LE PROJET GEOPOLITIQUE ET GEOECONOMIQUE DE LA CHINE EN AFRIQUE (ZOOM AFRIQUE, PRESS TV,

Le géopoliticien Luc MICHEL analyse la Géopolitique chinoise, qui sous-tendait le Sommet Chine-Afrique à Pékin début septembre, pour PRESS TV (Téhéran) :

* Voir sur PANAFRICOM-TV/

LUC MICHEL SUR LE ‘ZOOM AFRIQUE’ DE PRESS TV (IRAN) DU 3 SEPT. 2018 :

QUEL EST LE PROJET GEOPOLITIQUE ET GEOECONOMIQUE DE LA CHINE EN AFRIQUE ?

Sur https://vimeo.com/290664366

* Le IIIe sommet du Forum sur la coopération sino-africaine s’est tenu les 3 et 4 septembre à Pékin sur le thème « La Chine et l’Afrique :

communauté de destin et partenariat mutuellement profitable ».

Luc MICHEL, géopoliticien qui défend, à la fois en synergie et en syncrétisme, les visions continentales du Néoeurasisme et du Néopanafricanisme, nous résume quelle est la vision de la Géopolitique vue de Pékin sur l’Afrique et sur le concept Eurasie-Afrique, et les projets géoéconomiques chinois, notamment avec les « nouvelles Routes de la Soie ». Il explique aussi la vision de la Géopolitique vue de Pékin sur l’Afrique et le concept géopolitique de « l’Axe Eurasie-Afrique » …

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POURQUOI LONDRES NE CRAINT PAS LE BREXIT ET ENTEND RESTER UNE DES CAPITALES DU MONDE (INTRODUCTION À LA GÉOPOLITIQUE DE L’IMPÉRIALISME BRITANNIQUE III)

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Luc MICHEL pour EODE/

Quotidien géopolitique – Geopolitical Daily/

2018 10 23/

LM.GEOPOL - Imperialisme britannique III londres brexit (2018 10 23) FR 5 (vII)

« Au-delà des compétences du poumon financier britannique et de l’usage mondial de l’anglais, Londres a l’expérience des crises et a su se relever d’incendies, de révolutions et de guerres »

– AFP (ce 22 oct.).

J’ai analysé la place spéciale de Londres au cœur de l’impérialisme britannique. Comment Londres explique l’expansion mondiale britannique, dont elle a été la clé, et pourquoi la perte de l’empire n’a pas empêché la City de rester une puissance économique et financière mondiale, l’une des capitales du monde occidentalisé et, avec New-York, l’une des deux capitales économiques de l’Empire anglo-saxon passé sous direction américaine entre 1917 et 1943 :

Voir sur LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY/ INTRODUCTION À LA GÉOPOLITIQUE DE L’IMPÉRIALISME BRITANNIQUE (II): LE ROLE ET LA PLACE DE LONDRES …

Sur http://www.lucmichel.net/2018/06/26/luc-michels-geopolitical-daily-introduction-a-la-geopolitique-de-limperialisme-britannique-ii-le-role-et-la-place-de-londres/

Et c’est cette force et ce dynamisme de la City qui font que Londres ne craint pas le Brexit et ses conséquences ! « Même pas peur du Brexit ! La City de Londres est sûre de sa force », titrait l’AFP hier …

« ILS EN SONT SURS: LA CITY VAINCRA »

« Guildhall, coeur du principal centre financier d’Europe. Les dirigeants de ce haut lieu de la puissance londonienne regrettent les départs d’emplois au compte-gouttes provoqués par le Brexit. Mais ils en sont sûrs: la City vaincra ».

L’AFP Cite un exemple parlant :

« Comme près de 500.000 Londoniens, Christopher Hayward vient tous les jours travailler dans la City, centre névralgique dont la fondation remonte à la conquête romaine il y a près de 2.000 ans. En sortant du métro, il marche à l’ombre de gratte-ciel comme la “Rape à fromage” ou le “Talkie-Walkie” construits récemment – une révolution dans ce quartier historique – et frôle d’innombrables grues en plein travail.

Il traverse une ou deux artères flanquées de bureaux, longe une allée étroite bordée de pubs aux enseignes vintages puis entre à Guildhall.

Ce majestueux bâtiment plusieurs fois centenaire résonne encore des cris d’effroi poussés le soir du référendum favorable au Brexit, une perspective abhorrée par les milieux d’affaires britanniques inquiets de ses répercussions économiques. “On s’est inquiété sur le moment de perdre des dizaines voire des centaines de milliers d’emplois. Mais ce n’est pas arrivé, on est en train d’en perdre quelques milliers tout au plus” pour l’ensemble de la capitale, confie à l’AFP M. Hayward, président du comité d’urbanisme de la City of London.

LA CAPITALE BRITANNIQUE CONTINUE DE PARTAGER AVEC NEW YORK LE SOMMET ENVIE DE LA HIERARCHIE FINANCIERE MONDIALE

Partis de la City ou de l’autre quartier d’affaires londonien de Canary Wharf vers l’Europe ou ailleurs, ils représentent peu au regard de 800.000 professionnels de la finance à Londres (banque, assurance, gestion d’actifs, services juridiques et de consulting). La capitale britannique continue de partager avec New York le sommet envié de la hiérarchie financière mondiale. D’après le classement Z/Yen, ces deux leaders devancent les centres asiatiques de Hong Kong, Singapour, Shanghai et Tokyo. “Pour nous, le défi ne vient pas des autres centres européens mais plutôt de New York ou Singapour”, sourit M. Hayward.

L’UE VEUT PRENDRE LA PLACE DE LONDRES :

UN PARI LOIN D’ETRE GAGNE

Les places européennes qui s’échinent depuis deux ans à attirer des candidats au départ de Londres sont derrière et le reconnaissent: « L’idée que massivement, la place de Londres va se déplacer vers une autre place sur le continent, ça ne va pas arriver », admet Marie Célie Guillaume, la cheffe de Paris La Défense.

Entre l’été 2017 et l’été 2018, Londres est arrivée en tête pour l’attraction des investissements internationaux dans l’immobilier – 25 milliards de dollars, deux fois plus que sa suivante Hong Kong, d’après une étude de Cushman & Wakefield. Les investisseurs indiens, chinois ou japonais y ont dépensé presque 50% de plus. « Londres est vue comme un placement sûr et cela nourrit la demande des entreprises qui veulent une place dans la City », se réjouit M. Hayward.

UN PARADIS FISCAL CENTRE SUR LA CITY ?

Outre son large vivier de talents internationaux et ses efforts pour développer une vie culturelle et nocturne, l’un des points forts de la City réside dans ses normes réglementaires et fiscales amicales pour les entreprises au Royaume-Uni.

Dans son récent livre “Le Brexit va réussir”, Marc Roche, correspondant du Monde à Londres pendant 25 ans, affirme que ces atouts vont s’amplifier. “Outre-Manche, seuls les revenus des riches étrangers rapatriés au Royaume-Uni et non l’ensemble de leur patrimoine sont taxés. Gageons qu’en dehors de l’UE, le fisc britannique saura traiter ses hôtes fortunés et leur cagnotte avec encore plus de respect”, écrit-il. “Demain, les investissements des riches Proches-Orientaux, Russes ou Chinois dans l’immobilier londonien auront encore moins de compte à rendre sur la provenance des fonds que ce n’est le cas aujourd’hui”, prédit ce journaliste.

Plusieurs grandes fortunes britanniques se sont d’ailleurs prononcées pour le Brexit, comme moyen d’échapper à la tutelle jugée tatillonne de Bruxelles. “Ca va faire du bien, ça va obliger tout le monde à travailler sur ce qu’on sait faire” dans la City, glisse à l’AFP l’une d’elles, Stephen Lansdown, fondateur d’un géant financier coté à l’indice vedette de la Bourse de Londres.

« Dans son histoire, la City a connu beaucoup de hauts et de bas et s’en est toujours sortie. Pourquoi ? Parce qu’elle sait s’adapter et prendre le problème par le bon bout », soutient Christopher Hayward …

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

Géopolitique – Géoéconomie – Géoidéologie – Géohistoire – Géopolitismes – Néoeurasisme – Néopanafricanisme (Vu de Moscou et Malabo) :

PAGE SPECIALE Luc MICHEL’s Geopolitical Daily https://www.facebook.com/LucMICHELgeopoliticalDaily/

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* Luc MICHEL (Люк МИШЕЛЬ) :

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* EODE :

EODE-TV https://vimeo.com/eodetv

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L’ORIENT COMPLIQUE : COMMENT ERDOGAN JOUE LA CARTE KASHOGGI POUR RENEGOCIER AVEC TRUMP ET FAIRE AVANCER SON PROJET GEOPOLITIQUE NEO-OTTOMAN !?

 

LM DAILY / 2018 10 22/

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

 « Il est approprié de dire que l’ordre mondial est mort ici avec Khashoggi. Je redoute ce qui suivra par la suite »

– Thue Guardian, Londres, ce 21 oct.)
ART.COMPL.GEOPOL - Erdogan vs saouds (2018 10 22) FR (2)

Dans un Débat sur Press TV, ce 14 octobre, j’analysais comment l’Affaire Kashoggi, que je qualifiais de « dossier hautement géopolitique », n’était pas un bras de fer à deux parties : Turquie versus Saouds et Trump versus Ben Salman, mais en réalité une triple confrontation, où la principale est celle entre Erdogan et Trump. Et je pronostiquais que le président Turc allais utiliser le meurtre du lobbyiste saoudien, « pas un crime politique mais une faute majeure de Ben Salman » (pour paraphraser Tayllerand), comme un atout face à Trump :

Voir sur PCN-TV/

PRESS TV DEBAT AVEC LUC MICHEL ET ROBERT BIBEAU :

TURQUIE – LES DESSOUS DE L’AFFAIRE KHASHOGGI

(14 OCTOBRE 2018)ADULTE

sur https://vimeo.com/295247195

Des analystes arabes partagent mon analyse dans les médias syriens et iraniens de ce week-end sur l’Affaire Khashoggi, mais aussi sur l’influence qu’elle va avoir pour Erdogan sur la non-application des accords de Sotchi sur Idlib …

# COMMENT L’AFFAIRE KASHOGGI A CHANGE LA VISION TURQUE DES ACCORDS DE SOTCHI :

« LA TURQUIE JOUERAIT LA CARTE KHASHOGGI POUR SE RAPPROCHER DES USA » (PRESS TV, IRAN, 21 OCT. 2018)

Je partage bien entendu l’analyse de Ali Maqsoud, expert militaire syrien :

« La Turquie tente d’exploiter le dossier Khashoggi à des fins politiques pour fourvoyer l’opinion publique et marginaliser l’accord de Sotchi », comment le colonel retraité de l’armée syrienne et expert des questions militaires Ali Maqsoud, qui s’est penché sur les stratégies suivies par les parties concernées dans le cadre de l’accord de Sotchi ainsi que les causes du soutien du gouvernement syrien à cet accord.

« L’accord de Sotchi conclu entre les présidents russe et turc est intervenu sur la base des principes précis et des conditions qui garantissaient en fait sa mise en application. Le gouvernement syrien y a donné son aval parce que cet accord présentait des solutions politiques à la crise humanitaire à Idlib », a dit cet expert syrien. Selon ce dernier, une autre raison du feu vert donné par Damas résidait « dans le fait qu’en vertu de l’accord de Sotchi, une zone de désescalade, désemplie d’armes et de terroristes, a été créée à Idlib, ce qui garantissait le retour de la souveraineté syrienne dans cette ville ».

En effet, par l’acceptation de l’accord de Sotchi, « Damas voulait empêcher la réalisation du complot occidental, piloté par les États-Unis, qui cherchait à inciter les « Casques blancs », affiliés au Front al-Nosra, à employer des armes chimiques à Idlib pour enfin jeter sur le dos de Damas la responsabilité de l’attaque chimique ».

  1. Maqsoud a ajouté que « la stratégie de la Russie consistait à se servir de l’accord de Sotchi comme un « facteur de dissuasion » qui empêcherait la Turquie de rallier les pays occidentaux dans cet objectif funeste ». « Ledit accord assurait également la sécurité de la Turquie. Puisqu’en cas de danger, la ville d’Idlib était le dernier bastion et repaire des groupes terroristes. Les pays occidentaux savaient très bien que toute opération militaire dure et foudroyante à Idlib serait lourde de conséquences et marquerait la fin de la présence des terroristes à Idlib. D’autant plus que le Front al-Nosra bénéficie d’un large soutien des pays occidentaux et dans le cas où la géographie syrienne ne représente pas un endroit sûr pour ce groupe terroriste, les terroristes n’en finiront pas leurs tentatives pour aller vers les pays européens, ce qui constituerait une grande menace pour ces pays », a encore affirmé l’expert syrien.

Le colonel retraité de l’armée syrienne a souligné que la Turquie pourrait se transformer en un passage pour l’arrivée des terroristes en Europe.

S’attardant sur les raisons de la non réalisation des objectifs de l’accord de Sotchi, il a affirmé : « Sans doute, la partie russe qui avait signé cet accord avec la Turquie, a reconnu qu’Ankara n’avait pas entièrement respecté ses engagements envers l’accord, espérant toutefois qu’il y aura des acquis à l’avenir. »

« Concernant le bilan de la Turquie et les scénarios envisagés après l’expiration du calendrier défini dans le cadre de l’accord de Sotchi, ce colonel russe a noté que Moscou avertirait certainement Ankara, sans manquer de rappeler que le gouvernement turc tentait d’exploiter à des fins politiques le dossier de l’assassinat du journaliste critique saoudien Jamal Khashoggi pour ainsi fourvoyer l’opinion publique et marginaliser l’accord de Sotchi.

« Le dossier de la disparition de Khashoggi a en quelque sorte changé le processus de l’application de l’accord de Sotchi, détruisant tous les calculs d’Ankara. En effet, c’est par le biais de cette affaire qu’Erdogan cherche à améliorer ses relations avec les États-Unis et à réhabiliter l’accord de Manbij pour ainsi résoudre ses propres défis sécuritaires », a-t-il ajouté.

Selon lui, la Turquie se sent menacée par les Forces démocratiques syriennes (FDS) et s’inquiète donc de l’ingérence de Riyad et d’Abou Dhabi dans le soutien aux Kurdes. Elle se préoccupe vivement de l’annonce des résultats de l’enquête réalisée sur le dossier de Khashoggi ainsi que des réactions internationales. Tout cela contraint la Turquie à prendre certaines mesures « réfléchies » à Idlib.  

« Ankara s’efforce, tout en transférant le Front al-Nosra et Jaïch al-Hor vers le nord d’Alep, d’éliminer ses défis sécuritaires et de faire face à l’influence saoudo-émiratie en Syrie ainsi que leur soutien aux Kurdes FDS. Dans un geste hâtif, il a invité les dirigeants russe, français et allemand à organiser une réunion quadripartite à Ankara, axée sur le règlement de la crise syrienne, pour suggérer qu’il respecte l’accord de Sotchi », a-t-il dit.

À la question de savoir quel sera le futur mécanisme du gouvernement syrien en cas de non-respect de l’accord de Sotchi par les parties concernées, M. Maqsoud a affirmé : « En cas de l’échec de la solution politique à la crise prévalant à Idlib, Damas va recourir à l’option militaire et il poursuivra son opération jusqu’à l’anéantissement total de tous les éléments terroristes présents dans cette région ». »

POURQUOI ERDOGAN VA UTILISER L’AFFAIRE KHASHOGGI POUR TENTER DE RELANCER SON PROJET GEOPOLITIQUE NEO-OTTOMAN AU LEVANT :

« KHASHOGGI: ERDOGAN SE VENGE DE RIYAD » (PARS TODAY, IRAN, 21 OCT. 2018)

‘Pars Today’, l’agence de Presse officielle iranienne, mais qui synthétise un expert du ‘Guardian’ britannique, analyse comment « Le président turc cherche à profiter de l’occasion favorable que lui offre l’affaire Khashoggi pour non seulement affaiblir le statut de l’Arabie saoudite, porte-parole du monde de l’islam sunnite », mais aussi pour lancer son « empire » :

« Recep Tayyip Erdogan souhaite donc exploiter l’affaire Khashoggi pour affaiblir le statut de l’Arabie saoudite. C’est du moins l’avis du journaliste donné dans une récente analyse dans le quotidien britannique The Guardian.

 L’analyste estime qu’à l’insu des Saoudiens, les officiers des services de renseignements turcs (MIT) ont procédé à l’écoute de la scène qui s’est déroulée à l’intérieur du consulat d’Arabie saoudite à Istanbul grâce à des appareils d’écoute et un microphone directionnel axé sur le bâtiment depuis l’extérieur, tous deux relevant techniquement des capacités du MIT. Une autre possibilité, selon l’analyste, est que certains des ravisseurs ont enregistré la scène avec leurs téléphones portables pour le montrer, plus tard, aux autorités saoudiennes. Et ces enregistrements ont été interceptés par la suite. Quoi qu’il en soit, les responsables turcs ont eu accès à la bande sonore de l’assassinat flagrant et brutal qui a eu lieu entre les murs du consulat d’Arabie saoudite. La bande sonore a été, ensuite, remise par le chef du MIT, Hakan Fidan au président turc Recep Tayyip Erdogan, qui sous le choc après l’écoute, a convoqué les Saoudiens et exigé des explications sur le sort de Khashoggi qu’il connaissait, d’ailleurs, très bien. Les Saoudiens ont tout démenti et c’est ce qui a conduit ainsi les responsables turcs à révéler, quelques heures après, tout ce qu’ils savaient à l’agence Reuters, en rappelant précisément que Khashoggi avait été assassiné.

 Dix jours après la disparition du journaliste et suite aux révélations précises des Turcs, le roi Salmane d’Arabie saoudite a envoyé son émissaire Khaled al-Faissal à Ankara pour s’entretenir avec Erdogan ; une méthode désuète des Saoudiens que les Turcs connaissent bien: ils envoient un personnage digne de confiance pour pouvoir se tirer d’affaire, comme l’a souligné un responsable turc. Aussitôt après cette rencontre, Riyad a publié un communiqué dans lequel il a mis l’accent sur les relations « amicales » entre les deux pays. Pourtant, en coulisses, les choses n’étaient pas aussi bonnes que l’Arabie saoudite voulait le suggérer. « Khaled al-Faissal a supplié, au sens réel du terme, l’aide d’Ankara. Ils étaient véritablement irrités », a estimé une source turque.

 L’analyste du journal britannique poursuit qu’avec une telle fuite d’informations, les Turcs semblent se diriger vers une vengeance. Comme s’ils voulaient tuer les Saoud en leur infligeant des milliers de coups. Les Saoudiens ont eu tort de croire qu’Ankara prendrait une décision par rapport à sa mauvaise situation actuelle. Riyad croyait pouvoir donner un pot de vin et régler tout de suite l’affaire. Or, Erdogan cherchait quelque chose de beaucoup plus grand : une chance d’affaiblir un rival qui se prétend être un porte-parole de l’islam sunnite et transformer ainsi la Turquie en un pouvoir islamique.

Rappelant que les enquêteurs turcs n’ont pas encore publié les éléments les plus destructeurs de l’affaire pour l’Arabie saoudite, notamment les enregistrements, l’analyste indique que Washington souhaite atténuer la tension. Le dossier de Khashoggi menace l’avenir des relations de la communauté mondiale avec l’Arabie saoudite et MBS. « Il est approprié de dire que l’ordre mondial est mort ici avec Khashoggi. Je redoute ce qui suivra par la suite », a conclu l’analyste en citant un haut diplomate régional. »

# LES ANALYSES DE REFERENCE :

* LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY/

DEBAT : L’AFFAIRE KHASHOGGI, UN DOSSIER HAUTEMENT GEOPOLITIQUE

sur http://www.lucmichel.net/2018/10/16/luc-michels-geopolitical-daily-debat-laffaire-khashoggi-un-dossier-hautement-geopolitique/

* LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY/ APRES LA NON-APPLICATION DES ACCORDS DE SOTCHI, LE PRESIDENT POUTINE MET EN GARDE ERDOGAN (A IDLIB LES DERNIERES ILLUSIONS ? II)

sur http://www.eode.org/luc-michels-geopolitical-daily-apres-la-non-application-des-accords-de-sotchi-le-president-poutine-met-en-garde-erdogan-a-idlib-les-dernieres-illusions-ii/

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* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

Géopolitique – Géoéconomie – Géoidéologie – Géohistoire –

Géopolitismes – Néoeurasisme – Néopanafricanisme

(Vu de Moscou et Malabo) :

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Dissesto ambientale, non dite che è catastrofismo. È peggio

https://www.ilfattoquotidiano.it/premium/articoli/dissesto-ambientale-non-dite-che-e-catastrofismo-e-peggio/

L’allarme del meteorologo Luca Mercalli: “Non c’è più tempo per capire che quella climatica è un’emergenza che riguarda anche i nostri nipoti”
Dissesto ambientale, non dite che è catastrofismo. È peggio

È uscito per Einaudi il nuovo libro di Luca Mercalli “Non c’è più tempo”, un viaggio per comprendere che quella climatica e ambientale è un’emergenza di cui dobbiamo preoccuparci. Tanto piú in un’epoca di riscaldamento globale che, tra alluvioni, siccità e aumento dei livelli marini, minaccia il benessere dei nostri figli e nipoti. Ne proponiamo  un estratto.

Con la rivoluzione industriale iniziata un paio di secoli fa, tutto cambia: le macchine a carbone e poia petrolio metteranno a disposizione dell’Umanità enormi potenze positive ma pure distruttive. La popolazione aumenterà da uno a 7,5 miliardi di individui, gli ordigni bellici e le centrali elettriche nucleari spargeranno radioattività “artificiale” su tutto il pianeta, la concentrazione di anidride carbonica nell’atmosfera passerà da 300a400 parti per milione, un primato assoluto e inedito su almeno 800mila anni, la perdita di biodiversità segnerà l’inizio della Sesta Estinzione, una pletora di inquinanti subdoli e persistenti impesterà l’aria, l’acqua e i cibi, minacciando la nostra salute su tempi di secoli, enormi banchi di microplastiche si diffonderanno negli oceani, la cementificazione e la deforestazione cambieranno per sempre la geografia globale.

È l’Antropocene, bellezza!
L’epoca geologica recentissima che segna la Terra con pustole, cicatrici e infiammazioni derivanti dall’attività forsennata di una sola specie, H omo sapiens! Ed è soprattutto il Novecento a segnare l’irrever sibilità dell’erosione delle risorse terrestri, la modifica a lungo termine dei suoi cicli
biogeochimici, ovvero la “grande accelerazione” verso il superamento dei “limiti planetari”. Temi fondamentali per la nostra sopravvivenza, intravisti nel 1972 da Aurelio Peccei e dai ricercatori del Mit, che pubblicarono il primo rapporto sui limiti della crescita (Limits to growth), e ripresi oggi da Johan Rockström dello Stockholm Resilience Centre. La scienza del clima e dell’ambiente non ha più dubbi: ci stiamo fumando la Terra! Se non applicheremo il fragile accordo sul clima di Parigi del 2015, la temperatura planetaria rischia di aumentare di circa 5° C entro la fine del secolo, rendendo i nostri continenti molto meno ospitali, punteggiando la nostra vita di eventi estremi sempre più frequenti e distruttivi, compromettendo la produzione alimentare e facendo salire i livelli dei mari pervia della fusione dei ghiacci polari, con
sommersione di molte zone costiere e conseguenti migrazioni di profughi climatici. Non dite cheè catastrofismo. È peggio. È un tipo di mondo che la nostra specie non ha mai sperimentato nella sua evoluzione, e sarebbe meglio evitare.

E invece chi ti arriva? Un presidente americano che nel 2017 dice che son tutte balle, e che bisogna continuare a far fumare carbone e petrolio, come prima, più di prima!

Posti di lavoro, dollari, sviluppo, crescita! Se uno decide di fumarsi il cervello, libero di farlo, perché ce ne sono molti sani che possono sostituirlo.

Ma se i comportamenti di cervelli in fiamme portano a fumarsi il pianeta, l’unico che abbiamo, compromettendolo per millenni e ipotecando il benessere di figli, nipoti e pronipoti, allora tocca gettare acqua sul fuoco. Sempre che non sia già evaporata…

Luca Mercalli

Non c’è più tempo

Come reagire agli allarmi ambientali

2018 Passaggi Einaudi
pp. 272  € 18,00
ISBN 9788806232597

T come Tempo. Il tempo che inizia a mancare per comprendere che quella climatica e ambientale è un’emergenza di cui dobbiamo preoccuparci.

http://www.einaudi.it/libri/libro/luca-mercalli/non-c-pi-tempo/978880623259

GEOSTRATEGIE RUSSE EN MEDITERRANEE ORIENTALE : LA DIAGONALE CRIMEE-SYRIE

 

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Luc MICHEL pour EODE/

Quotidien géopolitique – Geopolitical Daily/

2018 10 17/

 « La Syrie et la Crimée jouissent  d’une position stratégique dans la région de la mer Noire et en Méditerranée, ce qui constitue un atout énorme »

– Bachar al Assad (ce 16 oct.).

LM.GEOPOL - Diagonale Crimée Syrie (2018 10 17) FR (1)

« En dépit des événements qui ont suivi la chute de l’Union soviétique, cette péninsule a rejoint son pays d’origine, après un référendum. Nous considérons la Crimée comme une partie intégrante de la Russie »

– Hedieh Khalaf Abbas, présidente du Parlement syrien (ce 18 oct.).

Pour la Russie, la Crimée est un pivot de défense géostratégique, depuis Catherine La Grande. Epoque où l’Axe Stratégique Sébastopol-Levant a été défini comme essentiel pour la présence russe en Méditerranée orientale ! Il était impossible de la laisser aller aux mains des ennemis de la Russie mars 2014. Et certainement pas à l’OTAN, avec son vieux projet d’une base américaine à Sébastopol. C’est en effet la clé de l’accès à la Méditerranée orientale pour la Flotte russe. Et c’est un axe géopolitique pour la Russie lié à la Base de Tartous, à côté de Lattaquié en Syrie. Les deux sont essentiels à la puissance russe et à sa sécurité dans la Mer Noire et en Méditerranée …

J’ai longuement analysé dans un précédent quotidien géopolitique le dossier de la Crimée, que je connais bien :

 Voir sur LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY/

LA QUESTION DE CRIMEE :

AU COEUR DE LA NOUVELLE GUERRE FROIDE 2.0 ET DE LA REMISE EN CAUSE PAR LA RUSSIE DU ‘NOUVEL ORDRE MONDIAL’

Sur http://www.lucmichel.net/2018/03/11/luc-michels-geopolitical-daily-la-question-de-crimee-au-coeur-de-la-nouvelle-guerre-froide-2-0-et-de-la-remise-en-cause-par-la-russie-du-nouvel-ordre-mondial/

RENCONTRE ENTRE LES PRESIDENTS SYRIEN ET CRIMEEN :

LE FRONT RUSSE SE RENFORCE EN MER NOIRE ET EN MEDITERRANEE

 LM.GEOPOL - Diagonale Crimée Syrie (2018 10 17) FR (3)

Le président de la République autonome de Crimée (sujet de la Fédération de Russie), qui s’est rendu en Syrie, s’est entretenu avec le Président Assad qui l’a félicité d’avoir décidé , lui et sa nation, de revenir dans le giron de la Russie. Selon le président syrien, la rencontre pourra « marquer le début d’une relation profonde » et « promise à la durée ». « La Syrie et la Crimée jouissent  d’une position stratégique dans la région de la mer Noire et en Méditerranée, ce qui constitue un atout énorme », a affirmé le président syrien.

Les responsables syriens et de la République autonome de Crimée ont examiné les voies susceptibles de renforcer leurs coopérations, le 15 octobre 2018. Sergueï Aksionov, président de Crimée, est arrivé ce lundi 15 octobre en Syrie, à la tête d’une délégation. La délégation a rencontré les autorités syriennes avec qui il a discuté ,essentiellement, des mesures et des accords économiques. Les deux parties ont convenu de la création d’une Chambre de commerce syrienne en Crimée, d’une société de transport maritime conjointe et de faciliter les opérations financières et bancaires entre les deux pays. « Le tourisme, l’hôtellerie, la culture, le pétrole, l’agriculture, la construction, les mines et les facilités possibles à cet effet ont été examinés lors de cette rencontre », a rapporté l’agence de presse officielle syrienne.

A l’issue de ces négociations, Sergueï Aksionov a fait part des propositions qui ont été faites par la Crimée pour l’importation vers la Syrie dont des équipements ferroviaires, des matériaux de construction et des produits agricoles. Il a espéré que ces négociations aboutiraient au renforcement des relations entre la Crimée et la Syrie. A l’occasion d’un forum organisé hier à Damas, Aksionov s’est déclaré prêt à des échanges commerciaux et à supprimer les obstacles qui entravent ce processus. La Crimée est prête à établir des lignes aériennes avec la Syrie et à offrir des soins médicaux aux enfants syriens.

DAMAS RECONNAIT LE RETOUR DE LA CRIMEE A LA FDERATION RUSSE

Hedieh Khalaf Abbas, présidente du Conseil du peuple de la Syrie (le Parlement), a déclaré que « la Syrie reconnaissait la Crimée comme une partie intégrante de la Russie », son annexion ayant été votée il y a deux ans lors d’un référendum en Mars 2014. Mohamed Samer al-Khalil, ministre syrien de l’Économie, a affirmé pour sa part que la Crimée est le port le plus proche de la mer Noire. « En dépit des événements qui ont suivi la chute de l’Union soviétique, cette péninsule a rejoint son pays d’origine, après un référendum. Nous considérons la Crimée comme une partie intégrante de la Russie », a-t-elle affirmé à Sputnik.

Le 16 mars 2014, ils étaient 97 % ces électeurs de la République autonome de Crimée qui ont voté en faveur du rattachement de la Crimée et de la Ville autonome de Sébastopol à la Russie. Dossier que je connais bien puisque j’en ai été un des acteurs, en organisant avec EODE (1) le monitoring du Référendum d’auto-détermination de la Crimée et de Sébastopol en mars 2014 (2), mettant en échec à la fois l’UE, l’OSCE et l’OTAN (3). Pourtant, l’Ukraine, l’UE et les États-Unis considèrent ce référendum comme étant « illégal ». Les tensions persistent et la Russie est toujours sujette à des sanctions économiques.

En évoquant l’importance de cette rencontre, Samer al-Khalil a souligné « la nécessité de la création d’une Chambre de commerce syrienne qui pourra favoriser les futurs échanges commerciaux avec la Crimée et d’autres pays de la région; car cette région est une zone de libre-échange économique et par conséquent les marchandises syriennes sont exemptes de tarifs douaniers ou d’impôt ».

NOTES ET RENVOIS :

(1) EODE est un Think-Tank (spécialisé dans les analyses géopolitiques et idéologiques) et une Ong présente en UE, CIS, Afrique, qui pratique un « monitoring non-aligné », non liée aux organisations occidentales et opposée à l’idéologie occidentale, avec une expérience de près de 10 ans dans toute l’Europe de l’Est. EODE est aussi spécialisées dans les « républiques auto-proclamées » (Abkhazie, Transdniestrie, Nagorny-Karabagh), où elle a effectué missions et audit, notamment pour le Référendum de 2006 en Pridnestrovie (Transdniestrie ou PMR). EODE procède de façon professionnelle (nous travaillons suivant les standards et protocoles de l’OSCE) et son travail vise à soutenir la démocratie en action …

(2) Sur le Référendum d’auto-détermination de la Crimée et de Sébastopol :

EODE – Observatoire eurasien pour la Démocratie et les Elections – a été directement impliquée dans le référendum de Crimée. EODE était l’ONG en charge de l’organisation de la «Mission internationale de monitoring du référendum » :

* Voir sur EODE-TV:

EODE-TV & AFRIQUE MEDIA/ COMMENT LA CRIMEE EST REDEVENUE RUSSE/ UKRAINE VERSUS NOVOROSSIYA (1)

sur https://vimeo.com/103799370

* Fin février 2014, refusant le nouveau gouvernement pro-occidental arrivé au pouvoir à Kiev par le putsch du 21 février, les élus du parlement de Crimée s’étaient prononcés en faveur du rattachement de la péninsule à la Russie et avaient décidé que cette décision serait soumise à référendum parmi la population, majoritairement russophone, de la région. Les électeurs de la péninsule de deux millions d’habitants à majorité russophone, stratégique pour Moscou, avaient le choix lors du référendum du 16 février 2014 entre un rattachement à la Russie ou une autonomie nettement renforcée. Ce référendum, mécanisme essentiel de la Démocratie Directe, la seule réellement effective, dérangeait beaucoup. Aux grandes opérations diplomatiques des occidentaux pour délégitimer ce référendum correspondait une campagne médiatique de même nature. Ainsi la presse des USA et de l’UE se répandait en articles incendiaires sur le caractère douteux de ce référendum. Notamment écrit Libération (Paris), parce qu’il se ferait « en l’absence d’observateurs internationaux » …

Grossière erreur ! Et désinformation maladroite …

A la demande des autorités de la République autonome de Crimée et du Parlement de Crimée, et en raison de notre non-alignement et de notre expérience, EODE organisait en effet une MISSION INTERNATIONALE DE MONITORING DU REFERENDUM les 14/15/16/17/18 mars 2014.

A noter que invitée l’OSCE avait refusé par la voix de son président. De même que le Parlement Européen. Des instructions et même des interdictions de participer à notre mission ont été données dans de nombreux pays de l’UE. Et des pressions honteuses exercées sur des parlementaires – en Suisse, en France et en Irlande notamment – pour les faire renoncer à leur participation.

* La mission d’EODE était pluraliste et non-alignée :

Elle était composée de députés de différents niveaux et d’experts, de différentes idéologies, de droite comme de gauche ou ne s’inscrivant pas dans la logique du système occidental, y compris des indépendantistes républicains (intéressés au premier chef par le processus) de Catalogne (Espagne) et de Flandre (Belgique). Il y avait notamment des élus et des experts de Belgique, Espagne, Pologne, Hongrie, Italie, Israël, Allemagne, France, Turquie, Russie, Kyrgistan, Belarus, Autriche, Finlande, Lettonie … Plus de 130 représentants (finalement) de pays étrangers avaient observés le déroulement du référendum du 16 mars.

(3) Ce qui m’a valu une vaste campagne de diabolisation, le « Michelbashing », révélateur de la fureur de l’OTAN ! Mon crime : avoir pris une part déterminante dans la validation du Référendum en Crimée en amenant les Observateurs internationaux indispensables à la validation du processus (130 observateurs, dont 120 députés, venus de 23 pays !). Et avoir ainsi damné le pion à la puissante OSCE !

Suite à la Mission internationale de Monitoring pour le Référendum d’auto-détermination de la République de Crimée par l’Ong EODE, j’ai été sous les feux d’une campagne internationale (plus de 1.500 articles violemment diffamatoires dans 17 pays !!!). Au cœur de cette campagne en Belgique, le quotidien flamand DE MORGEN, nid d’anciens trotskystes recyclés dans le journalisme subsidié au service de l’impérialisme américain, de l’OTAN et de la Russophobie galopante. Utilisant la fausse biographie de Luc MICHEL diffusée par Wikipedia – autre officine barbouzarde –, le quotidien de l’OTAN me qualifiait d’ « extrémiste de droite » (sic), mais aussi « d’agent des services spéciaux russes ». Tout cela évidemment sans preuves ni documents …

Autre comparses du MORGEN : les antifascistes alimentaires du régime belgicain de l’officine ‘RESISTANCES’, dont le porte-parole Abramowicz, qui a fait carrière dans un ‘Centre pour l’égalité des chances’ dépendant des services du Premier Ministre belge et est aussi un ancien trotskyste, est au cœur du « Luc Michel bashing » des médias de l’OTAN. En Belgique ou en Tchéquie notamment. Après s’être tu depuis les débuts du ‘Maidan 2014’ sur les néonazis de Svoboda et Praviy Sektor ou la chasse aux juifs en Ukraine orangiste …

(Sources : SANA – Press TV – EODE Think Tank)

Photo :

Le président syrien, Bachar Assad et le président de la République autonome de Crimée (sujet de la Fédération de Russie), Sergueï Aksionov,  à Damas ce 16 octobre 2018.

Les responsables syriens et de la République autonome de Crimée ont examiné les voies susceptibles de renforcer leurs coopérations, ce 15 octobre 2018.

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

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