AU CŒUR DE L’AFFONTEMENT PARIS VS MOSCOU  AFRIQUE NOIRE

 

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Luc MICHEL pour EODE/

Quotidien géopolitique – Geopolitical Daily/

2018 12 11/

PUB LM.GEOPOL DAILY - Pub geopol afro centrafique II (2018 12 11) FR (1)

I- L’ACTU – CE MARDI SOIR 11 DEC. 2018 SUR AFRIQUE MEDIA/ DANS ‘FACE A L’ACTUALITE’ AVEC LE GEOPOLITICIEN LUC MICHEL :

GEOPOLITIQUE AFRICAINE. QUE SE PASSE-T-IL EN CENTRAFRIQUE ?

Vers 20h00 (Douala-Ndjaména-Malabo)

et (Bruxelles-Paris-Berlin)

Avec les panelistes invités ce soir

Luc MICHEL en Duplex EODE-TV depuis Bruxelles Rediffusion ce mercredi

* Thème de l’émission :

SUJET D’ACCUEIL. RCA.

La Russie intègre le conseil de sécurité de la République centrafricaine.

* Le géopoliticien Luc MICHEL :

– ANALYSE LE CONTEXTE GÉOPOLITIQUE DU DOSSIER CENTRAFRICAIN, le choc Paris (allié aux USA) vs Moscou.

– Ce qui est en jeu est fondamental pour les deux rivaux :

La place de la France de Macron et Le Drian, « shérif de l’Afrique » selon les généraux de Trump, en Afrique ; Le « grand retour de la Russie sur les champs de bataille de la Guerre froide » (dixit STRAFOR, le grand think tank américain) et la place de Moscou en Afrique …

* AFRIQUE MEDIA

Rediffusion prochaine sur la WebTV AFRIQUE MEDIA

sur http://www.afriquemedia-webtv.org/

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II – « LA RCA, TETE DE PONT DES AMBITIONS RUSSES EN AFRIQUE »

C’est le constat plein de dépit de RFI : « En 10 mois à peine, ils sont devenus omniprésents à Bangui, ils forment les FACA, les forces armées centrafricaines, assurent la sécurité rapprochée du président Faustin Archange Touadera, jouent les médiateurs avec les groupes armés qui contrôlent encore les trois quarts du pays, et implantent des bases dans les zones diamantifères : pourquoi cet intérêt subit des Russes pour la Centrafrique, qu’ont-ils à y gagner ? Le Kremlin cherche-t-il à évincer la France de son pré carré africain ? La RCA est-elle la tête de pont des ambitions russes sur le continent africain ? »

Le retour de la Russie « sur les champs de bataille de la guerre froide en Afrique », après le départ brutal de 1991-92 du à l’implosion de l’URSS, est une mauvaise surprise pour le Bloc américano-occidental, l’AFRICOM et l’OTAN. Et en particulier pour Macron et sa « nouvelle Françafrique 2.0 », choisie comme « nouveau sherif de l’Afrique » par le général Mattis, chef du Pentagone et homme fort de l’Administration Trump. En particulier Moscou intervient directement sur les chasses gardées de Paris : Libye avec Haftar, Centrafrique, RDC (où des accords russo-congolais viennent d’être

conclu) …

En tout cas, la guerre pour le contrôle de la République Centrafricaine entre la France et la Russie est une réalité :

* Premier joueur sur l’échiquier africain et centrafricain.

La Russie est de retour sur les champs de bataille de l’ancienne guerre froide en Afrique, après l’éclipse des Années 1991-2015 ?

* Second joueur, la France.

Celle de la « nouvelle Françafrique 2.0 » des Macron-Zinsou-Le Drian.

Quel scénario joue Paris ? Celui du « nouveau shérif de l’Afrique » désigné par le Pentagone.

* Troisième joueur, celui qui domine actuellement l’échiquier africain, les USA.

Washington s’est réintéressé à l’Afrique après le tournant géopolitique américain en Afrique de 2007-2008 et la création de l’Africom. Entre « Printemps africain » et « diagonale stratéqique Djibouti-Dakar », les projets géopolitiques des USA en Afrique sont d’ampleur continentale.

La Centrafrique est, elle, devenue l’épicentre du nouveau grand jeu géopolitique africain. Moscou a surgit en RCA, bousculant les projets franco-américains ! « Depuis un an, Moscou est devenu un acteur incontournable sur le plan militaire et même diplomatique », constate RFI. « La Russie a en effet lancé, l’été dernier, son propre dialogue pour la paix, invitant à Khartoum au Soudan gouvernement et groupes armés à s’assoir autour de la table. Une initiative qui vient saper le laborieux processus de paix, sans résultats, lancé par l’Union africaine (UA) » Dont la France se veut « l’avocate infatigable » écrit Florence Parly, la ministre de la Défense de Macron,  « rappelant l’importance de l’action coordonnée de la communauté internationale » (sic). Un constat d’échec de la diplomatie occidentale …

III – VOIR LES ANALYSES DE REFERENCE SUR

LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY :

* GEOPOLITIQUE AFRICAINE:

COMMENT LA ‘RUSSIE REVISITE LES ANCIENS CHAMPS DE BATAILLE DE LA GUERRE FROIDE’ (VU DES USA)

Sur http://www.lucmichel.net/2018/06/21/luc-michels-geopolitical-daily-geopolitique-africaine-comment-la-russie-revisite-les-anciens-champs-de-bataille-de-la-guerre-froide-vu-des-usa/

* LA RUSSIE EST DE RETOUR EN AFRIQUE :

LES CONSEQUENCES GEOPOLITIQUES ET LE NOUVEAU ‘GRAND JEU’ AFRICAIN…

Sur http://www.lucmichel.net/2018/06/17/luc-michels-geopolitical-daily-la-russie-est-de-retour-en-afrique-les-consequences-geopolitique-et-le-nouveau-grand-jeu-africain

* FLASH VIDEO/ LA GUERRE DE PARIS CONTRE MOSCOU POUR LE CONTRÔLE DE LA CENTRAFRIQUE (LE GRAND RETOUR DE LA RUSSIE EN AFRIQUE)

Sur http://www.lucmichel.net/2018/08/09/luc-michels-geopolitical-daily-flash-video-la-guerre-de-paris-contre-moscou-pour-le-controle-de-la-centrafrique-le-grand-retour-de-la-russie-en-afrique/

(Sources : RFI – Interfax – EODE Think Tank)

Photos :

La Russie et la Centrafrique signent un accord militaire.

Les Russes sont de plus en plus visibles dans le pays. Parmi les objectifs de Moscou, affaiblir la présence française en Afrique.

# Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

Géopolitique – Géoéconomie – Géoidéologie – Géohistoire – Géopolitismes – Néoeurasisme – Néopanafricanisme (Vu de Moscou et Malabo) :

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* EODE :

EODE-TV https://vimeo.com/eodetv

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DESTABILISATION DES GRANDS LACS : BRUXELLES (UE ET NEOCOLON BELGE) VS KINSHASA

 

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

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Quotidien géopolitique – Geopolitical Daily/

2018 12 11/

PUB LM.GEOPOL DAILY - Pub geopol afro rdc bxl vs kin I (2018 12 11) FR (1)

« Il ne faudrait pas sous-estimer la place que l’Afrique a prise dans les tripes et les jeux de pouvoirs des libéraux. Elle leur offre une cour de récré plus grande que la Belgique et peut-être le sentiment d’encore peser, un peu, sur les affaires du monde. Ils y ont développé des relations qu’il serait, certes, hardi de comparer avec celles que la « Françafrique » entretient avec ses anciennes colonies mais elles reposent quand même sur un maillage étroits de liens d’affaires et de connivence philosophique »

– Le Vif-L’Express (Les réseaux africains du MR, Bruxelles, 12 mars 2015).

I- L’ACTU – CE MARDI SOIR 11 DEC. 2018 SUR AFRIQUE MEDIA/ DANS ‘FACE A L’ACTUALITE’ AVEC LE GEOPOLITICIEN LUC MICHEL :

POURQUOI L’UNION EUROPEENNE SANCTIONNE LE GOUVERNEMENT CONGOLAIS ?

Vers 20h00 (Douala-Ndjaména-Malabo)

et (Bruxelles-Paris-Berlin)

Avec les panelistes invités ce soir

Luc MICHEL en Duplex EODE-TV depuis Bruxelles Rediffusion demain mercredi

* Thème central de l’émission :

RDC.

l’Union Européenne accentue les sanctions contre le candidat Emmanuel Ramazani Shadary.

Pourquoi cet acharnement de l’Union Européenne contre le gouvernement congolais ?

* Le géopoliticien Luc MICHEL :

ANALYSE LE DESSOUS DES CARTES DE L’ACTION DE BRUXELLES, SIÈGE DE L’UNION EUROPÉENNE MAIS AUSSI CAPITALE DU NÉO-COLON BELGICAIN, DANS LA RÉGION DES GRANDS LACS, EN RDC ET AU BURUNDI …

– il explique comment fonctionne le lobby néo-colonial belge, celui des Réseaux africains du MR (le parti libéral belge francophone de l’ex-commissaire européen Louis Michel, de son fils le premier ministre belge fédéral Charles Michel et du ministre des Affaires étrangères belge Reynders) ; il dénonce l’hypocrise de Bruxelles en matière de libertés, de droits de l’Homme et de « démocratie ». L’Union européenne prolonge en effet d’un an ses sanctions contre le dauphin choisi par le président congolais Joseph Kabila. Le Conseil des ministres européens des Affaires étrangères a en effet prolongé, ce lundi, les sanctions décidées en décembre 2016 et mai 2017 contre 14 personnalités du gouvernement Kabila en raison de “leurs actions pour entraver les élections ou de leur responsabilité dans des violations des droits de l’homme” (resic). Emmanuel Ramazani Shadary, candidat officiel à la présidentielle du 23 décembre, en fait partie. On notera que le gouvernement Kabila, qui ne se représente pas, organise pour la première fois dans l’histoire congolaise une succession démocratique par élection …

– il explique comment les nostalgies néo-coloniales de la Belgique se dissimulent derrière l’hostilité à la majorité présidentielle congolaise.

* AFRIQUE MEDIA

Rediffusion prochaine sur la WebTV AFRIQUE MEDIA

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II – AU CŒUR D’UNE « FRANCAFRIQUE A LA BELGE » :

COMMENT FONCTIONNE LE LOBBY NEO-COLONIAL BELGE ?

Au cœur de la déstabilisation du Congo par Bruxelles, il y a les réseaux libéraux du MR. Qui nous conduisent au cœur d’une « Françafrique à la belge » !

Pour rappel, le MR, parti libéral francophone, est le parti de Charles Michel, le premier ministre fédéral belge, et de son père et mentor l’ex Commissaire européen Louis Michel (l’homme qui a déstabilisé les Grands-Lacs avec son complice le dictateur rwandais Kagamé pour le compte des américains).

Le scandale du « Kazakhgate » a conduit à un grand coup de projecteur (bien vite étouffé) sur les Réseaux du MR et de la Famille Michel.

Evoquant le « dirty business » du MR en Afrique, Le Vif-L’Express (édition belge de l’hebdo parisien) écrivait qu’« Il ne faudrait pas sous-estimer la place que l’Afrique a prise dans les tripes et les jeux de pouvoirs des libéraux. Elle leur offre une cour de récré plus grande que la Belgique et peut-être le sentiment d’encore peser, un peu, sur les affaires du monde. Ils y ont développé des relations qu’il serait, certes, hardi de comparer avec celles que la « Françafrique » entretient avec ses anciennes colonies mais elles reposent quand même sur un maillage étroits de liens d’affaires et de connivence philosophique ».

L’hebo belge sortait son dossier à l’occasion du premier volet du Kazakhgate concernant la RDC, impliquant un autre particrate dirigeant du MR, Serge Kubla … L’ancien ministre wallon de l’Economie et ex-bourgmestre de Waterloo était inculpé pour corruption, après avoir remis de l’argent liquide (20 000 euros) à Chantal Muzito, la femme de l’ancien Premier ministre congolais Adolphe Muzito de passage à Bruxelles. Le monde libéral est décidément bien petit !

Mais bien avant le scandale du « Kazakhgate », Le Vif-L’Express consacrait déjà un dossier retentissant aux « réseaux du MR en Afrique », réseaux de business louches. L’hebdo belge évoquait « les liens très particuliers que certains libéraux ont noués avec l’Afrique.

Plusieurs réseaux s’y croisent, certains à la lisière de la politique et des affaires » et « la chasse gardée du clan Michel- Wavre, fief des businessmen actifs au Congo ». A noter que le parti libéral belgo-flamand VLD (de l’ex premier ministre fédéral Duterme) est lui aussi très impliqué en Afrique, « de l’autre côté de la frontière linguistique, le patriarche Herman De Croo ne fait pas mystère de ses liens avec le Congo ».

Le Kazakhgate a un volet en RDC, qui implique un dossier de corruption à la Loterie nationale congolaise et la multinationale belgo-suisse Duferco … Et le mentor du MR Louis MICHEL est très impliqué dans ce qui reste du business belge au Katanga, dans l’ombre de l’homme d’affaire belgo-zélandais George Arthur Forrest, « qui s’est taillé un empire au Katanga ».

* Sur le scandale international du « Kazakhgate » :

Lire sur LUCMICHEL. NET/

KAZAKHGATE : VERS UN SCANDALE D’ETAT IMPLIQUANT LE PARTI LIBERAL BELGE MR ET SES RESEAUX AFRICAINS !

Sur http://www.lucmichel.net/2017/02/15/lucmichel-net-kazakhgate-vers-un-scandale-detat-impliquant-le-parti-liberal-belge-mr-et-ses-reseaux-africains/

* Lire sur Le Vif-L’Express :

Les réseaux africains du MR

http://www.levif.be/actualite/belgique/les-reseaux-africains-du-mr/article-normal-371221.html

III – VOIR LES ANALYSES DE REFERENCE SUR

LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY :

GEOPOLITIQUE AFRICAINE :

E KIVU EPICENTRE DE LA DESTABILISATION MILITAIRE DU CONGO (KINSHASA) Sur http://www.lucmichel.net/2017/10/18/luc-michels-geopolitical-daily-geopolitique-africaine-le-kivu-epicentre-de-la-destabilisation-militaire-du-congo-kinshasa/

* FLASH VIDEO/ ‘RD CONGO :

LE COUP DE MAITRE DE KABILA ?

Sur http://www.lucmichel.net/2018/08/13/luc-michels-geopolitical-daily-flash-video-rd-congo-le-coup-de-maitre-de-kabila/

* Voir aussi sur PANAFRICOM-TV/ LUC MICHEL:

GRANDS-LACS. LE PANAFRICANISME FACE AU NEOCOLONIALISME (DECRYPTAGE, TELE50)

Sur https://vimeo.com/166779297

* Et sur EODE-TV/ LUC MICHEL:

GEOPOLITIQUE DU CONGO. LE PIVOT DE L’AFRIQUE

Sur https://vimeo.com/195241814

(Sources : Le Vif-L’Express – EODE-TV – PANAFRICOM-TV – LucMichel. Net – EODE Think Tank)

Photos :

Manifestation anti-belge à Kinshasa, Louis et Charles Michel au ceur des réseaux libéraux du MR en Afrique, Le libéral flamand Verhofstad et le président Kagamé leurs complices dans la déstabilisation des Grands Lacs)

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* EODE :

EODE-TV https://vimeo.com/eodetv

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MADAGASCAR ENTRE ENJEUX GEOPOLITIQUES MAJEURS ET PRESIDENTIELLE SOUS INFLUENCE OCCIDENTALE …

 

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Luc MICHEL pour EODE/

Quotidien géopolitique – Geopolitical Daily/

2018 12 10/
LM.GEOPOL - Madagascar II (2018 12 10) FR

Madagascar est un pays en crise. Au cœur de cet Océan Indien et au large de l’Afrique, où s’affronte les grandes puissances et les puissances régionale, USA (qui en 2003 ont précipité le pays dans le chaos au nom de leurs intérêt pétrolier), Russie (de retour en Afrique), Chine et Inde (qui se disputent le contrôle de l’Océan indien). Un pays secoué par les analyses à courte vue et les rumeurs.

QUELLE GEOPOLITIQUE POUR NE PAS SE TROMPER D’ANALYSE ?

J’avais dressé une analyse rapide des enjeux géopolitiques à Madagascar sur le plateau d’AFRIQUE MEDIA le 9 novembre dernier, à l’occasion de la Présidentielle 2018 dans ce pays :

Voir sur AFRIQUE MEDIA WEBTV/

LUC MICHEL (DIRECT AFRIQUE) :

MADAGASCAR. QUELLE GEOPOLITIQUE POUR NE PAS SE TROMPER D’ANALYSE ?

Sur https://vimeo.com/300077626

OU VA MADAGASCAR ?

J’avais exposé mes inquiétudes pour ce malheureux pays, où la Présidentielle 2018 voyait une ingérence directe des ONG allemandes, représentant l’UE et le Bloc américano-occidental. Et en particulier de la ‘Friedrich Ebert Stiftung », fondation dépendant officiellement des Groenen, les ‘Vert-kakis’ allemandes et en réalité de l’OTAN et du Gouvernement de Berlin. Une ONG qui avait déjà tenté d’influencer la Présidentielle camerounaise (notamment en formant aux techniques de la communication et de la manipulation des réseaux sociaux et en introduisant des activistes pro-occidentaux déguisés en « panafricanistes » – sic – au Cameroun) …

L’organisation du second tour de la présidentielle malgache confirme, hélas, mes inquiétudes !

« A Madagascar, les clans des deux candidats à l’élection présidentielle ont pu tour à tour présenter au public leur programme au cours de deux débats d’idées, organisés par la Friedrich Ebert Fondation », explique RFI. Vous avez-dit ingérence ou captation des élections ? « Le principe : des représentants de chaque parti étaient questionnés tantôt par le public, tantôt par deux intervieweurs, sur le thème : « Quel programme pour la relance de Madagascar ? » Les finalistes du second tour sont actuellement critiqués pour ne laisser filtrer que de rares informations au sujet de leur programme, au point d’être soupçonnés de ne pas en avoir réellement. Ces débats ont-ils permis d’y voir plus clair ? Andry Rajoelina prévoit, s’il est élu, de maintenir les lois sur les grands investissements miniers, attractifs pour les investisseurs étrangers, mais de revoir le pourcentage des redevances de ces multinationales pour accroître les recettes de l’Etat. Marc Ravalomanana, lui, souhaite créer une banque nationale qui facilite l’accès aux prêts, avec des taux de remboursement faibles (inférieurs aux taux actuels), pour financer les projets des entrepreneurs, et ainsi diminuer le taux élevé de chômage des jeunes ».

« Les candidats garantissent tous deux, à leur manière, un avenir meilleur aux Malgaches. Mais face aux promesses d’Andry Rajoelina de constructions de villes nouvelles dans chaque région, ou aux projets, certes moins pharaoniques mais tout aussi ambitieux de Marc Ravalomanana, systématiquement les mêmes questions : combien cela va-t-il coûter ? Qui va payer ? Et avec quelle contrepartie ? », questionne RFI. « Durant le débat, la provenance des financements a toujours été tenue secrète », explique Pascal Rasaony, analyste politique. « On nous explique qu’il y a déjà des partenaires prêts à financer ces grands projets, mais tout ça reste très opaque. Y a-t-il eu des appels d’offres ? Les représentants des candidats bottent en touche. » Pour Lova Rabary-Rakotondravony, journaliste et juriste, la seconde intervieweuse, « Rajoelina énonce ce que le peuple a envie d’entendre. Son programme est populiste. Celui de Ravalomanana est plus réaliste, plus pragmatique ». Il annonce notamment, rappelle la journaliste, « vouloir continuer à recourir aux aides internationales notamment pour les projets sociaux et d’infrastructures » …

(Sources : RFI – PANAFRICOM-TV – Afrique Média – EODE Think Tank)

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L’IDUSTRIALISATION, CLE DE L’EMERGENCE DE LA GUINEE EQUATORIALE (II)

 

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Flash Vidéo Géopolitique/ Geopolitical Flash Video/

2018 12 04/
vignetteGE indus

Le Flash Vidéo du jour …

Le géopoliticien Luc MICHEL dans LE DEBAT PANAFRICAIN du 2 décembre 2018

sur AFRIQUE MEDIA

Voici mon analyse sur l’Industrialisation de la Guinée Equatoriale, clé de son émergence, que j’annonçais dans mon Quotidien Géopolitique (n° 292) de ce dimanche 2 décembre …

Source :

* Voir la Video sur ECUATORIAL.GUINEA.TV/

LUC MICHEL:

L’INDUSTRIALISATION, CLE DE L’EMERGENCE DE LA GUINEE EQUATORIALE (AFRIQUE MEDIA, 2 DEC. 2018)

Sur https://vimeo.com/305244417

* Thème de l’émission :

L’INDUSTRIALISATION DE LA GUINÉE ÉQUATORIALE

J’y explique sur quel projet industriel repose l’émergence de la Guinée Equatoriale, comment il a été élaboré, et pourquoi ce projet est un modèle pour toute l’Afrique …

# L’ANALYSE DE REFERENCE SUR

LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY :

* GEOECONOMIE ET NEOPANAFRICANISME :

POURQUOI LE PROJET D’INDUSTRIALISATION ET D’EMERGENCE DE LA GUINEE EQUATORIALE EST UN MODELE ALTERNATIF POUR L’AFRIQUE !?

Sur http://www.lucmichel.net/2018/12/02/luc-michels-geopolitical-daily-geoeconomie-et-neopanafricanisme-pourquoi-le-projet-dindustrialisation-et-demergence-de-la-guinee-equatoriale-est-un-modele-alternatif-po/

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

(Flash Vidéo Géopolitique/

Complément aux analyses quotidiennes de Luc Michel)

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

Géopolitique – Géoéconomie – Géoidéologie – Géohistoire –

Géopolitismes – Néoeurasisme – Néopanafricanisme

(Vu de Moscou et Malabo) :

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* Luc MICHEL (Люк МИШЕЛЬ) :

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* EODE :

EODE-TV https://vimeo.com/eodetv

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TAV is the new black

http://www.beppegrillo.it/tav-is-the-new-black/?fbclid=IwAR1TtqerWo1anyWuBz4XqgOA9h6QQlNLR4-IeDh2F0WCUjXy9pftixhoWy0

di Beppe Grillo – E’ curioso come, a difendere un buco mai fatto in val di Susa, troviamo persone che riferiscono di appartenere a tutto lo spettro delle realtà produttive. Dal piccolo artigiano al medio-industriale i nuovi borghesi trovano un vessillo assolutamente futuristico sotto il quale riunirsi.

Non è una bandiera, neppure una coccarda oppure un trattato di qualche parruccone: è una realtà fisica enorme, costosa e inquinante.

L’unica cosa che mantiene in comune con un simbolo è la sua inutilità. Accidenti, con una bandiera puoi bendartici una ferita di battaglia, con la TAV, l’accelleratore di mozzarelle, non ci fai nulla.

Perché, perché, queste persone per bene e pulite si sono lanciate verso l’uso di simboli appartenenti mastodonticamente al mondo reale e costosi come poche cose possono esserlo a sto mondo?

Perché confondono il progresso con lo sviluppo, e credo che non se ne accorgano neppure.

Pasolini chiariva la differenza fra queste due parole al di là di ogni ragionevole dubbio, in un brano del 1975 in “Sviluppo e progresso” pubblicato due anni più tardi da Garzanti. Sviluppo… qualsiasi cosa, solitamente concepita da un’impresa, che la trova come unica beneficiaria del vantaggio economico che comporta.

Esattamente come la TAV, ci guadagnerà soltanto chi la costruirà.

La parola “progresso” implica una “nozione sociale” di miglioramento della qualità della vita. Qualcosa che nulla c’entra con la TAV, per ragioni che siamo stufi di ripetere e che, ripetendole, ci si stufa senza ne progresso e ne sviluppo.

La vera curiosità è rivolta a questa brava gente che mette il PIL insieme al progresso, compie questo gioco di prestigio…. ma perché? La ragione è soltanto una, fare qualcosa di inutile e costoso crea un senso di rassicurazione in molte persone. E’ lo status symbol a costo zero per te che lo acclami, che addossi alla comunità perché il me ne frego della neonata classe del PIL è il vero, nuovo, me ne frego di oggi.

Tav, il viaggio sulla Torino-Lione: le ragioni del sì e del no. “Ridurrebbe numero dei tir”, “Basta la linea esistente”

Dal 1990 il Tav è al centro del dibattito politico italiano. Nel corso degli anni, si sono succeduti nove governi, il progetto originale è stato modificato più volte, ma la linea non è stata ancora realizzata. Il Tav ancora oggi divide la politica, ma anche la comunità scientifica tra chi la ritiene un’opera indispensabile per lo sviluppo e la crescita economica e chi invece la ritiene un investimento inutile e dannoso.

Ma a che cosa serve il Tav? È vantaggioso per l’ambiente? Farà crescere l’economia? È un’opera necessaria? Si può tornare indietro? Queste sono le domande fondamentali attorno a quest’opera che abbiamo provato a porre a due professori: il primo Carlo Alberto Barbieri, architetto e professore di pianificazione urbana favorevole all’opera, il secondo Alberto Poggio, ingegnere e professore di energia e ambiente contrario alla grande opera.

Si parte dallo scalo merci di Orbassano, uno dei punti chiave del tracciato: “Si tratta di una linea ad alta capacità di ultimissima generazione – spiega il professor Barbieri – e che potrà ancora essere innovata che farà viaggiare le merci a 130 km all’ora e i passeggeri a 220km”. Il professor Poggio però ribatte che “queste merci non ci sono perché il traffico tra l’Italia e la Francia è fermo da decenni le stesse ipotesi di crescita sono state sconfessate dagli stessi proponenti dell’opera”. Proseguendo il viaggio lungo la linea esistente che scorre al fianco dell’autostrada e delle due statali, si arriva ad Avigliana, uno dei comuni della bassa Valle storicamente No Tav. “Qui siamo lungo la linea internazionale che oggi collega l’Italia e la Francia, la capacità di trasporto è ancora grande rispetto a quanto è usata, dunque perché non utilizzarla?”.

Un’opzione che secondo il professor Barbieri non è percorribile per “il suo aspetto morfologico, per la pendenza e per l’altitudine”. Il confronto prosegue risalendo la Valle fino a Chiomonte, nel luogo che ospita il cantiere del tunnel geognostico della Maddalena. Ad oggi i lavori sono fermi in attesa che si sblocchi la situazione. Ma a che punto è l’opera? “Ci sono 25 chilometri già scavati “ spiega il professor Barbieri. “Ma si tratta di cunicoli geognostici e di sondaggi – precisa Poggio – fino ad oggi di nuova ferrovia non è stato costruito neanche un metro”. In attesa della valutazione costi benefici, la domanda finale è se si può tornare indietro oppure no. Secondo Barbieri: “Se fermassimo tutto, avremo problemi perchè significherebbe stracciare trattati internazionali e risarcire chi ha investito i soldi  oltre al danno di immagine”. Uno scenario non condiviso da Poggio: “Fino a qui abbiamo speso due miliardi a fronte di un costo complessivo di 27 miliardi, dunque avremmo un grande risparmio. Non ci sono penali, dunque si può tornare indietro”

UNA MAREA IN PIAZZA PER RIBADIRE IL NO ALL’ALTA VELOCITÀ TORINO-LIONE

REPORTERS
 
Pubblicato il 08/12/2018
IRENE FAMÀ, FEDERICO GENTA, MASSIMILIANO PEGGIO, ANDREA ROSSI
TORINO
 

La marea No Tav ha sorpreso un po’ tutti. Per i numeri, sicuramente importanti, e per la compostezza. Perché non solo non si sono verificati incidenti, come ampiamente annunciato in partenza dallo stesso movimento, ma il corteo non si è lasciato alle spalle alcun atto vandalico o anche solo una montagna di rifiuti. Anzi, erano gli stessi attivisti a dare una mano agli operatori Amiat per raccogliere le bottiglie di vetro e cambiare i sacchetti pieni.

Controlli discreti alle stazioni di Porta Nuova e Porta Susa, per chi è arrivato in treno, e ai caselli di Trofarello e Rondissone per i pullman partiti da mezza Italia. La giornata della grande manifestazione No Tav, che a Torino si è data appuntamento in piazza Statuto, è iniziata così, con le bandiere del Movimento che sventolano ai bordi di corso Regina e corso San Maurizio pronta ad accogliere la carovana dei gruppi che hanno aderito all’evento da fuori regione.

Alle 14,30 su corso San Martino il corteo di circa 15 mila persone, ma è nel raggiungere Porta Susa che il numero dei partecipanti cresce a dismisura nello svoltare verso il centro da via Cernaia, alla volta di piazza Castello.

Il palco in piazza Castello

Già dalla mattinata trattori e furgoni con manifesti e musica a tutto volume avevano girato per il centro di Torino allo scopo di richiamare l’attenzione dei passanti sull’evento.

La contestazione al vicesindaco Montanari

Sempre in mattinata, era ricomparsa sulle pendici del monte Musinè la scritta «Tav=mafia» che, nella notte tra il 4 e il 5 dicembre, era stata in parte rimossa. Lo slogan, visibile a chilometri di distanza da chi attraversa la bassa valle, era stato realizzato con grandi teli bianchi. «Era già capitato in passato che qualcuno la rimuovesse – avevano commentato, negli scorsi giorni, alcuni attivisti No Tav – Questa volta si tratta evidentemente di una provocazione in vista del corteo di oggi».

Unico brevissimo motivo di tensione, poco dopo la partenza del corteo. Il vicesindaco di Torino Guido Montanari, in tricolore, è stato contestato ferocemente da una decina di anarchici, che hanno accusato il Movimento 5 Stelle di svendere le battaglie dei No Tav. Il gruppo è poi stato fermato dal servizio d’ordine e si è allontanato.

La guerra sui numeri 
Mentre in piazza Castello la folla si è già radunata vicini al palco, la coda del serpentone No Tav arriva a piazza XVIII dicembre. «Siamo settantamila» gridano al microfono gli attivisti. Inevitabile il confronto con il pubblico Si Tav del 10 novembre, sempre sotto il palazzo della Regione: in ogni caso hanno sfilato una marea variopinta di persone.

La solidarietà dei vigili del fuoco 
«Siamo qui in divisa, come vigili del fuoco, contro la distruzione del territorio e per la salvaguardia e la cura dell’ambiente, contro la militarizzazione delle valli. Soldi buttati al vento, per tutelare interessi di pochi imprenditori e delle mafie locali». A parlare Giovanni Maccarino, di Alessandria, membro del consiglio nazionale Usb dei vigili del fuoco, e Riccardo Zaccaria, del Coordinamento provinciale Usb Torino dei vigili del fuoco, in divisa al corteo No Tav oggi a Torino. «Siamo qui in duplice veste – aggiungono – come pompieri e come cittadini, perché condividiamo le ragioni della protesta: la Tav è un’opera inutile e dannose per il territorio».

Il senatore Alberto Airola sulla Tav 
«Anche a Salvini in realtà non gliene frega niente della Tav. Lo dice solo per propaganda. La Tav non si farà e chi prova a staccare la spina a questo governo è morto».

In piazza anche i gilet francesi 
Anche un gruppo composto da una ventina di persone provenienti dalla Francia, aderenti al movimento dei gilet gialli, è presente alla manifestazione No Tav di Torino. Si tratta principalmente di amministratori della regione francese della Maurienne. E proprio un amministratore francese, intervenendo dal palco, ha spiegato: «Siamo il movimento che unisce l’opposizione franco-italiana al Tav. Combattiamo il progetto della Torino-Lione e proponiamo l’uso della linea esistente. Ricordate che anche in Francia l’opposizione è ampia».

A TORINO È IL GIORNO DELLA MOBILITAZIONE NO TAV. L’URLO DI GRILLO: “CONTRO I BORGHESI”

https://www.lastampa.it/2018/12/08/italia/a-torino-il-giorno-della-mobilitazione-no-tav-lurlo-di-grillo-contro-i-borghesi-OzSLcHYCzmLTpSj2i4B8mL/pagina.html

Manifestazione dopo quella dei 40 mila favorevoli. Assenti la sindaca Appendino e i ministri pentastellati

Una delle proteste a Torino contro la realizzazione dell’Alta Velocità che collegherebbe Torino a Lione

Pubblicato il 08/12/2018
LODOVICO POLETTO
TORINO

Alla fine c’è anche Grillo. Si appalesa alle otto di sera con un post che benedice l’opposizione del popolo del «no» al supertreno che dovrebbe collegare Italia e Francia: «Ci guadagnerà soltanto chi la costruirà», scrive. «La parola progresso implica una nozione sociale di miglioramento della qualità della vita. Qualcosa che nulla c’entra con la Tav».

Se fino a poche ore prima il silenzio del comico-ideologo, così amico dei No Tav da farsi anche indagare per aver violato nelle valli torinesi i sigilli di una baita sequestrata, era visto come un declinare cortesemente l’invito alla manifestazione di oggi a Torino, in nome dell’opportunità politica, il sostegno via web è la conferma che il mondo 5 stelle non ha scaricato il movimento. Certo, tredici anni fa era un’altra storia. Proprio di questi giorni, nella Torino che ancora non conosceva il popolo del “Sì” (quello dei 40 mila nella piazza più centrale della città, davanti al palazzo che fu la reggia dei Savoia), i No Tav erano scesi in strada con qualche decina di migliaia di persone. Il movimento aveva appena bloccato l’inizio di un cantiere, si era ripreso aree recintate e fatto sloggiare ruspe e forze dell’ordine. E la fine del progetto sembra un obiettivo possibile. Ma Grillo motiva la piazza: «È curioso come, a difendere un buco mai fatto in val di Susa, troviamo persone che riferiscono di appartenere a tutto lo spettro delle realtà produttive. I nuovi borghesi trovano un vessillo assolutamente futuristico sotto il quale riunirsi».

Non sarà una benedizione urbi et orbi da un palco, come allora, con accanto Paolini, quello dell’opera sul Vajont, con Dario Fo e Franca Rame, ma tanto basta. Perché, come dice Lele Rizzo, il leader dell’anima più movimentista dei No Tav: «Stavolta siamo a un punto più avanzato. Trent’anni di lotte non si cancellano con una manifestazione di borghesi». E affonda: «Se oggi le madamin guarderanno la piazza dalla collina non vedranno il volto di Cavour, ma qualcosa di molto più moderno. Vedranno la gente che vuole decidere per il meglio sul proprio futuro».

E allora marcia sia. Con le bandiere bianche con la scritta rossa sopra un treno stilizzato, con le fasce tricolore di sindaci e amministratori schierati con il “No” perché sono di valle o perché convinti dell’inutilità dell’opera. Non ci sarà Chiara Appendino, nonostante la sua giunta abbia votato la mozione che ha fatto uscire allo scoperto chi quel treno lo vuole, ma ci sarà il vicesindaco di Napoli, perché il primo cittadino, Luigi de Magistris – dichiaratamente No Tav – ha già altri appuntamenti. Non ci saranno i sindaci della Toscana attraversata dal supertreno perché oggi a Firenze c’è una manifestazione analoga. Ma ci saranno amministratori di alcuni paesi appena al di là del confine e ci saranno i sindacati: la Fiom e quelli di base. «Dicono che se non facciamo l’opera dobbiamo restituire i soldi. È una menzogna: restituiamo gli stanziamenti, perché i soldi non li abbiamo mai avuti. E mai usati», tuona Alberto Perino. Rizzo replica: «Dalla Francia arrivano segnali importanti: se anche faranno il tunnel, loro non modificheranno la linea fino al 2038: dite voi se ha senso».

E intanto arrivano echi di no da mezza italia. Da Meledugno dove oggi si protesta contro il Tap, dal mondo del No Mous a quello del No Triv: «Sono tutti con noi e tutti impegnati a difendere il loro territorio». Gilet gialli con i No Tav? «Neanche l’ombra, è una fantasia: ci saranno le madri della Terra dei fuochi, però», dicono gli organizzatori. Toninelli? No. E non ci sarà neanche la viceministra Laura Castelli, che sarebbe di casa a Torino. E che quando il governo era in fasce giurava: «Io ci sono e ci sarò sempre». E ci sarà la gente di valle, e non soltanto. I numeri? Nessuno si sbilancia. Anche se c’è chi dice: «Loro in tanti? Non avete ancora visto noi».

No Tav, a Torino 50mila in piazza Castello con centri sociali, assessori 5 Stelle e “gilet gialli”

https://torino.repubblica.it/cronaca/2018/12/08/news/no_tav_a_torino_il_corteo_contro_il_tunnel_con_centri_sociali_e_assessori_5_stelle-213739785/

No Tav, a Torino 50mila in piazza Castello con centri sociali, assessori 5 Stelle e "gilet gialli"
(agf)

Perino, leader del movimento: “Siamo in centomila, ora il M5s blocchi l’opera come promesso”. Il vicesindaco Montanari con fascia tricolore contestato dagli anarchici: “Siete complici di Salvini”. Chiamparino: “A Roma e qui due manifestazioni di una parte del governo contro l’altra”. Appendino: “La Tav è il passato”

di PAOLO GRISERI, DIEGO LONGHIN e JACOPO RICCA

08 dicembre 2018

E’ arrivato in piazza Castello, a Torino, il corteo indetto dal movimento No Tav contro la ferrovia ad alta velocità Torino-Lione. Sono 50mila i manifestanti che hanno sfilato da Porta Susa verso il cuore della città. In testa, dietro lo striscione “C’eravamo, ci siamo, ci saremo! Ora e sempre No Tav”  i sindaci dei Comuni valsusini, il vicesindaco di Torino Guido Montanari e i gonfaloni di molte amministrazioni. il corteo è giunto sotto il palco di piazza Castello dove è inevitabile il confronto con la piazza del 10 novembre scorso, quando fu la Torino Sì Tav a ritrovarsi con 40mila persone per protestare contro la sindaca Chiara Appendino e la sua maggioranza.

“Siamo in centomila, allegri, colorati e convinti. Chiediamo che tutto questo abbia fine, lo chiediamo con forza al M5S perché l’avevano scritto nel loro programma”. È l’appello lanciato dal palco della manifestazione No Tav di Torino da Alberto Perino, leader storico del Movimento che si oppone alla Torino-Lione. In realtà in serata la Questura ha fortemente ridimensionato queste cifre, stimando il numero dei partecipanti in 20mila. “Ci rendiamo conto – ha detto Perino – che non sono soli al governo ma gli chiediamo di resistere e portare a casa quello che hanno promesso. Non accettiamo nessun tunnel. La Tav Torino-Lione non è mediabile, si può solo non fare o ci troverete tutti davanti alle vostre ruspe, basta voler far circolare le merci e far crepare i migranti in montagna e in mare –  aggiunge Perino – Non accettiamo più di essere considerati dei sudditi, siamo dei cittadini pensanti che hanno delle pretese e pretendono di essere ascoltati. Sappiamo perché siamo qui, perché siamo No Tav, ci interessa fermare questo spreco assurdo e idiota che non possiamo permetterci. Hanno voluto fare l’analisi costi benefici, bene, ma non ci basta, e se è fatta in modo serio non potrà che dare un solo risultato: l’opera economicamente è insostenibile, inutile e devastante per l’ambiente. È ora di fermare questo spreco”.

Numerose le bandiere con il logo “No Tav”, dei sindacati di base, dei partiti di estrema sinistra Rifondazione comunista, Potere al Popolo, Sinistra anticapitalista. In piazza anche esponenti dei centri sociali antagonisti torinesi. Un migliaio di persone da altre regioni italiane. “Oggi è la giornata dell’orgoglio no Tav, di un grande popolo che non si è mai fatto intimidire”, dice uno speaker.

“Essere qui significa rappresentare una città e una maggioranza che ha votato un programma. La sindaca Appendino la pensa come me e io qui la rappresento”.
Così il vicesindaco Montanari, dietro lo striscione “Amministratori No Tav”, con la fascia tricolore assieme a consiglieri comunali e di Circoscrizione. Proprio Montanari, all’inizio del corteo, è stato contestato da un gruppetto di giovani anarchici: “Questa non è lotta, la lotta l’abbiamo fatta tutti i giorni al cantiere, fate schifo”, gli ha urlato un ragazzo, che lo ha accusato di essere “complice di Salvini”. Con Montanari sfilano anche i sindaci 5 Stelle di Venaria Reale, Pinerolo e San Mauro, in provincia di Torino, e di Molare, nell’Alessandrino.

E la sindaca di Torino Chiara Appendino, evocata dal suo vice Montanari, si è palesata alle cinque e mezza del pomeriggio: “Oggi – ha detto – a Torino è tornata in piazza una comunità che da trent’anni si batte contro il Tav, una grande opera che rappresenta un modello di sviluppo del passato a fronte di un mondo che sta cambiando molto velocemente con prospettive inedite. A manifestare c’erano giovani, donne, professionisti, cittadini, dalla Val Susa e non. Persone che vogliono ribadire che un futuro disegnato su un modello di sviluppo alternativo, sostenibile e collettivo è possibile. E che non può essere rappresentato dalla linea Torino-Lione. Si tratta di una prospettiva che condivido pienamente, motivo per cui non ho mai esitato a ribadire la mia contrarietà all’opera e la vicinanza a chi condivide queste istanze. Le analisi tecniche – costi-benefici e giuridica – promosse dal governo orienteranno la scelta politica sul destino di questa vicenda. A livello locale continueremo a lavorare affinché prendano vita progetti ad ampi orizzonti che guardino al benessere delle prossime generazioni”.

Alla manifestazione partecipa anche un gruppetto di una quindicina di “gilet jaune” dalla valle francese della Maurienne. “Questo progetto – dice Jeanluc di Montricher Albanne – è uno spreco di soldi che potrebbero essere spesi diversamente. E  la vecchia Torino-Lione potrebbe benissimo essere adattata se solo si volessero investire delle risorse. Intanto a Villarodin, dove si stanno scavando i 9 chilometri dell’ultima galleria preparatoria, gli abitanti non hanno più l’acqua”.

In corteo anche un sindaco francese con la fascia tricolore, Gilles Margueron, a capo del comune francese di Villarodin Bourget: “Siamo qui per dimostrare  – dice – che anche in Francia e non solo in Italia si protesta contro il Tav. In Francia poche persone sanno quello che può succedere, non c’è informazione. Per ora ci sono solo i soldi dell’Europa per le discenderie, non per l’opera. Un’opera inutile: quei soldi potrebbero essere spesi per cose più utili”.

Concetto ribadito anche dal vicesindaco di Napoli, Enrico Panini, arrivato fino a Torino per sfilare con la fascia tricolore: “Siamo qui perché condividiamo le preoccupazioni e le posizioni dei sindaci della valle e dei cittadini: è un’opera devastante e inutile che favorirà solo corruzione e malavita organizzata. Non c’è bisogno di grandi opere – conclude – ma che quelle che ci sono vengano messe in sicurezza, che scuole e ospedali funzionino e che il trasporto regionale possa essere degno di questo nome”.

“Oltre 70mila persone per le strade e le piazze di Torino per chiedere un mondo diverso e un modo diverso di investire le poche risorse pubbliche di questo Paese”. Così il segretario nazionale di Sinistra Italiana Nicola Fratoianni e il segretario regionale di SI, Marco Grimaldi, a margine del corteo No Tav per le vie del capoluogo piemontese. “Ma quale decrescita infelice? – proseguono gli esponenti della sinistra – Basta vedere i volti delle migliaia di ragazzi e ragazze presenti nelle strade di Torino, e fermarsi ad ascoltare le loro parole. C’è più voglia di futuro in un chilometro quadrato di questa manifestazione – concludono – che in tutto il tunnel di base”.

Anche i vigili del fuoco alla manifestazione: “Siamo qui in divisa contro la distruzione del territorio e per la salvaguardia e la cura dell’ambiente, contro la militarizzazione delle valli. Soldi buttati al vento, per tutelare interessi di pochi imprenditori e delle mafie locali”. Così Giovanni Maccarino, di Alessandria, membro del consiglio nazionale Usb dei vigili del fuoco, e Riccardo Zaccaria, del Coordinamento provinciale Usb Torino dei vigili del fuoco, in divisa al corteo No Tav oggi a Torino. “Siamo qui in duplice veste – aggiungono – come pompieri e come cittadini, perché condividiamo le ragioni della protesta: la Tav è un’opera inutile e dannosa per il territorio”.

È ricomparsa intanto questa mattina, sulle pendici del monte Musinè, all’imbocco della Valle di Susa, la scritta “Tav=mafia” che, nella notte tra il 4 e il 5 dicembre, qualcuno, probabilmente riconducibile al movimento ‘Sì Tav’, aveva parzialmente rimosso. Lo slogan, visibile a chilometri di distanza da chi attraversa la bassa valle, era stato realizzato con grandi teli bianchi. “Era già capitato in passato che qualcuno la rimuovesse – avevano commentato, negli scorsi giorni, alcuni attivisti No Tav – Questa volta si tratta evidentemente di una provocazione in vista del corteo dell’8 dicembre”.

No Tav: a Torino giornata di mobilitazione contro l’alta velocità

https://tg24.sky.it/torino/2018/12/08/manifestazione-no-tav-8-dicembre.html

A Torino manifestazione No Tav contro l’alta velocità. Secondo gli organizzatori 70 mila persone in piazza. Ricomparsa sulle pendici del monte Musinè la scritta ‘Tav=mafia’

SKY TG 24

È partito da piazza Statuto a Torino il corteo No Tav di sabato 8 dicembre, giorno della mobilitazione contro l’alta velocità. “C’eravamo, ci siamo, ci saremo! Ora e sempre No Tav” è lo striscione che apre la manifestazione. Dietro le ‘partigiane della terra e del futuro”, le donne No Tav che indossano un cappello di carta, di colore azzurro, con la scritta “meglio montagnina che madamin”. Poi gli studenti e i rappresentanti di numerosi comitati contro le grandi opere. “Oggi è la giornata dell’orgoglio no Tav, di un grande popolo che non si è mai fatto intimidire”, dice uno speaker.

No Tav: “Nostro più grande corteo di sempre”

Numerose le bandiere del movimento No Tav, dei sindacati di base, dei partiti di estrema sinistra Potere al Popolo e Sinistra anticapitalista. In piazza sono presenti anche esponenti dei centri sociali antagonisti torinesi e un gruppetto di una quindicina di gilet jaune dalla Valle francese della Maurienne. “Mentre la coda del corteo non ha ancora lasciato piazza Statuto, possiamo già dire che siamo 70.000 e faremo i conti finali in piazza Castello”, afferma in una nota il movimento No Tav. “È il più grande corteo No Tav di sempre”, sostengono gli oppositori alla Torino-Lione su notav.info, il sito internet di riferimento del movimento che si oppone alla nuova linea ferroviaria ad Alta Velocità.

Madamine su piazza No Tav: “Rispetto per opinioni altrui”

“Ci sono momenti per scendere in campo e momenti per riflettere. Oggi lasciamo che siano altri a contarsi in piazza”. Così le ‘madamin’ promotrici della manifestazione sì Tav dello scorso 10 novembre. “Nel giorno delle manifestazioni di Roma e di Torino, da parte di persone con idee diverse dalle nostre, ribadiamo il nostro rispetto per le opinioni altrui – aggiungono su Facebook – e per le istituzioni democratiche che ne consentono l’espressione”. In una nota Silvio Viale, esponente radicale di Più Europa, ridimensiona i numeri della manifestazione: “E’ un flop. Invece dei 70mila annunciati, sono meno di 10mila intruppati nei 400 metri tra piazza XVIII dicembre e piazza Statuto. Forse oggi capiranno che la lotta No Tav contro il futuro è giunta all’ultima spiaggia, nonostante i rinforzi da mezza Italia”.

Ricomparsa la scritta ‘Tav=mafia’ sul monte Musinè

La scritta ‘Tav=mafia’ è ricomparsa sulle pendici del monte Musinè, all’imbocco della Valle di Susa, dopo che nella notte tra il 4 e il 5 dicembre era stata parzialmente rimossa. La frase, visibile a chilometri di distanza da chi attraversa la bassa valle, era stata scritta su grossi teli bianchi. “Era già capitato in passato che qualcuno la rimuovesse – avevano affermato nei giorni scorsi alcuni esponenti No Tav -, ma questa volta si tratta evidentemente di una provocazione in vista del corteo dell’8 dicembre”.

Beppe Grillo contestato da un giovane a Roma

Ospite alla Fiera Nazionale della Piccola e Media Editoria”Più Libri Più Liberi”, che si tiene a Roma alla Nuvola dell’Eur, Beppe Grillo è stato avvicinato da un ragazzo che lo ha “rimproverato” per aver consentito al Movimento di “tradire” la causa “No Tav”. Grillo ha chiesto di parlare con il ragazzo in privato in uno stand. Il giovane al termine del colloquio ha dichiarato: “Mi ha detto che la Tav non si fa! C’è gente, non io, che lo ha votato per questo, non si può tradire!”. Dopo la presentazione del libro Grillo ha improvvisato un breve show in cui ha affermato: “Ci dovremmo vedere con questi costruttori che stanno lì a protestare perché il loro progresso è il cemento? Se gli togli il calcestruzzo non hanno un’idea neanche a morire. 15 anni fa Fiat e µnsaldo facevano i treni più veloci del mondo. Poi sono arrivati questi del cemento e hanno tolto una tecnologia meravigliosa per far andare i treni alla stessa velocità a cui andavano prima”.