‘GAMBIE, POURQUOI UNE TELLE CAMPAGNE MÉDIATIQUE CONTRE YAYA JAMMEH ?’

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LUC MICHEL SUR LE ‘REPORTAGE’ DE ‘PRESS TV’(IRAN) CE 29 JUIN 2019:

LM.ORG2 - instagramm 235b presstv

* Luc MICHEL :

“Derrière le changement de régime en Gambie début 2017 et les persécutions contre yahya Jammeh, il y a un double dossier géopolitique : celui du Triangle Sénégal-Gambie-Casamance et celui de la Diagonale stratégique Djibouti-Dakar des USA ! “

* La présentation de PRESS TV:

“Depuis plusieurs jours, une campagne médiatique bat son plein dans les médias mainstream contre Yaya Jammeh, l’ancien président gambien. Cela fait pourtant deux ans maintenant qu’il s’est retiré du poste de président de la Gambie, mais visiblement, cela n’est peut-être pas fini.

On a essayé d’en savoir plus en interrogeant le géopoliticien Luc Michel, qui va nous dire ce qu’il en pense.”

* Voir sur le Website de PRESS TV :

Gambie, pourquoi une telle campagne médiatique contre Yaya Jammeh ?

L’article

sur: https://www.presstv.com/DetailFr/2019/06/29/599717/Pour-les-USA-le-CGRI-est-en-Afrique-de-lOuest

+ la video (voir à 7’27) sur https://www.youtube.com/watch?v=WESVx0APSCM&feature=youtu.be

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UN PISTOLET BRAQUE SUR LA TEMPE DE L’IRAN : LE GROUPE AERONAVAL USS BOXER DANS LE GOLFE PERSIQUE

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Luc MICHEL pour EODE/

Quotidien géopolitique – Geopolitical Daily/

2018 06 27/

La géopolitique, c’est avant tout un rapport de puissance, militaire, économique, industrielle et technologique. La plupart des observateurs l’oublient, surtout au Proche-Orient et en Afrique. Depuis l’implosion de l’URSS en 1990-91, il n’y a qu’une seule superpuissance mondiale et ce sont hélas, trois fois hélas, les USA. Ses adversaires sont de grandes puissances, la Chine et la Russie, mais de grandes puissances régionales. Ce sont des pions (la Chine de 1949, la Russie de 1991-99) qui voudraient passer à dame.

LM.GEOPOL - Uss boxer en mer rouge (2019 06 27) FR (6)

LES THESES SUR LE « DECLIN AMERICAIN » SONT HELAS OBSOLETES !

Et les analyses qui évoquent le passage à un monde multipolaire pêchent par cécité géopolitique. Nous sommes toujours sous Trump dans un monde et un temps américains, où Washington détient le « big stick » qu ‘évoquait déjà avant 1914 un Theodore Roosevelt (oncle de Franklin, deux présidents en trois décennies, issus d’une famille aristocratique WASP, venue de Wallonie et des Pays-Bas … Vous avez dit « alternance » ?) (1). Et peut en même temps s’en prendre au Venezuela, à l’Iran, à la Russie, à la Syrie, à six états africains (dont le Soudan et le Cameroun), à la Corée du Nord, à Honk-Kong. Et déclencher deux guerres économiques avec l’Union Européenne et la Chine !

Les thèses dites « déclinistes » (Emmanuel Todd ou Toni Negri et leurs plagiaires néofascistes en France) sont devenues obsolètes avec les USA leaders de la production des hydrocarbures de schiste, devenus à vitesse rapide entre septembre 2015 et l’avènement de Trump le leader du « nouveau marché du pétrole ». L’Amérique a les moyens de son ambition : « faire du XXIe siècle un nouveau siècle américain ». Avec ses 14 porte-avions, ses porte-hélicoptères et ses 360 grands navires de surface, les USA n’ont pas de concurrent. Les autres – Russie, Chine, Inde, Grande-Bretagne et France – ont chacun un porte-avion. Et le programme de Trump prévoit de passer à 440 grands navires, le président militariste (et pas isolationniste) ayant lancé en 2017 le 14e porte-avion US !

L’USS BOXER, AVEC SON GROUPE NAVAL, SUR LES COTES DE L’IRAN POUR “UNE GUERRE COURTE” (DIXIT TRUMP) 

Je ne suis pas de ceux qui croient à une guerre contre l’Iran, hors guerre économique et déstabilisation. Mais tout reste possible avec les faucons qui dirigent à Washington, les Bolton, Pompeo, Cirill Sarvor (le Monsieur Afrique de Trump), Jared Kouchner et Mike Pence (de l’aile radicale du Lobby pro-israélien AIPAC) et cie !

La presse israélienne jette à pleins seaux de l’huile sur le feu, annonçant que ce « Jeudi 27 juin, Téhéran devrait respecter son ultimatum et commencer à accélérer l’enrichissement d’uranium en violation du plafond de 300 kilos fixé par l’accord nucléaire de 2015, renforçant ainsi les tensions avec les États-Unis. L’Organisation Iranienne de l’énergie atomique a annoncé mercredi que le niveau d’enrichissement de 3,67% devrait être porté à 20%, ce qui est beaucoup plus proche de la qualité des armes nucléaires. Le président Donald Trump et de hauts responsables américains ont, à plusieurs reprises, averti que l’Iran ne serait pas autorisé à acquérir une arme nucléaire » (dixit le ‘Times of Israel’).

Interrogé mercredi dans un entretien avec ‘Fox Business Network’, l’influente TV des Neocons, sur le déclenchement d’une guerre, Trump a répondu: « J’espère que nous n’aurons pas à le faire, mais nous sommes dans une position très forte si quelque chose devait se produire. Je ne parle pas de bottes présentes sur le terrain », a-t-il déclaré. « Je dis juste que si quelque chose devait se passer – cela ne durerait pas très longtemps. »

LM.GEOPOL - Uss boxer en mer rouge (2019 06 27) FR (5)

LE USS BOXER : UN GROUPE AERONAVAL EXPEDITIONNAIRE

Néanmoins, au cours des derniers jours, le USS Boxer, avec son groupe aéronaval expéditionnaire (c’est çà aussi la superpuissance américaine, la capacité à se projeter rapidement) a pris position en face des côtes de l’Iran, transportant quelque 2.200 soldats de la 11 e Unité expéditionnaire des Marines. Le groupe de frappe de ce porte-hélicoptère comprend également deux navires de transport de péniches de débarquement amphibies, l’USS John P. Murtha et l’USS Harpers.

Ce groupe est conçu « pour exécuter des débarquements amphibies de troupes sur les rivages ennemis et les évacuer à la fin de leur mission ». Sur le pont du Boxer se trouve l’avion de frappe ‘AV-8B Harrier II’ doté d’une capacité de décollage vertical, des hélicoptères de transport et des hélicoptères portant des missiles anti-navires ‘Sea Sparrow’.

« Le déploiement du groupe de frappe Boxer et d’une force maritime face à la côte iranienne a pour but d’informer Téhéran que l’administration Trump est prête pour une réponse immédiate en cas de nouvelles menaces ou provocations de la part de la République islamique – que ce soit en renforçant l’enrichissement d’uranium pour ses activités nucléaires de son programme » ou des frappes sur des cibles pétrolières américaines et alliées dans le golfe Persique », dit Washington.

« L’USS BOXER ARRIVE DANS LES EAUX D’OPERATIONS DE LA 5EME FLOTTE AU MILIEU DES TENSIONS AVEC L’IRAN » (DIXIT ‘STARS ANS STRIPES’, LE JOURNAL DE L’US NAVY)

Que dit le jornal de l’US Navy (ce 24 juin) ?

« Le 15 juin 2019, le navire d’assaut amphibie USS Boxer transite dans la mer d’Andaman. Le groupe des Boxer Amphibious Ready et la 11ème unité de marine expéditionnaire sont arrivés dans la zone d’opérations de la 5ème Flotte américaine, le 24 juin 2019, pour libérer le Kearsarge ARG et le 22ème MEU (…) des milliers de marins et de marines naviguent depuis lundi dans les eaux où mouille la 5e flotte, en tant que groupe d’assaut amphibie dirigé par l’USS Boxer déployé dans la région, où des tensions éclatent entre les Etats-Unis et l’Iran (…) Bien que la 5ème flotte ait refusé de commenter ce que l’USS Boxer ferait en ce qui concerne l’Iran, le commandant de son escadron aérien, le capitaine Brad Arthur, a déclaré dans un communiqué que le groupe était “prêt à faire face à toute crise dans le cadre d’opérations militaires“. »

« Le Boxer, qui transporte la 11e unité expéditionnaire de la marine et un escadron d’hélicoptères de combat, était accompagné du dock de transport amphibie USS John P. Murtha et du navire amphibie de débarquement, l’USS Harpers Ferry », a annoncé l’US Navy dans un communiqué. « Le groupe Boxer a quitté San Diego le 1er mai et a opéré dans les océans Pacifique et Indien », selon le communiqué. La zone de responsabilité de la 5ème flotte, basée à Bahrein, comprend une grande partie du Moyen-Orient.

LE RISQUE D’UNE ETINCELLE AVEC DES INCENDIARES A LA MAISON BLANCHE …

Les relations entre l’Iran et les États-Unis, déjà tendues, se sont détériorées la semaine dernière lorsqu’un drone de surveillance américain a été abattu par le corps des Gardiens de la révolution islamique iraniens. Les Iraniens ont déclaré que l’avion sans pilote RQ-4 Global Hawk « était entré dans son espace aérien » (ce que confirme Moscou), mais les États-Unis ont insisté pour dire que l’attaque s’est produite lorsque le drone survolait les eaux internationales (ce qu’appuient Paris et Londres). « Les États-Unis étaient sur le point de lancer une frappe de représailles, mais ils s’en sont abstenus quelques minutes auparavant », déclare Trump. Le président Donald Trump a déclaré ce vendredi dans une interview à la télévision qu’il avait « annulé les frappes après avoir appris que 150 personnes pourraient mourir ».

Le secrétaire d’Etat américain Mike Pompeo est arrivé dimanche en Arabie saoudite pour des entretiens avec des dirigeants saoudiens au sujet « d’une coalition mondiale contre l’Iran », a rapporté lundi l’Associated Press. Pompeo devait « également se rendre aux Émirats arabes unis », selon le rapport de l’AP. « Nous discuterons avec eux de la manière de nous assurer que nous sommes tous alignés stratégiquement et de la manière de bâtir une coalition mondiale, une coalition qui comprend non seulement les États du Golfe, mais également l’Asie et l’Europe, et qui comprend ce défi, alors qu’il faut s’apprêter à lutter contre le plus grand pays parrain du terrorisme » (sic), a déclaré Pompeo à propos de l’Iran à des journalistes à Washington avant son départ, selon AP.

Dans le même temps, le commandant de la marine iranienne, le contre-amiral Hossein Khanzadi, a déclaré lundi que les « forces iraniennes n’hésiteraient pas à abattre davantage de drones de surveillance américains ». Une « réponse écrasante peut toujours être répétée, et l’ennemi le sait », a déclaré Khanzadi, selon l’agence de presse iranienne Tasnim.

(Sources : The Times of Israel – Stars ans stripes – Associated Press – Tasnim – EODE Think Tank)

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

Photos :

Le 15 juin 2019, le navire d’assaut amphibie USS Boxer transite dans la mer d’Andaman. Le groupe ‘USS Boxer Amphibious Ready’ et la 11ème unité de marine expéditionnaire sont arrivés dans la zone d’opérations de la 5ème Flotte américaine, le 24 juin 2019 …

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CARACAS ANNONCE AVOIR FAIT ECHOUER UNE TENTATIVE DE COUP D’ÉTAT !

 

LM/ EODE/ 2019 06 27/

Avec AFP – TV Sur/
EODE - REVOL venezuela coup (2019 06 27) FR

Les organisateurs des « révolutions de couleur » depuis près de 20 ans – State Department US, « vitrines légales de la CIA », Réseaux Sorös – évoquent sans cesse, à commencer par Wikipedia l’officine de désinformation des services secrets occidentaux, des « révolutions pacifiques » (sic), centrées sur des techniques « non violentes » (resic). Dans la réalité, la phase non-violente, celle où les manifestants offrent des fleurs (comme au Kyrgistan en 2003 ou en Syrie en 2011), n’est là que pour amorcer médiatiquement le processus. En aval, il y a les sanctions diplomatiques et économiques, les guerres commerciales, les assassinats ciblés de la CIA, les snipers. Et en amont, les sympathiques manifestants désarmés sont vite remplacés par les hooligans néofascistes (ex républiques soviétiques ou Venezuela) ou les djihadistes (Libye, Syrie). Sans oublier les tentatives de coups d’état (1) …

Caracas annonce ce jour avoir fait échouer une tentative de « coup d’État ». Le gouvernement met en cause « les États-Unis, la Colombie et le Chili dans un complot qui prévoyait l’assassinat du président socialiste Nicolás Maduro ».

« Nicolas Maduro etait la cible du coup d’Etat », selon le gouvernement venezuelien. Le gouvernement vénézuélien a annoncé ce mercredi avoir déjoué une tentative de coup d’État militaire impliquant les États-Unis, la Colombie et le Chili, qui prévoyait l’assassinat du président socialiste Nicolás Maduro. «  Nous avons assisté à toutes les réunions de planification du coup d’État  », a déclaré le ministre de la Communication, Jorge Rodriguez. Des agents gouvernementaux auraient été infiltrés dans la préparation de cette tentative de renversement de Maduro et son remplacement par un général.

Le coup d’État, impliquant « des militaires actifs et en retraite ainsi qu’un ancien chef du renseignement, devait avoir lieu entre dimanche et lundi », a précisé le ministre. Il a accusé le président de droite chilien Iván Duque de «  planifier des coups d’État, l’assassinat du président  » Maduro, mettant en cause également le président conservateur du Chili Sebastián Pinera et le conseiller américain à la sécurité nationale John Bolton.

Le pays vit au rythme du bras de fer entre Nicolás Maduro et le chef de file de l’opposition Juan Guaidó, depuis que ce dernier s’est autoproclamé président par intérim le 23 janvier et qu’il a été reconnu comme tel par une cinquantaine de pays, dont les Etats-Unis (2).

# QUELQUES SYNTHESES  EN VIDEOS

Sur la déstabilisation du Venezuela sous Chavez :

* Ecouter le podcast sur PCN-TV YOUTUBE I/

GEOPOLITIQUE & IDEOLOGIE /

ENTRETIEN DE LUC MICHEL AVEC RADIO CAMEROUN :

APRES CHAVEZ, OU VA LA REVOLUTION BOLIVARIENNE ?

Sur https://www.youtube.com/watch?v=ShrlmnBlhzc

Sur la déstabilisation du Venezuela sous Maduro :

* Voir sur EODE-TV & AFRIQUE MEDIA/

LUC MICHEL DECRYPTE LA DESTABILISATION DU VENEZUELA PAR LES USA

(APPEL SUR LE CONTINENT, 9 AOUT 2017)

sur https://vimeo.com/231213579

LM / EODE /

OBSERVATOIRE DES REVOLUTIONS DE COULEUR /

NOTES :

(1) Cfr. Luc MICHEL, DE LA YOUGOSLAVIE (2000) AU ‘PRINTEMPS AFRICAIN’ (2015-1018) : COMMENT S’ORGANISENT LES « REVOLUTIONS DE COULEUR » ?

sur http://www.lucmichel.net/2017/09/03/panafricom-enquetes-sur-la-destabilisation-de-lafrique-i-de-la-yougoslavie-2000-au-printemps-africain-2015-1018-comment-sorganisent-les-revoluti/

Et Luc MICHEL, PCN-INFO / PSEUDO REVOLUTIONS DE COULEUR ET SOI-DISANT PRINTEMPS ARABE : LES COUPS D’ETAT DES USA A L’EST ET EN ORIENT DECRYPTES

sur http://www.elac-committees.org/2012/09/28/pcn-info-pseudo-revolutions-de-couleur-et-soi-disant-printemps-arabe-les-coups-d%E2%80%99etat-des-usa-a-l%E2%80%99est-et-en-orient-decryptes/

(2) Voir sur LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY/ DESTABILISATION DU VENEZUELA (I) : LE COUP D’ETAT CONSTITUTIONNEL ABOUTISSEMENT DE DEUX DECENNIES D’AGRESSION U.S.

sur http://www.lucmichel.net/2019/01/26/luc-michels-geopolitical-daily-destabilisation-du-venezuela-i-le-coup-detat-constitutionnel-aboutissement-de-deux-decennies-dagression-u-s/

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EODE ORGANISATION …

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LA DEFAITE DE L’AKP A ISTANBUL AURA DES CONSEQUENCES GEOPOLITIQUES : ERDOGAN VA-T-IL REVOIR SA POLITIQUE A L’EGARD DE LA SYRIE?

 

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Luc MICHEL pour EODE/

Quotidien géopolitique – Geopolitical Daily/

2018 06 25/

« Erdogan est tombé du cheval pour la première fois sur la porte d’Istanbul, capitale économique de la Turquie qu’il a négligée à tort pendant des années pour s’en prendre plutôt à Alep qui dans une époque pas lointaine était le fleuron de l’économie syrienne »

LM.GEOPOL - Erdogan istanbul syrie (2019 06 25) FR (2)

– Kamal Kiliçdaroglu, leader du parti kémaliste CHP.

A l’élection municipale partielle d’Istanbul, le président Recep Tayyip Erdogan a essuyé ce dimanche son pire revers électoral en 17 ans (1) (2). Témoignant de l’insatisfaction des Turcs, la défaite du candidat favori du parti islamo-conservateur au pouvoir en Turquie face à la victoire écrasante de l’opposition kémaliste laïque aux élections municipales partielles d’Istanbul « devrait pousser le président turc à revoir ses politiques », commente ‘Farsi’.

Ayant obtenu 54,03 des voix, le kémaliste Ekrem Imamoglu peu connu des milieux politiques, a réédité sa victoire qui, annulée il y a trois moins contre le candidat favori de Parti de la justice et du développement (AKP), mettra fin à environ 18 années de règne du Parti de la justice et du développement sur la municipalité de la ville d’Istanbul. Il est difficile de croire que Recep Tayyip Erdogan, président turc, ne connaisse pas la ville d’Istanbul et ses citoyens. Cet ancien maire d’Istanbul qui chantait sous un ton épique : « Qui gagne Istanbul gagne toute la Turquie », doit maintenant concéder la ville clé à un certain Ekrem Imamoglu qui fut jusqu’à l’année dernière le maire de Beylikdüzü, un district d’Istanbul.

LES ELECTIONS TURQUES AU PRISME DES AVENTURES GEOPOLITIQUES D’ERDOGAN EN SYRIE ET EN IRAK

Bien avant la prise des mesures pour les élections municipales, le président turc a ébahi les observateurs par sa décision d’organiser le 24 juin 2018, des élections présidentielles et législatives anticipées, près d’un an et demi avant la date prévue, arguant que la situation dans les pays voisins à savoir l’Irak et la Syrie, n’était pas favorable et qu’il était donc essentiel d’anticiper les élections pour la sécurité et l’économie du pays. Nombreux sont ceux pour qui l’argument d’Erdogan était inaudible et hors de propos. « Mais lui, ses amis au sein de son camp et les Think tanks turques savaient bien dans les coulisses que ces justifications se traduisaient par l’échec des politiques d’Ankara en Irak et en Syrie, nuisant davantage à l’économie turque et entraînant une baisse du taux de popularité du président turc », commente ‘Farsi’.

« Il est vrai que sur le plan interne le ralentissement de la croissance économique a servi de prétexte pour l’opposition. Mais cette dernière s’était concentrée sur la mise en relief de la politique étrangère d’Erdogan notamment en Syrie qui allait à l’encontre de celle menée par Ahemt Davotglu, connu comme l’architecte de la politique étrangère turque avec pour objectif de ramener à zéro les tensions avec les pays voisins ».

« RETABLISSEZ AU PLUS VITE DES RELATIONS AVEC LE GOUVERNEMENT SYRIEN QUI COMME NOUS, CHERCHE A PRESERVER L’INTEGRITE TERRITORIALE DE LA SYRIE » (CHP KEMALISTE)

« Erdogan est tombé du cheval pour la première fois sur la porte d’Istanbul, capitale économique de la Turquie qu’il a négligée à tort pendant des années pour s’en prendre plutôt à Alep qui dans une époque pas lointaine était le fleuron de l’économie syrienne ». Ce sont les propos prononcés par Kamal Kiliçdaroglu, leader du parti vainqueur lors de la récente élection municipale d’Istanbul qui s’était adressé à Erdogan en lui disant : « Rétablissez au plus vite des relations avec le gouvernement syrien qui comme nous, cherche à préserver l’intégrité territoriale de la Syrie ».

En pleine crise syrienne, le Parti Républicain du Peuple (CHP) auquel appartient Ekrem Imamoglu, n’a manqué aucune occasion pour critiquer les politiques d’Erdogan, appelant ce dernier à la normalisation immédiate des relations avec Damas pour préserver l’intégrité territoriale de la Syrie et éviter les conflits sanglants dans ce pays.

« À l’heure actuelle il appartient au président turc ainsi qu’aux membres de son parti, de tirer des leçons de cet échec qui les invite à revenir aux principes du Parti de la Justice et du Développement », conclut ‘Farsi’.

NOTES /

(1) Voir Luc MICHEL, sur EODE/ OBSERVATOIRE DES ELECTIONS/ TURQUIE. ELECTION PARTIELLE POUR LA MAIRIE D’ISTANBUL : LE PARI PERDU D’ERDOGAN, QUI SUBIT UNE LOURDE DEFAITE FACE AUX LAIQUES KEMALISTES !

sur http://www.eode.org/eode-observatoire-des-elections-turquie-election-partielle-pour-la-mairie-distanbul-le-pari-perdu-derdogan-qui-subit-une-lourde-defaite-face-aux-laiques-kemalistes/

(2) Voir sur EODE/ OBSERVATOIRE DES ELECTIONS/ TURQUIE. ELECTION PARTIELLE POUR LA MAIRIE D’ISTANBUL (II) : LES ENJEUX DERRIERE UNE ELECTION CAPITALE

sur https://www.facebook.com/Pcn.luc.Michel/posts/1603094373158308

(Sources : Farsi – EODE Observatoire des Elections)

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

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RE, PRINCIPI, CORTIGIANI E BUFFONI, TUTTI NUDI—– QUANDO L’IMPUDICIZIA RIVELA LA ROGNA —— O DIBBA O MORTE (DEI 5STELLE)

https://fulviogrimaldi.blogspot.com/2019/06/re-principi-cortigiani-e-buffoni-tutti.html

MONDOCANE

MERCOLEDÌ 26 GIUGNO 2019

 

 “Dove l’eroe più valido / è traditor, spergiuro, / ivi perduto è il popolo / e l’aere stesso impuro, / ivi è impotente il Dio, / ivi codardo è il re” (“Attila”, Giuseppe Verdi, Francesco Maria Piave, Temistocle Solera)

Oltre la vergogna, oltre l’ipocrisia, la nudità esibita

Una volta ancora mi rifaccio alla magnifica fiaba di Andersen, in cui l’innocenza di un bambino rivela al mondo la nudità di un imperatore che pretendeva dai sudditi l’ammirazione per decori inesistenti. Nel caso del principe nostrano, inteso nel senso di quelli in vista che ce la menano e se la tirano, l’impudicizia del titolo, che si può anche sinonimezzare con spudoratezza, inverecondia, comporta un autodenudamento di assoluta sfrontatezza, senza neanche il bisogno del chiaroveggente bimbetto che gridi, alla vista di tanto vergognoso spettacolo con protervia esibito, “l’imperatore è nudo”. E ci ha pure la rogna.

Deve essere colpa dell’infatuazione del selfie, auto esibizione frenetica in tutta la propria nefandezza e imbecillità, istituzionalizzata in legge di comportamento degno di attenzione e ammirazione di massa, fin dai primi Grande Fratello dove godevi a essere osservato fin nel cesso. Il cellulare, altra mazzata inferta all’umanità dai moloch del digitale, ha reso ossessione compulsiva collettiva quella conferma di un sé, oscuramente percepito come insignificante, e oggettivamente inesistente quanto a capacità di cittadinanza. Il selfie come la disperata invocazione a chiunque capiti, di riconoscere il proprio esserci in cambio della reciprocità.

Spirito del tempo, quello del denudamento via selfie, che i filosofi, quasi tutti tedeschi, chiamavano Zeitgeist, dalla duplicità di Giano. Per un verso, nei dominati , masturbazione idolatrica, in totale assenza cibernetica di fisicità reale. Per l’altro, nei dominanti, protervia che si sente impunita e immune e pretende di imporsi mediante la violenza di un qualche potere concesso o acquisito.

Olimpiadi: delitto sempre, castigo mai

Negli ultimi tempi l’impudicizia è diventata  senza limiti e, così, la voluttà di esibire e imporre la propria rogna alla faccia di coloro cui fa senso. Passiamo subito agli esempi. Il più recente e di orrido gusto, è la scomposta esplosione di orgasmi da arrapatura monetaria degli ultrà – inquisiti e non – della devastazione cementizia olimpica, stavolta tra Milano e Cortina. Una classe dirigente che si esalta come una turba di lanzichenecchi al sacco di Roma. Ancora masticano, i predatori dell’Expo (1.5 miliardi di buco e retate di ladroni) e delle cattedrali nel deserto per le Invernali 2006 in Piemonte, Italia 90, Mondiali di Nuoto 2009, che, a dispetto delle devastazioni passate e in programma, perdono ogni contegno per la foia arraffatrice che i 5 Stelle avevano frenato a Roma. Foia a fauci spalancate che oggi si  alimenta della cresta del 257%, che è l’aumento medio del costo delle Olimpiadi degli ultimi 50 anni  rispetto al previsto. E a capo di questa greppia a due, PD-Lega, gli immarcescibili Malagò, Montezemolo, Carraro, Pescante.

Conduttori che Soros denuda

L’unica consolazione, in un altro esempio che mi viene a mente subito, dato che ne ho esperienza personale, è che la nuova (tras)missione di Gad Lerner, già infiltrato in Lotta Continua dalla combriccola dei malversatori in testa all’organizzazione, ha visto subito inabissarsi gli ascolti. Ed è successo appena Lerner si è peritato di lanciare l’ossimoro “Soros-filantropo”. C’è un’Italia non del tutto raggirabile, anche perchè certe facce corrispondono direttamente, nell’epoca del denudamento, non più solo al taciuto, ma all’arrogantemente espresso. Aveva rotto il ghiaccio della mala reputazione di Soros Lilli Bilderberg Gruber con ospite la Bonino, a “Otto e mezzo”, quando entrambe si sono sciolte in ditirambi festosi in onore del novantenne malvissuto, la cui montagna di miliardi è fatta di massi scavati da paesi ridotti a cave. L’ospite fissa del castello di Transilvania (questa volta a Montreux) aveva poi addirittura ecceduto, quando si era inviperita oltre ogni decenza professionale contro un  deputato di FI che le ricordava alcune innegabili imprese dello speculatore.

A pescare nel torbidissimo di quelle sue imprese, a me ne viene in mente subito quella della rovina della lira italiana, che ci costò 40mila miliardi di lire e deprezzamento e vendita del nostro patrimonio industriale. I primi caveau del triliardario li hanno riempiti i cittadini italiani. Altri paesi, tipo Francia e Regno Unito,  hanno alle spalle una storia analoga. Nel Kosovo, l’ebreo ungherese si è diviso il compito della spaccatura della Serbia con Teresa di Calcutta: a lei gli ospedali monoetnici, solo per albanesi, a lui gli istituti scolastici, rigorosamente per soli albanesi. Cornice culturale e cordone sanitario alla pulizia etnica anti-serba. Soros ci ha riprovato con l’università a Budapest, ma, grazie a Orban, mal gliene incolse.

Un sobillatore di famelici dagli appetiti neoliberisti, padrino di ogni sommossa filo-occidentale detta rivoluzione colorata. Un finanziatore di golpe, perfino nazisti, come quello di Kiev, e di migliaia di Ong che, come talpe, scavano sotto i piedi di cittadini in paesi da svuotare (Sud del mondo), ricuperare, o mandare in malora. Dove non poteva mancare la, pur da noi riccamente foraggiata, a dispetto che ci sta sui maroni, radio che da decenni ci ammorba con le sparate a salve anti-regime. Protagonista assoluto dello sradicamento di popoli,  trasferiti a far girare la macina nei paesi con cittadini dalle troppe pretese, dai trafficanti (un tempo “negrieri”) della tratta è effigiato in ogni cabina di comando.

Che ci sarà mai nella busta?

Non contento di  aver ridotto in briciole l’aplomb del giornalista  urlando, dal molto solidale Formigli (“Piazza Pulita”), “Viva Soros”, tra gli editoriali degli eletti della tribù di Debenedetti, “La Repubblica”, Lerner si disfa perfino della foglia di fico del sinistro. Avvolge Soros in un’ agiografia di tenerezze ed encomi che avrebbe commosso il creatore di Adamo. Quanto ai detrattori del magnifico filantropo,  si tratta inevitabilmente di “antisemiti, populisti,mascalzoni che rappresentano l’anticamera delle barbarie”. C’è da stupirsi se la sua (tras)missione su Rai 3, coerentemente fatta da un barcone spiaggiato, è andata come è andata? Naufragio vero, stavolta. Hai voglia ora a stracciarti le vesti sui disperati in gommone respinti dai barbari. Non ne hai più, di vesti.

Buone parole, pensieri reconditi, azioni cattive

Roberto Fico e Alex Zanotelli

Andiamo più veloci. Del frate missionario Zanotelli, uno che con l’altro, Ciotti, riprende i toni bombastici che tuonavano da certi pulpiti medievali a Firenze, mi ero occupato quando aveva invitato l’élite del giornalismo italiano, l’integerrimo cane da guardia della stampa libera e indipendente, a scatenarsi contro l’Eritrea dei tanti “fuggitivi dalla dittatura”? Sul tema, ora che quel paese si è riconciliato con Etiopia e nababbi del Golfo, cari a Israele e agli Usa, tace. Ma dato che il desiderio di schierarsi, costi quel che costi, a fianco di sfruttati e oppressi in lui  è fuoco sacro, ecco che il suo “abbiamo l’obbligo di reagire” stavolta lo fa precipitare sul Decreto Sicurezza bis. Il diavolo, amici, sta nel particolare… dimenticato. Sull’anatema zanotelliano contro multe e accuse di reato alle Ong che trafficano persone in mare, secondo alcuni si può anche discutere.

Personalmente credo che qualsiasi cosa renda appetibile al nativo di un paese, una comunità, una cultura, un ambiente, troncare radici e lasciare casa sua, dovrebbe essere impedito sotto il titolo di “circonvenzione di incapace”. Per il missionario, erede di tutti quelli che hanno aperto la strada al rullo compressore della civiltà occidentale sul resto del mondo, quel decreto “viola i principi fondamentali del diritto e dell’etica”. Del diritto, primo su tutti, di restare a casa propria, non un sospiro.

Esiste solo il diritto di emigrare e, poi, di farsi salvare in mare o dai lager libici ed essere sistemato tra campi e periferie dell’alienazione e dello smarrimento. Salvataggio coronato dal riscatto, se va bene, nelle mense Caritas o Sant’Egidio che, sennò, che farebbero. Il particolare dimenticato dal frate, invece, e che non merita alcun appello al “reagire”, è quello che. nel decreto, prevede a ragazzi, o pensionati, o pastori, o disoccupati, o affamati che manifestano, fino a quattro anni di carcere se solo osano proteggersi dai gas tossici, dalle note mazzate in testa, dai calci in faccia, o tentassero di spiegare al picchiatore anonimo in divisa che così si fa a sudditi, non a cittadini. Qui, per Zanotelli, il “principio fondamentale del diritto e dell’etica”  non è più la “discesa nel baratro  del rifiuto dell’altro”. Frate disattento?

Landini? Nudo, ma rosso!

  

Maurizio Landini, ve lo ricordate, no? Era l’ennesimo fiore spuntato dal deserto della sinistra. S’è strappato di dosso, fieramente, la veste rossa anche lui. I nostri cuori avevano vibrato in sincrono con le sue tonitruanti intemerate a beneficio di telecamere, diventate poi addirittura scomuniche ed esecrazioni a ogni tentativo 5 Stelle di superare l’atarassia dei potenti nei confronti dei poveri, precari e impotenti, gente se possibile da moltiplicare. Succeduto al Cofferati finito negli elenchi degli euro favoriti di Soros, alla Camusso, copertasi di gloria per il paio d’ore di sciopero contro il Jobs Act, ha scatenato l’armageddon contro i gialloverdi. Più i gialli che i verdi, dato che sono loro a rubare il mestiere al sindacato arrogandosi decreti contro il precariato, provvedimenti per i poverissimi, salari minimi. Ma come, non esiste la contrattazione nazionale nella quale ci troviamo tutti in armonia e a tavola, sindacati grossi e padroni? Cos’è questa faccenda scandalosa ed esorbitante dei 9 euro /ora per i lavoratori decisa da un governo sopra le nostre teste? Difficile dire chi fosse più indignato tra Boccia e Landini.

Così a un sindacato sfibrato dalle lotte contro le organizzazioni di base, Landini ha iniettato nuova forza e nuove prospettive, accentuandone, insieme a Confindustria, il carattere rosso e appellando al voto congiunto per l’UE, quello stupendo organismo amico dei lavoratori e insopportabile alle oligarchie finanziarie. Per non farsi mancare niente, poi, ha lanciato gli operai dell’Ilva e i loro famigliari, uniti nella metastasi tarantina collettiva, contro l’abolizione, da parte di Di Maio, dello”scudo” che aveva garantito immunità ai dirigenti responsabili di quella metastasi. Fiore all’occhiello, l’immancabile consociativismo anche con quel ramo industrial-commerciale che allestisce catene di montaggio di uteri in affitto. In questo paese di nudisti, sicuramente, Maurizio è uno dei più nudi.

Più sono nudo, più faccio schifo, più me ne frego

Sapete benissimo che di nudità prorompenti in tutta la loro iattanza non si finirebbe mai di fare il conto. Dal minuscolo equivoco chiamato “il manifesto” , che si denuda appresso a ogni rivoluzione colorata con al timone NED, Cia, Otpor, Soros, ultimamente Algeria, Sudan e ora Repubblica Ceca, al mostruoso gigante Usa che, con un centinaio di aggressioni, militari, economiche, sanzionatorie, golpiste, tra le mani, va per il Golfo Persico sventolando cerini accesi contro l’Iran “terrorista”. Tutti questi si fanno i dispetti, ma sono pappa e ciccia. Alimenti scaduti, ma ancora sugli scaffali in bella mostra e la gente li compra. Faut de mieux.

La perdita della pudicizia e l’abbandono perfino della copertura costituita dall’ipocrisia è lo strumento di comunicazione base dell’omologazione, come definita da Pasolini per chi determina la fisionomia della nostra società. Ed è l’espressione del senso di totale impunità di tutti coloro che oggi si trovano uniti e fortissimi in quello che ho chiamato il monopolarismo globalizzato. Da noi, ne resta fuori il solo M5S e, pensando a Roberto Fico e a qualcun altro/a, neanche per intero. Una società non del tutto compromessa, per questo premiò quell’anomalia extra-monopolare col 33% nel 2018.

5 Stelle tra padelle e braci

Ora lo vede a braccetto di uno che non ha fatto niente da quando è lì, tranne mettere mattoni per uno Stato di polizia e cemento per un territorio da scuoiare, salvo pretendere di respingere migranti a meri fini elettorali, come dimostra il suo salivare sui tappeti rossi di Washington e Tel Aviv, massimi operatori del massacro delle identità tramite spostamenti  a fini predatori. Di fronte a questo obbrobrio, che si vuole necessitato, sei milioni di elettori 5 Stelle si sono accoccolati sull’Aventino. E, da lì, sentono chi rimpiange che il loro MoVimento non si sia accordato col PD. Ma da lì vedono anche che qui si tratta solo di padelle e braci perfettamente intercambiabili. E se li sfrondi dalle etichette, come sempre inaffidabili nei prodotti adulterati, dei centro-sinistra e centro-destra rimane soltanto l’ultimo termine dell’equazione. Due vecchi servitori del capital imperialismo, uno che biascica, l’altro che strepita, che presto o tardi ci mostreranno le pubblicazioni di matrimonio, tanta è l’intesa, tanta la complementarietà.

Tutti a pecoroni  con i Poteri Statali e finanziari che contano, tutti pro-Tav e affini, simboli del territorio visto come mangiatoia, tutti pro14 milioni nostri a una Radio Radicale, scherzosamente detta anti-regime, che in libera concorrenza durerebbe, come “il manifesto” degli equivoci, dall’apericena alla cena. Tutti pro-inceneritori, trivelle, gasdotti, Grandi Navi a Venezia, tutti zeppi di inquisiti, tutti con magistrati al guinzaglio. Ognuno con due regioni , Lombardia-Veneto, Emilia-Romagna-Piemonte, che sperano di buttare nel secchio l’Italia che ci sono voluti mille anni per farla (e qui, sulle scellerate autonomie, caro 5Stelle, si parrà davvero la tua nobilitade!). Tutti che vorrebbero bloccare le intercettazioni non penali, ma solo immorali, tutti contro i provvedimenti sociali dei 5 Stelle, tutti pro-F35, guerra all’Afghanistan, export di armi. Tutti col cialtrone golpista Guaidò e ostili alla Via della Seta…. Vado avanti? O pensate che quello del monopolarismo fosse uno scherzo?  E’ la democrazia del rinnovamento, nel paese degli ossimori e dei nudisti.

Politicamente scorretto

A questo punto appare uno che, se non si è denudato, qualcosina si è tolto. E quando ha sentito Alessandro Di Battista parlare di burocrati nei ministeri (che altro c’è, tolti Bonafede, Costa, Toninelli, forse Grillo?) e quando ha letto il suo libro, liberatoriamente intitolato, contro il peggiore malcostume dell’epoca, “Politicamente scorretto”, quando ha visto che dava addosso al so(r)cio verde e parlava dei valori originari del MoVimento, questo capo è esploso in un “Ognuno stia al suo posto”. Manco fosse Salvini. Che il buon Luigi è l’ultima cosa che avrebbe dovuto dire. Il confronto culturale, tra l’altro, non gli è favorevole. E la cultura, in un movimento di parecchi pressapochisti conta assai. Perché se qualcuno è rimasto al posto dove doveva stare e dove tutti volevano che restasse, nel senso non di mattonella, ma di idee e obiettivi, questo è il felicemente vagabondo Dibba, che di mondo ne sa qualche oncia più di molti. Sono altri che non sono rimasti al loro posto. O che occupano un posto che non gli conviene e che la gente non gli aveva assegnato. E il risultato s’è visto.

Io non so dire – ci vogliono altri numeri – se i  5Stelle debbano mollare l’energumeno monopolarista  e tornare all’opposizione, belli riorganizzati, o tener duro nell’incerto ruolo dell’”argine”. Ma una cosa so. Dibba ha ragione, che i neoletti timorosi di giocarsi il velluto sotto al culo lo condividano o no. O Dibba, o morte. Loro e nostra. E’ metafora, ma ci azzecca.

Pubblicato da Fulvio Grimaldi alle ore 18:12

Blocco di Via dell’Avanà, vogliamo le vigne libere e il cantiere chiuso!

notav.info
26 Giugno 2019 at 18:10
Decine di No Tav si sono ritrovati oggi in Via dell’Avanà perché questo pezzo di valle torni ad essere transitabile in ogni momento del giorno e della notte, dai vignaioli a chi vive in questa valle.

Viviamo da anni la militarizzazione del nostro territorio e le intimidazioni a chi cerca ogni giorno di fare il proprio lavoro alle vigne.

Un cantiere vuoto, fermo da oltre un anno e mezzo, un progetto inutile e costoso.

Vogliamo che si smonti il checkpoint militare all’ingresso e che si chiuda questo cantiere.

Dalle ore 14 dopo il tradizionale aperipranzo della COlombera, abbiamo bloccato VIa dell’Avanà. Dopo 80 minuti (non proprio con celere rapidità), si sono presentati due cellulari di polizia con dietro circa una ventina di digos. Inizialmente con fare minaccioso.

Verso le 17,30 si è presentato il nuovo sindaco di Chiomonte Roberto Garbati che in modo ambiguo e alquanto scivoloso si è detto anche lui in accordo con la necessità di liberare Via dell’Avanà.

Verso le 18 abbiamo liberato la strada, lasciando le forze dell’ordine a presidiare il cantiere fermo da oramai 400 giorni.

SIamo venuti a sapere successivamente di 40 denunce per blocco stradale e 3 per non ottempranza al foglio di via.

Dopo l’incursione notturna della scorsa settimana all’interno del cantiere da parte degli over 70, inauguriamo così la campagna estiva di lotta!

Siamo un movimento che non si arrende!

TAV, MOSSA DELL’UE: SCONTO ALL’ITALIA PER 1,6 MILIARDI

https://www.lastampa.it/2019/06/26/economia/tav-mossa-dellue-sconto-allitalia-per-miliardi-q57gE9mbfNpPXJmbUCHc3H/pagina.html

Bruxelles porta al 50% i fondi per tutta la Torino-Lione. Ritorna la tensione tra Lega e M5S

I lavori in Francia per la galleria geognostica stanno andando avanti. Sono stati scavati 8056 metri sui 9000 previsti

Pubblicato il 26/06/2019
MAURIZIO TROPEANO
TORINO

Se si segue la traccia dei soldi, allora, ieri a Parigi, nel Cda di Telt, è stato fatto un nuovo passo avanti per la realizzazione della Torino-Lione. L’Unione Europea, attraverso la coordinatrice del corridoio Mediterraneo Iveta Radicova, ha ufficializzato la volontà di alzare la quota di finanziamento comunitario anche per le tratta nazionali. Per l’Italia questo significa uno sconto complessivo di 1, 6 miliardi. La spesa per il governo di Roma scenderebbe da 3,104 miliardi per il tunnel di base a 2, 367 miliardi mentre la spesa per il collegamento che da Bussoleno, nella piana della Valsusa, arriva a Torino verrebbe dimezzata scendendo da 1, 7 miliardi a 850 milioni. Buone notizie anche per il governo di Parigi che dovrebbe spendere 1,764 miliardi (erano 2,289) per il tunnel di base mentre resta da definire il risparmio per la realizzazione delle linee di accesso. Parigi sta rivedendo il progetto iniziale che prevede opere per 7 miliardi con l’intenzione di individuarne un altro low cost, sul modello italiano. In ogni caso Bruxelles contribuirà alla metà della spesa.

Le condizioni europee

Bruxelles, però, prima di staccare l’assegno – la decisione di aumentare la percentuale del sostegno economico dovrà essere confermata dal nuovo europarlamento e dalla nuova commissione – chiede ai due governi di confermare gli impegni per realizzare l’opera. E detta anche i tempi per farlo, la prima settimana di luglio. La lettera europea, infatti, è arrivata lo scorso venerdì nelle due capitali. Bruxelles si aspetta una risposta entro 15 giorni.

Forse non è un caso, allora, che il cda di Telt ieri abbia autorizzato la pubblicazione degli avvisi di gara per la tratta italiana del tunnel di base. Si tratta appalti che valgono oltre 1 miliardo di euro. La procedura di assegnazione è sottoposta ad un nuovo via libera dei due governi. E fonti del Mit hanno poi puntualizzato: «Resta la facoltà di rinuncia all’opera senza oneri né per Telt né per gli Stati».

La nota del dicastero guidato dal grillino Danilo Toninelli suona come la riapertura di un altro fronte di scontro dentro la maggioranza giallo-verde. Il premier, Giuseppe Conte, prima delle elezioni aveva avocato a sé il dossier. E il governatore del Piemonte lo chiama subito in causa: «Scriverò al primo ministro perché l’Ue sollecita una parola chiara dal governo italiano sulla volontà di proseguire con l’opera».

Salvini, serve il tunnel

Cirio, che in giunta vanta sette assessori leghisti, si fa forza della presa di posizione del vicepremier Matteo Salvini che ieri non aveva perso l’occasione di alimentare le divisioni del M5S sulla Tav leggera, cioè sui lavori per il potenziamento della linea storica valsusina ma senza mega-tunnel: «Il treno o passa sotto la montagna o non ci passa, tertium non datur. Certe cose si possono rivedere ma a me piacciono i treni che corrono».

La replica Luigi Di Maio non si è fatta attendere. Il vicepremier grillino ha rispolverato la tesi del partito del cemento che unirebbe Tav e Olimpiadi – e che si è preso anche un «mi piace» da Alessandro Di Battista – è andato all’attacco: «Sul Tav sono più di 20 anni che sentiamo discuterne. Era urgente già negli anni ’90! Con un piano che, secondo gli accordi presi da chi ci ha preceduto, è un grandissimo regalo ai francesi». Poi il capo politico del M5S aggiunge: «Ho fiducia nel fatto che il presidente Conte trovi una soluzione. Non abbiamo mai pensato ad un progetto di “Tav leggera”». –

L’offerta di Bruxelles spinge Conte verso il sì M5S prova a resistere

https://www.lastampa.it/2019/06/26/economia/lofferta-di-bruxelles-spinge-conte-verso-il-s-il-ms-prova-a-resistere-08gPwQbMVny6SfTqXjaflI/premium.html

La Lega: abbiamo ottenuto quello che volevamo

 

Alessandro Barbera Ilario Lombardo

ROMA
| 26 Giugno 2019
ANSA

Il premier Giuseppe Conte e i suoi vice Di Maio (a sinistra) e Salvini

E i lavori in Francia vanno avanti

Luigi di Maio dice di fidarsi di Giuseppe Conte e di confidare in una «soluzione». Ma quale sia la soluzione non sa dirlo nemmeno lui. Il ministro dello Sviluppo ancora fatica a pronunciare la parola «Tav» e nega persino di essere favorevole al progetto «leggero» proposto dall’ex sindaco di Venaus Nilo Durbiano: due linee invece di tre, una delle quali ricavate nell’attuale tunnel del Frejus.

La sostanza è altra: la notizia dell’innalzamento del contributo comunitario fino al cinquanta per cento della tratta nazionale della Tav mette in enorme difficoltà il M5S, sempre più stretto fra la pressione dell’Europa e della Lega da un lato, e dei No Tav dall’altra.

L’ex sottosegretario ai Trasporti del Carroccio Edoardo Rixi non lascia spazio alla fantasia: «I Cinque Stelle sanno benissimo che il cosiddetto progetto leggero non si può realizzare, perché non sarebbe più una linea ad alta velocità. Abbiamo ottenuto quello che chiedevamo, riduzione della linea italiana e aumento del contributo Ue. Se insistono con questa posizione ideologica, andremo a sbattere».

Insomma, se sui conti pubblici un accordo fra i due dioscuri del governo è possibile, il banco di prova resta il via libera alla linea ad Alta velocità Torino-Lione.

Per il Movimento è la prova fatale: dopo aver costretto gli elettori pugliesi ad accettare il gasdotto Tap e il rilancio dell’Ilva, sul tavolo ora c’è la più simbolica delle battaglie Cinque Stelle sul territorio contro le grandi infrastrutture.

Per Di Maio, che deve ormai fare i conti con la nascita di correnti interne, è l’occasione per ricompattare il Movimento. E non è un caso se Alessandro Di Battista lo appoggi pienamente. Ma ha di fronte l’alternativa del diavolo: ricucire all’interno per trovarsi nei guai con Salvini, a sua volta pressato dal suo partito perché ponga termine all’accordo gialloverde e accetti la sfida delle elezioni anticipate. Per evitare subito il peggio, i Cinque Stelle stanno adottando una strategia disperata: tentare di spaccare i no Tav tra gli oltranzisti e i sostenitori dell’ipotesi leggera.

Proprio oggi ci sarà una riunione di coordinamento alla quale non parteciperà Alberto Perino.

Il leader no Tav ha inviato una mail con cui di fatto sembra avallare il compromesso, l’unico che – per quanto impraticabile – salverebbe Di Maio e i suoi dall’ennesima giravolta.

In sintesi, i Cinque Stelle si stanno muovendo impercettibilmente verso il sì, nella speranza che Conte, reso più forte dalle divisioni interne al governo, non si sposti completamente sulle posizioni leghiste.

Il primo segnale sono state le parole del viceministro Laura Castelli, ex no Tav: «Non è tutto bianco e nero». Per avvicinarsi alle sfumature di grigio Di Maio ha bisogno di tempo, lo stesso che si è rivelato decisivo per risolvere i pasticci pugliesi. «I bandi sono sempre revocabili senza oneri», fanno sapere fonti del ministero dei Trasporti.

Eppure la sensazione è che quello della Tav sia un cantiere senza ritorno: sul lato francese si scava giorno e notte, come se ci fosse la certezza che presto o tardi l’Italia farà la sua parte.

Il clima politico sta ormai mutando anche nel cuore della protesta: molti municipi sono passati a maggioranze indipendenti di area Lega.

Non solo: il nuovo presidente di centrodestra della Regione Alberto Cirio è un convinto sostenitore dell’opera.

A questo va aggiunto il pessimo clima politico attorno al no di Torino alle Olimpiadi invernali 2026, accompagnato dal beffardo plauso del M5S a Milano e Cortina.

Ecco perché nella maggioranza c’è già chi immagina Di Maio – convinto da Conte – pronto a usare le stesse parole scelte per capitolare sul Tap: «Ormai è troppo tardi per fermare l’opera».

Ponti: anche questo governo ha ceduto sul Tav

https://ilmanifesto.it/ponti-anche-questo-governo-ha-ceduto-sul-tav/?fbclid=IwAR0XnnTCULfmRtiy0mpolusbP6Ojv6VZYMZpeD4ZHyo3yxX2sgAkByF0MzY

manifesto

Alta velocità. Il professore che ha firmato l’analisi costi benefici: «Con Toninelli rapporti a zero, ha deciso di mandare avanti tutti i cantieri»

Il professor Marco Ponti
Il professor Marco Ponti

Professor Ponti oggi si parla di mini Tav: cosa ne pensa?
Nel tempo sono state ipotizzate molte Tav light o mini Tav, forse anche una dozzina che io ricordi: ma questo progetto mi è nuovo. Non mi permetto di giudicarlo dato non ne ho conoscenza, ma rilevo le critiche mosse dall’Ingegner Alberto Poggio (Commissione tecnica Comune di Torino, ndr) che credo sia un bravo tecnico. Visto che si tratta di prospettive su cui discutere una realistica Tav light potrebbe essere individuata nella costruzione di un’unica canna, salvando così capra e cavoli. Poi, in base ai flussi di traffico si deciderà se costruire la seconda canna: questa soluzione porterebbe ad un taglio radicale dei costi.
Si dovrebbe ripartire da zero anche nel caso della “sua” mini Tav
Io posso dire che al momento è stato speso l’undici per cento della somma che verrà investita in questo progetto. Se possiamo risparmiare, ben venga il ripartire da quasi zero.
Professor Ponti, la sua analisi costi-benefici ha messo nero su bianco che il Tav è inutile?
Lo studio che noi abbiamo prodotto certifica che sulla tratta Torino-Lione passa pochissima roba, il che genera forti dubbi sulla sua utilità. Non solo dal punto vista ferroviario ma anche autostradale: gli scambi di merci tra quelle due regioni sembrano quindi modesti e in declino. Idem per quanto riguarda il transito dei passeggeri, che per altro patiscono e patiranno la concorrenza dei voli low cost.
Questa dovrebbe essere la pietra angolare su cui appoggiare una decisione politica.
La politica ha firmato un accordo internazionale e questo è un vincolo. Rimane però il problema che queste opere sono tutte a carico dell’erario, e quindi della collettività, mentre gli utenti non mettono un soldo, e questo lascia molto perplessi. Zero per cento: parliamone, visto che le finanze italiane non sono floride e di questo problema che gli utenti, nemmeno quelli industriali, non vogliono pagare le infrastrutture ferroviarie non si parla mai. Di questo passo si va ad alta velocità in Grecia.
I suoi rapporti con il ministro Toninelli come sono?
Il mio rapporto con il ministro non esiste pressoché più, dato che ha deciso di mandare avanti tutti i cantieri. Qualcosa di piccolo che risulta eccessivamente costoso forse verrà fermato ma il grosso proseguirà il suo iter. Vale per il Tav come per il terzo valico. Ma soprattutto per le ferrovie al Sud, che rimarranno vuote. Il problema è che i francesi hanno già detto che della Torino-Lione non glie ne frega nulla e lo hanno detto ufficialmente. A queste parole sono seguiti fatti, dato che non stanzieranno nemmeno un euro fino al 2038 per la tratta dal tunnel a Lione.
Decade il principio secondo cui le grandi opere si fanno se servono?
Sembra che nessuno condivida il principio secondo cui le mega infrastrutture si fanno se hanno un senso. Tanto lo si verificherà tra 10 anni, come per la AV Milano-Torino.
Sbaglio se le dico che questo governo mette la pietra tombale sull’analisi costi benefici come strumento decisionale?
Sbaglia clamorosamente: questo governo si è solo rivelato identico ai precedenti. Noi abbiamo collaborato con il ministro Delrio che un giorno ci disse «tutto sarà analizzato», ma quando subentrò Renzi si trasformò in «nulla sarà analizzato». Questo governo ha fatto lo stesso, non ha resistito alle pressioni economiche e di consenso elettorale e ha ceduto su tutto. Noi tecnici riconosciamo il primato della politica ma così viene meno un principio etico culturale di trasparenza delle scelte. Vincono poteri invincibili. Invincibili. Perché nessuno risponde degli sprechi in contesto economico molto problematico.
I nostri nipoti quindi vedranno il Tav in val Susa?
Deciderà la politica, che segue logiche diverse. In ogni caso ai nostri nipoti possiamo dire «pagherete caro, pagherete tutto».

Spuntano carte e prove bollenti, crolla l’impero di Napolitano

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Come Don Chisciotte – Controinformazione – Informazione alternativa

Spuntano carte e prove bollenti, crolla l’impero di Napolitano

Di Maurizio Blondet

maurizioblondet.it

Spuntano carte e prove bollenti, crolla l’impero di Napolitano: TG e media di regime nascondono la verità agli italiani sullo spread

(MB: Non ci posso credere. Ci sarebbe dunque un giudice a Milano?)

Alla sbarra i responsabili del crollo finanziario dell’Italia, per favorire il commissariamento del paese con la regia di Giorgio Napolitano? La prima banca tedesca, Deutsche Bank, con alcuni dei suoi ex top manager è indagata dalla Procura di Milano per la mega-speculazione in titoli di Stato italiani effettuata nel primo semestre del 2011. Operazione che contribuì a far volare lo spread dei rendimenti tra i Btp e i Bund tedeschi e a creare le condizioni per dimissioni del governo Berlusconi, a cui subentrò l’esecutivo di Mario Monti, con in tasca la ricetta “lacrime e sangue” per l’Italia, dalla legge Fornero sulle pensioni al pareggio di bilancio in Costituzione. Secondo l’“Espresso”, che ricostruisce la vicenda svelandone i dettagli, l’ipotesi di reato è la manipolazione del mercato, avvenuta attraverso operazioni finanziarie finite sotto la lente dei pm per un totale di circa 10 miliardi di  euro.

Affari realizzati da Deutsche Bank dopo il crac della Grecia, quando la crisi del debito pubblico cominciava a minacciare altri paesi mediterranei, tra cui Italia e Spagna, scrive Marcello Zacché sul “Giornale”.

A onor del vero, scrive Zacché, l’indagine sul gruppo bancario di Francoforte è vecchia di due anni, avviata dalla Procura pugliese di Trani (già attivasi in altri procedimenti finanziari come per esempio quello contro le agenzie di rating). E nel settembre scorso è arrivato l’avviso di conclusione delle indagini, con i magistrati pugliesi pronti a chiedere il rinvio a giudizio di cinque banchieri che guidavano il gruppo nel 2011 (tra cui l’ex presidente Josef Ackermann e gli ex ad Anshuman Jail e Jurgen Fitschen) e della stessa Deutsche Bank. Poi però non se n’era saputo più nulla. Ora invece si apprende che l’indagine è stata trasferita a Milano dalla Corte di Cassazione, per motivi di competenza territoriale, su richiesta dei difensori della banca. «Come noto – ricorda il “Giornale” – la vicenda riguarda la forte riduzione negli investimenti in titoli di Stato italiani avvenuta nei primi sei mesi del 2011, quando Deutsche Bank smobilitò 7 dei circa 8 miliardi dei Btp che deteneva, comunicando tutto soltanto il 26 luglio». Una notizia bomba, tanto che il “Financial Times” titolò in prima pagina sulla «fuga degli investitori internazionali dalla terza economia dell’Eurozona».

Ora l’indagine che i pm milanesi hanno riaperto ricostruisce l’intera serie di operazioni decise dalla banca tedesca. E, secondo l’accusa, emergerebbe che già alla fine dello stesso mese di luglio del 2011, Deutsche Bank aveva ripreso a comprare Btp (per almeno due miliardi) senza annunciarlo, mentre altri 4,5 miliardi di titoli italiani erano posseduti da un’altra società tedesca acquisita nel 2010 dalla stessa mega-banca. Il 26 luglio, dunque, «Deutsche Bank comunicò le vendite avvenute entro il 30 giugno, ma non gli acquisiti successivi», avendo quindi «venduto prima del crollo dei prezzi, e ricomprato dopo». Una speculazione «che sembra aver fatto perno sulla crisi finanziaria italiana, causandone poi anche quella politica». Mario Monti, incaricato da Napolitano, ha così avuto modo di fare quello che i “mercati” (la Germania) chiedevano da tempo: demolire la domanda interna del paese, il cui Pil è crollato di colpo del 10% insieme alla produzione industriale, calata vertiginosamente del 25% aprendo la porta all’acquisto, a prezzi di saldo, di alcune tra le migliori firme del made in Italy.

Fonte: www.maurizioblondet.it

Link: https://www.maurizioblondet.it/spuntano-carte-e-prove-bollenti-crolla-limpero-di-napolitano-tg-e-media-di-regime-nascondono-la-verita-agli-italiani-sullo-spread/

22.06.2018