Orban-Groupe de Visegrad, influente mais étrange alliance géopolitique, entre des régimes proches de l’antisémitisme (comme celui de Orban en Hongrie, qui réhabilite la Hongrie autoritaire de Horthy, allié de Hitler) et le noyau dur de l’idéologie sioniste, le Likoud, héritier de l’idéologue Jabotinski (le « sionisme révisionniste »). Cette analyse explique aussi les dessous géopolitiques de ce curieux attelage. Et comment la « guerres des mines » en Afrique et le duel à mort du milliardaire israélien Benny Steinmetz (proche du Likoud) et du milliardaire américain d’origine hongroise George Sorös explique celui-ci …

* Lire l’article complet sur :

LUC MICHEL CONFIDENTIEL/

L’AXE ORBAN-VISEGRAD-NETANYAHU-LIKOUD-STEINMETZ VS LES RESEAUX SORÖS.

OU COMMENT LA GUERRE DES MINES S’INVITE DANS LA POLITIQUE INTERNATIONALE !?

sur http://www.lucmichel.net/2018/07/19/luc-michel-confidentiel-laxe-orban-visegrad-netanyahu-likoud-steinmetz-vs-les-reseaux-soros-ou-comment-la-guerre-des-mines-sinvite-dans-la-politique-internationale/

Extraits :

« La visite (spectaculaire) du premier ministre hongrois Orban en Israël est l’occasion de rappeler que la politique internationale à l’ère Trump est plus complexe que les explications naïves des médias de l’OTAN ou de la presse russe. J’ai souvent du tempérer l’enthousiasme de nos amis iraniens ou africains pour Orban, sous prétexte qu’il s’attaquait à la pieuvre de la Galaxie Sorös. Sans parler de la vision des complotistes français, dont certains animateurs viennent d’être qualifiés au Liban de « pom pom girls de Trump », évoquent une nébuleuse « internationale des dirigeants patriotes » (sic) (Trump, Orban, Erdogan, Poutine, Kurtz et cie)… Derrière l’événement du jour, il y a la réalité occultée de la géopolitique du Bloc américano-occidental et de son leadership éclaté, « schismatique » pourrait-on dire évoquant l’histoire de l’Eglise, :

d’une part les Réseaux Sorös-Obama-Clinton (qui ont même lancé une «révolution de couleur rampante » aux USA, la « Purple revolution »), et d’autre part les lobbies qui ont amené Trump au pouvoir. Division qui traverse les institutions et organismes d’état américains (FBI, CIA, Sénat, Congrès, « vitrines légales de la CIA », State Department, diplomates …). »

« Dans le cas d’Orban, il y a tout d’abord un Axe géopolitique : Orban – Groupe de Visegrad – Netanyahu & Likoud.

Qui se double d’un Réseau affairiste : Netanyahu & Likoud – Groupe du milliardaire Steinmetz.

Et une réalité : la « nouvelle guerre des mines » : Où l’on retrouve les grands groupes miniers comme Rio Tinto, Chinalco, mais aussi Bouyges et surtout Georges Sorös et Steinmetz (qui se livrent une guerre sans merci en Afrique, prolongée en Israël et en Hongrie, précisément), les « Panama papers », le scandale Glencore et les nouveaux dossiers de « Bien (dits) mal acquis » montés en Suisse … »

# VOIR AUSSI MON ANALYSE DE LA « GUERRE DES MINES » :

* Voir sur PANAFRICOM-TV/

LUC MICHEL SUR ‘ZOOM AFRIQUE’ (PRESS TV, 19 DEC. 2017):

LA GUERRE DES MINES EN AFRIQUE ET LA GUINEE CONAKRY

sur https://vimeo.com/248505756

Complément pour le Quotidien géopolitique – Geopolitical Daily de LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

Géopolitique – Géoéconomie – Géoidéologie – Géohistoire – Géopolitismes – Néoeurasisme – Néopanafricanisme (Vu de Moscou et Malabo) :

PAGE SPECIALE Luc MICHEL’s Geopolitical Daily https://www.facebook.com/LucMICHELgeopoliticalDaily/

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* Luc MICHEL (Люк МИШЕЛЬ) :

WEBSITE http://www.lucmichel.net/

PAGE OFFICIELLE III – GEOPOLITIQUE

https://www.facebook.com/Pcn.luc.Michel.3.Geopolitique/

TWITTER https://twitter.com/LucMichelPCN

* EODE :

EODE-TV https://vimeo.com/eodetv

WEBSITE http://www.eode.org/

LA GUERRA DEL LINGUAGGIO ROVESCIATO DI CHI HA PERSO POTERE, RAGIONE E ANALISI — RAZZISTA (D)A CHI ? —- COSA C’È DIETRO LA MITOPOIESI DEI MIGRANTI

http://fulviogrimaldi.blogspot.com/2018/08/la-guerra-del-linguaggio-rovesciato-di.html

MONDOCANE

GIOVEDÌ 2 AGOSTO 2018

L’Italia è una Repubblica democratica, fondata sul lavoro. La sovranità appartiene al popolo, che la esercita nelle forme e nei limiti della Costituzione.

Scusate la citazione d’esordio, bassamente sovranista, al limite del nazionalismo, certamente populista, con impliciti accenti di razzismo.

Parola d’ordine: daje al razzista!

Va bene, mettiamo le mani avanti, prima che mi si rovesci addosso una parte dello tsunami  di livore-rancore-odio-fake news con cui la componente criminale dell’attuale classe dirigente uccidentale e il mercenariato dei suoi portantini politici e mediatici cretinopportunisti (in Italia tutta e tutti, escluso qualcuno che oggi sta al governo e chi l’ha votato) sta cercando di esorcizzare quanto capitatogli il 4 marzo e quanto di pur modesto (ma per loro funesto) glie ne è derivato. Per la prima volta, dalla guerra, il popolo ha populisticamente e sovranamente mandato a casa, al diavolo, la dinastia dei regnanti ladri e mafiosi. E questi hanno sbroccato e urlano.

Le mani avanti sono tre: primo, questo non è il mio governo, preferisco quelli di Robespierre e della Comune di Parigi, al limite quello di Fidel prima che se ne andasse il Che; secondo, ritengo i condizionamenti della Lega sul piano economico, ambientale, delle Grandi Opere, dell’amministrazione locale in perfetta continuità con i devastatori neoliberisti destrosinistri e la cultura linguistica del suo leader una sciagura; terzo, è dal 1966 che mi occupo senza soluzione di continuità di coloro dei quali viene ululato che sono vittime del razzismo di questo governo e,  alla fin fine, degli italiani  che questo governo hanno votato e, toh!, continuano a sostenere in numeri crescenti. Un mio caro amico e grandissimo vignettista ha disegnato l’idea dell’Italia come viene rappresentata da quelli del “daje al razzista”. Cercherò di spiegare perché è un’idea strumentale.

Con la razza sì, quella degli oppressi

Se avere combattuto direttamente e denunciato, in mezzo mondo e più, il colonialismo e l’imperialismo, ontologicamente espressioni di razzismo, di superiorità del dominante dotato di diritto e valori  sul dominato e dominando, per definizione privi di tali diritti e valori (islamico, nero, ignorante, nazionalista, zotico, retrogrado, privo di democrazia); se essere corso in guerra contro chi le guerre le faceva, armate o economiche, per spedirne immagini e storie di dolore, distruzione, infami soprusi, eroismi inenarrabili, che, nel mio piccolissimo, gettassero granelli di sabbia negli ingranaggi del bulldozer della menzogna; se stare con i palestinesi, irlandesi, cubani, venezuelani e latinoamericani tutti, arabi tutti, iracheni, libici, siriani, algerini nello specifico, e poi vietnamiti, iraniani, africani, somali, eritrei, etiopi in particolare, quelli che allora come oggi costringono a migrare; se aver mandato al diavolo i grandi amplificatori dell’informazione, o esserne stato bandito per incompatibilità di schieramento; se avere riempito di tutto questo migliaia tra articoli, libri documentari filmati, conferenze, se avere fatto dell’amore per tutti costoro e, più ancora, della passione per la verità dell’oppresso, l’unica che debba avere corso legale, morale, deontologico, e dell’odio per i necrofagi che pasteggiano con le loro vite e degli sguatteri che gli apparecchiano la tavola; se questo mi merita l’ingiuria di razzista, che sia!

E se, davanti alla miserabile mitopoiesi che gli eredi Ong della Compagnia delle Indie, del “fardello dell’uomo bianco”, civilizzatore di selvaggi a forza di genocidi, oggi tramutato in “valori europei” della solidarietà e dell’accoglienza, fanno del migrante in quanto tale, sempre e comunque “profugo” o “rifugiato”, sempre vittima, sempre buono e giusto e meritevole, esternando riserve e distinguo, si è razzisti, che sia!

Per non essere razzisti, ai tempi di epifanie dell’élite morale, intellettuale, umanatout court, modernamente e metticciamente mondialista, come Laura – ghigliottina – Boldrini (mi riferisco al suo modo imparziale di presiedere la Camera, ricordate?), paginone profumato alla violetta sul “manifesto”, o Nicola Fratoianni, ora sinistro mozzo sull’ammiraglia del filantropo terminator George Soros, Open Arms,paginone salivato sul “manifesto”, o Emma Bonino, facilitatrice di tutte le guerre Usa e Nato e nella foto avvinghiata al premio Nobel del crimine finanz-razzista, onde per cui finanziatore di tutti i complotti Ong e di regime change, paginone all’incenso sul “manifesto”, o le edicole e gli schermi unificati che latrano “razzisti”, per non essere razzisti, dicevo bisogna fare poche cose. Dire quel che serve e tacere quel che non serve.

L’informazione è miliardaria, ma anti-razzista

E’ la regola del buon giornalismo all’epoca dei suoi standard aurei. Quelli  in mano a Jeff Bezos (Amazon: Washington Post), Comunità ebraica e Carlos Slim, uomo più ricco del mondo (Petrolio e telecomunicazioni: New York Times), Comunità Ebraica e De Benedetti (CIR, Sanità, Energia, Compagnie financière Edmond de Rothschild banque Stampa, Repubblica, L’Espresso, ecc.). Un’equazione potere-politica-media che vale per gran parte di quella che viene definita “comunità internazionale” (coincide più o meno con l’estensione NATO, circa il 17% dell’umanità).

Un’equazione i cui termini numerici sono quelle 8 entità che posseggono quanto 3,5 miliardi di esseri umani, quei 16,5 milioni di milionari che dispongono di 63,5 trilioni di dollari, quei ricchi che nel 2017 si sono arricchiti di 1 trilione, un incremento del 23%, quattro volte quello dell’anno precedente. Più o meno, nel piccolo mondo italico, la sorte del nostro 1% che possiede il 45% della ricchezza nazionale  e del nostro 10% che ne possiede l’80%. Tra costoro anche il testè inserito tra le glorie marmoree sul Pincio Marchionne, davanti al quale l’operaio si cava il cappello ringraziandolo per avergli portato via quasi tutto per sistemarlo al sicuro in Svizzera, Olanda, Regno Unito e Stati Uniti. Questa sì, che è visione globale, scalzacani di Pomigliano.!. Chi oserebbe mettere in dubbio la rappresentazione del mondo che emana dai media residenti in tali campi elisi?

Un’equazione dalla quale riceviamo la nostra conoscenza di quanto accade intorno a noi: l’Italia è un paese in mano  a un regime cripto-fascista, razzista, xenofobo e – non me lo dire! – sovranista fino al midollo, che è riuscito, a forza di seminare paura dell’estraneo o diverso (migrante, donna, rom, LGBTQI e chi ne fa più ne metta) a pervertire quello che fino a ieri era il sano, saggio e lavoratore popolo che votava DC, PCI, Ulivo, DS, PD, LeU, FI, senza mai esprimere hate speech, discorsi dell’odio, rancore, invidia per Marchionne, Renzi e Orfini, senza mai insultare in rete, senza mai dare retta alle fake news.

Josepha dagli occhi sbarrati

E Josepha dagli occhi sbarrati, secondo i sorosiani di Open Arms rubata alle onde tra le quali l’avrebbero lasciati i libici (che non si vede perché debbano essere meno credibili di gente che si fa pagare da Soros e campa di Josephe, tanto più se accreditati da una giornalista tedesca); e il bambino curdo sulla spiaggia del Bosforo che scatenò la rotta balcanica e poi i 6 miliardi di euro a Erdogan per interromperla e che venne scoperto giustapposto sul bagnasciuga da chi lavorava a quegli esiti; e quell’altro ragazzino di Aleppo (foto), tirato fuori dai calcinacci e messo in ambulanza con la faccia imbrattata di polvere e sangue e che video non ortodossi scoprirono sceneggiata dei famosi elmetti bianchi (ora messi al sicuro dai padrini Nato che li pagavano per lavorare fianco a fianco con i terroristi Isis e ricoverati in Israele, nientemeno, e in Germania); e quello speronamento  di salvanaufraghi  tedesca Seawatch, che altro video non ortodosso rivelò essere stato manovra intidimidatoria Ong nei confronti di motovedetta libica; e quella ripresa in campo stretto di Jugend Rettet (ora sequestrata e sotto processo) che vede salvatori raccogliere gente da un gommone, seguita da ripresa in campo largo di infiltrato sulla nave, che mostra il coordinamento tra scafisti e Ong, la restituzione di gommone e motore, i saluti cordiali… Di tutto questo e similaria avete saputo la seconda parte, la smentita del trucco, solo dai famigerati social delle fake news. Quelle contro cui la Boldrini, “manifesto” e “repubblica” in borsa, è andata ad ammonire i ragazzi dei licei.

Equazione, dunque, dalla quale riceviamo la sconoscenza di particolari secondari, effettucci collaterali trascurabili. La pesista nera di Torino, “vittima di razzismo”, era solo uno dei 6 bersagli dei dementi lanciatori di uova e tutti gli altri erano bianchi. Il migrante morto(di auto o di pugno, non è chiaro) ad Aprilia aveva una cassetta piena di attrezzi per furti con scasso; nel periodo degli otto scellerati episodi di aggressione razzista (uova, pallini, “sporco negro”, eccetera), settimana di fuoco contro i migranti, le questure ci informano che sono state arrestate per reati vari 100 migranti e 400 ne sono stati denunciati. Informazione indubbiamente intrisa di razzismo. Da cestinare. Come lo sono i dati del Viminale pre-Salvini per i reati di violenza e contro la proprietà commessi dall’8,3% di popolazione straniera. A questa spetta il 55% dei furti con destrezza, il 51,7% dello sfruttamento della prostituzione (mafia nigeriana, ormai classificata la quarta mafia in Italia), il 45,7% delle estorsioni, il 45% dei furti in abitazione, il 41, 3% di ricettazioni, il 20,3% degli omicidi volontari, il 37,5% delle violenze sessuali.

Sto criminalizzando i rifugiati, direbbero gli anti-razzisti. No elenco dati compilati dal governo degli anti-razzisti e aggiungo che un tasso così elevato di comportamenti devianti è la naturale conseguenza di chi pesta nel mortaio pietas e accoglienza universale e non fa altro, a forza di migranti schiavi o mendicanti, che allestire l’irrinunciabile, per il capitalismo, esercito industriale di riserva. Questi che da noi, gettati a morire nei campi o da Amazon o agli angoli col cappello in mano, a casa erano contadini, pescatori, artigiani, maestri, infermieri, impiegati, disoccupati.  Gli avevano prospettato l’Arcadia, si sono imbattuti nel bulldozer dello sfruttamento più  spietato. A delinquere qui li hanno costretti loro, gli accoglitori.  Lasciate che il fiore bocconiano Tito Boeri farnetichi di migranti che pagheranno le nostre pensioni. Prima dovrebbero poter guadagnare e non in nero, poi dovrebbero esserci anche coloro che gliele pagheranno a loro, le pensioni. Con l’Italia che perde (caccia) quasi 300mila giovani (20% laureati) all’anno, con il Sud umanamente ancora la parte più salda di noi, da cui in 16 anni sono emigrati (cacciati) due milioni, la vedo dura.

Questo del dico e non dico è dunque il giornalismo di un establishment  potere-politica-media che per il momento si è privato del termine intermedio, la politica, e ne ha sostituito i contenuti – fatti, ragionamento, confronto, analisi – con le parole. Parole d’assalto lanciate con perfetti – e sospetti –  sincronismo e sintonia da tutti gli sconfitti, dall’estrema e finta sinistra all’estrema e vera destra: dal “manifesto” a tutti gli altri. Persa la partita della politica e finiti nel buco nero della ripulsa popolare per la situazione sociale e culturale catastrofica, questa sì fonte di paura e insicurezza, in cui hanno precipitato la nazione, cercano, come dice bene Carlo Galli, della Sapienza di Roma, di imporre un terreno di gioco nel quale l’aggressività lessicale dovrebbe sostituire analisi e confronti e porre l’avversario vincente dalla parte del torto a forza di una superiorità morale fondata sui valori di bontà, accoglienza, tolleranza. Detti “valori europei” o, addirittura “occidentali” (con rumorosa esclusione di ogni Sud ed Est, in particolare di quel Putin che voleva imporre alla Rai il suo burattino Foa. Ma di questo la prossima volta.

“il manifesto” agonizza, e neanche gli altri stanno tanto bene: colpa dei razzisti

Se dunque “il manifesto” agonizza alla mercè degli inserzionisti e grazie al milione e mezzo di generosità pubblica, non è mica perché al lettore che si ritiene altro rispetto a neoliberismo e imperialismo rifila un Marco Revelli, prestigioso corsivista, ultimo giapponese della grottesca Lista per un’altra Europa con Tsipras,  che esalta la “resistenza vincente di Tsipras” all’indomani dell’ennesimo taglio delle pensioni, dell’ennesima svendita delle infrastrutture e, per fare felice la Nato, della cacciata di diplomatici russi e della prostituzione della Grecia a Netaniahu. Non è mica perché dal Nicaragua a Libia, Pakistan, Siria, Zimbabwe, Messico, Russia, Sahel ripropone, verniciate di rosso, le nefandezze false, bugiardi e necrofaghe della vulgata imperiale. Macchè, è perché quella comunità di “deplorables” (copyright di Hillary per gli elettori di Trump), quella società da rieducare, è stata fuorviata, pervertita, corrotta, da populisti, nazionalisti, sovranisti, razzisti e xenofobi. Il campo da gioco non è quello di chi utilizza al meglio il rettangolo e chi ci si muove sopra, ma quello che spara più populisti, razzisti, sovranisti. Ed è chiaro che  a tirare in porta parole, specie se vuote di significato ma appesantite da odio, rancore, invidia, non si fa goal neanche in cent’anni.

La tecnica del rovesciamento del linguaggio, di attribuire il cancro all’altro, non ferma la tua metastasi. Tutta questa gente si divincola nel risentimento, nell’odio, nel rancore, nell’invidia e, freudianamente, ne fa portatori gli altri, riuscendo solo ad evidenziare l’assenza di argomenti e il ridicolo tra coloro che, col voto, con una vera e propria sollevazione come non se n’erano più viste dagli anni ’70, ne hanno decretato la fine. Il povero Marco Revelli si abbarbica al detrito galleggiante di un fedifrago come Tsipras, quinta colonna del nemico quanto il giornale su cui imbarca naufraghi da accogliere senza se e senza ma e senza mai andare a vedere cosa c’era prima del gommone.

Colonialismo = razzismo, quello di ieri, quello di oggi

Perché qui casca l’asino. I valori europei di cui costoro cianciano  stanno nella ripetizione di una storia colonialista di cui l’Europa e poi l’emisfero nord-occidentale si sono responsabili nel corso di mezzo migliaio di anni. Un valore essenziale per l’accumulazione primitiva è stata la tratta degli schiavi. Lo è tornato ad essere per l’accumulazione post-crisi e la riorganizzazione demografica ai fini globalistici.  Se ne rivedono i missionari, apripista, oggi come allora innescatori di turbamenti e alienazioni scaturiti da una supponenza religioso-elitaria di dimensioni cosmiche, se ne vedono i benefattori e samaritani che portano istruzione e sanità di diretta derivazione cattocapitalista e di cospicua ricaduta per gli operatori. Ieri si andava, si occupava, si prelevava, per le Americhe anche vite umane. Oggi si mettono in piedi, militarmente o a forza di benefits, clan dirigenti i cui paesi non vedranno più coloni, ma ospiteranno manager.

Rimane e viene potenziata, grazie a un apparato articolato in filiera organizzatissima, l’estrazione di merce umana. Spostamenti di popolazioni con la promessa, regolarmente delusa, di una vita migliore al Nord di quella, malridotta dai predatori e desertificatori transnazionali, al Sud. E la “via della seta” della mondializzazione. Il mezzo è sempre più lampante: sradicamento, trasferimento, impoverimento di chi arriva e chi accoglie, distruzione di identità, sovranità, popolo. Il daje al razzista serve a questo. Essendo il colonialismo per sua natura, premesse e fini  necessariamente razzista. Ecco che un minimo di ermeneutica  ci  consente di riconoscere negli accoglitori pietosi il ceppo centrale della xenofobia e del razzismo postmoderno. Mi sentite Boldrini, Zoro, Revelli, il Blob degenerato in sciropposo buonismo del TG3, Beppe Giulietti, Camusso, Erri De Luca, Bergoglio e Parolin (suo segretario di Stato ospite acclamato al Bilderberg 2018), ossi di seppia spiaggiati del PD e via sinistrando?

E tutta gente da maglietta rossa. Li avete visti tutti, in massa, magliette rosse e petto in fuori a manifestare e a gridare contro il razzismo delle guerre imperialiste, con concorso italiano, ai 3 milioni di iracheni massacrati nelle guerre di Bush, Clinton, Bush; alla Libia felice e prospera frantumata e consegnata al caos, ai 300mila siriani uccisi e ai 6 milioni sradicati dalla guerra nostra e dei nostri terroristi jihadisti; allo Yemen, non solo raso al suolo dalle bombe, ma destinato al genocidio dal blocco totale dei rifornimenti; all’Afghanistan, nel quale collaboriamo a una guerra coloniale con sterminio di civili che dura da 17 anni ed è fondata sulla balla che Osama bin Laden ha buttato giù le Torri; all’orrore delle devastazioni in Africa, dove briganti inventati dai colonialisti e loro truppe di occupazione assistono le multinazionali nelle rapine delle risorse e nella distruzione degli  habitati di tutti i viventi.

E certamente avete visto queste benemerite magliette impegnate in altre cause, anche domestiche, come la lotta alla falcidie dei diritti dei lavoratori da Job Act, la difesa dell’ambiente e dei diritti delle comunità con lo Sblocca Italia, la rivolta contro la privatizzazione della scuola, fatta azienda monocratica al servizio degli sfruttatori, contro l’avvelenamento e depauperamento dei nostri mari e terre con piattaforme e trivelle dell’idrocarburo ammazza-pianeta, la vaiolizzazione del nostro territorio con ben 90 basi di guerra e di morte Usa e Nato…..

Come non li avete visti? Eravate distratti….

Pubblicato da Fulvio Grimaldi alle ore 22:15

Il Giornale delle h.19 di France Inter, 1° agosto 2018.

Élodie Forêt

https://www.franceinter.fr/emissions/le-journal-de-19h

Un altro ministro su un altro fronte : a Roma Bruno Le Maire ha incontrato il vice-premier ministro italiano e capo del movimento 5 Stelle, Luigi Di Maio, molto ostile alla linea ferroviaria Lyon Turin contrariamente al suo alleato della Lega, Matteo Salvini.

Di Maio « più misurato in privato che in pubblico » dice Le Maire alla uscita.

Le precisazioni d’Antonino Galofaro[1] :

60 milioni per km per l’Italia contro 20 per la Francia : per il ministro italiano dei trasporti Danilo Toninelli la linea Lyon-Turin è cara,  è dunque ben deciso a rivalutare l’opera,

Bruno Le Maire, ministro francese dell’economia in visita a Roma comprende questa posizione :

« Arrivano al potere, è un impegno finanziario che è molto pesante, che si msura in miliardi di euro, trovo perfettamente legittimo che il governo italiano prenda tempo, guardi se questa infrastruttura è opportuna, se è redditizia dal punto di vista economico, e se non é  troppo costosa dal punto di vista finanziario. Non si può rimproverare al governo italiano di fare lo stesso esame come quello che abbiamo fatto noi, da parte francese »

Ma Danilo Toninelli fa parte del Movimento 5 Stelle, formazione anti-sistema, sempre molto contraria alla linea ferroviaria.

Ma nessun timore da parte francese. Bruno Le Maire :

« Ci sono interrogativi da parte italiana,  interrogativi profondi. Ci sono impegni politici che sono anche stati presi in campagna elettorale dal vice-presidente Di Maio. Bisogna rispettare questi impegni e rispettare anche la decisione del popolo italiano, è molto importante. Essl si augurano di aver dibattiti e un dialogo. Siamo aperti a quiesti dibattiti, siamo aperti a à questo dialogo. »

La posizione dei 5 Stelle è ancora incerta, quando i loro alleati al governo, la Lega all’estrema destra, sostiene l’opera.

Il vice-premier ministro Luigi Di Maio ha proposto una soluzione di mediazione : un referendum.

Rome, Antonino Galofaro, France Inter

E Bruno Le Maire aggiunge a microfoni spenti : “E poi in ogni caso hanno da sbrigarsela con Ibanez, perché io, comincio a farmi…”

1] (correspondente di France Inter)