INTERVIEW DE LUC MICHEL PAR ‘LA VOIX DELA RUSSIE’: CRASH DU VOL MH17 EN JUILLET 2014. UNE BAVURE UKRAINIENNE !

# LUCMICHEL. NET/ 

 LUCMICHEL. NET/ 2016 08 18/

Avec La Voix de la Russie/

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LM.NET - LM INTERVIEW MH17 LVDLR 2014 (2016 08 18) FR (1)

« Le politique belge Luc Michel a tenu à nous livrer, lui aussi, une analyse extraordinaire et pleine de détails inouïs de l’éventuelle organisation de ce crash s’il ne s’agit au moins d’une bavure »

– La Voix de la Russie (18 juillet 2014).

« Il n’y pas de doute pour moi qu’il s’agit d’une bavure ukrainienne »

– Luc Michel (17 juillet 2014).

* 2 ans après le crash, les hypothèses de Luc Michel

restent les plus sérieuses !

Réécouter son interview sur la Radio russe :

LA VOIX DELA RUSSIE & PCN-TV/

LUC MICHEL: EST-CE KIEV QUI A ABATTU LE BOEING DE AIR MALAYSIA ?

Sur https://vimeo.com/101643301

 LM.NET - LM INTERVIEW MH17 LVDLR 2014 (2016 08 18) FR (2)

L’INTERVIEW INTEGRALE DE LUC MICHEL

PAR ‘LA VOIX DELA RUSSIE’ (2014 07 18)

SUR LE CRASH DU VOL MH17 D’AIR MALAYSIA :

La Voix de la Russie.

Le politique belge Luc Michel a tenu à nous livrer, lui aussi, une analyse extraordinaire et pleine de détails inouïs de l’éventuelle organisation de ce crash s’il ne s’agit au moins d’une bavure.

La Voix de la Russie.

Monsieur Luc Michel, croyez-vous que le Boeing a été abattu par les Ukrainiens à titre d’une provocation organisée par les Américains en vue de déclencher la Troisième Guerre Mondiale sur le continent européen ?

Luc Michel.

Je ne pense pas que la provocation soit américaine. Je suis plongé là-dedans et suis allé voir le cas d’un Boeing d’Iranian Airlines de 1989… Il y a deux scénarios possibles dans l’affaire ukrainienne. Il n’y pas de doute pour moi qu’il s’agit d’une bavure ukrainienne mais elle peut relever des deux choses ! Ca peut être soit un accident. C’est-à-dire que plusieurs experts hier aussi bien sur France 24 que sur Russia Today expliquaient le degré de mauvaise formation des organisations de l’armée ukrainienne. Il est possible qu’ils ont tiré un missile « Bouk » par erreur.

Il y a également deux autres scénarios crédibles et je pense qu’il faut se tenir à ces trois-là ! Le deuxième scénario crédible c’est une bavure de la chasse ukrainienne. Il y a un troisième qui serait énormément plus grave : vous savez que certains évoquent, notamment à Moscou, moi, je l’ai fait à Bruxelles, un concours des circonstances étrange. Une trentaine de minutes avant le Boeing des Malaysian Airlines l’avion du Président Poutine a emprunté le même couloir aérien ! Le jet de Malaysian Airlines n’était pas dans son horaire de passage normal. Il était apparemment en retard. Donc certains commencent à dire que le but c’était d’abattre le jet de Poutine. On serait là dans un scénario des fous.

Mais il y a eu d’autres cas précédemment : une frégate américaine qui, par accident disent les Américains, volontairement, disent les Iraniens, a abattu un avion de ligne iranien au-dessus du Golfe Persique en 1989 ! Et il y a un cas encore plus célèbre. C’est le fameux DC-9 d’Alitalia ! Mais là les enquêtes n’ont jamais été terminées. Elles ont été étouffées. Là c’est la chasse française qui a été mise en cause.

Notamment le Président du Conseil Italien Cossiga a accusé les Français. Il a dit que l’avion a été abattu par erreur puisque la chasse française pensait qu’il s’agissait du jet de Kadhafi.

On est dans un cas similaire par rapport à ce qui vient de se passer en Ukraine. Il y avait hier l’éditorialiste du LCI qui a déclaré que jamais dans l’histoire on n’avait vu d’accident pareil. Il prétendait qu’ »il n’y avait que les Russes pour faire ça ! » Et les Français à Uccitta, les Américains au-dessus du Golfe Persique en 1989 ? Jusqu’à maintenant les Occidentaux n’ont jamais reculé à abattre un avion de ligne lorsqu’ils devaient le faire ! Je pense que l’on est dans tous les cas dans un scénario de propagande occidentale. Il y a une vague de russophobie incroyable ! Dans les médias français particulièrement parce que la politique française depuis le retour de la France dans l’OTAN est entièrement assujettie par les Américains.

Déjà en France il y a une Fondation qui s’appelle la French American Foundation; Le but de cette Fondation est d’amener les jeunes politiciens français à être pro-Américains. Il y a l’influence de cette Fondation dans le gouvernement français et François Hollande y est lui-même. Mais la Russie n’a strictement rien à voir là-dedans.

Il y a eu des erreurs de communication de la république de Donetsk. Ils n’ont pas éclairé le tout à un moment donné. Mais il y a une dernière chose lorsque vous parlez d’une provocation. Il faut quand même constater quelque chose. C’est que les compagnies aériennes internationales mais aussi Kiev ont fait interdire les vols occidentaux vers la Crimée qui est parfaitement en paix ! Il n’y a par là aucune situation à problème. Mais au-dessus de Donetsk ils ont fait interdire jusqu’à lundi les vols. Et on les a rétablis curieusement mercredi. On a fait passer des avions de ligne sur une zone où des chasseurs ukrainiens avaient été abattus au cours des deux jours précédents. Abattus à basse altitude ! Alors la troisième chose qui est tout à fait bizarre dans cette affaire, c’est que le contrôle aérien international a accepté que les plans de vol passent au-dessus d’une zone de guerre. Il y a le dernier élément puisqu’on en parle très peu dans la presse russe, mais on commence à en parler beaucoup sur les réseaux sociaux : le contrôleur espagnol dédié à ce vol de Boeing met en cause directement la chasse ukrainienne. Il dit qu’il a constaté des avions de chasse autour de l’avion avant le crash et deuxièmement, il accuse Kiev d’avoir annoncé la chute de l’avion exactement au moment où elle s’est produite. Ce n’était possible que si l’on avait un constat visuel. Voilà un tableau de la situation !

La Voix de la Russie.

Nous sommes au regret de constater que les Américains et leurs acolytes ont depuis toujours trempé dans des coups bas où les provocations liées à des crashs aériens ont leur place d’honneur. En 1983, un Boeing traverse la frontière soviétique dans la région de Kamtchatka. Il ne répond pas aux messages radio et survole le quartier général de la région de défense. Puis il essaie de regagner la frontière et se fait abattre par un intercepteur soviétique. Le scandale fut énorme, mais Moscou a avancé que personne ne savait ce qu’il y avait à bord de cet avion. Nombreux sont ceux qui croient à une provocation organisée par Washington à l’insu de la compagnie aérienne, propriétaire de Boeing. Les explosions de New-York sont plus que connues mais on omet très souvent de dire que les gens sérieux et les historiens de renom comme le suisse Daniel Ganser, ont depuis longtemps prouvé l’instrumentalisation de ces attentats par les States qui, par ce fait même, ont obtenu l’aval de leur opération militaire en Irak.

Un avion à faire exploser, c’est facile, c’est spectaculaire et c’est scandaleux ! La fin justifie toujours les moyens, mais là la logique américaine semble avoir trouvé sa pierre d’achoppement. La Russie ne veut payer les pots cassés de personne et les résistants sont vraiment des durs à cuire. Pour une fois peut-être la provocation ne jouera pas !

PCN-TV / LA VOIX DELA RUSSIE

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CAMPAGNE DE ‘LUCMICHELBASHING’ A PROPOS DU BURUNDI ET DE LA RDC (6) : LE PEN ET LUC MICHEL. QUAND LA ‘DEUTSCHE WELLE’ RACONTE N’IMPORTE QUOI …

# LUCMICHEL. NET/ 

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 LM.NET - OPE DDR 06 deutsche welle (2016 08 18) FR

# I – QUE DIT LA RADIO ALLEMANDE ‘DEUTSCHE WELLE’ ?

L’article est diffusé dans la chronique L’ARBRE À PALABRE, débat à destination de l’Afrique, où « Pendant 25 minutes, acteurs politiques, représentants de la société civile, experts nationaux et internationaux, confrontent leurs vues sur les conflits et leur gestion, la mondialisation ou encore les effets du réchauffement de la planète ».

POURQUOI LA ‘DEUTSCHE WELLE’ ?

… L’ALLEMAGNE EST DE RETOUR EN AFRIQUE !

La Deutsche Welle s’intéresse à l’Afrique dans le cadre du « retour de l’Allemagne en Afrique » idéologisé par le Ministre Steinmeier.

Que veut l’Allemagne en Afrique ?

Les plans actuels de Berlin pour l’Afrique ont été clairement et publiquement exposés par le ministre des affaires étrangères allemand Steinmeier, artisan du retour de Berlin en Afrique, en 2014. A la mi-mai, Steinmeier a adopté les « Orientations de la politique africaine du gouvernement », un document-manifeste qui prône l’exploitation des vastes richesses africaines par un impérialisme allemand renaissant. En présentant ses « Orientations », le ministre allemand des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, a déclaré que l’Allemagne doit jeter son regard sur l’Afrique en « adaptant sa boîte à outils politique à la diversité de l’Afrique. » Berlin entend « agir préventivement et rapidement, d’une manière décisive et substantielle et fondée sur des valeurs et les droits de l’homme ». Berlin veut se servir de « toute la panoplie des dispositifs dans les domaines de la politique, de la sécurité, du développement, de la politique régionale, de l’économie, des sciences et de la culture » Y compris évidemment les interventions militaires de la Bundeswehr. Et les interventions des médias de Berlin, comme la Deutsche Welle ou Arte !

Ce qui est particulièrement inquiétant c’est la source où Berlin puise son inspiration pour ses nouveaux projets en Afrique. Dans son émission LE GRAND JEU. AU CŒUR DE LA GEOPOLITIQUE MONDIALE: LA GRANDE-ALLEMAGNE DE RETOUR/

PARTIE 2. UNE MENACE SUR L’AFRIQUE, Luc MICHEL évoquait aussi le IIIe Reich nazi, qui développa de grand projets allemands pour l’Afrique, et il expliquait que « ces plans nazis de 1934-44 inspirent aujourd’hui, dans une version adaptée au temps, les projets de la nouvelle politique africaine de Berlin ». Telle est la politique des patrons de la Deutsche Welle, qui ose diffamer Luc MICHEL …

* Revoir sur EODE-TV :

LE GRAND JEU. AU CŒUR DE LA GEOPOLITIQUE MONDIALE:

LA GRANDE-ALLEMAGNE DE RETOUR/PARTIE 2.

UNE MENACE SUR L’AFRIQUE

Sur https://vimeo.com/120234429

QUE DIT LA ‘DEUTSCHE WELLE’ DE LUC MICHEL ?

Extraits :

« le Belge Luc Michel est un habitué de certains palais présidentiels en Afrique. Que se cache-t-il derrière ces fréquentations? (…) Mardi 17 mai 2016, le président de République Démocratique du Congo, Joseph Kabila Kabange a reçu en sa résidence de Kinshasa le militant belge de l’extrême droite Luc Michel, président de Panafricom (PANAFRIcan action and support COMmittees). Avant l’étape de Kinshasa, Luc Michel était d’abord au Burundi où son tête à tête avec le président Pierre Nkurunziza a fait le tour des réseaux sociaux. Au cours des derniers mois, d’autres présidents africains ont reçu Luc Michel qui se présente comme un défenseur du panafricanisme. Il était chez l’Equato-Guinéen Obiang Nguema Mbassogo (nov. 2015) et chez Idriss Déby Itno du Tchad (Mars 2016). On constate donc que ces visites concernent des pays actuellement en crise ou dont les dirigeants sont la cible de sanctions ou de critiques de la communauté internationale pour leur gouvernance. Que cachent ces visites? Quel rôle joue le refus de l’interventionnisme dans ce genre de fréquentation ? Et à quoi cela peut-il aboutir ? »

Le reste est un ramassis de fausses informations, suivie d’un « débat » (sic) ubuesque, où trois « experts » (resic) parlent avec une prétention sans limite d’un sujet dont ils ignorent vraisemblablement tout. Voici donc le Droit de réponse que Luc MICHEL a du adresser selon la Loi allemande au Directeur Général de la Deutsche Welle pour remettre les pendules allemandes à la bonne heure …

# II – DROIT DE REPONSE DE LUC MICHEL, PRESIDENT DU PCN ET DE PANAFRICOM, ADRESSE A LA ‘DEUTSCHE WELLE’ (ALLEMAGNE)

Mis en cause de manière inacceptable et insultante dans un article de votre chronique L’« ARBRE À PALABRE » et intitulé « Que cherchent des militants d’extrême-droite européens en Afrique ? » publié par le site web de la DEUTSCHE WELLE et diffusé sur les ondes de votre radio, en date du 27 mai 2016, Luc MICHEL, président du PCN et de PANAFRICOM, tient à apporter les précisions et rectifications suivantes :

Votre article m’assimile à Jean-Marie Le Pen, fondateur du Front National français et me qualifie de « militant d’extrême-droite européen ». Les seuls rapports que j’ai jamais eu avec le Front National, en France et en Belgique, sont ceux d’ennemis politiques radicaux.

1/ Je ne suis pas un « militant néonazi » et n’ai jamais appartenu, ni comme dirigeant, ni comme cadre ou membre, à l’organisation française mentionnée abusivement par Wikipedia. Ma soi-disant « biographie » sur Wikipedia (et ses clones d’extrême-droite), qui a été rédigée pour me nuire et me déconsidérer par mes adversaires politiques, liés aux polices politiques de l’OTAN, comporte des éléments inexacts et, mensonge par omission, dissimule une grande partie de mon parcours politique réel. Je vous met au défi de produire un seul de mes nombreux écrits (j’ai publié plus de 16.000 éditoriaux depuis 1983) depuis 32 ans qui soit en faveur du Nazisme !

Les faits dissimulés par Wikipedia sont les suivants :

* Le PCN n’est pas un « parti d’extrême-droite » et encore moins « néonazi ». Accusation insultante proférée par nos adversaires politiques, en particulier au sein de l’appareil d’état belge. Les observateurs sérieux le constatent tous.

Par exemple, le COURRIER HEBDOMADAIRE DU CRISP (n° 1598-1599 . 1998), revue scientifique belge de sciences politiques – la référence en Belgique nous a-t-on dit à l’ULB – écrivait sur le PCN en 1999 ce qui suit : « Le programme et les actions du PCN sont en opposition avec les thèses racistes des formations d’extrême droite classiques. Ce parti se revendique du “Communautarisme européen” et est constitué, selon un document interne, de 7 tendances politiques (nationale-boIchévique, léniniste européenne, syndicaliste révolutionnaire, nationale-révolutionnaire, vert radicale, socialiste radicale et démocrate européenne) ».

François Heinderyckx professeur à L’INSTITUT DES SCIENCES POLITIQUES de L’UNIVERSITE LIBRE DE BRUXELLES, classait le PCN à l’occasion des élections européennes de 1999 et sur base de son programme parmi la « gauche révolutionnaire » (Dossier spécial Elections 1999, analyse des campagnes, consulté sur le site internet d’INFONIE, Belgique).

A noter aussi que L’ANTISEMITISM WORLD REPORT 1993, publié à Jérusalem par l’Institute of Jewish Studies, dans son édition anglaise, si il reproche au PCN son antisionisme, précise que “The PCN is not a far-right organisation”.

2 / Mes rapports avec le Front National sont fort simples : j’ai empêché le développement de ce parti en Belgique, qui a disparu au début de ce XXIe siècle. Et j’ai combattu et je continue à combattre radicalement le Front National en France.

* Je dirige depuis plus de 20 ans le COLLECTIF ANTINAZI « EUROPÄISCHER WIDERSTAND » (en référence à la Résistance allemande antinazie), qui combat précisément le néonazisme et le racisme.

J’ai été l’adversaire principal du Front National en Belgique, à qui j’ai brisé les reins en 1994-96 par mes actions politiques et judiciaires victorieuses devant les tribunaux belges. Je combat aussi le FN des Le Pen. En 1998, à l’élection partielle de Toulon (France) en avril 1998, nous présentions une liste intitulée : « PCN. LES JEUNES CONTRE LE PEN ET POUR L’INTERDICTION DU FN ».

* Notre Collectif a aussi combattu dans les pays baltes et en Moldavie pour le respect des droits des minorités ethniques, russophones notamment. Et contre la réhabilitation du nazisme par les états révisionnistes baltes et ukrainien.

Je n’ai aucune leçon d’antifascisme à recevoir de qui que ce soit !

3/ A la suite de votre introduction, reprenant ces informations totalement inexactes, s’ouvre alors un débat ubuesque où trois « experts », Joseph Vincent Ntuda Ebode (Université Yaounde II au Cameroun), Michel Galy politologue (Ileri – Institut des relations internationales) et Rémy Kasindi (Centre de recherches et d’études stratégiques en Afrique centrale), débattent pendant plus de vingt minutes sur ces faits inexacts, visiblement sans me connaître, sans se rendre compte une seule fois que dans votre introduction vous avez pourtant communiqué la donnée essentielle : c’est que je suis en Afrique non pas en tant que « militant d’extrême-droite » mais comme le président d’une organisation panafricaniste africaine (dont le Secrétariat-général est installé au Cameroun et dont le Secrétaire-général est le Camerounais Gilbert NKAMTO),l’Organisation Transnationale PANAFRICOM (PANAFRIcan action and support COMmittees), qui défend le « Néopanafricanisme », des comités étant présent en Afrique, en Europe et au Canada.

* Et c’est en tant que président de PANAFRICOM que j’ai été reçu par les présidents équato-guinéen Obiang Nguema Mbassogo (novembre 2015), tchadien Idriss Déby Itno (mars 2016), burundais Pierre Nkurunziza (mai 2016) et Joseph Kabila Kabange (mai 2016).

* J’ai pris la parole au nom de PANAFRICOM dans des réunions internationales consacrées au « nouveau Panafricanisme » : Colloque d’Abidjan (à l’Assemblée nationale, avril 2016), Conférence de Bujumbura (mai 2016), Café Politique du PPRD (Kinsasha, mai 2015), Conférence de Québec (juillet 2016).

* Parallèlement à mon action en Europe depuis plus de 30 ans, menée autour du « Néoeurasisme » (réinventé par ma Revue CONSCIENCE EUROPEENNE en 1984), j’ai un parcours panafricain de plus de 25 ans, commencé en Jamahiriya libyenne avec le MCR (Mouvement des Comités Révolutionnaires libyens), et qui m’a conduit à PANAFRICOM.

Mais aussi à la TV panafricaine AFRIQUE MEDIA, où je suis éditorialiste et producteur d’émissions de géopolitique (Grand Reporter, Grand Jeu). Ce que ne pouvais ignorer votre « expert » camerounais !

4/ Vous me prêtez par ailleurs des positions racistes et xénophobes. Vous écrivez à mon propos : « leur discours à une allure xénophobe » et vous illustrez votre article d’une manifestation du mouvement PEDIGA, xénophobe et raciste en Allemagne (Notre PCN, lui, soutient un autre mouvement, PEDAGA contre « l’américanisation de l’Europe »). Vous ajoutez : « que les discours nationalistes ciblent souvent les étrangers parmi lesquels les Africains ». Précisément, c’est tout ce qui m’oppose au Front National et à ses clones. Je suis en effet, ainsi que mon parti en Europe, le PCN, partisan d’une politique anti-raciste et anti-xénophobe depuis plus de 25 ans maintenant.

* Nous défendons notamment le droit de vote pour les immigrés à tous les niveaux d’élections ainsi que leur droit d’éligibilité sous le slogan « J’y suis, j’y vote ! » Le PCN a présenté en Belgique notamment la première femme arabe tête de liste aux élections régionales et législatives à Bruxelles, ainsi qu’un nombre important de candidats d’origine arabe ou africaine.

Comment croyez-vous que notre organisation, qui mène une action internationale sur les continents eurasien et africain, pourrait en Europe tenir un discours raciste ou xénophobe, et compter dans ses rangs bien entendu des militants arabes et africains ?

* J’ajouterai, puisque c’est un élément important de la xénophobie des formations d’extrême-droite européennes du type FN, que nous avons pris parti dès le début des années 80 pour l’entrée de la Turquie, que nous considérons comme une « province d’Europe », laïque et kémaliste, dans l’Union Européenne. Et cerise sur le gâteau, qui démontrera soit votre mauvaise fois, soit le manque de sérieux de vos informations, le N° 3 du PCN en Europe s’appelle Inanç KUTLU. Il est évidemment comme son nom l’indique Turc.

Je vous remercie donc de publier comme la loi vous en fait obligation et selon le prescrit de la Loi allemande, le droit de réponse ci-joint et de porter à la connaissance de vos auditeurs et de vos lecteurs les informations qu’il contient.

Luc MICHEL (18 août 2016).

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PCN-SPO

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CAMPAGNE DE ‘LUCMICHELBASHING’ A PROPOS DU BURUNDI ET DE LA RDC (5) : SECOND DROIT DE REPONSE DE LUCMICHEL ADRESSE A ‘IWACU’ (BURUNDI) …

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LM.NET - OPE DDR 05 second iwacu (2016 08 16) FR

# I – LES FAITS, ARUSHA II ETC

IWACU est au centre des attaques contre Luc MICHEL pour le volet « polémique sur les discussions d’ARUSHA II » (pas moins de quatre articles, largement repris dans la « nouvelle presse africaine », celle de Sorös). Ce second Droit de réponse vise à répondre aux falsifications de la soi-disant opposition burundaise sur Arusha II. Le ton des articles est contenu. Mais le Forum joint à chaque article lui déverse médiamensonges, diffamations et insultes ah hominem à plein tombereaux. Une façon maladroite de penser échapper aux responsabilités éditoriales, un média étant responsable du contenu de ses forums et autres couuriers de lecteurs …

IWACU est devenu le partenaire du MONDE AFRIQUE, directement sponsorisé par la fondation OSIWA de Georges Sorös, le financier des « révolutions de couleur ».

* Sur le Premier Droit de Réponse de Luc MICHEL

adressé à IWACU et ce média, lire :

http://www.lucmichel.net/2016/08/15/lucmichel-net-campagne-de-lucmichelbashing-a-propos-du-burundi-et-de-la-rdc-4-luc-michel-met-les-points-sur-les-i-avec-iwacu-burundi/

# II – SECOND DROIT DE REPONSE DE LUC MICHEL, PRESIDENT DU PCN ET DE PANAFRICOM,

ADRESSE AU WEBSITE IWACU (BURUNDI)

A nouveau mis en cause de manière inacceptable et insultante dans un article intitulé “Arusha en procès” (ainsi que dans les commentaires le suivant) publié sur le Website IWACU, en date du 17 mai 2016, Luc MICHEL, président du PCN et de PANAFRICOM, adresse à IWACU ce SECOND droit de réponse légal et tient à apporter les précisions suivantes :

Je suis diabolisé en permanence par vos médias et grossièrement insulté à la fois dans cet article et dans ses commentaires, traité notamment de « néonazi », insulte récurrente dans vos publications et leurs commentaires (ceci dans une série d’articles débutant le 1er mai 2015). Je déplore ce ton insultant, reprise de ragots issus de mes adversaires politiques les moins malins, qui vous déconsidère. L’insulte abaisse toujours l’insulteur ! Elle révèle aussi l’absence d’arguments sérieux pour débattre. Rien ne concerne mes engagements réels.  Le lecteur jugera !

A PROPOS DES DISCUSSIONS DE « ARUSHA II » !

Dans une série d’articles, dont celui du 17 mai 2016, tous consacrés aux discussions de « Arusha II », vous me mettez en cause, me diabolisez et diffusez de fausses informations.

Je n’occupe pas de position au sein du gouvernement du Burundi ou du Cabinet présidentiel, et donc je ne suis pas « conseiller du président », fonction officielle.

Mais je suis une voix qui est écoutée en Afrique et ailleurs, au Burundi comme dans de nombreux pays africains, et notamment par des présidents africains, sur AFRIQUE MEDIA TV, le Net ou les réseaux sociaux où je suis largement suivi. Ma récente visite au Canada et la Conférence de Québec « Les vraies raisons de la crise de 2015 au Burundi » ont à nouveau démontrés mon audience !

Lors de ma visite au Burundi, j’ai été l’invité principal d’une grande Conférence, intitulée « Le Burundi au cœur du Panafricanisme », organisée à titre privé et pas par les autorités, mais diffusée par la RTNB, et où j’ai présenté les thèses du « NEOPANAFRICANISME » de PANAFRICOM (comme je l’avais fait quelques semaines auparavant à l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire). Lors du dialogue avec le public, on m’a demandé mon avis sur la participation du gouvernement démocratiquement élu du Burundi à ces pourparlers. Et j’ai pris position contre cette participation, piège politique et diplomatique tendu par les régimes occidentaux hostiles à Bujumbura. Depuis, en juin dernier, le parti présidentiel CNDD-FDD a pris lui aussi position contre « Arusha II ». Preuve que ma position n’était ni isolée ni critiquée à Bujumbura, et certainement pas par les participants à cette Conférence (majorité, opposition patriotique et société civile).

A PROPOS DE LA RUSSIE ET DU PRESIDENT POUTINE …

En mars 2014, l’ONG EODE (Eurasian Observatory for Democracy and Elections, dont la branche africaine est dirigée par le camerounais Gilbert Nkamto, et s’appelle EODE-AFRICA), sous ma direction, a organisé le Monitoring du Référendum d’autodétermination de Crimée et de Sébastopol, à la demande du Parlement de Crimée. Ce monitoring qui s’est fait contre la volonté des chancelleries de l’OTAN, et où EODE a damé le pion à l’OTAN et à l’OSCE, m’a valu une gigantesque campagne de diabolisation et de diffamation (plus de 2.500 articles ou émissions contre EODE et moi-même). On retrouve dans les commentaires de votre article du 17 mai des remugles nauséabonds de cette campagne de 2014.

On lit notamment dans vos colonnes ce qui suit : « le Burundi est un pion dont se sert le Maître de Toutes les Russies, pour enquiquiner l’Occident – les affinités entre Luc Michel et Vladimir Poutine ou les instances du Kremlin sont apparues assez clairement lors de la crise de l’Ukraine ». Thèse audacieuse dont je vous laisse seul juge, mais qui tendrait à faire croire à vos lecteurs que la Russie serait en embuscade derrière moi. Non je ne suis pas au Burundi la main ou l’œil du Kremlin, et EODE ou EODE-AFRICA ne sont pas présentes au Burundi ! Il est par contre exact que je suis l’avocat, non pas du diable russe, mais du « retour de Moscou en Afrique », allié essentiel pour dégager l’Afrique du néocolonialisme de Washington, Paris, Berlin, Londres ou Bruxelles.

JE NE SUIS PAS « UN NEONAZI ANTIAMERICAIN » !

Venons-en aux idées politiques et aux thèses géopolitiques que je professe.

Vous écrivez notamment « Il est décrit par la presse internationale comme un « néonazi antiaméricain »». Ceci est l’avis diabolisateur des médias de l’OTAN, dans des soi-disant « biographies », non soumises au Droit de réponse ou à rectificatif, et initié par les polices politiques de l’OTAN et mes adversaires. Tous, comme IWACU, écrivent à charge, ommettent volontairement mes véritables positions et une grande partie de mon vrai parcours politique, commencé en 1972 (dans la mouvance pro-palestinienne). Mais ce n’est pas l’avis de la presse russe, iranienne, syrienne, ou encore de nombreux médias africains, qui sollicitent et publient mes thèses depuis de nombreuses années.

Je ne suis pas un « militant néonazi » et n’ai jamais appartenu, ni comme dirigeant, ni comme cadre ou membre, à l’organisation française mentionnée abusivement par Wikipedia. Ma soi-disant « biographie » sur Wikipedia (et ses clones d’extrême-droite), qui a été rédigée pour me nuire et me déconsidérer par mes adversaires politiques, liés aux polices politiques de l’OTAN, comporte des éléments inexacts et, mensonge par omission, dissimule une grande partie de mon parcours politique réel. Je vous met au défi de produire un seul de mes nombreux écrits (j’ai publié plus de 16.000 éditoriaux depuis 1983) depuis 32 ans qui soit en faveur du Nazisme.

Les faits dissimulés par Wikipedia sont les suivants :

* Je dirige depuis plus de 20 ans le COLLECTIF ANTINAZI « EUROPÄISCHER WIDERSTAND » (en référence à la Résistance allemande antinazie), qui combat précisément le néonazisme et le racisme.

J’ai été l’adversaire principal du Front National en Belgique, à qui j’ai brisé les reins en 1994-96 par mes actions politiques et judiciaires victorieuses devant les tribunaux belges. Je combat aussi le FN des Le Pen. En 1998, à l’élection partielle de Toulon (France) en avril 1998, nous présentions une liste intitulée : « PCN. LES JEUNES CONTRE LE PEN ET POUR L’INTERDICTION DU FN ».

Notre Collectif a aussi combattu dans les pays baltes et en Moldavie pour le respect des droits des minorités ethniques, russophones notamment. Et contre la réhabilitation du nazisme par les états révisionnistes baltes et ukrainien.

Tout ceci fait l’objet de publications scientifiques (notamment Universités de Cracovie, de Paris et de Liège) dissimulées par mes diffamateurs.

Je n’ai aucune leçon d’antifascisme à recevoir de qui que ce soit !

* Le PCN n’est pas un « parti d’extrême-droite » et encore moins « néonazi ». Accusation insultante proférée par nos adversaires politiques, en particulier au sein des appareils d’état belge et français. Les observateurs sérieux le constatent tous.

Par exemple, le COURRIER HEBDOMADAIRE DU CRISP (n° 1598-1599 . 1998), revue scientifique belge de sciences politiques – la référence en Belgique nous a-t-on dit à l’ULB – écrivait sur le PCN en 1999 ce qui suit : « Le programme et les actions du PCN sont en opposition avec les thèses racistes des formations d’extrême droite classiques. Ce parti se revendique du “Communautarisme européen” et est constitué, selon un document interne, de 7 tendances politiques (nationale-boIchévique, léniniste européenne, syndicaliste révolutionnaire, nationale-révolutionnaire, vert radicale, socialiste radicale et démocrate européenne) ».

François Heinderyckx professeur à L’INSTITUT DES SCIENCES POLITIQUES de L’UNIVERSITE LIBRE DE BRUXELLES, classait le PCN à l’occasion des élections européennes de 1999 et sur base de son programme parmi la « gauche révolutionnaire » (Dossier spécial Elections 1999, analyse des campagnes, consulté sur le site internet d’INFONIE, Belgique).

A noter aussi que L’ANTISEMITISM WORLD REPORT 1993, publié à Jérusalem par l’Institute of Jewish Studies, dans son édition anglaise, si il reproche au PCN son antisionisme, précise que “The PCN is not a far-right organisation”.

MON PARCOURS PANAFRICANISTE DEPUIS PLUS DE 25 ANS …

* Je dirige une ORGANISATION PANAFRICANISTE, PANAFRICOM (PANAFRIcan action and support COMmittees), qui défend le « Néopanafricanisme », des comités étant présent en Afrique, en Europe et au Canada. Le SG pour notre « réseau Afrique », Gilbert NKAMTO, est camerounais.

C’est en tant que président de PANAFRICOM que j’ai été reçu par les présidents équato-guinéen Obiang Nguema Mbassogo (avril 2015), tchadien Idriss Déby Itno (mars 2016), burundais Pierre Nkurunziza (mai 2016) et Joseph Kabila Kabange (mai 2016).

J’ai pris la parole au nom de PANAFRICOM dans des réunions internationales consacrées au « nouveau Panafricanisme » : Colloque d’Abidjan (à l’Assemblée nationale, avril 2016), Conférence de Bujumbura (mai 2016), Café Politique du PPRD (Kinsasha, mai 2015), Conférence de Québec (juillet 2016).

* Parallèlement à mon action en Europe depuis plus de 30 ans, menée autour du « Néoeurasisme » (réinventé par ma Revue CONSCIENCE EUROPEENNE en 1984), j’ai un parcours panafricain de plus de 25 ans, commencé en Jamahiriyah libyenne avec le MCR, et qui m’a conduit à PANAFRICOM.

Mais aussi à la TV panafricaine AFRIQUE MEDIA, où je suis éditorialiste et producteur d’émissions de géopolitique (Grand Reporter, Grand Jeu).

Luc MICHEL (15 août 2016)

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CAMPAGNE DE ‘LUCMICHELBASHING’ A PROPOS DU BURUNDI ET DE LA RDC (4) LUC MICHEL MET LES POINTS SUR LES ‘I’ AVEC ‘IWACU’ (BURUNDI) …

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LM.NET - OPE DDR 04 premier iwacu (2016 08 12) FR

# I –  LES FAITS : ‘IWACU’ ET LA CAMPAGNE DE DESTABILISATION CONTRE LUC MICHEL

IWACU est au centre des attaques contre Luc MICHEL pour le volet « polémique sur les discussions d’ARUSHA II » (pas moins de quatre articles, largement repris dans la « nouvelle presse africaine », celle de Sorös). Le ton des articles est contenu. Mais le Forum joint à chaque article lui déverse médiamensonges, diffamations et insultes ah hominem à plein tombereaux. Une façon maladroite de penser échapper aux responsabilités éditoriales, un média étant responsable du contenu de ses forums et autres couuriers de lecteurs …

IWACU DANS L’ILLEGALITE !

Antoine Kaburahe, directeur des publications d’Iwacu, « a dû s’exiler en Belgique à l’automne 2015. Menacé dans son pays, il continue de diriger à distance le dernier média indépendant du Burundi », se vante-t-il sur son website. Le souci c’est que sur le même site il s’en dit le Directeur de publication et donne, comme le requiert la Loi burundaise, une asresse à Bujumbura. Le principe de la fonction de « directeur de publication » (identique à celle de l’ « éditeur responsable » de droit belge), c’est précisément d’être présent sur le territoire où est établi le média, de pouvoir comparaître en justice, et, s’il échet, de pouvoir être condamné.

Réfugié en Belgique, Antoine Kaburahe ne peut plus donc l’être.

Soit le site reste de droit burundais et il est dans l’illégalité. Soit IWACU est de facto devenu un média établi en Belgique et là aussi est en défaut. Comme le site du CNARED, les « opposants burundais » semble bien légers vis-à-vis de leurs obligations légales !

MAIS AU FAIT C’EST QUOI ET QUI ‘IWACU’ ???

IWACU est devenu le partenaire du MONDE AFRIQUE, directement sponsorisé par la fondation OSIWA de Georges Sorös, le financier des « révolutions de couleur » (1). Pour ceux qui nous accusent de « complotisme » ! « Open Society Initiative for West Africa (OSIWA) est membre du réseau mondial des Fondations Open Society initiées en 1993 par le milliardaire américain d’origine hongroise George Soros », explique sans vergogne le quotidien parisien.

Parmi Les soutiens d’IWACU, le Parlement belge (l’ancien mandataire colonial, responsable direct de la haine ethnique importée au Burundi). Son directeur Antoine Kaburahe, qui a pris la nationalité belge, ayant même obtenu une « subvention du ministère belge des Affaires étrangères ». Il reconnaît que IWACU « vit sous perfusion de l’aide étrangère » ! Il explique aussi que « Mi-novembre (2015), des convocations du procureur (du Burundi) pleuvent. Il serait impliqué dans le coup d’Etat de mai alors qu’il se trouve en Europe… Comme pour un vulgaire criminel, le procureur lance un mandat d’arrêt international et une demande d’extradition. Depuis, le directeur du groupe de presse d’Iwacu se trouve en Europe ».

Le site est aussi soutenu par la Mairie de Paris et le PS français (Anne Hidalgo).

On notera à ce sujet que ce sont les mêmes réseaux du PS et de la sociale-démocratie franco-belge qui ont organisé l’opposition équato-guinéenne fantoche, la CORED (en pleine décrépitude) (2). Voir la similitude de sigle (sur le soi-disant « rétablissement de l’état démocratique ») entre CORED et CNARED « burundaise » …

(1) Voir mon interview pour la radio russe :

LUC MICHEL ANALYSE LES RESEAUX AMERICAINS QUI MANIPULENT LA PRESSE AFRICAINE / SUR RADIO SPUTNIK (6 JUIN 2015)

Podcast sur https://vimeo.com/130537885

(2) Lire mon enquête :

DESTABILISATION DE L’AFRIQUE MADE IN USA :

COMMENT LA PRESSE AFRICAINE SE FAIT INTOXIQUER PAR LES ‘SONDAGES’ DES VITRINES LEGALES DE LA CIA !

Sur http://www.palestine-solidarite.org/analyses.luc_michel.280515.htm

# II – PREMIER DROIT DE REPONSE DE LUC MICHEL,

PRESIDENT DU PCN ET DE PANAFRICOM,

ADRESSE AU WEBSITE IWACU (BURUNDI)

Mis en cause de manière inacceptable et insultante dans un article intitulé “Amahoro Burundi : Le dialogue vecteur de culture de la paix et de la Réconciliation” (dans les commentaires) publié sur le Website IWACU, en date du 13 mai 2016, Luc MICHEL, président du PCN et de PANAFRICOM, tient à apporter les précisions suivantes :

Je suis grossièrement insulté dans les commentaires de cet article de « neo nazi belge » (sic), insulte récurrente dans vos publications et leurs commentaires (notamment en date du 6 mai 2015). Je déplore ce ton insultant, reprise de ragots issus de mes adversaires politiques les moins malins, qui vous déconsidère. L’insulte abaisse toujours l’insulteur ! Elle révèle aussi l’absence d’arguments sérieux pour débattre. Rien ne concerne mes engagements réels.  Le lecteur jugera !

Je ne suis pas un « militant néonazi » et n’ai jamais appartenu, ni comme dirigeant, ni comme cadre ou membre, à l’organisation française mentionnée abusivement par Wikipedia. Ma soi-disant « biographie » sur Wikipedia (et ses clones d’extrême-droite), qui a été rédigée pour me nuire et me déconsidérer par mes adversaires politiques, liés aux polices politiques de l’OTAN, comporte des éléments inexacts et, mensonge par omission, dissimule une grande partie de mon parcours politique réel. Je vous met au défi de produire un seul de mes nombreux écrits (j’ai publié plus de 16.000 éditoriaux depuis 1983) depuis 32 ans qui soit en faveur du Nazisme.

Les faits dissimulés par Wikipedia sont les suivants :

* Je dirige depuis plus de 20 ans le COLLECTIF ANTINAZI « EUROPÄISCHER WIDERSTAND » (en référence à la Résistance allemande antinazie), qui combat précisément le néonazisme et le racisme.

J’ai été l’adversaire principal du Front National en Belgique, à qui j’ai brisé les reins en 1994-96 par mes actions politiques et judiciaires victorieuses devant les tribunaux belges. Je combat aussi le FN des Le Pen. En 1998, à l’élection partielle de Toulon (France) en avril 1998, nous présentions une liste intitulée : « PCN. LES JEUNES CONTRE LE PEN ET POUR L’INTERDICTION DU FN ».

Notre Collectif a aussi combattu dans les pays baltes et en Moldavie pour le respect des droits des minorités ethniques, russophones notamment. Et contre la réhabilitation du nazisme par les états révisionnistes baltes et ukrainien.

Je n’ai aucune leçon d’antifascisme à recevoir de qui que ce soit !

* Le PCN n’est pas un « parti d’extrême-droite » et encore moins « néonazi ». Accusation insultante proférée par nos adversaires politiques, en particulier au sein de l’appareil d’état belge. Les observateurs sérieux le constatent tous.

Par exemple, le COURRIER HEBDOMADAIRE DU CRISP (n° 1598-1599 . 1998), revue scientifique belge de sciences politiques – la référence en Belgique nous a-t-on dit à l’ULB – écrivait sur le PCN en 1999 ce qui suit : « Le programme et les actions du PCN sont en opposition avec les thèses racistes des formations d’extrême droite classiques. Ce parti se revendique du “Communautarisme européen” et est constitué, selon un document interne, de 7 tendances politiques (nationale-boIchévique, léniniste européenne, syndicaliste révolutionnaire, nationale-révolutionnaire, vert radicale, socialiste radicale et démocrate européenne) ».

François Heinderyckx professeur à L’INSTITUT DES SCIENCES POLITIQUES de L’UNIVERSITE LIBRE DE BRUXELLES, classait le PCN à l’occasion des élections européennes de 1999 et sur base de son programme parmi la « gauche révolutionnaire » (Dossier spécial Elections 1999, analyse des campagnes, consulté sur le site internet d’INFONIE, Belgique).

A noter aussi que L’ANTISEMITISM WORLD REPORT 1993, publié à Jérusalem par l’Institute of Jewish Studies, dans son édition anglaise, si il reproche au PCN son antisionisme, précise que “The PCN is not a far-right organisation”.

* Je dirige une ORGANISATION PANAFRICANISTE, PANAFRICOM (PANAFRIcan action and support COMmittees), qui défend le « Néopanafricanisme », des comités étant présent en Afrique, en Europe et au Canada. Le SG pour notre « réseau Afrique », Gilbert NKAMTO, est camerounais.

C’est en tant que président de PANAFRICOM que j’ai été reçu par les présidents équato-guinéen Obiang Nguema Mbassogo (avril 2015), tchadien Idriss Déby Itno (mars 2016), burundais Pierre Nkurunziza (mai 2016) et Joseph Kabila Kabange (mai 2016).

J’ai pris la parole au nom de PANAFRICOM dans des réunions internationales consacrées au « nouveau Panafricanisme » : Colloque d’Abidjan (à l’Assemblée nationale, avril 2016), Conférence de Bujumbura (mai 2016), Café Politique du PPRD (Kinsasha, mai 2015), Conférence de Québec (juillet 2016).

* Parallèlement à mon action en Europe depuis plus de 30 ans, menée autour du « Néoeurasisme » (réinventé par ma Revue CONSCIENCE EUROPEENNE en 1984), j’ai un parcours panafricain de plus de 25 ans, commencé en Jamahiriyah libyenne avec le MCR, et qui m’a conduit à PANAFRICOM.

Mais aussi à la TV panafricaine AFRIQUE MEDIA, où je suis éditorialiste et producteur d’émissions de géopolitique (Grand Reporter, Grand Jeu).

Luc MICHEL (12 août 2016)

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CAMPAGNE DE ‘LUCMICHELBASHING’ A PROPOS DU BURUNDI ET DE LA RDC (3) LES VERITABLES QUESTIONS. POURQUOI ON DIFFAME ET CENSURE LUC MICHEL ? PAR QUI ET POURQUOI EST-IL DIABOLISE ???

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LM.NET - OPE DDR 03 diabolisation pcn (2016 08 12) FR

 « Plus le mensonge est gros plus il sera cru »

– Joseph Goebbels, ministre de la propagande du IIIe Reich.

Pourquoi on diffame et censure Luc MICHEL, le PCN ou PANAFRICOM ?

Quels sont les véritables enjeux ???

L’accusation « d’extrême-droite » ou de “fascisme” contre le PCN ou Luc MICHEL ne repose sur rien. Elle vise à salir, c’est typiquement précisément la méthode FASCISTE. Et ce n’est pas un hasard si les auteurs identifiés de cette « propagande noire » sont un réseau sectaire proche du FN ou encore un théoricien du complot.

PAR QUI ET POURQUOI LUC MICHEL ET LE PCN SONT-ILS DIABOLISE ???

Ces accusations visent surtout à diaboliser le PCN ou Luc MICHEL !

Comme nous le lisons dans le livre de Pierre André Taguieff  (cynique, qui lui-même n’hésite pourtant jamais à diaboliser ses adversaires) intitulé « DU DIABLE EN POLITIQUE. REFLEXIONS SUR L’ANTILEPENISME ORDINAIRE » : « la diabolisation implique une déshumanisation de l’autre. Il s’agit à la fois de faire peur et de faire haïr, pour faire agir dans un certain sens. Diaboliser c’est dénoncer et condamner un individu ou un groupe assimilé à une incarnation du Mal et partant créer un ennemi absolu, absolument redoutable et haïssable, contre lequel tout est permis ». Voilà la logique dans laquelle se trouvent nos détracteurs, raison pour laquelle ils essaient d’obstruer notre chemin par crainte que la vérité soit dite au grand jour.

POURQUOI CETTE DIABOLISATION ?

Il n’y a pas grand chose à dire sur Luc MICHEL. Pensée rationnelle et solide, vie militante ascétique depuis plus de 40 ans (cursus politique commencé à 14 ans, en 1972, dans la mouvance pro-palestinienne), casier judiciaire vierge, une impressionnante quantité de procès tentés contre lui et tous gagnés … Il fallait donc trouver quelque chose. Le voilà donc taxé de « militant néonazi » (sic), et le PCN qu’il a fondé et dirige depuis 1984 de « parti néonazi » (resic). Voilà le seul argument trouvé contre lui. En Europe ou en Afrique. Argument à l’usage des malhonnêtes et des imbéciles (ce sont souvent les mêmes), qui ne savent pas faire une recherche sur le Net …

Derrière la recherche historique ou idéologique, derrière le commentaire politique, il y a en fait des enjeux politiques évidents. Les polices politiques en sont bien conscientes, qui ont envahi le domaine universitaire. Les sectes aussi. Nos ennemis appartiennent aux deux. Et Wikipedia, non pas « encyclopédie » mais officine de désinformation dès que l’on y aborde les sujets sensibles pour l’OTAN, en est l’illustration …

QUE DISENT DU PCN LES SPECIALISTES SERIEUX DES SCIENCES POLITIQUE ?

Place aux analyses SERIEUSES donc, pour un autre son de cloche !

Il faut lire ce que disent du PCN, non pas ses ennemis ou les barbouzes des polices politiques de l’OTAN (ce sont souvent les mêmes), mais les politologues et les spécialistes des Sciences politiques :

* François Heinderyckx professeur à l’INSTITUT DES SCIENCES POLITIQUES de l’ULB (Université Libre de Bruxelles), classait le PCN à l’occasion des élections européennes de 1999 parmi la « gauche révolutionnaire » (Dossier spécial Elections 1999, analyse des campagnes, consulté sur le site internet d’INFONIE, Belgique).

* A noter aussi que l’ANTISEMITISM WORLD REPORT 1993, publié à Jérusalem par l’INSTITUTE OF JEWISH STUDIES, dans son édition anglaise, si il reproche au PCN son antisionisme, précise que “The PCN is not a far-right organisation”.

* Le COURRIER HEBDOMADAIRE DU CRISP (n° 1598-1599 . 1998), revue scientifique belge de sciences politiques éditée par le CENTRE DE RECHERCHE DE L’INSTITUT DES SCIENCES POLITIQUES (CVRISP) – la référence en Belgique nous a-t-on dit à l’ULB – écrivait sur le PCN en 1999 ce qui suit : « Le programme et les actions du PCN sont en opposition avec les thèses racistes des formations d’extrême droite classiques. Ce parti se revendique du “Communautarisme européen” et est constitué, selon un document interne, de 7 tendances politiques (nationale-boIchévique, léniniste européenne, syndicaliste révolutionnaire, nationale-révolutionnaire, vert radicale, socialiste radicale et démocrate européenne) ».

Les auteurs de ce ” rectificatif ” sont les dirigeant respectifs du site antifa « RésistanceS » et du « Front Antifasciste », qui étiquettent aussi le PCN comme « parti national-communiste ».

* Dans son édition consacrée aux élections législatives belges de 1999 (n° 6, printemps 1999), le même « RésistanceS » dressait la liste de toutes les formations d’extrême-droite belges. Le PCN n’y figure pas et est repris parmi les « formations alternatives susceptibles d’enlever des voix à l’extrême-droite ».

* Christophe Bourseiller, spécialiste reconnu du sujet, situe le PCN dans son livre LES ENNEMIS DU SYSTEME parmi les « nationalistes de gauche ».

* Le journal LE MONDE (5 mai 1998), classe la liste du PCN à l’élection partielle de Toulon d’Avril 1998 parmi « l’extrême-gauche ». VAR-MATIN précise que cette liste s’intitulait « Les jeunes contre Le Pen et pour l’interdiction du FN ».

* Enfin, le CVIPMA, un site antifa français des Années 2005-2007 proche du PCF, nous classait comme « antifascistes idéologiques » et « staliniens aigus » », à propos de EUROPÄISCHER WIDERSTAND (en réfétrence à la Résistance allemande antinazie de 1933-45), le Collecti antinazi du PCN créé en 1994. Car le PCN a son Collectif antinazi, avec lequel Luc MICHEL a brisé les  reins du FN belge en 1994-96 ! Ca aussi vous ne l’avez pas lu dans les Wikipedia – Libération – RTBF et cie …

Mais peut-être ces spécialistes, qui ont tous longuement étudié le PCN, sont-ils moins qualifiés que nos ennemis ou que Wikipeida, dont la seule compétence est la haine du PCN ou le service de l’OTAN ?

* Photo : NATSIA EVROPA,

une revue antifasciste du PCN éditée en Russe et Français en mai 2005

pour la victoire soviétique des 8-9 mai sur le Nazisme …

Wikipedia et cie vous auraient-ils encore menti ?

KH / PCN-SPO

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CAMPAGNE DE ‘LUCMICHELBASHING’ A PROPOS DU BURUNDI ET DE LA RDC (2) : CINGLANTE REPONSE DE LUC MICHEL AUX MEDIAMENSONGES DU CNARED (BURUNDI) !

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 LM.NET - OPE DDR 02 cnared.info (2016 08 11) FR

DROIT DE REPONSE DE LUC MICHEL,

PRESIDENT DU PCN ET DE PANAFRICOM,

ADRESSE AU WEBSITE CNARED. INFO

Ce 11 août 2016 :

Mis en cause de manière inacceptable et insultante dans un article intitulé “Le Néonazi Luc Michel en campagne d’endoctrinement au Burundi” publié sur le Website CNARED.INFO, en date du 12 mai 2016, Luc MICHEL, président du PCN et administrateur-général de l’ONG EODE, tient à apporter les précisions suivantes :

Je déplore le ton insultant de votre article, collection de fantasmes et de ragots issus de mes adversaires politiques les moins malins, qui vous déconsidère : « sadique », « Néonazi et criminel » (repris de mon ennemi politique en Libye et en Ukraine BHL, pour info mon casier judiciaire est vierge), « fou », « consultant et défenseur des grands dictateurs du monde », « sa spécialité consiste à défendre le mal absolu », « trader-manager en dictature, en mauvaise gouvernance », « il n’a pas pu sauver Gbagbo, Compaoré » (que je n’ai jamais défendu, je suis Sankariste), etc. L’insulte abaisse toujours l’insulteur ! Elle révèle aussi l’absence d’arguments sérieux pour débattre. Rien ne concerne mes engagements réels.  Le lecteur jugera !

Je ne suis pas un « militant néonazi » et n’ai jamais appartenu, ni comme dirigeant, ni comme cadre ou membre, à l’organisation française mentionnée abusivement par Wikipedia. Ma soi-disant « biographie » sur Wikipedia (et ses clones d’extrême-droite), qui a été rédigée pour me nuire et me déconsidérer par mes adversaires politiques, liés aux polices politiques de l’OTAN, comporte des éléments inexacts et, mensonge par omission, dissimule une grande partie de mon parcours politique réel. Je vous met au défi de produire un seul de mes nombreux écrits (j’ai publié plus de 16.000 éditoriaux depuis 1983) depuis 32 ans qui soit en faveur du Nazisme.

Les faits dissimulés par Wikipedia sont les suivants :

* Je dirige depuis plus de 20 ans le COLLECTIF ANTINAZI « EUROPÄISCHER WIDERSTAND » (en référence à la Résistance allemande antinazie), qui combat précisément le néonazisme et le racisme.

J’ai été l’adversaire principal du Front National en Belgique, à qui j’ai brisé les reins en 1994-96 par mes actions politiques et judiciaires victorieuses devant les tribunaux belges. Je combat aussi le FN des Le Pen. A l’élection partielle de Toulon (France) en avril 1998, nous présentions une liste intitulée : « PCN. LES JEUNES CONTRE LE PEN ET POUR L’INTERDICTION DU FN ».

Notre Collectif a aussi combattu dans les pays baltes et en Moldavie pour le respect des droits des minorités ethniques, russophones notamment. Et contre la réhabilitation du nazisme par les états révisionnistes baltes et ukrainien.

Je n’ai aucune leçon d’antifascisme à recevoir de qui que ce soit !

* Le PCN n’est pas un « parti d’extrême-droite » et encore moins « néonazi ». Accusation insultante proférée par nos adversaires politiques, en particulier au sein de l’appareil d’état belge. Les observateurs sérieux le constatent tous.

Par exemple, le COURRIER HEBDOMADAIRE DU CRISP (n° 1598-1599 . 1998), revue scientifique belge de sciences politiques – la référence en Belgique nous a-t-on dit à l’ULB – écrivait sur le PCN en 1999 ce qui suit : « Le programme et les actions du PCN sont en opposition avec les thèses racistes des formations d’extrême droite classiques. Ce parti se revendique du “Communautarisme européen” et est constitué, selon un document interne, de 7 tendances politiques (nationale-boIchévique, léniniste européenne, syndicaliste révolutionnaire, nationale-révolutionnaire, vert radicale, socialiste radicale et démocrate européenne) ».

François Heinderyckx professeur à L’INSTITUT DES SCIENCES POLITIQUES de L’UNIVERSITE LIBRE DE BRUXELLES, classait le PCN à l’occasion des élections européennes de 1999 et sur base de son programme parmi la « gauche révolutionnaire » (Dossier spécial Elections 1999, analyse des campagnes, consulté sur le site internet d’INFONIE, Belgique).

A noter aussi que L’ANTISEMITISM WORLD REPORT 1993, publié à Jérusalem par l’Institute of Jewish Studies, dans son édition anglaise, si il reproche au PCN son antisionisme, précise que “The PCN is not a far-right organisation”.

* Je dirige une ORGANISATION PANAFRICANISTE, PANAFRICOM (PANAFRIcan action and support COMmittees), qui défend le « Néopanafricanisme », des comités étant présent en Afrique, en Europe et au Canada. Le SG pour notre « réseau Afrique », Gilbert NKAMTO, est camerounais.

C’est en tant que président de PANAFRICOM que j’ai été reçu par les présidents équato-guinéen Obiang Nguema Mbassogo (avril 2015), tchadien Idriss Déby Itno (mars 2016), burundais Pierre Nkurunziza (mai 2016) et Joseph Kabila Kabange (mai 2016).

J’ai pris la parole au nom de PANAFRICOM dans des réunions internationales consacrées au « nouveau Panafricanisme » : Colloque d’Abidjan (à l’Assemblée nationale, avril 2016), Conférence de Bujumbura (mai 2016), Café Politique du PPRD (Kinsasha, mai 2015), Conférence de Québec (juillet 2016).

* Parallèlement à mon action en Europe depuis plus de 30 ans, menée autour du « Néoeurasisme » (réinventé par ma Revue CONSCIENCE EUROPEENNE en 1984), j’ai un parcours panafricain de plus de 25 ans, commencé en Jamahiriyah libyenne avec le MCR, et qui m’a conduit à PANAFRICOM.

Mais aussi à la TV panafricaine AFRIQUE MEDIA, où je suis éditorialiste et producteur d’émissions de géopolitique (Grand Reporter, Grand Jeu).

Enfin, vous mettez en cause mon honneur et ma probité.

Vous affirmez sans preuves que « le sulfureux belge rassasié, ses poches bien remplies par-ci, perdîmes et honoraires assurés par-là, nous conseille l’option de la guerre ! Eh oui ! Il aurait déjà empoché 90.000 euros comme avance pour ses services, de l’argent  pompés dans les derniers deniers publics ». Mon soutien à la cause juste du Burundi ne se monnaie pas et vos accusations inventées purement et simplement, ce qui révèle de curieuses méthodes. Je vous met donc au défi de produire les preuves de vos assertions !

Luc MICHEL (11 août 2016)

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CAMPAGNE DE ‘LUCMICHELBASHING’ A PROPOS DU BURUNDI ET DE LA RDC (1) : LE TEMPS DE LA RIPOSTE EST ARRIVE !

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LM.NET - OPE DDR 01 cnared hors la loi (2016 08 11) FR

Diffamations, médiamensonges, diabolisation, insultes et attaques ad hominem à tous les étages ! Une violente campagne de « Michelbashing » a été lancée à l’occasion des visites officielles de Luc MICHEL au Burundi (avril-mai 2016) et en RDC (mai 2016), où il avait été reçu par les Présidents Nkurunziza et Kabila. Plus violente encore que celle du printemps 2014 à l’occasion du Monitoring du Référendum d’autodétermination de la Crimée et de Sébastopol, organisé par l’Ong EODE que dirige Luc MICHEL, et où il avait damné le pion à l’OTAN et à l’OSCE en soutien de la Russie. Cette campagne vient de connaître une nouvelle étape avec la visite très réussie de Luc MICHEL, en compagnie du conseiller Willy Nyamitwe (Présidence du Burundi) au Canada et au Québec. Où la Communauté du Burundi leur a fait un triomphe et où l’opposition fantoche s’est effondrée. Des journaux internationaux comme LA PRESSE.CA (Québec) et LIBERATION (Paris) se sont associés au « Michelbashing » …

Trop c’est trop !

Voici donc venir le temps de la riposte, la réquisition de droits de réponse (des dizaines seront exigés des médias peu scrupuleux) et sans doute d’actions judiciaires. Les ennemis de Luc MICHEL se souviendront qu’il avait « la réputation légendaire » (dixit LE SOIR) en Belgique dans les Années 1980-90 d’être « un spécialiste du droit de réponse » et de ses nombreuses actions devant les tribunaux.

FAUX WEBSITE BURUNDAIS ETABLI EN BELGIQUE :

LE CNARED DANS L’ILLEGALITE !

Qui dit Opposition fantoche burundaise pense ilmmédiatement au CNARED, marionnettisé par Washington et Bruxelles (l’ex mandataire colonial). Le premier Droit de réponse de Luc MICHEL a donc été adressé au website CNARED.INFO …

… Et surprise, voici le site et les dirigeants du CNARED en pleine illégalité.

Les dirigeants du CNARED se trouvent en Belgique (ce que montre chaque jour l’actualité) et leur site se déclare faussement situé au Burundi, la Loi belge est bien d’application. Aucun éditeur responsable n’étant mentionné, le site se trouvant donc en défaut de ses obligations légales. Luc MICHEL se réserve dès lors le droit de déposer plainte au pénal pour le non respect de leurs obligations légales, à savoir la mention d’un éditeur responsable, façon maladroite de tenter d’échapper à vos responsabilités éditoriales.

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Appendino “sfratta” la Tav

12:56 Sabato 20 Agosto 2016 0

La denuncia del senatore Esposito: la sindaca ha comunicato la volontà di non rinnovare l’affitto dei locali della ex Provincia all’Osservatorio presieduto da Foietta. “Una reazione infantile, receda dalla decisione tanto l’opera va avanti”

L’opera, per sua stessa ammissione, non può bloccarla, ma Chiara Appendino qualche bastone tra le ruote del treno ad alta velocità cerca di mettercelo. Una lettera di poche righe, siglata da Dimitri De Vita, esponente del M5s nel consiglio della Città Metropolitana, per dare lo sfratto all’Osservatorio tecnico sulla Torino-Lione: da gennaio dovrà trovarsi un’altra dimora, lasciando i locali finora occupati in corso Inghilterra, sede dell’ex Provincia, a un canone annuo di 15mila euro a carico della Presidenza del Consiglio dei ministri. “Di cose strane in vita mia ne ho viste parecchie – attacca il senatore del Pd, Stefano Esposito, che chiama in causa direttamente la sindaca – , ma questa è davvero imbarazzante.

Il sindaco Appendino, per mano del suo emissario, il consigliere metropolitano delegato Dimitri De Vita, in data 11 agosto ha comunicato con una lettera la volontà di non rinnovare la concessione dei locali di Corso Inghilterra 7 all’Osservatorio tecnico sulla Torino-Lione, presieduto dal commissario di governo Paolo Foietta, ospitato con regolare contratto firmato il 30 marzo 2016 con scadenza 31 dicembre 2016. La cosa è singolare, per non dire penosa”.

“L’architetto Foietta già a inizio luglio chiedeva un appuntamento al sindaco metropolitano per un primo incontro interlocutorio; alla domanda, in maniera irrituale e probabilmente maleducata, non è mai pervenuta risposta. Ora capisco – prosegue l’esponente dem – che agli attacchi ricevuti dal movimento No-Tav, il sindaco che si era permesso di solidarizzare con le forze dell’ordine doveva pur rispondere, ma ritengo che questo rappresenti il peggiore e servile dei modi”. Da qui il giudizio duro del suo comportamento. “Una reazione infantile e inutile, non degna del sindaco di Torino – accusa Esposito – ma di un amministratore di condominio abusivo. Rifiutando il rinnovo del contratto non si ottiene  alcun risultato se non quello di una magra e triste consolazione. Neanche alla scuola materna si possono trovare simili dispettucci”. Infine la richiesta: “ chiedo al sindaco di rivedere questa scelta, cercando così di mantenere un profilo di correttezza istituzionale che a Torino vige da 70 anni. La Torino-Lione è una realtà che non si fermerà con un’ingiunzione di sfratto”, conclude.

ITALIA: UN MARE DI TRIVELLE ESPLOSIVE

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di Gianni Lannes
 
Siete sotto l’ombrellone oppure sempre accucciati a prendere la tintarella in riva al mare? Attenzione. Le mire dei petrolieri, a partire dai Moratti (Saras) – padroni dell’Inter – non hanno confini e si accingono a saccheggiare anche la Sardegna, grazie alla complicità dell’ineletto Renzi, che vende per conto terzi, agli stranieri, il mare nostrum alla strabiliante cifra di 5,19 euro al chilometro quadrato.
Esplosioni continue. Un’ignota ditta norvegese che già nel 2001 aveva segretamente realizzato i suoi porci comodi affaristici da noi, ha chiesto in concessione circa 20 mila chilometri quadrati per stanare il petrolio con il distruttivo sistema dell’air gun, fino a lambire il santuario dei cetacei, dinanzi alle coste di Stintino, Alghero, Porto Palmas. Le trivelle al tramonto sono fantastiche e il luccichio del greggio sull’acqua è tanto romantico. La Sardegna ha un bel mare, ma il tocco degli airgun sott’acqua è pazzesco. Ne sanno qualcosa capodogli, delfini, balene e tartarughe marine.
 
Questo è il futuro che vuole darci il governo tricolore eterodiretto dall’estero: lo sfruttamento di fonti luride e obsolete come il petrolio, anche nei nostri mari è diventato il fulcro della strategia energetica nostrana. Si tratta di una scelta antidiluviana che arricchisce le tasche dei petrolieri, senza nemmeno soddisfare il fabbisogno energetico del belpaese. Secondo stime ufficiali del cosiddetto ministero dello sviluppo economico, le riserve certe di petrolio sotto i nostri fondali equivalgono a meno di 2 mesi dei consumi nazionali, mentre quelle di gas a circa 6 mesi. Con lo “Sblocca Italia” il governo fantoccio semplifica le procedure autorizzative e accentra i poteri, esautorando i governi locali.
 
mappa sardegna
Sardegna mappa delle trivellazioni in mare
 
Nelle ultime settimane sono stati autorizzati nuovi pozzi di ricerca e produzione, sia nel Canale di Sicilia che in Adriatico; e nuove aree sono state concesse per la ricerca di greggio e gas. Ma questa strategia avrà ricadute occupazionali ed entrate fiscali modestissime, danneggiando inoltre turismo e pesca sostenibile. La petrolizzazione del mare è una strada a senso unico: non si torna indietro. E un incidente come quello del Golfo del Messico è sempre possibile. Lo è ancor più in Italia, dove il rischio di uno sversamento grave non è neppure contemplato nelle valutazioni di impatto ambientale!
All’arrembaggio dell’isola. Non bastavano i poligoni militari permanenti e il deposito bellico di scorie radioattive. In totale: quindici richieste di permessi, tra dormienti, concessi o in attesa della pronuncia degli enti preposti alle autorizzazioni. Su terraferma e a largo delle coste, per una superficie totale di oltre 21.000 chilometri quadrati tra mare e terra (al netto dei permessi che condividono le stesse aree d’intervento). In pratica, in Sardegna, la superfice potenzialmente interessata dalle trivellazioni è di poco inferiore a quella dell’intera isola.
 
A fare manbassa è l’area perimetrata dalla società norvegese Tgs Nopec che ha chiesto al Ministero dell’Ambiente di utilizzare i cannoni airgun per rilevare la presenza di giacimenti di idrocarburi sottomarini su 20 mila chilometri quadrati di fondali sottomarini del mar di Sardegna. L’obiettivo è vendere i dati alle società dell’oil&gas attrezzate per l’estrazione. 
 
L’intervento della Tgs Nopec è in relazione al trattato che ha modificato segretamente, ovvero all’insaputa del popolo italiano, i confini marittimi tra Italia e Francia, che ha di recente le trivellazioni off-shore. L’articolo 4 dell’accordo prevede infatti lo sfruttamento congiunto dei giacimenti situati a cavallo dei confini marittimi dei due paesi. Dopo aver battuto il lato francese, la Tgs Nopec oggi vuole effettuare ricerche sul versante italiano, proprio a ridosso dei confini tra i due Stati. Invece sulla terraferma di questa antica isola, i piani di ricerca per idrocarburi sono tutti targati Saras. C’è il noto permesso Eleonora che si estende su una superficie di 443 kmq nei territori di Oristano, Nurachi, Palmas Arborea, Arborea, Terralba, Marrubbiu, Terralba, Santa Giusta, Siamaggiore, Cabras e Riola Sardo. In questa fase, il comune più interessato è quello di Arborea: qui la Saras vorrebbe realizzare il pozzo esplorativo.
 
La Saras è detentrice anche del permesso di ricerca per idrocarburi liquidi e gassosi Igia alle porte di Cagliari. In tutto 121 chilometri quadrati tra Elmas, Assemini, Decimomannu, Sestu, San Sperate, Monastir, Nuraminis, Serrenti, Uta fino a Serrenti, San Gavino, Sanluri, Sardara, transitando per Samassi e Serramanna. In pratica, mezzo Campidano. Sulla stessa area la Saras ha chiesto e ottenuto un permesso per lo sfruttamento di risorse geotermiche.
 
Effettuate le ricerche, la prossima fase, come avvenuto ad Arborea, potrebbe essere la richiesta dell’autorizzazione a realizzare un pozzo esplorativo. Ma più di tutto fanno gola le risorse geotermiche, ossia le sacche d’acqua bollente custodite dal sottosuolo che diverse società vorrebbero sfruttare per la realizzazione di centrali elettriche. Naturalmente, previa trivellazione, inquinamento e induzione di terremoti. Si va dal Campidano all’Anglona, passando per il Montiferru e la Planargia. Oltre al permesso Igia, infatti, c’è Villacidro, Samassi, Serramanna, Villasor, Vallermosa, Decimoputzu, Decimomannu, Siliqua e Villaspeciosa. Tre richieste della Tosco Geo presentate nel 2013 sono state accolte nel 2015 dalla Regione. Si tratta dei permessi Guspini, San Gavino e Sardara: in tutto 13 comuni coinvolti per una superficie complessiva di quasi 250 chilometri quadrati. Non va meglio in Anglona e Gallura: circa 15 comuni interessati dai permessi richiesti dalla Geonergy per un totale di quasi 600 chilometri quadrati tra i permessi Martis e Sedini.
 
Tutte queste imprese hanno in comune l’appartenenza alla neonata Rete geotermica del gioielliere aretino Gianni Gori, di cui fanno parte anche la Sorgenia di Carlo De Benedetti (italiano con residenza in Svizzera, appena condannato a più di 5 anni di reclusione) e la Exergy del gruppo Maccaferri.
Non è tutto. Risale al 9 luglio 2015 la richiesta di effettuare perforazioni fino a 1500 metri di profondità nel Sulcis, presentata dalla Sotacarbo all’assessorato all’Ambiente. Non si tratta, però, di estrarre carbone, ma di “acquisire informazioni sulle caratteristiche delle formazioni geologiche per un eventuale confinamento di anidride carbonica nel sottosuolo”, si legge nel progetto della società partecipata da Regione ed Enea. Per questo sono previste anche iniezioni-prova di C02 nel sottosuolo.
 
L’estrazione di idrocarburi è un’attività inquinante, con un impatto rilevante sull’ambiente e sull’ecosistema marino. Anche le fasi di ricerca che utilizzano la tecnica dell’airgun (esplosioni di aria compressa), hanno effetti devastanti per l’habitat e la fauna marina. In un sistema chiuso come il mar Mediterraneo un eventuale incidente sarebbe disastroso e l’intervento umano pressoché inutile. Trivellare il nostro mare è un affare per i soli petrolieri, che in Italia trovano le condizioni economiche tra le più vantaggiose al mondo. Il “petrolio” degli italiani è ben altro: bellezza, turismo, pesca, produzioni alimentari di qualità, biodiversità, innovazione industriale ed energie alternative.
 
 
riferimenti:
 
 

Una psicopatica alla Casa Bianca?

Bob-Beckel
Hillary Clinton ed il suo stratega, Bob Beckel, richiedono in diretta TV l’assassinio di Julian Assange.
Se a qualcuno non appare abbastanza chiaro il pericolo che corre il mondo di fronte alle prossime elezioni americane del prossimo Novembre, dove i cittadini degli USA dovranno eleggere un presidente scegliendo tra una psicopatica desiderosa di guerre come la Clinton ed un personaggio razzista, grezzo e impulsivo come Donald Trump, potrà trovare una prova in più del tipo di gente che presto arriverà al potere negli USA, se vince in questo caso, Hillary Clinton.
 
Wikileaks  naturalmente aveva pubblicato vari documenti riservati che mettevano in cattiva luce la Clinton, comprese le mail utilizzate dal suo server privato con cui si dimostrava la sua collusione  con i principali media.
 
Nel corso di una intervista al network conservatore Fox news, Bob Beckel, importante stratega politico collegato con il Partito Democratico, ha richiesto direttamente in diretta Tv che “qualcuno si occupi di uccidere Julian Assange, il fondatore di Wikileaks”, già nell’ anno 2010.
 
Questo è quello che ha detto a Bob Beckel:
 
“…Questo significa che è un traditore, ha infranto tutte le leggi degli Stati Uniti. Il tipo deve essere (e non sono favorevole alla pena di morte), ma in questo caso già non sono a favore della pena di morte e soltanto un modo c’è per eliminarlo, che è quello di sparare illegalmente a questo figlio di puttana”. Vedi: Youtube.com/Watch
Se fosse poco che qualcuno richiede pubblicamente un assassinio, al coro che chiede la stessa azione si è aggiunto in pieno 2016 un’altra persona collegata con la strategia democratica, uno degli articolisti più prestigiosi del media di comunicazione “Politico”, Michael Grunwald, che per mezzo di Twitter ha affermato che:
 
“Non posso aspettare a scrivere in difesa di chi si prenda l’incarico di fare un attacco con un drone che cancelli dalla mappa questo Julian Assange”.
 
assange
Twit di M.Grunwald
 
Occorre sottolineare che Michael Grunwald veniva chiaramente ritratto nei documenti filtrati attraverso Wikileaks, in modo che dimostravano chiaramente che “Politico”, nel media in cui lavorava, collaborava direttamente con il personale della campagna della Clinton nella redazione degli articoli di propaganda che beneficiano al massimo possibile la Hillary Clinton, fino al punto che uno degli articolisti aveva preso contatto con il personale della campagna di Clinton, prima di portare gli scritti agli editori affinchè questi dessero la loro approvazione.
 
Poche volte il mondo si è trovato tanto sul bordo dell’abisso come lo sarà a partire da novembre, se uno di questi personaggi tarati, Hillary Clinton e Donald Trump, arrivano al potere… c’è gente lì fuori che teme il presunto arrivo dell’Anticristo…dunque bene, se noi ci lasciamo trasportare dall’umore nero, alla fine concluderemo che al limite risulta che questo presunto anticristo si è sdoppiato e mantiene due opzioni (o di più, se teniamo in conto di alcuni al di fuori degli USA che alcuni considerano come “salvatori del mondo”).
 
Scherzi a parte, di sicuro c’è che il resto dei paesi del mondo dovrebbero iniziare a pensare seriamente su come sanzionare e isolare, nella misura del possibile, gli USA, se qualcuno di questi personaggi arriva al governo.
 
Nota aggiuntiva. Assange dovrebbe ben pensare se è il caso di permettere che funzionari svedesi possano accedere all’ambasciata ecuadoriana per interrogarlo.
Potrebbe accadere che, poche settimane dopo l’interrogatorio, Assange cada gravemente malato (forse per un improvvisa forma di cancro?).
Non sarebbe il primo personaggio scomodo per gli USA che d’improvviso si ammala….già accaduto (vedi Arafat, Chavez, ecc..).
 
 
Traduzione: Manuel de Silva