VENEZUELA (V) : LA ‘NOUVELLE GUERRE DU PETROLE’ AU CŒUR DE LA CRISE AU VENEZUELA

 

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Flash Vidéo Géopolitique/ Geopolitical Flash Video/

2018 01 28/

 Le Flash Vidéo du jour …

Le géopoliticien Luc MICHEL dans le ‘REPORTAGE’ du 25 janvier 2018

sur PRESS TV (Iran)

VIDEO.FLASH.GEOPOL - Venezula V pétrole - presstv (2019 01 28) FR

Le Venezuela c’est aussi une affaire de Pétrole et de Gaz. Et la guerre économique menée par les USA contre le pétrole vénezuélien est un des fronts de la « nouvelle guerre du Pétrole ». J’ai traité cet aspect essentiel de la crise du Venezuela dans le ‘REPORTAGE’ de PRES TV (Iran) …

Sources :

* La Video sur PCN-TV/

PRESS TV (IRAN) INTERVIEWE LUC MICHEL:

LA ‘NOUVELLE GUERRE DU PETROLE’ AU CŒUR DE LA CRISE AU VENEZUELA (‘REPORTAGE’, 25 01 2019)

sur https://vimeo.com/313543867

* L’article sur :

« Bolton cherche à s’approprier le pétrole vénézuélien »

https://www.presstv.com/DetailFr/2019/01/25/586774/Bolton-cherche–sapproprier-le-ptrole-vnzulien

* La présentation de PRESS TV :

« Qui va tirer profit de la vente du pétrole au Venezuela ?

Bolton cherche à s’approprier le pétrole vénézuélien …

Les prix du pétrole se stabilisaient vendredi en cours d’échanges européens, le risque géopolitique au Venezuela empêchant les cours de flancher malgré l’accumulation des stocks américains. Les extractions de brut devraient d’ailleurs continuer à grimper jusqu’à 2027 et se maintenir au-dessus des 14 millions de barils par jour jusqu’en 2040.

La question qui se pose est de savoir qui va tirer profit de la vente du pétrole au Venezuela.

Luc Michel, géopoliticien, intervient sur ce sujet. »

ELEMENTS POUR COMPRENDRE LE DOSSIER DU PETROLE VENEZUELIEN

* ‘CNNMéxico’ (émanation du réseau CNN via le groupe mexicain Expansión) analyse « Venezuela. Le pétrole, arme à double tranchant de Washington » :

« Le président américain pourrait envisager de nouvelles sanctions contre le régime de Nicolás Maduro, qui, cette fois, pourraient viser le pétrole vénézuélien (…) L’économie vénézuélienne dépend à 90 % de ses recettes pétrolières et les États-Unis constituent son premier client, avec 39 % des ventes au profit du voisin honni, avec lequel le Venezuela a rompu ses relations diplomatiques le 23 janvier (…) l’administration américaine déciderait d’un embargo sur le pétrole vénézuélien afin d’asséner un coup de grâce au régime de Maduro et de soutenir le “président intérimaire” Juan Guaidó (…) ces sanctions “étrangleraient l’économie vénézuélienne“ (…) le Venezuela serait évidemment touché au cœur si ces sanctions survenaient. Malgré une chute drastique de sa production, le pays latino-américain expédie encore quelque 500 000 barils par jour aux États-Unis. Il dépend aussi, pour maintenir à flot sa production, des produits de dilution de son pétrole que lui fournissent les États-Unis. Dans un scénario tout à fait extrême, explique un analyste américain des politiques énergétiques, “les sanctions sur le pétrole vénézuélien pourraient conduire à une crise majeure dans le pays, à une guerre civile, voire à l’arrêt de toutes les opérations de PDVSA, la compagnie pétrolière nationale” ! »

* Les intérêts énergétiques de la Chine seraient la principale cible de la pression exercée par Washington sur le Venezuela, a indiqué à un expert à l’Agence ‘Rossiya Segodnia’ :

« C’est en poursuivant leurs intérêts économiques dans leur conflit avec la Chine que les États-Unis cherchent à renverser le Président Maduro au Venezuela, a indiqué le politologue russe Oleg Matveïtchev. Le pétrole serait le principal enjeu pour Washington. Selon lui, Donald Trump a toujours considéré la Chine comme son principal adversaire économique et politique. La guerre commerciale avec Pékin est un élément de la confrontation géopolitique. L’Iran et le Venezuela coopèrent étroitement avec la Chine dans le domaine du pétrole, rappelle-t-il. La sécurité énergétique de la Chine dépend pour beaucoup de ces pays. Pékin est le premier investisseur dans la production de pétrole des deux pays et le premier importateur de leurs matières premières. C’est pour cela que les États-Unis soutiennent le coup d’État contre Nicolas Maduro, qui s’apprêtait à tripler ses exportations vers la Chine et à développer sa coopération énergétique avec ce pays, raconte l’expert.

Le scénario américain de passation de pouvoir au Venezuela comporte des risques graves pour les intérêts de Pékin, estime M.Matveïtchev: «Les Américains savent manipuler le pétrole dans leurs intérêts politiques (…) Hugo Chavez a nationalisé le secteur pétrolier, portant un coup aux intérêts américains. Le contrôle des États-Unis sur le pétrole vénézuélien entraînera des pertes pour le Venezuela car plusieurs contrats et accords ont été conclus avec la Chine. Ils doivent être compensés aux parties avec lesquelles les relations sont rompues. Cela ne fera pas, bien entendu, du bien au Venezuela et aux Vénézuéliens, cela fera du bien aux Américains, et c’est l’objectif qu’ils poursuivent.» La Chine s’était prononcée contre une éventuelle intervention militaire au Venezuela. »

# L’ANALYSE DE REFERENCE SUR

LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY :

* DESTABILISATION DU VENEZUELA (I) :

LE COUP D’ETAT CONSTITUTIONNEL ABOUTISSEMENT DE DEUX DECENNIES D’AGRESSION U.S.

sur http://www.lucmichel.net/2019/01/26/luc-michels-geopolitical-daily-destabilisation-du-venezuela-i-le-coup-detat-constitutionnel-aboutissement-de-deux-decennies-dagression-u-s/

VOIR AUSSI SUR LA « NOUVELLE GUERRE DU PÉTROLE » :

* Voir sur PCN-TV/

LUC MICHEL:

NOUVEAU MARCHE ET NOUVELLE GUERRE DU PETROLE.

TRUMP LE PRESIDENT DES LOBBIES PETROLIERS AMERICAINS

sur https://vimeo.com/305321279

* Voir aussi sur PCN-TV/

GEO-ECONOMIE & GEOPOLITIQUE :

LUC MICHEL DECRYPTE LA CRISE DU PETROLE (CHUTE DU PRIX DU BARIL) ET LES MUTATIONS DU « NOUVEAU MARCHE MONDIAL » DU PETROLE …

sur https://vimeo.com/208195737

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

(Flash Vidéo Géopolitique/

Complément aux analyses quotidiennes de Luc Michel)

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

Géopolitique – Géoéconomie – Géoidéologie – Géohistoire –

Géopolitismes – Néoeurasisme – Néopanafricanisme

(Vu de Moscou et Malabo) :

PAGE SPECIALE Luc MICHEL’s Geopolitical Daily

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* Luc MICHEL (Люк МИШЕЛЬ) :

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* EODE :

EODE-TV https://vimeo.com/eodetv

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VENEZUELA (IV) : LE VENEZUELA NOUVEAU FRONT DE LA ‘NOUVELLE GUERRE FROIDE 2.0’

 

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Flash Vidéo Géopolitique/ Geopolitical Flash Video/

2018 01 27/

 Le Flash Vidéo du jour …

Le géopoliticien Luc MICHEL dans le ‘REPORTAGE’ du 25 janvier 2019

sur PRESS TV (Iran)

VIDEO.FLASH.GEOPOL - Venezula IV guerre 2.0 - presstv (2019 01 27) FR

Sources :

 * La Video sur PCN-TV/

PRESS TV (IRAN) INTERVIEWE LUC MICHEL:

LE VENEZUELA NOUVEAU FRONT DE LA ‘NOUVELLE GUERRE FROIDE 2.0’ PRESS TV (IRAN) INTERVIEWE LUC MICHEL:

 (DANS ‘REPORTAGE’ DU 25 JANVIER 2019)

sur https://vimeo.com/313543435

* L’article sur

La réaction sino-russe au putsch manqué au Venezuela …

https://www.presstv.com/DetailFr/2019/01/25/586773/Venezuela-la-Chine-et-la-Russie-prtes–intervenir

* La présentation de PRESS TV :

« La Chine et la Russie prêtes à intervenir !

Si jamais il y a une manœuvre militaire via un pays tiers au Venezuela et que ça fournit une excuse aux USA pour y déployer des forces, quelle sera la réaction sino-russe, en tenant compte du fait que leurs réactions ont été très fermes vis-à-vis du putsch manqué au Venezuela ?

Luc Michel, géopoliticien, intervient sur ce sujet. »

LA RUSSIE ET LA CHINE FONT BLOC FACE AUX TENTATIVES US CONTRE CARACAS

Le Conseil de sécurité des Nations unies s’est réuni ce samedi 26 janvier pour une session extraordinaire consacrée à la situation au Venezuela. Elle s’est tenue après que l’opposant Juan Guaido s’est autoproclamé le 23 janvier « président par intérim ». Selon Reuters, « les États-Unis ont tenté de faire approuver une déclaration au Conseil de sécurité pour annoncer le soutien sans ambages des membres du conseil à l’Assemblée nationale vénézuélienne en tant que seule instance démocratique et élue du pays, mais ils se sont heurtés à l’opposition de la Russie, de la Chine, de l’Afrique du Sud et de la Guinée équatoriale ».

En effet, le secrétaire d’État américain Mike Pompeo a demandé aux pays des Nations unies de soutenir le leader de l’opposition vénézuélienne et a réclamé des élections anticipées. Pompeo s’adressait aux 15 membres du Conseil de sécurité qui se sont réunis à sa demande après que Washington et un groupe de pays de la région pro-US ont reconnu Guaido comme chef de l’État et ont exhorté le président vénézuélien, Nicolas Maduro, à se retirer.

De son côté, la Russie a accusé les États-Unis de soutenir une tentative de coup d’État, plaçant le Venezuela au cœur d’un duel géopolitique croissant. « Le Venezuela ne représente pas une menace pour la paix et la sécurité », a déclaré Vassily Nebenzia, ambassadeur de Russie à l’ONU. « Si quelque chose représente une menace pour la paix, il s’agit de l’action sans scrupule et agressive des États-Unis et de leurs alliés visant à renverser le président du Venezuela légitimement élu », a-t-il déclaré.

Par ailleurs, l’Associated Press vient de révéler, dans un rapport exclusif, la tenue de négociations secrètes ces dernières semaines entre les États-Unis et certains pays latino-américains à propos du Venezuela, négociations qui ont abouti finalement à leur soutien à Juan Guaido qui s’est autoproclamé « président par intérim ». Selon l’AP, « l’opposant vénézuélien Guaido s’était déplacé, clandestinement, à la mi-décembre 2018, aux États-Unis, en Colombie et au Brésil pour informer les dirigeants étrangers de la stratégie des opposants de Maduro au Venezuela et lancer des protestations générales dans le pays ». « Pour quitter le Venezuela, il s’est faufilé illégalement à travers la frontière avec la Colombie, afin de ne pas éveiller les soupçons des agents de l’immigration qui empêchent de voyager à l’étranger les personnalités de l’opposition », a déclaré un dirigeant anti-gouvernement vénézuélien, s’exprimant sous le couvert de l’anonymat.

LA RUSSIE FAIT UNE MISE EN GARDE AUX ETATS-UNIS

Le chef de la diplomatie russe a mis en garde les Etats-Unis ce jeudi 24 janvier contre une intervention miliaire au Venezuela, qui selon lui serait «catastrophique». Les Etats-Unis avaient reconnu la légitimité du président du Parlement vénézuélien Juan Guaido, qui s’est autoproclamé «président» par intérim.

Juan Guaido le chef de l’opposition vénézuélienne et président de l’Assemblée nationale, s’est autoproclamé président par intérim du Venezuela, ce mercredi 23 janvier 2019 : « Je jure d’assumer formellement les compétences de l’exécutif national comme président en exercice du Venezuela pour parvenir (…) à un gouvernement de transition et obtenir des élections libres », a déclaré, Juan Guaido. Peu après sa déclaration, les Etats-Unis et leurs alliés dans la région, à commencer par le Brésil et la Colombie, ont reconnu la légitimité du président du Parlement vénézuélien Juan Guaido, qui s’est autoproclamé «président» par intérim. Le président américain Donald Trump, a déclaré qu’il utiliserait « tout le poids du pouvoir économique et diplomatique des États-Unis pour faire pression pour le rétablissement de la démocratie vénézuélienne ». Face à ses déclarations de Trump, la Russie n’a pas tardé à réagir. Le chef de la diplomatie russe a mis en garde les Etats-Unis ce 24 janvier contre une intervention miliaire au Venezuela, qui selon lui ; serait «catastrophique». Estimant que Washington, en compagnie d’autres pays, avaient «augmenté» la pression sur Caracas avec «divers prétextes», Sergueï Lavrov a expliqué que le Venezuela était le «partenaire stratégique» de Moscou.

La Russie «soutient et soutiendra» le Venezuela, et continuera de «protéger la souveraineté du Venezuela» et le «principe de non-ingérence dans ses affaires intérieures la coopération économique dans divers domaines», a-t-il poursuivit.

Pour le président de la Commission des Affaires internationales du Conseil de la Fédération de Russie Konstantin Kossatchev : «Toute la politique courante des Etats-Unis vis-à-vis du Venezuela, y compris les dernières déclarations de Trump, est une ingérence directe et brutale dans ses affaires intérieures ».

« Le monde sait ce qui est arrivé à la Libye suite au changement de pouvoir avec une ingérence américaine directe, difficultés auxquelles l’Irak fait face encore aujourd’hui et ce à quoi la Syrie a échappé. Le Venezuela fait partie de ce groupe de pays.»,a-t-il illustré.

«Les événements qui se déroulent actuellement au Venezuela montrent clairement l’attitude de la communauté internationale progressiste envers le droit international, la souveraineté et la non-ingérence dans les affaires intérieures d’un pays où elle cherche à changer le pouvoir», a déclaré Maria Zakharova sur sa page Facebook.

“La position de la Russie sur l’inadmissibilité de toute ingérence extérieure dans la situation politique intérieure dans ce pays a été une nouvelle fois confirmée”: Poutine a discuté de la situation au Venezuela avec le Conseil de sécurité

(Sources : Press TV – Reuters – AP – PCN-TV – EODE Think Tank)

# L’ANALYSE DE REFERENCE SUR

LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY :

* DESTABILISATION DU VENEZUELA (I) :

LE COUP D’ETAT CONSTITUTIONNEL ABOUTISSEMENT DE DEUX DECENNIES D’AGRESSION U.S.

sur http://www.lucmichel.net/2019/01/26/luc-michels-geopolitical-daily-destabilisation-du-venezuela-i-le-coup-detat-constitutionnel-aboutissement-de-deux-decennies-dagression-u-s/

* Voir aussi sur PCN-TV/

PRESS TV (IRAN) INTERVIEWE LUC MICHEL:

LE PUTSCH CONSTITUTIONNEL AU VENEZUELA ET LE PLAN US POUR L’AMERIQUE LATINE

sur https://vimeo.com/313349600

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

(Flash Vidéo Géopolitique/

Complément aux analyses quotidiennes de Luc Michel)

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

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* Luc MICHEL (Люк МИШЕЛЬ) :

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Torino – Lione – Il Rapporto Giuridico che farà la differenza

Comunicato Stampa

PresidioEuropa

Movimento No TAV

28 gennaio 2019

http://www.presidioeuropa.net/blog/?p=18588

Torino – Lione

Il Rapporto Giuridico che farà

la differenza

 … ecco perché l’Italia può abbandonare il progetto …

Il Parere del Prof. Avv. Sergio Foà

La decisione sul futuro della Torino-Lione non appartiene ai sostenitori delle Grandi Opere ad ogni costo. Decine di anni di riflessioni e di valutazioni trasportistiche, economiche e giuridiche hanno abbondantemente segnalato che questo progetto è una Grande Opera Inutile e Imposta che, se realizzata, non avrà ritorno positivo.

Affermare che l’abbandono di una Grande Opera Inutile e Imposta, soprattutto quando la sua realizzazione non è ancora iniziata come in questo caso, dovrebbe essere sempre possibile sulla base dei principi di prudenza e di precauzione economica e ambientale.

Nel caso della Torino-Lione, è la stessa Unione europea che permette l’abbandono del progetto quando afferma che la decisione di attuare i progetti è lasciata agli Stati secondo la “capacità di finanziamento pubblico” e la “fattibilità socio-economica”.

Il Governo ha già ufficiosamente comunicato che l’Analisi Costi Benefici è negativa.

L’ala governativa a favore del progetto si aspetta che la relazione tecnico-giuridica redatta dall’Avvocatura dello Stato ribalti il risultato negativo dell’ACB come già avvenuto per il progetto del Terzo Valico attraverso l’uso spregiudicato di deboli argomenti giuridici.

Il Paese ha invece bisogno di conoscere la verità giuridica di un progetto internazionale i cui risvolti sono molto complessi e contengono al loro interno le “porte di uscita” che i decisori politici favorevoli hanno sempre ignorato.

L’Avvocatura dello Stato non potrà affermare l’esistenza di presunte penali facendo il copia-incolla delle affermazioni e delle cifre sapientemente preparate dai promotori dell’opera.

L’uscita dell’Italia dal progetto è un diritto stabilito dai Regolamenti europei e un dovere sulla base delle constatazioni tecnico-economiche.

Al Governo mettiamo a disposizione, attraverso questa comunicazione, un Rapporto giuridico che farà la differenza e che dimostra che l’Italia può abbandonare il progetto.

Questo Rapporto Giuridico, redatto dal professor Sergio Foà, Ordinario di Diritto Amministrativo dell’Università di Torino, descrive i possibili scenari in caso di mancato avvio dei lavori relativi alla fase definitiva del Progetto Torino-Lione, ossia lo scavo del tunnel di base di 57,5 km.

Il documento esamina i rapporti tra i vari soggetti che sono impegnati per realizzare il progetto e verifica quali sono le condizioni per la sua realizzabilità.

Sui rapporti tra Italia e Francia

Occorre subito sottolineare che Italia e Francia potrebbero dare il via alla realizzazione dei lavori definitivi (ossia lo scavo del tunnel di base) solo se esistesse la disponibilità finanziaria totale per realizzare l’intera opera. Questa è la condizione necessaria per l’avvio di ogni fase dei lavori fissata all’art. 16 dell’Accordo di Roma 30.1.2012

Sappiamo che questa condizione non è soddisfatta, quindi i lavori non possono iniziare.

Inoltre, lAllegato n. 2 dell’Accordo di Roma del 2012 ha indicato ai decisori politici che gli Stati si impegnano a ridurre gli effetti a carico delle finanze pubbliche, in parole povere non si deve realizzare un investimento senza “ritorno” come sarà la Torino-Lione.

Ecco un altro elemento che impedisce l’avvio del progetto definitivo.

Mentre il costo certificato e validato è definito nel protocollo addizionale all’Accordo del 2012 il progetto è posto sotto il controllo paritetico dei due Stati: TELT può dunque agire solo in base ad un’istruzione paritetica dei due Governi, come indicato all’art. 3 dell’Accordo del 2012, che al momento non è all’orizzonte.

Questo è il terzo fattore che impedisce l’avviamento dei lavori definitivi.

Sui rapporti con l’Unione europea

Il GRANT AGREEMENT del 25 novembre 2015, ossia la risposta alla Domanda di finanziamento alla Commissione Europea del 24 febbraio 2015 di Italia e Francia (il cui accesso è stato negato dalla Commissione europea qai Deputati europei e ai cittadini). Questo contratto tra Italia, Francia e UE, riguarda solo opere da concludere entro il 2019 finanziate dalla Ue per un ammontare complessivo di € 813.781.900, prevede sanzioni amministrative solo in caso di grave inadempienza delle obbligazioni da parte dei beneficiari, che allo stato non esistono.

Le azioni in corso sono solo lavori geognostici, quelli definitivi contenuti nel Grant Agreement non potranno essere iniziati entro il 31 dicembre 2019 per il divieto imposto dall’art. 18 dell’Accordo 2012.

Ogni ritardo nel loro utilizzo non produrrà alcuna sanzione, ma solo la mancata erogazione dei fondi secondo il principio use it or lose it.

Sappiamo, ma dovrebbe saperlo soprattutto il Governo, che l’Unione Europea ha stabilito che sono gli Stati membri ad aver l’ultima parola su fare o fermare i progetti finanziabili in base a due criteri: la capacità di finanziamento pubblico e la fattibilità socio-economica.

Il Regolamento (UE) N. 1316_2013 CEF lascia infatti agli Stati membri la decisione di attuare i progetti secondo la “capacità di finanziamento pubblico” e la “fattibilità socio-economica” (art. 17 par. 3), così come prevista dall’art. 7, par. 2, lett. c) attraverso un’Analisi Costi Benefici per la sostenibilità socio-economica.

In conclusione, e alla luce di tali previsioni, gli Stati membri, che rimangono titolari del potere di decidere in ordine all’attuazione dei progetti secondo i criteri evidenziati, sono tenuti a dimostrare la capacità di finanziamento pubblico di ogni fase del progetto secondo l’Analisi Costi Benefici, se intendono proseguire nell’esecuzione del progetto.

Nel caso di conseguente revisione del progetto e dei suoi tempi di esecuzione

In questo caso non vi saranno penali, perché l’Unione europea non vincola gli Stati Membri nelle loro decisioni di programmazione. L’UE dovrebbe valutare la possibilità di modificare il Grant Agreement (tra gli Stati e INEA, per conto dell’UE) oppure, in difetto, potrà rimodulare il finanziamento o revocarlo nelle parti relative alle opere non eseguite.

Ci auguriamo che Italia e Francia abbiano fin qui sorvegliato con attenzione l’attività di TELT, perché ogni inadempimento di questa società rimane comunque imputabile agli Stati membri che l’hanno costituita nei confronti dell’UE, secondo i principi generali che la giurisprudenza europea afferma in materia di mancato utilizzo dei finanziamenti erogati.

Desideriamo inoltre rimarcare che, per quanto riguarda appalti di lavori affidati da TELT, la legge italiana prevede la rinuncia dell’aggiudicatario degli appalti a qualunque pretesa, anche futura, connessa all’eventuale mancato o ritardato finanziamento dell’intera opera o di lotti successivi (Art. 2, co. 232 lett. c) legge n. 191 del 2009 (Finanziaria 2010) richiamata dal CIPE, con sua Delibera n. 67/2017. L’applicabilità della predetta normativa italiana ai rapporti contrattuali nascenti da procedure di gara regolate dalla legge francese discende dall’art. 3 della Legge di Ratifica 5 gennaio 2017, n. 1.

Conclusione

In conclusione, l’Italia dovrebbe giustificare politicamente e giuridicamente la necessità di rivedere gli impegni assunti in sede di Accordo con la Francia in ragione di due elementi:

  1. l’iniqua ripartizione dei costi, perché non basata sui km di proprietà del tunnel (Italia 12,5 km, Francia 45 km) ex art. 11 dell’Accordo del 2012 Torino-Lione: Ma quanto ci costi?

– infatti, l’impegno dell’Italia di finanziare il 57,9% dei lavori del tunnel di base (ex art. 18 dell’Accordo del 2012) è una iniqua contropartita finanziaria all’impegno, che la Francia ha già rinviato, di costruire a sue spese senza alcun finanziamento Ue una nuova linea ferroviaria di accesso al tunnel tra Lyon e Saint-Jean-de-Maurienne dotata di 33 km di tunnel a doppia canna, conformemente all’art. 4 del trattato dell’Accordo di Parigi 27 settembre 2011. Senza questa contropartita della Francia, l’Italia non avrebbe avuto alcun interesse a sottoscrivere alcun impegno, dato che insistono sul suo territorio solo 12,5 chilometri sul totale di 57,5 chilometri del tunnel di base,

– è legittimo che l’Italia rifiuti di finanziare la costruzione del tunnel di base di 57,5 km più della Francia senza alcuna contropartita dato che le è richiesta una partecipazione finanziaria superiore a quella della Francia come riequilibrio.

  1. – la previsione italiana di lotti costruttivi non funzionali, parte dei quali non dispone ancora di copertura finanziaria (come risulta dalla stessa Delibera CIPE n. 67/2017, cit.).

GUINÉE ÉQUATORIALE: MANDAT D’ARRÊT CONTRE 16 PERSONNES, DONT L’AVOCAT FRANÇAIS BOURDON ET UN DIGIGEANT DE ‘TRANSPARENCY FRANCE’, POUR ‘TERRORISME ET FINANCEMENT DE TERRORISME’ !

# WEBTV LA VOIX DE LA GUINEE EQUATORIALE/

SCOOP GUINEE EQUATORIALE

WLVDLGE - Bourdon mandat d'arrêt en ge (2019 01 26) FR

Les suites du coup terroriste des 26-27 décemlbre 2017 à Mongomo en Guiné Equatoriale, à la frontière camérounaise et en France :

16 mandats d’arrêt lancés à Malabo, dont Me Bourdon et un dirigeant de Transparency France, pour « terrorisme et financement de terrorisme » !

Les 16 personnes visées par le mandat d’arrêt sont soupçonnées d’être impliquées dans le financement d’une tentative de coup d’Etat contre le président Teodoro Obiang Nguema, qui aurait été déjouée fin 2017.

La Guinée équatoriale a lancé un mandat d’arrêt contre seize personnes, dont l’ex-président de la section française de l’ONG Transparency International et Me William Bourdon, l’avocat français dans l’affaire dite « des biens mal acquis ». Daniel Lebègue, ex-président de la section française de l’ONG anticorruption ‘Transparency International’, fait partie des personnalités visées par le mandat d’arrêt. Selon un communiqué officiel lu à la radio d’Etat, il est recherché pour « blanchiment de capitaux et financement du terrorisme ». Dans le viseur du tribunal de Malabo également, Me William Bourdon, l’avocat français en pointe dans l’affaire dite des biens mal acquis, et Salomon Abeso Ndong, un des dirigeants d’une des CORED (il y en a plusieurs rivales) en exil. Les autorités judiciaires équato-guinéennes invitent les 16 personnes recherchées à se rendre à Malabo pour comparaître de leur propre initiative.

Les personnes qui font l’objet du mandat d’arrêt sont soupçonnées d’avoir financé une tentative de coup d’Etat contre le président Teodoro Obiang Nguema en 2017. Selon le communiqué équato-guinéen, les personnes recherchées qui refuseraient de se rendre à Malabo seraient considérées comme des « rebelles ».

ME BOURDON ET LE MILLIARDAIRE GEORGES SORÖS DEJA ACCUSE LORS DU PROCES DE PARIS EN JUIN 2017

Le mercenaire anglais Simon Mann, impliqué dans une tentative de coup d’Etat en 2004 contre le président équato-guinéen Teodoro Obiang, a accusé en juin 2017 le millardaire américain Georges Soros et l’avocat de Transparency William Bourdon d’avoir voulu renverser le régime.

Simon Mann, 65 ans, était cité par la défense de Teodorin Obiang, fils du président équato-guinéen, jugé à Paris dans l’affaire des biens mal acquis, devant le tribunal correctionnel de Paris. Condamné à 34 ans de prison en Guinée équatoriale pour la tentative de coup d’Etat, Simon Mann a été gracié par le président Obiang puis libéré en 2009. « Je n’ai pas de preuve écrite », a-t-il averti avant de livrer son récit. A la barre, le sexagénaire en costume sombre a affirmé avoir en 2011 « averti » le président Obiang que le financier américain « George Soros et William Bourdon », ainsi que deux autres protagonistes du coup d’Etat raté de 2004, l’opposant en exil Severo Moto et l’homme d’affaires Ely Khalil, « avaient l’intention de renverser le gouvernement ».« J’ai expliqué au président que ça pouvait être par n’importe quel moyen », a-t-il poursuivi. Selon lui, le président Obiang lui a alors produit un courriel de 2007, « du bureau d’Ely Khalil à M. Bourdon, qui mettait en cause le comportement du vice-président », Teodorin Mangue Obiang Gnuema.

Selon Simon Mann, ceux qu’il a désignés envisageaient « toutes les options, y compris légales ». Questionné par la présidente, il a affirmé qu’il n’avait pas été payé pour sa déposition devant le tribunal, mais défrayé.

L’avocat de Teodorin Obiang, Me Emmanuel Marsigny, a ensuite versé aux débats le fameux courriel de 2007, expliquant qu’il l’avait obtenu car il se trouvait dans les pièces de la défense du CCFD Terre Solidaire, qui avait été poursuivi par le président équato-guinéen en diffamation …

LM – ECUATORIAL GUINEA TV /

WEBTV LA VOIX DE LA GUINEE EQUATORIALE/

2019 01 26

# EN SAVOIR PLUS :

* Voir aussi  sur ECUATORIAL-GUINEA-TV/

LUC MICHEL DIT TOUT SUR LES COMMANDITAIRES DU COUP TERRORISTE DE FIN DEC. CONTRE OBIANG GNUEMA MBSOGO

Sur https://vimeo.com/260780910

* Voir aussi sur EODE-TV/

LUC MICHEL:

AFFAIRE DITE ‘DES BIENS MAL ACQUIS’. COMPLOT CONTRE LA GUINEE

EQUATORIALE AU ‘PROCÈS’ DE PARIS

sur https://vimeo.com/198856065

* Voir sur EODE-TV/

LUC MICHEL:

LE COMPLOT CONTRE LA GUINEE EQUATORIALE ETABLI

(LES MASQUENT TOMBENT AU PROCES DIT ‘BIENS MAL ACQUIS’)

sur https://vimeo.com/223738032

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DESTABILISATION DU VENEZUELA (I) : LE COUP D’ETAT CONSTITUTIONNEL ABOUTISSEMENT DE DEUX DECENNIES D’AGRESSION U.S.

 

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Luc MICHEL pour EODE/

Quotidien géopolitique – Geopolitical Daily/

2019 01 26/
LM.GEOPOL - Venezuela I (2019 01 26) FR

« C’est l’heure des brasiers, et il ne faut voir que la lumière »

– José Marti

 Ce 25 janvier, Nicolas Maduro a qualifié Juan Guaido, le président putschiste pro-US de l’Adssemblée national qui s’est auto-proclamé président, d’une « marionnette dont les ficelles sont tirées par les Etats-Unis » tout en se disant prêt à s’asseoir à la table du dialogue avec lui. Le chef de l’opposition Juan Guaido s’est en effet autoproclamé mercredi 23 janvier en tant que « président en exercice » du pays (sic) et « a prêté serment » (resic) pendant une manifestation à Caracas.

COMPRENDRE LA TENTATIVE DE PUTSCH CONSTITUTIONNEL ORGANISEE PAR LES USA …

J’ai beaucoup analysé sur divers média la crise du Venezuela ces dernières heures.
Mon analyse qui résume tout est celle faite pour le ‘REPORTAGE’ de PRESS TV (Iran) ce 24 janvier :

* Voir sur PCN-TV/

PRESS TV (IRAN) INTERVIEWE LUC MICHEL:

LE PUTSCH CONSTITUTIONNEL AU VENEZUELA ET LE PLAN US POUR L’AMERIQUE LATINE

sur https://vimeo.com/313349600

La présentation de la Télévision iranienne francophone iranienne indique l’inquiétude que suscite le dernier putsch pro-américain organisé par Washington et Lima au sein des Pays du Bloc émergent de l’Organisation de Coopération de Shanghai (dirigé par Moscou et Pékin et dont Téhéran est membre), inquiétude partagée par beaucoup en Afrique.

Que dit PRESS TV ?

Qui titre « Venezuela : nouveau terrain d’affrontement des deux blocs » et dénonce « Le plan US pour l’Amérique latine » : « Plusieurs pays, dont l’Iran, la Russie, la Chine et la Syrie, ont réagi au coup d’État manqué contre le Venezuela. Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Bahram Qassemi, a condamné la tentative manquée de coup d’État au Venezuela au travers de laquelle ont été aperçues les mains de l’administration américaine.

Quelle est votre analyse sur ce qui se passe au Venezuela ?

Est-ce qu’après avoir provoqué le désordre au Moyen-Orient via les forces terroristes de Daech, les États-Unis ciblent à présent l’Amérique latine ?

COMME EN LIBYE OU EN SYRIE : COMMENT WASHINGTON VOUDRAIT TRANSFORMER LA CRISE EN INTERVENTION MILITAIRE ?

En refusant d’admettre la réélection du président Maduro, en apportant leur soutien politique et financier au « président par intérim » autoproclamé Juan Guaido, les Américains cherchent à créer une situation qui s’apparenterait à une guerre civile et ce, dans le strict objectif de justifier une action militaire contre le Venezuela, mais celui-ci a reçu le soutien de taille de l’Iran, de la Russie, de la Chine voire même de la Turquie.

Après que les États-Unis, qui convoitent le pétrole vénézuélien, ont reconnu le chef de l’opposition Juan Guaido, dans le cadre de leur énième tentative de déstabilisation à l’encontre d’un État qui refuse de se résigner à leurs diktats, le président vénézuélien Nicolas Maduro a déclaré, ce vendredi 25 janvier, « qu’il ne voyait aucune raison pour se retirer du pouvoir ». « Je suis vivant et en bonne santé. Je ne vois donc aucune raison pour démissionner », a déclaré Nicolas Maduro lors d’une conférence de presse.

Il a ensuite annoncé qu’un exercice militaire serait organisé du 10 au 15 février par les forces armées vénézuéliennes :

« Les forces armées de notre pays démontreront que personne ne peut attaquer le Venezuela. Cet exercice militaire devra prouver la capacité de nos forces à protéger le sol, les côtes et les rivières du Venezuela. L’armée de notre pays a la capacité de contrer tout ennemi impérialiste voulant s’infiltrer dans le sol vénézuélien » a réaffirmé le président légal du Venezuela. Il a souligné que « le peuple vénézuélien et les forces armées du pays empêcheraient les États-Unis de lancer un coup d’État dans le pays ». « Des millions de personnes, aux quatre coins du monde, savent parfaitement que le Venezuela est un pays démocratique et que la récente crise dans ce pays est alimentée par une tentative de coup d’État américaine », a déclaré Nicolas Maduro. Et d’ajouter : « Les États-Unis ont convoqué une réunion sur le Venezuela au Conseil de sécurité. Laissez la réunion avoir lieu ! On la saluera. C’est ce que nous voulons. Je vais demander au ministre des Affaires étrangères du pays de se rendre à New York pour défendre le Venezuela ».

# COMPRENDRE LE DOSSIER DU VENEZUELA :

PRES DE DEUX DECENNIES DE DESTABILISATION, DE COUPS D’ETAT ET DE « REVOLUTIONS DE COULEUR » RAMPANTES …

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

Géopolitique – Géoéconomie – Géoidéologie – Géohistoire –

Géopolitismes – Néoeurasisme – Néopanafricanisme

(Vu de Moscou et Malabo) :

PAGE SPECIALE Luc MICHEL’s Geopolitical Daily

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* Luc MICHEL (Люк МИШЕЛЬ) :

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EODE-TV https://vimeo.com/eodetv

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Tav, guerra finale della Lega a colpi di (vecchi) numeri

https://www.ilfattoquotidiano.it/in-edicola/articoli/2019/01/27/tav-guerra-finale-della-lega-a-colpi-di-vecchi-numeri/4927073/

I veri costi – Saltata ogni ipotesi di compromesso su un progetto “ridotto”, Salvini pronto a contestare l’analisi costi-benefici degli esperti di Toninelli
Tav, guerra finale della Lega a colpi di (vecchi) numeri

Non resta che la guerra finale: la Lega ha capito che non riuscirà a ottenere alcun compromesso dal Movimento Cinque Stelle sull’Alta velocità Torino Lione.

E così prepara le munizioni per contestare l’analisi costi e benefici (pare molto negativa) della commissione di esperti al ministero dei Trasporti appena il ministro Danilo Toninelli la pubblicherà a febbraio.

Per qualche giorno i leghisti avevano coltivato l’ipotesi di un “mini Tav” al posto di quello in costruzione. Ma poiché non era affatto mini – restava il tunnel principale e si risparmiavano soltanto 1,7 miliardi, a fronte di riduzioni consistenti anche dei benefici – e poiché i Cinque Stelle e i movimenti no Tav non hanno lasciato margini, la Lega ora prepara l’ultima trincea.

Ai giornali di ieri i leghisti hanno fatto filtrare di avere pronta una contro-analisi costi-benefici che sarebbe favorevole al Tav.

Possibile che in pochi giorni Salvini e soci abbiano fatto lo stesso lavoro che ha richiesto mesi al professor Marco Ponti e agli altri esperti riuniti da Toninelli?

Come spiega un importante leghista di governo, “non c’è un vero studio alternativo, ma stiamo raccogliendo documenti e dati per essere pronti quando l’analisi costi-benefici di Toninelli sarà pubblicata, per esempio abbiamo recuperato i dati dell’Osservatorio di palazzo Chigi sul Tav”.

È il solito organismo guidato dall’ingegner Paolo Foietta che in questi anni ha alimentato tutto il fronte pro-Tav.

Ma Ponti e gli altri esperti hanno cercato di prevenire le critiche e hanno basato la loro analisi costi-benefici proprio sui dati e le previsioni di traffico merci dell’Osservatorio, in modo che nessuno potesse contestare i numeri dello studio.

Tra Francia e Italia passano circa 42 milioni di tonnellate di merci ogni anno, solo 3,9 milioni via treno, in declino rispetto a 20 anni fa.

Finora per il Tav Torino-Lione sono stati spesi circa 1,4 miliardi: ne mancano altri 10.

Andare avanti costerebbe all’Italia almeno 3 miliardi (il 35% del tunnel di base, 8,6 miliardi secondo il costruttore Telt) più i due per il collegamento finale da parte italiana.

Dopo aver vagheggiato per anni miracolosi benefici – sempre più difficili da sostenere visto che il traffico merci e passeggeri con la Francia è stagnante – la Lega si prepara a contestare la stima dei costi effettivi dello stop ai lavori.

Nello scarno dossier leghista c’è anche un articolo di due economisti della Bocconi appena uscito su Lavoce.info, sito che in passato ospitava gli articoli di Ponti e del suo braccio destro Francesco Ramella molto critici sul Tav.

Oggi invece Massimo Tavoni e Marco Percoco (Politecnico di Milano e Bocconi) attaccano frontalmente il lavoro di Ponti e sostengono: “Le analisi costi-benefici sono difficili da fare e non è sorprendente avere casi di risultati discordanti, ma vista la rilevanza pubblica e l’acceso dibattito anche in seno al governo è utile un ulteriore approfondimento”.

Tavoni e Percoco sollevano un argomento che la Lega è già pronta a usare: quando le merci si spostano dalla strada (tir) alla ferrovia, lo Stato perde gettito fiscale dalle accise sui carburanti, ma – dicono Tavoni e Percoco – è sbagliato includere questo mancato introito tra i costi dell’opera perché le accise sono molto superiori al danno ambientale che devono compensare (l’inquinamento) e quindi sono solo tasse che non c’entrano con l’analisi costi- benefici dell’opera. Applicando questa correzione all’analisi sul Terzo Valico di Genova – bocciato dalla commissione Ponti ma promosso dal governo i costi scendono di 900 milioni e l’analisi diventa positiva.

Ma Ponti e soci hanno prevenuto l’obiezione e nel loro studio hanno considerato il fatto che il danno per lo Stato da mancato gettito è un beneficio per i contribuenti, che pagano meno tasse, quindi i due effetti si elidono e l’obiezione di Tavoni e Percoco non è rilevante.

Ma la battaglia finale dei numeri è appena cominciata.

Costi e benefici delle nuove linee ferroviarie: chi ha ragione?

25.01.19

Le analisi costi-benifici danno importanti informazioni, ma non possono sostituirsi alle decisioni politiche. Anche perché sono tanti i parametri che ne influenzano i risultati. E a condurle dovrebbero essere gruppi di esperti con competenze diverse.

La nuova analisi costi-benefici sulla Tav

Il documento sull’analisi costi-benefici della Tav non è ancora stato reso noto, ma si è già saputo che l’esito è negativo, come lo è stato per quella relativa al Terzo valico, nonostante le precedenti fossero positive. Le analisi costi-benefici sono difficili da fare e non è sorprendente avere casi di risultati discordanti, ma vista la rilevanza pubblica e l’acceso dibattito anche in seno al governo è utile un ulteriore approfondimento (si veda quiqui e qui).

Le nuove analisi costi-benefici sono state condotte da un gruppo di lavoro incaricato dal ministero delle Infrastrutture e dei Trasporti, composto dal coordinatore Marco Ponti (architetto, ex professore ordinario del Politecnico di Milano) e altri quattro membri: Paolo Beria (ingegnere civile ed ex studente di dottorato di Ponti, professore associato del Politecnico di Milano), Alfredo Drufuca (amministratore delegato di Polinomia srl, laureato in ingegneria al Politecnico di Milano), Riccardo Parolin (architetto ed esperto presso la società di consulenza TRT di cui Ponti è direttore) e Francesco Ramella (ingegnere con un dottorato di ricerca in trasporti presso il Politecnico di Torino e autore con Ponti di un recente libro sull’analisi dei progetti infrastrutturali).

Nell’ipotesi che la metodologia seguita per il Terzo valico sia la stessa applicata per la Tav, come sottolineato nello stesso documento, ci concentriamo sulla prima per alcune considerazioni. In quello studio si rimarca come l’unica precedente analisi costi-benefici del 2003 (per la Torino-Lione ne sono state fatte molte di più) avesse aspetti problematici, incluse le stime di domanda e la metodologia, e facesse ipotesi poco prudenziali. La nuova analisi calcola tutte le voci principali, compresi il surplus del consumatore e del produttore, le esternalità ambientali, di incidentalità e di congestione. Il documento sviluppa anche tre scenari principali.

Le accise sono costi?

I risultati mostrano che i costi a finire dell’opera (che considerano quelli già sostenuti nel passato) superano i benefici per un valore attuale netto (negativo) di circa 1,5 miliardi di euro, che salgono a 2,3 nello scenario pessimistico, mentre in quello ottimistico i benefici sono marginalmente superiori ai costi. Dal dettaglio dei costi e benefici emerge in maniera evidente come siano le riduzioni delle accise su benzina e gasolio e dei pedaggi le voci di costo principale (oltre ovviamente ai costi d’investimento). A seguito dello spostamento da gomma a ferrovia, le entrate fiscali delle accise si ridurrebbero di un valore stimato pari a circa 900 milioni di euro nello scenario centrale.

Citando un documento di un progetto europeo del 2006, il gruppo di lavoro considera queste voci come costi. Si tratta tuttavia di una prassi non condivisa da tuttiNel manuale sull’analisi costi-benefici di E. J. Mishan e Euston Quah (pag. 240) le correzioni dell’onere fiscale in eccesso sono considerate un errore. Le linee guida della Commissione europea, poi, chiariscono che le tasse sono trasferimenti e non costi. L’eccezione è quando le tasse indirette sono intese come correzioni di esternalità. Ma a parte che le accise vanno ben oltre il costo marginale ambientale, il conteggio delle esternalità ambientali è già contenuto nelle analisi. Un discorso simile si può fare per i pedaggi, che spesso vengono considerati trasferimenti.

La questione è complessa ed effettivamente molto dibattuta in letteratura. Ha tuttavia un impatto significativo sui risultati dell’analisi costi-benefici, come mostrato nella figura 1. Partendo dal risultato base, correggendo per le accise, il valore attuale netto si dimezza e se si fa lo stesso anche per i pedaggi, diventa positivo. Un ribaltamento dell’esito.

I fattori di incertezza

Come è possibile immaginare, vi sono molti altri parametri che possono influenzare i risultati dell’analisi. Purtroppo, l’analisi costi-benefici del Terzo valico non contiene un’analisi di sensitività dettagliata. Risulta pertanto difficile sapere quanto i risultati siano robusti o sensibili a particolari ipotesi.

A ciò vanno aggiunte altre questioni che introducono ulteriore incertezza nell’analisi: 1) 390 milioni di euro dei costi di investimento (pari a 6,2 miliardi) hanno una natura squisitamente finanziaria e, come tali, non dovrebbero trovare spazio in un’analisi di benessere sociale; 2) nel calcolare i costi evitati per le autovetture si ipotizza l’esistenza di “costi percepiti”, tra cui l’ammortamento, la cui inclusione in un’analisi di convenienza sociale non è scontata; 3) la stima degli effetti (in riduzione) della congestione stradale non è stata condotta in maniera originale con uno studio di traffico specifico come richiederebbe la situazione; 4) il documento non riporta analisi di traffico e di valore del tempo risparmiati specifiche del progetto, ma si limita ad alcune considerazioni non sempre applicabili al caso italiano, al punto che nessun progetto di miglioramento infrastrutturale verrebbe non solo finanziato, ma nemmeno considerato e valutato; 5) gli autori propongono un valore del tempo delle merci pari a 50 centesimi di euro per tonnellata all’ora, che sembrerebbe essere oltre un quarto rispetto alla pratica comune.

Le analisi costi-benefici sono strumenti informativi importanti, ma non sostituiscono la scelta politica. Dal loro esito non dovrebbero dunque dipendere decisioni politiche, la cui responsabilità dovrebbe gravare interamente su chi le prende. In ogni caso, vista l’incertezza sui risultati di cui qui si è dato parziale conto, sarebbero opportune ulteriori analisi, anche di robustezza. E le commissioni che le effettuano dovrebbero essere scelte per bandi pubblici e dovrebbero contenere una varietà di competenze, incluse quelle economiche.

Figura 1 – Valore attuale netto (milioni di euro) del progetto del Terzo Valico nello scenario base (colonna di sinistra). Le due colonne di destra mostrano come il valore attuale netto cambi (fino a diventare positivo) quando le accise e i pedaggi vengano considerati come trasferimenti e non come costi.

Fonte: elaborazione degli autori dai dati dell’analisi del gruppo di lavoro.

23/03 Roma. Appello “Marcia per il clima, contro le grandi opere inutili”

http://www.notav.info/post/23-03-roma-appello-marcia-per-il-clima-contro-le-grandi-opere-inutili/

notav.info

post27 Gennaio 2019 at 13:27

Si è svolta ieri pomeriggio presso l’Università la Sapienza di Roma una partecipatissima assemblea nazionale in vista della manifestazione del 23 marzo prossimo che vedrà scendere in piazza nella capitale comitati, associazioni, movimenti e singoli che da anni si battono contro le Grandi Opere Inutili e Imposte e per l’inizio di una nuova mobilitazione contro i cambiamenti climatici e per la salvaguardia del Pianeta.

Abbiamo da subito creduto in  questo percorso, iniziato a fine settembre a Venezia e che il 17 novembre ha avuto proprio a Venaus un momento importantissimo di confronto e rilancio.

Ieri centinaia di persone, dal nord al sud Italia, con entusiasmo ed idee hanno rafforzato i contenuti dell’assemblea, ponendosi obiettivi sempre più alti, volendo rendere più esplicito il legame tra la lotta contro le Grandi Opere Inutili ed un modello di sviluppo che sempre di più spinge l’intero pianeta verso la catastrofe ecologica.

Torniamo in Valsusa carichi di entusiasmo, pronti a metterci nuovamente in marcia.

Qui di seguito trovate l’appello prodotto dall’assemblea:

MARCIA PER IL CLIMA, CONTRO LE GRANDI OPERE INUTILI 
non serve il governo del cambiamento, serve un cambiamento radicale
#siamoancoraintempo

Chi siamo
Siamo i comitati, i movimenti, le associazioni e i singoli che da anni si battono contro le grandi opere inutili e imposte e per l’inizio di una nuova mobilitazione contro i cambiamenti climatici e per la salvaguardia del Pianeta. Abbiamo iniziato questo percorso diversi mesi fa, ritrovandoci a Venezia lo scorso settembre, poi ancora a Venaus, in Val Susa e in molti altri luoghi, da nord a sud, dando vita ad assemblee che hanno raccolto migliaia di partecipazioni. Siamo le donne e gli uomini scesi in Piazza lo scorso 8 dicembre a Torino, a Padova, Melendugno, Niscemi, Firenze, Sulmona, Venosa, Trebisacce e in altri luoghi.
Dall’assemblea di Roma del 26 gennaio lanciamo l’invito di ritrovarsi a Roma il 23 Marzo per una manifestazione nazionale che sappia mettere al centro le vere priorità del paese e la salute del Pianeta.

Grandi opere e cambiamento climatico
Il modello di sviluppo legato alle Grandi Opere inutili e imposte non è solo sinonimo, come denunciamo da anni, di spreco di risorse pubbliche, di corruzione, di devastazione e saccheggio dei nostri territori, di danni alla salute, ma è anche l’incarnazione di un modello di sviluppo che ci sta portando sul baratro della catastrofe ecologica.
Il cambiamento climatico è uscito da libri e documentari ed è venuto a bussare direttamente alla porta di casa nostra.
Nel nostro paese questa situazione globale si declina in modo drammatico. La mancanza di manutenzione delle infrastrutture, la corruzione e la cementificazione selvaggia seminano morti e feriti a ogni temporale, a ogni ondata di maltempo, a ogni terremoto.
Il cosiddetto “governo del cambiamento“ si è rivelato essere in continuità con tutti i precedenti, non volendo cambiare ciò che c’è di più urgente: un modello economico predatorio, fatto per riempire le tasche di pochi e condannare il resto del mondo a una fine certa. Le decisioni degli ultimi mesi parlano chiaro.
Mentre ancora si tergiversa sull’analisi costi benefici del TAV in Val di Susa, il governo ha fatto una imbarazzante retromarcia su tutte le altre grandi opere devastanti sul territorio nazionale: il TAV terzo Valico, il TAP e la rete SNAM, le Grandi Navi a Venezia, il MOSE, l’ILVA a Taranto, il MUOS in Sicilia, la Pedemontana Veneta, oltre al al tira e molla sul petrolio e le trivellazioni , con rischio di esiti catastrofici nello Ionio, in Adriatico, in Basilicata ed in Sicilia.

Giustizia sociale è giustizia climatica
Le catastrofi naturali non hanno nulla di naturale e non colpiscono tutti nella stessa maniera. Lo vediamo purtroppo quotidianamente e chi sta in basso, infatti, paga i costi del cambiamento climatico e della mancata messa in sicurezza dei territori.
È vero fuori dai grandi centri cittadini, dove la devastazione ambientale mangia e distrugge la natura, ma è vero anche negli agglomerati urbani, luoghi sempre più inquinati in cui persino i rifiuti diventano un business redditizio.
È vero non solo dal nord al sud dell’Italia, ma anche dal nord al sud del nostro pianeta.
Milioni di migranti climatici sono costretti a lasciare le proprie terre ormai rese inabitabili e vengono respinti sulle coste europee.
Nel nostro paese terremotati e sfollati vivono in situazione precarie, carne da campagna elettorale mentre le risorse per la ricostruzione non sono mai la priorità per alcuna compagine politica.
Quando le popolazioni locali, in Africa come in Europa, provano ad opporsi a progetti tagliati sui bisogni di multinazionali e lobby cementifere la reazione dello Stato è sempre violenta e implacabile.
L’unica proposta “verde” dei nostri governanti è di scaricare non soltanto le conseguenze ma anche i costi della crisi ecologica su chi sta in basso.
Noi diciamo che se da una parte la responsabilità di rispondere al cambiamento climatico è collettiva e interroga i comportamenti di ciascuno di noi, dall’altra siamo convinti che i costi della transizione ecologica debbano ricadere sulle spalle dei ricchi, in primis le lobbies che in questi anni si sono arricchite accumulando profitti, a discapito della collettività e dei beni comuni.

Il sistema delle grandi opere inutili e il capitalismo estrattivo sono altrettante espressioni del dominio patriarcale che sollecita in maniera sempre più urgente la necessità di riflessione sul legame tra donne, corpi e territori e sarà uno dei temi portato nelle piazze dello sciopero transfemminista globale dell’8 marzo.

E’ giunto il momento di capire di cosa il nostro paese e il nostro pianeta hanno davvero bisogno.
Si potrà finalmente cominciare a dare priorità alla lotta al cambiamento climatico, cessando così di contrapporre salute e lavoro come invece è stato fatto a Taranto, dove lo stato di diritto è negato e chi produce morte lo può fare al riparo da conseguenze legali solo:
– riducendo drasticamente l’uso delle fonti fossili e del gas e rifiutando che il paese venga trasformato in un Hub del gas
– negando il consumo di suolo per progetti impattanti e nocivi e gestendo il ciclo dei rifiuti in maniera diversa sul lungo periodo (senza scorciatoie momentanee) con l’obiettivo di garantire la salute dei cittadini
– praticando con rigore e decisione l’alternativa di un modello energetico autogestito dal basso, in opposizione a quello centralizzato e spinto dal mercato
– abbandonando progetti di infrastrutture inutili e dannose e finanziando interventi dai quali potremo trarre benefici immediati (messa in sicurezza idrogeologica e sismica dei territori , bonifiche, riconversione energetica, educazione e ricerca ambientali)

E’ urgente garantire il diritto all’acqua pubblica, una nuova Strategia Energetica Nazionale riscritta senza interessi delle lobbies, la messa a soluzione delle scorie nucleari, la riduzione delle spese militari, il disarmo nucleare.

I nostri territori, già inquinati da discariche fuori controllo, inceneritori e progetti inutili, sono oltremodo distrutti da monoculture e pesticidi che determinano desertificazione e minano la possibilità di una sempre maggiore autodeterminazione alimentare.

E’ necessario che le risorse pubbliche vengano destinate ad una buona sanità, alla creazione di servizi adeguati, al sostegno di una scuola pubblica e di università libere e sganciate dai modelli aziendalisti, ad un sistema pensionistico decoroso, ad una corretta politica sull’abitare e di inclusione della popolazione migrante con pari diritti e dignità.

Appuntamenti verso il 23 marzo (agenda ancora in aggiornamento):
27 gennaio: Vicenza. Assemblea regionale dei comitati veneti
2 febbraio: Roma. Rete Stop TTIP Assemblea nazionale
2 febbraio: Napoli. Assemblea Regionale Stop Biocidio
3 febbraio: Termoli. Assemblea di movimenti e comitati in lotta contro la deriva petrolifera.

23 febbraio: Tito. Assemblea coi sindaci No Triv della Basilicata e della Campagna.
Fine febbraio (data in definizione): Napoli. Prossima assemblea nazionale verso il 23 marzo.
8 marzo: Non una di Meno – Sciopero Globale Transfemminista.
8-9-10 marzo: Roma. A Sud. Tavoli su giustizia climatica, energia, ecofemminismo.
15 marzo: Global Climate Strike
22 marzo: Roma. Giornata su alimentazione agroecologia a cura di Genuino Clandestino
15-31 marzo: Fabriano. Festival Terre Altre.

Siamo ancora in tempo per bloccare le grandi opere inutili e inutili
Siamo ancora in tempo per contrastare il cambiamento climatico
Siamo ancora in tempo per decidere NOI il nostro futuro!

GIORNATA DELLA MEMORIA

http://fulviogrimaldi.blogspot.com/2019/01/giornata-della-memori.html

MONDOCANE

DOMENICA 27 GENNAIO 2019

Il maresciallo Rodolfo Graziani massacra la Libia, occupata e seviziata dal 1911, chiude in campi di concentramento (i primi!) metà della popolazione e uccide seicentomila libici, tra civili e partigiani della resistenza, un terzo della popolazione, brucia centinaia di villaggi, bombarda centri abitati e carovane, avvelena i pozzi, impicca centinaia di libici, tra cui l’ottantenne leader della Resistenza, Omar al Mukhtar.

Gli Stati Uniti, dal 1945 ad oggi, iniziando con l’invasione della Corea e poi del Vietnam e poi proseguendo con la storica media di una guerra d’aggressione all’anno, con colpi di Stato, guerre civili innescate ad arte, sanzioni genocide, uccidono 50 milioni di persone nel mondo. Nel solo Vietnam sono uccisi 3 milioni di civili, mentre gli effetti del napalm e dell’agente Orange continuano a far nascere e morire decine di migliaia di bambini deformi.

Re Leopoldo del Belgio, occupante colonialista del Congo, provoca la morte di 20 milioni di congolesi. Il genocidio prosegue nel ‘900 per opera di fantocci dell’Occidente e delle multinazionali che controllano i territori delle risorse mineraria attraverso l’intervento del protettorato franco-statunitense del Ruanda e l’uso di milizie tribali.

Mussolini, nella guerra d’Etiopia, fa uccidere da Graziani e Badoglio 280mila abissini, 5 milioni di buoi, 7 milioni di ovini,1 milione di cavalli, 700mila cammelli. Vengono bruciate 2000 chiese e distrutte 525mila case e capanne. L’Italia perde 4.350 militari coscritti o volontari.

Per assicurare all’Italia Trento e Trieste, che l’Austria è pronta a cedere se l’Italia non dovesse entrare in guerra, e colonizzare il Sud Tirolo, il potere industriale e bancario italiano commissiona al governo Salandra e al re Vittorio Emanuele III l’ingresso in guerra. Cadono 600mila italiani, perlopiù contadini e operai, molti fucilati dai propri ufficiali. Scompare una generazione.

Nella guerra d’Algeria il regime colonialista francese rinchiude 3 milioni di algerini in campi di concentramento della tortura e dello stupro. 1 milione di algerini, su 10 milioni scarsi di abitanti. viene ucciso.

Un milione di antinazisti tedeschi vengono trucidati dal Reich tra il 1933 e il 1940.

Vogliamo parlare di Palestina 1945-2019?

Ci fermiamo qui, con un pensiero al bambino che ogni 3 secondi muore di fame e malattia nel mondo per il modo di gestire l’umanità da parte dell’Occidente.

Pubblicato da Fulvio Grimaldi alle ore 09:33

Piemonte, la fanta alleanza Pd-Fi in nome della Tav

https://ilmanifesto.it/piemonte-la-fanta-alleanza-pd-fi-in-nome-della-tav/

25 genn 19 Manifesto 

Grandi opere. Circola un sondaggio in vista delle regionali che sponsorizza le larghe intese in nome della grande opera. Le “madamin” negano la maternità dell’operazione, che potrebbe chiamarsi “l’onda”

Mauro Ravarino

In Piemonte si avvicinano le elezioni regionali. E, mentre gli schieramenti si definiscono e il Tav egemonizza il dibattito politico, aleggia un sondaggio segreto commissionato per valutare se una lista centrista Sì Tav – promossa da alcune delle organizzatrici delle due manifestazioni a favore della Torino-Lione, magari dal nome «L’Onda» – possa far nascere un’alleanza tra Forza Italia e Pd.

Attualmente i due partiti, in crisi di consensi, sono su fronti opposti in Regione (i dem guidano la maggioranza) ma sono entrambi all’opposizione a livello nazionale.

Si tratta di un’alleanza da fantapolitica? Forse. Non sembrerebbero, infatti, all’orizzonte nuovi patti del Nazareno. Però, c’è qualcuno che valuta questa opzione, come testimonia il sondaggio commissionato a Ipsos. Ma i protagonisti, interpellati, negano sia in campo una «lista ponte».

Non è nelle possibilità per l’attuale governatore, Sergio Chiamparino, candidato del centrosinistra impegnato a organizzare l’assemblea «Sì al Piemonte del Sì». Sì al Tav e allo sviluppo.

In antitesi a chi, anche nella sua attuale maggioranza, ha sostenuto il movimento No Tav o posto dubbi sulla grande opera (Leu/Sinistra italiana), assurta ormai a simulacro del dibattito non solo piemontese.

Tra i tifosi del Sì, uno degli uomini che più si è esposto negli ultimi tre mesi è l’ex sottosegretario ai Trasporti di Forza Italia Mino Giachino, che proprio nelle ultime ore ha registrato l’associazione «Sì Lavoro Sì Tav. Movimento per la crescita» con l’idea di «non sprecare il grande consenso raccolto» e trasformarla in una lista civica. È quindi lui l’uomo dell’Onda di cui si parla nel sondaggio Ipsos?

«No. Chiamparino ha perso tempo. Il nostro naturale alleato è il centrodestra con la Lega, che mai voterebbe contro la Tav. Non mi basta aver portato tutta questa gente in piazza. La vittoria sarà raggiunta quando avrò fatto cambiare idea al governo. Abbiamo dalla nostra parte la popolazione italiana che è favorevole all’opera per il 72%, prima delle due manifestazioni Sì Tav lo era solo al 50%».

Qualcuno vede Giachino già futuro assessore ai Trasporti di una giunta di centrodestra capitanata ancora da non si sa chi.

Fino a pochi giorni fa il più accreditato sembrava l’europarlamentare di Forza Italia Alberto Cirio, con qualche mal di pancia leghista. Su di lui pesa l’inchiesta Rimborsopoli. In caso di rinvio a giudizio, la sua candidatura franerebbe.

Se a contemplare l’opzione «larghe intese» non sono ufficialmente né Chiamparino né Giachino, lo saranno le sette professioniste che hanno animato la piazza pro Tav?

Anche loro negano. «Dopo le manifestazioni ci siamo prese una pausa, abbiamo ripreso a lavorare: gennaio, essendo tutte professioniste, è un mese di scadenze importanti», spiega Patrizia Ghiazza.
Il sondaggio è senza padri, quel che certo è che le madamin siano corteggiatissime dalla neonata «Grosse Koalition» Sì Tav.

I Cinque stelle candidano, invece, il consigliere uscente ed ex capogruppo Giorgio Bertola.

A sinistra, infine, sono ancora troppe le incertezze.