JEUX OLYMPIQUES DE SOTCHI 2014 : LES JALOUX VONT MAIGRIR !

Agence TEM/ Trans-Europa Médias

http://trans-europa-medias-press.com/

http://www.scoop.it/t/trans-europa-medias

https://www.facebook.com/trans.europa.medias.presse

Церемония открытия XXII зимних Олимпийских игр

Une analyse géopolitique de Mikhail Gamandiy-Egorov

La Voix de la Russie / L’Axe Afrique-Russie :

C’est parti pour les XXIIèmes Jeux olympiques d’hiver de Sotchi 2014. Ils n’ont fait que commencer et sont déjà devenus l’un des sujets d’actualité internationale les plus discutés. En tout cas, l’organisation a confirmé (voire dépassé) toutes les attentes.

On s’attendait bien au fait que ces Jeux olympiques ne seraient pas comme les autres, et ce pour plusieurs raisons. A commencer par la position géographique et climatique de Sotchi, une station balnéaire au Sud de la Russie et au bord de la mer Noire. En effet, Sotchi est devenue la première ville au climat méditerranéen avec des montagnes enneigées à portée de vue, à accueillir un événement de cette envergure.

L’autre raison, c’est les moyens engagés. Les JO de Sotchi sont tout simplement les plus chers de l’histoire : 50 milliards de dollars, soit 36 milliards d’euros investis. Mis à part l’aspect sportif immédiat, il s’agit d’un investissement pour l’avenir puisque toutes les infrastructures construites (aussi bien sportives qu’hôtelières) profiteront à la ville et à la région sur le moyen et le long terme. Pour rappel, la ville de Sotchi a toujours été l’une des principales stations balnéaires russes (aussi bien durant l’Empire russe que l’époque soviétique), et ne fait pas exception dans la Russie d’aujourd’hui. Par ailleurs, l’Université d’Etat de Sotchi est également très orientée sur la formation dans le domaine touristique. Il n’est donc pas surprenant que toutes ces nombreuses installations hôtelières serviront à accroître l’intérêt touristique pour Sotchi et la région, y compris pour la clientèle internationale.

Troisième raison, si l’on peut appeler ainsi, ne sont autres que les nombreuses manipulations politiques extérieures. En effet, tous les succès de la Russie depuis de nombreuses années, qu’ils soient politiques, diplomatiques, économiques ou sportifs, provoquent une véritable hystérie auprès de tous ses détracteurs. Mais vu que ce n’est pas nouveau, cela ne nous étonne donc plus vraiment. Au contraire, les critiques répétitives et trop souvent sans fondement de tout ce qui est russe, de tout ce qui est lié à la Russie, à sa politique, à sa vision du monde et des relations internationales, à son respect du système de l’ONU, du droit international et de la souveraineté des Etats, sont plutôt un bon signe.

Effectivement, et si l’on se rappelle des années les plus sombres de la Russie contemporaine : les fameuses années 1990 et jusqu’au tout début des années 2000, l’Occident politique applaudissait activement les soi-disant « succès » de la Russie au moment où le pays était au plus bas et ce dans pratiquement tous les domaines : le marasme économique et politique avait appauvri une extrême partie de la population russe, la criminalité avaient gangrené le pays et les perspectives étaient plus pessimistes les unes que les autres. Mais selon les élites occidentales, la Russie se portait alors « de la meilleure des manières ». Une grande guerre civile qui se présageait à l’horizon et l’éventualité d’un nouvel éclatement du pays auraient été certainement l’apogée de la « réussite russe » pour les « amis » occidentaux.

Tout a subitement et radicalement changé lorsque la Russie a commencé à mettre fin au processus honteux devenu monnaie courante à cette époque au niveau interne et à retrouver la place qui est la sienne, aussi bien au niveau régional que global. Les critiques sont devenues alors proportionnelles aux succès que la Russie obtenait aussi bien sur le plan national qu’international. Donc au final, si aujourd’hui les critiques de certains « bien-pensants » issus des élites politiques et médiatiques occidentales s’acharnent autant sur la Russie, cela signifie que le pays se porte vraisemblablement pas mal du tout…

Pour revenir à Sotchi, la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques a été tout simplement grandiose, comme l’ont noté tous les spectateurs, russes comme étrangers, présents sur place ainsi que la très grande majorité de tous ceux qui avaient suivi sa diffusion en direct à la télévision et via internet. Les principaux médias occidentaux n’ont également pas pu ignorer ce fait et ont dû tous avouer l’excellente organisation et le niveau spectaculaire de la cérémonie d’ouverture de ces JO. Néanmoins et chez certains d’entre eux, il était plus que difficile de ne pas remarquer le niveau de jalousie et de malveillance. C’est vrai, les victoires de la Russie sur l’arène internationale, et dans des domaines si variés, sont évidentes et ne comptent nullement s’arrêter en si bon chemin. Quant aux jaloux et aux mauvaises langues, comme le dit si bien l’expression ivoirienne très appréciée en Afrique de l’Ouest et popularisée par le rappeur franco-malien Mokobé : « Les jaloux vont maigrir ».Tout y est dit !

Mikhail Gamandiy-Egorov

http://afriquerussie.wordpress.com/

TEM / avec L’Axe Afrique-Russie – La Voix de la Russie / 16 février 2014 /

http://trans-europa-medias-press.com/trans-europa-medias-geopolitique-jeux-olympiques-de-sotchi-2014-les-jaloux-vont-maigrir/

____________________

TEM / Trans-Europa Médias

* TEM Website :

http://trans-europa-medias-press.com/

* TEM Blog / Revue de Presse :

http://www.scoop.it/t/trans-europa-medias

* TEM Profil Facebook :

https://www.facebook.com/transeuropa.medias

* TEM Page Facebook :

https://www.facebook.com/trans.europa.medias.presse

Zyuganov a proposito della nuova realtà olimpica di Soci: “Dobbiamo pensare ai bambini“.

quando i comunisti sono seri, stanno dalla parte dei più deboli e non cantano bella ciao come vittoria PER LE BANCHE
 
1186712
“Siamo appena tornati dalle Olimpiadi di Sochi – ha dichiarato  Gennady Zyuganov. I Giochi Olimpici sono un fenomeno unico nella vita di tutta l’umanità. Le persone hanno da tempo riconosciuto che è meglio  competere sui campi da gioco all’idea di combattere con le armi.
“Voglio congratularmi con i nostri primi campioni. Tutti coloro che hanno gareggiato con successo. E coloro che si stanno preparando in modo serrato per la prossima gara – ha continuato il leader del Partito Comunista. Le Olimpiadi hanno rivelato un  grande spirito di squadra e il desiderio di vivere lo sport in pace ed amicizia”.
Il Leader comunista russo ha elogiato i risultati della sport di squadra russa di pattinaggio. “Il nostro team di skaters ha ottenuto un risultato brillante. Il pattinaggio è diventato il centro dell’attenzione non solo per i fan russi, ma per l’intero pianeta. Tre anni fa, nelle competizioni di pattinaggio di figura è stata una semi debacle. Voglio ringraziare i nostri allenatori, che sono stati in grado di Recuperare la tradizione sovietica di preparazione tecnica di pattinaggio”.
Secondo GA Zyuganov, il pattinatore Evgeni Plushenko alle Olimpiadi è stato protagonista di un’autentica  prodezza atletica. “ho sempre sostenuto  Zhenya Plushenko. Questo è l’eroe del nostro tempo. Come il pilota leggendario Alexei Maresiev lui stesso ricostruito completamente dopo una grande operazione sulla colonna vertebrale, e ora mostra la più alta abilità e la dignità, con una brillante forma e un raro coraggio “- ha dichiarato il leader del Partito Comunista.
“La pattinatrice quindicenne Yulia Lipnitskaya è il nostro gioiello sportivo. Sono sicuro che avrà un futuro unico. Bella forma atletica. Tranquillità Rare. Doti rare per una ragazza della sua età, questo è il prologo di un futuro di successi”, previsione di GA Zyuganov.
Il leader del Partito Comunista ha dichiarato che in epoca sovietica lo sport degli juniores era più preso in considerazione. Ha ricordato altresì di come alla vigilia delle olimpiadi si sia cercato di trovare dei difetti nella preparazione sportiva di epoca sovietica. Nonostante ciò sappiamo che alcune realtà tra cui la Cina hanno comunque ripreso elementi significativi del passato sportivo sovietico, ha dichiarato GA Zyuganov.
“E’ disdicevole la nostra prestazione nella disciplina del Biathlon. Il quattro volte campione olimpico biathleta Alexander Tikhonov in quasi 20 anni ha ottenuto ottimi risultati. Dobbiamo rifondare la struttura che ci portò ottimi risultati in questo sport“.
“Siamo già interessati a capire come verrà utilizzata la struttura olimpionica che verrà lasciata dopo le competizioni, speriamo che venga lasciata per lo sviluppo delle competizioni juniores e per la creazione di un centro  sportivo “Artek -2” – ha dichiarato  Gennady Zyuganov.
“Il fatto che questa struttura venga data per le competizioni juniores, verrà visto questo gesto come un grande dono”- ha dichiarato il leader del Partito Comunista.
“Questa struttura verrebbe affiancata alle scuole già presenti sviluppando una sinergia tra cultura e sport facendo crescere sotto ogni aspetto le nuove generazioni”, GA Zyuganov.
“Vorrei ricordare che Sochi fu trasformata in tre differenti passaggi. Negli anni 30 Stalin ha costruito là le sedi governative locali e poi ospedali. In poco tempo furono innaugurati e resi funzionanti diversi reparti chiamati: “Sochi“, ”Il minatore“, “Frunze“. Ogni cittadino sovietico poteva essere curato in questi reparti“, ricorda Zyuganov.
“Poi ci fu un secondo passaggio, negli anni sessanta. In quel periodo, venne assicurata una struttura ampia per la riabilitazione. Queste strutture furono fortemente volute da Brezhnev e Kossyghin”- ha dichiarato GA Zyuganov.
“E ora, con la creazione di una nuova base olimpica, dobbiamo pensare ai bambini. Una nuova generazione. Oggi, le malattie infantili, come la tubercolosi negli stessi bambini si sviluppano a macchia d’olio. Su useremo questa struttura per curare e prevenire nuove malattie rafforzeremo lo spirito patriottico e daremo un futuro migliore anche ai più piccoli. Mi auguro che la Russia ottenga presto una nuova vittoria.“
 
Traduzione a cura di Dario Daniele Raffo

Giochi olimpici e meno olimpici

di Tao il Sabato, 08 febbraio
 
Cominciano i giochi olimpici di Soci. Ma nello spazio tra il Caucaso e il Mar Nero si giocherà una partita ben più vasta è diversa da quella delle gare. È in corso – attorno alla Russia e dentro la Russia – qualcosa di molto simile a una guerra. Non la si può chiamare Nuova Guerra Fredda, perché le cose si presentano oggi in altra forma e con altri giocatori. Ma viene da pensare alle Olimpiadi di Mosca del 1980.
Anche allora l’Occidente si divise. L’intervento sovietico in Afghanistan , iniziato nel dicembre dell’anno precedente, aveva fatto scattare le ritorsioni.Washington fu assente, insieme ad alcuni altri paesi. L’Italia ci andò, come quasi tutti gli europei, dopo molte esitazioni e in mezzo a forti pressioni.
 
Oggi il premier Letta assisterà all’apertura, ma non ci saranno molti leaders europei: quelli che sono stati protagonisti delle guerre di Libia e di Siria, per esempio. E quelli che hanno agito in Ucraina.
Nel 1980 non c’era il terrorismo nell’Unione Sovietica. La Cecenia era una repubblica di cui nessuno conosceva l’esistenza. E la fine dell’URSS non era nemmeno lontanamente immaginabile, mentre al Cremlino sedeva un cenacolo di quasi ottuagenari che aveva in gestione la “parità strategica” tra Oriente e Occidente. L’astro cinese non era ancora salito sull’orizzonte e il suo capo di governo si chiamava Hua Guofeng, altrettanto relativamente poco rilevante – agli occhi del mondo – di quanto fosse la Cecenia.
 
Eppure è in corso una guerra. Uno dei cui premi in palio – per chi la gioca contro la Russia – è demolire il prestigio di Vladimir Putin. Lui la volle, questa Olimpiade, anche per farsene un trofeo personale, un segno che la Russia era tornata grande e forte. E Soci gli fu regalata perché si pensava, nella capitale dell’Impero, che sarebbe stato possibile “resettare” i rapporti con Mosca, che erano venuti sempre più deteriorandosi.
 
Così l’olimpiade di Soci venne preparata sotto un cielo roseo, e ora si apre sotto un cielo plumbeo. Cosa è successo in questo breve scorcio di tempo lo sappiamo, anche se molti sembrano non avere capito, non avere percepito il grande cambiamento.
 
Vladimir Putin non è più l’amico che ci si augurava sarebbe diventato. E Obama non è più il presidente che si era sperato. Ci sono state due guerre intermedie, Libia e Siria, giocate dall’Occidente. C’è stata, nell’agosto 2008, la fulminea guerra tra Georgia e Russia. L’Europa è in una crisi profonda, ma ha trovato il tempo e il modo di aprire un conflitto nuovo ai suoi immediati confini ad est, innescando i prodromi di una guerra civile in Ucraina.
 
In alcune di queste partite, solo apparentemente secondarie (in Siria e in Ucraina, per esempio) Putin ha giocato mosse magistrali, che non sono piaciute a Washington e a Bruxelles. Ma Putin ha dovuto fronteggiare manifestazioni di massa sulle rive della Moscova, proprio sotto le sue finestre, di gente che non sa in quale paese si trova a vivere e che vuole cambiare aria.
 
È un’opposizione che nasce, inedita, strana, inattesa? Molti, in Occidente, questo hanno sperato e sperano, probabilmente sbagliando i calcoli. Quante volte l’Occidente ha sbagliato i suoi calcoli riguardo alla Russia?
 
E poi ci sono gli sconfitti nella guerra di Cecenia, quella che Eltsin volle e che Putin vinse, con tutta la brutalità di cui è capace la Russia quando decide di essere brutale. Le bombe di Volgogrado sono il rumore e il sangue di una vendetta. Ma quel tritolo viene da lontano. Sappiamo che sultani carichi di minacce e di soldi sono andati fino al soglio di Putin.
 
C’è dunque chi punta a incendiare non più solo la Cecenia, ma tutto il fienile del Caucaso: dal Daghestan, alla Kabardino-Balkaria, all’Ingushetia. C’è il fuoco sotto la cenere del conflitto, non sedato, tra Georgia, da un lato, e Abkhazia e Ossetia del Sud dall’altro. C’è l’Ucraina, che potrebbe precipitare dentro se stessa prima di scivolare in un’Europa incapace di gestirla. Ci sono gli appetiti espansivi della NATO.
 
E c’è, purtroppo, l’illusione in alcuni gruppi dirigenti occidentali, inclusi gli europei, che la Russia di Putin sia ancora quella di Boris Eltsin. Così non è. Se a Soci succederà qualche cosa di sgradevole, o di grave, non sarà senza conseguenze su tutto il quadro, già plumbeo, che stiamo vedendo.
 
Giulietto Chiesa
7.02.2014

Sofri, Soci e Sochi

Adriano Sofri, lei come si sente ad essere se stesso, cioè a non esserlo mai stato veramente a cagione delle sue tante facce per ogni stagione? Non siamo dalla Bignardi ma le faremo il bignami delle sue contraddizioni, ora che il suo obiettivo sono i dittatori immaginari e le violazioni dei diritti umani. Zelig in ogni epoca ed in ogni luogo, come il personaggio di W. Allen, sempre ai vertici del torbido, per il nutrimento del suo io ipertrofico e di una insaziabile smania di fama, adesso veste i panni del guerriero umanitario occidentale. Ieri sparava a cazzo di cane, oggi le spara grosse con una sensibilità preincartata da primo della classe (non più proletaria). Un tempo dava ordini spietati e sghignazzava come una iena ridens quando, con poca cautela, qualcuno lo chiamava il piccolo Lenin. Non s’illuda piccoletto, il paragone reggeva solo sui centimetri e non sulla statura politica. Altezza(o bassezza) non è stazza né stoffa. Si sentiva alla pari col grande rivoluzionario russo, proprio lei membro di una retroguardia generazionale sessantottarda che ha fatto una brutta fine o si è riciclata, facendosi largo tra cadaveri e ideologie (ab)usate, nel parco buoi degli opinion maker ammaestrati ed ingaggiati da quel sistema tanto odiato, divenuto improvvisamente casa accogliente e causa rilassante. A quelli come lui interessava unicamente diventare classe dirigente ed il comunismo reinventato di sana pianta rappresentava l’ascensore sociale a portata di mano, il più comodo in quel momento. Erano convinti di vincere, proprio come attualmente credono di essere antropologicamente superiori.

Non avrai altro leader all’infuori di te, recita la bibbia dell’egocentrismo dogmatico. Sofri è uno dei suoi massimi profeti. Così l’imperatore Adriano, deposto il kalashnikov ha imbracciato la tastiera della fiera delle vanità giornalaie per redimersi dallo zelo sovversivo giovanile ed essere ammesso nel salotto confortevole del mondo che conta. Grazie al “collaborazionismo” ha ottenuto la collaborazione editoriale sulla stampa a larga diffusione, riqualificandosi il pronome (l’io smisurato), ed ora ha l’ardire di scrivere che Putin sarebbe l’ “agente del KGB rifatto”. Eppure una volta la Russia era per lui ispirazione e aspirazione. Come cambiano i prepotenti…

Il vizio del killeraggio Sofri però non l’ha perso, da “commissario del popolo”, contro i commissariati e i commissari di polizia, a 007 dell’ordine mondiale costituito che definisce il Presidente russo un despota incallito, soltanto perché costui non vuole mollare l’osso geopolitico alla famigerata comunità internazionale.

Ma Vova rivendica con orgoglio il suo passato sovietico e ricorda la triste caduta dell’URSS, la più grande catastrofe del XX secolo. Sofri, invece, quando ce la racconterà tutta quella storiaccia disonorevole di lottacontinuismo parolaio che stampava i suoi deliri di piombo presso una tipografia gestita dalla Cia? Tra via Dandolo e via dei Magazzini Generali, erano sempre in buona compagnia americana, portati per mano da un certo Robert Cunnigham junior dell’Ohio. Rotta continua verso l’americanismo. In ogni caso, la più vasta sciagura culturale del XX secolo è stata proprio il ’68 di Sofri e soci (quelli che adesso odiano Sochi). Una fase storica che ci ha regalato una generazione di mostriciattoli, come l’ha definita il mio maestro La Grassa. Sono stati tali intellettuali del piffero – usciti dalla contestazione studentesca e dall’esaltazione della classe operaia che senz’altro avrebbe rovesciato l’ordine di cose presente per il gusto di portare simili vanesi in cima alla piramide sociale – ad aver creato lo scempio del politicamente corretto di oggi: “quintessenza dell’idiotismo autodefinitosi progressista, mentre è semplicemente il prodotto degenerativo di una fase di completa involuzione del pensiero e soprattutto di ciò che si definisce politica. Questa non esiste più, assistiamo al cicaleccio inconsistente e fatuo di arroganti presuntuosi che hanno occupato ogni spazio di destrutturazione culturale nei media e nell’editoria”. Appunto, gli scarti del ’68 stanno continuando a produrre esalazioni pseudoculturali e pseudopolitiche che ci uccidono nell’anno 2014, impedendoci di leggere oggettivamente i mutamenti in corso al fine di ripensare la nostra collocazione sulla scacchiera mondiale. Sono pedoni (e pedine) di un gioco più grande di loro e per questo verranno presto (almeno ce lo auguriamo) mangiati.

Gianni Pertosillo
Fonte: www.conflittiestrategie.it
7.02.2014

Gennady Zyuganov incontra gli atleti che parteciperanno alle Olimpiadi di Sochi

Il leader del Partito Comuista della Federazione Russa si è recato in visita a Soci, città dove si terranno le olimpiadi. Anche in questa occasione ha ricordato che lo sport deve essere un fattore di unione e promozione dell’amicizia, fraternità e pace tra i popoli. Queste espressioni sono state utilizzate a margine della visita alla delegazione georgiana, oltre a questi concetti, Zyuganov ha pubblicamente auspicato che le relazioni tra i due paesi tornino ad essere fraterne. Durante questa visita appare come un gesto di continuità del sostegno a tutte le realtà resistenti, la visita alla delegazione venezuelana. Durante questa visita, Zyuganov ha assistito e partecipato all’alzabandiera, ha augurato buona fortuna a tutti gli atleti venezuelani.

A margine di questo evento è stato pronunciato il seguente discorso, discorso che riportiamo.Cari amici, cari compatrioti!
Mi congratulo vivamente per l’apertura dei Giochi Olimpici Invernali a Sochi! I Giochi Olimpici sono i più grandi eventi sportivi internazionali, l’arena dove gli atleti più titolati a livello mondiale difendono  l’onore della loro patria in una mente sana e in un corpo forte.
Quest’anno, per la seconda volta nella storia delle Olimpiadi, il nostro paese è stato onorato di condurre questo evento sportivo di livello mondiale nel territorio dove si raggiunsero grandi vittorie sportive come nazionale sovietica.
La vittoria alle Olimpiadi di oggi è percepita come un forte diritto di occupare un posto degno sul podio della civiltà mondiale. Lo Stato sovietico è riuscito brillantemente ad attuare questa prassi. La creazione e lo sviluppo di accademie sportive ha dato la possibilità di crescere e diventare atleti di successo a molte persone e di vincere diverse volte medaglie d’oro e altri premi prestigiosi per se stessi ma soprattutto in quanto atleti dell’Unione Sovietica.
Alle olimpiadi del 1980, l’Unione Sovietica fu davvero una squadra nazionale coraggiosa e forte.
Oggi, nel 2014, i nostri atleti hanno nuovamente la possibilità di vincere nella propria terra natale di difendere l’onore e la dignità, di essere i migliori. E, anche se in termini di preparazione atletica nella Russia di oggi, ci sono alcuni difetti, sono sicuro che la formazione di base che ereditiamo dall’Unione Sovietica, siano delle pietre miliari per un futuro di vittorie.
Quegli splendidi talenti, che hanno sollevato la scuola dello sport sovietico, che hanno superato le loro competenze e conoscenze per le generazioni future saranno ottimi allenatori. Queste forze ci permetteranno di essere ancora forti e di tornare a vincere!
Buona fortuna ai nostri atleti! Le nostre speranze sono rivolte a voi! Buona fortuna e coraggio, cari amici!

Il Presidente del Comitato Centrale del Partito Comunista,
Ghennady Zyuganov

Come potrete osservare il tono è ben diverso dai nostri cari compagni che al concetto espresso da Zyuganov contrappongono quello della droga libero in stato assente. Il passato dei nostri trionfi in Italia non deve essere ricordato, lo sport è un concetto di destra. La destra si sa bene in Italia vede lo sport come un’accademia di futuri picchiatori difensori dei propri interessi e degli interessi dei grandi capitali o dei piccoli capitalisti della propria area. Che aggiungere, noi preferiamo uno stato dove lo sport sia un altro fattore dove sviluppare la propria potenza. Uno stato dove tutti gli sport siano degni della medesima considerazione e dove non esista un dio sport come il calcio in Italia. Uno stato che vedo lo sport non come business ma come professione retribuita e al servizio del benessere nazionale. Ebbene che aggiungere di fronte al panorama sconsolante che viviamo in Italia non ci resta che accodarci agli auguri posti dal Segretario del Kprf, avanti Russia, che lo sport porti alla pace non all’imperialismo.

Dario Daniele Raffo
http://www.statopotenza.eu/10368/gennady-zyuganov-incontra-gli-atleti-che-parteciperanno-alle-olimpiadi-di-sochi