REVOLUTION DE COULEUR AU BURUNDI : LE RAPPORT DE LA COMMISSION D’ENQUETE

PANAFRICOM/ 2015 10 01/

Avec AG News – AFP – PCN-SPO/

https://www.facebook.com/panafricom

https://vimeo.com/panafricomtv

PANAF - Rapport Commission enquete (2015 10 01)  FR

OUI il y a bien eu complot entre des forces endogènes compradores et des capitales occidentales pour déstabiliser le Burundi et changer le régime élu démocratiquement !

Le rapport de la  Commission d’enquête judiciaire chargée de faire la lumière sur le mouvement insurrectionnel déclenché le 26 avril 2015 au Burundi :

sur http://burundi-agnews.org/wp-content/uploads/2015/09/rapport_insurrection_final_1_.pdf

* Lire aussi l’analyse de PANAFRICOM :

https://www.facebook.com/Pcn.luc.Michel/posts/708151162652638

QUE DIT LE RAPPORT DE LA COMMISSION D’ENQUETE ?

« La contestation contre un 3e mandat du président Pierre Nkurunziza au Burundi est un mouvement insurrectionnel, initié par les principaux dirigeants de l’opposition et de la société civile », estime la Commission d’enquête qui les accuse « d’être liés aux meneurs de la tentative de putsch de mai ».

Les « manifestations enclenchées le 26 avril 2015 n’ont respecté aucune règle établie » en matière de manifestations publiques (notamment une demande d’autorisation préalable) et sont « par conséquent un mouvement insurrectionnel » punissable devant la justice, indique dans son rapport la “Commission d’enquête chargée de faire la lumière sur le mouvement insurrectionnel déclenché le 26 avril”.

Cette commission, composée de quatre magistrats nommés par le Parquet, accuse nommément 25 associations membres de la campagne “Halte au 3e mandat”, six partis ou coalition d’opposition (MSD, Frodebu, Frodebu-Nyakuri, UPD, Indépendants de l’espoir et ADC) et certains de leurs dirigeants, ainsi que, sans les nommer, des militaires, policiers et hommes et femmes d’affaires d’être « à l’actif de ce mouvement insurrectionnel ».

Les magistrats affirment que les organisateurs des manifestations étaient « en concertation étroite avec ceux qui préparaient le coup d’Etat » des 13 et 14 mai. « Le putsch est donc venu en couronnement à l’insurrection », juge la Commission, présidée par Adolphe Manirakiza, premier substitut du procureur général. Qui, soit dit en passant, valide les analyses faites par Luc MICHEL (sur EODE-TV, AFRIQUE MEDIA ou Radio SPUTNIK notamment) …

La Commission recommande que « tous ceux qui sont repris dans la liste des responsables soient traduits en justice » pour les infractions pénales qui leur sont reprochées mais aussi tenus pour civilement responsables des dégâts causés par les manifestations, qu’elle estime à environ 32 millions de dollars. Elle admet ne pas connaître le bilan humain de la contestation (tués ou blessés). La Commission indique que 28 soldats et policiers ont été arrêtés pour leur participation à la tentative de coup d’Etat.

PANAFRICOM

___________________

https://www.facebook.com/panafricom

https://vimeo.com/panafricomtv

REVOLUTION DE COULEUR AU BURUNDI : LE PROCUREUR-GENERAL CONFIRME LE COMPLOT INTERNATIONAL DERRIERE LE COUP D’ETAT DE MAI 2015

KH pour PANAFRICOM/ 2015 10 01

avec AGNEWS (Burundi)/

PANAF - PG Burundi dénonce un complot (2015 10 01)  FR

Faisant suite aux investigations de la “Commision d’enquête judiciaire”, le procureur-général du Burundi M. Valentin Bagorikunda a confirmé ce 17 septembre qu’il y a bien eu une organisation interne et internationale du complot pour changer de régime au Burundi. Et que les militaires putschistes, qui ont tenté de prendre le pouvoir le 13 mai 2015, étaient bien en liaison avec ces éléments burundais et internationaux qui ont tenté une “révolution de couleur” au Burundi.

* Voir la video de l’intervention de M. Valentin Bagorikunda sur :

 https://youtu.be/AWrapvTEObo

LES ANALYSES DE LUC MICHEL CONFIRMEES

Cette déclaration du procureur-général du Burundi confirme point par point les analyses de Luc MICHEL dénonçant depuis ses débuts l’organisation d’une “révolution de couleur” dans ce pays (et dans beaucoup d’autres), en particulier le fait que le coup d’état avorté du 13 mai n’était qu’une étape dans la déstabilisation du pays, organisée par Washington (le donneur d’ordres) avec la complicité de Bruxelles (l’ex mandataire colonial) et Paris. Ceci pour répondre aux néocolons et aux Söros’ boys qui l’ont violemment attaqué sur les réseaux sociaux …

* Lire :

PRESSE BURUNDI : ‘LE PANAFRICANISTE LUC MICHEL, GRACE A SES ANALYSES, A PERMIS DE METTRE QUELQUES LUMIERES SUR LE COMPLOT AMERICANO-FRANCO-BELGE CONTRE LE BURUNDI’

sur http://www.lucmichel.net/2015/08/21/lucmichel-net-presse-burundi-le-panafricaniste-luc-michel-grace-a-ses-analystes-a-permis-de-mettre-quelques-lumieres-sur-le-complot-americano-franco-belge-contre-le-burundi/

* Lire :

REVOLUTION DE COULEUR MADE IN USA AU BURUNDI : APRES LE GABON, LUC MICHEL SECOUE LE BURUNDI !

sur http://www.lucmichel.net/2015/06/24/lucmichel-net-revolution-de-couleur-made-in-usa-au-burundi-apres-le-gabon-luc-michel-secoue-le-burundi/

* Ecouter :

SUR RADIO SPUTNIK.FR (MOSCOU) LUC MICHEL ANALYSE LA REVOLUTION DE COULEUR AVORTEE AU BURUNDI : « UN MAIDAN BURUNDAIS MADE IN USA »

podcast audio sur http://www.lucmichel.net/2015/08/12/eode-press-office-ce-soir-sur-radio-sputnik-fr-moscou-luc-michel-analyse-la-revolution-de-couleur-avortee-au-burundi-un-maidan-burundais-made-in-usa/

* Ecouter :

EODE-TV / RADIO SPUTNIK : BURUNDI. UNE REVOLUTION DE COULEUR AFRICAINE MADE IN USA (GROS PLAN SUR L’AFRIQUE)

podcast audio sur http://www.lucmichel.net/2015/05/16/eode-tv-radio-sputnik-burundi-une-revolution-de-couleur-africaine-made-in-usa-gros-plan-sur-lafrique/

QUE DISENT LE PROCUREUR-GENERAL ET LA COMMISSION D’ENQUETE JUDICIAIRE ?

Le Coup d’Etat du 13 mai 2015 au Burundi a été organisé, comme le  précise le rapport de la  Commission d’enquête judiciaire chargée de faire la lumière sur le mouvement insurrectionnel déclenché le 26 avril 2015  [ http://burundi-agnews.org/wp-content/uploads/2015/09/rapport_insurrection_final_1_.pdf ], par des militaires, des policiers,  des membres des partis d’opposition, de la société civile et certains journalistes. Selon M. Valentin Bagorikunda, se référant au rapport d’enquête judiciaire :  « Les organisateurs civils du mouvement insurrectionnel étaient constamment en contact avec les responsables des putschistes militaires et policiers ».

DES MANDATS D’ARRET INTERNATIONAUX LANCES PAR LA JUSTICE DU BURUNDI

Le Procureur Général de la République du Burundi, a aussi annoncé avoir lancé des mandats d’arrêts internationaux, via Interpol,  à l’encontre des personnes qui ont organisé et préparé le coup d’Etat militaire du mercredi 13 mai 2015 et qui continuent à perturber la sécurité au Burundi. Le Burundi a décidé de passer à l’action au niveau judiciaire ( internationale )  à cause des effets négatifs que cause l’impunité.  Ces individus recherchés ont fui le Burundi vers le Rwanda , la Belgique et la France ( en Europe de manière générale ) essentiellement. Et ils continuent à orchestrer, depuis l’extérieur,  l’instabilité au Burundi. Le Procureur Général de la République du Burundi a donné comme exemple – l’attentat raté contre le chef d’Etat-major général de l’armée, le général-major Prime Niyongabo, commis début septembre… 

” Le Burundi a subi une Révolution de Couleur, soit une tentative de changement de régime, orchestrée par les USA, la Belgique et la France, entre les mois d’avril et mai 2015 [ http://burundi-agnews.org/sports-and-games/?p=18679  ]. Ces individus, frappés de mandats d’arrêts internationaux, les insurgés, étaient des citoyens burundais qui étaient impliqués dans ce plan de déstabilisation du Burundi “, commentent nos excellents confrères de l’Agence AGNEWS. Luc MICHEL lui évoque ouvertement des “escadrons de la mort pilotés par l’étranger” et dresse un parallèle avec les “snipers du maidan à Kiev début 2014, dont on sait aujourd’hui qu’ils avaient été recrutés en Pologne, suite aux déclarations d’un euro-député polonais”  …

Affaire hélas pas finie !

KH / PANAFRICOM

Padoan ai fondi sovrani: “Italia aperta agli investimenti”

Svendita è belle, fa molto progressista, fa molto cosmopolita e cittadino del mondo…fa molto radical chic

1 ottobre 2015.

padoan-fondi-sovrani-esteri

Padoan apre la porta ai fondi sovrani esteri: l’Italia è in (s)vendita

Milano, 1 ott – Pier Carlo Padoan apre la porta, anzi il portone, agli investimenti esteri. L’occasione è il convegno International Forum of Sovereign Wealth Funds (IFSWF), evento organizzato dal Fondo strategico italiano che raccoglie i fondi sovrani di tutto il mondo.

Porte aperte ai fondi sovrani

“Il governo è aperto agli investimenti e impegnato ad aiutare in particolare gli investimenti di lungo termine nel nostro Paese“, ha detto il ministro dell’Economia, ospite d’onore al forum. “Ci sono – ha spiegato Padoan – nuove prospettive di crescita, una modernizzazione della struttura del capitale delle aziende e un processo di privatizzazione in corso”.

Padoan non si limita ad un generico invito, ma indica anche quali sono le concrete opportunità di investimento: “Ci sono nuove prospettive di crescita, una modernizzazione della struttura del capitale delle aziende e un processo di privatizzazione in corso”, come ad esempio le future cessioni sul mercato di Poste Italiane e Ferrovie dello Stato. Un menù alla carta in piena regola, che il ministro offre alle generose offerte straniere.

Come si muovono i fondi sovrani

Generose? Sì, ma anche non del tutto disinteressate. L’Ifswf raccoglie infatti fondi sovrani fra i più importanti. Anzitutto la Cina, che da anni sta costruendo una ragnatela che vede, negli ultimi tempi, l’Italia come bersaglio privilegiato: Cdp Reti (Snam e Terna) e Pirelli sono solo le ultime operazioni che vedono Pechino protagonista, senza considerare i rastrellamenti azionari nelle grandi realtò come Eni, Fca, Unicredit, Prysmian, Generali, Telecom Italia e Mediobanca, il (fu) salotto buono della finanza tricolore. Troviamo poi i fondi dei petrodollari del golfo, come Kuwait ed Emirati Arabi Uniti: il primo aveva già siglato a suo tempo un accordo con il governo Letta, mentre da Abu Dhabi è recentissima la conclusione dell’acquisto del 100% di Piaggio Aerospace.

Filippo Burla

http://www.ilprimatonazionale.it/economia/padoan-fondi-sovrani-investimenti-31479/

Come creare il mostro

12039587_1010681118982977_3193450050950974757_n

Come non dimenticare la povera blogger perseguitata perché omosessuale ed oppositrice del “regime”? Peccato che in realtà fosse un uomo, statunitense da Amina a Tom McMaster addetto alla propaganda della guerra.

O come non pensare al coro mediatico che sentenzia la colpevolezza di Assad al di là di ogni ragionevole dubbio per l’attacco con il gas  a Ghouta? Peccato che  le prove abbiano portato ai democratici ribelli finanziati dalla cia (come gli Usa proprio oggi ammettono, ovviamente quelli bravi non i tagliagole eh). Come mai i media in democrazia non possono essere perseguiti per propaganda di guerra?!?!?!?

Se i media occidentali dicono che Assad è un bruto ma chi siamo noi per dubitare no?

Come creare il mostro

siria-assad-problema-e-terrorismo_h_partb (1)

Questa volta il compito di creare il mostro e sbatterlo in prima pagina, con l’evidente scopo di screditare il presidente siriano Bashar al Assad presso l’opinione pubblica italiana sembra spettare agli articolisti del Corriere della Sera che sicuramente sono stati ben remunerati per il servizio reso ai macellai occidentali, che da qualche anno nutrono l’intenzione di distruggere la Siria, facendole fare la stessa fine dell’Iraq di Saddam Hussein e della Libia di Gheddafi.

In un penoso articolo dossier dal titolo “Così tortura e uccide Assad”, per dare concretezza al proprio lavoro e giustificare la ridicola inchiesta giudiziaria avviata dalla Francia contro il presidente siriano (dagli articolisti del Corriere etichettato come dittatore) per “crimini contro l’umanità”, materia in cui i francesi fin dal periodo coloniale dovrebbero essere dei veri esperti, non trovano di meglio che rifarsi alle dichiarazioni e foto di un fantomatico “Cesar”, presentando costui come il depositario di una verità assoluta…..

Il Cesar in questione, secondo la fervida fantasia che da sempre colora la mitologia occidentale, sarebbe stato per anni un fotografo militare dell’esercito siriano, deputato a fotografare e catalogare le persone torturate ed uccise nelle carceri per ordine del governo di Assad, che il Corriere definisce “regime”, dal momento che non è stato votato dal popolo come invece quello di Matteo Renzi.

Codesto Cesar dunque, personaggio a metà fra un eroe dei fumetti ed un agente segreto stile 007, avrebbe fotografato negli anni 11mila persone torturate e uccise nelle carceri siriane, producendo 45mila scatti, prima di abbandonare la divisa e fuggire in Occidente, dove ha deciso di scrivere un libro che uscirà il prossimo 7 ottobre ed è servito proprio alla Francia per dare il via al procedimento giudiziario.

Dopo le bufale dei cimiteri spacciati per fosse comuni in Libia, i terroristi finanziati dall’Occidente “cantati” come eroici ribelli e le armi chimiche millantate nella stessa Siria, l’Occidente crea dunque un personaggio di fantasia nuovo. Il disertore dal volto umano, un poco fotografo ed un poco spia, ma soprattutto anima gentile, distrutta dagli orrori che è costretta a documentare, fino al punto di non dormire più la notte e rischiare la propria vita per fuggire in Occidente dai “buoni”, portando con sè le prove di tutti i misfatti del “cattivone” Assad.

Sicuramente il bestiario occidentale non brilla affatto per diritti, democrazia e rispetto dei propri cittadini, ma in quanto a fervida fantasia e gusto della fiction risulta davvero imbattibile. Se dopo libro dell’eroe Cesar uscisse anche una soap opera, magari titolata “Prison Assad” non dovremmo stupirci più di tanto, leggendone la recensione sulle pagine del Corriere che sicuramente si sarà meritato l’onore di averne l’anteprima.

Marco Cedolin
http://ilcorrosivo.blogspot.it/2015/10/come-creare-il-mostro.html#more

Putin: la notizia dei morti civili in Siria? si è alzata prima degli aerei

© Sputnik. Alexei Druzhinin 14:28 01.10.2015(aggiornato 15:06 01.10.2015)

Il presidente russo: “L’informazione sulle morti tra la popolazione civile in Siria è apparsa ancora prima che si alzassero in cielo gli aerei russi”.

http://it.sputniknews.com/mondo/20151001/1272094.html#ixzz3nLJ6DFlR

Siria: un rovescio geopolitico Usa. Che avrà conseguenze.

1 ottobre 2015

Le bombe russe non avevano ancora toccato il suolo, che già tv e altri media occidentali urlavano la propaganda americana: “Hanno ammazzato dei bambini!”, “Hanno colpito non l’ISIS ma l’opposizione moderata”, (cioè Al Qaeda…). “Hanno sbagliato bersaglio! Usato bombe non guidate, sono schiappe!” (The Aviationist). Praticamente tutti i media americani, dovendo citare Assad, lo fanno precedere da sereni appellativi come: “Il boia di Damasco”, il “Mostro”, colui che “ha gassato il suo popolo” (accusa comprovata falsa già da due anni: nel 2013 furono i ‘ribelli moderati’ a gettare il gas nervino, apposta per provocare l’intervento occidentale).

La Francia “apre un’inchiesta contro Assad per crimini contro l’umanità”. Ha le prove. Come no:   un “fotografo del regime”, nome in codice Cesar, incaricato dal regime medesimo di fotografare i morti e torturati dal suddetto e medesimo regime, è fuggito a Parigi con 55 mila foto di cadaveri straziati. Proprio adesso. Tutto vero: il Corriere lo mette a pagina 2.

Maria Zakharova, la portavoce di Lavrov, Ministro degli Esteri di Mosca, s’è stupita coi giornalisti della rapidità con cui sono comparse foto dei civili feriti. “Sappiamo come si fanno queste foto”, ha detto ricordando “Wag the Dog”, il film del ’97 con De Niro e Dustin Hoffman (in Italia, “Sesso e Potere”) che narra della fabbricazione di una guerra degli Usa contro l’Albania, tutta fatta al photoshop e con effetti speciali elettronici tv.

E’ tutto un gran dispiacere perché, come ha   ammesso un think tank di Londra, “la Russia sta danneggiando Al Qaeda, il che è una brutta cosa” (a bad thing). Il think tank che s’è lasciato sfuggire il disappunto è il Royal United Services Institute (RUSI), una emanazione dei servizi. Al Qaeda (oggi Al Nusrah) è adesso “l’opposizione moderata”. Il noto generale Petraeus, solo due mesi fa’ ha apertamente spiegato al Senato che Al Qaeda è oggi l’alleato migliore degli Usa per  “ debellare l’ISIS” (leggi: cacciare Assad) e va’   quindi armata ben bene.

http://www.thedailybeast.com/articles/2015/08/31/petraeus-use-al-qaeda-fighters-to-beat-isis.html

Cosa un po’ difficile da far ingollare all’opinione pubblica americana, per quanto manipolata: scusate, ma non è Al Qaeda che – come ci avete detto voi – ha ucciso 3 mila americani nelle Twin Towers l’11 Settembre? E adesso dovremmo allearci con questi? Ma qualcuno l’ha pur ingollata: per esempio Radio Radicale, che mai come oggi s’è rivelato un asset neocon americanista, leggendo religiosamente solo i giudizi del New York Times, del Washington Post, ma soprattutto del Wall Street Journal, senza dimenticare l’organo francese dei Rotschild, Libération, il più scatenato (si sa, Putin è omofobo..).

La tesi generale della propaganda è: Putin, bombardando Al Qaeda, “aiuta l’ISIS” invece di combatterlo. “Getta benzina sul fuoco della guerra civile”, ha lamentato Washington (che ha gettato benzina sul fuoco di tutte le guerre civili che le piacciono, dall’Ucraina alla Libia, dall’Irak alla Somalia…).

In realtà, la ragione tattica delle  prime azioni russe è trasparente: anzitutto,  ha “ripulito gli angolini” attorno alla propria base aerea, l’aeroporto di Jableh. La prima ondata ha neutralizzato centri di comando, depositi di carburante e munizioni, nidi d’artiglieria e blindati di Al Qaeda (diciamo Cia) a Ghmam e Deir Hana, due città del governatorato di Latakia, a 25-30 chilometri da Jableh. La seconda ondata ha centrato Latamneh et Kafr Zita, nel governatorato di Hama, a 30-40 chilometri dal “suo” aeroporto. La terza ondata ha colpito bersagli nel governatorato di Homs, a 30-50 chilometri a sud-est diJableh. Così, Al Qaeda (o la Cia, diciamo) non potrà più curiosare o insidiare le seguenti operazioni.

Da qui il dispetto generale. 

Del resto è comprensibile. La decisa azione russa ha denudato l’ipocrisia americana che, a capo di una “coalizione” che comprende i sostenitori dei terroristi takfiri (Sauditi, Katar, Erdogan) “bombarda l’ISIS” da due anni sì, ma  con rifornimenti paracadutati, secondo il governo iracheno che lo sta combattendo davvero. Putin ha visto il bluff, ora ad Obama non resta che in qualche modo accodarsi, a parole, e rassegnarsi alla neutralizzazione dei suoi terroristi; ed accettare in qualche modo una “transizione” che non solo comporta la presenza di Assad (e delle minoranze che garantisce) nella futura sistemazione, ma il mantenimento delle strutture istituzionali. Il tutto, con un prevedibile trionfo non solo militare ma etico e politico di Mosca. In Europa, i tagliagole non hanno acquisito una gran popolarità, con le loro decapitazioni, ed il fatto che Putin li stia cercando di eliminare non può esser fatto passare come una violazione di “diritti umani” o un atto d’inciviltà.

In Medio Oriente, tutti i leader di quell’area hanno visto che Mosca non ha tradito l’alleato pericolante, ma lo sostiene con le sue armi; armi che, si può indovinare, avranno presto una più grossa quota di mercato. L’Iran trionfa, anzi tutto l’asse sciita. La Turchia è mal messa. In Israele si stanno certo chiedendo che fare se Mosca sostituisce Washington come egemone regionale…per fortuna tanti ebrei parlano russo.

Il rovesciamento del dato geopolitico è immenso. Le sue conseguenze si sono appena cominciate a vedere. “Riad non esclude il ricorso alla forza militare per cacciare Assad”, ha proclamato il ministro degli esteri saudita (si chiama Adel al-Jubeir) .

imagesesecuzioni quotidiane

Patetico. L’orribile monarchia saudita che decapita e crocifigge giovani per reato d’opinione (strano che Parigi non apra un dossier per i crimini contro l’umanità per la crocifissione di Ali Al-Nimr: http://rhubarbe.net/blog/2015/09/18/ali-al-nimr-lislam-le-sabre-et-la-croix/) deve guardarsi dal nemico interno.

Anzi più che interno: la rivolta cova nel Palazzo.

Un nipote del fondatore della dinastia Abdulaziz Ibn Soud,  anonimo ma sicuramente influente (e quasi certamente sostenuto dai “servizi” britannici) , ha scritto una lettera pubblica e pubblicata dal Guardian per chiedere la detronizzazione del re in carica, l’ottantenne Salman (“in condizioni instabili”, ossia moribondo) e per colpire il suo successore preferito, il figlio Mohammed ibn Salman, che il vecchio morente ha nominato ministro della difesa e insieme dello sviluppo economico: due cariche che dovrebbero dargli tranquillamente la successione, ma oggi sono invece due pietre al collo.

il-principe-ed-erede

il principe ed erede

E’ infatti lui, come ministro della difesa, il responsabile della vergognosa guerra che la Saudia, lo stato più ricco della zona, ha sferrato contro lo stato più povero, lo Yemen, con grandi stragi (lì sì) di bambini musulmani. La diffusione sul web di foto di cadaverini yemeniti spiaccicati, maciullati, smembrati dalle bombe saudite sta provocando urti di vomito anche nel regno. Strano che La Stampa di Torino, che ha pubblicato la foto del piccolo profugo per commuoverci e  farci accettare i migranti, non pubblichi queste, per farci urlare di indignazione verso la monarchia più mostruosa della storia. Non tutte sono impubblicabili.

http://www.liveleak.com/view?i=424_1443021485

L’Arabia Saudita minaccia di attaccare la Siria se Assad non si dimette

Immagino che la monarchia saudita wahabita sia molto attaccata al concetto di democrazia…

Come mai nessun paese presenta accuse per violazione dei diritti umani in Yemen e Bahrein dove i sauditi in terra altrui stanno commettendo una carneficina?!?!?!!?

Il presidente siriano Bashar al-Assad deve abbandonare il potere o dovrà affrontare una “alternativa militare”, ha minacciato oggi il ministro saudita degli Affari Esteri, Adel al-Yubeir.
“Ci sono due opzioni per la Siria, una è politica, nel corso della quale di creerebbe un consiglio di transizione. L’altra è una opzione militare, che anche quella dovrà concludersi con la distruzione di Al-Assad”, ha avvertito il Martedì il capo della diplomazia saudita.

Al-Yubeir ha fatto queste dichiarazioni ai giornalisti al margine dell’Assemblea Generale delle Nazioni Unite, celebrata a New York, in un momento in cui i paesi occiddntali, tra essi gli USA ed il Regno Unito, hanno cambiato la loro impostazione in riferimento al ruolo del presidente siriano nel futuro del paese arabo e quando si arriverà alla fine del conflitto.

Secondo il ministro saudita, “l’opzione militare consisterebbe in un processo più lungo e più distruttivo. “ma è un opzione che spetta interamente a Bashar al-Assad”, poichè non c’è futuro per lui in Siria”.
Il titolare della Cancelleria dell’Arabia Saudita, un paese che, assieme alla Turchia, da sempre è  stato il principale antagonista di Al-Assad, non ha offerto dettagli su quale sarebbe la strategia militare, ma ha menzionato l’appoggio che Riyad sta fornendo ai denominati “ribelli moderati” radicati in Siria, quelli che Damasco definisce terroristi.

“Vogliamo sperare di aumentare ed intensificare questo appoggio ai gruppi armati che combattono per rovesciare il Governo della Siria”, ha manifestato il ministro saudita.
Allo stesso modo il ministro ha rigettato le iniziative diplomatiche della Russia per formare una coalizione internazionale per fare fronte al gruppo terrorista dell’ISIS (Stato Islamico), con la partecipazione di Damasco.

Nota: Al rappresentante della monarchia saudita, alleato degli USA e dell’Occidente, non sono state fatte domande circa il conflitto che la stessa Arabia Saudita sostiene nello Yemen (con il sostegno di USA ed Israele), un paese che da sei mesi si trova sotto i bombardamenti delle forze saudite che vogliono, anche in quel caso, imporre un cambiamento di regime. Ne sta facendo le spese la popolazione civile fra la quale ci sono state migliaia di vittime ed una situazione da catastrofe umanitaria anche a causa del blocco aereonavale imposto al paese che impedisce l’arrivo di generi essenziali e medicinali per alleviare le sofferenze della popolazione.

Il conflitto in Siria ha segnato il programma della 70a Assemblea dell’ONU dove i mandatari dell’Iran e della Russia, rispettivamente Hasan Rohani y Vladimir Putin, hanno manifestato l’urgenza di appoggiare il Governo legittimo di Damasco nella sua lotta contro le sanguinarie bande dei terroristi (sostenute dall’esterno).

Nota: Il regime della Monarchia dei Saud manifesta tutta la sua insofferenza per il governo siriano di Bashar al-Assad e rivendica in modo palese di appoggiare il gruppi terroristi (pudicamente definiti “moderati”) che operano in Siria contro l’Esercito siriano e contro la popolazione che, nella sua stragrande maggioranza, sostiene il governo nella sua lotta contro la barbarie terrorista.

Gli Stati Uniti che, da oltre un anno, guidano la coalizione contro l’ISIS, che fino ad ora ha prodotto scarsi risultati, considerano Assad un “dittatore sanguinario” mentre sono stretti alleati da molti anni con l’Arabia Saudita, un regime assolutista ed oscurantista che è solito tagliare la testa agli oppositori, che reprime qualsiasi rivolta nel sangue, che perseguita le minoranze religiose, e che fa lapidare le donne adultere. Tuttavia la dinastia dei Saud, monarchia ereditaria dello Stato Saudita (così come le altre monarchie degli stati del Golfo) viene considerata un “paese democratico” dagli USA in quanto alleato e  conforme agli interessi occidentali.

Questo rivela tutta l’ipopcrisia e la falsa propaganda degli USA e dei media atlantisti che accusano di “tirannia” e di violazione dei “diritti umani” tutti i paesi non conformi agli interessi degli USA e dell’Occidente, come i passato era toccato al libico Gheddafi, a Saddam Hussein, a venezolano Hugo Chavez, al serbo Milosevic ed a molti altri personaggi sgraditi a Washington.

La campagna di demonizzazione contro Assad sta toccando in questi giorni l’apice in modo da preparare l’opinione pubblica occidentale ad un nuovo conflitto, che naturalmente sarà, come altre volte accaduto in passato, finalizzato a “portare la democrazia” in Siria.

Fonte: Hispan Tv

Traduzione e note: Luciano Lago

Nella foto in alto: il ministro degli affari esteri saudita Adel al-Yubeir.

http://www.controinformazione.info/larabia-saudita-minaccia-di-attaccare-la-siria-se-assad-non-si-dimette/

Romania dice ciao all’euro: impossibile adottarlo entro 2019

Mica scemi

Da Mos | Askanews – mer 30 set 2015 17:45 CEST

Roma, 30 set. (askanews) – Un’adesione della Romania all’eurozona entro il 2019 non è più “fattibile”. L’ha dichiarato oggi il governatore della Banca centrale Mugur Isarescu.

“L’obiettivo 2019 per l’adozione dell’euro non è più fattibile (…), tecnicamente non più possibile anche se la si sostenesse ancora politicamente”, ha indicato Isarescu nel corso di una conferenza stampa.

Secondo il capo dell’istituto d’emissione del leu, per adottare la moneta unica, la Romania dovrebbe essere “nell’anticamera della zona euro”, cioè introdurre il meccanismo di cambio ERM II, al più tardi entro giugno 2016. E, per questo obiettivo, “i preparativi sono complicati”.

“Prima di ogni decisione, prima di fissare una nuova data, noi dobbiamo redigere una roadmap che sia assunta da tutti i partiti politici, compresa l’opposizione”, ha sottolineato il governatore.

La Romania, uno dei paesi più poveri dell’Ue, ha più volte espresso la volontà di unirsi all’eurozona nel 2018-2019. Il primo ministro Victor Ponta aveva dichiarato a dicembre che il paese già rispetterebbe i cinque criteri d’ammissione, tra i quali un deficit inferiore al 3 per cento del Pil e un debito pubblico sotto il 60 per cento del Pil

Tuttavia aveva sottolineato che, “per quel che concerne i criteri reali, noi non siamo in grado di resistere alla concorrenza nella zona euro”, sottolineando la necessità di rafforzare gli investimenti e migliorare le infrastrutture del paese.

Con un salario medio di 540 euro, i rumeni sono diventati poco attratti dalla possibilità di adottare rapidamente l’euro, dopo aver osservato la crisi greca. (Fonte Afp)

https://it.finance.yahoo.com/notizie/romania-dice-ciao-alleuro-impossibile-adottarlo-entro-2019-154519902.html

Orwel nella sede dell’ONU: Obama ridefinisce la “democrazia” come un paese che risulti conforme agli interessi degli USA

Obama a suo modo ha ragione, in democrazia non esiste ribellione: VIENE SEDATA SUL NASCERE a suon di cariche della polizia, ci parli di Occupy Wall Street, cosa è successo al Movimento End the Fed  Mr President? O viene cooptata, come il più delle volte.

12079575_778740955569238_7673546015103288057_n

by Michael Hudson

Nel suo discorso in stile orwelliano del 28 Settembre del 2015 presso le Nazioni Unite, il Presidente Obama ha detto che “se fosse esistita la democrazia in Siria, non sarebbe mai avvenuta una rivolta contro Assad”. Per questo si riferiva all’ISIS. Dove c’è la democrazia, ha detto Obama non c’è violenza o rivoluzione. Questa è stata la sua indiretta minaccia di promuovere colpi di stato, rivoluzioni e violenza contro qualsiasi paese che non venga considerato dagli USA una vera “democrazia”. Nel fare questa minaccia appena velata, egli ha ridefinito la parola democrazia nel vocabolario della politica internazionale.

La “democrazia”, secondo Obama, è il rovesciamento fatto dalla CIA del governo di Mossedegh in Iran per installare lo Scià. La democrazia è il rovesciamento del governo secolare dell’Afghanistan attraverso i talibani contro la Russia.
La democrazia è il colpo di stato in Ucraina che ha installato Yatsen e Poroshenko. La democrazia è stato  il regime di Pinochet. Si tratta “dei nostri bastardi”, come disse Lyndon Johnson, riferendosi ai dittatori latinoamericani installati dalla politica estera degli Stati Uniti.

Circa un secolo fa la parola “democrazia” si riferiva ad una nazione i cui politici politici venivano eletti come rappresentanti eletti dai cittadini. Dai tempi di  Atene, la democrazia fu in contrasto con l’oligarchia e l’aristocrazia. Ma dalla Guerra Fredda ed i suoi epigoni, non corrisponde a come i politici USA hanno usato questo termine. Quando un Presidente degli Stati Uniti utilizza la parola “democrazia”, questo termine  vuole indicare  un paese filo americano che segue le politiche neoliberali degli Stati Uniti, non importa se il paese è una dittatura militare, una monarchia assoluta ereditaria o se il suo governo risulta creato a seguito di un colpo di stato (eufemizzata come “rivoluzione colorata”), come in Georgia o in Ucraina. Un governo  viene semplicemente definito “democratico” quando è appoggiato dal consenso di Washington, della NATO e del FMI. Si tratta di un governo che cambia la formulazione delle politiche al di fuori delle mani dei rappresentanti eletti ad una Banca centrale “indipendente”, le cui politiche sono dettate dall’oligarchia accentrata in Wall Street, nella City di Londra ed a Francoforte.

Considerando questa nuova definizione americana del vocabolario politico, quando il presidente Obama dice “che certi paesi non soffriranno colpi di stati, rivoluzioni o terrorismo”, presuppone che i paesi senza pericolo sono quelli che si trovano all’interno dell’orbita diplomatica degli USA che saranno esenti dalle destabilizzazioni sponsorizzate dal Dipartimento di Stato USA, dalla Difesa e dal Dipartimento del Tesoro.

Sono invece  i paesi i cui elettori eleggono democraticamente un governo o un regime che opera in modo sovrano (o semplicemente cerca la possibilità di operare senza tenere conto delle direttive degli USA) quelli che rischiano di essere destabilizzati, allo stile della Siria, allo stile dell’Ucraina o nello stile del Cile sotto il generale Pinochet. Come disse Henry Kissinger, “soltanto perchè un paese vota i comunisti non significa che lo dobbiamo accettare”.

Questo è lo stile delle “rivoluzioni colorate” patrocinate dalla “National Endowment for Democracy”. Nella sua risposta alle Nazioni Unite, il presidente russo Putin ha avvertito contro l’”esportazione della rivoluzione democratica”, che significa ad opera degli USA mediante i suoi “factotum”. L’ISIS (Stato Islamico) si trova oggi armato con le armi “made in USA” ed i suoi miliziani sono stati adestrati dalla US. Army.  In caso di dubbi, il presidente Obama ha ribadito che davanti alle Nazioni Unite che finanche il presidente Assad dovrebbe essere sostituito a favore di uno che sia sottomesso agli interessi petroliferi e della politica militare USA. Assad era il nemico principale degli USA, non lo Stato Islamico. “Risulta impossibile tollerare la situazione attuale per ancora più tempo”, ha risposto Putin.

Allo stesso modo in Ucraina: “Quello che io credo è che tutto ciò sia assolutamente inaccettabile”, ha detto Putin nella sua intervista alla catena CBS in 60 minuti, “è la risoluzione dei problemi politici interni nelle antiche repubbliche dell’URSS, attraverso le “rivoluzioni colorate”, mediante colpi di stato, attraverso rimozione incostituzionale del potere. Questo è totalmente inaccettabile. I nostri soci negli Stati Uniti hanno appoggiato coloro che hanno rovesciato il governo di Yanukovych in Ucraina. Sappiamo chi sono e dove, e in quali paesi, quali istruttori. Sappiamo tutto”.

Che accade con le relazioni tra gli Stati e la Russia? Io speravo in un momento che forse Obama, con la sua aspra campagna antirussa, avrebbe dovuto favorire un accordo con Putin nella riunione avvenuta all’ONU.  Parlare in un modo per poi attuare in un altro è stato sempre il suo “modus operandi”, come avviene per molti politici. Tuttavia Obama continua ad essere ostaggio dei neocons.

Dove ci condurrà tutto questo? Ci sono molti modi di pensare al di fuori degli schemi. Che Putin proponga di trasportare per nave o per via aerea i profughi siriani, fino ad un terzo della popolazione, in Europa, in Inghiterra o in Olanda, che si vedranno obbligate a seguire le norme di Shengen ed accettarli ? O che si voglia portare in Russia i migliori ionformatici o altra mano d’opera qualificata per cui la Siria è rinomata, completando l’immigrazione che proviene dall’Ucraina “democratizzata”?

Cosa andrà ad accadere se i piani congiunti, annunciati la scorsa Domenica, tra Iran, Siria, Russia ed Iraq  per unirsi nella lotta contro l’ISIS – una coalizione a cui USA e NATO hanno rifiutato di aggregarsi- si dovesse rivoltare contro le forze statunitensi fino a colpire la principale fonte di finanziamento dell’ISIS, l’Arabia Saudita?

Il gioco adesso si svolge al difuori delle mani dell’America. Tutto quello che è stata capace di fare è stato quello di blandire la minaccia della “democrazia” come un arma di golpe contro i paesi recalcitranti in Iraq, in Libia ed in Siria.

Fonte: Counter Punch

Traduzione: Luciano Lago

http://www.controinformazione.info/orwel-nella-sede-dellonu-obama-ridefinisce-la-democrazia-come-un-paese-che-risulti-conforme-agli-interessi-degli-usa/

Così la burocrazia trasforma il lavoro vero in lavoro nero

Impossibile che la burocrazia non sappia distinguere, questa è una volontà scientifica di distruggere il lavoro familiare

Dopo la multa al pensionato cuneese, il ministero ammette “eccessi di zelo” Giusto combattere lo sfruttamento, ma distinguendo e senza autolesionismi

29/09/2015

michele brambilla

Dunque la domanda sembra essere questa: ne ammazza di più la crisi o la burocrazia? L’altro ieri abbiamo scoperto che un pensionato di 63 anni della provincia di Cuneo stava raccogliendo l’uva nella sua vigna con quattro amici – così, quasi una festa, visto che il vino non lo vende neppure, lo produce per sé – quando s’è visto circondare dai carabinieri e dai funzionari dell’ispettorato del lavoro. «Lavoro nero», gli hanno detto, e gli hanno notificato una multa di 19.500 euro

Invita gli amici alla vendemmia, prende una multa da 19.500 euro per lavoro nero  

 Noi nei giornali ci siamo stupiti ma gli imprenditori, grandi e piccoli, queste storie le vivono quasi ogni giorno. E sanno bene che la crisi, certo, è micidiale, ma la burocrazia la aiuta a far danni. È ovvio che la lotta al lavoro nero è una causa nobilissima e irrinunciabile. Nei vigneti, in particolare, da qualche tempo c’è il fenomeno odioso del caporalato: un sistema di reclutamento della manodopera che sarebbe meglio chiamare sistema di sfruttamento. E poi, malavita a parte, ci sono anche imprenditori che se ne approfittano e non mettono in regola chi lavora per loro. 

Così partono le ispezioni. Ministero del lavoro, Inps e Inail possono mandare i loro funzionari, ma anche – appunto – i carabinieri. Con il Jobs act si è creata una struttura, l’Agenzia Unica ispettiva, che accorperà tutti i controllori, e che sarà operativa nei primi mesi dell’anno prossimo. 

È diffusa, caporalato a parte, la piaga del lavoro nero? Sì, è diffusa, e contrariamente a quanto spesso si pensa, per mettere in regola un lavoratore non è necessaria l’assunzione a tempo indeterminato. Nel 2008, proprio per regolarizzare il lavoro stagionale legato alla vendemmia, hanno ad esempio inventato i voucher. Per chi non lo sapesse, sono ticket da dieci euro che si comprano negli uffici postali e perfino dai tabaccai. Il lavoratore occasione trattiene per sé un netto di 7,5 euro: il resto finisce all’Inps e all’Inail. I voucher sono molto utilizzati, oltre che nei vigneti, per i piccoli lavoretti di casa. Giardinieri, baby sitter, e così via. 

Insomma la legge dà la possibilità, a chi non può assumere, di chiedere prestazioni occasionali mettendosi in regola in modo molto semplice. E quindi ben vengano le multe per chi sgarra.  

Ma, tutto questo precisato, vien da chiedersi se i controllori abbiano sempre ben presente, oltre che la legge dello Stato, anche quella del buon senso. «Sulla vicenda di Cuneo non mi risulta che sia stata già inflitta una multa», mi assicura da Roma Paolo Pennesi, segretario generale del Ministero del Lavoro. Gli obietto che lo sventurato vignaiolo ci ha mostrato il verbale: «È stato solo invitato in ufficio, per mercoledì, a chiarire», dice ancora Pennesi. E si spera che l’incontro serva a smussare qualche spigolosità. 

Ma la vicenda del signor Battaglino – così si chiama il pensionato multato per gli amici in vigna – non è come detto un caso isolato. Ci sono casi di artigiani e commercianti multati per aver tenuto in laboratorio, o in negozio, i propri figli minorenni: erano lì per aiutare, ma soprattutto per imparare un mestiere che da tempo immemorabile veniva tramandato di generazione in generazione. «Forse ci sono eccessi di zelo», ammette Pennesi, «ma la normativa sui minori è feroce. anche per i figli». Gli artigiani possono assumere i figli con contratti di apprendistato vantaggiosissimi: ma solo dai 16 anni in su.  

 In bottega niente minori, ma anche niente genitori anziani. «Mio padre, che ha fondato questa azienda, non può entrare a dare consigli a chi lavora, e tantomeno ai miei figli adolescenti», mi racconta Teresa Coradazzi, che fa prosciutti a San Daniele del Friuli: «Ma se un bambino non può farsi insegnare da un nonno come si “sugna” un prosciutto, come lo si sala, come lo si annusa, si spegne sul nascere una passione. L’Italia nel dopoguerra si è rialzata perché la famiglia è diventata impresa. Le mogli e i figli erano indispensabili, l’unico ad avere uno stipendio era il capofamiglia. Altri tempi? Sì, ma così si sono create tante eccellenze italiane. Una volta l’impresa familiare era un vanto nazionale, oggi il lavoro in famiglia è perseguito per legge». 

 Lavoro vero che diventa lavoro nero. Qualche mese fa, a Napoli, un uomo di 43 anni si è ucciso perché multato di duemila euro per la presenza della moglie nella sua pizzeria. Non era in regola. Erano in regola coloro che lo hanno multato: con la legge. Ma forse non con la virtù della prudenza. E forse neanche con la coscienza. 

http://www.lastampa.it/2015/09/29/italia/cronache/cos-la-burocrazia-trasforma-il-lavoro-vero-in-lavoro-nero-999bBw5NFZAoU01Kv60AiO/pagina.html

Marino in Usa, “pagano i romani”. Due biglietti fatturati al Comune

Il trota è finito al centro dell’attenzione per molto meno ma Marino è un moralmente superiore, superiore anche alla legge che non vale per tutti

La denuncia è del senatore Andrea Augello che accusa: “Quattro biglietti per Philadelphia richiesti dal Cerimoniale del Campidoglio e forse due rimborsati da un’università americana”. Il consigliere Cantiani chiede l’accesso agli atti

Martedì, 29 settembre 2015 – 12:36:00

Viaggio a Philadelphia del sindaco. Se dopo la “sacra smentita del Papa” la polemica è esplosa, ora è la volta dei documenti. A sostenere che il viaggio del sindaco Marino è stato pagato dai romani è il senatore Andrea Augello che ha scelto il profilo facebook per denunciare la spesa “a carico della collettività”. Scrive Augello: “Contrordine: oggi Marino smentisce se stesso e dice che non è stato il Comune di Filadelfia a pagare il suo viaggio ma un’università americana. Sarà, ma allo stato risulta che i biglietti aerei in business class per i quattro imbucati di Filadelfia (il sindaco, il capo del Cerimoniale, dottor Piazza, la dottoressa Coniglio e un addetto stampa) sono stati emessi su richiesta del cerimoniale del Campidoglio e fatturati al Comune di Roma”.

E poi le “prove: “I biglietti sono riferiti al volo Alitalia per New York AZ 693 con ritorno a Roma in AZ 603 – si legge nel post – Secondo il Campidoglio due di questi quattro titoli di viaggio, quello del Sindaco e quello dell’addetto stampa, saranno rimborsati dall’università. Gli altri, ormai è pacifico, sono a carico dei contribuenti. Il nostro Consigliere Cantiani ha appena depositato una richiesta di accesso agli atti per verificare tutte le spese effettivamente sostenute dal Comune in questa disastrosa spedizione oltreoceano. Calcolato l’elevatissimo CB (Coefficiente di Bugia) del Sindaco, vogliamo vederci chiaro”.

E sul suo sito internet il senatore pubblica anche una delle migliaia di foto satiriche sul sindaco Marino. Stavolta la parodia si ispira alla solidarietà per l’attacco terroristico di Parigi, alla rivista Charlie Hebdo.

http://www.affaritaliani.it/roma/marino-in-usa-pagano-i-romani-due-biglietti-fatturati-al-comune-385468.html