LES MANŒUVRES DES NAVIRES RUSSES EN MEDITERRANEE ONT DISSUADE LES ÉTATS-UNIS DE MENER UNE ATTAQUE (VOICI L’ARMEE RUSSE DU FUTUR III)

 

LM DAILY / 2018 09 08/

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

« La parade des navires russes en Méditerranée a dissuadé les États-Unis de mener une attaque contre la Syrie », s’interroge , le quotidien arabe ‘Rai al-Youm’ !

LM.GEOPOL - Armée russe du futur I (2018 09 01) FR (3)

Dans un article daté de ce vendredi 7 septembre, le quotidien arabe ‘Rai al-Youm’ publié à Londres affirme que « les manœuvres militaires d’envergure des forces russes en Méditerranée ont largement contribué à contrer le plan de l’offensive US contre la Syrie ». Ces manœuvres militaires qui ont débuté le 1er septembre et qui ont duré presque une semaine en Méditerranée (voir la partie I de mon analyse sur « l’Armée russe du futur ») « semblent avoir dissuadé les États-Unis de mener une intervention militaire d’envergure contre les forces syriennes », poursuit le journal. Qui note même »qu’il y aurait eu un report des frappes que les Occidentaux s’apprêtaient à lancer contre la Syrie ».

« Les forces navales et aériennes russes ont organisé du 1er au 8 septembre des manœuvres militaires dans l’est de la Méditerranée afin de prévenir tout aventurisme des pays occidentaux, en particulier des États-Unis, en Syrie dans la donne actuelle », a encore écrit ‘Raï al-Youm’.

Actuellement, plusieurs navires et sous-marins appartenant aux pays membres de l’OTAN sont déployés en Méditerranée. Selon le journal arabe, « la tenue de ces vastes exercices militaires s’est avérée dissuasive, car le temps de l’exercice, les forces occidentales auraient très bien pu être prises pour cible, si elles s’étaient aventurées dans les côtes syriennes. La Russie avait déployé près d’une trentaine de navires de guerre et des chasseurs stratégiques comme des Tu-160. Ces avions anti-navires ont même simulé des frappes contre la flotte ennemie et ces exercices se sont déroulés sous l’œil inquiet des Américains, des Français et des Britanniques. En effet, la Méditerranée regorge désormais de bâtiments de guerre occidentaux. Un fait sans précédent au cours des deux dernières décennies ».

« Les Américains qui ont pris la mauvaise habitude de tirer des missiles contre la Syrie depuis leurs porte-avions en mer Rouge ou en golfe Persique semblent cette fois craindre les armements russes qui ont leurs preuves en Syrie contrairement aux armements US. La manœuvre russe a réussi à reporter, voire annuler, le projet d’une vaste offensive USA/OTAN contre Idlib », peut-on lire en conclusion dans ‘Rai al-Youm’ …

# L’ANALYSE DE REFERENCE SUR

LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY :

* VOICI L’ARMEE RUSSE DU FUTUR (I) :

LA MONTEE EN PUISSANCE DE L’ARMEE RUSSE

sur http://www.lucmichel.net/2018/09/01/luc-michels-geopolitical-daily-voici-larmee-russe-du-futur-i-la-montee-en-puissance-de-larmee-russe/

* VOICI L’ARMEE RUSSE DU FUTUR (II) :

LA REPONSE ASYMETRIQUE AUX USA VA-T-ELLE PASSER PAR LE DEPLOIEMENT DES ARMES NUCLEAIRES TACTIQUES RUSSES A L’ETRANGER ?

sur http://www.lucmichel.net/2018/09/03/luc-michels-geopolitical-daily-voici-larmee-russe-du-futur-ii-la-reponse-asymetrique-aux-usa-va-t-elle-passer-par-le-deploiement-des-armes-nucleaires-tactiques-russes-a-l/

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* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

Géopolitique – Géoéconomie – Géoidéologie – Géohistoire – Géopolitismes – Néoeurasisme – Néopanafricanisme (Vu de Moscou et Malabo) :

PAGE SPECIALE Luc MICHEL’s Geopolitical Daily https://www.facebook.com/LucMICHELgeopoliticalDaily/

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WEBSITE http://www.lucmichel.net/

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LE RAPPROCHEMENT DE BUJUMBURA AVEC MOSCOU EN LIGNE DE MIRE DES OCCIDENTAUX !

 

* VOX.BURUNDI.TV & PANAFRICOM-TV/

LUC MICHEL :

DERRIERE LES NOUVELLES ATTAQUES CONTRE LE PRESIDENT NKURUNZIZA, LE RAPPROCHEMENT DE BUJUMBURA AVEC MOSCOU EN LIGNE DE MIRE !

sur https://vimeo.com/288864493

vignette RU burundi I

* Thème de l’émission :

COMMENT COMPRENDRE LES NOUVELLES ACCUSATIONS CONTRE LE PRESIDENT NKURUNZIZA DU BURUNDI ?

QUELLES SONT LES NOUVELLES ATTAQUES CONTRE LE BURUNDI ?

Une commission d’enquête des Nations unies sur le Burundi présentait ce 5 septembre à Genève son rapport sur « les violations des droits de l’homme » dans le pays cette année et l’an dernier. Elle dénonce de soi-disant « crimes » : « la persistance de graves violations dont certaines sont constitutives de crimes contre l’humanité, notamment des exécutions sommaires, des disparitions forcées, des arrestations et des détentions arbitraires, des tortures et d’autres traitements cruels, inhumains ou dégradants ». Pour la première fois, son enquête met en cause directement le président Pierre Nkurunziza pour des « appels récurrents à la haine et la violence ».

La réaction de la présidence du Burundi à ces accusations a été vive et justifiée. Bujumbura réfute toute accusation et dénonce « un discours inspiré par certains pays occidentaux » : « Doudou Diène (le président sénégalais de la commission d’enquête) est visiblement seul à ignorer que le contenu du discours de son Excellence Pierre Nkurunziza s’appesantit sur la réconciliation, la cohésion sociale.

Nous sommes habitués malheureusement à ce genre de mensonge » …

Le géopoliticien Luc MICHEL :

* Dévoile les dessous des cartes de cette « commission d’Enquête » et de ses mentors occidentaux ;

* Evoque la situation véritable (dialogue national et apaisement) au Burundi ;

* Mais surtout explique les véritables raisons de ces nouvelles attaques : le rapprochement du Burundi avec la Chine et la Russie ;

* Et surtout, la signatures d’accords militaires entre Moscou et Bujumbura ce 31 août 2018 ;

* Le ministre burundais de la défense, Emmanuel Ntahomvukiye, annonçant que Bujumbura envisage l’achat de missiles russes ‘Pantsir-S1’ …

* En complément, reportage

du ZOOM AFRIQUE de PRESS TV (Iran, 7 sept. 2018) :

« Burundi : mais pourquoi cet acharnement envers Nkurunziza ? »

Luc MICHEL dans ‘APPEL SUR LE CONTINENT’

Emission en direct du  6 septembre 2018

Sur AFRIQUE MEDIA

Images : EODE-TV pour le Duplex depuis Bruxelles/ PRESS TV pour le reportage sur le Burundi Montage : PANAFRICOM-TV

# LA REPONSE DE BUJUMBURA :

LE GOUVERNEMENT BURUNDAIS REJETTE EN BLOC LES CONCLUSIONS DE LA COMMISSION D’ENQUÊTE DE L’ONU

Le Ministre en charge des droits de l’homme Martin Nivyabandi, au nom du Gouvernement burundais rejette en bloc le rapport de l’ONU, qui selon lui ne vise qu’entacher le pays et ses dirigeants, une démarche entamée par « les colons » depuis longtemps, à l’encontre des pays africains en l’occurrence le Burundi. Il proclame cela après la mise à jour du contenu du rapport de la commission de l’ONU, chargée d’enquêter sur la situation des droits de l’homme au Burundi. Selon le Ministre Nivyabandi, ce rapport n’est pas différent des autres rapports produits antérieurement par cette commission dite d’enquête.

Martin Nivyabandi rappelle à l’opinion nationale et internationale, que cette commission d’enquête a été imposée par le forcing de l’Union Européenne. C’est une commission qui n’a pas été cautionnée par la partie burundaise parce que le Gouvernement du Burundi avait même décelé des irrégularités au niveau des procédures. Le principe au niveau du conseil des droits de l’homme étant le dialogue et la concertation, a-t-il poursuivi.

Le Gouvernement du Burundi rejette donc les conclusions et les recommandations contenues dans ce rapport inculpant les plus hautes autorités du pays, en l’occurrence le Président de la République et les hauts gradés des forces de sécurité, dans la violation des droits de l’homme au Burundi.

Martin Nivyabandi se dit étonné que ce rapport affirme que le Chef de l’Etat est grand semeur de zizanie et de haine, alors que dans l’histoire du Burundi, il est le seul Président qui a mis en application de manière concrète la réconciliation nationale, en intégrant toutes les composantes ethniques au niveau de son palais, au niveau de son cabinet, au niveau de l’administration et dans différentes institutions. Le Ministre Nivyabandi déplore que dans ce rapport il y ait des allégations qui s’orientent dans ce sens. Mais selon lui, cela n’est pas étonnant, parce que la mission qui avait été confiée à cette commission, était de ternir l’image des institutions du Burundi. Le but étant de justifier une quelconque exigence de la part de la justice internationale, afin que les autorités burundaises soient jugées par cette dernière, a précisé Martin Nivyabandi .

Au niveau du Gouvernement du Burundi, le Ministre des droits de la personne humaine a indiqué que ce rapport est considéré comme étant un rapport politiquement motivé. Comme le Gouvernement l’a toujours affirmé, c’est un rapport qui voudrait déranger autant que faire ce peut les institutions burundaises. Martin Nivyabandi demande par conséquent à la population burundaise et aux amis du Burundi de rester sereins, de continuer à sauvegarder la souveraineté nationale, de poursuivre leurs activités quotidiennes mais aussi de conjuguer leurs efforts, pour que le respect et la défense des droits de l’homme soient une réalité au Burundi, a-t-il conclu.

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Val Susa, No Tav all’assalto del cantiere “per proteggere la zerinzia”, farfalla rara

https://torino.repubblica.it/cronaca/2018/09/08/news/chiomonte_assedio_no_tav_al_cantiere_dell_alta_velocita_40_denunciati-205908349/

Val Susa, No Tav all'assalto del cantiere "per proteggere la zerinzia", farfalla rara
Fumogeni contro i manifestanti che hanno tagliato le recinzioni del cantiere Tav 
 

Dopo gli scontri con la polizia nella notte e le 40 denunce, nuova manifestazione nel pomeriggio dei componenti storici del movimento: tagliato un tipo di recinzione, la “concertina israeliana”, ritenuto pericoloso per uomini e animali

di CARLOTTA ROCCI

08 settembre 2018

Dopo la manifestazione e le denunce nella notte, nuova manifestazione del movimento No Tav anche a protezione di una farfalla rara, la zerinzia, che alcuni avrebbero avvistato in Val Susa. Ieri sera un’ ottantina di manifestanti No Tav hanno cercato di raggiungere il cantiere  dell’alta velocità di Chiomonte. Una quarantina sono stati identificati dagli agenti della Digos della Questura di Torino e saranno denunciati a vario titolo per aver lanciato fuochi d’artificio in direzione delle forze dell’ordine, per danneggiamento e per aver violato la zona rossa intorno all’area del cantiere.Tra gli identificati –  precisa una nota della questura –  c’è anche uno dei portavoce del centro sociale Askatasuna Giorgio Rossetto, già colpito da un avviso del questore.

La manifestazione in valle non è durata più di un’ora. I manifestanti hanno acceso un falò dietro le reti messe a protezione dell’area che è stato spento con l’uso degli idranti. I manifesstanti hanno acceso e lanciato verso polizia e carabinieri fuochi d’artificio. Le forze dell’ordine hanno risposto con il lancio di lacrimogeni. Intorno alle 21.30 il gruppo di persone che si era avvicinato attraverso i sentieri ha lasciato la Clarea. La manifestazione al cantiere faceva parte del programma del campeggio degli studenti No Tav in programma questa settimana e segue di poco le polemiche del movimento contro il ministro delle Infrastrutture Danilo Toninelli, accusato di fare soltanto proclami.

“Condanno fermamente quanto accaduto nella notte nei pressi del cantiere della linea ferroviaria Torino-Lione a Chiomonte: inaccettabili e ingiustificabili gli attacchi da parte di rappresentanti dei Centri Sociali con petardi, fuochi d’artificio, oggetti contundenti e bombe carta contro le Forze dell’Ordine”. Così, in una nota, la senatrice piemontese della Lega Marzia Casolati, in merito alle tensione di ieri sera al cantiere della Torino-Lione. “Piena solidarietà al personale in divisa, con un ringraziamento per lo spirito di servizio – aggiunge l’esponente del Carroccio -. È singolare che, come evidenziato da numerosi organi di stampa, molti dei partecipanti alla manifestazione non fossero provenienti dalla Val di Susa, ma da diverse parti d’Italia. Se i contestatori riconducibili all’area antagonista sperano con questi gesti di mettere in silenzio la maggioranza dei residenti che è favorevole all’opera, si sbagliano di grosso. La frangia armata del movimento NoTav non rafforza il blocco dell’opera, anzi vorrebbe il traffico su gomma, inquinando sempre più il territorio a differenza della più economica e sicura linea ferroviaria Tav”.

Poche ore prima  il pd Stefano Esposito aveva attaccato su Twitter: “Stanotte ennesimo attacco notav al
cantiere di Chiomonte a colpi di pietre, bombe carta e razzi. Si chiudeva campeggio degli studenti e per dargli buoni insegnamenti i capi di Askatasuna li hanno fatti divertire al tiro al poliziotto. Silenzio da parte di Salvini e soci M5s”.

La protesta, come si diceva, è ripresa in Valsusa oggi pomeriggio: gruppi di attivisti (figure storiche del movimento e militanti non più giovanissimi) dopo avere percorso il sentiero che parte dall’abitato di Giaglione si sono avvicinati alle recinzioni che impediscono di proseguire fino in Valle Clarea. Alcuni hanno tentato di aprirsi un varco utilizzando degli utensili. La polizia ha lanciato dei lacrimogeni. I manifestanti riferiscono che fra i loro propositi c’è tagliare la “concertina israeliana” (un particolare filo spinato) che in questi giorni è stata sparsa per i boschi: “E’ un pericolo per le persone e per gli animali. Noi alla natura ci teniamo. Il ministro Toninelli aveva detto ‘mai più cantieri con il filo spinato’. Invece il filo spinato è stato sparso direttamente per i boschi. E non abbiamo potuto rimuoverlo: il sentiero era bloccato, su per la montagna sono stati schierati i poliziotti e ci sono anche stati tirati contro i lacrimogeni”.

“Per ora ci ritiriamo – dicono i manifestanti – ma troveremo il modo di tornare. Questa zona è ricca di fauna e noi speriamo che nel frattempo qualche animale non si ferisca con il filo spinato”. L’iniziativa di oggi, cui hanno preso parte degli attivisti non più giovanissimi, era intitolata come la “passeggiata verso l’oasi di protezione della zerinzia”, una farfalla molto rara che i No Tav affermano di avere avvistato in Valle Clarea.

LIBIA-SIRIA——- PER CHI TIFANO, PER CHI TIFARE

http://fulviogrimaldi.blogspot.com/2018/09/libia-siria-per-chi-tifano-per-chi.html

MONDOCANE

SABATO 8 SETTEMBRE 2018

Amici, anche stavolta siamo lunghi. Perdono. Comunque per 15 giorni sono fuori e, dunque, c’è tempo per piano piano farcela. Se credete.

Diciamocelo: che bravi governanti sono quelli di Al Qaida e Isis!

Per chi tifano in Siria quelli là (non fatemeli nominare sennò Facebook mi banna e cancella il post) non è difficile saperlo: basta leggere il “New York Times”, standard aureo del giornalismo perennemente degno  dei riconoscimenti, se non di Pulitzer, di Reporters Sans Frontières (il corrispettivo mediatico di Medicins Sans Frontières e altrettanto cari a quelli là). Se pensavamo che nella provincia nord-occidentale di Idlib si fossero concentrati, accolti, nutriti e armati dai vecchi padrini turchi, tutti i tagliagole Isis e Al Qaida generosamente fatti evacuare dai territori e dalle città da loro abbellite con croci appesantite da infedeli, o con pelli di corpi scuoiati di dissidenti, la lettura del “New York Times” ci libera dall’intossicazione di simili fake news.

L’autorevole giornale che, se non fosse stato per l’assist della CNN, dei media di obbedienza atlantista con, nel nostro piccolo, il “manifesto”, ci avrebbe con le sue sole penne liberato da Milosevic, Saddam, Gheddafi, Assad e dai Taliban, rettifica quella che finora e per troppo tempo, quasi otto anni, è stata un’informazione falsa, bugiarda, truffaldina. Assad, con quegli hackers e troll delle ingerenze urbi et orbi russe, con quegli spiritati di flagellanti sciti, iraniani e hezbollah, voleva farci credere, col supporto di chilometri di audiovisivi fabbricati, raffiguranti giustizieri cha spellavano vivi innocenti, li incendiavano, o li annegavano in gabbie o li crocifiggevano, o ne sposavano a ore le donne, che il suo paese era stato invaaso, non da oppositori democratici assistiti dalla “comunità internazionale”, bensì da un branco di ossessi islamisti attivati da una “comunità internazionale” in preda a psicopatia stragista. Come pretendeva fosse successo in Libia e, poi di nuovo, in Iraq.

No, no, il NYT e i Pulitzer nostrani ci gratificano del privilegio della verità: E’ da far rabbrividire il destino “di combattenti ribelli e dei loro sostenitori civili che, oltre sette anni fa, si sollevarono per chiedere un cambio regime”. Deplorato che il vice primo ministro siriano si sia permesso di definire “terroristi” questi bravi combattenti, il giornale, al quale dobbiamo molto della credibilità delle armi di distruzione di massa di Saddam e del viagra fornito da Gheddafi ai suoi soldati perché stuprassero le connazionali, passa alla descrizione di come gli ingiustamente diffamati ribelli abbiano ben governato la provincia dai turchi loro affidata: “Si sono comportati da legittima autorità di governo e pubblica amministrazione, facilitando, tra l’altro, il commercio transfrontaliero con la Turchia e organizzando forniture di aiuti alla popolazione”. Visto che bravi, si preoccupano di nutrire la popolazione. Altro che Assad, che per principio l’affama.

Bambini Isis giustizieri

Coloro che il NYT, sempre attento a distinguere buoni e cattivi, all’indomani degli attentati dell’11 settembre, ottemperando ai suggerimenti di Bush, Cheney, Rumsfeld, neocon vari, FBI e CIA, aveva individuato come terroristi di Al Qaida che avevano dichiarato guerra all’America uccidendone subito 3000 cittadini, pur dichiarandosi sempre e con orgoglio membri di Al Qaida (Al Nusra, che è lo stesso), se non dell’ancora più terroristico Isis, ora per lo stesso giornale sono diventati “ribelli, oppositori, combattenti, ribelli combattenti, forze ribelli, la più forte fazione ribelle della Siria”. E neppure un’ombra di imbarazzo per il fatto che da Washington Al Qaida-Al Nusra continua ad essere bollata di “organizzazione terroristica”. E’ il NYT, con i suoi referenti tribali, che detta la linea: l’intendance suivra.

A questi limiti, che fanno del paradosso un termine obsoleto, si sono spinti molti altri. Da noi, particolarmente impressionante “Un Ponte per”, transitato dalla denuncia del genocidio iracheno, alla piena comprensione di ogni motivazione occidentale. Idem Assopace, storica organizzazione di sostegno ai palestinesi, che mesi fa si è avventurata in un’analisi del buon governo di Al Qaida nelle zone da loro amministrate, da lasciare a bocca aperta perfino John McCain che con questi bravi amministratori condivideva il kebab. E non solo quello.

L’ennesimo “spaventoso bagno di sangue di Assad”

Lo stesso lavoro a difesa e riabilitazione dei jihadisti lo fanno a edicole e schermi unificati, in armonica sintonia sinistri sinistri e destre, adoperando però criteri più sottili: non si arriva a nobilitare chi fino a ieri era il mercenario che polverizzava Palmira e scuoiava prigionieri. La nuova linea è “la popolazione vittima”. Vittima dell’imminente carneficina di Assad e dei suoi alleati. Scompare una provincia di un milione e mezzo di siriani sottoposti al regime dell’invasore turco e alle imposizioni e  comprovate sevizie di questa soldataglia d’accatto (si calcola in 50mila, compresi i famigliari) evacuata dalle zone liberate e compare sugli schermi, tra le macerie dei primi bombardamenti russi,  una popolazione terrorizzata, Elmetti Bianchi che corrono dappertutto facendo finta di soccorrere, ricomparsi sulla scena a dispetto dello sputtanamento seguito alle paghe ricevute dai governi aggressori e alla fuga in Israele. Avete fatto caso al silenzio che accompagnò e favorì l’obliterazione totale di Raqqa, ad opera dei missili Usa e dei cannoni curdi? Avete poi visto, molto più tardi, le immagini tipo Dresda di quella che era una delle maggiori e più prospere città siriane?

Si ripete il modello Aleppo, Homs, Deraa, Deir ez Zor. Ovunque uno Stato eserciti il proprio diritto, sancito dal diritto internazionale e dall’ONU (per quanto obliterato dall’attuale maggiordomo dei guerrafondai, Guterres), di liberare suoi territori invasi dall’aggressore, un coro smisurato di prefiche, di nuovo sincroniche sinistre sinistre e destre, clero ovviamente in testa, alza striduli lai e angosciate geremiadi sul genocidio che incombe sulla popolazione civile. Sembra quasi che le torme di Attila si stiano avventando su un asilo nido, anzichè l’esercito regolare di uno Stato sovrano, aggredito da mezzo mondo, che difende il proprio territorio liberando l’ultima provincia occupata da coloro che hanno sul proprio conto alcune centinaia di migliaia di civili e difensori massacrati e un paese devastato.

Una bimba, tre salvatori

Lontanissima da qualsiasi soluzione a vantaggio dell’incolumità dei siriani rinchiusi in Idlib, è per le fanfare dell’apocalisse di civili l’ovvia e unica ipotesi giusta e realistica. I governi che hanno alimentato l’assalto alla Siria reclutando in mezzo mondo briganti, Nato e Turchia in testa, se li riprendano e li rispediscano nei paesi d’origine: Tunisia, Marocco, Algeria, Egitto, Libia, Afghanistan, Qatar, Cecenia e paesi europei vari. Lo possono fare giacchè è dal loro soldo e dai loro armamenti che dipende questo mercenariato. E neanche a un bambino di Idlib verrebbe torto un capello. E agli Elmetti Bianchi la paga di  Londra gli toccherebbe spenderla alle slotmachine, anziché allestendo bimbetti verniciati di rosso. Purtroppo a questo osta la persistente volontà di Erdogan di congiungere Idlib all’altro enclave siriano occupato, Afrin, onde consolidare la sua presa sul questo territorio di confine siriano. L’altro essendo quello occupato dagli Usa con l’assistenza dei mercenari curdi.

Assad il chimico. Poteva mancare?

Immancabile, si risuscita lo screditatissimo stereotipo dell’attacco chimico da parte di un governo che di tutte le sue armi chimiche si è privato quattro anni fa, sotto sorveglianza internazionale, mentre armi chimiche in quantità si sono viste comparire tra i depositi e laboratori dei mercenari e quelle attribuite al governo sono risultate inesistenti. Attacco chimico ululato da tutte le bocche di vetriolo occidentali, alle quali si aggiunge, a rafforzamento della diabolizzazione dei russi, il rilancio della screditatissima farsa britannica dell’avvelenamento dei due Skipral, per mano di scriteriati agenti russi che l’altrettanto scriteriato Putin aveva spedito perché uccidessero vecchi spioni in pensione alla vigilia dei Mondiali di calcio in Russia. Tanto per suscitare più simpatia in Occidente.e vedersi appioppata qualche sanzione in più.

Un certo affievolimento dei latrati sui propositi chimici di Assad si è avuto quando l’intelligence siriana e russa sono riuscite ad anticipare il complotto e a documentare la fornitura di armi chimiche ai terroristi di Idlib tramite spedizioni organizzate dagli Elmetti Bianchi. Cosa che non ha scoraggiato Nicky Haley, la fuoriditesta ambasciatrice scassapaesi degli Usa all’Onu, che è andata avanti sulla minaccia chimica “indubbiamente di Assad” . Ma il più stolto e il più accanito della brigata non ha desistito. Un’eco, quella di Macron, che rimbalza tardiva e patetica, ma forse ancora funzionale alla provocazione. “Se usano le armi chimiche, interverremo”ha sparato a pancia in dentro e petto in fuori colui che “il manifesto” , gongolante per le ingiurie lanciate dal rothschildiano ai governanti italiani, ha nominato “leader del fronte progressista europeo”.

Concludiamo su Idlib, dove, al di là dell’amore litigarello tra Erdogan e Trump, si ricompongono gli interessi comuni degli sbranatori della Siria, titolari e surrogati. Nella provincia, strategicamente cruciale perchè sta a ridosso di Aleppo e Latakia, possiamo aspettarci l’ennesimo botto chimico, per poi farci lacerare il cuore dalle decine di bambini privi di vita, come quelli propinatici nel primo attacco chimico di Ghouta Est, con i bambini anche allora rapiti e sacrificati. Sarà una messinscena immonda, degna dei suoi manovali come dei mandanti, ma prima che un Ente ONU ne smascheri un’altra volta la falsità, i latrati dei bruti di guerra rischiano di essersi fatti sbranamenti e a tutti noi toccherà dire: non si poteva non farlo.

Sembrerà all’opinione pubblica  che le torme di Attila si stiano avventando su un asilo nido, anzichè l’esercito regolare di uno Stato sovrano aggredito da mezzo mondo, con l’uso della peggiore feccia terroristica rastrellata in giro, che difende il proprio territorio liberando l’ultima provincia occupata, con il sostegno di uno Stato vicino ostile, da chi ha sul proprio conto alcune centinaia di migliaia di civili e difensori massacrati e un paese devastato.

Comunque vada quella che sembra l’imminente battaglia di Idlib, e che potrebbe anche dimostrare che proprio per niente gli Usa e soci di minoranza si sono rassegnati ad abbandonare la partita per il cambio di regime e la disintegrazione dello Stato, non dovremmo dimenticare che un terzo della Siria resta sotto occupazione proprio degli Usa, facilitati  dagli invasori e pulitori etnici curdi e da quanti dell’Isis gli Usa hanno prelevato a Raqqa e rimesso in funzione contro la Siria.

Libia: o Haftar, o caos

Veniamo all’altro fronte che va riaprendosi alla grande. Quello della più riuscita applicazione della strategia imperialista del caos, adottata quando le soluzioni alla DDR, alla Honduras, alla Pinochet, o all’Ucraina, non riescono e ci si deve limitare a creare situazioni di disabilità permanente. E qui è ancora il “leader del Fronte Progressista Europeo” a dare la carte, stavolta con maggiore spazio concessogli dai fratelli maggiori, Usa e Regno Unito, come si fa col più piccolo quando pesta i piedi. Il quale, a sua volta, mette sotto quello ancora più piccolo, che neppure pesta i piedi, ma si rassegna a giocare col Lego.

Con una caterva di nomi di bande miliziane che, nella Libia lacera e insanguinata, si contendono fette di potere e territorio, ci hanno annebbiato la percezione di cosa succede nello Stato più avanzato, emancipato, prospero, giusto, dell’intero Continente (lo sancì l’ONU nel 2011, anno del risveglio dei mostri), quello di Muammar Gheddafi e della sua democrazia diretta e uguaglianza sociale. La situazione è più semplice e chiara di quanto gli sceneggiatori della crisi libica vogliano farci credere.

Haftar

Poker col morto

Mentre gli Usa e alleati maggiori stanno alla finestra, ma tengono pronte le proprie superiori forze d’intervento  militare ed economico, limitandosi sul terreno a operare con l’intelligence e le Forze Speciali, una formale delega alla ricolonizzazione del paese è stata data alla Francia e, come succedaneo ed eventuale strumento rivale in la minore, all’Italia. La prima, con la vera carta valida per un futuro unitario e di dignità nazionale, Egitto, governo di Tobruk e il generale Khalifa Belkasim Haftar, l’Italia con Fayez Mustafa Al Serraj e quel governo di Tripoli che assomiglia tanto al regimetto installato dagli Occidentali a Mogadiscio e il cui controllo non va al di là del cortile dei propri ministeri. Usa, Regno Unito, Francia. Tre giocatori e il morto. Noi.

Il governo di Tobruk è legittimato dall’ultimo voto popolare nell’intera Libia, quello di Tripoli dalle simpatie degli Usa e, quindi, di Onu e UE. Il primo controlla la più vasta  regione libica, la Cirenaica, con la maggioranza degli impianti e terminali petroliferi e del mare sotterraneo di acqua potabile, ed ha anche posizioni di forza nel meridione del Fezzan, dove gode dell’amicizia dei Tuareg, già sostenitori di Gheddafi, e in Tripolitani, a ovest, est e Sud di Tripoli. Intorno ad Haftar si sono raccolti coloro che non si sono rassegnati alla fine e alla demonizzazione della Libia di Gheddafi; l’ectoplasma Serraj si dice di poter contare su Fratelli Musulmani e integralisti Isis, suddivisi in bande concorrenti, che si disputano i quartieri di Tripoli e non hanno la minima prospettiva di poter avanzare pretese su territori più vasti.

Lasciando da parte le sedicenti brigate facenti capo a signorotti della guerra e boss locali, lo scontro in atto, al momento interrotto da una volatile tregua, è tra la Settima Brigata che avanza da Tahoura, area che personalmente constatammo essere, come Bani  Walid,  a Sud, roccaforte delle tribù maggioritarie in Libia, da sempre fedeli a Gheddafi, la Warfalla, e la Brigata Rivoluzionaria, definita Guardia Nazionale del governicchio di Serraj. Al soccorso di  questa, nelle ambasce per un’imminente presa di Tripoli da parte della Settima, Al Serraj, chiamò la Brigata di Misurata, unica forza militarmente credibile, composta dai capiclan della città che, nel dopoguerra, si rese responsabile delle peggiori atrocità contro i membri del precedente Stato e, soprattutto, contro la popolazione libica nera  e gli immigrati. I sopravvissuti alla caccia misuratina dei 2,5 milioni di lavoratori africani ospitati da Gheddafi, sono quelli che in gran parte stanno ora nei campi di raccolta, o ce l’hanno fatta ad arrivare da noi.

Il governo di Roma si ostina a voler apparire sostenitore di Serraj. Pare che al premier Conte Trump abbia promesso che, così facendo, l’Italia sarà sostenuta nella “speranza” di non dover cedere proprio tutto il petrolio ENI all’arrembante francese Total. Quella per il cui dominio sulle risorse del paese e, dunque, sulle sue istituzioni, due criminali di guerra, Sarkozy e Hollande scatenarono l’inferno. Confortati subito dalla vicina di casa e di salotto parigina, Rossana Rossanda, con la sua invocazione di una “guerra santa” “alla spagnola”, contro Gheddafi. Guerra santa poi allietata dallo sghignazzo della mancata (purtroppo per il “manifesto”) presidenta degli Usa, Hillary Clinton.

Fortunatamente non tutti sono creduloni a Roma e nei Cinque Stelle, specificamente con il sottosegretario agli Esteri Manlio Di Stefano, si manovra discretamente anche in direzione di Tobruk, Haftar e dell’Egitto. A noi, per “tifare” l’unica forza che registri un vasto consenso popolare, che le elezioni  di dicembre vorranno sancire (se non sabotate dagli islamisti di Tripoli e loro sostenitori “progressisti” e ONU) basta il dato che tra le file di Haftar ci siano anche i gheddafiani, quelli dal parlamento di Tobruk riabilitati e da Tripoli condannati a morte e che si parli del figlio maggiore di Gheddafi, Saif al Islam, come possibile candidato alla presidenza. Ipotesi terrorizzante per i colonialisti, da cui il tentativo di rinviare le elezioni.

Macron in Mali

E non ci importa che Tobruk e Haftar siano anche tra le opzioni  di colui che il “manifesto”, di solito sostenitore di tutte le campagne lanciate dal Deep State Usa (Cia, FBI, Pentagono, Soros, neocon, media di guerra), definisce “leader del fronte progressista europeo”. Il “manifesto” sta con ciò che emana da Washington e liscia il pelo di Macron solo perché, alla luce dello scambio di contumelie tra Salvini e il rothschildiano di Parigi, lo individua come vero antagonista dei nostrani populisti xenofobi e fasciorazzisti. Lui, Macron, che sta mettendo a ferro e fuoco l’intera Africa settentrionale e subsahariana a forza di invasioni militari, innesto di terroristi da pretesto, depredazioni di risorse e impoverimento generale di milioni di africani; lui che con il CFA, la valuta coloniale grazie alla quale metà degli introiti di 14 paesi africani sono automaticamente trasferiti a Parigi, è riuscito a incrementare il flusso dei migranti per la maggiore soddisfazione di Ong, cooperative e mondialisti del meticciato. Migranti, peraltro, che il “leader del Fronte Progressista Europeo”, immobilizza a Ventimiglia e Calais, solo perché gli si eviti lo squallore dei fratelli nellebanlieu.

Lui, Macron, no. Lui non è né xenofobo, né fasciorazzista.

Pubblicato da Fulvio Grimaldi alle ore 19:47

MASSIMO FINI REPLICA —– UN UOMO DALLE FORTI CONVINZIONI E DALLE CONVINTE CANTONATE

http://fulviogrimaldi.blogspot.com/2018/09/massimo-fini-replica-un-uomo-dalle.html

MONDOCANE

GIOVEDÌ 6 SETTEMBRE 2018

 
 

Scopro con piacere che il Fatto Quotidiano di oggi, 6 settembre 2018, ha avuto la correttezza deontologica di pubblicare la mia lunga risposta a un articolo di Massimo Fini sul tema di Als Sisi, migranti, Fratelli Musulmani, Regeni, Isis, che ho diffuso a suo tempo a tutti i miei contatti e che potete ritrovare sia nel blog, sia su Facebook (se non ancora rimosso).

Grida al cielo il conflitto, da un lato, tra l’arte demistificatoria delle manipolazioni, falsità, servi encomii e codardi oltraggi, praticati da giornaloni e televisionone di regime in favore dei propri editori di riferimento, che va riconosciuta al direttore Marco Travaglio, e, sull’altro versante, la sua complicità con un trattamento della politica estera nel FQ che dei difetti, peccati, vergogne, menzogne, superficialità, da Travaglio attribuiti agli altri, rappresenta la più turpe convalida e ripetizione. Tanto più apprezzo la disponibilità a pubblicare una critica forte, ma documentata,a una delle firme che il giornale considera tra le sue più prestigiose.


Nella mia lettera avevo riconosciuto a Fini esperienza e libertà. Non gli nego la seconda, non avendo elementi per farlo e riconoscendo però la sua direzione spesso ostinata e contraria nei confronti dei colleghi che si occupano di questioni internazionali. Mi vengono invece fondati dubbi sulla prima, l’esperienza, dato che ciò che si può dare davvero per storicamente dimostrato – i Fratelli Musulmani fondati dai britannici negli anni ’20 del secolo scorso e carta di ricambio colonialista contro la risorgenza araba, e l’Isis dimostrato ricettore di guida, finanziamento, armamento e obiettivi delle potenze occidentali, del Golfo e della Turchia per liquidare Stati arabi sovrani – al giornalista Massimo Fini risultano “espressione di una mentalità complottista”. Peccato che un giornalista di lungo corso come il nostro abbia dovuto ricorrere allo stereotipo più logoro di tutti coloro che devono coprire malefatte di cospiratori. Quelle sì.

Ecco la replica di Massimo Fini alla mia risposta:

“Che i Fratelli Musulmani siano al servizio degli inglesi mi pare espressione di una mentalità complottista che ho sempre rifiutato. E che l’Isis sia al soldo dell’Occidente mi pare far parte della stessa mentalità”.

Osservo che è già molto che Fini non abbia avuto nulla da ridire a proposito della mia descrizione dei trascorsi e del ruolo di Giulio Regeni. Che qui si stia aprendo finalmente uno spiraglio di sconcerto e dubbio sulle tante panzane raccontate dai martirologhi di occidentali a prescindere, giustizieri di professione degli arabi quando non obbediscono?

 

OFFENSIVE DIPLOMATIQUE RUSSE EN AFRIQUE NOIRE (LE GRAND RETOUR DE LA RUSSIE EN AFRIQUE)

 

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Flash Vidéo Géopolitique/ Geopolitical Flash Video/

2018 09 07/

vignette ru afr IX

Le Flash Vidéo du jour …

Le géopoliticien Luc MICHEL dans LE DEBAT PANAFRICAIN du 2 septembre 2018 sur AFRIQUE MEDIA

Sources :

* La Video sur EODE-TV/ LUC MICHEL & F. BEAUR:

OFFENSIVE DIPLOMATIQUE RUSSE EN AFRIQUE NOIRE (LE GRAND RETOUR DE LA RUSSIE EN AFRIQUE IX)

sur https://vimeo.com/288124184

* Thème de l’émission :

RCA / UA/ RUSSIE.

Le président Omar el Béchir réuni les frères ennemis centrafricains à Khartoum. Les groupes armés ont signé une déclaration d’entente sous la bannière de la Russie. Moscou et Khartoum ensemble pour la paix en RCA. La médiation Russo-soudanaise porte ses fruits ?

Une rencontre âprement recherchée, aux enjeux des plus importants. Les leaders des principaux groupes politico-militaires de la Centrafrique se sont retrouvés le 28 Août 2018 à Khartoum pour amorcer les premières véritables négociations qui d’ici quelques mois pourraient permettre au peuple centrafricain de fumer de nouveau le calumet de la paix et de la réconciliation. Quel regard portez-vous sur la médiation russo-soudanaise ?

* Le géopoliticien Luc MICHEL analyse l’offensive diplomatique (SADC – Centrafrique – Soudan – Erythrée) de la Russie en Afrique :

« Les gifles se donnent toujours par deux ». Moscou nous le rappelle en Afrique !

Vous nous dites que la conférence de pacification, réussie, est une seconde gifle russe aux occidentaux. La première étant les accords militaires signés à Johannesbourg fin juillet, entre la Russie et globalement la SADC et ses 14 pays d’Afrique australe. L’offensive russe en Afrique continuant hier avec l’installation de Moscou dans les ports d’Erythrée, réouverts à l’économie éthiopienne. Décidément, la Russie est bien de retour sur « les champs de bataille de la Guerre froide ». Et elle y solde de vieux comptes !

* Fabrice BEAUR, administrateur de EODE-RUSSIA, Expert EODE :

Le correspondant d’AFRIQUE MEDIA en Russie nous parle de la médiation russe en Centrafrique et de sa signification vue de Moscou …

# VOIR LA SERIE DE EODE-TV

« MOSCOU DE RETOUR SUR LES CHAMPS DE BATAILLE DE LA GUERRE FROIDE » :

* Voir sur PANAFRICOM-TV/

ZOOM AFRIQUE DE PRESSTV (22.03.18) AVEC LUC MICHEL:

LE CONTINENT AFRICAIN SE TOURNE VERS LA RUSSIE DE POUTINE

sur https://vimeo.com/261330852

* Voir sur EODE-TV/ GEOPOLITIQUE AFRICAINE/ LUC MICHEL: MOSCOU DE RETOUR SUR LES CHAMPS DE BATAILLE DE LA GUERRE FROIDE (PARTIE I)

sur https://vimeo.com/252349360

* Voir sur EODE-TV/ GEOPOLITIQUE AFRICAINE/ LUC MICHEL: MOSCOU DE RETOUR SUR LES CHAMPS DE BATAILLE DE LA GUERRE FROIDE (PARTIE II)

sur https://vimeo.com/252349171

* Voir sur EODE-TV/ LUC MICHEL:

RCA-SOUDAN-LIBYE-EGYPTE, MOSCOU S’INSTALLE EN AFRIQUE (LE GRAND RETOUR DE LA RUSSIE EN AFRIQUE III)

sur https://vimeo.com/255284315

* Voir sur EODE-TV/ LUC MICHEL:

POURQUOI MOSCOU SOUTIENT KINSHASA AU CS DE L’ONU (LE GRAND RETOUR DE LA RUSSIE EN AFRIQUE IV)

sur https://vimeo.com/256037909

* Voir sur EODE-TV/ LUC MICHEL:

MOSCOU VA-T-ELLE S’ENGAGER EN RCA ET AU SAHEL?

(LE GRAND RETOUR DE LA RUSSIE EN AFRIQUE V)

sur https://vimeo.com/260800785

* Voir sur EODE-TV/ LUC MICHEL:

CENTRAFRIQUE. PARIS VS MOSCOU

(LE GRAND RETOUR DE LA RUSSIE EN AFRIQUE VI)

sur https://vimeo.com/284014891

* Voir sur EODE-TV/ LUC MICHEL:

LA RUSSIE PREND PIED EN ERYTHREE … ET REVIENT EN ETHIOPIE (LE GRAND RETOUR DE LA RUSSIE EN AFRIQUE VII)

sur https://vimeo.com/288489619

* Voir sur EODE-TV/ LUC MICHEL:

MOSCOU S’INGERE DANS LA SPHERE D’INFLUENCE FRANCAFRICAINE (LE GRAND RETOUR DE LA RUSSIE EN AFRIQUE VIII)

sur https://vimeo.com/288121597

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

(Flash Vidéo Géopolitique/

Complément aux analyses quotidiennes de Luc Michel)

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

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EODE-TV https://vimeo.com/eodetv

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LA TAV SPARISCE DAL PIANO REGOLATORE DI TORINO IL COMUNE: “NON ESISTE E NON ESISTERÀ”

http://www.lastampa.it/2018/09/07/cronaca/la-tav-sparisce-dal-piano-regolatore-di-torino-il-comune-non-esiste-e-non-esister-BqjCDrseR9u5P3ZpAvWyXL/pagina.html

REPORTERS
  
Pubblicato il 07/09/2018
 
TORINO

La metropolitana sì, la Tav no. Perché la linea ad alta velocità – assicura il vice sindaco di Torino Guido Montanari – «non esiste e non esisterà». Dunque, è inutile considerarla mentre si pianifica la Torino del futuro, riscrivendo il piano regolatore.  

In attesa che il governo Conte prenda una decisione sulla Torino-Lione – e pubblichi i risultati dell’analisi sui costi e benefici dell’opera che il ministro delle Infrastrutture Danilo Toninelli ha annunciato a più riprese ma di cui non si conoscono i dettagli – il Comune di Torino si porta avanti con il lavoro e immagina un domani senza super treno.  

Del resto Montanari è un fervente No Tav e da quando è vice sindaco sfila alle manifestazione con la fascia tricolore. E di recente la sindaca Appendino ha definito il no alla Tav un fatto di coerenza su cui il governo si gioca la sua credibilità. Un conto però è l’agone politico, altro l’amministrazione.  

Scelta rischiosa  

E la scelta di Palazzo Civico – che nel rivedere il piano regolatore datato 1995 sceglie di escludere a priori un’opera attualmente prevista da trattati internazionali e per di più in fase di realizzazione – appare piuttosto rischiosa. Di fatto rientra a pieno titolo nelle direttive che il Comune ha trasmesso ai dipartimenti di Politiche del Territorio e Architettura e Design del Politecnico incaricati di aiutare gli uffici di Palazzo Civico nel riscrivere il piano regolatore. 

Studi e analisi tecnico-scientifiche, la pianificazione del territorio, le linee di sviluppo, di densità abitativa e di mobilità del futuro – sulle cui basi verrà definito il nuovo piano regolatore – non terranno conto di un’opera che, se realizzata, avrà un impatto notevole sulla città.  

«Diventa difficile fare un piano regolatore generale che non contempli una infrastruttura così importante», rileva il capogruppo del Pd Stefano Lo Russo, ex assessore all’Urbanistica nella giunta Fassino. 

Rispetto alle linee guida iniziali, invece, rientra a pieno titolo la linea 2 della metropolitana, inizialmente esclusa. «È fondamentale, così come il miglioramento delle piste ciclabili e la puntualità dei mezzi pubblici. Vogliamo ridurre anche i parcheggi per le auto private», spiega Montanari.  

La mobilità sostenibile  

L’idea di fondo è incentivare la mobilità sostenibile, riducendo l’uso dell’auto privata. Uno dei sistemi è eliminare stalli di sosta, che secondo il vice sindaco favoriscono il traffico, e la cui riduzione spingerebbe i torinesi a optare per i mezzi pubblici.  

Un libro dei sogni, secondo le opposizioni. Oltretutto dalle tempistiche bibliche. «Da quando la giunta Appendino si è insediata a quando ha varato la delibera sul piano regolatore sono passati 287 giorni e altri 511 giorni dal quel giorno a oggi. Il tutto per compilare un indice».

a.ros.

No Tav, il giudice smonta il “concorso morale” invocato dal pm: “Non basta essere presente a scontri per subire una condanna”

https://torino.repubblica.it/cronaca/2018/09/07/news/no_tav_il_giudice_smonta_il_concorso_morale_invocato_dal_pm_non_basta_essere_presente_a_scontri_per_subire_una_condanna_-205825147/

No Tav, il giudice smonta il "concorso morale" invocato dal pm: "Non basta essere presente a scontri per subire una condanna"

Le motivazioni dell’assoluzione di 27 attivisti che, con altri, avevano fatto irruzione nella sede dell’impresa Itinera imbrattando alcuni mezzi

07 settembre 2018
La semplice presenza sul luogo di scontri o di incidenti di piazza non basta a portare a una condanna. E’ il principio seguito dal tribunale di Torino – che ha respinto la tesi della procura – nella sentenza con cui lo scorso maggio sono stati assolti 27 attivisti No Tav dalle accuse di “deturpamento” per una incursione, a Salbertrand, in Valle di Susa, nella sede operativa della ditta Itinera: l’episodio risale al 14 giugno 2013, il pm aveva chiesto condanne dai 3 ai 7 mesi di reclusione.

Le motivazioni sono state redatte dal giudice Marco Picco della terza sezione penale, presieduta da Pier Giorgio Balestretti. Alla manifestazione contro l’Itinera (un sit in e una successiva intrusione nella sede, dove furono tracciate delle scritte con lo spray su alcuni mezzi di cantiere) presero parte una quarantina di persone ma “considerando – che non è stato possibile identificare gli autori materiali dell’imbrattamento occorre chiedersi se tutti gli imputati possano rispondere, sotto il profilo della concorso morale, nella condotta delittuosa”. “Ad avviso del tribunale – è la conclusione dei giudici – la prova della responsabilità penale degli imputati non può ricavarsi, come invece sembra ipotizzare l’accusa, sulla base del dato assiomatico per cui la mera presenza sul teatro degli scontri rafforza di per sé il proposito delittuoso di chi materialmente si rende responsabile della violenza”.

Servono infatti, sottolinea il giudice, tre condizioni per arrivare a un giudizio di colpevolezza di chi partecipa a manifestazioni di piazza che danno luogo a episodi di violenza: “Ad avviso del tribunale – si legge – onde garantire il rispetto del principio della responsabilità personale è necessario: a) che sia provato che la presenza dei manifestanti non era mera e inerte; b) che sia provato che la condotta dei manifestanti si sia risolta in un contributo, causale o agevolatore, alla commissione del fatto; c) contributo che deve essere consapevole del contesto, del fatto che il contributo individuale si colloca nel contesto, del fatto che vi sono dei concorrenti”.

In questo caso le forze dell’ordine non erano riuscite a identificare con precisione gli autori (in mezzo a una quarantina di partecipanti alla dimostrazione) di una serie di imbrattamenti compiuti all’interno dell’Itinera.
Il tribunale osserva che “le manifestazioni e le riunioni in luogo pubblico sono fenomeni sociali articolati in cui le persone partecipano con intenzioni magari comuni sotto il profilo delle idee ma, talora, con intenti pratici ben differenti”. E secondo i giudici, dopo aver tenuto “nel dovuto conto la complessità del fenomeno sociale”, bisogna ritenere che “non possa essere assiomaticamente recepita l’ipotesi d’accusa che sovrappone la mera presenza alla prestazione causale della commissione del reato, anche perché, portando l’ipotesi alle estreme conseguenze, si costruirebbe uno schematismo per cui ‘tutti concorrono in tutto'”.

LA RUSSIE S’INGERE DANS LA SPHERE D’INFLUENCE FRANCAFRICAINE … (LE GRAND RETOUR DE LA RUSSIE EN AFRIQUE)

 

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Flash Vidéo Géopolitique/ Geopolitical Flash Video/

2018 09 06/

vignette ru afr VIII

Le Flash Vidéo du jour …

Le géopoliticien Luc MICHEL dans le ZOOM AFRIQUE du 17 juillet 2018 sur PRESS TV (Iran)

Sources :

* La video sur EODE-TV/ LUC MICHEL:

MOSCOU S’INGERE DANS LA SPHERE D’INFLUENCE FRANCAFRICAINE (LE GRAND RETOUR DE LA RUSSIE EN AFRIQUE VIII)

sur https://vimeo.com/288121597

Thème de l’émission :

« RCA : pourquoi la France a-t-elle peur de Poutine ? (Analyse de Luc Michel) »

# ALLER PLUS LOIN SUR LE DOSSIER :

LA RUSSIE ACTEUR SECURITAIRE MAJEUR EN CENTRAFRIQUE

A la faveur d’un accord militaire conclu entre Moscou et Bangui en décembre 2017, la Russie est devenue un nouvel acteur sécuritaire en Centrafrique. La société militaire russe privée Wagner la réponse russe à la privatisation occidentale de la guerre, style MPRI ou Blackwaters), ayant participé à la guerre du Donbass en Ukraine et au conflit syrien,  aide en Centrafrique l’armée mal en point à mieux se structurer pour reprendre le contrôle des territoires encore occupées par des groupes issus de l’ex-rébellion Séléka, de confession musulmane, et des milices anti-balaka, d’obédience chrétienne.

Déployés  “à la demande du président de ce pays […], les spécialistes militaires russes ne participent pas aux combats, ils ne s’occupent que de la formation”, a clarifié vendredi 3 août, la porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova, en réponse à des rumeurs distillées dans la presse locale, faisant état de l’implication des mercenaires russes dans des combats armés entre milices.

Près de 175 instructeurs dont cinq militaires, principalement employés par des entités privées russes ont été dépêchés pour former deux bataillons des Forces armées de la Centrafrique (Farca). Mais les Russes ne forment pas que les militaires de l’armée centrafricaine.

Une quarantaine d’entre eux sont aussi présents dans la garde rapprochée du président Faustin-Archange Touadéra, dont la protection était assurée jusque-là par des casques bleus rwandais. “Du point de vue de l’opinion publique, les Russes sont proches de la présidence mais aussi de la milice Séléka avec qui, ils entretiennent des relations’’, analyse Roland Marchal, spécialiste de la Centrafrique et chargé de recherche au CNRS.

MOSCOU REARME L’ARMEE CENTRAFRICAINE

La résolution 2127 de décembre 2013 interdit toute livraison ou tout financement d’armes à la Centrafrique. Grâce à l’entregent de Firmin Ngrebada, directeur de cabinet du président centrafricain, une rencontre s’organise en octobre 2017 à Sotchi entre Faustin-Archange Touadéra et le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov.

Plus qu’une simple levée de veto, c’est un accord militaire qui est signé. Il est approuvé en décembre 2017 par le Conseil de sécurité qui lève exceptionnellement l’embargo sur la livraison des armes à destination de la Centrafrique. Entre janvier et février 2018, la Russie équipe selon l’AFP, 1 300 soldats centrafricains, avec notamment 900 pistolets Makarov, 5 200 fusils d’assaut AKM, 140 armes de précision, 840 Kalachnikov, 270 lance-roquettes RPG et 20 armes anti-aériennes. Ces soldats peuvent désormais appuyer les casques bleus de la Mission multidimensionnelle des Nations Unies pour la Centrafrique (Minusca) qui sont déployés dans le pays depuis 2014.  La Russie se propose aussi de former l’armée sur le maniement de ces armes. La formation est assurée par d’anciens soldats ou d’anciennes forces spéciales russes déployés par des compagnies de sécurité privées.

LA RUSSIE ENTREPREND DES NÉGOCIATIONS AVEC LES TROUPES REBELLES

Une fois sur le terrain, la Russie entreprend des négociations avec les troupes rebelles ex-Séléka et tente d’organiser, début juillet, une rencontre entre le gouvernement centrafricain et des groupes armés dans la capitale soudanaise Khartoum. Une volonté du Kremlin d’accroître son influence diplomatique. Sans succès sur le moment mais l’initiative aboutire fin août. Une initiative dont les français se moquaient en juillet, eux qui sont là pour rien depuis 2012 : “Les Russes auraient quand même dû être un peu plus au courant de la situation politique centrafricaine et de la situation diplomatique. Se précipiter dans une médiation avec les mouvements armés, c’est oublier qu’une médiation est organisée à l’heure actuelle par l’Union africaine”, affirmait alors Roland Marchal, le spécialiste de la Centrafrique sur France24. Depuis juillet 2017, un panel de facilitateurs de l’Union africaine rencontre tour à tour autorités et groupes armés centrafricains pour recueillir leurs revendications et poursuivre les discussions des modalités de paix. Les premières tentatives de médiation – l’accord de Sant’Egidio, le forum de Bangui en mai 2015, le forum de Brazzaville en juillet 2014 – ayant toutes échoué.

LES « INQUIÉTUDES FRANÇAISES SUR LA PRÉSENCE RUSSE »

“Il y a de sérieuses inquiétudes de la part des observateurs sur le but ultime de la présence russe. Ils sont à la fois dans une démarche de formation des Faca mais négocient aussi des accords économiques.

Cela renforce simplement le fait que la crise centrafricaine ne semble pas avoir de solutions pour l’instant”, concluait en juillet Roland Marchal. Derrière la propagande anti-russe de France24 on trouve évidemment l’Elysée et le Quai d’Orsay …

(Sources : Afrique Media – Press TV – France24 – EODE Think Tank)

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

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LA RUSSIE HEGEMON DU PROCHE-ORIENT ?

 

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Flash Info Géopolitique/ Geopolitical Flash News/

2018 09 06/ #017-2018

Z2

En décembre dernier, je consacrais une série d’analyses à “Poutine nouveau tsar de l’Orient”. Inspiré à la fois par la presse russe qui le qualifiait ainsi, mais aussi par la presse israélienne qui s’inquiétait à la fois du recul des USA de Trump au Levant et de voir « Moscou en arbitre du Proche-Orient ». Voici aujourd’hui la Lettre d’information anglo-saxonne ‘The Monocle Minute’, éditée par la revue du même nom, qui titre sur la même analyse « La Russie, la Turquie et l’Iran se rencontrent pour discuter de la Syrie, mais l’Occident est introuvable » (1) …

« LA NOUVELLE PUISSANCE DE LA RUSSIE DANS LA REGION »

(‘MONOCLE’)

Que dit ‘Monocle’ :

« Le président turc Recep Tayyip Erdogan s’assoira vendredi avec ses homologues russe et iranien, Vladimir Poutine et Hassan Rouhani, à Téhéran, la capitale iranienne. La Syrie et comment aborder les groupes islamistes qui contrôlent la région d’Idlib, près de la frontière turque, figurent en tête de l’ordre du jour. La réunion est une preuve supplémentaire du retrait des pays occidentaux de la Syrie et de la nouvelle puissance de la Russie dans la région ».

«C’est l’hypocrisie de la géopolitique», déclare Mathieu Boulègue du Programme Russie et Eurasie de ‘Chatham House’ (2). «Nous étions plus qu’heureux que la Russie fasse le sale boulot en Syrie. Mais nous devons maintenant faire face aux conséquences. Quel que soit ce qui ressort du chaos, il y aura un élément russe.» « Alors que Boulègue ne voit pas encore la Russie comme un« hégémon régional », conclut ‘Monocle’, Poutine a réussi à retirer l’Occident et l’ONU de la table.

La réunion de demain le montre clairement » ….

NOTES :

(1) “Out of the loop. Russia, Turkey and Iran are meeting to discuss Syria but the West is nowhere to be seen”, The Monocle Minute (London, Hong-Kong, New-York), Thursday 6 September 2018.

(2) ‘Chatham House’ est un think tank britannique, officiellement liée aux Communes, le parlement britannique. Mais en réalité si les NED, NDI et autres Usaid sont les « vitrines légales de la CIA », ‘Chatham House’ est une « vitrine légale du MI6 ». Proche de ses consoeurs américaine, des Réseaux Sorös et des Services spéciaux de l’OTAN, le think tank londonien est en pointe dans la Russophobie. Et s’en est pris avec violence à EODE et à moi, notamment lorsque nous avons organisé pour le compte de nos alliés russes le Référendum d’autodétermination de la Crimée et de Sébastopol en mars 2014.

(Source : The Monocle Minute – EODE Think Tank)

# LES ANALYSES DE REFERENCE SUR

LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY /

GRAND JEU AU PROCHE-ORIENT:

POUTINE ‘NOUVEAU TSAR’ DE L’ORIENT (I). LE MAITRE DU JEU SYRIEN

sur http://www.lucmichel.net/2017/12/18/luc-michels-geopolitical-daily-grand-jeu-au-proche-orient-poutine-nouveau-tsar-de-lorient-i-le-maitre-du-jeu-syrien/

GRAND JEU AU PROCHE-ORIENT:

POUTINE ‘NOUVEAU TSAR’ DE L’ORIENT (II). LE BOULEVERSEMENT DES LIGNES GEOPOLITIQUES

sur http://www.eode.org/luc-michels-geopolitical-daily-grand-jeu-au-proche-orient-poutine-nouveau-tsar-de-lorient-ii-le-bouleversement-des-lignes-geopolitiques/

GRAND JEU AU PROCHE-ORIENT:

POUTINE ‘NOUVEAU TSAR’ DE L’ORIENT (III). LA FIN DE LA NEUTRALITE BIENVEILLANTE AVEC ISRAEL

sur http://www.lucmichel.net/2017/12/20/luc-michels-geopolitical-daily-grand-jeu-au-proche-orient-poutine-nouveau-tsar-de-lorient-iii-la-fin-de-la-neutralite-bienveillante-avec-israel/

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

(Infos géopolitiques en bref /

Complément aux analyses quotidiennes de Luc Michel)

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

Géopolitique – Géoéconomie – Géoidéologie – Géohistoire – Géopolitismes – Néoeurasisme – Néopanafricanisme (Vu de Moscou et Malabo) :

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