Le Monde: Notre Dame des Landes une operation d’evacuation de squatteurs opposants est en cours

http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/11/23/notre-dame-des-landes-une-operation-d-evacuation-de-squatteurs-opposants-est-en-cours_1794936_3224.html

 

Notre-Dame-des-Landes : heurts entre forces de l’ordre et opposants

Le Monde.fr avec AFP | 23.11.2012 à 07h01 • Mis à jour le 23.11.2012 à 13h57

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Les heurts ont opposé vendredi 23 novembre vers midi les forces de l’ordre et les opposants au projet d’aéroport Grand Ouest à Notre-Dame-des-Landes, près de Nantes, sur le site où ils construisent des cabanes depuis la manifestation de “réoccupation” de samedi, a constaté l’AFP.

Alors que deux pelleteuses et une benne se trouvaient sur le site pour ramasser les matériaux de construction et les outils, plusieurs dizaines d’opposants ont surgi des bois jouxtant les constructions, en jetant bouteilles de verre et cailloux, tandis que les forces de l’ordre répliquaient avec des grenades et des bombes lacrymogènes. Dans la zone noyée dans un épais brouillard de lacrymogènes, au milieu des cris, des opposants ont aussi lancé de gros pétards, tandis que les forces de l’ordre lançaient des sommations.

Les opposants ont surgi de tous côtés, a constaté l’AFP, entraînant beaucoup de confusion et une situation très tendue, durant laquelle un gendarme a été légèrement blessé à la main et deux journalistes télé à la tête, a-t-on constaté de même source. Les heurts se poursuivaient aussi dans un champ de maïs jouxtant le site de La Châtaigneraie, où les pelleteuses ont dû arrêter leurs travaux en raison des affrontements.

500 GENDARMES SUR PLACE

Quelque 500 gendarmes mènent depuis l’aube une “importante opération” d’évacuation de squatteurs opposants à l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes en Loire-Atlantique. Avant midi, les opérations se déroulaient relativement dans le calme, mais selon un opposant joint au téléphone dans la matinée, “ça attaque de partout”.

Des heurts ont éclaté entre les opposants et les forces de police.

“Une importante opération est actuellement menée en plusieurs points sur la zone d’implantation de l’aéroport du grand-ouest à Notre-dame des Landes en Loire-Atlantique”, a déclaré le porte-parole du ministère de l’intérieur, Pierre-Henry Brandet, présent sur place. “Cette opération vise à évacuer trois sites occupés illégalement : le Rosier, la Lande de Rohanne et la Châtaigneraie”, a-t-il détaillé. “Cette opération consiste à empêcher la reconstitution d’un camp retranché. Il s’agissait de ne pas laisser fortifier ce genre de camp”, a déclaré le préfet, Christian de Lavernée.

“QUARANTE MINUTES POUR PARTIR”

Les forces de l’ordre “sont partout au niveau du Rosier, où ils ont dit aux gens qu’ils avaient quarante minutes pour partir”, a expliqué Christelle, une opposante habitant la “zone d’aménagement différé” (ZAD) de l’aéroport. “On a tous été pris par surprise”, a témoigné Jérôme, un autre occupant de la ZAD, affirmant que les gendarmes étaient intervenus dès le début avec des lacrymogènes au pied des cabanes construites dans les arbres de la forêt. “Mais il y a encore beaucoup de gens dans les arbres, ils [les gendarmes] vont devoir intervenir en hauteur”, a ajouté Jérôme.

Cinq cents policiers ont été envoyés pour déloger les opposants à l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes.

Depuis des mois, des opposants au projet se sont installés sur le site du futur aéroport, déterminés à y rester. La Châtaignerie et la Lande de Rohanne sont les lieux où les opposants avaient collectivement construit de nouvelles habitations le 17 novembre lors d’une réunion ayant réuni entre 13 500 (selon la police) et 40 000 manifestants selon les organisateurs.

Portfolio : Notre-Dame-des-Landes transformée en forêt de Sherwood le temps d’une journée

“FAIRE RESPECTER LA LOI”

“Plus de 500 gendarmes sont ainsi mobilisés afin de permettre à Aéroport du Grand-Ouest de prendre ou reprendre possession des lieux et d’engager immédiatement des travaux de déconstruction” des squats, “partout où cela sera légalement possible”, a indiqué Pierre-Henry Brandet. Il a également expliqué que serait menée “la saisie et l’évacuation des matériaux, outils et matériels de chantier”. Le porte-parole a insisté sur “la détermination du ministère de l’intérieur de faire respecter la loi et les décisions de justice“. 

Lire : Notre-Dame-des-Landes : la ‘détermination du gouvernement’ est ‘totale’, déclare Valls

“Il est hors de question de laisser un kyste s’organiser, a affirmé le ministre de l’intérieur Manuel Valls en déplacement à Lorient vendredi. Nous mettrons tout en œuvre pour que la loi soit respectée (…) pour que les travaux puissent avoir lieu.”

Cette évacuation est “parfaitement légitime”, pour le chef du groupe socialiste à l’Assemblée nationale, Bruno Le Roux. “C’est le devoir de l’Etat de faire appliquer les décisions de la justice qui a rejeté tous les recours intentés par les opposants à ce projet”, a-t-il indiqué dans un communiqué.

JOSÉ BOVÉ APPELLE À LA MOBILISATION

“On ne peut être qu’à la fois accablé et révolté par l’attitude du gouvernement, parce qu’il répond par la force”, a réagi le député écologiste Noël Mamère sur l’antenne de BFM-TV. Quelques heures après le début de l’opération, José Bové a, lui, réclamé à l’Etat la mise en place d’une “médiation” : “J’appelle à la mobilisation et je relance un appel solennel au président de la République, M. François Hollande, pour qu’on mette en place une médiation pour remettre l’ensemble du dossier à plat.”

Le porte-parole national d’Europe Ecologie-Les Verts, Jean-Philippe Magnen, a jugé vendredi “désolant” le recours aux forces de l’ordre pour évacuer les squatteurs. “C’est la réponse à la mobilisation citoyenne de samedi dernier. M. Hollande a invoqué la force du droit mais c’est la force qui répond”, a-t-il estimé.

Blog : José Bové dénonce un ‘coup de force’

Le Parti de gauche (PG) a dénoncé l’opération d’expulsion, vendredi, des squatteurs du site de Notre-Dame-des-Landes, estimant que “Jean-Marc Ayrault n’a pas saisi la mesure de ce qui se passe”.

E bravo il sindacalista ….

Mantova, picchiato e lasciato sull’A22 dagli agenti: uno è segretario Coisp

La notizia era uscita inizialmente come aggressione da parte di due “bodyguard”, poi le indagini hanno portato a un’auto civetta della polizia sulla quale viaggiava Luca Priori, capo del sindacato in Veneto. La vittima: “Mi hanno colpito e sbattuto per terra, poi contro il guardrail e se ne sono andati”. La replica: “Sono in una missione importante e non posso parlare se non con il questore. Pestaggio? E’ stato un diverbio”

di Roberta Polese | 23 novembre 2012

lundi 3 décembre 2012 – grande manifestation notav à lyon

 La notizia, apparsa su due quotidiani locali, lasciava aperto più di qualche punto di domanda: la mattina di mercoledì una coppia di “bodyguard” a bordo di un’auto con lampeggiante avrebbe aggredito l’autista di un furgone che era stato fatto accostare al bordo della A22, a Mantova. Il conducente, “colpevole” di non essersi spostato rapidamente, sarebbe stato colpito al volto e lasciato a terra. L’auto sarebbe poi sparita “nel nulla” e i bodyguard sarebbero rimasti fantasmi senza nome. Ma la verità era un’altra: i due aggressori erano in realtà poliziotti, uno dei quali segretario regionale del sindacato di polizia Coisp, che stavano trasportando un detenuto e che avrebbero punito il conducente del furgoncino perché non avrebbe lasciato loro la strada libera.

Se non fosse stato per un provvidenziale testimone che ha annotato il numero di targa della macchina, non riconoscibile come auto della polizia, la verità non sarebbe mai emersa. I protagonisti di questa vicenda sono noti in Veneto: l’aggredito è Riccardo Welponer, veronese nipote del più famoso Nadir Welponer, ex consigliere regionale dei Ds e ex segretario del partito. E uno dei due agenti di polizia si chiama Luca Prioli, vicentino, rappresentante veneto del Coisp.

I poliziotti, dopo aver aggredito Welponer, lo avrebbero lasciato sul bordo dell’autostrada con il volto sanguinante, procedendo per la loro strada con la Renault Laguna, auto di servizio senza scritte. Prioli, esponente regionale del sindacato di polizia, ammette il coinvolgimento ma si difende: “Mi trovo in una missione importante e non sono tenuto a parlare con nessuno di quanto accaduto, riferirò solo al questore di Vicenza, che mi ha chiesto una relazione – spiega – Il pestaggio? E’ stato un diverbio”. Il volto tumefatto di Welponer è la dimostrazione che qualcosa di più di un diverbio è avvenuto ai bordi di quell’autostrada l’altra mattina: “Sono stato picchiato e sbattuto a terra, sono quasi svenuto e quando mi sono ripreso mi hanno buttato contro il guardrail, poi se ne sono andati” ha detto ieri in una intervista rilasciata ad una tv locale.

Welponer non poteva sapere che i suoi aggressori erano agenti di polizia, tanto che la denuncia raccolta prima dalla Stradale e poi dalla Squadra Mobile di Mantova è stata intitolata a carico di ignoti. La notizia riportata dalla stampa si fermava alle dichiarazioni della vittima, perché non c’è stato successivamente un comunicato ufficiale a spiegare in realtà come sono andate le cose. Invece in poche ore i poliziotti lombardi erano già risaliti all’auto, avevano capito che si trattava di una macchina di servizio in missione ed erano arrivati ai nomi dei due poliziotti.

La notizia è giunta altrettanto rapidamente anche al Ministero che ora attende una relazione completa da parte della questura di Vicenza, in forza alla quale Prioli e il collega lavorano. La conferma dei fatti è arrivata 24 ore dopo dallo stesso Prioli, che rimarca il coinvolgimento nel “diverbio” ma che punta il dito contro chi ha fatto il suo nome: “Chi mi ha citato in relazione a questa vicenda pagherà duramente perché io sono in una missione delicata e nessuno doveva dire dove mi trovavo”. La prassi, in questi casi non è tanto la sospensione dal servizio, che arriverà con l’accertamento dei fatti in sede penale, quanto piuttosto l’allontanamento dalle mansioni, cosa che potrebbe disporre subito il questore o che potrebbe arrivare direttamente da Roma.

lundi 3 décembre 2012 – Grande Manifestation NoTav à Lyon

Posted on  by notavfrance

lundi 3 décembre 2012 – grande manifestation notav à lyon

Le 3 décembre 2012, les chefs d’état français et italien François HOLLANDE et Mario MONTI se réuniront en sommet à Lyon pour parler austérité et conclure le plan de financement de la ligne à grande vitesse reliant Lyon à Turin (le TAV), présenté pour l’occasion comme un remède à la crise.
Nous ferons de ce sommet l’occasion de montrer notre rejet du TAV (TGV) et de la structuration des territoires en Machine Economique compétitive et rentable au service d’un monde que nous ne voulons plus.
Au moment où gagner semble possible après les différentes batailles dans la lutte contre l’aéroport de Notre dame des landes, retrouvons nous tous ensemble pour lutter contre le TAV et tous les projets de grandes
infrastructures.

 Pour cela, nous invitons le 3 Décembre 2012 à Lyon, les mouvements NO-TAV italiens et français ainsi que toutes les personnes en lutte chez elles contre des grands projets d’infrastructure et d’aménagement de leur vie à se mobiliser. Au programme,rassemblement à partir de midi gare des Brotteaux (Lyon 6°) et manifestation vers 14h dans les rues de Lyon.

http://notavfrance.noblogs.org/

La Russia lancia l’allarme: “Patriot in Turchia segnale allarmante”

Dopo la Germania, anche gli Stati Uniti dicono sì al dispiegamento di missili lungo il confine turco-siriano 

Matteo Bernabei 

I missili Patriot richiesti ufficialmente mercoledì scorso dal governo di Ankara agli alleati della Nato, e che saranno schierati lungo il confine con la Siria, potrebbero giungere in Turchia già a metà dicembre.
A rivelarlo sono state alcune fonti diplomatiche dell’Alleanza Atlantica, citate dall’agenzia locale Anadolu, sottolineando come i Paesi in possesso delle batterie di missili abbiano già dato la propria disponibilità alla fornitura. Al sì della Germania, giunto addirittura ancor prima che la richiesta fosse formalmente presentata al segretario generale Anders Fogh Rasmussen, si è infatti aggiunto ieri anche quello degli Stati Uniti. “Noi ovviamente prendiamo la sicurezza dei nostri alleati nella Nato in maniera molto seria e siamo disposti favorevolmente a questo dispiegamento”, ha dichiarato il portavoce del dipartimento di Stato nordamericano, Mark Toner, che ha quindi spiegato che i dettagli dell’installazione dei Patriot saranno quindi discussi direttamente con gli altri membri della Nato. Dei tre in possesso dei missili, solo l’Olanda non ha ancora preso una posizione, in attesa forse di una decisione definitiva da parte dell’Alleanza Atlantica che potrebbe arrivare già la prossima settimana al termine della missione di ispezione e preparazione dei tecnici  dell’organizzazione che si recheranno direttamente sul posto. Il più che probabile dispiegamento dei missili Nato, insieme con circa duecento soldati, non poteva però non suscitare polemiche da parte di chi, come la Russia, si è impegnato realmente negli ultimi 18 mesi affinché si giungesse a una soluzione pacifica del conflitto, al contrario di quanto fatto invece dall’Occidente e dai suoi alleati nella regione. “Questo non porterebbe stabilità alla regione. 
La militarizzazione del confine turco-siriano sarebbe un segnale allarmante”, ha affermato  il portavoce del ministero degli Esteri di Mosca, Alexander Lukashevich, durante il consueto incontro settimanale con la stampa. “Il nostro consiglio ai colleghi turchi – ha proseguito il funzionario russo – è qualcosa di completamente diverso: usare la loro influenza sull’opposizione per cercare di avviare un dialogo inter-siriano al più presto possibile, e non di mostrare i muscoli e spingere la situazione in questa direzione pericolosa”. Un consiglio che sembra però destinato a cadere nel vuoto. La Turchia, proprio come l’Europa, gli Stati Uniti e le monarchie sunnite del Golfo persico, hanno infatti dimostrato in oltre un anno di crisi di non volere in alcun modo che si giunga a una soluzione negoziata. I finanziamenti e le forniture di armi a compagini paramilitari, in alcuni casi del tutto sconosciute, non hanno fatto altro che trasformare quella che era una crisi politica in una guerra civile atipica, vista la forte presenza di mercenari fra le fila delle milizie ribelli. Un atteggiamento che dimostra come il reale obiettivo delle ingerenze straniere in Siria non sia riportare la stabilità per il bene della popolazione civile, ma eliminare l’attuale leadership e prendere così il controllo di uno Stato altamente strategico nello scacchiere del Vicino Oriente. Lo sa bene anche l’Iran, che ha nella Siria uno dei suoi migliori alleati e che proprio come la Russia a sempre promosso iniziative di mediazione a livello regionale, scontrandosi però purtroppo con gli interessi delle monarchie petrolifere della penisola araba, a loro volta strette alleate degli Usa, e della stessa Turchia.
Divergenze delle quali il primo ministro di Ankara, Recep Tayyip Erdoğan, e il presidente della Repubblica islamica Mahmoud Ahmadinejad, hanno discusso più volte in una serie di colloqui a porte chiuse che non hanno però portato alcun risultato concreto, l’ultimo dei quali si è svolto nella tarda serata di ieri a Islamabad, in Pakistan. Una serie di nulla di fatto che non ha però impedito alla Turchia di perseguire i propri scopi, fra i quali quello dell’eliminazione dei militanti del Pkk i quali, proprio come accaduto nuovamente ieri, si sono più volte scontrati con le milizie ribelli siriane.

23 Novembre 2012 12:00:00 – http://www.rinascita.eu/index.php?action=news&id=17950

Cittadini=criminali. In Italia è spirale di tirannia

 Il partito unico delle banche, dell’usura e degli ascari di destra, centro e sinistra, plaude soddisfatto 

Ugo Gaudenzi 

“Arresto differito” e “daspo”. Questi i primi due strumenti – il primo (“parzialmente risolutivo” , però) di fatto già applicato, l’altro “allo studio”- che il ministro “tecnico” Annamaria Cancellieri ha intenzione di applicare per rendere mansuete le manifestazioni in piazza.
Mancano evirazione o asporto delle ovaie e poi le cellule del terribile tumore della protesta popolare saranno definitivamente rimosse dal corpo sociale. Così gli oligarchi potranno continuare senza pericolo di sorta ad affamare la nazione e a creare nuovi privilegi. E se c’è qualcuno che non intende adeguarsi, peggio per lui. D’altra parte, per questo pugno di “Eletti”, la volontà dei cittadini, il loro diritto a contestare scelte che suicidano in massa la nostra comunità, è un abuso da reprimere.
I cittadini? Semplici bovini che devono adeguarsi e avviarsi senza ritrosie e, anzi, di buon grado verso la macelleria sociale.
Il ministro dell’Interno, non a caso scelto tra i burosauri dell’apparato del Viminale, è stato ieri mefistofelicamente chiaro, in aula al Senato.
Preceduto di qualche ora dalle esternazioni allarmistiche del suo capo di polizia Manganelli (quello che ha evocato “tempi difficili” e riconiugato la teoria degli opposti estremismi, sempre cavalcata da chi vuole tutelare le poltrone della casta), il ministro Cancellieri ha parlato di una “situazione di grande preoccupazione” (comunque “prevista da mesi” perché questo governo diffusore di miseria l’aveva messa in conto…).
Dunque ecco i primi strumenti in arrivo: arresto differito e “daspo” (arresto differito per chi fa politica). Naturalmente un provvedimento da “adottare al più presto” contro i “violenti”: cioè manifestanti e “istigatori”, cioè tutti i “non graditi” a Lor Signori.
Il partito unico delle banche, dell’usura e degli ascari destro-centro-sinistri è dunque irremovibile, è deciso: la libertà non passerà.

22 Novembre 2012 14:00:00 – http://www.rinascita.eu/index.php?action=news&id=17968

Crolla il mercato immobiliare italiano

By Edoardo Capuano – Posted on 22 novembre 2012

Crollo immobiliareLa crisi sconvolge tutto e così la casa non sembra più essere il bene rifugio delgi italiani.

Il mercato del mattone va ancora più giù, segnando un crollo annuo del 26% tra luglio e settembre, il ribasso peggiore dall’inizio delle serie storiche, cominciate nel 2004.

Una vera e propria paralisi che segna una sorta di divorzio tra gli italiani e l’abitazione: la casa di proprietà sta diventando quasi un lusso, un investimento troppo pesante per le famiglie, sempre più preoccupate di arrivare a fine mese.

Di sicuro il 2012 è pronto per essere archiviato come hannus horribilis del mercato immobiliare. L’Agenzia del Territorio, dopo il nuovo ‘scivolone’ registrato nel terzo trimestre, spiega che se il trend dei primi nove mesi dell’anno sarà confermato anche nell’ultimo periodo, il numero delle compravendite annuali scenderà sotto le 500 mila case, riportando l’Italia ai livelli degli anni Ottanta. 

Guardando nel dettaglio tra luglio e settembre, nel complesso i contratti calano del 25,8%, che diventa 26,8% sul residenziale. Basti pensare che si sono riuscite a piazzare meno di 100 mila abitazioni. Male vanno anche le pertinenze, come box e cantine, in riduzione del 24,8%. L’Agenzia del Territorio registra altri tonfi nel commerciale (negozi) che cede il 29,7%, seguito dal terziario (uffici) in discesa del 27,6% e dal comparto produttivo (capannoni industriali) con una diminuzione del 25,9%.

Insomma il crollo non risparmia nulla, anche a livello territoriale la crisi immobiliare è diffusa dappertutto, con Bologna che segna il ribasso peggiore, vicino al 30%. E a poca distanza seguono Roma, Milano, Firenze, tutte con cali intorno al 27%. Tra le grandi città fa eccezione Napoli, che perde solo lo 0,4%, ma semplicemente perché aveva già dato, accusando decisi cali nel periodo precedente.

La disfatta del mercato immobiliare sorprende sia per l’entità sia per la rapidità con cui si è manifestata. Il direttore centrale dell’Osservatorio immobiliare dell’Agenzia del Territorio, Gianni Guerrieri, spiega che durante la recessione del 2009 il calo era stato proporzionato alla discesa del Pil, dopo era arrivato un biennio di sostanziale stabilità, interrotto in maniera “repentina e violenta” si dall’inizio del 2012 con ribassi a doppia cifra. Ecco che le cause del tracollo, sottolinea Guerrieri, più che stare “nell’incremento della tassazione e nella difficoltà di accesso al credito” risiedono “qualcosa di più profondo”. Si tratta probabilmente, aggiunge, di un cambiamento dei ”piani di investimento delle famiglie”, con il “forte grado d’incertezza” sul futuro che porta al “ritiro da acquisti importanti come quelli per le abitazioni”.

Autore: Giorgio Calabresi / Fonte: lindipendenza.com

http://www.ecplanet.com/node/3647

Le scoperte di Nicola Tesla volutamente occultate all’intera umanita’

 http://www.oltrelacoltre.com/public/uploads/2012/11/nikola-tesla.jpg

 fonte: Eco(R)esistenza

 Già 116 anni fa c’era la visione di un mondo con l’energia pulita e libera o free energy, gratuita da non misurare con un contatore per poi mandare una bolletta da pagare a ogni singolo cittadino. In questa visione era contemplata la libertà dal giogo delle multinazionali, un nuovo modo di vivere in un mondo moderno con

l’energia fornita liberamente da Madre Terra.

 L’oligarchia economica di allora, sostanzialmente la stessa di adesso, non volle assolutamente rinunciare ai suoi stratosferici profitti che provenivano dall’imporre ad ogni cittadino di pagare una quota per cucinare, illuminare la sua casa, scaldarsi, lavarsi, viaggiare, in definitiva per vivere nel mondo civilizzato.

 Per mantenere il suo strapotere non esitò ad impiegare ogni mezzo per screditare, annientare economicamente e moralmente l’uomo che costituiva una reale minaccia per i suoi profitti indiscriminati, anche se quello stesso uomo avrebbe potuto rendere il mondo di allora assai migliore e anche per tutte le generazioni a venire.

 Quell’uomo è il genio Nikola Tesla, che brevettò invenzioni che hanno comunque cambiato il mondo e morì solo e in miseria in una stanza di albergo. Molte delle sue invenzioni stanno riemergendo e sono in grado di migliorare ulteriormente la tecnologia del nostro tempo.

 Nikola Tesla è stato un fisico, inventore e ingegnere serbo naturalizzato statunitense nel 1891, nato a Smilijan il 10 Luglio del 1856 e morto a New York il 7 Gennaio del 1943.

 è conosciuto soprattutto per il suo rivoluzionario lavoro e i suoi numerosi contributi nel campo dell’elettromagnetismo tra la fine dell’Ottocento e gli inizi del Novecento.

 I suoi brevetti e il suo lavoro teorico formano la base del moderno sistema elettrico a corrente alternata (CA), compresa la distribuzione elettrica polifase e i motori a corrente alternata, con i quali ha contribuito alla nascita della seconda rivoluzione industriale.

 Negli Stati Uniti Tesla fu tra gli scienziati e inventori più famosi, anche nella cultura popolare. Dopo la sua dimostrazione di comunicazione senza fili (radio) nel 1893, e dopo essere stato il vincitore della cosiddetta “guerra delle correnti” insieme a George Westinghouse contro Thomas Alva Edison, fu riconosciuto come uno dei più grandi ingegneri elettrici statunitensi. Molti dei suoi primi studi si rivelarono anticipatori della moderna ingegneria elettrica e diverse sue invenzioni rappresentarono importanti innovazioni.

 Le scoperte di Tesla furono realmente rivoluzionarie per l’epoca e incredibilmente moderne. Alcune di esse avrebbero, se realizzate, cambiato completamente il volto del mondo garantendo energia pulita e gratuitamente a tutta l’umanità già oltre un secolo fa, risolvendo molti dei problemi ambientali e di accesso alle risorse a cui assistiamo oggi.

 In che modo? Sfruttando l’etere come fonte e veicolo di energia.

Significativo l’episodio descritto dall’articolo tratto dal numero di Maggio-Giugno di Nexus Gold del 2005 firmato da Igor Spajic.

 La città di Buffalo, nel nord dello stato di New York negli USA, fu silenziosa testimone di un fatto straordinario nel corso di una settimana durante l’estate del 1931. Nonostante la depressione economica avesse compromesso la produzione e i commerci, la città nondimeno rimaneva una fucina di attività. Un giorno, tra le migliaia di veicoli che ne percorrevano le vie, una lussuosa automobile si fermò accanto, al marciapiede presso il semaforo di un incrocio. Un passante notò come si trattasse di una berlina Pierce-Arrow ultimo modello, coi fari che s’integravano con grazia nei parafanghi nel tipico stile di questa marca. Quello che caratterizzava l’auto in quella fredda giornata estiva era l’assoluta assenza di emissione di vapore o fumi dal tubo di scarico. Il passante si avvicinò al guidatore e attraverso il finestrino aperto commentò l’assenza di fumi dallo scarico. Il guidatore ringraziò il passante per i complimenti sottolineando che era così perché l’automobile “non aveva motore”.

 Questa dichiarazione non è stravagante o maliziosa come potrebbe sembrare. C’era una certa verità in essa. Infatti, la Pierce-Arrow non aveva un motore a combustione interna; aveva invece un motore elettrico. Se l’autista si fosse preoccupato di completare la sua spiegazione al passante, avrebbe potuto dirgli che il motore elettrico non era alimentato da batterie – ma da nessun tipo di “carburante”!!!

L’autista era Petar Savo, e nonostante stesse guidando quell’auto non era il responsabile delle sue incredibili caratteristiche. Queste erano il lavoro dell’unico passeggero, un uomo che Petar Savo conosceva come uno “zio”: non altri che il genio dell’elettricità Nikola Tesla.

Negli anni ’90 del 19 secolo Nikola Tesla aveva rivoluzionato il mondo con le sue invenzioni per sfruttare l’elettricità, dandoci il motore elettrico a induzione, la corrente alternata (AC), la radiotelegrafia, il radiocomando a distanza, le lampade a fluorescenza ed altre meraviglie scientifiche. In realtà fu la corrente alternata polifase di Tesla e non la corrente continua di Thomas Edison ad inaugurare la moderna epoca tecnologica.

Tesla non rimase a dormire sugli allori ma continuò a fare scoperte fondamentali nei campi dell’energia e della materia. Scoprì i raggi cosmici decenni prima di Millikan e fu il primo a sviluppare i raggi-X, il tubo a raggi catodici e altri tipi di valvole.

Comunque, la scoperta potenzialmente più significativa di Nikola Tesla fu che l’energia elettrica può essere propagata attraverso la Terra ed anche attorno ad essa in una zona atmosferica chiamata cavità di Schumann. Essa si estende dalla superficie del pianeta fino alla ionosfera, all’altezza di circa 80 chilometri. Le onde elettromagnetiche di frequenza estremamente bassa, attorno agli 8 hertz (la risonanza di Schumann, ovvero la pulsazione del campo magnetico terrestre) viaggiano, praticamente senza perdite, verso ogni punto del pianeta. Il sistema di distribuzione dell’energia di Tesla e la sua dedizione alla free energy significavano che con l’appropriato dispositivo elettrico sintonizzato correttamente sulla trasmissione dell’energia, chiunque nel mondo avrebbe potuto attingere dal suo sistema.

Torneremo più avanti su questo aspetto.

Lo sviluppo di una simile tecnologia rappresentava una minaccia troppo grande per gli enormi interessi di chi produce, distribuisce e vende l’energia elettrica. La scoperta di Tesla finì con la sospensione dell’appoggio finanziario alle sue ricerche, l’ostracismo da parte della scienza ufficiale e la graduale rimozione del suo nome dai libri di storia. Dalla posizione di superstar della scienza nel 1895, Tesla nel 1917 era virtualmente un “signor nessuno”,, costretto a piccoli esperimenti scientifici in solitudine. Nei suoi incontri annuali con la stampa in occasione del suo compleanno, una figura sottile nel cappotto aperto di stile anteguerra avrebbe annunciato ai giornalisti le scoperte e gli sviluppi delle sue idee. Era un triste miscuglio di ego e genio frustrato.

Nel 1931, Nikola Tesla compì 75 anni. In una rara dimostrazione di omaggio da parte dei media, la rivista Time gli dedicò la copertina e un profilo biografico. L’anziano ingegnere e scienziato appariva emaciato anche se non sofferente, i suoi capelli ancora di un nero lucido e lo stesso sguardo lontano nei suoi occhi di sognatore.

Durante l’estate del 1931, Tesla invitò Savo a Buffalo, nello stato di New York, per mostrargli e collaudare un nuovo tipo di automobile che aveva sviluppato di tasca sua. Casualmente, Buffalo è vicina alle cascate del Niagara – dove era entrata in funzione nel 1895 la stazione idroelettrica a corrente alternata di Tesla che lo aveva innalzato al culmine della stima da parte della scienza ortodossa. La Westinghouse Electric e la Pierce-Arrow avevano preparato questa automobile elettrica sperimentale seguendo le indicazioni di Tesla. (George Westinghouse aveva acquistato da Tesla i brevetti sulla corrente alternata per 15 milioni di dollari all’inizio del 20 secolo.)

La Pierce-Arrow adesso era posseduta e finanziata dalla Studebacker Corporation, e utilizzò questo solido appoggio finanziario per lanciare una serie di innovazioni. Tra il 1928 e il 1933 l ‘azienda automobilistica presentò nuovi modelli con motori ad 8 cilindri in linea e 12 cilindri a V, i futuristici prototipi Silver Arrows, nuovi stili e miglioramenti di tecnica ingegneristica. La clientela reagì positivamente e le vendite della Pierce-Arrow aumentarono la quota aziendale nel mercato delle auto di lusso, nonostante nel 1930 quest’ultimo fosse in diminuzione. In una situazione così positiva, progetti “puramente teorici” come l’auto elettrica di Tesla erano all’interno di questa sfera concettuale. Nella tradizionale mistura di arroganza e ingenuità dell’azienda, niente sembrava impossibile.

Così, per le sperimentazioni era stata selezionata una Pierce-Arrow Eight del 1931, proveniente dall’area di collaudo dell’azienda a Buffalo, nello stato di New York. Il suo motore a combustione interna era stato rimosso, lasciando intatti la frizione, il cambio e la trasmissione verso l’asse posteriore. La normale batteria da 12 volt rimase al suo posto, ma alla trasmissione era stato accoppiato un motore elettrico da 80 cavalli.

Tradizionalmente, le auto elettriche montavano motori a corrente continua alimentati da batterie, dato che quella continua è il solo tipo di corrente che le batterie possono fornire. Si sarebbe potuto utilizzare un convertitore corrente continua/corrente alternata, ma a quei tempi tali dispositivi erano troppo ingombranti per essere montati su un’automobile.

Il crepuscolo delle auto elettriche era già passato da tempo, ma questa Pierce-Arrow non venne dotata di un semplice motore a corrente continua. Si trattava di un motore elettrico a corrente alternata progettato per raggiungere 1.800 giri al minuto. Il motore era lungo 102 centimetri con un diametro di 76, senza spazzole e raffreddato ad aria per mezzo di una ventola frontale, e presentava due terminali di alimentazione indirizzati sotto il cruscotto ma lasciati senza collegamento. Tesla non disse chi costruì il motore elettrico, ma si ritiene che fu una divisione della Westinghouse. Sul retro dell’automobile era stata fissata un’antenna di 1,83 metri .

Petar Savo raggiunse il suo famoso parente, come quest’ultimo gli aveva chiesto, e a New York salirono assieme su un treno diretto verso il nord dello stato omonimo. Durante il viaggio l’inventore non commentò la natura dell’esperimento.

Arrivati a Buffalo, si recarono presso un piccolo garage dove trovarono la nuova Pierce-Arrow. Il Dr. Tesla sollevò il cofano e fece qualche regolazione sul motore elettrico a corrente alternata sistemato al suo interno. In seguito si recarono a predisporre gli strumenti di Tesla. Nella camera di un hotel delle vicinanze il genio dell’elettricità si mise a montare il suo dispositivo. In una valigia a forma di cassetta si era portato dietro 12 valvole termoioniche.

Savo descrisse le valvole “di costruzione curiosa”, sebbene in seguito almeno tre di esse siano state identificate come valvole rettificatrici 70L7-GT. Furono inserite in un dispositivo contenuto in una scatola lunga 61 centimetri , larga 30,5 e alta 15. Non era più grande di un ricevitore radio ad onde corte. Al suo interno era predisposto tutto il circuito elettronico comprese le 12 valvole, i cablaggi e le resistenze. Due terminali da 6 millimetri di diametro e della lunghezza di 7,6 centimetri sembravano essere le connessioni per quelli del motore.

Ritornati all’auto del l’esperimento, misero il contenitore in una posizione predisposta sotto il cruscotto dalla parte del passeggero. Tesla inserì i due collegamenti controllando un voltmetro.

“Ora abbiamo l’energia”, dichiarò, porgendo la chiave d’accensione a suo nipote. Sul cruscotto vi erano ulteriori strumenti che visualizzavano valori che Tesla non spiegò.

Dietro richiesta dello zio, Savo mise in moto. “Il motore è partito”, disse Tesla. Savo non sentiva alcun rumore. Nonostante ciò, coi pioniere dell’elettricità sul sedile del passeggero, Savo selezionò una marcia, premette sull’acceleratore e portò fuori l’automobile.

Quel giorno Petar Savo guidò questo veicolo senza combustibile per lungo tempo, per circa 80 chilometri attorno a Buffalo, avanti e indietro nella campagna. Con un tachimetro calibrato a 190 chilometri orari a fondo scala, la Pierce-Arrow venne spinta fino a 145 km/h, e sempre con lo stesso livello di silenziosità del motore.

Mentre percorrevano la campagna Tesla diventava sempre più disteso e fiducioso sulla sua invenzione; cominciò così a confidare a suo nipote alcuni suoi segreti. Quel dispositivo poteva alimentare le richieste di energia del veicolo per sempre, ma poteva addirittura soddisfare il fabbisogno energetico di un’abitazione – e con energia in avanzo.

Pur se riluttante, inizialmente, a spiegarne i principi di funzionamento, Tesla dichiarò che il suo dispositivo era semplicemente un ricevitore per una “misteriosa radiazione, che proviene dall’etere” la quale “era disponibile in quantità illimitata”.

Riflettendo, mormorò che “il genere umano dovrebbe essere molto grato per la sua presenza”. Nel corso dei successivi otto giorni Tesla e Savo provarono la Pierce-Arrow in percorsi urbani ed extraurbani, dalle velocità estremamente lente ai 150 chilometri all’ora. Le prestazioni erano analoghe a quelle di qualunque potente automobile pluricilindrica dell’epoca, compresa la stessa Pierce Eight col motore da 6.000 cc di cilindrata e 125 cavalli di potenza.

Tesla raccontò a Savo che presto il ricevitore di energia sarebbe stato utilizzato per la propulsione di treni, natanti, velivoli e automobili.

Alla fine della sperimentazione, l’inventore e il suo autista consegnarono l’automobile in un luogo segreto, concordato in precedenza – il vecchio granaio di una fattoria a circa 30 chilometri da Buffalo. Lasciarono l’auto sul posto, ma Tesla si portò dietro il suo dispositivo ricevitore e la chiave d’accensione.

Questo romanzesco aspetto dell’affare continuò. Petar Savo raccolse delle indiscrezioni secondo le quali una segretaria aveva parlato delle prove segrete ed era stata licenziata. Ciò spiegherebbe un impreciso resoconto sulle sperimentazioni che apparve su diversi quotidiani.

Quando chiesero a Tesla da dove arrivasse l’energia, data l’evidente assenza di batterie, egli rispose riluttante: “Dall’etere tutto attorno a noi”.

Alcuni suggerirono che Tesla fosse pazzo e in qualche modo collegato a forze sinistre e occulte. Tesla fu incensato. Rientrò assieme alla sua scatola misteriosa al suo laboratorio di New York. Terminò così la breve esperienza di Tesla nel mondo dell’automobile.

Questo incidente dell’infrazione nella sicurezza può essere apocrifo, dato che Tesla non disdegnava di utilizzare la pubblicità per promuovere le sue idee ed invenzioni, sebbene quando questi dispositivi mettevano in pericolo lo status quo dell’industria egli aveva ogni buona ragione per essere circospetto nei suoi rapporti.

L’energia dell’etere a cui si riferiva Tesla è una forma di energia che i nostri antenati sembravano già conoscere; possiamo trovarne delle descrizioni simili collegate alla spiritualità e all’essere umano nei testi vedici sanscriti di migliaia di anni fa. Le intuizioni dello scienziato Nikola Tesla erano decisamente avanzate rispetto al tempo in cui visse. Le sue invenzioni ed i suoi studi non furono sempre incompresi (o ignorati) perché troppo al di là della media conoscenza delle leggi e dei fenomeni fisici. A distanza di anni, si vedono i risultati del suo lavoro.

Chi studia Tesla, ammette che riuscì a comprendere nozioni che attualmente si iniziano solo ad intuire. Ciò che lui realizzò era il frutto di studi avanzati, tant’è che fu appena compreso dai suoi collaboratori. Forse, per le sue ricerche tanto rivoluzionarie da richiedere un approccio diverso alla fisica, ebbe la necessità di assimilare dalle discipline orientali un nuovo modo di spiegare e comprendere la realtà della natura. Tesla, certamente per questa motivazione, incluse l’antica terminologia sanscrita nelle sue descrizioni dei fenomeni naturali. Fin dal 1891 delineò l’Universo come un sistema cinetico riempito di energia imbrigliabile in ogni luogo.

I suoi concetti durante gli anni successivi furono enormemente influenzati dagli insegnamenti di Swami Vivekananda, il primo di una serie di Yogi orientali che portarono la filosofia e la religione Vedica in Occidente. Dopo l’incontro con Swami e dopo aver continuato lo studio della visione orientale dei meccanismi che guidano il mondo materiale, Tesla iniziò ad usare le parole sanscrite Akasha e Prana, ed il concetto di etere luminifero (portatore di luce) per descrivere la fonte, esistenza e costituzione della materia. Concetto questo largamente impiegato in passato per spiegare molti fenomeni naturali, ma non si riuscì mai a definire matematicamente l’etere, come tessuto infinito e comune che permea tutto nell’Universo.

Tali concetti propri dei moderni studi fisici sono affrontati nei Veda, una collezione di antichi scritti indiani composti da inni, preghiere, miti, cronache, dissertazioni sulla scienza, la natura ed il mondo reale, risalenti almeno a 5000 anni fa. La natura della materia, dell’antimateria e le concezioni sulla struttura atomica vengono descritte nei testi Vedici, con grande modernità di spiegazioni e dissertazioni. Generalmente tutti i timidi tentativi d’interpretazione della natura in testi di culture del passato peccavano di ingenuità concettuale, cosa assolutamente assente nei Veda, scritti in Sanscrito, la cui origine non è stata ancora capita totalmente.

Studi condotti da linguisti occidentali suggeriscono che tale idioma sia nato sull’Himalaya e nel sud dell’India da migrazioni della cultura Indo-Ariana. Paramahansa Yogananda ed altri storici, comunque, dissentono, ritenendo non ci siano sufficienti prove in India per sostenere tale tesi. Ci sono parole in Sanscrito che descrivono concetti totalmente sconosciuti agli occidentali e singoli vocaboli richiederebbero interi paragrafi per la traduzione in una lingua occidentale. Tesla, dunque, utilizzava i termini vedici per cercare una chiave esplicativa delle sue idee sull’elettromagnetismo e la natura dell’Universo.

Ma dove apprese i concetti Vedici e la terminologia Sanscrita? Molti sostengono attraverso la sua collaborazione con Swami Vivekananda. Nato a Calcutta, in India nel 1863, Vivekananda fu ispirato dal suo maestro, Ramakrishna, a mostrare all’uomo ogni manifestazione visibile del Divino. Nel 1893 intraprese un viaggio in Occidente, atteso dal Parliament of Religions tenuto a Chicago.

Durante i tre anni nei quali girò gli Stati Uniti e l’Europa incontrò molti dei più conosciuti scienziati del tempo, inclusi Lord Kelvin e Tesla, il quale, specializzato nel campo dell’elettricità,rimase molto impressionato nell’ascoltare da Swami la sua spiegazione della cosmogonia Samkhya e la teoria dei cicli dati da Hindus. In particolare per la somiglianza fra la teoria di Samkhya sulla materia e l’energia e quella della moderna conoscenza scientifica. Fu ad un party in casa dell’attrice Sarah Bernhardt che avvenne il primo incontro fra Tesla e Vivekananda.

In effetti, in una lettera ad un suo amico, datata 13 Febbraio 1896, il maestro annotò quanto segue: “… Mr. Tesla è rimasto catturato sentendo parlare del Vedico Prana, Akasha e il Kalpas, ed in accordo con lui sono convinto che siano le uniche teorie che la scienza moderna potrebbe appoggiare… Mr. Tesla pensa poi di poter dimostrare matematicamente che la forza e la materia siano riducibili ad energia potenziale. La prossima settimana gli farò visita per vedere questa dimostrazione matematica”.

Vivekananda sperava che Tesla riuscisse a dimostrare che ciò che noi chiamiamo materia non è altro che energia potenziale, in quanto questo avrebbe riconciliato gli insegnamenti dei Veda con la scienza moderna. Swami arrivò alla conclusione che “in questo caso, la cosmologia Vedica sarebbe basata su sicuri fondamenti scientifici”.

Ricostruire la teoria dell’Energia cosmica di Tesla è spesso difficile. I suoi documenti così come i suoi progetti sono stati rubati e ben nascosti, per poi divenire “riservati per motivi di sicurezza nazionale”, mentre i suoi 700 brevetti, al cui interno troviamo sporadicamente dei riferimenti, sono stati resi introvabili, come se si fossero dissolti nel vuoto, o nel forzieri delle società degli Illuminati.

In occasione del suo 79° compleanno, nel 1938, cinque anni prima della sua morte, annunciò la più grandi scoperte della sua vita e disse che presto le avrebbe donato a tutto il mondo, non appena avesse completato lo sviluppo degli aspetti più segreti. Tesla si riferiva alla Teoria Dinamica della Gravità e all’Energia del Cosmo, che era poi la scoperta di una Verità fisica nuova, non c’è energia se non quella che riceviamo dall’ambiente.

Nella sua breve introduzione alla teoria Tesla precisò che si riferiva a molecole ed atomi così come ai più grandi corpi stellari, “… a tutti i corpi presenti nell’universo in ogni fase della loro esistenza dalla formazione all’ultima disintegrazione”. La teoria della relatività spesso si riferisce ad “energia pura” in qualche “forma”, ma in realtà l’ energia è un “potenziale” astratto che è sempre nel futuro. Come si può distinguere le forze dell’universo in ciò che è puro o ciò che ha una forma?!

Nei suoi scritti troviamo spesso espressioni poetiche, dall’enfasi di un vero visionario, come quella che descrive la terra come la “stella della nascita umana”, e che usando il “fulmine di Giove”, ( dio del cielo Indoeuropeo ) l’uomo “annichilisce il tempo e lo spazio”, alludendo one all’uso dell’elettro-propulsione (“fulmini”), per viaggiare velocemente e annullare tempo e spazio . Tesla dunque ha delineato la sua Teoria Dinamica della Gravità in una prosa onirica, di straordinaria bellezza.

“L’etere è portatore di luce e riempie ogni spazio, l’etere agisce come forza creativa che dà la vita. Viaggia in “turbini infinitesimi” (“micro eliche”) prossime alla velocità della luce, divenendo materia misurabile. La sua forza diminuisce e arriva a terminare del tutto, regredendo in materia, secondo una specie di processo di decadimento atomico. Gli uomini possono dunque imbrigliare questi processi di passaggio dall’energia alla materia, e dunque può catturare materia dall’etere, alterare la grandezza della Terra, controllare le stagioni, guidare la rotta della terra attraverso l’Universo, come una navicella spaziale, e poi causare collisioni di pianeti per produrre nuovi soli e stelle e dunque, calore e luce. L’uomo può originare e sviluppare la vita infinitamente.”

Tesla si riferiva ad un’ energia illimitata, catturata dall’ambiente che ci circonda, e la sua scoperta viene da un’altra ben più grande, quale la possibilità di convertire l’energia ad una forza più forte – mediante l’elettropulsione, che viene usata per controllare la forza di gravità più debole.

Ma cos’è l’etere di Tesla?

Non era né etere “solido” di Maxwell e Hertz, né quello gassoso di Lorentz. L’etere di Tesla consiste in “cariche immerse in un fluido isolante” che riempie ogni spazio. Le sue proprietà variarono a seconda del suo movimento relativo e dalla presenza di massa e di un ambiente elettrico o magnetico: l’etere di Tesla veniva irrigidito variando rapidamente forze elettrostatiche, e viene coinvolto così in effetti gravitazionali. “La terra è – come ha spiegato Tesla, una palla di metallo caricata che si muove attraverso spazio” e che crea un’enorme quantità di energia variando rapidamente forze elettrostatiche, che diminuiscono di intensità”. Lui illustra come i moti meccanici sono prodotti da una forza elettrostatica diversa che agisce attraverso un mezzo gassoso, che è eccitata dai cambi rapidi di potenziale elettrostatico. Se si presume che enormi stress elettrostatici agiscano, attraverso questo mezzo, variando rapidamente di intensità, si potrebbe muovere un corpo attraverso di lui.

L’etere è normalmente neutrale elettricamente, e penetra ogni materia solida. “L’energia” non esiste in forma fisica, ma è “il potenziale di lavoro” è “tempo” che è una misurazione arbitraria della percentuale di moto della materia che attraversa lo spazio pieno di etere. Tutti gli eventi accadono nel presente, ed il “passato” e “futuro” sono soltanto metafore.

Questa energia gratis che è illimitata è universalmente lavoro potenziale, creato dal moto perpetuo della materia e dal cambio perpetuo di forze più forti e più deboli attraverso le quale viene mantenuto l’equilibrio dell’universo. Quando la materia solida viaggia attraverso lo spazio, subisce il “vento dell’etere” e le differenze in potenziali elettrici provocano dei cambiamenti nel dislocamento elettromagnetico all’interno della massa ed del vento dell’etere. Il campo elettrico della terra crea il dislocamento magnetico all’interno dell’etere e lo accumula all’interno del campo elettrico di terra. La differenza tra il dislocamento magnetico all’interno di una massa ed il dislocamento magnetico fuori della massa dell’etere è la “gravità”.

Il Governo Segreto ha finora controllato la tecnologia di elettropulsione per difendere gli interessi dei monopolisti internazionali. Le navi ad elettropulsione sono nascosti attraverso “effetti speciali”, e la disseminazione di false origini “aliene”, attraverso i gruppi di “UFOlogia” condotti da agenti segreti del governo. L’accesso alla verità consentirà la creazione della free energy che ci porterà alla conquista dell’indipendenza e alla sopravvivenza, e nonostante la confusione delle grandi bugie, e l’abuso giudiziale e socio-economico dallo stato sociale, noi possiamo riportare alla luce la scienza e la tecnologia vera.

Ed è per lo stesso motivo che non verrà mai rivelato al mondo il segreto contenuto nella grande piramide, ovvero la torre djed (o zed) che altro non è se non una antichissima “Torre di Tesla”, ovvero quello strumento in grado di ricevere e inviare informazioni e potenza senza fili comunicanti propagando in tutto il pianeta l’energia così ricavata. Sostanzialmente la centrale energetica di tutto l’impero di Atlantide.

Da sinistra a destra: posizione dello zed all’interno della grande piramide, rappresentazione pittorica della torre zed (torre di Tesla), torre/bobina di Tesla che fornisce energia alla “Lampada di Dendera”

Anche Tesla cercò di costruire un simile apparecchio: La Wardenclyffe Tower (1901-1917), anche conosciuta come la Torre di Tesla, era una delle prime torri aeree senza fili intesa a dimostrare l’abilità di ricevere e inviare informazioni e potenza senza fili comunicanti. L’apparato del nucleo non fu mai completamente operativo e non fu completato a causa di problemi economici.

La torre fu chiamata così dopo che fu acquistata da James S. Warden, un avvocato e banchiere dell’ovest che comprò possedimenti in Shoreham, Long Island, circa 60 miglia da Manhattan. Qui costruì una comunità di ritrovo conosciuta come Wardenclyffe-On-Sound. Warden credeva che con la messa in funzione del sistema mondiale di Tesla sarebbe nata nell’area una “città della radio”, e offrì a Tesla 200 acri (81 ettari) di terra vicino alla ferrovia su cui costruire la torre per telecomunicazioni senza fili e le attrezzature del laboratorio.

L’edificio di mattoni di 94 per 94 piedi fu progettato dall’architetto Sanford White. La torre fu completata nel 1904 ma il trasmettitore non fu mai completamente finito a causa di problemi economici.

Mentre lavorava per sviluppare una spiegazione per i due effetti osservati, menzionati sopra, Tesla comprese che l’energia elettrica poteva essere inviata fuori nello spazio e poteva essere scoperta da uno strumento ricevente nella vicinanza generale della fonte, senza il bisogno di alcun filo comunicante. Lui sviluppò due teorie riferite a queste osservazioni, in base alle quali:

1. Usando due fonti di primo tipo, posizionate in punti distanti della superficie della terra, è possibile incitare un flusso di corrente elettrica tra loro.

2. Incorporando una porzione della terra, come parte di un potente oscillatore di secondo tipo, il disturbo può essere impresso sulla terra e può essere rilevato “a grande distanza o anche su tutta la superficie del globo.”

Tesla suppose, inoltre, che la Terra è un corpo carico vagante nello spazio.

Grande importanza avrebbe, prima di tutto, stabilire cosa è la capacità della terra? e che carica contiene, se è elettrificata? Sebbene noi non abbiamo nessuna evidenza positiva di un corpo carico che esista nello spazio, senza altri corpi di carica opposta che sono vicini, esiste la probabilità che la terra sia un tale corpo, per quale che fu il processo di separazione da altri corpi – e questa è la visione accettata della sua origine – ha dovuto trattenere una carica, come accade in tutti i processi di separazione meccanica.

Tesla era familiare con dimostrazioni che comprendevano la carica di bottiglia di Leida e sfere di metallo isolate con macchine di influenza elettrostatiche. Portando questi elementi molto vicini e facendoli toccare direttamente, per poi separarli, la carica può essere manipolata. Lui aveva certamente questo in mente, nella creazione della sua immagine mentale, non potendo sapere che il modello dell’origine della Terra era impreciso. Il modello, al momento, accettato di origine planetaria è quello dell’accrescimento e collisione.

«Se fosse un corpo carico isolato nello spazio, la sua capacità dovrebbe essere estremamente piccola, meno di un millesimo di farad.»

Noi, ora, sappiamo che la terra è un corpo carico, in seguito a processi -almeno in parte- relativi all’interazione tra il fascio continuo di particelle cariche chiamate vento solare, che fuoriesce dal centro del nostro sistema solare e la magnetosfera della Terra. E noi sappiamo anche che la stima della capacità di Tesla era corretta: la capacità della Terra è di circa 710 ?F.

“Ma gli strati superiori dell’aria sono conducenti e così, forse, lo è il mezzo nello spazio libero oltre l’atmosfera e possono contenere una carica opposta. Così la capacità dovrebbe essere incomparabilmente più grande.”

Noi sappiamo, ora, che uno degli strati superiori dell’atmosfera della Terra, la ionosfera è conducente.

“In ogni caso è della più grande importanza avere un’idea di quanta elettricità la Terra contenga.”

Un’altra cosa, di cui noi ora siamo consapevoli è che la Terra possiede una carica negativa esistente in natura riguardo alla regione che conduce dell’atmosfera, che comincia ad un’altezza di circa 50 km. La differenza potenziale tra la terra e questa regione è sull’ordine di 400 000 volt. Vicino alla superficie della terra c’è una campo elettrico diretto decrescente ed onnipresente di circa 100 V/m. Tesla si riferì a questa carica come il “niveau elettrico” o livello elettrico.

“è difficile dire se noi mai acquisiremo questa conoscenza necessaria, ma c’è da sperare di sì, ed ovvero, per mezzo della risonanza elettrica. Se mai noi possiamo accertare a che periodo la carica della terra, quando disturbata, oscilla rispetto ad un sistema oppostamente elettrificato o circuito noto, noi certamente conosceremo un fatto della più grande importanza, per il benessere dell’umanità. Io propongo di cercare il periodo, per mezzo di un oscillatore elettrico o una fonte di corrente elettrica alternata…”

Più di diecimila anni fa i nostri antichi padri, durante l’età dell’oro erano già in possesso delle conoscenze necessarie per farlo…

Il perché oggi non si sia arrivati ad usare sistemi che “sfruttino” le free energy può essere inquadrato in due modi: uno scientifico-accademico e l’altro economico. Il primo tirerebbe in ballo innumerevoli principi fisici (in testa quello di conservazione dell’energia) che “matematicamente” escluderebbero la possibilità dell’esistenza di fonti di energia infinite e utilizzabili. Il secondo, vedrebbe entrare in campo un principio, forse non scritto, che vale nell’Economia: un prodotto, o un servizio, è sfruttabile quando è monopolizzabile ed esauribile.

In altre parole, se esiste un prodotto, o un servizio, che non fa guadagnare nessuno non potrà mai essere messo a disposizione di qualsiasi utente. A monte di tutto: “Qualcuno deve guadagnare”. Le energie libere, quindi, per definizione non sarebbero commercializzabili: nessuno potrebbe vendere energia prodotta gratis o infinita poiché ognuno sarebbe indipendente e non avrebbe necessità di soggiacere alle leggi dell’economia mondiale.

Se Tesla (o chi ne ha carpito e sfruttato le scoperte) avesse individuato il modo di generare infinita energia, per le motivazioni appena descritte, è normale che oggi non se ne sappia nulla e che ufficialmente non se ne parli. Lo stato attuale dell’economia è fondato proprio sulla necessità di un monopolizzatore che guadagna e un utente finale che spenda. La banalità di questo concetto è tale che purtroppo tutti ne sono consapevoli e ne intuiscono le probabili conseguenze.

Le free energies annienterebbero i vari monopoli, non essendo più indispensabili lo sfruttamento delle fonti di energia naturali né il denaro utile al loro possesso da parte di pochi. Purtroppo per gli “scienziati ufficiali”, il concetto delle free energies, e il conseguente eventuale loro impiego, non è assolutamente in contrasto con alcuna legge fisica. Forse non a caso Tesla non accettava completamente le teorie di Einstein: la Relatività, non esclude la possibilità di energia infinita praticamente gratis, ma la rende inutilizzabile poiché incontrollabile (la nota equazione E=mc2 di fatto conduce a conclusioni del genere).

Tesla forse intuì, grazie allo studio delle concezioni scientifiche Vediche, che l’energia libera è uno stato della materia, piuttosto che un risultato di una sua manipolazione. Compatibilmente con Einstein, comunque, era sicuro che la materia fosse energia. Qual è allora la differenza fra il modo di vedere la natura in Occidente e quello in Oriente?

I Veda contengono tutte quelle concezioni e quel vasto corredo di termini scientifico-filosofici che Tesla studiò e con i quali descrisse la natura così come lui la vedeva, realizzando i progetti tecnologici che da ciò scaturirono. Inoltre contengono le cronache e le descrizioni di eventi storici avvenuti più di 5000 anni fa in India e personaggi e mezzi che vi presero parte. I velivoli descritti in battaglie e scontri epocali sono i Vimana, macchine volanti con una tecnologia avanzatissima per l’epoca storica a noi nota e rivoluzionaria per la nostra civiltà, in quanto messaggio cifrato di conoscenze tramandate da millenni.

La commistione percepibile nei testi Vedici fra filosofia e scienza, mondo spirituale e mondo fisico, con termini (fra i quali quelli acquisiti da Tesla) comuni all’uno o all’altro campo, fa intuire che vi fosse una mentalità all’epoca degli eventi descritti (non più considerabili, a questo punto, come mitici) completamente diversa e in sintonia con la Natura. Ne è esempio il concetto orientale dei Chakra (vortici di energia) sul corpo umano, portali energetici (amplificatori) fisici e psichici, del tutto simili alle descrizioni dei sistemi di propulsione adottati dai Vimana.

 

Disegno di Shakuna Vimana

Vortici di materia (mercurio) incendiati con il fuoco (energia), che genererebbero una sorta di lenti amplificatrici di energia, in grado di far sostentare nell’aria questi ordigni, fanno intuire, come allora in India non vi fossero differenze fra mondo spirituale e fisico. Se guardiamo, invece, alla storia dell’Occidente, tale dicotomia è presente da sempre. Che Tesla avesse trovato nei termini Vedici totale correttezza descrittiva delle sue teorie, fa capire che avesse immaginato ciò che, oggi, predicano i fautori della free energy. Il mondo materiale e spirituale sottostanno ad uguali leggi che governano anche il microcosmo ed il macrocosmo.

Questi sistemi di propulsione del tutto innovativi potrebbero essere stati applicati nell’ambito della ricerca e progettazione aeronautica nazista, proseguita dopo la seconda guerra mondiale negli Stati Uniti. In questi ultimi anni vi è un’espandersi del fenomeno ufologico, da una parte all’altra del globo, che non pare abbia precedenti statistici. E’ pur vero che l’aumento degli avvistamenti è oggi più evidente grazie (o a causa) dalla rete web, che mette in grande risalto filmati (veri o fasulli), da siti, blog e forum nati ad hoc, ma tutto questo induce comunque ad una constatazione in relazione agli UFO: non conosciamo tutta la verità.

Una verità che potrebbe essere taciuta soprattutto dal settore della ricerca e tecnologia militare, all’interno della quale potrebbe essere finalmente spiegata l’origine degli oggetti volanti non identificati. Per l’appunto, si ipotizza la disponibilità da parte dei militari di una tecnologia segreta, tutta terrestre, con la quale si è riusciti a costruire velivoli le cui fattezze sono del tutto simili agli oggetti che da decenni volerebbero sulle nostre teste.

Tesla scrisse: “come affermato in una precedente occasione, quando fui studente all’Università, io concepii una macchina volante, abbastanza diversa da quelle presenti. Il principio sottostante era solido, ma non poté essere messo in pratica perché volli un movente primario di sufficientemente grande attività. Negli anni recenti, ho risolto questo problema e sto ora pianificando una macchina aerea “priva di piani di sostentamento, alettoni, propellenti ed altri attacchi esterni, che saranno capaci di immense velocità e saranno molto probabilmente in grado di fornire potenti argomenti per la pace nel prossimo futuro.”

Nikola Tesla scrisse questo ad un manager della Westinghouse Electric Company nel 1912. “Non dovrete sorprendervi affatto se un giorno mi vedrete volare da New York a Colorado Springs in un apparecchio che somiglierà ad un fornello a gas e peserà tanto uguale e, se necessario, sarà in grado di entrare e partire attraverso una finestra”. In realtà, il “fornello volante” di Tesla usava un sistema di elettropropulsione, che doveva essere alimentato da alimentatori esterni e dal sistema wireless di trasmissione dell’energia o con un generatore di potenza interno al mezzo.

In un articolo del 1911 su The Sun Tesla descrive la sua macchina volante: “Il Dr. Nikola Tesla la notte scorsa si poggiò comodamente alla sua poltrona a Waldorf, e parlò con calma di aeromobili senza ali, propellenti o altri meccanismi degli aeroplani ora familiari che si muovevano nello spazio a incredibili velocità, o più lentamente portando pesanti carichi, e in ogni caso sempre con sicurezza, come il più prosaico dei veicoli a ruote”.

“L’applicazione di questo principio darà al mondo una macchina volante diversa da qualsiasi cosa sia mai stata esistita in precedenza. Non avrà ali, reattori o strumenti del genere usato fino adesso. Sarà piccola e compatta, straordinariamente veloce e, soprattutto, perfettamente sicura nella più grande tempesta. Può essere costruita di qualsiasi misura e portare qualsiasi peso si desideri”.

Chi abbia familiarità con i principi operativi del cosiddetto “aeroplano convenzionale” comprende che la macchina volante di Nikola Tesla descritta in questi passi del 1911 deve essere un veicolo con “anti-gravità” quindi un vero “disco volante”.

Ipotesi di macchina volante immaginata da Tesla

Molto simili per descrizione e funzionamento agli Haunebu disegnati dai nazisti.

Secondo voci mai confermate, le SS E-IV (Entwicklungsstelle 4), le occulte SS del Sole Nero (Schutze Sonne) sotto la guida del Reichsfuhrer SS Hans Kammler, sviluppando i progetti della JFM produssero un motore magnetico che gestiva la gravità come spinta propulsiva. Nel 1939 venne prodotta la RFZ-5 e le prove vennero effettuate nello stabilimento segreto Vril Arado di Brandeburg.

Dallo sviluppo della RFZ sarebbe nato l’Haunebu I, di 24 metri di diametro, con motore Thule Tachyonator il cui prototipo volò ad una velocità di 4.800 Km/h con possibilità di evoluzione fino a 17.000 Km/h.

Per resistere alle incredibili temperature prodotte dalle altissime velocità che tali mezzi permettevano, le SS E-IV fecero sviluppare uno speciale materiale resistente al calore, denominato Victalen.

Il prototipo successivo, l’Haunebu II del diametro di circa 30 metri, poteva volare da 6.000 Km/h fino ai teorici 21.000 Km/h. L’autonomia era sempre limitata a pochi minuti di volo.

L’Haunebu III avrebbe avuto un diametro di 70 metri e una velocità di 7.000 Km/h fino ad una possibilità teorica di 40.000 Km/h.

L’ultima, Haunebu IV del diametro di 120 metri, con autonomia superiore alle 20 ore, in grado addirittura di viaggiare nello spazio, sarebbe rimasta solo un progetto sulla carta.

I nazisti avrebbero voluto utilizzare questi strumenti come armi, per vincere la guerra.

Tesla aveva obiettivi più nobili, fornire all’umanità la possibilità di usufruire di energia pressoché illimitata e soprattutto in forma libera, gratuitamente, così come era durante l’età dell’oro.

Nessuno riuscì nel suo intento. Probabilmente oggi per sapere che fine hanno fatto questi progetti bisognerebbe chiedere ai servizi americani, detentori delle conoscenze tecnologiche raggiunte dai tedeschi in virtù della nota operazione Paperclip.

link: http://www.facebook.com/photo.php?fbid=479759485401811&set=a.208810512496711.57067.203737476337348&type=1

http://www.oltrelacoltre.com/?p=14413

 

Le Monde: Notre Damedes Landes une operation d’evacuation de squatteurs opposants est en cours

http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/11/23/notre-dame-des-landes-une-operation-d-evacuation-de-squatteurs-opposants-est-en-cours_1794936_3224.html

 

Notre-Dame-des-Landes : une opération d’évacuation de squatteurs opposants est en cours

 

Manifestation de réoccupation dans la zone à défendre à Notre-Dame-des-Landes, samedi 17 novembre 2012.

Quelque 500 gendarmes menaient vendredi matin une “importante opération” d’évacuation de squatteurs opposants à l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes en Loire-Atlantique, a annoncé le ministère de l’intérieur. Un correspondant de l’AFP sur place a constaté la présence d’importantes forces de l’ordre arrivées à l’aube. Selon un opposant joint au téléphone, “ça attaque de partout”.

“Une importante opération est actuellement menée en plusieurs points sur la zone d’implantation de l’aéroport du grand-ouest à Notre-dame des Landes en Loire-Atlantique”, a déclaré le porte-parole du ministère de l’intérieur, Pierre-Henry Brandet, présent sur place. “Cette opération vise à évacuer trois sites occupés illégalement : le Rosier, la Lande de Rohanne et la Châtaigneraie”, a-t-il détaillé.

“QUARANTE MINUTES POUR PARTIR”

Les forces de l’ordre “sont partout au niveau du Rosier, où ils ont dit aux gens qu’ils avaient quarante minutes pour partir”, a expliqué Christelle, une opposante habitant la “zone d’aménagement différé” (ZAD) de l’aéroport. “Mais ils sont aussi au niveau des nouvelles constructions, où pourtant ils auraient dû faire une procédure juridique avant d’intervenir car elles n’étaient pas sur une parcelle expulsable”, a-t-elle assuré.

“On a tous été pris par surprise”, a témoigné Jérôme, un autre occupant de la ZAD, affirmant que les gendarmes étaient intervenus dès le début avec des lacrymogènes au pied des cabanes construites dans les arbres de la forêt. “Mais il y a encore beaucoup de gens dans les arbres, ils (les gendarmes) vont devoir intervenir en hauteur”, a ajouté Jérôme.

Depuis des mois, des opposants au projet se sont installés sur le site du futur aéroport, déterminés à y rester. La ferme du Rosier est entourée d’importantes barricades et de tracteurs massés autour. La Châtaignerie et la Lande de Rohanne sont les lieux où les opposants avaient collectivement construit de nouvelles habitations le 17 novembre lors d’une réunion ayant réuni entre 13 500 (selon la police) et 40 000 manifestants selon les organisateurs.

“FAIRE RESPECTER LA LOI”

“Plus de 500 gendarmes sont ainsi mobilisés afin de permettre à Aéroport du Grand-Ouest de prendre ou reprendre possession des lieux et d’engager immédiatement des travaux de ‘déconstruction'” des squats, “partout où cela sera légalement possible”, a indiqué Pierre-Henry Brandet. Il a également expliqué que serait menée “la saisie et l’évacuation des matériaux, outils et matériels de chantier”.

Le porte-parole a insisté sur “la détermination du ministère de l’intérieur de faire respecter la loi et les décisions de justice, de prévenir les troubles à l’ordre public, et d’empêcher l’installation d’un camp pouvant servir de base de soutien aux opposants les plus radicaux, pour mener des actes de sabotage et des actions violentes sur le chantier de l’aéroport”. L’aéroport de Notre-Dame-des-Landes doit remplacer celui de Nantes en 2017 et les premiers défrichements doivent débuter en janvier 2013.

Lire : Notre-Dame-des-Landes : la “détermination du gouvernement” est “totale”, déclare Valls

Le porte-parole national d’Europe Ecologie-Les Verts, Jean-Philippe Magnen, a jugé vendredi “désolant” le recours aux forces de l’ordre pour évacuer les squatteurs. “C’est la réponse à la mobilisation citoyenne de samedi dernier. M. Hollande a invoqué la force du droit mais c’est la force qui répond”, a-t-il estimé.

 

“Il TAV è un’opera che ferisce”… dal TG R del 22-NON-2012 ore 1400

TG R del 22-NON-2012 ore 1400

 http://www.youtube.com/watch?v=qB-JVbQ0DFs

 “Il TAV è un’opera che ferisce”, “è un’opera che non ha visto trasparenza”, “che non ha comprensione rispetto ai costi”; NON lo dice un estremista militante NO TAV, bensì Laura Puppato, ex Sindaco di Montebelluna ed ora candidata alla primarie del PD!!! Finalmente una persona coraggiosa ed ONESTA! Onore al merito!