QUI SEME LE BREXIT RECOLTE LA FIN ANNONCEE DE LA GRANDE-BRETAGNE : L’ECOSSE ANNONCE UN SECOND REFERENDUM D’INDEPENDANCE !

Luc MICHEL/En Bref/ 2017 03 13/
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A peine le processus du Brexit décidé, qui sera brutal nous dit Londres avec cette arrogance toute britannique (qui n’a d’équivalent que chez les « cousins » de Washington), voilà les autorités écossaises qui annoncent un second référendum d’indépendance ! A la grande fureur de la premier ministre May (Thatcher bis ou light) qui, hurlant, a perdu son flegmme britannique aux Communes (1) …
ROYAUME-DÉSUNI …
La Première ministre d’Ecosse Nicola Sturgeon proposera la semaine prochaine l’organisation d’un second référendum sur l’indépendance. Le premier, qui s’est déroulé en septembre 2014, s’était soldé sur une victoire du «non» à l’indépendance. « La semaine prochaine, je demanderai au parlement écossais de m’autoriser à trouver un accord avec le gouvernement britannique pour lancer la procédure qui autorisera le parlement écossais à légiférer sur un référendum d’indépendance », a-t-elle déclaré. Le vote pourrait avoir lieu fin 2018 ou début 2019.
Peu importe que ce référendum réusisse ou pas, un jour les écossais quitteront la Grande-Bretagne et mettront fin au noyau dur de l’impérialisme britannique (1). Et les sarcasmes d’un Nigel Farage de l’UKIP (qui s’est révélé finalement un cheval de Troie néoconservateur de Trump et est passé au service grassement payé de Fox News, la TV neocon) disant « vous perdez votre temps », ou du brutal Sunday Times (3), n’y pourront rien changer. Le départ des Ecossais – avant celui des Gallois – est dans les têtes, avant d’être dans les cœurs …
LM
(1) (3) Lire sur EODE/ GEOPOLITICS/
FROM BREXIT TO THE END OF GREAT-BRITAIN (I):
SECOND SCOTTISH INDEPENDENCE REFERENDUM …
 (2) Lire LM, GEOPOLITIQUE/ TRUMP RAPPELLE QUE LE NOYAU DUR DE L’IMPERIALISME AMERICAIN RESTE L’IMPERIALISME ANGLO-SAXON !
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Luc MICHEL / Люк МИШЕЛЬ /

CRISE DIPLOMATIQUE ENTRE LES PAYS-BAS ET LA TURQUIE

# LUC MICHEL SUR PRESS TV (IRAN) DANS ‘LE DEBAT’ (13 MARS 2017)
PCN-TV/ 2017 03 13/
2017-03-14_005319
Le commentaire de PRESS TV : « Le ministre turc des Affaires étrangères a été empêché de se rendre à Rotterdam où il comptait participer à un meeting sur le référendum constitutionnel organisé dans son pays le 16 avril. L’interdiction faite au ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, de venir aux Pays-Bas pour participer à un meeting en faveur du référendum constitutionnel organisé dans son pays le 16 avril, a engendré une escalade des tensions diplomatiques entre La Haye et Ankara. Mevlut Cavusoglu avait prévu de se rendre, samedi 11 mars, à Rotterdam pour encourager la communauté d’origine turque (400 000 personnes) à voter en faveur du renforcement du pouvoir présidentiel. Mais le gouvernement néerlandais a interdit la venue du ministre. En cause, les propos tenus le matin même par M. Cavusoglu – la promesse « de lourdes sanctions » contre les Pays-Bas s’ils ne le laissaient pas venir – qui ont, selon La Haye, « rendu impossible une solution raisonnable ». Elle aussi venue pour mener campagne auprès de la diaspora, la ministre turque de la Famille, Fatma Betül Sayan Kaya, a affirmé plus tard samedi avoir été bloquée par la police néerlandaise à trente mètres du consulat, alors qu’elle était arrivée à Rotterdam par la route depuis Düsseldorf (Allemagne). Au même moment, la police néerlandaise a dispersé, à l’aide de canons à eau, un rassemblement à Rotterdam pour protester contre l’interdiction de la venue du ministre turc des Affaires étrangères. Après plusieurs heures de calme, les policiers, pour certains à cheval, ont procédé à l’évacuation des milliers de manifestants massés aux alentours du consulat de Turquie dans la ville portuaire néerlandaise. Les vives tensions entre les deux pays couvaient depuis plusieurs jours. Dès le 9 mars, le chef de la diplomatie néerlandaise, Bert Koenders, avait prévenu : « Nous ne participerons pas à la visite d’un responsable gouvernemental turc qui veut mener une campagne politique pour le référendum. Aucun des moyens habituels fournis pour une visite ministérielle ne sera accordé. ». La Haye assure avoir essayé de trouver « une solution acceptable » au problème, soit par un déplacement du rassemblement, soit en le transformant en réunion « à caractère privé, à petite échelle dans le consulat turc ou l’ambassade ». Faute de salle disponible, le meeting de soutien au référendum a finalement été annulé par le maire de Rotterdam. En Turquie, après la décision de La Haye de refuser au ministre turc des Affaires étrangères d’atterrir à Rotterdam, le chargé d’affaires néerlandais a été convoqué à Ankara. Quelques heures plus tard, l’ambassade des Pays-Bas à Ankara et le consulat à Istanbul, ainsi que « les résidences de l’ambassadeur, du chargé d’affaires de l’ambassade et du consul », ont été bouclés par la police « pour raisons de sécurité », selon des responsables turcs cités par l’Agence-France-Presse. Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a promis d’interdire aux responsables néerlandais de venir en Turquie, mais n’empêcherait pas « les visites de citoyens » néerlandais. Puis, comme il l’avait fait récemment avec l’Allemagne, il a accusé les Néerlandais d’être des « fascistes » influencés par les « vestiges du nazisme ». La crise diplomatique entre La Haye et Ankara survient à quelques jours du scrutin législatif néerlandais, mercredi 15 mars, au terme d’une campagne où l’islam a été l’un des thèmes majeurs. Bulent Ozcan, analyste franco-turc des questions internationales et Luc Michel, géopolitologue nous donnent plus d’informations à ce sujet.» CRISE DIPLOMATIQUE ENTRE ERDOGAN ET LES DIRIGEANTS DE L’UNION EUROPEENNE SUR FOND DE DESAMOUR ENTRE LES ISLAMO-CONSERVATEURS TURCS DE L’AKP ET LA DEMOCRATIE-CHRETIENNE DE L’UE … Luc MICHEL explique particulièrement les rapports privilégiés de l’AKP avec la Démlocratie-Chrétienne de l’Union Européenne (PPE), en particulier allemande et belgo-flazmande (CDU-CDU, CDNV, CDH). Jusqu’à la répression du putsch avorté de juillet 2016. Et le divorce annoncé entre AKP et dirigeants de l’UE. Ajoutons que depuis quinze ans les dirigeants AKP, dont Erdogan lui-même, tenaient meetings sur meetings dans l’UE. D’où leur colère aujourd’hui … PRESS TV (Iran) propose un débat entre experts de la Libye : Luc Michel, géopoliticien, et Bulent Ozcan, analyste franco-turc des questions internationales, débattent sur la confrontation Erdogan-UE … * Voir sur le Site de PRESS-TV/ La crise diplomatique empire entre les Pays-Bas et la Turquie
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LUC MICHEL DECRYPTE LA CRISE DU PETROLE ET LES MUTATIONS DE SON ‘NOUVEAU MARCHE MONDIAL’

PCN-TV/ 
GEO-ECONOMIE & GEOPOLITIQUE : 
LUC MICHEL DECRYPTE LA CRISE DU PETROLE (CHUTE DU PRIX DU BARIL) ET LES MUTATIONS DU « NOUVEAU MARCHE MONDIAL » DU PETROLE …
2017-03-14_031529
Luc MICHEL
dans le ‘DEBAT PANAFRICAIN’
sur AFRIQUE MEDIA
De la chute du prix du baril, en passant par le pétrole de schiste, vers un « Nouveau marché mondial » dominé par les USA …
DE LA CRISE DU PRIX DU BARIL 
AU « NOUVEAU MARCHE MONDIAL DU PETROLE » :
POURQUOI LA STATEGIE DES USA SE REVELE GAGNANTE ?
COMMENT LES USA, PRODUCTEURS DE PETROLE DE SCHISTE, DOMINENT AUJOURD’HUI LE NECOCE DU PETROLE ?
Tout le monde connait la chute du baril de pétrole, qui frappe durement non seulement la Russie, mais bon nombre d’état latino-américains et africains. Le Géopoliticien Luc MICHEL, patron de EODE THINK TANK, va donc parler de GEO-ECONOMIE. Il va notamment nous résumer les plus récentes analyses des spécialistes économistes et pétroliers, ceux du ‘Groupe Forbes’ notamment, qu’il partage. 
Ou va le marché mondial du pétrole aujourd’hui ? 
La maîtrise de ce marché qui semble être passée dans les mains américaines va-t-elle se maintenir ?
Et dans l’optique du géopoliticien, qui ne perd jamais de vue la Géopolitique mondiale, il va non seulement nous expliquer la « chute du prix du baril » et l’émergence d’un « nouveau marché mondial du pétrole », mais en anticiper les conséquences géopolitiques …
LES CONSEQUENCES GEOPOLITIQUES …
Géopolitique et géo-économie sont étroitement liées . 
Quelle vont être les conséquences pour la Géopolitique mondiale de ce « nouveau marché du pétrole », encore impensable il y a cinq ans, dominé par les hydocarbures de schiste américain ?
EXTRAIT DU ‘DEBAT PANAFRICAIN’ 
DU 12 MARS 2017
LA GRANDE EMISSION DOMINICALE
SUR AFRIQUE MEDIA
Images : 
Filmé à Bruxelles par EODE-TV
Pour le Multiplex AFRIQUE MEDIA
avec Douala-Yaoundé-Ndjaména-Malabo
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L’UNION DITE ‘EUROPEENNE’ EST UN PROJET POLITIQUE QUI A ECHOUE !/ ЭТО “ЕВРОПА РАЗНЫХ СКОРОСТЕЙ” ИЛИ “ИЗМЕНЯЕМОЙ ГЕОМЕТРИИ”…

LUC MICHEL/ ЛЮК МИШЕЛЬ/ 
2017 02 14/
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Le citoyen europén doit s’habituer progressivement à l’idée que l’avenir de l’Union européenne est fini et limité ; qu’elle ne deviendra jamais une organisation monolithique, dont tous les membres sont également intégrés dans un espace européen commun. Sans parler du projet fini d’un Etat paneuropéen transnational.
Le sommet de l’UE, qui vient de s’achever, a montré que si la plupart des dirigeants européens ne sont pas enthousiasmés par cette perspective, presque tout le monde sait que le seul avenir possible de la communauté est une «Europe à plusieurs vitesses» ou «à géométrie variable». Au travers de ces belles expressions : un principe simple, tous les pays de l’UE vont indépendamment les uns des autres déterminer l’étendue de leur intégration dans la Communauté résiduelle, la participation ou la non-participation à divers programmes de l’UE en fonction de leurs intérêts nationaux.
Cette vision correspond aux analyses prospectives des géopolitologues américains (ceux de Stratfor ou les neocons) et correspond à la double étreinte – celle des USA et celle de l’OTAN – qui étouffe l’UE : crise des réfugiés, immigration anarchique provoquée, participation aux guerres des USA contre les intérêts vitaux de la Grande-Europe (Irak, Afghanistan, Libye, Syrie, « printemps africain », etc, suivant les analyses du géopoliticien Von Lohausen, disciple de Thiriart), guerre économique et commerciale, guerre monétaire Dollar vs Euro … Lors de la IIIe guerre mondiale, vers 2040-2070, une petite « Europe » croupion résiduelle à dix, sous direction allemande, grande Suisse castrée, reste neutre et est sortie de l’Histoire …
#LucMichel #LucMichelPCN #EODE
LM
ЭТО “ЕВРОПА РАЗНЫХ СКОРОСТЕЙ” ИЛИ “ИЗМЕНЯЕМОЙ ГЕОМЕТРИИ”…
Страны ЕС постепенно свыкаются с мыслью, что Евросоюз будущего никогда не станет монолитной организацией, все члены которого будут в равной степени интегрированы в общее европейское пространство.
Завершившийся саммит ЕС показал, что, хотя большинство европейских лидеров не рады этой перспективе, почти все понимают, что единственное возможное будущее сообщества – это “Европа разных скоростей” или “изменяемой геометрии”. За этими красивыми выражениями стоит один простой принцип – все страны ЕС будут самостоятельно определять степень своей интеграции в сообщество, участие или неучастие в тех или иных программах Евросоюза в зависимости от своих национальных интересов.
#европа #евросоюз #eu #паровоз #союз #брексит 
#карикатура #подвицкий #спутник #новости
* Dessin de Vitaly Podvitski :
le train de l’UE est devenu une vieille machine chaotique …
LUC MICHEL / ЛЮК МИШЕЛЬ

LEGISLATIVES AUX PAYS-BAS : DERNIERS SONDAGES (COORDONNES) AVANT L’ELECTION !

Luc MICHEL/ En Bref/ 2017 03 14/
Publiés ce 13 mars 2017 : ils n’annoncent pas le raz-de-marée xénophobe du parti de Wilders ! Si ils se confirment, ce sera un mauvais signal pour Le Pen à la Présidentielle française. Nos sources confidentielles en France confirment la stagnation de la candidate néofasciste.
LM.NET - EN BREF LM sondages nl (2017 03 14) FR
* Infographie AFP.
… Et expliquent pourquoi ceux qui inspirent les scénarios où Le Pen est indispensable au second tour semblent avoir choisi la stratégie de la tension, des émeutes des banlieues françaises à celles de Rotterdam …
LM
* Voir LUC MICHEL SUR PRESS TV (IRAN)/ 
DANS ‘REPORTAGE’ (18 FEVRIER 2017) : 
UNE PRESIDENTIELLE FRANCAISE 2017 SOUS INFLUENCES (I). 
VIOLENCES POLICIERES ET EMEUTES, A QUOI JOUE LA POLICE FRANCAISE ?
* Lire sur LUCMICHEL. NET/ 
QUI VEUT POUSSER L’EXTREME-DROITE AUX PAYS-BAS COMME EN FRANCE ?
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MEMORIA, MEMORIE, NEGAZIONISMI, REGENI E DEIR EZZOR

http://fulviogrimaldi.blogspot.it/2017/01/memoria-memorie-negazionismi-regeni-e.html

MONDOCANE

VENERDÌ 27 GENNAIO 2017

MEMORIE, NEGAZIONISMI, REGENI E DEIR EZ  ZOR

Faccio un’altra volta contenti i localisti che biasimavano la mia depravazione professionale di trascurare il vicino per navigare nel lontano, offrendogli un bel potpourri, come si diceva ai tempi del trio Lescano e di Alberto Rabagliati (oggi “compilation”, e fossimo meno perversamente esterofili, “raccolta”, “selezione”), di cose nostre e cose altrui (che, a mio avviso, senza offesa per i localisti, risultano poi sempre anche nostre). E parto lontanto, da Trump per finire vicino, a Virginia Raggi, tanto per dimostrare l’assunto.

L’aspetto storicamente più significativo e anche più umoristico è il ballo di San Vito che, all’apparire del fenomeno Trump, ha visto unirsi in frenetica agitazione tutti i vermi e tutte le larve che fino a ieri pasteggiavano sulla carcassa della società capitalista occidentale. Vuoi quelli che del gozzoviglio si vantavano e vuoi coloro che, vergognandosene, masticavano nascosti dal tovagliolo di seta. Spioni Cia, serialkiller Mossad, vampiri bancari, fabbricanti di F35, necrofagi neocon, contorsionisti del menzognificio mediatico, burattinai del terrorismo internazionale e loro cloni in miniatura dei paesi subalterni, in felice sintonia con i loro finti opposti e autentici reggicoda, pacifisti, ambientalisti, femministe, variopinti sinistri, diritto-umanisti, migrantofili, cultori del Genere, tutti appassionatamente uniti a protestare, ululare, armarsi, contro questo imprevisto rompicoglioni che si permette di scuotere la carogna e spolverarne i parassiti. Perfino il Papa, meno obliquo del solito, s’è tolto un peso dal petto e, citando Hitler come una Hillary qualsiasi, ha scomunicato i populisti.

Ovviamente non per rigenerarla e insufflarle nuova vita, alla carcassa, ma per darla in pasto ad altri vermi e larve, quelli rimasti sugli strapuntini, i suoi, quelli del rompicoglioni. Davanti alla mortale minaccia dell’ìnedia non ci sono distinguo, l’emergenza non conosce autoreferenzialità: è il momento della Grande Unità contro l’ìmmondo parvenu. Tanto più che, secondo alcuni veggenti della CIA e dell’FBI – e gli opposti sono perfettamente d’accordo – questo virus nell’organismo sano ed eccezionale degli Stati Uniti l’ha inoculato l’orrendo Balrog (vedi Tolkien) di Mosca, l’omofobo del KGB, autocrate invasore dell’Ucraina e, come ha giustamente avvertito, Ash Carter, ministro della Difesa del Premio Nobel per la Pace, minaccia mortale agli Usa e al mondo. Per noi in curva , spettatori paganti della squadra ospite, sarà interessante seguire la partita tra vermi vecchi e vermi nuovi. Ho la sensazione che non si arriverà ai tempi supplementari.

Contro Raggi e contro Trump in campo i revanscisti

Salta agli occhi l’abbagliante similitudine con quanto va succedendo attorno a Roma, altro organismo in stato di decomposizione, ma ancora ghiotta preda di chi sa apprezzare carne putrefatta. Pure qui una massa di citrulli, contaminati dall’odio dissennato di un comico da strapazzo, hanno eletto un’outsider che minaccia di buttare all’aria l’ordine costituito dei commensali. Magari, stavolta, non per sostituire suoi saprofiti e quelli a tavola da decenni. Peggio, per sparecchiare. In ogni caso l’ordinato succedersi del giorno alla notte, la posizione dell’asse terrestre, il corso delle stelle, soprattutto il futuro del cemento e delle monete d’oro che vi prosperano, risultavano scompigliati. E allora, se all’intruso della Casa Bianca si devono addebitare crimini assai più gravi, sebbene al momento potenziali, di quelli effettivamente commessi da predecessori e rivali, come non seguire la stessa procedura con l’abusiva del Campidoglio? 

Il sodale Marra s’è fatto comprare casa da un facilitatore per 350mila euro? In galera il reprobo! Il ministro Scajola la sua per un milione? Libero e in attesa di nomina. Conflitto d’interesse nella nomina del fratello del fratello Marra? Paginoni, reportage, anatemi e sbarre in vista per la sindaca. La ministra Guidi facilita il business petrolifero del fidanzato? La ministra Boschi salva la banca di cui è vicepresidente papà? Il sindaco Sala è indagato perché ne ha fatte di cotte e di crude con gli appalti Expo e ha mimetizzato le sue proprietà nel curriculum? La ministra Cancellieri (della Giustizia!) perora la scarcerazione della figlia dell’amico Ligresti? Il presidente regionale De Luca tratta i fondi regionali con l’assessore comunale De Luca figlio? Vasco Errani da governatore finanzia la coop del fratellino per un cantina sociale fantasma? Vado avanti? Inutile Sono quelli del prima-di-Trump.Titolati. Vermi di razza, mica villani rifatti. Hanno ragione, come quelli dell’Ancien Régime quanto si rimisero a Tavola dopo il Congresso di Vienna. Non è il caso di parlare di doppiopesismo.

Negazionare il negazionismo

L’altro grande clamore di questi giorni che di nuovo vede fusi in fiera unanimità il bello, il buono  e il cattivo è suscitato da due eventi all’apparenza sconnessi, ma che vengono uniti dalla passione con cui ci si avvitano e vi si specchiano tutti coloro che passano per essere i più specchiati. Il Giorno della Memoria, 27 gennaio, e il caso Deir Ez Zor. Non dirò del primo perché non mi va di portare altra acqua a un mulino che macina distrazioni di massa da genocidi vari, ma non dello stesso valore, e da fini neanche tanto reconditi di colpevolizzazione in perpetuo dei due popoli  responsabili e congenitamente criminali. Che non si azzardino di offendere quella memoria brontolando sul genocidio, ormai settantennale, dei palestinesi e su qualche altra malefatta ai danni dell’umanità. Non ne dirò anche perché sono tempacci per i negazionisti, intesi nel senso di coloro che negano il diritto di proibire la negazione (vaccini o olocausti che siano) e perfino la semplice ricerca, dovere imprescindibile di ogni storico onesto. Segno di una paura che la certezza dell’accaduto dovrebbe far apparire irrazionale. 

Giorno della Memoria: dimenticare Deir Ezzor

Dirò del secondo evento, che il primo, opportunamente prolungato in antevigilia, vigilia, evento, post-evento, ha totalmente cancellato dal panorama dell’informazione. Non saranno 6 milioni, ma sono comunque centomila innocenti, assieme a qualche decina di migliaia di soldati, che rischiano di finire peggio che ad Auschwitz, se è vero, come è vero, che niente (se non l’Inquisizione e la CIA ad Abu Ghraib e nelle carceri segrete) supera l’orrore di quanto i mercenari Nato di Isis e Al Qaida infliggono a prigionieri e civili. Sta per succedere e promette di finire peggio di un’Aleppo, molto peggio, giacchè del martirio di Aleppo Est il 90% se lo sono inventati gli imbeccati da Amnesty, Elmetti Bianchi e MSF. Eppure tutto un mondo che si strappava i capelli sui 100mila bambini e sui cento ospedali che il Feroce Saladino Assad stava distruggendo sulla gente di Deir Ez Zor, da tre anni privata di alimentazione adeguata, elettricità, acqua, bombardata incessantemente, in procinto di essere arrostita, scuoiata, crocifissa, stuprata, sepolta in fosse comuni, non ha sollevato ciglio, alzato labbro. Avrebbe potuto distogliere dall’unicità della Shoah.

Il progetto che unisce Usa, Israele, i petrotiranni e i turchi in un’unica campagna  è il califfato che, squartando le due nazioni, si estenda sui due lati di Iraq e Siria e consenta una permanente presenza e protezione “alleata”. E’ in quella zona che si trovano le riserve petrolifere e di gas e le migliori terre agricole. Allo scopo gli Usa hanno promosso e consentito, creando un corridoio insieme ai lanzichenecchi curdi, il trasferimento di qualcosa come 40mila ascari Isis da Mosul a Deir Ezzor. Lì, da tre anni, una guarnigione, sostenuta da tutto una cittadinanza, sostiene un feroce assedio. Sanno cosa li aspetta, visto quello che  curdi e jihadisti hanno inflitto alla popolazione araba di Hasakah. Poi la coalizione a guida Usa ha bombardato l’esercito siriano uccidendo un centinaio di soldati e permettendo all’Isis di occupare l’altura da cui si controlla l’aeroporto. Ed è grazie a quell’aeroporto che  quelli di Deir Ezzor hanno potuto essere riforniti, resistere, restare vivi. Nei giorni scorsi i terroristi hanno potuto occupare la strada dallo scalo alla città. Sembra che nelle ultime ore i combattenti siriani, che ormai sono tutti gli abitanti, l’abbiano ripresa, grazie a massicci bombardamenti russi e una poderosa offensiva della Guardia Repubblicana. Ma l’olocausto non è per niente scongiurato. Solo che ci sono olocausti che contano tutto e altri niente. Anche se disintegrano un popolo dopo l’altro. Semiti anche loro, ma con un difetto, sono arabi. Per niente eletti.

Resistenti a Der Ezzor

Azzannano la Siria e Vladimir che fa?

Accompagno questa digressione siriana con un qualche dubbio sul ruolo dei russi. Non tanto per la pur deprecabile perdita di Palmyra, con conseguente ulteriore terribile offesa al questo patrimonio della civiltà umana. L’impegno per Aleppo assorbiva molti sforzi. Ma cos’è questa intesa con Erdogan per cui un intruso, pur sempre Fratello Musulmano e consanguineo dei jihadisti, si può appropriare di oltre 2000 km quadrati di territorio siriano e procedere oltre, insieme ai terroristi del Free Syrian Army, ridicolmente detti “moderati”, in direzione della siriana Al Bab effettuando incursioni aeree insieme ai russi? Non avendo mai rinunciato alla famigerata “zona cuscinetto” che, insieme alle aree arabe sottratte dai curdi ben oltre il Royava e al califfato in espansione nel nord-est, rappresenta lo spezzettamento della Siria da sempre vaticinato da tutti gli aggressori, che ne è dell’impegno russo per  l’integrità e sovranità della Siria?  Cosa si dice della promessa del vice-premier turco, Kurtulmus, che la Turchia non restituirà mai la città di Al Bab alla Siria? Se ne è parlato ad Astana? E come si concilia l’affermazione ad Astana che per la Siria non ci potrà essere soluzione militare, ma solo politica, con l’impegno di Assad di liberare ogni centimetro quadrato di terra siriana? E a proposito di integrità e sovranità, che si pensa dei 5000 poliziotti siriani, tratti dai mercenari  del  Free Syrian Army, che Erdogan sta addestrando perché, sotto funzionari turchi, amministrino la “sicurezza” nei centri siriani conquistati e che evidentemente non intende restituire? E che si dice anche delle “Safe Zones” che Trump ha dichiarato di voler istituire in Siria con l’inevitabile impegno di altre truppe di terra? “Zone sicure” che ricordano da vicino le zone cuscinetto e le No Fly Zone da anni auspicati dal trio Hillary, Netaniahu, Erdogan?

Ad Astana, nei colloqui tra russi, siriani e iraniani, si è addivenuti a un cessate il fuoco e poco più. Che non riguarda Isis e al Nusra, ma non verrà lontanamente osservato nemmeno dai gruppi “moderati”, terroristi quanto i primi e comunque agli  ordini e al soldo dei finanziatori del Golfo che non risulta abbiano rinunciato a estendere all’intero mondo islamico l’egemonia sunnita di marca wahabita. Putin e il suo ministro degli esteri sono abili e lungimiranti strateghi. Hanno dimostrato che c’è da fidarsi. Ma Erdogan è un farabutto del tutto inaffidabile. Incrociamo le dita. E urliamo contro il genocidio a Deir Ezzor.

Caso Regeni: molto rumore per molto imbarazzo

Non a caso la nuova ondata di contumelie contro il presidente egiziano Al Sisi e di apodittiche attribuzioni a lui dell’assassinio di Giulio Regeni capita in simultanea con la campagna di certa stampa atlantista contro l’ENI che, per sfruttare un giacimento, avrebbe pagato una tangente di un miliardo alla Nigeria, finita poi nelle tasche di un ministro. Così fan tutte e, soprattutto, da sempre, le Sette Sorelle che, da Mattei in qua, vedono l’ENI come fumo negli occhi. L’ENI ha concluso con l’Egitto un accordo di enormi dimensioni per lo sfruttamento di ZHOR, il più grande giacimento di gas del Mediterraneo. Ha tagliato fuori Exxon, BP, Total, Chevron e tutti gli altri. Imperdonabile. Così devono riattivarsi i terminali italiani della piovra petrolifera occidentale. E della Nato, visto che Al Sisi ormai sta con Putin e milita accanto ad Assad in Siria e Haftar in Libia. E della sinistra, radicalchic, proletaria, talmudista, imperiale, di potere. Solo che lo strumento privilegiato di questa è un altro, non zozzo di idrocarburi inquinanti, ma trasudante  valori umani e civili. Ed ecco che salta fuori il video di una conversazione con Giulio Regeni ripreso dal sindacalista Mohammed Abdallah il giorno della sua scomparsa. Video di appena 4 minuti sui 45 che dura la discussione, ma che il Ros e i magistrati hanno ritenuto opportuno non diffondere. Perché?

Dall’impresa di spie a quella delle borse di studio ai meritevoli

Perché? Per lo stesso motivo per cui non si è saputo più niente del computer del “ricercatore”, rapito dai famigliari al Cairo anziché essere consegnato ai legittimi inquirenti egiziani. Che, anche per questo, hanno preso a brancolare nel buio. Dal video si apprende che Regeni poteva disporre di una somma di 10mila sterline da impegnare per il progetto di una struttura egiziana. Dunque un ente egiziano si faceva finanziare dall’estero. E nello specifico da uno che lavorava alle dipendenze dell’impresa di spionaggio Oxford Analytica, agli ordini di tre ceffi della criminalità spionistica e terroristica internazionale: Colin McColl, David Young e John Negroponte. Alla luce di  questo dettaglio, che risulta noto da sempre, ma è del tutto indifferente a coloro che hanno a cuore la “verità su Regeni”, l’affermazione del sindacalista, di cui nessuno ha ancora dimostrato alcun atto disdicevole, che Regeni, insistendo con domande sui sistemi di sicurezza egiziani, potesse essere sospettato di essere una spia, assume una certa credibilità. Che è poi quella per cui i suoi tutor di Cambridge hanno mantenuto una serrata riservatezza su retroterra e missione di Regeni, le autorità britanniche si sono ben guardate dall’approfondire e perfino gli inquirenti italiani si sono tenuti alla larga.

Amnesty International e tutto la camarilla sinistro-destra che quella Ong del Dipartimento di Stato capeggia nell’assalto all’Egitto liberatosi dai fidati Fratelli musulmani e che sta anche prevalendo, grazie all’aiuto dell’intelligence russa, sui terroristi emananti dalla Fratellanza, ora si appende alla richiesta di Abdallah di aiuti per la cura di sua moglie. Mortaretto bagnato. Parrebbe chiaro a chiunque non sia prevenuto che quella richiesta, fatta a uno che dispone di fondi per finanziare strutture organizzate, tipo quel misterioso “Centro egiziano” menzionato da Regeni (chi se ne sta interessando?), intendeva appurare se si trattava di aiuti disinteressati, nel qual caso impiegabili anche per singoli motivi umanitari, o di operazione con ombre politiche. A questo proposito coloro che di Regeni e del suo tragico fato, con relativi responsabili, sanno già tutto, ci diano qualche informazione sulla “Antipode Foundation”, fondazione e rivista angloamericana, registrata in Inghilterra, attiva dal 2011, che ha per oggetto sociale geografia e temi affini e che assegna borse di studio. Dalle nebbie del video, incredibilmente in massima parte non rivelato, uscirebbe uno stanziamento di 10mila euro o sterline, della “Antipode”, a disposizione di Regeni una volta che avesse individuato un credibile assegnatario. Era questo dunque il mandato assegnato a Regeni, trovare chi fosse meritevole delle 10mila cocuzze secondo i gusti di Antipode e di Oxford Analytica? Comunque, vediamo e sentiamo il video completo. Altrimenti abbiamo ogni diritto di pensar male.

A salve il colpo di Casini contro il Venezuela

L’ausiliario Nato in disarmo, Ferdinando Casini, riunita una truppa di scombiccherati ansiosi di riconoscimenti dei nuovi capobastone Usa, tipo Puppato e i miserandi ex-Cinque Stelle, ha fatto passare al Senato una mozione di appoggio ai revanscisti fascisti in Venezuela e contro il governo chavista di Maduro, accusato di ogni nefandezza, alla maniera di Amnesty International. Ma non è stata una vittoria a man bassa. I 5 Stelle, con la senatrice Ornella Bertorotta, gli hanno tempestivamente opposto una contromozione che rimetteva a posto torti e ragioni nel Venezuela aggredito dagli Usa. Così il servizietto di Casini ai mandanti Usa che doveva trasformarsi in marcia trionfale e chiodata sul Venezuela, è passato con appena 11 voti di maggioranza, 184 a 173. Il che, nelle temperie dell’uragano mediatico contro questo baluardo dell’antimperialismo, è piuttosto un flop.  

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Belle foto di Aleppo distrutta che torna alla vita

Aleppo in Ruins: Photos of the Destroyed and Ravaged City

Pubblicato da Fulvio Grimaldi alle ore 19:46