LE TCHAD DU PRESIDENT IDRISS DEBY ITNO ENTRE PANAFRICANISME ET REALITES PRAGMATIQUES GEOPOLITIQUES

 

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Flash Vidéo Géopolitique/ Geopolitical Flash Video/

2018 08 14/

Vignette PANAF-TV deby leader

Le Flash Vidéo du jour …

Le géopoliticien Luc MICHEL dans le ZOOM AFRIQUE du 14 août 2018 sur PRESS TV (Iran)

Le géopoliticien esquisse la géopolitique pragmatique et réaliste du président tchadien Idriss Deby Itno, devenu « par le sang versé » le leader de la lutte panafricaine anti-djihadiste. Et comment il louvoie entre l’interventionnisme occidental et sa volonté panafricaniste d’émancipation africaine, notamment vers la constitution d’une force transnationale, noyau d’une future Armée africaine …

Sources :

* Video sur PANAFRICOM-TV/

LE TCHAD LEADER PANAFRICAIN DE LA LUTTE ANTI-TERRORISTE (ZOOM AFRIQUE, PRESS TV, 14.08.2018- AVEC LUC MICHEL)

sur https://vimeo.com/284989976

* L’article sur

https://www.presstv.com/DetailFr/2018/08/14/571149/G5-Sahel-le-Tchad-doubleratil-la-France

* Que dit Press TV :

Interview express du géopoliticien Luc MICHEL depuis Bruxelles … « G5 Sahel: le Tchad doublera-t-il la France ?

Tchad/sécurité : Un nouveau centre des opérations au Tchad, un nouveau « G5 » mais sans la France ? »

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

(Flash Vidéo Géopolitique/

Complément aux analyses quotidiennes de Luc Michel)

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

Géopolitique – Géoéconomie – Géoidéologie – Géohistoire – Géopolitismes – Néoeurasisme – Néopanafricanisme (Vu de Moscou et Malabo) :

PAGE SPECIALE Luc MICHEL’s Geopolitical Daily https://www.facebook.com/LucMICHELgeopoliticalDaily/

________________

* Luc MICHEL (Люк МИШЕЛЬ) :

WEBSITE http://www.lucmichel.net/

PAGE OFFICIELLE III – GEOPOLITIQUE

https://www.facebook.com/Pcn.luc.Michel.3.Geopolitique/

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* EODE :

EODE-TV https://vimeo.com/eodetv

WEBSITE http://www.eode.org/

DE LA GUINEE CONAKRY AU CONGO, LA ‘NOUVELLE GUERRE DES MINES’ AU CŒUR DE LA GEOPOLITIQUE AFRICAINE

 

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Luc MICHEL pour EODE/

Quotidien géopolitique – Geopolitical Daily/

2018 08 15/

LM.PRESS TV - ZOOM AFRO guerre des mines II (2018 03 08)

Une bataille hautement stratégique est menée à Kinshasa. Le président Kabila continue son combat pour que les richesses du sous-sol de RDC reviennent au peuple congolais. Le gouvernement est bien décidé à renforcer l’ITIE (la norme internationale de « transparence » dans le domaine minier) … Et derrière cette bataille, qui explique l’hostilité des occidentaux contre Kabila, une réalité : la « nouvelle guerre des mines » : où l’on retrouve les grands groupes miniers comme Rio Tinto, Chinalco, mais aussi Bouyges et surtout Georges Sorös et Steinmetz (qui se livrent une guerre sans merci en Afrique, prolongée en Israël et en Hongrie, précisément), les « Panama papers », le scandale Glencore et les nouveaux dossiers de « Bien (dits) mal acquis » montés en Suisse … »

Dans la guerre des mines, comment s’est préparée la RDC ?

Le cobalt a été au cœur du combat de Kinsha, qui a imposé qu’il soit désormais considéré comme un minerai stratégique. Comment la RDC (qui en possède la moitié des réserves mondiales) s’est organisée pour en conserver le contrôle ? Le géopoliticien Luc MICHEL explique comment le président Kabila a organisé la résistance aux multinationales occidentales …

Les Analyses de Luc MICHEL en videos :

* Voir sur PANAFRICOM-TV/

LUC MICHEL SUR ZOOM AFRIQUE (PRESSTV):

LA GUERRE DES MINES EN AFRIQUE II.

KABILA & LE NOUVEAU CODE MINIER EN RDC

sur https://vimeo.com/259365870

* Et sur PANAFRICOM-TV/

LA GUERRE DES MINES EN AFRIQUE III.

RDC. KABILA ET LE NOUVEAU CODE MINIER. SUITE (PRESS TV, 14.08.2018)

sur https://vimeo.com/284998102

* Voir aussi la Partie I :

sur PANAFRICOM-TV/

LUC MICHEL SUR ‘ZOOM AFRIQUE’ (PRESS TV, 19 DEC. 2017):

LA GUERRE DES MINES EN AFRIQUE ET SON EPICENTRE LA GUINEE CONAKRY sur https://vimeo.com/248505756

# L’ANALYSE DE REFERENCE SUR LA ‘GUERRE DES MINES’ :

COMMENT LA GUERRE DES MINES S’INVITE DANS LA POLITIQUE INTERNATIONALE !?

* Lire LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY/

REVUE DE PRESSE : LE DESSOUS DES CARTES DE L’ALLIANCE GÉOPOLITIQUE ENTRE LE RÉGIME ORBAN (HONGRIE) ET LE LIKOUD ISRAELIEN (NETANYAHU) sur http://www.lucmichel.net/2018/07/23/luc-michels-geopolitical-daily-revue-de-presse-le-dessous-des-cartes-de-lalliance-geopolitique-entre-le-regime-orban-hongrie-et-le-likoud-israelien-netanyahu/

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

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* EODE :

EODE-TV https://vimeo.com/eodetv

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L’ALGERIE CIBLEE ? (LES USA ENTENDENT REDEPLOYER LES DJIHADISTES AU PROCHE-ORIENT II)

 

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Flash Vidéo Géopolitique/ Geopolitical Flash Video/

2018 08 17/

vignette-djihadistes II

Le Flash Vidéo du jour …

Le géopoliticien Luc MICHEL dans REPORTAGE du 15 août 2018 sur PRESS TV (Iran)

Sources :

* La video sur PCN-TV/

LUC MICHEL: L’ALGERIE CIBLEE ?

(LES USA ENTENDENT REDEPLOYER LES DJIHADISTES AU PROCHE-ORIENT II – SUR PRESS TV)

sur https://vimeo.com/285184413

* L’article sur :

https://www.presstv.com/DetailFr/2018/08/15/571296/Les-Algriens-vontils-tre-pargns

* Press TV :

« USA : les Algériens vont-ils être épargnés ?

Quel pays pourrait être la prochaine cible des pions US ?

Alors que les pions des États-Unis que sont les groupes terroristes de tendance frériste, qaïdiste ou encore takfiriste ont échoué en Syrie, l’armée américaine les a aidés à rejoindre des « camps spéciaux » en Arabie saoudite et aux Émirats arabes unis, a écrit le quotidien palestinien Al-Manar dans son numéro du mardi 14 août. Si cette information est vraie, quel pays pourrait être la prochaine cible des pions US ? » Le géopoliticien Luc MICHEL répond à ces questions …

# L’ANALYSE DE REFERENCE :

* Lire pour comprendre l’interview de Luc MICHEL pour SITA … INTERVIEW DE LUC MICHEL PAR LE SITE ARABE ‘SITA INSTITUTE’ :

DJIHADISMES – TERRORISME – IMMIGRATION. QUAND L’AGENDA PROCHE-ORIENTAL S’IMPOSE EN EUROPE … La grande interview du géopoliticien Luc MICHEL par Jan Vanzeebroeck et Samar Radwan (Beyrouth), pour le site arabe libanais ‘SITA INSTITUTE’

sur http://www.eode.org/eode-think-tank-interview-de-luc-michel-par-le-site-arabe-sita-institute-djihadismes-terrorisme-immigration-quand-lagenda-proche-oriental-s/

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

(Flash Vidéo Géopolitique/

Complément aux analyses quotidiennes de Luc Michel)

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

Géopolitique – Géoéconomie – Géoidéologie – Géohistoire – Géopolitismes – Néoeurasisme – Néopanafricanisme (Vu de Moscou et Malabo) :

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* Luc MICHEL (Люк МИШЕЛЬ) :

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* EODE :

EODE-TV https://vimeo.com/eodetv

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TOUJOURS ET ENCORE LE ‘SCENARIO DU DIABLE’: LES USA ENTENDENT REDEPLOYER LES DJIHADISTES AU PROCHE-ORIENT

 

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Flash Vidéo Géopolitique/ Geopolitical Flash Video/

2018 08 16/

vignette-djihadistes I

Le Flash Vidéo du jour …

Le géopoliticien Luc MICHEL dans LE DEBAT du 15 août 2018 sur PRESS TV (Iran)

Sources :

* La video sur PCN-TV/

LUC MICHEL:

LES USA ENTENDENT REDEPLOYER LES DJIHADISTES AU PROCHE-ORIENT DEPUIS LA SYRIE (DEBAT SUR PRESS TV)

sur https://vimeo.com/285179819

* L’article sur :

https://www.presstv.com/DetailFr/2018/08/15/571292/Les-Amricains-recyclent-leurs-agents

* Press TV :

« Syrie: le nouveau plan US.

Les Américains recyclent leurs agents en Syrie.

Retour à la case départ: après avoir perdu la guerre en Syrie et en Irak, les Américains recyclent leurs agents et ce, aux frais des Saoudiens et des Émiratis. Un vaste mouvement de transfert des terroristes takfiristes actifs dans la région s’effectue en ce moment par l’Arabie saoudite et les Émirats arabes sous les auspices américaines.

Luc Michel, géopoliticien, intervient à ce sujet. »

# L’ANALYSE DE REFERENCE :

* Lire pour comprendre l’interview de Luc MICHEL pour SITA … INTERVIEW DE LUC MICHEL PAR LE SITE ARABE ‘SITA INSTITUTE’ :

DJIHADISMES – TERRORISME – IMMIGRATION. QUAND L’AGENDA PROCHE-ORIENTAL S’IMPOSE EN EUROPE … La grande interview du géopoliticien Luc MICHEL par Jan Vanzeebroeck et Samar Radwan (Beyrouth), pour le site arabe libanais ‘SITA INSTITUTE’

sur http://www.eode.org/eode-think-tank-interview-de-luc-michel-par-le-site-arabe-sita-institute-djihadismes-terrorisme-immigration-quand-lagenda-proche-oriental-s/

 

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

(Flash Vidéo Géopolitique/

Complément aux analyses quotidiennes de Luc Michel)

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

Géopolitique – Géoéconomie – Géoidéologie – Géohistoire – Géopolitismes – Néoeurasisme – Néopanafricanisme (Vu de Moscou et Malabo) :

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* Luc MICHEL (Люк МИШЕЛЬ) :

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* EODE :

EODE-TV https://vimeo.com/eodetv

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LE CANTONATE DEI GRANDI

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MONDOCANE

GIOVEDÌ 16 AGOSTO 2018

SAMIR AMIN CONTRO GHEDDAFI


In merito ai giusti tributi riservati al grande marxista e combattente antimperialista, Samir Amin, scomparso giorni fa, che mi regalò alcune perle di saggezza arabo-marxista in un caffè del Cairo nell’estate 1967, in vacanza da Parigi, mi sembra giusto evitare il vezzo italiano per cui del morto non va detto mai niente di critico. Ecco, per esempio, una citazione di Samir che rappresenta superficialità e supponenza spesso rilevabili nei marxisti duri e puri e che Marx avrebbe redarguito, un giudizio abnorme su uno dei più grandi combattenti per l’unità e il riscatto arabi e africani e colui che al suo popolo aveva dato il più alto livello di vita dell’intero continente. Macchia nera e gdiudizio non circumnavigabile.

Gheddafi non è stato altro che un pulcinella di cui il vuoto di pensiero trova il suo riflesso nel suo famoso “Libro verde”. Operando in una società ancora arcaica, Gheddafi ha potuto permettersi di tenere in successione discorsi – privi di portata reale – “nazionalisti e socialisti”, per poi orientarli il giorno dopo verso il “liberismo”. Ha fatto questo “per fare piacere agli Occidentali”!, come se la scelta del liberismo non producesse effetti sulla società. Tuttavia, ne ha prodotti, e molto banalmente, per la maggior parte ha aggravato i problemi sociali.


E sarebbe per questi meriti occidentali che l’Occidente avrebbe squartato lui e raso al suolo il suo paese? Aggiungerei, sempre sullo sfondo di un marxismo da comunista iperteorico e poco pragmatico, la sua avversione, dopo un’iniziale adesione, al panarabismo, forza motrice strategica del risveglio di una grande nazione e per questo aggredita con tutti i mezzi dall’imperialismo; il sostegno al recente intervento colonialista francese in Mali e in tutta la regione del Sahel, giustificato con l’intento di evitare che la colonizzazione e la rapina dei beni minerari fossero compiute da Usa, UK e Germania; l’ambiguità poco lucida, per un attentissimo studioso delle tecniche provocatorie dell’imperialismo, sugli attentati dell’11 settembre, sì, secondo lui, sfruttati dagli Usa per guerre d’aggressione, ma compiuti dagli immaginari dirottatori di Bin Laden mentre Cia e Mossad si sarebbero limitati a lasciar fare; l’accredito di altri attentati, come Charlie Hebdo o Bataclan, a radicali jihadisti ed estemisti locali per costringere la Francia a mollare il Sud della Libia; la scelta maoista, legittima, accompagnata dalla feroce critica, ingiustificata, a un presunto espansionismo sovietico; l’appassionata adesione ai movimenti dei Forum Sociali di Porto Alegre, con gli esiti che conosciamo; il passaggio dal maoismo spinto alla difesa dell’attuale modello cinese, definito con l’ossimoro “socialismo di mercato”, alternativa alla globalizzazione neoliberista.

Avendo capito benissimo come l’accumulazione capitalista e il mondialismo si stavano concentrando sulla spoliazione dei paesi dalle ricche risorse attraverso lo sradicamento delle loro popolazioni e sulla destabilizzazione degli Stati nazionali (sparò a zero contro i secessionisti catalani), la sua autorevole voce avrebbe potuto con forza e chiarezza denunciare l’operazione migranti e i suoi manutengoli Ong.

Mi pare giusto accompagnare ricordi e apprezzamenti con riserve riguardanti questi e altri punti, giusto per non indurre chi si fida a fare l’eterno errore dei fideisti di accettare tutto tout court. Sempre meglio distinguere, no? Del resto, “nessuno è perfetto”, come si conclude in “A qualcuno piace caldo”.

 

Sotto i ponti

15 agosto 18 

di Marco Travaglio 

http://www.ilbenecomunenewsletter.it/le-news-in-tempo-reale/37-mediafriends/38730-sotto-i-ponti-editoriale-di-marco-travaglio-sul-fatto-quotidiano-del-15-agosto-2018.html

Quando un viadotto autostradale si sbriciola in un secondo seppellendo morti e feriti, tutte le parole sono inutili.

Ma quelle di chi incolpa la pioggia, il fulmine, il cedimento strutturale, la tragica fatalità imprevedibile, il destino più cinico e più baro della “costante manutenzione”, sono offensive.

Se l’ennesima catastrofe da cemento disarmato si potesse prevedere, lo accerteranno i tecnici e i giudici. Ma che si potesse prevenire già lo sappiamo, visto che il ponte Morandi aveva due gemelli italiani, di cui uno già a pezzi e l’altro in manutenzione: per tenere sotto osservazione il terzo non occorreva uno scienziato, bastava il proverbio “non c’è il 2 senza il 3”.

Se “il monitoraggio era costante”, allora faceva schifo.

Se non c’erano “avvisaglie”, è perché non erano state rilevate. Ora, come dopo ogni terremoto o alluvione di media entità e di enorme tragicità, rieccoci a far la conta dei morti e dei danni, mentre le “autorità” giocano allo scaricabarile. E i palazzinari e i macroeconomisti si fregano le mani per gli affari e gli effetti sul Pil della ricostruzione.

Se il “governo del cambiamento” vuole cambiare qualcosa, deve partire proprio di qui.

Cioè da zero. Con scelte di drastica discontinuità col passato: rivedere le concessioni ai privati che lucrano sui continui aumenti delle tariffe in cambio di manutenzioni finte o deficitarie; e annullare le grandi opere inutili, dal Tav Torino-Lione in giù, per dirottare le enormi risorse (anche ridiscutendone la destinazione con l’Ue) su piccole e medie opere di manutenzione, prevenzione e ammodernamento delle infrastrutture esistenti (finora ignorate perché la grandezza dei lavori e delle spese è direttamente proporzionale a quella delle mazzette).

Da quando i partiti che hanno sgovernato finora hanno perso le elezioni e il potere, non fanno che esortare i successori a non disperdere il grande patrimonio ereditato.

Invece proprio questo un “governo del cambiamento” deve fare: buttare a mare la pseudocultura dello “sviluppo” gigantista e della “crescita” faraonica; e invertire la scala dei valori e delle priorità.

Il crollo di ieri ci dice che un ponte pericolante, figlio di un sistema marcio e corrotto, fa più danni di tutti i terroristi islamici, i migranti clandestini, le epidemie di morbillo e le altre “emergenze” farlocche o gonfiate che occupano l’agenda industrial-politico-mediatica.

Se vuole cambiare seriamente, il governo si occupi di cose serie con politiche serie.

Confindustria, Confcommercio, Confquesta, Confquellaltra e i loro giornaloni si metteranno a strillare? Buon segno: è a furia di dar retta a lorsignori che siamo finiti tutti sotto quel ponte.

L’articolo completo sul Fatto Quotidiano oggi In Edicola.
https://www.ilfattoquotidiano.it/il-fatto-quotidiano-prima…/

Ultimi Articoli

Crollo del ponte Morandi, no fatalità ma precise responsabilità!

http://www.notav.info/post/crollo-del-ponte-morandi-no-fatalita-ma-precise-responsabilita/

post14 agosto 2018 at 17:14

Arrivano come un pugno nello stomaco le immagini del crollo del ponte Morandi a Genova, mentre i soccorritori scavano tra le macerie cercando le persone scomparse e si spera che la conta delle vittime non salga ulteriormente.
Una tragedia che colpisce ancora una volta il nostro paese, lasciando dietro di se morti e devastazione e tante domande che rimangono senza risposta.
Alcune cose però le sappiamo, una di queste è che le fatalità non esistono.
Le cose accadono perchè sussistono le condizioni affinchè si realizzino e ciò che è reale e determinante in questa tragica storia sono le priorità politiche che questo paese si è sempre dato e la messa in sicurezza dei territori non è mai stata una di queste.
Prioritario, e lo dimostra la tarantella sulle grandi opere che 5 stelle, leghisti e pd stanno facendo da quando questo governo è stato eletto, è l’equilibrismo politico, quello dei grandi interessi, il business delle grandi opere inutili figlie degli interessi dei soliti noti. Il denaro è ciò che muove il business delle grandi opere, non la sicurezza dei cittadini, un sistema che il governo “del cambiamento” aveva detto avrebbe disarticolato ma noi lo vediamo ancora vivo e vegeto, pronto a drenare altri soldi pubblici ed indirettamente sottrarre a tutti noi il denaro necessario per vivere senza rischiare di morire nei nostri territori.
Non c’è solo qualcosa che non funziona, non si tratta di fare tarantelle polemiche, è un sistema marcio che continua a vivere e rinnovarsi, nonostante le roboanti dichiarazioni dei volti politici della tv.
I politici nostrani tramite tweet e brevi dichiarazioni si accusano a vicenda, provando a tenere per ora bassi i toni nonostante la campagna elettorale perenne e convergendo su un generico “le responsabilità verranno accertate dalla magistratura”.
Abbiamo sperimentato in questo ultimo anno sulla nostra pelle cosa vuol dire svegliarsi in mezzo alle fiamme o avere la montagna che ti crolla sulla testa, pensiamo a quello che accade nel nostro paese ogni volta che piove un po’ più del dovuto, quando la terra trema, quando i treni deragliano. Tutti questi morti sono nostri, sono famiglie, gente comune, persone che vanno a lavorare, che portano i figli a scuola, che tirano avanti per come si può.
Per questo oggi pretendere che vengano bloccate le opere inutili e dannose non è una battaglia di parte, ma è punto di partenza se si vuole davvero dare le giuste priorità a questo paese. Con pochi centimetri di Tav quanti chilometri di strade e autostrade potrebbero essere messe in sicurezza? Questa domanda oggi pesa come un macigno e andrebbe posta a tutti coloro che occupano poltrone nelle istituzioni e che in questi minuti hanno il coraggio di mostrarsi in tv.
Siamo vicini a tutte le famiglie colpite da questa ennesima tragedia.
Anche per loro continueremo a lottare.

SULLA DIATRIBA LEVA SÌ LEVA NO—– CITTADINI AL SERVIZIO, MILITARE O CIVILE, DELLA COLLETTIVITA’, O MERCENARI AL SERVIZIO DEI SIGNORI DELLA GUERRA?

http://fulviogrimaldi.blogspot.com/2018/08/sulla-diatriba-leva-si-leva-no.html

MONDOCANE

MARTEDÌ 14 AGOSTO 2018

La difesa della Patria è sacro dovere del cittadino. Il servizio militare è obbligatorio nei limiti e modi stabiliti dalla legge. Il suo adempimento non pregiudica la posizione di lavoro del cittadino, né l’esercizio dei diritti politici. L’ordinamento delle Forze armate si informa allo spirito democratico della Repubblica. (Costituzione, art.52)

A dispetto che me ne verranno alcune ragionate obiezioni e un mucchio di biecamente strumentali anatemi (reazionario, nazionalista, sovranista, populista, rossobruno e via nella scia del sinistro sinistrismo), sento l’urgenza di inserirmi con due parole nella diatriba scatenata da Salvini con la proposta di tornare al servizio di leva obbligatorio, militare o civile. Per otto mesi. Io ne feci 18 e se parto da me non è per il narcisismo di coloro che trattano il mondo come se fosse una giostra di calcio in culo dove tutto è mosso dal perno centrale e gli ruota intorno  e quel perno sarebbero loro. Avete presente Luciana Castellina, Furio Colombo, Roberto Saviano, Mattia Feltri, Eugenio Scalfari, per restare sul ramo della comunicazione?

Dal Parnaso alle stalle di Augia

Diciotto mesi sul finire degli anni 50, appena finita l’università, quando avevo ancora poca barba, tantissimo testosterone e lavoravo a Milano all’ufficio Stampa della Mondadori, frequentando e promovendo la creme de la creme (la tastiera non ha l’accento grave) della migliore intellettualità che l’Italia abbia avuto da allora: Montale, Quasimodo, Moretti, Vittorini, Calvino, Fenoglio, Palazzeschi, Bacchelli, Sereni, Arpino, Rea, Pratolini, Buzzati, Moravia… Li elenco e richiamo l’aria che in quelle temperie respirava un giovinastro appassionato di penna e lettura, per paragonarla a quella rancida e pervasa da sudori e disinfettante che girava per le camerate di una caserma. Si può immaginare il trauma. Superato  quello già non lieve della visita medica, tutti nudi con le mani incrociate sul bene prezioso e il maresciallo della Sanità che ti tastava le gonadi per vedere se eri affetto da qualcosa. I primi tempi di caserma erano da depressione. Ma non si finiva depressi. Proprio perché si era in tanti e la comunanza dava forza. Incazzati, magari, ma è diverso, è positivo. A me il militare ha fatto capire che ero parte di qualcosa.

Prima i fatti, poi la morale

La prima caserma era quella di Ascoli Piceno e la libera uscita, rigorosamente in divisa, ci vedeva a Piazza del Popolo, inguattati nei portici a occhieggiare ragazze i cui sguardi ci attraversavano come fossimo trasparenti. Il massimo dei massimi era la cena-baraonda nella bettola del vicolo che ci costava un terzo del soldo mensile. La seconda caserma, sempre da allievo ufficiale, era a Caserta, allora mica la scintillante città di oggi, più un borgo espanso e polveroso dove, per la libera uscita, c’era la reggia e una ragazza che ti faceva la prestazione su un lettone dietro a una tenda sorvegliata dall’anziana madre che faceva la maglia e dondolava una culla. Poi vennero, per il comando di un plotone e poi di una compagnia, Roma e quello che allora era il buco di culo del Nord Est e oggi una “ridente cittadina”: Sacile del Friuli, Brigata Corazzata Garibaldi. Infine, il ritorno da Mondadori: allora ai militari si conservava il posto.

Alla scuola allievi di Ascoli dopo i tre mesi, si poteva volontariare per un’arma: cavalleria, fanteria, alpini, commissariato, genio… Di solito, prese le tue misure, venivi accontentati. Ma per i bersaglieri c’erano da superare alcune prove, durette: percorso di guerra, salto mortale, arrampicate e soprattutto una mezza maratona. Arrivai terzo, stremato, strisciando. Il colonello selezionatore per questo decise di ammettermi, nonostante l’handicap inibitore degli occhiali: “Sei un bersagliere”, disse. Scelsi i bersaglieri perché mi piaceva correre e ne avevo letto le imprese nelle guerre d’indipendenza, soprattutto la breccia di Porta Pia e, con quella, la fine dello Stato della Chiesa e, si pensava, la fine del potere temporale del papa. Eppoi li circondava quell’aura da tardo ottocento della Scapigliatura, irriverente e antibigotta, e da primo novecento futurista, intriso di libertà di movimento, velocità, canzoni sbarazzine e ragazze. Tutto questo simboleggiato dalle piume di gallo cedrone (poi di cappone), “l’ala del bersagliere”, che doveva nella formula moderna, con la corsa, spazzare la via ai mezzi corazzati.

Lamarmora, come salvare la pelle

Del generale Lamarmora, il fondatore, non gradito ai Savoia, ma giudicato tra i migliori strateghi della storia militare, mi aveva colpito un cambiamento dell’arte della guerra. Con i suoi bersaglieri aveva posto fine all’avanzata compatta di schiere di soldati, agevolmente falcidiati in massa dal nemico, le “onde umane” usate da secoli con sommo disprezzo per le vite degli uomini. Aveva inventato il metodo di far muovere i bersaglieri sul campo di battaglia in unità di tre, sparpagliate, con sapiente uso dei ripari forniti dal terreno. Grande risparmio di vite. Conservo ancora il cappello piumato, ma di tutto questo non ho la minima nostalgia, anche perché è mescolato alla stupidità intrinseca della gerarchia, a certe violenze implicite in chi si approfittava dell’essere titolare di un rapporto dall’alto in basso, a fatiche immonde, a punizioni immeritate, a un sottile, sempre presente, senso carcerario, del sentirsi alla mercè di una volontà arbitraria. E quello che ai bersaglieri professionisti, insieme alle altre specialità, vien fatto fare da comandi obbedienti a decisori esterni al mio paese, non mi riguarda e mi ripugna.

C’era comunque il buono e il cattivo. C’era il colonello che ti perseguitava con le punizioni e la negazione dei permessi perché, con la tua confidenza data alla truppa da ufficiale giustificavi gravi ma inconsistenti sospetti di omosessualità; e c’era il capitano pittore che ti invitava nella sua stanza  a scoprire sul registratore Miles Davis, Brassens e Paul Anka. C’erano le esercitazioni a fuoco in cui qualcuno ci poteva rimettere l’incolumità di un braccio, o peggio, e c’era la soddisfazione per aver passato la prova grazie a un coraggio e una lucidità che pensavi di non avere.

E, per chiudere sul piano personale, di molto buono per me c’è stato che, arrivato in caserma da mangiapreti, sì, visto che venivo da un collegio di frati (per cui Porta Pia), ma anche da destro dichiarato e convinto, e ne uscii da convinto comunista. La prima condizione veniva da un passato infantile e adolescenziale tra Figli della lupa e camicie brune in Germania, la seconda dall’incontro con il carrista Marcello, universitario fiorentino (come me), figlio di ferroviere comunista, comunista saggio ed elastico anche lui. A forza di libere uscite sulla mia moto Zigolo, vane cacce comuni all’entità femminile, estenuanti discussioni e il fatto che lui, nonostante mie ostinate stupidaggini, non mi ha mai mandato a fare in culo, ho attraversato il rubicone.

La morale

Ritorno dalla Somalia

Quello che ho, abbiamo, hanno vissuto nei 18, poi 12, mesi di leva militare, mi fanno dire che Salvini, per una volta, ha ragione. E’ un forte sostegno alla sua ragione gli danno coloro che il servizio di leva lo abolirono: D’Alema, caporale Nato in Jugoslavia, nel 1999 ne ventilò la fine, Berlusconi nel 2004 la sancì. Bei tipetti, ottimamente motivati. Dalla Nato. Che tutto propone, pone e dispone nel nostro paese. Un processo avviato e poi imposto a tutti i paesi del giro che aveva iniziato a muoversi verso la fine della sovranità popolare, della democrazia, della pace. Quelli di Stay Behind, Gladio, che avevano mosso le pedine De Lorenzo, Borghese, Gelli e stragisti vari, per un “regime change” in salsa yankee, che allontanasse il PCI dal potere, si erano resi conto che con quattro guardie forestali, un manipolo di ufficiali di medio rango, qualche poliziotto e qualche Delle Chiaie, si andava per fichi. Che ci sarebbe voluto l’esercito, l’aeronautica, la marina, o almeno grossi pezzi di questi.

Ma con un esercito di leva, cioè di cittadini di tutti i colori, perlopiù portati alla pace e alla vita senza avventurismi di sapore fascista, ovviamente niente da fare. E neanche per mandare Giulio il bracciante, Oreste lo studente di architettura, Mario l’operaio Fiat, Riccardo l’infermiere, Palmiro il giornalista di Paese Sera a sparare e farsi sparare in Russia, Serbia, Iraq, Sud Tirolo. Ci sarebbero voluti i volontari, i professionisti, i mercenari. Quale mamma avrebbe potuto presentarsi all’ufficio di leva per strappare il figlio, autodeterminato a fare la guerra, dalle grinfie del maresciallo reclutatore?

Questa è la considerazione basilare per porre fine al turpe allevamento di carne da cannone e di combattenti, in casa e fuori, per il Nuovo Ordine Mondiale dell’élite dollarocratica, a difesa dei confini della patria tra Herat, Mogadiscio, Baghdad, Tripoli e dove cazzo la famiglia Rothschild e il suoi salottini Trilateral, Bilderberg decidono di avanzare verso quel nuovo ordine. Poi ce ne sono altre che con le guerre e armi c’entrano poco o punto. Pensate a otto mesi in cui ragazzi tra i 18 e i 25 anni possono tirare fuori lo smartphone solo la sera, in libera uscita. A questi giovanotti coccolati e rimpinzati dalla famiglia fino a 40 anni (mica per colpa loro, s’intende) senza mai dover subire l’affronto di un monte fisico o psicologico da superare, una difficoltà da contenere o raggirare, un sopruso da subire senza farsene abbattere. Senza mai aver dovuto affrontare un forte disagio ambientale, umano, morale, costretti a convivere anche all’ingiustizia senza poterla scaricare su altri, ma dovendola condividere.

Fare comunità

Ecco condividere. Fare comunità. Da iperindividualisti che si era e come vorrebbero che fossi: mors tua vita mea, competere non cooperare. Ritrovarsi in un destino comune, anche se solo temporaneo. Con gente che altrimenti avresti incontrato mai, con la quale mai avresti pensato di dover, poter, condividere alcunché. Il siciliano e quello della Valsugana, l’umbro e il leccese, quello che rientra dal laboratorio genetico di Londra e quello del Rione Sanità. Il musicista e l’impiegato di banca, lo studente e il figlio del contadino lucano, lo stronzo e il simpatico. E dove tutto quello che hai alle spalle non conta nulla, e tocca remare: siete nella stessa barca, branda, taverna, camera di punizione, guardia alla polveriera, mangiate lo stesso rancio, condividete frustrazioni, attese e resistenze. L’uguaglianza sociale sta lì e si rivela ottima cosa. Stai lì per la collettività.

Dice che oggi l’esercizio delle armi è a livelli tecnologici tali che in otto o 10 mesi non si combina nulla. A parte il fatto che non è vero e che le tecnologie militari e militariste sarebbe bene riconvertirle, anziché misurare l’angolo di impatto del missile sulla base del frattale che si aggira tra il tuo schermo e il satellite, o piuttosto che bardarti di macchinari con cui colpire quella che sembra una famiglia al matrimonio, ma è un’accolita di terroristi, sarebbe bene imparare come intervenire su un argine rotto dall’esondazione. Su un terremoto.

Esercito di popolo

Un esercito di popolo non sarebbe neanche quello che abbiamo conosciuto nei decenni del dopoguerra, sempre intriso di quell’impostazione gerarchica senza basi valoriali civiche e  consenso legittimante. Noi di Lotta Continua, con l’organizzazione “Proletari in divisa”, ci impegnammo a fondo negli anni ’70 per strappare alla politica e all’apparato militare sclerotizzato su concetti addirittura pre-napoleonici, il diritto a spazi democratici e di autodeterminazione dei soldati. L’idea, da riproporre oggi per un’eventuale nuova leva, militare o civile, è quella dell’intima connessione tra forze armate e società civile, territorio, istanze e bisogni popolari. Un esercito scuola di costruzione della democrazia a partire dai suoi cittadini organizzati in servizio di leva, dalla compartecipazione di militari, comandi e politica nelle decisione riguardanti attività di difesa e di intervento nelle problematiche nazionali, nell’assoluto rispetto dell’art.11 della Costituzione.  Per cui missioni all’estero, che non siano per aiutare a estrarre persone da sotto le macerie del terremoto in Iran o nelle Filippine, neanche a sognarle.

 

Garibaldi e Anita

https://www.youtube.com/watch?v=ZJFF0f8geaE

Io che, per i casi della vita, avevo colorature e marcature tedesche profonde, da militare ho scoperto gli italiani e mi sono scoperto uno di loro. A livello personale avevo fatto come Garibaldi, l’unità d’Italia. E non salti ora fuori il solito rampognoso a parlarmi delle nequizie dei garibaldini, del Mazzini e del Garibaldi massoni (altra massoneria quella), magari pagati dagli inglesi (e bene fecero), dei Savoia chiaviche colonialiste, dei briganti del Sud e degli ottimi Borbone. Tutto giusto, ma l’unità d’Italia andava fatta, storicamente, moralmente, politicamente, economicamente, culturalmente. Lo chiedeva la sua lingua. L’avevano chiesto Dante e Leopardi. L’hanno chiesta quelli della repubbliche insorte da Roma a Napoli a Milano, a Venezia. E chiedono di conservarla, mantenerla, coltivarne le radici, senza le quali non si hanno fioriture e passa il glifosato mondialista. Quello che non fa prigionieri.

Un tempo la battaglia per l’esercito di popolo e contro il mercenariato dei professionisti la combattevano quelli che la pensavano come il mio compagno carrista Marcello. Quelli che sono contro l’esercito di popolo sono anche quelli che inneggiano alla cessione della sovranità di popolo a Juncker e a Draghi. Diceva Calamandrei, oggi ricordato dal “Fatto Quotidiano”: “L’esercito di popolo, questo è Garibaldi”.  La cui rivoluzione non poteva essere un pranzo di gala. Poteva essere fatta meglio. Come ogni cosa. Ma guai se non ci fosse stata.

Pubblicato da Fulvio Grimaldi alle ore 19:42

ZITTO ! —- LIBERTÀ DI STAMPA, DI OPINIONE, DI MANIFESTAZIONE DEL PENSIERO ASSASSINATA DAI SIGNORI DEI SOCIAL —– RISPONDO CON I MIEI DOCUMENTARI

http://fulviogrimaldi.blogspot.com/2018/08/documentari-per-saperne-di-piu-di-cosa.html

MONDOCANE

MARTEDÌ 7 AGOSTO 2018

“Ti è stato impedito di pubblicare elementi in via temporanea

Questo blocco temporaneo avrà una durata di 24 ore, durante le quali non potrai pubblicare su Facebook.

Se pubblicherai di nuovo contenuti che non rispettano i nostri standard, il tuo account  verrà bloccato per 3 giorni. Se in seguito si verificheranno ulteriori violazioni, il tuo account verrà bloccato per un periodo ancora più lungo.

Tieni presente che gli account delle persone che pubblicano ripetutamente contenuti non consentiti su Facebook potrebbero essere disattivati in modo permanente”.

NIENTE PAURA, NON SUCCEDE NIENTE A CHI CONDIVIDE I MIEI POST INCRIMINATI

Cari amici, questo è il comunicato che ho trovato ieri, martedì 7 agosto 2018, quando ho tentato di postare su Facebook l’intervento che trovate qui sotto. E’ probabile che il provvedimento si riferisce al mio articolo “Razzista (d)a chi?” nel quale non c’è un insulto, una calunnia, un falso, ma vi si menzionano, nelle loro funzioni e attività, personaggi sacri come Boldrini e Bonino, nel contesto di una denuncia di come l’uragano delle accuse di “razzismo” rappresenti il vero “discorso dell’odio” e serva come strumento di criminalizzazione degli oppositori dell’establishment. Per questo FB mi banna e minaccia altri provvedimenti, magari anche per altri articoli “inappropriati per i nostri standard”, senza neanche fornirmi le motivazioni, al di là dell’affermazione che avrei violato questi loro “standard” del tutto misteriosi. Standard del Signor Zuckerberg che lo hanno portato davanti a diverse commissioni d’inchiesta e inflitto cospicue multe per il “disinvolto” trattamento di dati personali (vedi lo scandalo della cessione a Cambridge Analytica).  Nel frattempo negli Usa una delle voci più autorevoli  e seguite di critica al governo Usa e alle sue guerre, Alex Jones del sito “Infowars”, è stato bannato da Youtube. L’ondata repressiva contro chi, nei social, osa contraddire e criticare l’immane flusso di fake news dei media di sistema, ha raggiunto questi livelli. Io denuncerò quanto inflittomi all’Ordine dei giornalisti e alla Federazione della Stampa, ma occorre una risposta collettiva.

In caso di ulteriore mia arbitraria esclusione da Facebook, ricordatevi che potete trovare i miei articoli sul sito www.fulviogrimaldicontroblog.info

Nel frattempo vi ripropongo alcuni dei miei lavori di documentazione filmografica su temi di bruciante attualità. La diffusione di questi documentari vuole essere una risposta all’ondata censoria e di solidarietà con chi subisce queste offese alla libertà di stampa, oltre a far circolare verità che l’élite considera sempre più intollerabile. Possono essere richiesti a fulvio.grimaldi@gmail.com


https://www.youtube.com/watch?v=EWwWPCGw6cI&t=314s (Trailer “O la Troika o la vita”)

https://www.youtube.com/watch?v=EWwWPCGw6cI (Trailer “Fronte Italia-Partigiani del 2000”)

https://www.youtube.com/watch?v=haEQNk6gE8M&t=9s  (Trailer “Target Iran”)

https://www.youtube.com/watch?v=tFBAq6ulfOA&t=112s  (Trailer “L’Italia al tempo della peste – Grandi Opere, Grandi Basi, Grandi Crimini)

Recenti avvenimenti di grande portata, come l’ennesima strage di migranti dei campi pugliesi, il vero e proprio scontro sulle Grandi Opere (TAP e TAV) che minaccia di lacerare la coesione del governo detto gialloverde, la crescente minaccia israelo-statunitense di aggressione all’Iran dopo la sconfitta subita in Siria, hanno dato nuova attualità ad alcuni miei lavori che documentano nel dettaglio  origini, cause, responsabilità, effetti proprio di questi avvenimenti e sviluppi e del loro retroterra geopolitico.

Ripropongo dunque questi miei documentari di quattro dei quali potete vedere i trailer su youtube. Altri sono elencati nella colonna di destra del mio sito www.fulviogrimaldicontroblog.info. Per i dettagli su ordini e spedizioni dei Dvd, scrivere a fulvio.grimaldi@gmail.com. Vi risponderà l’incaricata della distribuzione.

Di strettissima attualità è il recente “O la Troika o la vita – Non si uccidono così anche i paesi”(90’), realizzato con Sandra Paganini, che, partendo dalla distruzione della Grecia, per mano della cricca euroatlantica (UE, BCE, FMI, Berlino), sullo sfondo della geopolitica mondiale dell’imperialismo, illustra e analizza le aggressioni analoghe al nostro paese, alle sue comunità, alla sua salute, al suo ambiente, perpetrate nella complicità del governo Renzi: lo sfregio all’ecosistema e al patrimonio ambientale e storico del Salento programmato dal gasdotto TAP, di nessuna utilità per l’Italia per la sovrabbondanza delle forniture in atto, ma che, provenendo dall’Azerbaijan, paese cliente degli Usa, taglia fuori la Russia e il suo gas, per noi più conveniente sul piano economico e logistico. La ferita del TAP viene poi criminalmente completata dal gasdotto SNAM che deve portare l’idrocarburo al Nord, passando sulla faglia sismica che ha originato il disastro dell’Italia centrale e concentrandosi in una serie di megadepositi e impianti per l’iniezione del gas sottoterra, in zone ad ampio rischio sismogenetico. A questo si affianca la denuncia della spaventosa proliferazione di trivelle in terra e piattaforme di estrazione in mare tra Adriatico e Jonio, con enormi danni all’ecosistema marino, ittico e vegetale e all’integrità territoriale. Un ampio capitolo tratta delle gravissime responsabilità istituzionali per la malagestione del terremoto del 2016, degli scandalosi ritardi e della totale assenza di ricostruzione. Su tutti questi temi parlano poi gli esponenti della resistenza sociale alle aggressioni.

“Fronte Italia-Partigiani del Duemila” e “L’Italia al tempo della peste – grandi opere, grandi basi, grandi crimini” sono due documentari (ognuno di 90’), precedenti al primo rispettivamente di uno e di tre anni, che trattano in profondità gli aspetti deleteri di alcune delle Grandi Opere che la componente leghista dell’attuale governo vorrebbe realizzare. Sono lavori che denunciano altre devastazioni del territorio, lo sgretolamento della sovranità popolare, la guerra dei pochissimi contro i tanti. Protagonisti di “Fronte Italia” sono i devastatori della Val di Susa e dell’Appennino del Terzo Valico con l’inutile TAV e la risposta che ormai da oltre vent’anni gli oppone una popolazione che non si arrende, insieme a coloro che lottano contro la grande base satellitare di guerra Usa “MUOS” , che deve gestire le guerre in Africa e Medioriente, in Sicilia a Niscemi.  “L’Italia al tempo della peste” percorre l’intera penisola al seguito del grande movimento di lotta del “NO”, No Mose, No Grandi Navi, No Nato, No Basi, No Tap. No Triv… 

Capitoli specifici sono dedicati ancora al TAP nel Salento, al tragico espianto di ulivi che comporta e contro cui si batte la comunità salentina; alla terrificante devastazione ENI e Total della Basilicata, dove una regione dalle rare bellezze naturali e dalle pregiate produzioni ortofrutticole è stata inquinata e trasformata in una specie di stagno di residui chimici e petroliferi;  alla criminale aggressione a Venezia e alla sua laguna con le mostruose navi e il pernicioso Mose; e alla Sardegna infestata da basi Usa e Nato, dove si esercitano le forze armate e le società di armamenti di mezzo mondo, con il conseguente inquinamento dei territori e la morìa di persone e animali.

“Target Iran” è stato girato nell’Iran di Ahmadinejad, il presidente che ha preceduto l’attuale, Rouhani, e che aveva rifiutato di sottomettersi al diktat Usa-israeliano di bloccare lo sviluppo di energia nucleare a fini pacifici (energia e medicina), diktat invece accettato dal suo successore. Visitiamo un Iran, già allora sottoposto a sanzioni di cui gli Usa pretendono che siano osservate anche da tutti gli altri paesi (con perdite enormi per l’Italia, primo paese negli scambi con l’Iran) e, per questo, in drammatiche difficoltà sul piano economico e sanitario (a proposito dei diritti umani rivendicati dagli aggressori), che non hanno tuttavia piegato la volontà di resistere della popolazione e, al laico Ahmadinejad, di sollevare dalla povertà milioni di cittadini. Si scopre, contro ogni aspettativa, determinata dalle campagne diffamatorie dei media, un paese libero, cordiale, con aperti rapporti tra i sessi, ospitale, attento al suo patrimonio ambientale e archeologico, ricco di cultura e creatività artistica, i cui dirigenti e protagonisti ci illustrano un passato, sotto lo Shah, protetto dagli Usa, di incredibili misfatti nei confronti dell’opposizione repubblicana. 

Misfatti oggi affidati a forze che lavorano alla destabilizzazione del paese: la rivoluzione colorata del 2009, che voleva mettere in discussione la vittoria di Ahmadinejad; il terrorismo stragista del MEK (Mujahedin e Khalk), setta esoterica sanguinaria, armata e finanziata da Mossad e Cia, responsabile di infiniti attentati dinamitardi contro civili e di assassinii mirati;  la penetrazione, attraverso il confine con l’Afghanistan, di droga dai campi di oppio sotto contro delle forze d’occupazione americane, mirata a diffondere eroina nella popolazione iraniana. Ne esce un quadro completo dell’Iran, con la sua storia millenaria, la sua sofferenza, il suo orgoglio, le sue bellezze.

“L’Asse del Bene” racconta un viaggio attraverso la lotta vittoriosa di emancipazione sociale e politica dei paesi latinoamericani che si sono ribellati alla manomorta dell’imperialismo yankee e dell’oligarchia feudale che ne era il complice locale. La rivoluzione bolivariana di Hugo Chavez attraverso l’incredibile successione di conquiste sociali, il colpo di Stato fallito con cui gli Usa avevano tentato di rimuovere il presidente diventato faro per tutta l’America Latina; il rovesciamento di un regime autoritario secolare in Bolivia da parte di una coalizione indigeni-discendenti iberici guidata dall’indio Evo Morales, la conquista del potere in Ecuador da parte della “revolucion ciudadana” di Rafael Correa con la quale le ricchezze del paese sono tornati al popolo. E naturalmente, all’origine di tutta questa rivolta all’ordine coloniale costituito, Cuba. Ma Cuba per quello che era e che rappresentava, prima dell’attuale involuzione. Un documentario che indica la via e incoraggia la fiducia.

Pubblicato da Fulvio Grimaldi alle ore 12:31

ISRAEL DANS L’IMPASSE SUR LE GOLAN ET LE FRONT LIBANO-SYRIEN

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Flash Vidéo Géopolitique/ Geopolitical Flash Video/

2018 08 06/

0_630 (1)

Le Flash Vidéo du jour …

Le géopoliticien Luc MICHEL dans ‘REPORTAGE’ du 5 août 2018 sur PRESS TV (Iran)

Sources :

* Sur PCN-TV/

PRESS TV (IRAN) INTERROGE LUC MICHEL:

ISRAEL DANS L’IMPASSE SUR LE GOLAN (5 AOUT 2018)

sur https://vimeo.com/283410938

* Les interrogations de PRESS TV (la Télévision d’Etat iranienne

francophone) sur l’actualité du Golan et du Front libano-syrien, où Tel-Aviv fait face à l’Axe de la Résistance (Syrie – Iran – Hezbollah libanais et irakien) :

« Alors qu’Israël a été amené à déclarer forfait au Golan et à accepter le retour en force de l’armée syrienne, il est pointé du doigt après l’assassinat d’un scientifique syrien à l’ouest de Hama.Israël est soupçonné d’être à l’origine de cette attaque parce qu’il avait déjà pris pour cible le centre d’études et de recherches où ce chercheur travaillait.

Israël se trouve-t-il dans une impasse ?

Luc Michel, géopoliticien, s’exprime sur le sujet. »

LE GOLAN ENJEU STRATEGIQUE MAJEUR

Annexé par Israël (au mépris des Lois internationales), le Golan syrien a été tout d’abord un butin de guerre.

Mais il est devenu aujourd’hui un enjeu géostratégique et géopolitique (riche en hydrocarbures et en eau, la matière stratégique de ce XXIe siècle), au cœur de la confrontation entre la Syrie, le Liban (avec en arrière-plan la Russie et l’Iran) et Israël …

# LES ANALYSES DE REFERENCE SUR

LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY …

OU VA ISRAEL ? (III) :

LE GOLAN, DE BUTIN DE GUERRE ANNEXE A ENJEU GEOSTRATEGIQUE

sur http://www.lucmichel.net/2018/02/25/luc-michels-geopolitical-daily-ou-va-israel-iii-le-golan-de-butin-de-guerre-annexe-a-enjeu-geostrategique/

OU VA ISRAEL ? (I) :

LA DEGRADATION IRREVERSIBLE DES RAPPORTS ENTRE MOSCOU ET TEL-AVIV …

sur http://www.lucmichel.net/2018/02/23/luc-michels-geopolitical-daily-ou-va-israel-i-la-degradation-irreversible-des-rapports-entre-moscou-et-tel-aviv/

GRAND JEU AU PROCHE-ORIENT:

POUTINE ‘NOUVEAU TSAR’ DE L’ORIENT (III). LA FIN DE LA NEUTRALITE BIENVEILLANTE AVEC ISRAEL

sur http://www.lucmichel.net/2017/12/20/luc-michels-geopolitical-daily-grand-jeu-au-proche-orient-poutine-nouveau-tsar-de-lorient-iii-la-fin-de-la-neutralite-bienveillante-avec-israel/

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

(Flash Vidéo Géopolitique/

Complément aux analyses quotidiennes de Luc Michel)

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

Géopolitique – Géoéconomie – Géoidéologie – Géohistoire – Géopolitismes – Néoeurasisme – Néopanafricanisme (Vu de Moscou et Malabo) :

PAGE SPECIALE Luc MICHEL’s Geopolitical Daily https://www.facebook.com/LucMICHELgeopoliticalDaily/

________________

* Luc MICHEL (Люк МИШЕЛЬ) :

WEBSITE http://www.lucmichel.net/

PAGE OFFICIELLE III – GEOPOLITIQUE

https://www.facebook.com/Pcn.luc.Michel.3.Geopolitique/

TWITTER https://twitter.com/LucMichelPCN

* EODE :

EODE-TV https://vimeo.com/eodetv

WEBSITE http://www.eode.org/