LE VACCINAZIONI SELVAGGE E L’URANIO IMPOVERITO

Un agnello a due teste nato nelle
vicinanze del poligono di Quirra

La questione delle vaccinazioni sbagliate subite dai militari italiani, tornata alla ribalta grazie ad alcuneinchieste giornalistiche di importanti testate, e’ un ulteriore tassello di una storia fatta di negligenza e non curanza. Grazie alle testimonianze di valorosi esperti, oggi possiamo affermare che le somministrazioni selvagge abbiano indebolito le difese immunitarie dei soggetti a cui sono state sottoposte e “aperto le porte” al rischio di contrarre patologie tumorali. Il ruolo dei vaccini somministrati in quantita’ e tempi non corretti sarebbe quindi quello di moltiplicatore e acceleratore del rischio cancro per chi entra in contatto con sostanze dannose, come ad esempio l’uranio impoverito. Cercare di assolvere l’uranio, come si cerca da più parti di fare, per dire che “la colpa e’ dei vaccini”, o meglio “solo dei vaccini” e’ quindi sbagliato. 

La teoria delle vaccinazioni non servirebbe a spiegare ad esempio l’insorgenza di tumori nei civili dei teatri di guerra, la nascita di bestiame malformato in Sardegna, il ritrovamento di torio nei resti dei 18 cadaveri fatti riesumare dalla Procura di Lanusei nell’ambito dell’inchiesta sul Poligono di Quirra, sempre in Sardegna. E tante altre storie. 

http://inchiestauranio.blogspot.it/2012/11/le-vaccinazioni-selvagge-e-luranio.html

Le Monde: Notre-Dame-des-Landes : Ayrault lance une “commission de dialogue”

http://www.lemonde.fr/planete/article/2012/11/24/notre-dame-des-landes-l-operation-contre-les-squatteurs-se-poursuit_1795466_3244.html

 

Le Monde.fr avec AFP | 24.11.2012 à 11h23 • Mis à jour le 25.11.2012 à 08h43

Les forces de l'ordre ont tenté de repousser les opposants au projet d'aéroport à Notre-Dame-des-Landes en chassant les squatteurs à coup de grenades lacrymogènes, vendredi 23 novembre.

A l’issue de deux journées de fortes tensions sur le terrain du futur aéroport de Notre-Dame-des-Landes, près de Nantes, le gouvernement a cherché l’apaisement, samedi 24 novembre. Alors que se tenait une manifestation contre le projet à Nantes, trois ministres signalaient un report des premiers travaux de défrichement du site. Dans la soirée, le premier ministre Jean-Marc Ayrault, ancien maire de Nantes et ardent défenseur du projet d’aéroport, a annoncé samedi 24 novembre l’ouverture d’un “dialogue”.

  • Première concession de Matignon

Samedi soir, Jean-Marc Ayrault a annoncé le lancement d’une “commission du dialogue” dans un communiqué dont le ton tranche avec sa détermination affichée cette semaine dans Paris Match, à qui il avait affirmé que l’aéroport “se fera”. Le premier ministre réitère “l’engagement du gouvernement à contribuer au développement économique et social du Grand Ouest, dont le projet de transfert de l’aéroport de Nantes à Notre-Dame-des-Landes est une composante”, mais prend ainsi la mesure d’une contestation qui enfle et menace la cohésion de son alliance avec les écologistes.

“Malgré les concertations légales et les décisions des collectivités concernées, qui ont déjà eu lieu, et qui ont conduit à l’adoption du projet, des interrogations subsistent, explique l’ancien maire de Nantes. Dans un souci d’apaisement, le gouvernement confiera dès la semaine prochaine à une commission du dialogue le soin d’exposer ce projet et d’entendre toutes les parties prenantes.”

Cette concession contraste avec l’envoi cette semaine de cinq cents gendarmes pour assurer la sécurité des entreprises qui ont une nouvelle fois démantelé les maisons et cabanes construites par les opposants sur le site. Elle rompt aussi avec les déclarations martiales du ministre de l’intérieur Manuel Valls, qui a qualifié de “kyste” l’action menée par les opposants.

  • Les travaux de défrichement retardés de six mois

Les premiers travaux de défrichement du site de Notre-Dame-Des Landes, qui devaient démarrer en janvier, seront repoussés d’environ six mois, trois ministres (agriculture, écologie, transports) ayant décidé de renforcer les procédures en faveur de l’environnement. Dans leur communiqué commun de samedi, Stéphane Le Foll, Delphine Batho et Frédéric Cuvillier réaffirment d’emblée la nécessité économique du projet de nouvel aéroport. Mais la protection de la biodiversité et des zones humides dans le cadre de la loi sur l’eau sera assurée par un “comité scientifique (…) composé avec toutes les garanties d’indépendance et de transparence, et présidé par un expert scientifique”, assure le texte. Aucune opération “de défrichement” ne sera réalisée “avant validation par ce comité”. La procédure initiale prévoyait que le comité interviendrait au moment de l’étape de terrassement et non de défrichement.

Les ministres s’engagent aussi à préserver les terres agricoles dans ce projet qui porte sur “740 ha d’aménagement, dont 250 ha doivent être artificialisés”. Ils proposent la création d’une mission, constituée en coordination avec les acteurs locaux concernés, destinée à “identifier localement les moyens de minimiser l’impact du projet sur les surfaces agricoles”. “Cette mission tiendra compte de l’opération d’aménagement foncier déjà engagée pour permettre la reconstitution des exploitations impactées par le projet”, précise le communiqué.

Il pourra s’agir de réaffecter à l’agriculture des terres destinées jusqu’ici à l’urbanisation pour compenser les terres artificialisées pour le futur aéroport, selon le cabinet de Stéphane Le Foll. Enfin, les conclusions de cette mission nourriront la préparation de la loi d’avenir sur l’agriculture, la forêt et les industries agroalimentaires, prévue pour le deuxième semestre 2013.

Pascal Durand, le secrétaire national d’EELV, a salué l’engagement du gouvernement à “ne pas entamer les travaux de défrichement avant au moins 6 mois”, considérant qu’il s’agit d’“un premier signe d’ouverture”.

  • Nouvelle journée de tensions sur le terrain

Un opposant au futur aéroport de Notre-Dame-des-Landes suspendu à un filet, alors que les forces de l'ordre tentent de l'en déloger, samedi 24 novembre.

Sur le site du futur aéroport, manifestants et forces de l’ordre se sont livrés à une véritable guerre de position. Vendredi matin, les forces de l’ordre sont intervenue pour déloger les quelque 500 squatteurs qui campaient sur le site. Des cailloux, bouteilles, fusées de détresse et cocktails Molotov ont été lancés en direction des gendarmes qui ont riposté par des tirs de grenades, lacrymogènes ou assourdissantes. La préfecture de Loire-Atlantique a signalé deux blessés du côté des opposants et un du côté des gendarmes. Huit personnes ont été interpellées, principalement pour des violences sur personne dépositaire de l’autorité publique.

A Nantes, à 35 km du lieu du site du projet, d’autres heurts sont intervenus samedi soir lorsqu’une manifestation de plusieurs milliers de personnes – 3 200 selon la police et 8 000 selon les organisateurs – s’est approchée de la préfecture. Les forces de l’ordre ont utilisé des canons à eau pour repousser certains manifestants et un CRS a été blessé à la mâchoire par un pavé. Le ministre de l’intérieur Manuel Valls a condamné samedi soir les violences contre gendarmes et policiers, rendant hommage au “sang-froid” des forces de l’ordre.

Lire : Plusieurs milliers de personnes défilent à Nantes contre l’aéroport Notre-Dame-des-Landes

A Nantes, alors que des manifestants s'approchaient de la préfecture, la police a usé de canons à eau pour les disperser, samedi 24 novembre.

L’aéroport de Notre-Dame-des-Landes est prévu pour remplacer l’actuel aéroport de Nantes, Nantes Atlantique, en 2017. Outre les squatters installés pour certains depuis des années, une vingtaine de foyers d’occupants “légaux” (exploitants, locataires, propriétaires) luttent contre le projet, aidés d’associations d’opposants de la société civile, mais aussi d’élus. Ils réfutent tout problème de saturation ou de sécurité de l’aéroport actuel de Nantes et dénoncent la destruction d’une des dernières zones de biodiversité du département. Leur manifestation, il y a une semaine à Notre-Dame-des-Landes, avait rassemblé entre 13 500 personnes, selon la préfecture, et 40 000 selon leurs chiffres.

Lire le récit des batailles de Notre-Dame-des-Landes

Le Monde: Plusieurs milliers de personnes défilent à Nantes contre l’aéroport Notre-Dame-des-Landes

Des milliers de manifestants protestant contre le projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes ont convergé samedi 24 novembre  en fin d’après-midi vers la préfecture de Nantes où des CRS ont fait usage de lances à eau pour tenter de les disperser. Certains opposants ont lancé des pierres contre les forces de l’ordre, scandant “libérez la ZAD, libérez la ZAD” ou “Ayrault, salaud”, en référence au Premier ministre, maire de Nantes jusqu’à son entrée au gouvernement, et à la Zone d’aménagement différé (ZAD) de l’aéroport.

“Un CRS a été touché lors de la manifestation, victime d’un pavé lancé qui l’a frappé au visage alors qu’il était derrière une lance à eau”, a déclaré un porte-parole du ministère de l’intérieur, Pierre Henry Brandet. Après avoirperdu connaissance”, l’hommea été évacué au centre hospitalier de Nantes.

Plusieurs milliers de personnes défilent à Nantes contre l'aéroport Notre-Dame-des-Landes

 

Parti de la place Royale, en plein centre de Nantes, le cortège s’est ébranlé derrière une grande banderole estampillée “Aéroport LGV THT TAV nucléaire, Société totalitaire”. Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault, principal promoteur du projet d’aéroport, reste l’une des principales cibles des manifestants qui ont scandé “Ayrault, salaud, le peuple aura ta peau”. Evoquant les heurts qui ont lieu depuis plusieurs jours forces de l’ordre et opposants, une autre toile s’interrogeait : “Expulsions, destructions, où va ce gouvernement, à Notre-Dame-des-Landes et ailleurs ?”.“François, ton électorat, l’aéroport, il n’en veut pas”, assurait une pancarte.

Manifestation à Nantes contre l'aéroport Notre-Dame-des-Landes, le 24 novembre.Le groupe Vinci, qui a obtenu la concession du futur aéroport pour 55 ans, a également été conspué aux cris de “Vinci, dégage, résistance et sabotage”. En tête de la manifestation, des militants de la CNT, brandissait leurs drapeaux noir et rouge. A leurs côtés flottaient de nombreux drapeaux bretons, ainsi que ceux du Front de Gauche et les drapeaux blancs anti-aéroport, marqués d’un avion barré dans un cercle rouge

Prospettive di governo. Monsignore e i chierichetti

 Il capo dello Stato Napolitano mette già la bandierina al Monti bis. E i partiti giocano alle primarie 

michele mendolicchio 

Monito di Napolitano a quanti tirano per il loden il Professore. Monti, secondo l’inquilino del Colle, è un asso che va messo sul tavolo al momento giusto ovvero un minuto dopo il voto delle politiche.
Questo vuol dire che il voto nel nostro Paese non vale più nulla, in quanto a decidere saranno i grandi elettori: Bce, Ue, Fmi, City e Wall Street. E chi vogliono a Palazzo Chigi? Non certo Bersani e Vendola, come nemmeno Berlusconi e Bossi, né tantomeno il M5S ma solamente il “rigorista” Monti. L’uomo del rigore verrà scongelato ad urne ancora calde: mentre il Pd e Sel stappano la bottiglia dello spumante e mentre nel Pdl berlusconiani e alleanzini si rinfacciano la sconfitta. Casini invece tiene caldo il motore della Ferrari di Montezemolo, in attesa della partenza. E così faranno anche i vari Fini e Rutelli. A Riccardi invece il compito di preparare la grande tavolata per i tanti italiani ridotti alla miseria da queste politiche ammazza società. La buttiamo nell’ironia ma la realtà non è poi così distante. E così mentre ci si sente protagonisti attraverso le primarie, dell’una o dell’altra sponda poco importa, Monsignore e i chierichetti ci catechizzano un’altra volta.
“Nessun partito può candidarlo”, avverte lo sponsor Napolitano , in quanto “il premier è senatore a vita e a volte qualcuno lo dimentica”. Se le parole hanno un peso questo vuol dire che un minuto dopo il voto Monti scenderà in campo. Che succederà? Niente. In pratica assisteremo al secondo atto della commedia all’italiana, con l’inquilino del Colle a fare da regista. E l’attore protagonista sarà ancora una volta Monti. Difatti, Napolitano dice che poi Monsignore sarà a disposizione per quanti vorranno l’assoluzione. E chiaramente in un Paese dove abbiamo il Papa ad un tiro di schioppo li vedremo tutti in coda per ricevere l’ostia. Per i comuni mortali, italiani e stranieri disperati, ci sarà un bel piatto caldo dello chef di Sant’Egidio Riccardi. E di questo passo la tavolata sarà chilometrica. E ancora hanno il coraggio di parlarci dell’euro come una risorsa… Sono quasi 12 anni di discesa dei salari, del Pil e di crescita della disoccupazione e del costo della vita.. Eppure hanno ancora il coraggio di sventolare la moneta dell’euro. Ma non vedete che c’è sempre più gente che non paga il bollo, non paga l’assicurazione, non paga il canone tv, non paga le bollette, non paga l’Imu e non paga nemmeno il condominio? Per non parlare del calo dei mutui per la casa. Chi è che può permettersi il lusso di accedere al mutuo? I politici sicuramente, tipo Calearo (quello raccomandato da Veltroni); oppure il dipietrista Maruccio (quello che ha fatto sparire quasi 1 milione di euro); oppure anche Fiorito. E di Lusi che ne dite? Ai comuni mortali con mille euro e anche meno ci sarà sempre il prete Riccardi ad attenderli. Ma torniamo ai consigli dell’inquilino del Colle.      
“Dopo le elezioni nel suo studio a palazzo Giustiniani -parla di Monti ovviamente- potrà ricevere chiunque volesse chiedergli un contributo, un parere, un impegno”. E questo ovviamente quando il suo successore inizierà le consultazioni, perché “quella è la sede in cui ognuno può esprimere la preferenza sul conferimento dell’incarico di formare il governo”. Suggello perfetto. E bravo Napolitano. Ci vuole talmente bene che ci prospetta un’altra cura Monti, tanto per stare in linea. E poi c’è quasi un richiamo a Casini. “Non so che senso avrebbe – in riferimento alla lista pro-Professore – perché una lista per Monti è pur sempre una lista che presenta candidati al Parlamento. Bisogna vedere quale sarà il suo peso e poi concorrerà come tutti gli altri alle consultazioni dalle quali uscirà l’incarico per la guida del governo”. E così l’incoronazione di Monti avverrà in modo naturale, con la benedizione del capo dello Stato uscente. Ci dobbiamo preoccupare? Riteniamo proprio di sì, perché se queste sono le prospettive è bene cominciare a prepararci per il lungo inverno che potrebbe durare diversi anni.  
E meno male che c’è chi si consola con le primarie. Comunque vada sarà un successo. Vero Bersani?
 
23 Novembre 2012 12:00:00 – http://www.rinascita.eu/index.php?action=news&id=17952

Artico: la Banca mondiale contro la Russia

 L’organismo internazionale e l’International Finance Organization preferiscono un progetto con le pale eoliche 

Andrea Perrone 

La battaglia per il dominio dell’Artico prosegue ininterrotta e richiede l’utilizzo di tutti i mezzi e pretesti persino di quelli ecologici per impedire che la Russia giunga al controllo di ben 1.200.000 km. quadrati della regione dopo le richieste fatte all’ufficio preposto dell’Onu da parte del Cremlino per rivendicare una più ampia porzione della piattaforma continentale eurasiatica. E così la International Finance Organization, legata alla Banca mondiale, organismo sfruttatore per eccellenza che lucra sulla pelle dei popoli e delle nazioni, ha proposto una soluzione alternativa al posto del petrolio e del gas, il nord dell’Artico russo è in possesso anche di altre forme di energia, in questo caso pulita e non inquinante, a basso impatto ambientale, che consentirebbe di garantire i bisogni energetici del Vecchio Continente: il vento. Proprio la International Finance Organization, ha messo a punto un progetto denominato Rustec, che prevede la costruzione di decine di impianti eolici a terra nella regione di Murmansk, in grado di portare l’energia prodotta all’Unione europea attraverso Norvegia o Finlandia. Ne ha riferito ieri con dovizia di particolari il quotidiano russo Msocow Times, che ricorda come il progetto sia molto ambizioso perché in Russia le energie rinnovabili attualmente sono in uno stadio quanto meno embrionale. La regione di Murmansk al momento non ha neppure una pala eolica, anche se la ditta olandese Willems è pronta a costruirne. E secondo la casa costruttrice le centrali eoliche onshore costruite in luoghi come la regione di Murmansk sarebbero in grado di generare più energia di quanto possono fare i costosi impianti offshore in Europa. Willens ha inoltre aggiunto che, mentre l’Unione europea guarda al raggiungimento dei suoi ambiziosi obiettivi energetici, pagherà profumatamente l’energia eolica russa.
L’Ue da parte sua avrebbe previsto la diminuzioni delle emissioni di gas per ridurre l’effetto serra del 20 per cento e portare le fonti rinnovabili al 20 per cento della sua produzione di energia entro il 2020, mentre la Germania ha un obiettivo di raggiungere l’80 per cento delle rinnovabili entro il 2050.
Lo sfruttamento del vento che soffia nell’Artico rappresenta un’ipotesi interessante, ma gli esperti ritengono che, dato lo stato attuale della Russia sulle energie rinnovabili, è ancora molto lontana da poter fare da sola senza l’apporto straniero. Questa della Banca mondiale e del suo braccio operativo non sono altro che dei giochetti per mettere fuori gioco la Russia nei rapporti economico-energetici con l’Unione europea, escluderla da accordi per estrarre idrocarburi nell’Artico come fanno altre compagnie straniere anglo-statunitensi che si permettono di fare il bello e il cattivo tempo in ogni luogo.
Attualmente ci sono soltanto una manciata di parchi eolici operanti in Russia. Il più grande, che ha una capacità di 5,1 megawatt si trova nella regione di Kaliningrad, ma produce soltanto 4.7 megawatt, ha detto Anatoly Kopylov, vice presidente della Federazione russa Wind Energy Association, che rappresenta sia gli interessi russi che quelli delle imprese straniere coinvolte nel progetto. Il secondo più grande parco eolico è quello che produce 2 megawatt, realizzato nella regione di Chukotka, ma che attualmente è fuori servizio anche se fin quando ha funzionato e riuscito ad operare bene. In sostanza è andato tutto bene fino a che non ha dovuto competere con le tradizionali centrali a gas che forniscono anche il riscaldamento. Nonostante le difficoltà che attraversa la Federazione in questi settori, il governo russo ha fatto sapere di aver fissato l’obiettivo di ottenere almeno il 4,5 per cento di energia da fonti rinnovabili entro il 2020.
E’ comunque evidente che i poteri forti internazionali, dietro cui si cela l’impero a stelle e strisce, non vogliono che l’Europa faccia accordi di natura energetica con la Russia, poiché temono un avvicinamento a Mosca e la creazione di un fronte eurasiatico che rischierebbe di annullare il dominio degli Usa sull’Europa-colonia.

23 Novembre 2012 12:00:00 – http://www.rinascita.eu/index.php?action=news&id=17944