CRISE DIPLOMATIQUE SINO-AMERICAINE SUR FOND DE CORONAVIRUS: PEKIN PROTEGE ENFIN LE ‘VENTRE MOU’ DE LA CHINE A HONG-KONG !

# LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY/

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Luc MICHEL pour EODE/

Quotidien géopolitique – Geopolitical Daily/

2020 04 20/

epa08370344 Veteran pro-democracy figure and former lawmaker Martin Lee (C) speaks to journalists after walking out of Central Police Station in Hong Kong, China, 18 April 2020. Police arrested 14 high-profile pro-democracy figures in connection with several anti-government protests of 2019, including media tycoon Jimmy Lai and veteran pro-democracy figure and former lawmaker Martin Lee.  EPA/JEROME FAVRE (MaxPPP TagID: epalivefour751109.jpg) [Photo via MaxPPP]

epa08370344 Veteran pro-democracy figure and former lawmaker Martin Lee (C) speaks to journalists after walking out of Central Police Station in Hong Kong, China, 18 April 2020. Police arrested 14 high-profile pro-democracy figures in connection with several anti-government protests of 2019, including media tycoon Jimmy Lai and veteran pro-democracy figure and former lawmaker Martin Lee. EPA/JEROME FAVRE (MaxPPP TagID: epalivefour751109.jpg) [Photo via MaxPPP]

« La police de Hong Kong a arrêté, samedi 18 avril, quatorze leaders du mouvement pro-démocratie pour leur soutien ou leur participation à des manifestations l’an dernier. Une stratégie d’intimidation avant les législatives de septembre et des dates anniversaires sensibles pour Pékin (…) Ainsi, pendant que le monde entier lutte contre le coronavirus, la Chine frappe le territoire de Hong Kong, »

– La Croix (quotidien catholique anti-chinois, Paris, ce 19 avril).

« Faire du bruit à l’est et frapper à l’ouest »

– Sun Tsu.

Je combats les « révolutions de couleur » (1) depuis la toute première en 2000. J’étais déjà à Belgrade à l’époque pour soutenir le gouvernement yougoslave. Pour leurs changements de régime made in USA, Washington et ses complices de l’OTAN utilisent un vaste ensemble de réseaux : groupuscules de jeunes activistes (le groupe initial OTPOR était qualifié de « Madleen Jugend » en référence à Madleen Albright leur première patronne, puis sont venus les Mc Cain et cie, les « Sorös’Boys »), politiciens atlantistes (comme Mikheil Saakachvili, qui a servi en Géorgie et en Ukraine), cyberactivistes, voyoux et mafieux (d’extrême-droite ou islamistes radicaux), barbouzes, presstitutes divers. Ces gens détruisent les peuples et les Etats. Belgrade est aujourd’hui la capitale d’une Serbie-croupion résiduelle. Et les serbes ont perdu leur pays la Yougoslavie. Je n’ai aucune indulgence pour tous ces mercenaires de l’Amérique (2). En particulier je n’ai pas oublié et pas pardonné la mort de la Yougoslavie et celle du Présient Milosevic.

Je salue donc les mesures de sécurité nationales prises par la Chine à Hong-kong. Les « guerres du coronavirus » (3) et la crise diplomatique exacerbée sino-américaine ont enfin conduit Pékin à donner un coup d’arrêt à la subversion occidentale à Hong-Kong, ce ventre mou de la Chine ! Un exemple pour tous les états africains ciblés par les soi-disant « printemps arabe » et « printemps africain » …

ENFIN UN COUP D’ARRET AA SOI-DISANT « REVOLUTION DES PARAPLUIES » : A HONG KONG, LA POLICE ARRETE DES LEADERS DU MOUVEMENT DE DESTABILISATION PRO-OCCIDENTAL

Hong Kong avait été secouée plusieurs mois en 2019 par d’immenses manifestations parfois émaillées de violences. Elles avaient été provoquées au départ par un projet de loi – désormais abandonné – prévoyant d’autoriser les extraditions vers la Chine continentale. Ce mouvement de déstabilisation était la continuation directe d’une révolution de couleur rampante initiée en 2014, la soi-disant « révolution des parapluies ». La révolution de couleur à Honk-Kong, dite « des parapluies », est un processus rampant sur le long terme. Honk-Kong, sous le signe de « Un Etat, deux systèmes » (condition négociée par les Britanniques pour leur départ, une vraie bombe à retardement,), est le ventre mou de la Chine. Et à Washington, on rêve d’un « Tien An Nem bis » parti de l’ex colonie britannique … …

La police de Hong Kong a mené samedi une opération de grande envergure contre des leaders du mouvement pro-occidental, arrêtant 14 personnes pour leur soutien ou leur participation aux immenses manifestations qui ont secoué la place financière asiatique l’an dernier. Parmi les personnes interpellées figure le magnat des médias Jimmy Lai, 72 ans, fondateur du journal d’opposition Apple Daily, appréhendé à son domicile. Les parlementaires ou ex-parlementaires Martin Lee, Margaret Ng, Albert Ho, Leung Kwok-hung et Au Nok-hin, accusés d’avoir organisé et participé à des rassemblements illégaux en août et octobre, ont également été arrêtés, a indiqué la police. Cinq autres personnes interpellées sont soupçonnées d’avoir promu des manifestations interdites en septembre et octobre. « Les personnes arrêtées sont accusées ou seront accusées de crimes liés » à ce genre de faits, a déclaré le commissaire Lam Wing-ho.

Les rassemblements géants de 2019 dans le territoire semi-autonome ont rapidement muté en un mouvement de déstabilisation pro-occidental, soutenu par Washington, Bruxelles ou Paris, réclamant plus de libertés, qui est devenu le plus grand défi au pouvoir de Pékin depuis que l’ex-colonie britannique est repassée dans le giron chinois en 1997. Les manifestations et les affrontements avec la police ont progressivement cessé, en partie à cause de l’épuisement et des arrestations, mais aussi de la pandémie de coronavirus.

OBSERVATEURS OU INCENDIAIRES ?

Le chef de la diplomatie américaine, Mike Pompeo, a jugé samedi soir « profondément préoccupantes » ces arrestations. « L’application politisée de la loi est incompatible avec les valeurs universelles de liberté d’expression, d’association et de rassemblement pacifique » (sic), a écrit le secrétaire d’Etat et ex patron de la CIA dans un tweet.

Que valent  les déclarations du secrétaire d’Etat américain Mike Pompeo quand il s’en prend à l’Iran, à la Russie ou à la Chine? Retenez bien ce qu’il disait en rigolant, le 15 avril 2019, à des étudiants de l’université A&M du Texas : « Lorsque j’étais élève officier à West Point, quelle était la devise du cadet ? Tu ne mentiras pas, tu ne tricheras pas, tu ne voleras pas et tu ne toléreras pas que d’autres le fassent. J’ai été directeur de la CIA et nous avons menti, triché, volé. C’était comme si nous avions eu des stages entiers de formation pour apprendre à le faire » (4) …

La directrice de Human Rights Watch (Réseaux Sorös profondément impliqués dans la déstabilisation de Hong-Kong) pour la Chine, Sophie Richardson, a aussi critiqué Pékin. « Il est difficile de prévoir les prochaines initiatives de Pékin, mais il semble bien que les dirigeants de Hong Kong vont continuer de permettre des abus plutôt que de défendre les droits des habitants de Hong Kong » (resic), a-t-elle déploré.

DERRIERE LE MOIUVEMENT PROOCCIDENTAL :

LE SPECTRE DE LA SECESSION

Pékin devait décréter l’interdiction en février 2019 du Parti National de Hong Kong (HKNP). Derrière celui-ci, le spectre de la Sécession, inacceptable pour Pékin, dont l’existence même est menacée par le soutien occidental à l’éclatement du pays : Tibet, Xinjiang (dit musulman), Hong-Kong (colonisé 99 ans par les britanniques, sans oublier Taiwan (5). Dans son livre-*manifeste « The Next hundred years », le géopoliticien Georges Friedman, alors patron du Think Tank ‘Stratfor’, expose clairement comment il faut démembrer la Chine avant 2040 !

Le quotidien ‘Le Soir’, anti-chinois, expose les enjeux : « depuis le début de la mise en œuvre du principe « un pays deux systèmes » en 1997 (…) Hong Kong bénéficie en principe d’une « grande autonomie » sur le plan fiscal, économique et juridique, c’est l’Assemblée nationale populaire chinoise à Pékin via son Comité permanent qui détient le pouvoir d’interprétation de la constitutionnalité des lois régissant Hong Kong, de même que des éventuelles révisions de celles-ci (…) depuis une dizaine d’années, une identité hongkongaise s’est progressivement construite, parfois en opposition directe, mais surtout de plus en plus découplée de la Chine et de son destin politique. Ce sentiment identitaire est particulièrement prégnant au sein de la jeunesse qui a assisté à la fois à la montée en puissance de la Chine sur le plan économique, mais aussi à une présence de Chinois du continent en forte augmentation depuis 2003 (un Hongkongais sur sept provient du continent à présent), ce qui n’a pas été sans provoquer des tensions et des sentiments de xénophobie envers les continentaux ».

# HONK-KONG LE VENTRE MOU DE LA CHINE :

LE DOSSIER GEOPOLITIQUE

* Voir sur EODE-TV & AFRIQUE MEDIA/

LE GRAND JEU (Saison I – 5). OCCUPY HONG-KONG.

REVOLUTION DE COULEUR EN CHINE

sur https://vimeo.com/114919746

* LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY/

REVOLUTION DE COULEUR EN CHINE (I) :

APRES LE TEST DE HONG-KONG, VERS UNE ‘REVOLUTION DE COULEUR’ EN CHINE CONTINENTALE ?

DAILY 042

sur http://www.lucmichel.net/2017/10/01/luc-michels-geopolitical-daily-revolution-de-couleur-en-chine-i-apres-le-test-de-hong-kong-vers-une-revolution-de-couleur-en-chine-continentale/

* LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY/

REVOLUTION DE COULEUR EN CHINE (II) :

HONG-KONG, SUITE ET PAS FIN !

sur http://www.lucmichel.net/2017/10/04/luc-michels-geopolitical-daily-revolution-de-couleur-en-chine-ii-hong-kong-suite-et-pas-fin/

NOTES ET RENVOIS :

(1) Voir sur PANAFRICOM/

ENQUETES SUR LA DESTABILISATION DE L’AFRIQUE (I) :

DE LA YOUGOSLAVIE (2000) AU ‘PRINTEMPS AFRICAIN’ (2015-1018) : COMMENT S’ORGANISENT LES « REVOLUTIONS DE COULEUR » ?

http://www.lucmichel.net/2017/09/03/panafricom-enquetes-sur-la-destabilisation-de-lafrique-i-de-la-yougoslavie-2000-au-printemps-africain-2015-1018-comment-sorganisent-les-revoluti/

(2) Voir sur PANAFRICOM/

OUI LE « BALAIS CITOYEN » ET SES CLONES PARTOUT EN AFRIQUE SONT DES MERCENAIRES AU SERVICE DES AMERICAINS ET DE LA RECOLONISATION DE L’AFRIQUE !

http://www.lucmichel.net/2015/09/22/panafricom-oui-le-balais-citoyen-et-ses-clones-partout-en-afrique-sont-des-mercenaires-au-service-des-americains-et-de-la-recolonisation-de-lafrique/

(3) Cfr. sur LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY/

GEOPOLITIQUE DU CORONAVIRUS: QUESTIONS ET ENJEUX DE LA PANDEMIE

http://www.eode.org/luc-michels-geopolitical-daily-geopolitique-du-coronavirus-iii-questions-et-enjeux-de-la-pandemie/

(4) Voir la video sur :

https://www.youtube.com/watch?v=DPt-zXn05ac&feature=emb_logo

(5) Cfr. sur LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY :

* TAIWAN : LA PROCHAINE CRISE GEOPOLITIQUE EN ASIE (I).

PEKIN VS LES ‘SEPARATISTES’ DE TAIPEI

http://www.lucmichel.net/2019/01/03/luc-michels-geopolitical-daily-taiwan-la-prochaine-crise-geopolitique-en-asie-i-pekin-vs-les-separatistes-de-taipei/

* LA PROCHAINE CRISE GEOPOLITIQUE EN ASIE (II).

TRUMP CONTRE LE ‘PRINCIPE DE LA CHINE UNIQUE’

http://www.lucmichel.net/2019/01/04/luc-michels-geopolitical-daily-taiwan-la-prochaine-crise-geopolitique-en-asie-ii-trump-contre-le-principe-de-la-chine-unique/

* Et TAIWAN : LA PROCHAINE CRISE GEOPOLITIQUE EN ASIE (III).

VU DES USA, COMMENT WASHINGTON UTILISE TAIPEI POUR AFFAIBLIR LA CHINE ?

http://www.lucmichel.net/2019/01/07/luc-michels-geopolitical-daily-taiwan-la-prochaine-crise-geopolitique-en-asie-iii-vu-des-usa-comment-washington-utilise-taipei-pour-affaiblir-la-chine/

(Sources : Xinhua – La Croix – AFP – Le Soir – EODE Think Tank)

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

Géopolitique – Géoéconomie – Géoidéologie – Géohistoire –

Géopolitismes – Néoeurasisme – Néopanafricanisme

(Vu de Moscou et Malabo) :

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CORONAVIRUS ET VIH. POURQUOI LA THÉORIE DU PR LUC MONTAGNIER EST INVRAISEMBLABLE : HALTE A LA PROPAGANDE ANTICHINOISE DES TRUMP-MACRON-JONHSON ! 

# LUCMICHEL. NET/

FLASH INFO / L’ACTU EN BREF …

2020 04  17

LM.RP - FLASH 005 montagnier invraisembable (2020 04 17) FR

Quand un Prix Nobel raconte n’importe quoi et sert la soupe de la désinformation des services secrets de l’OTAN ! Jusqu’où s’arrêtera la chute des élites occidentales ???

Coronavirus et VIH : pourquoi la théorie du Pr Luc Montagnier est invraisemblable

Le professeur Luc Montagnier avance que le virus du Covid-19 serait une création chinoise à partir de molécules du VIH, notamment. Mais les propos et la personnalité du prix Nobel 2008 interpellent la communauté scientifique.

Une « incroyable » découverte (sic). Immédiatement récupérée contre Pékin par Macron ! Voilà comment est présentée l’intervention très médiatique du professeur Luc Montagnier dans un podcast publié par le site Pourquoidocteur.fr, ce jeudi. Selon ce scientifique désormais retraité mais reconnu par un prix Nobel de médecine en 2008, « le virus de la maladie Covid-19 serait d’origine humaine. Il aurait été créé dans un laboratoire chinois de Wuhan » : une hypothèse « démontrée » (resic), assure le Pr Montagnier, par plusieurs faits établis. Mais ces propos répétés ce vendredi à l’antenne de Cnews interpellent, voire hérissent, plusieurs membres de la communauté scientifique joints par ‘Le Parisien’ …

* Info intéressante. MAIS A voir avec esprit très critique …

http://www.leparisien.fr/societe/coronavirus-et-vih-pourquoi-la-theorie-du-pr-luc-montagnier-est-invraisemblable-17-04-2020-8301387.php

REVUE DE PRESSE …

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QUELS SONT LES SCENARIOS GEOPOLITIQUES POUR L’APRES-PANDEMIE DU CORONAVIRUS ?

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LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

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Quotidien géopolitique – Geopolitical Daily/

2020 04 15/

LM.GEOPOL - Pandémie scénarios des futurs (2020 04 15) FR

« Nous traversons ce qui, à tous les égards, est une grande crise, il est donc naturel de supposer qu’elle se révélera être un tournant dans l’histoire moderne. Dans les mois qui ont suivi l’apparition de COVID-19, la maladie causée par le nouveau coronavirus, les analystes ont différé sur le type de monde que la pandémie quittera dans son sillage. Mais la plupart soutiennent que le monde dans lequel nous entrons sera fondamentalement différent de ce qui existait auparavant. Certains prédisent que la pandémie entraînera un nouvel ordre mondial dirigé par la Chine; d’autres pensent que cela déclenchera la disparition du leadership chinois. Certains disent que cela mettra fin à la mondialisation; d’autres espèrent qu’il inaugurera une nouvelle ère de coopération mondiale. Et d’autres encore projettent de faire monter le nationalisme, de saper le libre-échange et de conduire à un changement de régime dans divers pays – ou tous ces éléments »

– Richard Haass (Président du ‘Council on Foreign Relations’, 7 avril).

L’avenir n’est écrit nulle part. Il n’y a pas un chemin déterminé pour l’après-pandémie, mais des scénarios variés pour des futurs possibles. J’ai traité ce madin pour LIGNE ROUGE sur AFRIQUE MEDIA cet important sujet complexe :

* Voir sur LUC-MICHEL-TV :

LIGNE ROUGE 2020 04 15 :

SCENARIOS GEOPOLITIQUES

POUR LES FUTURS DE L’APRES PANDEMIE

sur https://vimeo.com/407851817

* Thème de l’émission :

Covid-19 : Emmanuel Macron  veut “aider” l’Afrique en “annulant massivement” sa dette …

LES QUESTIONS SOULEVEES

Je soulève et je réponds aux questions suivantes :

Pourquoi le dossier de la Dette africaine est un dossier géopolitique et pas économique (Ce sujet n’étant qu’un élément marginal de mon analyse) ?

Pourquoi les scénarios apocalyptiques assénés ad nauseum par les médias du Système occidental, en particulier pour l’Afrique ?

Que veut le Bloc américano-occidental, Wasington et Paris en tête ?

Les choses sont-elles déjà pliées, pourquoi je parle de « scénarios » et de « futurs » au pluriel ?

Pourquoi l’avenir n’est écrit nulle part et encore moins à ce stade ?

Pourquoi il faut arrêter de se laisser perdre dans de faux débats inutiles (style hydrocloroquine) ?

Après avoir regardé mon analyse, je vous invite à approfondir les éléments géopolitiques de celle-ci. La Pandémie est parcourue de conflits (vois mes analyses sur les « guerres du coronavirus ») et partant ceux-ci détermineront le monde futur de l’après-pandémie. Au premier plan de ces conflits la confrontation Chine vs USA. La pandémie a vu à son stade actuel la chute de l’Occident, son déclassement, sa « tiers-mondisation » (1). Mais certains en on tiré des conclusions aventureuses. Les américains, et leurs vassaux français, n’ont pas dit leur dernier mots. Et leurs théoriciens et géopoliticiens y voient même une « accélération de l’Histoire », que Washington entend dominer …

# ELEMENTS POUR COMPRENDRE MON ANALYSE

1 – LES THESES SUR LE DECLINISME CHINOIS :

« LA CHINE, REDOUTABLE PUISSANCE SUR LE DÉCLIN

GÉOPOLITIQUE » (LE POINT)

Le géopolitogue américain Michael Beckley (2) défend l’idée que « l’empire du Milieu, plutôt que d’être ascendant, est en fait en perte de vitesse, ce qui le rend d’autant plus dangereux ». Le Point (Paris ce 10 avril) commente ses thèses : « La question n’est pas de savoir si une puissance en proie a des difficultés économiques va rechercher l’expansionnisme international, mais celle de savoir quelle forme cet expansionnisme prendra ». « La question n’est pas de savoir si une puissance en proie à des difficultés économiques va rechercher l’expansionnisme international, mais celle de savoir quelle forme cet expansionnisme prendra. »

Selon Michael Beckley – qui résume ses thèses dans l’influente revue conservatrice FOREIGN AFFAIRES, celle de Albright ou Brzezinski – , « la thèse géopolitique le plus en vogue, de nos jours, est celle de l’ascension de la Chine, qui progressivement va supplanter l’hégémonie américaine à l’échelle mondiale. Les signes de cette irrésistible ascension ne sont-ils pas omniprésents ? Les investissements chinois couvrent toute la planète. La marine chinoise patrouille le long des principales voies maritimes, tandis que Pékin colonise lentement la mer de Chine méridionale. Et, pendant ce temps, le pouvoir chinois étouffe toute opposition interne et entonne le péan du nationalisme ». Il définit l’histoire géopolitique de notre temps comme « la mort lente de l’hégémonie américaine en faveur d’une Chine montante. Les signes avant-coureurs de l’ascension de Pékin sont partout. Les investissements chinois à l’étranger couvrent le monde. La marine chinoise patrouille les grandes voies maritimes, tandis que le pays colonise la mer de Chine méridionale au ralenti. Et le gouvernement réprime la dissidence à la maison tout en administrant une bonne dose de propagande nationaliste ».

Mais le capitole est (déjà) proche de la Roche tarpiéenne pour Pékin : « La nouvelle affirmation de Pékin ressemble à première vue à la marque d’une puissance et d’une ambition croissantes. Mais en fait ce n’est rien de tel. Les actions de la Chine reflètent un profond malaise parmi les dirigeants du pays, alors qu’elles luttent contre le premier ralentissement économique soutenu de leur pays depuis une génération et qu’elles ne voient aucune fin. La situation économique de la Chine s’est régulièrement dégradée depuis la crise financière de 2008. Le taux de croissance du pays a chuté de moitié … » (3)

2 – LA THESE AMERICAINE DE « L’ACCELERATION DE L’HISTOIRE PAR LA PANDEMIE »

Richard Haass, le Président du puissant ‘Council on Foreign Relations’, sort un livre en mai :  “The World: A Brief Introduction” (le 12 mai chez Penguin Press). Comme Beckley, il résume ses thèses pour FOREIGN AFFAIRS (4) : « La pandémie va accélérer l’histoire plutôt que la remodeler » et « Toutes les crises ne sont pas un tournant » :

« Nous traversons ce qui, à tous les égards, est une grande crise, il est donc naturel de supposer qu’elle se révélera être un tournant dans l’histoire moderne. Dans les mois qui ont suivi l’apparition de COVID-19, la maladie causée par le nouveau coronavirus, les analystes ont différé sur le type de monde que la pandémie quittera dans son sillage. Mais la plupart soutiennent que le monde dans lequel nous entrons sera fondamentalement différent de ce qui existait auparavant. Certains prédisent que la pandémie entraînera un nouvel ordre mondial dirigé par la Chine; d’autres pensent que cela déclenchera la disparition du leadership chinois. Certains disent que cela mettra fin à la mondialisation; d’autres espèrent qu’il inaugurera une nouvelle ère de coopération mondiale. Et d’autres encore projettent de faire monter le nationalisme, de saper le libre-échange et de conduire à un changement de régime dans divers pays – ou tous ces éléments. »

Pandémie n’implique donc pas révolution :

« Mais il est peu probable que le monde qui suit la pandémie soit radicalement différent de celui qui l’a précédée. COVID-19 ne changera pas tant la direction de base de l’histoire mondiale que l’accélérera. La pandémie et sa réponse ont révélé et renforcé les caractéristiques fondamentales de la géopolitique actuelle. En conséquence, cette crise promet d’être moins un tournant qu’une étape sur la route parcourue par le monde au cours des dernières décennies.

Il est trop tôt pour prédire la fin de la crise elle-même. Que ce soit dans six, 12 ou 18 mois, le calendrier dépendra de la mesure dans laquelle les gens suivront les directives de distanciation sociale et l’hygiène recommandée; la disponibilité de tests rapides, précis et abordables, de médicaments antiviraux et d’un vaccin; et l’étendue de l’aide économique accordée aux particuliers et aux entreprises. Pourtant, le monde qui sortira de la crise sera reconnaissable. Affaiblissement du leadership américain, coopération mondiale défaillante, discorde des grandes puissances: tout cela caractérisait l’environnement international avant l’apparition de COVID-19, et la pandémie les a mis en relief plus que jamais. Ce sont probablement des caractéristiques encore plus importantes du monde qui va suivre. »

Au cœur du monde à venir se pose la question de l’hégémonie américaine ou se son leadership : « L’une des caractéristiques de la crise actuelle est un manque marqué de leadership américain. Les États-Unis n’ont pas rallié le monde dans un effort collectif pour affronter le virus ou ses effets économiques. Les États-Unis n’ont pas non plus rallié le monde pour suivre son exemple dans la résolution du problème chez eux. D’autres pays se prennent en charge du mieux qu’ils peuvent ou se tournent vers ceux qui ont dépassé le pic d’infection, comme la Chine, pour obtenir de l’aide. Mais si le monde qui suit cette crise sera un monde dans lequel les États-Unis dominent de moins en moins – il est presque impossible d’imaginer quiconque écrit aujourd’hui sur un «moment unipolaire» – cette tendance n’est pas nouvelle. Cela est évident depuis au moins une décennie.

Dans une certaine mesure, cela résulte de ce que Fareed Zakaria a décrit comme «la montée du reste» (et de la Chine en particulier), qui a entraîné une baisse de l’avantage relatif des États-Unis, même si leur force économique et militaire absolue a continué de croître. Mais plus encore, c’est le résultat d’une volonté américaine défaillante plutôt que d’une baisse de la capacité américaine. Le président Barack Obama a supervisé un retrait de l’Afghanistan et du Moyen-Orient. Le président Donald Trump a surtout utilisé le pouvoir économique pour affronter ses ennemis. Mais il a essentiellement mis fin à la présence américaine en Syrie, et cherche à faire de même en Afghanistan, et, ce qui est peut-être plus important, a montré peu d’intérêt soit pour les alliances, soit pour le maintien du rôle de chef de file traditionnel des États-Unis dans la résolution des principaux problèmes transnationaux. Bien avant que COVID-19 ne ravage la terre, l’attrait du modèle américain avait déjà décliné de façon abrupte. »  Haass rappelle que cette problématique est déjà celle qui a amené Trump, le choix du militarisme américain (5), au pouvoir : « La perspective de ce changement était une grande partie de l’attrait du message de Trump «l’Amérique d’abord», qui promettait que les États-Unis seraient plus forts et plus prospères s’ils faisaient moins à l’étranger et concentraient leurs énergies sur les questions intérieures. Ce point de vue implicite reposait sur l’hypothèse qu’une grande partie de ce que les États-Unis faisaient dans le monde était un gaspillage, inutile et sans rapport avec le bien-être national. Pour de nombreux Américains, la pandémie renforcera probablement ce point de vue malgré le fait qu’elle devrait plutôt mettre en évidence la façon dont le bien-être intérieur est affecté par le reste du monde; Les États-Unis, diront-ils, devront se concentrer sur le redressement et consacrer des ressources aux besoins nationaux plutôt qu’à l’étranger, au beurre plutôt qu’aux armes à feu. C’est un faux choix, car le pays a besoin et peut se permettre les deux, mais il est probable qu’il sera tout de même argumenté. »

3 – « LE COMPLOTISME ATLANTISTE »

(GENERAL DELAWARDE)

Le général français Dominique Delawarde (6) identifie un nouveau courant complotiste, le « complotiste atlantiste », alimenté par les USA et l’OTAN. Le génral commence par régler le compte du complotisme ‘dans lequel je vois moi une falsification incapacitante de l’Histoire) : « La pandémie qui frappe principalement les pays de la coalition occidentale, le confinement forcé qui en découle pour la population de la majorité d’entre eux et le temps libre gracieusement offert à de nombreux citoyens ont favorisé la recherche d’information et les échanges par internet. Comme souvent, les parties complotistes de la société ont proposé des réponses, évidentes pour elles, mais peu convaincantes, in fine, aux questions les plus fréquentes que chacun se pose sur cette pandémie. »

Dalawarde identifie un nouveau complotisme, « un complotisme atlantiste » : « Le complotisme atlantiste est clairement anti-chinois et anti-russe (normal puisqu’il est atlantiste). Je rappelle, à ceux qui l’ignorent, que la Chine et la Russie sont les deux «menaces majeures» présentées dans la «National Defense Strategy» US de février 2018 et que, jusqu’à preuve du contraire, l’Amérique est le chef de meute incontesté de l’OTAN. »   A l’origine de cette désinformation atlantiste, nous retrouvons de vieilles connaissances : « On retrouve très facilement les «sites sources» des fakes news, des allégations et des insinuations malveillantes contre la Chine et la Russie. Ce sont le plus souvent des sites anglosaxons, souvent d’ONG qui s’autoproclament indépendantes, mais déjà connues pour être financées par Monsieur SOROS ou la CIA. Ces allégations et insinuations sont souvent reprises par des journalistes mainstream européens très peu regardants sur leurs sources ».

Que nous disent ces «complotistes» atlantistes?

« Ils nous disent que les chinois et les russes (qui ont eu l’impertinence de présenter un bilan bien meilleur que celui des occidentaux dans la gestion de l’épidémie et qui ont eu l’audace d’apporter leur aide à certains pays de l’OTAN, Italie et USA entre autres), mentent dans leurs déclarations (calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose….). Certains vont jusqu’à insinuer très clairement que les méchants chinois auraient créé le Covid-19 pour être une arme bactériologique anti-occidentale, destinée à affaiblir, voire à abattre l’OTAN. La preuve? Le différentiel de pertes inexplicable autrement…. Nombreux sont les «innocents» lecteurs de ces fadaises qui finissent par y croire (…) Pourquoi diffuser de telles fake news et les répandre sur internet et les réseaux sociaux? Je ne vois que deux raisons possibles: la première est de relativiser l’échec des pays occidentaux (USA et UE en tête) dans la prise en compte et la gestion de cette crise. En blâmant la Chine et la Russie, concurrents de toujours, on fait diversion, on désigne des boucs émissaires et l’on irait presque jusqu’à convaincre les benêts, shootés à la propagande martelée 24h sur 24 par CNN et BFMTV, que ces deux pays sont à l’origine de tous nos malheurs et que la médiocre qualité de nos gouvernances ne serait pour rien dans nos bilans désastreux…..

La deuxième raison est de tenter de rebâtir «une cohésion otanienne», face à un adversaire commun (imaginaire), le duo Chine-Russie. Cette cohésion a été mise à mal par la gestion du «chacun pour soi» de l’épidémie Covid-19 en occident. Le manque de solidarité de l’UE et de l’OTAN à l’égard de l’Italie, la piraterie US sur les cargaisons de masques destinées à la France resteront  dans les mémoires » …

NOTES ET RENVOIS :

(1) Cfr. LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY/ GEOPOLITIQUE DU CORONAVIRUS: COMMENT LA PANDEMIE PROVOQUE LA CHUTE ET LA ‘TIERS-MONDISATION’ DU PREMIER MONDE OCCIDENTAL !?

sur http://www.lucmichel.net/2020/03/21/luc-michels-geopolitical-daily-geopolitique-du-coronavirus-iv-comment-la-pandemie-provoque-la-chute-et-la-tiers-mondisation-du-premier-monde-occidental/

Et : UN SIECLE APRES SPENGLER ‘LE DECLIN DE L’OCCIDENT’ SE PRECIPITE (LA CHUTE DU PREMIER MONDE OCCIDENTAL II)

sur http://www.lucmichel.net/2020/04/08/luc-michels-geopolitical-daily-un-siecle-apres-spengler-le-declin-de-loccident-se-precipite-la-chute-du-premier-monde-occidental-ii/

(2) Michael Beckley est professeur agrégé de science politique à l’Université Tufts et chercheur invité Jeane Kirkpatrick à l’American Enterprise Institute. Ses recherches sur les relations américano-chinoises ont reçu des prix de l’American Political Science Association et de l’International Studies Association et ont été présentées par de nombreux médias, notamment le Financial Times, les Affaires étrangères, Foreign Affairs, le New York Times, le NPR et le Washington Post. Auparavant, Michael a travaillé pour la Kennedy School of Government de Harvard, le département américain de la Défense, la RAND Corporation et le Carnegie Endowment for International Peace. Il continue de conseiller des bureaux au sein de la communauté américaine du renseignement et du département américain de la Défense.

Son premier livre, Unrivaled: Why America Will Remain the World’s Sole Superpower, a été publié en 2018 par Cornell University Press.

(3) Michael Beckley, “The United States Should Fear a Faltering China. Beijing’s Assertiveness Betrays Its Desperation”, FOREIGN AFFAIRS, USA, October 28, 2019.

(4) Richard Haass, “The Pandemic Will Accelerate History Rather Than Reshape It. Not Every Crisis Is a Turning Point”, FOREIGN AFFAIRS, USA, April 7, 2020.

(5) Cfr. Luc MICHEL pour EODE THINK TANK/

LA PRESIDENCE TRUMP : VERS UN NOUVEAU STADE DE L’IMPERIALISME AMERICAIN …

sur http://www.lucmichel.net/2016/12/04/eode-think-tank-la-presidence-trump-vers-un-nouveau-stade-de-limperialisme-americain/

(6) Dominique Delawarde, général (2s), ancien chef du bureau Situation-Renseignement-Guerre Électronique de l’Etat-major Interarmées de Planification Opérationnelle. Il fait le point, tous les jours, sur la pandémie Covid-19.

(Sources : Afrique Media – Le Point – Foreign Affairs – EODE Think Tanks)

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

Géopolitique – Géoéconomie – Géoidéologie – Géohistoire –

Géopolitismes – Néoeurasisme – Néopanafricanisme

(Vu de Moscou et Malabo) :

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LE TEMPS DES ‘CORONA-DICTATURES’ (008): CETTE SURVEILLANCE DES CITOYENS QUI FAIT PEUR: BIG BROTHER EST ISRAELIEN !

# LUCMICHEL. NET/

REVUE DE PRESSE

Avec The Times of Israel/ 2020 04 13/

Israeli police officers and Israeli Magen David Adom personel wearing protective clothes as they stand near Eged Bus on road number 1 near Jerusalem on April 5, 2020, after earlier a man who was tested positive for the coronavirus arrested on the bus. Photo by Flash90 *** Local Caption *** אוטובוס מגן דוד עין חמד משטרה לבנים לבן משטרה ירושלים קורונה הסגר חלקי חרדים

Israeli police officers and Israeli Magen David Adom personel wearing protective clothes as they stand near Eged Bus on road number 1 near Jerusalem on April 5, 2020, after earlier a man who was tested positive for the coronavirus arrested on the bus. Photo by Flash90 *** Local Caption *** אוטובוס
מגן דוד
עין חמד
משטרה
לבנים
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ירושלים
קורונה
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חלקי
חרדים

* voir sur PRESS TV/

‘REPORTAGE’ DU 23 MARS 2020/

LUC MICHEL:

VOICI VENIR LE TEMPS DES CORONA-DICTATURES SOUS PRETEXTE DE LA PANDEMIE

https://vimeo.com/406639883

Israël, ses services secrets et ses firmes de Sécurité, vont-ils servir de modèle et d’essai au contrôle des populations au tempsd du covid-19 ? N’oublions pas que Tel-Aviv a inauguré une des toutes premières corona-dictatures occidentales (1) …

Le cabinet israélien prolonge l’autorisation du Shin Bet, le service secret, à pister les mobiles

Le programme, qui permet à l’agence interne et à la police d’avoir accès aux données privées des portables et des cartes de crédit, est autorisé jusqu’au 14 avril

L’AGENCE DE RENSEIGNEMENT INTÉRIEUR PEUT « COLLECTER DES DONNÉES SUR LES TÉLÉPHONES PRIVÉS AFIN DE FACILITER LA RÉPONSE D’ISRAËL AU CORONAVIRUS »

(TIMES OF ISRAEL, 8 AVRIL 2020)

Extrait 1 : « Mercredi, le cabinet a autorisé le service de sécurité du Shin Bet à utiliser pendant une semaine supplémentaire son programme polémique de pistage des Israéliens dans le cadre de la lutte contre l’épidémie de coronavirus. Le cabinet, qui a échangé par téléphone, a prolongé la mesure d’urgence jusqu’au 14 avril. Elle permet à l’agence de renseignement intérieur de collecter des données sur les téléphones privés afin de faciliter la réponse d’Israël au coronavirus, qui a infecté 9 400 personnes dans le pays. Le communiqué du cabinet indiquait que la mesure était « nécessaire afin de permettre à la police de continuer à contrôler efficacement l’application des consignes de confinement ».

CES DERNIÈRES SEMAINES, L’AGENCE INTÉRIEURE DE SÉCURITÉ A TRAVAILLÉ AVEC LE MINISTÈRE DE LA SANTÉ AFIN DE PISTER LES DÉPLACEMENTS DES PATIENTS ATTEINTS DU COVID-19

Extrait 2 : « Des groupes de défense de droits privés avaient contesté la mesure auprès de la Cour suprême, qui avait publié une injonction temporaire jusqu’à la formation d’une Sous-commission des services clandestins de la Knesset afin de superviser la surveillance électronique. La Sous-commission a été formée à la fin mars. Ces dernières semaines, l’agence intérieure de sécurité a travaillé avec le ministère de la Santé afin de pister les déplacements des patients atteints du COVID-19 en utilisant les données des téléphones et des cartes de crédit dont elle dispose. Habituellement, l’agence n’est pas autorisée à utiliser ces données, sauf dans des affaires de contre-terrorisme. Le Shin Bet a noté que le puissant programme de surveillance, qui se base principalement sur l’énorme volume de données récolté auprès des téléphones israéliens et d’autres outils numériques, serait uniquement utilisé pour lutter contre l’épidémie. Selon les régulations publiques adoptées par le gouvernement, le service de sécurité ne sera pas autorisé à continuer à utiliser les données à la fin du programme. Le ministère de la Santé pourra utiliser les informations pendant 60 jours supplémentaires à des fins de recherches, probablement pour reconstruire le parcours évolutif de l’épidémie. Le système de surveillance, qui utilise les données de géolocalisation des portables, des données des cartes de crédit et d’autres informations numériques, vise à alerter et à placer en quarantaine des personnes qui ont été à moins de deux mètres, pendant 10 minutes ou plus, d’une personne infectée par le virus il y a moins de deux semaines. »

(1) Voir sur LUCMICHEL. NET/

LE TEMPS DES ‘CORONA-DICTATURES’ (001) : ISRAËL. LE CORONAVIRUS AU SECOURS DE NÉTANYAHOU (ORIENTXXI)

sur http://www.lucmichel.net/2020/03/27/lucmichel-net-le-temps-des-corona-dictatures-001-israel-le-coronavirus-au-secours-de-netanyahou-orientxxi/

 

Photo :

Des officiers en tenue de protection font un barrage sur le route 1 de Jérusalem le 5 avril 2020, après qu’un homme infecté par le coronavirus a été arrêté à bord d’une bus en direction de la ville.

 

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LE TEMPS DES ‘CORONA-DICTATURES’ (007) : ALERTE AUX ETATS-UNIS, LE REGIME TRUMP SUR LES TRACES DU ‘PATRIOT ACT’ DE BUSH II

# LUCMICHEL. NET/

REVUE DE PRESSE

Avec LE TEMPS/ 2020 04 09/

« ALERTE AUX ETATS-UNIS »

(LE TEMPS, GENEVE, 3 AVRIL 2020)

LM.NET - CORONADICTATURES 007 usa

* voir sur PRESS TV/

‘REPORTAGE’ DU 23 MARS 2020/

LUC MICHEL:

VOICI VENIR LE TEMPS DES CORONA-DICTATURES SOUS PRETEXTE DE LA PANDEMIE

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Extrait 1 : « Cela fait beaucoup, beaucoup d’écueils à éviter pour que la vie privée et les libertés individuelles soient préservées. Aujourd’hui, effrayée par une pandémie qui fait des ravages, une majorité de citoyens semble accepter ces mesures de surveillance. Mais on est à un moment clé, comme l’écrivait récemment l’historien et humaniste israélien Yuval Noah Harari dans le Financial Times: «La bataille autour du virus pourrait être l’argument décisif dans la bataille autour des données personnelles, car lorsqu’il faut choisir entre droit à la vie privée et santé, les gens privilégient généralement la santé»… »

«  ZOOM, GOOGLE MEET, CLASSROOM, MICROSOFT TEAMS, YOUTUBE: LA CRISE DU CORONAVIRUS AGGRAVE NOTRE DÉPENDANCE AUX GÉANTS DE LA TECH »

Extrait 2 : « Aux Etats-Unis, de nombreux organismes sont déjà en alerte contre les mesures de surveillance que pourrait prendre le gouvernement. Car il y a eu des précédents. «Au lendemain du 11-Septembre, les Etats-Unis ont promulgué le Patriot Act, qui confère au gouvernement de vastes pouvoirs d’urgence. Mais cette loi, qui devait expirer en 2005, a été sans cesse renouvelée. Nous n’avons absolument aucune raison de croire que les agences gouvernementales souhaitant étendre leurs pouvoirs en réponse au virus seront prêtes à voir ces pouvoirs s’éteindre une fois le virus éradiqué», estime Albert Fox Cahn, directeur de l’ONG new-yorkaise Surveillance Technology Oversight Project.

Le spécialiste rappelle que la localisation fournie par les téléphones permet de déterminer si l’on participe à une manifestation politique ou à un événement religieux. «Je suis aussi inquiet de l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) pour donner des scores de risque en lien avec le virus. Nous ne savons pas si ces outils fonctionnent bien et s’ils souffrent des mêmes biais que d’autres systèmes d’IA pour la surveillance, comme la reconnaissance faciale», conclut Albert Fox Cahn.

Sur le même modèle que des applications utilisées notamment en Corée du Sud et à Singapour, l’EPFL développe un programme permettant à un individu de signaler lorsqu’il présente les premiers symptômes de maladie. Ensuite, toutes les personnes ayant été précédemment en contact avec lui seront alertées par cette même application. Mercredi, l’EPFL a communiqué à ce sujet en affirmant qu’elle participe à un consortium regroupant 130 partenaires de huit pays. »

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NOUVELLES DU ‘SCENARIO DU DIABLE’ AVEC LES DJIHADISTES… PENDANT LA PANDEMIE DU CORONAVIRUS, LE JEU SUICIDAIRE CONTINUE !

2020 04 12

CORONAVIRUS :

130 DÉTENUS RADICALISÉS LIBÉRÉS POUR RAISON SANITAIRE

(LE POINT, PARIS)

A prisoner distributes meals at the Poissy prison, specialised in long sentences, August 14, 2019, in Poissy, west of Paris. - Behind the high walls of the bicentennial prison, located in the centre of Poissy, 35 of the 198 inmates are serving a life sentence. About a third of the prisoners are over 50 years old, the oldest is 75. (Photo by Dominique FAGET / AFP)

A prisoner distributes meals at the Poissy prison, specialised in long sentences, August 14, 2019, in Poissy, west of Paris. – Behind the high walls of the bicentennial prison, located in the centre of Poissy, 35 of the 198 inmates are serving a life sentence. About a third of the prisoners are over 50 years old, the oldest is 75. (Photo by Dominique FAGET / AFP)

« Selon les services de renseignements, une centaine de détenus condamnés dans des dossiers terroristes bénéficient d’une libération anticipée. L’Intérieur conteste.

« Chaque semaine, ils sortent par 3 ou 4. » Au total, la libération de 130 détenus condamnés dans des dossiers terroristes est programmée à quelques mois ou quelques semaines de la fin de leur peine, selon plusieurs sources au sein des services de renseignements. Un chiffre contesté par le ministère de l’Intérieur : « Les condamnés pour des faits de terrorisme stricto sensu sont hors champ des mesures de libération en relation avec le contexte sanitaire lié au coronavirus. Il ne faut pas confondre terroristes et détenus radicalisés. Certes, il peut exister des détenus condamnés et libérés … »

* Info intéressante.

MAIS A lire avec esprit critique …

https://www.lepoint.fr/justice/coronavirus-130-detenus-radicalises-liberes-pour-raison-sanitaire-08-04-2020-2370560_2386.php

* Lire aussi pour comprendre

l’interview de Luc MICHEL pour SITA :

INTERVIEW DE LUC MICHEL PAR LE SITE ARABE ‘SITA INSTITUTE’ : DJIHADISMES – TERRORISME – IMMIGRATION. QUAND L’AGENDA PROCHE-ORIENTAL S’IMPOSE EN EUROPE …

La grande interview du géopoliticien Luc MICHEL par Jan Vanzeebroeck et Samar Radwan (Beyrouth), pour le site arabe libanais ‘SITA INSTITUTE’

sur http://www.eode.org/eode-think-tank-interview-de-luc-michel-par-le-site-arabe-sita-institute-djihadismes-terrorisme-immigration-quand-lagenda-proche-oriental-s/

REVUE DE PRESSE …

https://www.facebook.com/Pcn.luc.Michel/

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https://www.instagram.com/lucmichel.org2/

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PIÙ DEL VIRUS POTERONO GLI ANTIVIRUS — DAL GOVERNO MERKEL, A SUA INSAPUTA: CORONAVIRUS, CHE CAZZAROLA! — IN AFFANNO IL VACCINO, RISUSCITA LA CLOROCHINA

https://fulviogrimaldi.blogspot.com/2020/06/piu-del-virus-poterono-gli-antivirus.html

MONDOCANE

DOMENICA 7 GIUGNO 2020

 

https://youtu.be/JP1WzyynCM0 manifestazione spontanea e autonoma a Roma, 2 giugno, prima del manipolatore pappalardo e a dispetto di qualche ficcanaso della triade L-FdI-FI.

Se la passiva, rassegnata, in buona parte convinta non-reazione popolare all’imposizione dello Stato totalitario tramite decreti illegittimi di un azzeccagarbugli solo al comando, ma sotto ferola di una cosca di alieni di Mordor, aveva fatto da costoro allentare un tantino la morsa di una brutale soppressione dei diritti umani e civili, sono bastati un paio di squarci nel tessuto della menzogna, tipo quadro di Lucio Fontana, per la richiamata alle armi.

Negazionisti ai ceppi!

Ed ecco che alle constatazioni di fine influenza, detta pandemia a forza di vittime vantate, ma nascoste dalla vista dei congiunti, dalla cremazione comandata e dall’autopsia proibita, pronunciata da medici più autorevoli e meno compromessi da conflitti d’interesse, si è riscatenata la Grande Minaccia=Grande Paura. Non abbassare la guardia, casi di nuovo in aumento nella promettente Lombardia, nuovi morti, tutti di covid-19. Complottisti, falsi profeti sanitari, negazionisti dichiarano falso l’impazzare del virus letale come non mai, inventano terapie fuori dai vaccini convalidati dai cinesi, da Bill Gates e dal papa, sabotano la salvezza di tutti e sparano cazzate. Sono da riergere subito e più solidi ancora gli argini della collaudata paura salvavita, sostenuti dalla collaborazione di un popolo di disciplinati patrioti con mascherina tricolore a nascondere la faccia terrorizzata. L’unica faccia da vedere e da temere è quella del virus. Senza mascherina, come da immagine nel titolo.

E qui il solito feticista del virus, Mentana, la7, ha incamerato un nuovo primato di virulenza opponendo al dileguarsi del virus davanti al sole di primavera e alla luce delle verità, il consueto, irresistibile caso umano. Tipo l’iraniana (mai) falciata dai pasdaran, o la bambina afghana (mai)stuprata dai Taliban. Scovata l’infermiera eroica, salvatrice di vite e lei stessa sopravvissuta che, sparsa commozione a forze di lucciconi, cambia tono e sale al diapason dello sdegno inveendo contro complottisti e negazionisti che osano dubitare del sacro verbo coronavirale. Alle spalle del pupazzo il ventriloquo se la ride.

Scoop a Berlino: la Fake News siete voi!

Poi, però, sui sacerdoti e sui loro riti celebrativi intorno al nuovo vitello d’oro, sono piombate le leggi di pietra del Mose europeo: il governo tedesco. Prima a sua insaputa, e poi a suo scorno e autodafè. Ed è stato un fuggi fuggi, peggio di quello di un formicaio colpito da acqua bollente. Un disperato riparo cercato nei metaforici bunker del silenzio, dell’occultamento del fatto. Che nessuno nei media e nelle istituzioni osasse menzionarlo. E così chi, come quasi il 99,9% di questo nostro popolo di vernacolari, cui altre lingue sono ignote quanto a chiunque l’esistenza di dio, non conosce il tedesco, nulla di scandaloso saprà mai e continuerà a credere che Burioni sia Esculapio e Pippo Conte il suo vicario in Terra.

Il re è nudo che più nudo non si può

Salvo beccare nei meandri della rete questa traduzione dello studio del Ministero degli Interni di Berlino, https://t.co/xt5tpaeK66, o dare un’occhiata al video che riassume quello studio, https://youtu.be/yECKXOdvSMQ, o abbia la mia fortuna di essere rifornito da bravissimi interlocutori tedeschi, come anche da un occhiuto e nasuto amico del Nord-Est italo-sloveno, nulla saprà mai di questa Waterloo dei coronaristi. C’è ancora chi pensa di informarsi da un sistema mediatico governato dagli Elkann, dai Bezos, insomma da Bilderberg e affini?

Mentre le autorità tedesche sembrano proprio quelle formiche all’impazzata ricerca di riparo, o almeno, di limitazione dei danni, voi privilegiati avete modo di constatare e poi diffondere il più catastrofico flop dai tempi della sconfitta persiana a Salamina. Con Bill Gates, con tutto il suo cocuzzaro politico-farmaceutico-mediatico, nei panni di Serse e Temistocle interpretato da un alto funzionario del Ministero degli Interni di nome Stephen Kohn. Uomo consegnato alla memoria della Storia e alla gratitudine di tutti i vessati, violentati, devastati e uccisi dal tentativo di ristrutturare il mondo nel nome di un normale epidemia influenzale.

Contro la truffa lavori in corso

Non c’è, peraltro, minimamente da cantare vittoria. Le schiere e le siringhe dei nemici si ricomporranno, le armate da tastiera e schermo verranno rafforzate e munite di nuovi armamenti, la nebulosità indotta in anni di persuasione manipolatoria tra i neuroni delle vaste masse non subirà che qualche incrinatura qua e là. Ma qui si dà l’occasione di contrastare la cementificazione di tali crepe a forza di menzogne, carote e bastoni, e di allargarle con robuste siringate di una materia opposta a quella intesa dai vaccinatori: la verità, a partire dal documento dello stesso governo tedesco, rivelato dal whistleblower Kohn.

Al reparto del Ministero degli Interni di Berlino chiamato “Unità KM4”, incaricato della “Protezione di infrastrutture strategiche”, era stato commissionato un esteso ed esauriente rapporto su come l’operazione Coronavirus era stata attuata, con quali risultati, con quali conseguenze e prospettive. Il compito era stato affidato a un pannello di scienziati nominati dal ministero e composto da prestigiosi esponenti sanitari delle migliori università tedesche. Ne è uscito un rapporto di 93 pagine intitolato “Analisi della Gestione della Crisi”.

Crolla un altro muro: quello del governo Merkel

Al ponderoso studio, firmato da quelle personalità, difficilmente il governo, o i media, avrebbe potuto affibbiare il marchio di prammatica di teorici della cospirazione, o di esperti famelici di visibilità e proni a errori dovuti a superficialità, o smania di contestazione (come si è tentato da noi nei confronti del Prof. Zangrillo e altri che avevano dichiarato morto il virus). Dopo gli immaginabili momenti di panico che hanno fatto tremare l’intero Bundestag fino alla porta di Brandeburgo, ci si è precipitati a chiudere le dighe, gli oblò di un quasi Titanic e di mettere in mare, dalle scialuppe di salvataggio alle corazzate, l’intera flotta mediatico-farmaceutica di cui la consorteria destra-sinistra (non dissimile dalla nostra) dispone nella Germania della Merkel.

Immediatamente agli autori fu imposto il massimo livello di segretezza, quasi fosse uno studio sulla capacità riproduttiva dei maschi germanici dopo un anno di trattamento 5G. Ma a un funzionario del ministero, partecipe dei lavori, parve più morale, da esponente di istituzioni che dovrebbero rispondere al popolo, piuttosto che a Merkel, Von der Leyen o, appunto il loro feudatario Bill Gates, raccontare al popolo ciò che i suoi migliori scienziati avevano scoperto ed elaborato. E’ il modo in cui il signor Stephen Kohn  è riuscito a dare soddisfazione anche a noi, distinguendosi drasticamente da una qualunque delle nostre Task Force impegnate a cacciarci in gola virus e sulla faccia mascherine.

Fake News di Stato

Quale è il succo del rapporto? Sintetizzo al massimo: Il pericolo del Covid-19 è stato sovrastimato e in nessun momento quel pericolo ha superato il livello di una normale influenza; le persone morte con il virus sarebbero statisticamente morte per aver raggiunto la fine della loro vita e i loro corpi debilitati non hanno potuto reggere a un qualunque stress a caso, compresi i 150 virus attualmente in circolazione; a livello mondiale, nel primo quarto dell’anno, non ci sono stati più di 250.000 decessi da/con Covid-19, a paragone di 1,5 milioni dell’ondata influenzale 2017-2018. (vedi qui gli eloquenti grafici); Non esiste la minima prova che tutto questo non abbia costituito un falso allarme; durante la crisi Corona, lo Stato si è dimostrato il massimo produttore di fake news.

Morti per anno nel primo quarto, dal 2016

Morti in Germania nelle ondate d’influenza dal 2016 al 2020 (in nero il 2020)

C’è di più. Kohn, che è stato rimosso dal suo incarico e il cui computer è stato confiscato, aveva fatto le sue rivelazioni il 9 maggio alla popolare rivista “Tichys Einblick”. Esponenti del pannello avevano aggiunto quanto segue in una conferenza stampa dell’11 maggio. Nel giro di una settimana l’ottemperanza dei media alle disposizioni censorie del governo aveva silenziato ogni discussione sui punti sollevati dagli autori del rapporto: Questi:

“Il governo ha ignorato i consigli degli esperti e ora dovrebbe esprimersi sui contenuti della relazione; Misure terapeutiche e preventive non dovrebbero mai causare più danno che non la stessa malattia. E non dovrebbero mettere a rischio, con il pretesto del virus, la disponibilità di altre terapie necessarie e la salute dell’intera popolazione come in effetti è successo (52mila interventi su tumori sono stati sospesi, senza parlare, anche da noi, di tutte le altre terapie salvavita annullate con conseguente accresciuta mortalità, ovviamente catalogata come da Coronavirus).  Noi, nella nostra pratica scientifica e medica incontriamo ogni giorno i danni collaterali delle misure Corona sui nostri pazienti. Chiediamo perciò al Ministro degli Interni di darci i suoi commenti su quanto reso pubblico e speriamo che ne nasca una discussione pertinente ai fini della migliore soluzione per l’intera popolazione”.

Cure negate durante i domiciliari e dopo

C’è chi, di mia conoscenza, da quattro mesi si vede negata la terapia del dolore contro un serio guaio alla cervicale ed è da quattro mesi che aspetta di fare una coronarografia per occlusione arteriosa. Senza parlare dei trattamenti oncologici negati alla moglie. Tutto solo covid.

E’ una condanna, da un altissimo livello di competenza e coscienza, di quanto fatto dal governo tedesco nel contesto Coronavirus. E, pensando a noi, teniamo presente che le misure restrittive e vessatorie, limitatrici dei diritti fondamentali, adottate dal governo Merkel, sono una versione estremamente attenuata di quanto fatto decidere al regime dell’omino solo al comando a Roma e dai suoi consanguinei in spirito a capo di certe regioni. E che nella Germania degli 80 milioni di abitanti i decessi attribuiti al virus sono un microbo rispetto all’elefante italiano.

Quando finalmente il Ministero, guidato da Horst Seehofer, si è espresso, si è limitato a questa frase del suo portavoce Guenter Krings, in relazione a quanto riportato dalla pubblicazione su input della gola profonda Stephen Kohn: “Se si incomincia ad analizzare giornali di quel tipo, finirete molto presto ad invitare alle sedute parlamentari soggetti con in testa elmi di latta”. Soggetti con elmetti di latta equivalgono in Germania agli “scemi del villaggio”, detti Aluhut.

Non è tutto, per nostra fortuna. Non è l’unica piaga abbattutasi sulla consorteria tecno-scientifico-politica incaricata dall’élite di condurci, come maiali al mattatoio, alla fine della nostra esistenza minimamente democratica e sovrana. Ricordate l’andirivieni dei signori dell’OMS, impinguiti e condizionati dai finanziamenti di Big Pharma, dei digitali, con primo foraggiatore Bill Gates, sulla questione delle terapie alternative? Prima riconosciute, perché qualcosa si deve pur concedere ai medici seri, poi, su richiamo degli sponsor vaccinari, negate e ferocemente respinte, infine in parte riabilitate dalla forza dell’evidenza più che da riflessi di onestà. Nel frattempo, prima che il sangue immunizzato e donato, risolvesse quasi tutti i casi, un sacco di gente se n’era andata all’inceneritore, lontana dalla vista di congiunti testimoni, per aver avuto i polmoni spaccati da intubazioni e ventilazioni forzate.

Terapie alternative? C’è lo zoccolo del diavolo. No, c’è l’ala dell’angelo. No, c’è…..

In questo contesto abbiamo visto la clorochina, farmaco antimalarico collaudato, a volte in combinazione con antibiotici e antinfiammatori, riconosciuto dall’OMS terapia efficace contro il virus. Curiosamente, probabilmente presa dalla frenesia di intervenire in modo originale sul nuovo virus, una rivista medica riconosciuta come la più attendibile, lo standard aureo della sua categoria, la “Lancet”, fece il passo falsissimo di pubblicare uno studio farlocco di una piccola casa farmaceutica negli Usa, “Surgisphere” , redatto da un gruppetto di inesperti fasulloni, che dichiarava la clorochina, o idrossoclorochina, nome commerciale Plaquenil, totalmente inadatta, anzi perniciosa, per la cura del virus. Con l’OMS che, istruita come al solito dai Gatesiani, immediatamente consentiva e si rimangiava il precedente riconoscimento del farmaco. Ospedali e cliniche in tutto il mondo, che, con la clorochina avevano curato con successo pazienti con Covid-19, dovettero smettere. E Donald Trump, l’orco dei benpensanti, che si era nutrito di clorochina in funzione preventiva, correttamente come poi s’è visto, e aveva mandato al diavolo i corrotti soloni dell’OMS, veniva spernacchiato come il più demente degli allocchi.

Risultato: Trump sta bene, la Lancet ha espresso il suo rammarico, l’OMS s’è ritrovato il cetriolo in un certo posto, ma, secondo chi è stato obbligato a rinunciare a praticare quella cura, la conseguenza è stata di decine di migliaia di morti. Colpose o dolose? Io lo so, ma ditelo voi.

Vogliamo domandarci come si possa continuare a dar retta, a fidarsi, a obbedire a gente che in questo modo si occupa della nostra salute? La risposta dovrebbe essere quanto in queste ore succede negli Stati Uniti, tutti in piazza, di tutti i colori, a milioni, dai paesi alle città, alla capitale. Al “manifesto” interessa solo che sono contro il razzismo. Un razzismo che, sotto TUTTI i presidenti, compreso il beatificato Obama, ha ucciso e uccide neri e poveri. E invece sono incazzati anche per i trilioni spesi nelle guerre anziché per la sanità e le scuole (come da noi), per i 40 milioni di senzalavoro, per il catastrofico lockdown, imposti (come da noi) da una criminale gestione del Coronavirus dettata, non Trump, ma da tutti coloro che lo vogliono far fuori perché non abbastanza killer. I Fauci, Bill Gates, Soros, Rockefeller, Kissinger, Pentagono, Intelligence, Big Pharma, Piattaforme, con le loro milizie machofemministe e pseudo-antifasciste. Come da noi.

Pubblicato da Fulvio Grimaldi alle ore 17:44

RAZZISMO, NON SOLO — USA, UN VIRUS DI CLASSE PER LA GUERRA CIVILE — ITALIA, VIRUS MORTO, VIRUS VIVO?

https://fulviogrimaldi.blogspot.com/2020/06/razzismo-non-solo-usa-un-virus-di.html

MONDOCANE

MARTEDÌ 2 GIUGNO 2020

 

 Medicina agli ordini, o Medicina libera

Si parva licet componere magnis (se ci è permesso di confrontare il piccolo con il grande), la bomba che ha messo in crisi l’assetto viraldispotico e tecnoscientifico del nostro paese si potrebbe definire la sineddoche della sollevazione popolare che sta mettendo a ferro e fuoco almeno 40 dei 50 Stati della Federazione nordamericana. Quanto alla bomba, se è perfettamente adeguato dare del “bomba” al generale Pappalardo, bravo a trasformare in oro di visibilità la paglia coltivata nei cervelli di un po’ di arrabbiati, i suoi gilet arancioni non sono che il mortaretto che deve distrarre dal grosso botto con cui altri hanno scardinato il castello di carte false su cui da quattro mesi si erge il coronavirus.

Prima di addentrarci alle fiamme che bruciano quanto resta del più potente e violento paese del mondo, lasciatemi dire di questo ordigno finito tra i piedi dei congiurati col coltello ficcato nella schiena del popolo italiano. Tutto stava precedendo serenamente verso l’annunciata (e perciò programmata) seconda ondata della pandemia, vuoi a fine giugno, vuoi a ottobre, quando uno, che ai colleghi virologi da salotto tv e da comitato tecnico-scientifico, sta come l’Apollo del Belvedere sta ai finti Modigliani pescati a Livorno, decideva di dire basta! Il virus è morto, il virus non c’è più, lo spettacolo è finito, buonanotte ai musicanti.

Alberto Zangrillo, primario di terapia intensiva del S. Raffaele, sarà il medico di Berlusconi ma è anche il primatista italiano di studi epidemiologici pubblicati nelle più autorevoli riviste mediche del mondo. Subito confortato da un altro luminare della virologia, Luciano Gattinoni, trovandosi a corto di pazienti e di virus, ha dichiarato che il covid-19 aveva perso la sua carica e stava scomparendo e che quindi “la si facesse finita anche col terrorismo”. Lo ha confortato un coro di valutazioni uguali di colleghi di pari rango, tedeschi, statunitensi (dal Parnaso del MIT di Boston), di Oxford, compreso Matteo Bassetti, direttore per le malattie infettive del San Martino di Genova. Gente da corsia, da trincea, visto che per farci prigionieri ci hanno detto che siamo in guerra, da occhi negli occhi dei malati. Hanno tutti constatato che è successo quanto succedeva ogni anno, dai tempi dei nostri trisavoli, con tutte le influenze stagionali, senza che si siano mai proclamate pandemie, inventati decessi, imposti stati d’assedio nazionali e terrorismo politico-mediatico da farti morire, ma di paura. E che era ora di smetterla con i lockdown, anche perché stavano causando infinitamente più danno sanitario ed economico, che non lo stesso virus.

blob: https://www.facebook.com/c1a042e8-5dc4-4693-801b-899d7da88f83   (Zangrillo a Mezz’ora+)

Per quanto la cosa fosse corroborata dai numeri, non adulterati stavolta dall’inclusione proditoria di morti da eccesso di età, o da altri malanni, compresi quelli determinati da mancanza di cure, causa detenzione, la reazione è stata violentissima. Disturbati nei loro tragitti extra-clausura, da residenze di classe ai saloni delle conferenze stampa e, da lì, sugli altari approntati negli studi televisivi, dai quali lanciare apocalittiche visioni e strali punitivi contro gli scettici, i tecnoscienziati hanno reagito come un solo virus pandemico. Disciplinatamente supportati da una stampa che, dal manifesto ai giornaloni al Fatto Quotidiano, scatta non appena il Deep State, o Bilderberg, o Davos, si fanno sentire, reagiscono con elegante dialettica: “Stupidaggini, provocazione, sconcerto, Zangrillo ha sbagliato, crea solo confusione”.


Untori

Sono parole di una tecnoscienziata: Sandra Zampa (PD), esperta di Storia della Chiesa. Barbara Spinelli, sul Fatto Quotidiano, si è spinta fino a far tracimare un paginone di peana alla società futura retta dalla Scienza che, come proclama Burioni, è “unica e non democratica”. Degna apostola dei girotondi di Tsipras e figlia di quell’Altiero che, a Ventotene, vaticinava uno Stato autoritario e temeva che senza una bella guerra tra USA e URSS un’Unione Europea sarebbe stata difficile da fare. Ne va, per tutta una categoria, del prestigio acquisito, del potere accumulato, dei profitti vaccinari in prospettiva e, perché no, della cospicua tariffa per comparsata. E del ritorno nell’ombra di laboratori stiticamente finanziati.

USA: Pandemista contro antipandemista

Trump e Anthony Fauci

In America la situazione è un tantino più complessa. Anche lì ci sono gli amici di Big Pharma e associati di Bill Gates, capeggiati dall’apocalittico epidemiologo Anthony Fauci, della Task Force anti-virus, in duello all’ultimo sangue con Trump, sia per lo scetticismo di quest’ultimo sulla mostruosità genocida del virus, sia perché il presidente si sfondava di idrossoclorichina, nonostante che l’OMS l’avesse bandita (più che altro perché, secondo  molti efficace contro il corona, l’antimalarico ostacolava il trionfo del vaccino di Bill Gates a venire). Partiamo da cosa ci dicono i soliti media. Poi passiamo a certi dati.

Con differenziazioni che non sono che sfumature, la stampa italiana concorda sugli eccessi della polizia, ovviamente di Trump, sul permanere, con Trump, di un razzismo di fondo, però potenziato dai famigerati suprematisti bianchi, cari a Trump, alle cui violenze si opporrebbero i bravi, seppure un po’ anarchici, militanti di “Antifa” (organizzazione, presente in miniatura anche da noi, della galassia Ong di George Soros), avanguardia di un’America “liberal” (leggi Partito Democratico, leggi Deep State, FBI, CIA, NED, Rockefeller, Atlantic Council, Hillary e Bill Clinton, Melinda e Bill Gates, Kissinger). E a questo incendio, determinato dall’uccisione dell’afroamericano George Floyd in una quarantina di Stati USA, con gli immancabili saccheggi dei “teppisti ed estremisti”, con addirittura l’assedio alla Casa Bianca del detestabile Trump, uno solo è il rimedio. Il ritorno di Obama, sotto forma, sebbene piuttosto insenilita, di Joe Biden (ma si rimedierà facendo coppia con Hillary o, meglio, con Michelle Obama).

Una rivolta di sinistra che diventa di destra per la destra che si finge sinistra

E’ l’affresco della situazione dipinto dalla CNN e dalla stampa (Washington Post, New York Times, Wall Street Journal) con l’aggiunta di un particolare sul quale i nostri media sono ancora in ritardo. I disordini, la violenza sono fomentati da nient’altro che dalla Russia e da Putin. Tentativo maldestro di ravvivare il cadavere del Russiagate (come il bocca a bocca dei nostri “virologi” sul virus). Un’operazione obamiana  distrutta dal fallimento della montatura del procuratore Robert Mueller, dalla prova del complotto contro il consigliere per la Sicurezza Nazionale, generale Michael Flynn, e che ora pone a rischio di inchiesta e processo lo stesso Obama e il suo entourage di cospiratori anti-Trump. Quell’Obama  davanti al quale Donald Trump, con tutto quel che di bislacco e delittuoso si può attribuire all’uomo-pannocchia, pare un dilettante in fatto di guerre e crimini contro l’umanità: Iraq, Libia, Somalia, Siria, Afghanistan, Venezuela, Honduras, Ucraina, Georgia, Yemen, polizia USA militarizzata e decimatrice di afroamericani, droni Predator assassini ad abbattere “sospetti” in tutto il mondo, un milione e mezzo di immigrati espulsi (un record), torture CIA, eccetera eccetera, ad libitum. Probabilmente il peggio del peggio mai visto nella Casa Bianca.

Cosa c’è dietro una rivolta di proporzioni inedite negli USA dalle storiche lacerazioni etniche? Una rivolta che non risparmia che pochi Stati della Federazione, segnata da episodi di violenza, uccisioni, saccheggi. E le città più colpite, da Los Angeles a New York, da Chicago a Minneapolis, da Detroit a Dallas, da Denver a Baltimora, da Philadelphia a Washington DC, sono tutte governate dai Democratici. E tutte vedono in prima fila negli scontri gli squadristi di “Antifa”. E in molte di loro si scoprono cumuli bene ordinati di mattoni, là dove non era visibile nessuna attività edilizia, ma che sono serviti ottimamente a sfasciare teste e vetrine. Si tratta forse del caos che dovrebbe, insieme alla pandemia, far prendere alla rivolta contro il razzismo e la polizia una direzione contro chi, grazie ai successi economici, dopo le lunghe stagnazioni dell’era Bush-Obama, e avendo di fronte una cartuccia spenta come Biden, si avvia a rinnovare il mandato presidenziale?

 “Non posso respirare”

Ricchi e poveri: l’evidenza che acceca

Chissà se è un caso che ad analisti e cronisti sfuggano dati che mettono l’intera vicenda in una luce diversa, abbagliante. Stiamo sperimentando sulla nostra pelle, e ne vediamo i paralleli nel mondo, un’operazione di orchi contro gran parte del genere umano. Una pandemia, fabbricata a partire da una normale influenza, per costringere interi popoli alla spersonalizzazine e alla sottomissione assoluta in cambio di uno spaventoso arricchimento di pochi. Decine di milioni di persone precipitate nella povertà assoluta, economie nazionali rase al suolo, suicidi negli USA aumentati del 40%, una rapina di proporzioni senza precedenti ai danni del 99% dell’umanità.

In compenso, nel corso dei mesi in cui gran parte degli abitanti del Globo erano privati dei diritti fondamentali, incarcerati e ammutoliti dal terrore e da una repressione ultrafascista, con per esito nient’altro che la rovina personale e sociale, qualcuno ne ha tratto profitti senza pari nella storia degli arricchimenti. Che, comunque, sono sempre da rapina, a meno che non trovi la famosa pepita. Negli USA, ai 40 milioni che denunciano la perdita del lavoro e richiedono i buoni pasto per non morire di fame, si contrappone un pugno di miliardari che promette di evolversi in trilionari. Nel corso dei mesi tra inizio marzo e fine maggio, ce lo dice un rapporto firmato dall’Istituto di Studi Politici e dall’Associazione Americana per la Giustizia Fiscale, la ricchezza complessiva dei miliardari USA è cresciuta dai 2,948 trilioni di dollari ai 3,382 trilioni.

Volete che le folle di incazzati dei tanti ceti e delle tante etnie che tumultuano nelle città nordamericane non sappiano, non si siano accorti, non sia questa la molla che è saltata nella loro coscienza e che ne ha fatti corpi e parole lanciati contro il sistema?

Dai miliardi ai trilioni, dalla vita alla sopravvivenza

I 5 miliardari di punta, protagonisti delle opportunità commerciali offerte dal virus e dalle chiusure – Bezos, Gates, Zuckerberg, Buffett, Ellison – hanno guadagnato insieme 75,5 miliardi, un incremento del 19%. A conferma che i loro business erano i meglio piazzati per la pandemia, hanno catturato, in quei mesi, il 21% dell’aumento complessivo della ricchezza dei circa 600 miliardari USA. Per Forbes i 614 miliardari americani erano diventati 630 tra marzo e aprile, con un primato assoluto del lanciarazzi Elon Musk, di Tesla, il cui patrimonio è cresciuto del 48% (36 miliardi). Quello di Jeff Bezos, Amazon (vendite online, morte dei negozi), è aumentato di 35 miliardi (è la somma che il governo spende per l’istruzione), mentre Zuckerberg, Facebook (telematica per lavoro e studio da remoto), si è dovuto accontentare di 25 miliardi in più (la spesa dello Stato per l’assistenza alimentare ai poveri).

Se poi guardiamo ai ricchi del mondo intero, i 25 più ricchi (tra cui 16 statunitensi e 3 cinesi), che insieme valgono 1,5 trilioni di dollari, hanno guadagnato dai soli due mesi  di “pandemia” 255 miliardi. In tre, Bezos, Bill Gates, Warren Buffett, dispongono ora di una ricchezza che è pari a quella della metà dei 330 milioni di statunitensi, a simbolo e rappresentanza di un abominio di oligarchia che ha dato vita alla nazione più diseguale per distribuzione della ricchezza del mondo. L’Italia la segue dappresso. Un’oligarchia che, come i nostri Elkann, Cairo, De Benedetti, sa garantirsi lo scudo, non solo della magistratura (vedi la fogna della nostra Giustizia), ma ancora più totale quella dei media. Il solo Bill Gates si è assicurato per 9 milioni di dollari i servizi del sinistro “Guardian”, con 3 milioni quelli della NBC Universal, con 1 milione al Jazeera, con ben 49 il plauso della BBC. Altri, come Bezos e Elkann, fanno prima, i media se li comprano.

Curiosamente all’intero panopticum mediatico sono sfuggiti non solo gli effetti sulla composizione sociale di gran parte del mondo dell’Operazione Covid-19, sui ricchi in contrapposizione a quelli sui poveri: le due facce della stessa medaglia del capitalismo al tempo del coronavirus, dell’OMS, di Bill Gates e della sua cosca. Gli sono sfuggiti soprattutto i motivi per i quali centinaia di migliaia di persone, bianche, nere, brune, in quasi tutte le città statunitensi si sono messe a rumoreggiare e a scasinare nelle piazze. A partire dall’assassinio di un innocente da parte di un bruto in uniforme, in rappresentanza, però, di tutti i bruti che hanno dato vita a questi Stati Uniti d’America e che intendono mantenerla tale. Costi quel che costi.

Anche l’assalto al Venezuela irriducibilmente bolivariano e chavista. Anche la guerra alla Russia, per la quale gli USA si stanno al momento esercitando con decine di migliaia di uomini e mezzi in Polonia e tutt’intorno ai confini russi, a dispetto del coronavirus, di Trump e dei suoi che preferiscono la guerra alla Cina. In ogni caso, Di Maio si è dichiarato d’accordo con entrambi, la Nato, tutto. Degli altri non mette neanche conto parlare. Anche se nascosti da mascherine, sappiamo come la pensano. E cosa fanno. E non sarà un pappalardo a fermarli.

Pubblicato da Fulvio Grimaldi alle ore 20:58

CONVERSAZIONE TRA MAURO SCARDOVELLI ( UNI ALEPH) E FULVIO GRIMALDI: A TUTTO CAMPO

https://fulviogrimaldi.blogspot.com/2020/05/conversazione-tra-mauro-scardovelli-uni.html

MONDOCANE

DOMENICA 31 MAGGIO 2020

Conversazione tra Mauro Scardovelli ( Uni Aleph) e Fulvio Grimaldi: A TUTTO CAMPO

OPERAZIONE VIRUS: TOCCA AI MILLENIALS —- MORIRE DA PICCOLI —– PEDAGOGIA NUOVA: BATTEZZATI, MASCHERINATI, VACCINATI

https://fulviogrimaldi.blogspot.com/2020/05/operazione-virus-tocca-ai-millenials_26.html

MONDOCANE

MARTEDÌ 26 MAGGIO 2020

file:///C:/Users/Fulvio/Desktop/Mascherine%20minori.pdf  Per primissima cosa, in linea con l’argomento del pezzo, vi invito vivamente a leggere questo appello in difesa dei minori aggrediti dall’operazione virus.

https://youtu.be/rvNMLEK_XW0  Paolo Rossi “Era meglio morire da piccoli”

Fuori i mocciosi! O dentro!

Di occasioni per parlare della guerra di sterminio agli anziani, condotta dagli apostoli del Messia Coronavirus, ce ne sono state offerte fin troppe, sostenute dall’abbagliante evidenza della considerazione in cui venivano tenuti questi soggetti, inutili, costosi, improduttivi, spesso acrimoniosi e, oltre tutto, depositari di insidiose memorie. Molte di meno ne abbiamo avute per misurare il grado di ostilità impiegato per liberarsi di un’altra categoria di umani costosi, parassitari e spesso smanierati: i mocciosi.

Non è la prima volta, se partiamo dall’episodio della strage degli innocenti di Erode che ci hanno rifilato quelli della bibbia e che si emula ininterrottamente, fino all’uranio sui bimbi iracheni e serbi, fino al fosforo sui ragazzetti di Gaza, ai massacri dell’Isis in Siria, alle sanzioni ai bambini di mezzo mondo. Ma una frode così colossale, come quella inflitta da una branco di lupi (chiedo scusa ai lupi veri) a uno sconfinato gregge di pecore (chiedo scusa alle pecore vere), a me pare ci sia stato solo una volta, circa duemila anni fa, quando al pensiero molteplice, tollerato, produttivamente e felicemente dibattuto, ci venne imposto con il trucco, il raggiro e una violenza sanguinaria come mai prima nella storia umana, il pensiero unico ancor prima che l’esserino umano avesse un pensiero..

Uno spirito acuto ha detto che a Osama bin Laden hanno sostituito il Sars-Cov-2, riferendosi alle misure autoritarie e riduttrici dei diritti civili assunte per la cosiddetta “Guerra al terrorismo” (leggasi “guerra all’umanità”), una guerra che vedeva riuniti, da un lato, Stati e loro terroristi e dall’altro Stati e popoli vittime, con tra queste ultime in primissima posizione bambini e adolescenti. Io allungherei lo sguardo e accosterei l’attuale, così definita, “guerra al Coronavirus” (altra “guerra all’umanità”) alla guerra al politeismo e alla civiltà classica, di cui il pluralismo delle fedi e degli dei era l’espressione, svoltasi a partire da Costantino, sua madre Elena (santa!) e Teodosio. Allora, come con Osama e con il Coronavirus, cambiare il mondo a proprio vantaggio, fondando un inganno planetario su una menzogna colossale. Succede sempre in Italia, mosca cocchiera delle trasformazioni in peggio del mondo. Un po’ perché, ponte nel Mediterraneo tra i quattro punti cardinali, siamo molto ambiti. Un po’ perché, a parte qualche sprazzo ogni par di secoli, risultiamo i più boccaloni.

 

Dal battesimo al vaccino

Dice, cosa c’entra tutto questo con i bambini che nel titolo (come nella canzone di Paolo Rossi) devono morire da piccoli? C’entra nella misura in cui operazioni antiumane ed elitarie per stabilire un Nuovo Ordine Mondiale, allora pienamente riuscito, oggi in corso, hanno per bersaglio privilegiato le categorie più facili da colpire, circonvenzionare, eliminare: gli anziani e i giovani. Fin da quella prima costituzione di un Nuovo Ordine Mondiale, i bambini si catturano e s’inseriscono nelle schiere degli obbedienti (credenti) al nuovo ordine mediante il battesimo alla nascita, poi con la Prima Comunione e con la Cresima al passaggio verso la pubertà. Da allora, ogni divergenza è apostasia, o eresia (ceppi e roghi).

Vi pare molto diverso dai 10, secondo eminenti scienziati discutibili, vaccini ordinati da una certa ministra Lorenzin a tutti i neonati di questo regno del dio Big Pharma? O, meglio, da quel vaccino universale, obbligatorio alla nascita e identificante sottopelle per tutta l’esistenza, che la Cupola dei Bill Gates, soci e miliziani, imporrà a tutti, una volta che 7,5 miliardi di esseri umani saranno stati sufficientemente bolliti da propaganda, minacce, punizioni e premi (inferno-paradiso = non ti puoi muovere-ti puoi muovere)? E che ridurrà ogni nuovo nato alla mercè della conoscenza, sorveglianza e del comando di chi del Nuovo Ordine Mondiale è l’imperatore.

60.000 nuovi sbirri per la Sadomasocrazia

Partiamo dalla generazione che viene chiamata “millenials”, i nati dal 1990, più o meno. Per mesi sono mancate le mascherine, senza le quali si abbatte su di noi la punizione del Supremo. Si doveva annientare il virus, ma sono spariti i reagenti per i troppo pochi tamponi che erano poi troppo poco precisi. Dei ventilatori ce ne sarebbero voluti dieci volte tanti (e, visto ciò che combinavano, menomale che non c’erano!). Bonus per tutti, lacero cerottino su un’economia disastrata e priva di strategia, non sono mai arrivati. Arriveranno invece 6,3 miliardi agli evasori fiscali FCA e, 2,3 ai responsabili di ponti crollati e autostrade sfasciate. E arriveranno, subito subito, sessantamila spostati, borderline per bramosia di contare qualcosa, fregare chiunque altro facendo i delatori e imporre il loro nulla armato di metro a scapestrati privi di mascherina, perfino quando bevono e mangiano, e distanti tra loro 90 cm anziché 100 per sentire ciò che dicono. Ovviamente volontari. Ovviamente senza la benchè minima preparazione/formazione al confronto con folle o individui da reprimendare/reprimereOvviamente destinati a essere sepolti da uragani di vaffa.

Dalla movida stronza alla movida delittuosa

E’ la splendida idea del ministro Boccia e del capo-sindaci barese Decaro, nel paese che, tra PS, CC, Finanza, guardie giurate, Polfer e burbe con stellette e mitragliatore, ha più guardie per cittadino di qualsiasi paese europeo. Io non ho nessuna simpatia per l’usanza zapaterian-meneghina di “movida”, apericena, happy hour e simili sbevazzate nell’era del consumismo e del localino hip ogni dieci metri. Precipizio sociale e culturale che, per esempio, mi ha fatto fuggire da Trastevere quando il quartiere storico, di artigiani, botteghe, artisti, canzoni e osterie divenne, sotto lo sguardo accecato dei palazzi quattro- e cinquecenteschi, una baraonda di localetti e localacci di pessima proprietà e scadenti frequentazioni, con dalle finestre neanche più un panno, o un viso, trasteverino.

Va aggiunto, però, che ai ragazzi che qui, o ovunque, si “assembrano” per incontrarsi, parlare, ritrovarsi, inciucchirsi di spritz, dopo quasi tre mesi di demenziale e castrante carcerazione, la città, come è stata degradata da un ceto dirigente di trogloditi famelici, non offre nessuna alternativa di incontro, confronto, superamento della pianificata disgregazione sociale. Disgregazione al cui acme, dopo le escalation del terrorismo, della guerra migranti-autoctoni, donne-uomini e omo-etero, è servita l’intera operazione coronavirus. Di conseguenza, le geremiadi, le rampogne, le ramanzine, che gli ultrà dell’ipocrisia e della tromboneria virusiane indirizzano ai ragazzi, insieme a branchi di 60mila fancazzisti frustrati, ansiosi di pestare vero il basso e inchinarsi verso l’alto, non sono che la continuazione della guerra ai ragazzi con altri mezzi.

Task force fake news, task force distanziatori civici: neanche il Minculpop, neanche le camicie nere

Ci sono voluti un paio di giorni dal lancio dell’orda di miliziani distanziatori perché l’enormità del provvedimento Boccia-Decaro-Gestapo (naturalmente Conte non ne sapeva, come non ne sapeva del blocco sacrosanto di “Open Arms”, ça va sans dire) balenasse a qualcuno e da governo, maggioranza e opposizione si levassero voci di apprensione e critica. Apprensione perché, sebbene non ci sia in quella consorteria nessuno che metta in dubbio stati d’assedio e coprifuoco con prospettiva vaccino, lo scatenamento sulla gente di questi sventurati sessantamila rischiava di scoprire la natura vera dell’intera operazione. Tutto qui. A oggi, l’esito rimane incerto. Ma, secondo me, passa: più scherani usano e più gli dice bene.

Devo dire che, se non la supera, la trovata di lanciare questi ottusi energumeni contro chi rischia di incrinare qualche sera l’assetto da lager previsto per la nostra società, fa il paio con l’istituzione, in seno al governo, della famigerata task force contro le fake news (chiamiamolo pure “ministero della Verità”). Un plotone d’esecuzione degno dei migliori regimi.

Un aborto mostruoso della madre di tutte le dittature, ai cui aderenti, delatori e censori nel nome del pensiero unico, assassino del pensiero, in mancanza di loro suicidio professionale per l’onta, l’Ordine dei Giornalisti avrebbe dovuto comminare l‘immediata espulsione e quel tappetino dei manipolatori che è il sindacato (FNSI), la negazione in perpetuo dell’accesso a tastiere e microfoni. Avranno, invece, al ritorno nei lupanari d’origine, onorificenze e avanzamenti.

Mascherine da morire

Poi ci sono i piccoli, dai cinque anni in su tutti con le mascherine e distanziati. Mascherinatori il cui tasso di odio viscerale per i bambini supera addirittura il grado di pericolosità fisica delle mascherine, come descritto dal documento riportato al link in apertura. Mascherine che contaminano, mascherine che soffocano, mascherine che, soprattutto in attività sotto sforzo, uccidono, come è successo in Cina (al cui proposito, come a quello della Russia, per favore niente indulgenze, o attenuanti, da parte degli amici di questi paesi, per comportamenti virusiani analoghi ai nostri e parimenti deprecabili. Per sostenere Russia e Cina ci sono motivi migliori, non questi e neanche il distopico 5G)

Al principio l’OMS diceva che le mascherine non servono perché il coronavirus è grande 120 nanometri e quindi passa per ogni mascherina come una zanzara passa per un cancello. Poi si sono accorti che serve ad annichilire le persone e la loro identità, a metterle a rischio di malattie e a far guadagnare un bel po’ di miliardi. Sanno, come lo sa qualunque cardiologo, che museruolizzare così i bambini per ore a scuola, significa farli rischiare l’infarto; il dermatologo sa che rischiano dermatiti e micosi, l’ìmmunologo che nella mascherina i germi si “assembrano”(!) e che senza contatti con gli altri ragazzi il sistema immunitario si indebolisce. L’avranno detto al Comitato Tecnico Scientifico? Ci sarà almeno un medicuzzo di base tra i supremi saggi che queste cose le sa perfettamente? E allora le fanno apposta?

Meno bambini, meno gente sul pianeta.

Meno bambini, meno affollamento sul pianeta

E’ guerra totale ai bambini. Indubbiamente, come quella agli anziani rinchiusi per mesi e privati di cure e assistenza, morti come le mosche), è parte integrante della campagna per la riduzione dell’umanità (numerica e intellettuale) sostenuta, parzialmente attuata (videogiochi che insegnano violenza e morte, guerre, sanzioni, fame, farmaci, sterilizzazioni), dagli stessi promotori del pogrom planetario a fini di miliardi e poteri da vaccino e da identità digitale. Hanno iniziato con l’isolamento e la clausura per due mesi e passa. La generosa concessione del giro della casa con mamma e papà. L’esclusione da scuola materna, asilo, scuola e ogni opportunità di socializzazione, senza la quale un bambino, un minore, è alla mercè di ogni sopruso da eccessi genitoriali e a ogni patologia psicofisica da solitudine. Intanto pubblicitari istituzionali e commerciali, ottusi e malvagi, gli/ci rovesciavano addosso la melassa tossica e idiota del “tutto andrà bene” (ma l’officina, o la bottega, dei genitori non aprirà più: addio studi superiori), a farci felici dello stato di abiezione fisica, sociale, culturale.

Manifestazione contro l’insegnamento a distanza

Ci sono volute madre e padri coscienti a farsi avanguardia e scendere in piazza contro gli orchi impegnati a pervertire e distruggere quello che, nei millenni in tutto il mondo, è stato lo strumento fondamentale per perpetuare e migliorare le civiltà. Hanno salvato l’onore. Speriamo anche i bambini e il nostro futuro.

Quando la nefandezza, tanto inutile quanto patogena, della chiusura ha dovuto essere attenuata, per le pressioni di opinioni pubbliche in rivolta, negli altri paesi più che nel nostro, hanno pensato bene di negare l’unica opportunità di gioco e socializzazione offerta dai nostri agglomerati di cemento alla Boeri, Fuksas, Piano, Kenzo Tange, Sala o Ciancimino: niente giochi nei parchi giochi. E tutti a minimo di un metro. Bambini da uno a 6 anni! Bambini che conoscono soprattutto toccando! Bambini che, conoscendo gli altri bambini, conoscono se stessi! Bambini portati a diffidare degli altri bambini: “Potrebbe infettarti, stai lontano!”  Diffidenza che diventa la cifra di tutti i rapporti futuri. Bambini da bloccare, frustrare, immiserire, intristire. E nessuno di quelli che lacrimavano sui bambini “sotto le bombe di Assad”, nei campi profughi in Turchia, o sui barconi della migrazione, trova una sola parola da dire contro questo che non è altro che un infanticidio.

Poi, dai 6 anni in su, distanti anche a scuola. Col piffero che copi dal compagno di banco, che fai piedino con la compagna, che ti passi la versione o la maledetta merendina. Distanti, distanti, ma che calcio, quale calcetto, pallavolo, basket: giochi di squadra, giochi di contatto, letali. Chè, volete le “seconda ondata”, volete tornare dentro?

Lontano, lontano, lontano. Non solo nel tempo, come dice la canzone di Tenco, tempo che potranno ritrovare solo nelle foto e nei video dei genitori e dei nonni, nei quadri antichi, in racconti come quelli di Ulisse vent’anni dopo Troia. Più direttamente, dolorosamente, mortalmente sul piano morale, affettivo, intellettuale, anche lontani nello spazio. L’altro, il compagno, diventa “l’isola che non c’è”. Se non si fanno le cose insieme, vicini, a contatto, è come giocare a carte a solitario. E l ‘affettività, che non può non essere tatto, contatto. E l’amore? Ah, già tocca ridurre l’eccesso di popolazione.

Già una ministra dissennata, capace di uccidere non solo Maria Montessori e tutta la pedagogia da Socrate in qua, ma addirittura l’intelletto individuale e collettivo con l’idea (rientrata) del concorso per insegnanti a quiz. Le crocette per chi deve insegnare la complessità, come tutto si interseca, scontra, tiene. La sterilità da binario da internet E, dunque, si prevede per l’autunno la teleuniversità, in medie e superiori metà classe in presenza (distanziata!) e metà a sfondarsi di solitudine col computer. Col terzo di famiglie italiane sconnesse e quindi disconnesse: guerra di classe.

Amare, odiare, interrogare un insegnante, le sue parole, la sua figura, la sua faccia. emularlo, contestarlo, ricordarlo. E viceversa. Lo stesso con i compagni, fare fronte comune, confidare gioie, tormenti, segreti a chi non si presenta come autorità, come chi sa già tutto e meglio. Gareggiare, imparare a prevalere e a soccombere, accordarsi, rinunciare Tutto questo attraverso lo schermo? 

Hanno preso il potere, un potere totale. E noi non ce ne siamo neanche accorti, abbiamo lasciato fare. Abbiamo avuto, nonostante tutto, quella fiducia nell’autorità che l’autorità non ha mai avuto per noi. Mai. Un volgo disperso che nome non ha. Forse abbiamo speso tutto in quel decennio mitico dal ’68 al ’77. Dobbiamo tornare ad accumulare energie. Se non ci sveglia neanche quella muta di 60mila pitbull che ci lanciano addosso…  se non ci sveglia il fatto che ci stanno rubando i nostri figli, che li stanno annientando col pretesto del virus e della loro salvezza….

Vien da pensare ai figli dei Desaparecidos. Ma i Montoneros dove sono? Salvare l’onore, almeno.

Pubblicato da Fulvio Grimaldi alle ore 11:43