LE ‘SCENARIO DU DIABLE’, C’EST AUSSI LA FAUSSE COMPASSION HUMANITAIRE POUR LES DJIHADISTES : AMNESTY INTERNATIONAL ET LE MINISTRE BELGE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES BELGICAIN VEULENT SAUVER LA PEAU D’UN TERRORISTE DE DAECH CONDAMNE A MORT EN IRAK …

 

Luc MICHEL/ 2018 05 22/

Avec AFP – LLB – PCN-SPO/

LM.NET - EN BREF sauver jadaoun I édito (2018 05 22) FR

« Jamais vous ne serez en sécurité. Sachez juste que vous avez beau dormir, mais il y a des frères qui se cachent partout dans le monde.

Ils attendent juste l’ordre et ils attaqueront”, indiquait le verbatim de cet entretien »

– Tarik Jadaoun (dans ‘Complément d’enquête’, 2014).

« la VRT cependant, il déclara plus tard qu’il avait eu un comportement de suiveur et proposa de travailler pour la Sûreté de l’Etat »

– La Libre Belgique (22 mai 2018).

Ou comment les responsables de la catastrophe djihadiste en Europe et au Proche-Orient entendent empêcher l’Etat irakien de faire le travail dont ils sont incapables !

Le ministre Didier Reynders demande à l’Irak de ne pas exécuter un djihadiste belge condamné à mort. Et les médias de l’OTAN osent poser la question : « Tarik Jadaoun aura-t-il un procès équitable ? ».

Amnesty, elle, rejette la peine de mort, “y compris pour les combattants de l’Etat islamique” …

Un djihadiste belge qui avait menacé dans des vidéos la Belgique et la France a été condamné mardi en Irak à la mort par pendaison pour appartenance au groupe Etat islamique (EI), a constaté un journaliste de l’AFP. Tarik Jadaoun, né en 1988, avait rejoint l’EI en 2014 sous le nom de guerre d’Abou Hamza al-Belgiki. Lors de la première audience de son procès devant la Cour pénale centrale de Bagdad, le 10 mai, il avait plaidé “non coupable” et affirmé aux juges qu’il s’était “fourvoyé” (sic). Cette fois-ci, l’homme qui a été amené dans le box de bois grillagé des accusés vêtu de l’uniforme beige des détenus, le crâne rasé et une imposante moustache noire lui barrant le visage, ne s’est pas défendu. Le juge lui a d’abord lu la liste des chefs d’accusation, notamment son rôle de combattant au sein de l’EI et son entrée illégale sur le territoire irakien, avant de lui demander s’il souhaitait ajouter quelque chose. “Non”, a seulement répondu Jadaoun.

Le juge a alors indiqué qu’il prononçait “la pendaison jusqu’à ce que mort s’ensuive conformément à l’article 4 de la loi antiterroriste”.

Jadaoun a alors perdu son sourire et son visage a semblé se décomposer. Lors de l’ouverture du procès, le juge avait attribué à Jadaoun, qui s’exprimait en arabe, un avocat commis d’office.

REYNDERS DEMANDE À L’IRAK DE NE PAS EXÉCUTER TARIK JADAOUN

Le ministre belge des Affaires étrangères, Didier Reynders, a annoncé ce mardi avoir demandé aux autorités irakiennes de ne pas procéder à l’exécution du djihadiste belge. “J’ai demandé à mon homologue irakien de ne pas procéder à l’exécution”, a-t-il affirmé à la presse en marge d’une rencontre avec le président de la Commission de l’union Africaine (UA), Moussa Faki Mahamat, en rappelant l'”opposition de principe” de la Belgique et de l’Union européenne dans son ensemble à la peine de mort et des demandes antérieures. Selon D. Reynders, le Verviétois Tarik Jadaoun dispose encore de trente jours pour faire appel de sa condamnation à la peine capitale. “Nous allons peut-être attendre la procédure d’appel avant d’aller plus loin”, a-t-il dit. Et s’il est condamné, la Belgique demande que la peine capitale soit modifiée en peine de prison, a ajouté le chef de la diplomatie belge, appelant à la tenue d’un “procès équitable” (sic).

QUI EST VRAIMENT TARIK JADAOUN ?

Tarik Jadaoun avait été arrêté le 12 juillet 2017 dans le quartier al-Farouk de Mossoul alors que la ville venait d’être libérée par les forces irakiennes. Arrêté par les Irakiens, sans armes, ni documents, il a été conduit dans un lieu tenu secret où il a été interrogé plus tard par les enquêteurs américains. Ceux-ci le considéraient comme une “high value target”. Il leur aurait affirmé qu’il jouait un rôle de coordinateur au sein de l’Etat islamique et qu’il s’était porté volontaire pour une mission en Europe.

A la VRT cependant, il déclara plus tard qu’il avait eu un comportement de suiveur et proposa de travailler pour la Sûreté de l’Etat. Charles Michel refusa, affirmant que la Belgique ne négocie pas avec les terroristes.

Né à Verviers le 4 décembre 1988, Jadaoun disposait d’un casier judiciaire (vols, bagarres avec la police, puis radicalisation en

prison) quand il a quitté la Belgique et pris la direction de la Syrie à l’automne 2014. Sa fiche d’enregistrement dans les rangs de l’Etat islamique note qu’il a traversé la frontière à Tal Abyad (Turquie) et qu’il a été recommandé par un certain “Abou Khaled al Magrhebi” qui était déjà à Deir Ezzor en Syrie. Ce “Abou Khaled” n’est autre que son ami Redouane Hajaoui, de Petit-Rechain, arrivé en Syrie quelques mois plus tôt, en février 2014. Jadaoun remit son passeport à Daech et s’inscrivit sur la liste des “combattants”. Un troisième Verviétois, Lofti Amoueur, ainsi que des jeunes d’origine tchétchène issus de la région, ont fait le même voyage vers l’Etat islamique.

Très actif sur les réseaux sociaux, virulent, Jadaoun a été interrogé fin 2014-début 2015 via Skype par l’émission “Complément d’enquête” de France 2, où il a menacé de “détruire” la Belgique après que l’armée belge eut déployé ses F-16 dans la région pour combattre l’EI. “Jamais vous ne serez en sécurité. Sachez juste que vous avez beau dormir, mais il y a des frères qui se cachent partout dans le monde. Ils attendent juste l’ordre et ils attaqueront”, indiquait le verbatim de cet entretien. “Il me laissait entendre qu’il était proche d’Abaaoud”, nous raconte Romain Boutilly, le journaliste français qui a réalisé l’interview en trois morceaux avant de rompre tout lien vers la mi-2015. “Il semblait avoir passé du temps avec Abaaoud dans le même groupe. Reste à savoir s’il a été témoin des préparatifs des attentats du 13 novembre 2015 à Paris.” Selon l’interrogatoire fait par les Américains, auquel Het Laatste Nieuws a eu accès, Jadaoun a géré au moins 50 comptes Facebook différents et était actif aussi sur Telegram.

* Voir les videos (dont des témoignages sur Jadaoun en Syrie) :

http://www.rtbf.be/auvio/detail_tarik-jadaoun-condamne-a-mort-la-belgique-rappelle-son-opposition-a-la-peine-de-mort?id=2352035

Et : http://www.rtbf.be/auvio/detail_tarik-jadaoun-pas-si-inoffensif?id=2295788

(attention Média de l’OTAN ! Lire et voir avec esprit critique …)

# ALLER PLUS LOIN SUR LE « SCENARIO DU DIABLE » :

* Lire l’interview de Luc MICHEL pour SITA (Beyrouth) :

DJIHADISMES – TERRORISME – IMMIGRATION. QUAND L’AGENDA PROCHE-ORIENTAL S’IMPOSE EN EUROPE …

sur http://www.eode.org/eode-think-tank-interview-de-luc-michel-par-le-site-arabe-sita-institute-djihadismes-terrorisme-immigration-quand-lagenda-proche-oriental-s/

* Voir sur PCN-TV DAMAS/

LUC MICHEL DES JUIN 2013 AVERTIT DU DANGER DJIHADISTE EN EUROPE

sur https://vimeo.com/118043306

* Voir sur PCN-TV/ DAMAS. 1er DEC. 2014 :

LUC MICHEL ANNONCE UN 11 SEPTEMBRE EN EUROPE !

sur https://vimeo.com/116499565

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PRESIDENTIELLE SOUS HAUTE TENSION AU VENEZUELA : MADURO REELU PRESIDENT

OBSERVATOIRE DES ELECTIONS/

LM/ EODE/ 2018 05 22/

zayyy

« Venezuela : élection présidentielle sans suspense » (AFP) …

Épuisés par la crise économique alimentée par les USA et leurs sanctions (méthode déjà éprouvée contre Cuba depuis les Années ’60), les Vénézuéliens ont réélu Nicolás Maduro à l’issue d’un scrutin boycotté par l’opposition. Touché par l’effondrement des cours du brut depuis 2014, le Venezuela, qui tire 96 % de ses revenus du pétrole, souffre d’un manque de devises qui l’a plongé dans une crise aiguë.

Le président Nicolás Maduro visait, ce dimanche 20 mai, la réélection lors d’un scrutin sans rival de poids, boycotté par l’opposition et non reconnu par une grande partie de la soi-disant « communauté internationale » autoproclamée. Épuisés par une profonde crise économique, les Vénézuéliens ont voté dimanche lors d’une présidentielle anticipée à un seul tour.

Portant une chemise rouge – la couleur de son mouvement –, le président Maduro est venu voter dans un bureau installé dans un établissement scolaire de Caracas, en compagnie de son épouse Cilia Flores, a constaté l’Agence France-Presse. « Avec ce processus électoral, le Venezuela s’achemine vers une étape de stabilité politique », a-t-il déclaré en appelant ses compatriotes à participer au scrutin. « Ta voix décide : les votes ou les balles, la patrie ou la colonie, la paix ou la violence, l’indépendance ou la soumission », a-t-il lancé. « Nous ferons respecter la volonté du peuple vénézuélien ici dans le monde », a promis Nicolás Maduro.

Les 14 638 bureaux de vote ont ouvert comme prévu à 6 heures pour accueillir 20,5 millions d’inscrits appelés à participer à cette élection anticipée à un seul tour. Ils ont fermé douze heures plus tard, sauf prolongation pour permettre d’épuiser d’éventuelles files d’attente. Quelque 300 000 militaires et policiers ont été déployés. Le mandat du président est de six ans, le prochain doit commencer en janvier 2019. Maduro était le grand favori. Pouvoirs électoral et militaire en main, opposition divisée : la route était dégagée pour le dirigeant socialiste pour un nouveau mandat qui doit commencer en janvier 2019.

En face, ses adversaires sont le chaviste dissident Henri Falcon (56 ans), qui s’est présenté, malgré le boycott de la coalition d’opposition, la ‘Plateforme de l’unité démocratique’ (MUD) et le pasteur évangélique Javier Bertucci, 48 ans. Tous deux se disputent le vote sanction des déçus de la population, renforçant les chances de victoire de Maduro, ancien chauffeur de bus de 55 ans, corpulent et à la moustache noire fournie.

ECHEC A L’OPPOSITION COMPRADORE

L’opposition compradore pro-USA accuse le chef de l’État de « clientélisme » et de contrôle social en promettant des primes au vote aux détenteurs du « carnet de la patrie », carte qui permet de bénéficier des programmes sociaux. « Le pari du régime est de sortir renforcé de l’élection pour lancer des changements » de fond dans le pays à travers l’Assemblée constituante et mettre en place un système politique plus « contrôlable », comme à Cuba, selon l’analyste Benigno Alarcon.

Outre l’opposition, les États-Unis, l’Union européenne et le « groupe de Lima », une alliance de 14 pays d’Amérique et des Caraïbes pro-américaine, qui dénonce la « radicalisation » du gouvernement de Caracas, rejettent ce scrutin. Ils accusent également Maduro de « saper la démocratie ». Quatre mois de manifestations insurrectionnelles (organisées par les USA et les « vitrines légales de la CIA » dans une révolution de couleur rampante sans cesse renouvelée contre Chavez, puis Maduro) quasi quotidiennes de l’opposition qui ont fait 125 morts à la mi-2017 ont été écartés d’un revers de main avec la mise en place de la Constituante, toute-puissante arme politique au service du camp socialiste

« NOUS NE CÉDERONS PAS AU CHANTAGE »

« Ça me glisse dessus qu’on me traite de dictateur. […] Nous ne céderons pas au chantage. Peu importe qu’ils ne reconnaissent pas [les élections] : le président du Venezuela est élu par le peuple, pas par Donald Trump », défie Nicolás Maduro au son du reggaeton qui accompagne ses meetings, où il esquisse souvent quelques pas avec sa femme, Cilia Flores. Ou avec Diego Maradona, comme cela a été le cas jeudi où, pour son dernier meeting de campagne, Nicolás Maduro a reçu le soutien vibrant de la légende du football argentin, qui s’est présenté comme un « soldat » de Nicolás Maduro.

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ECHEC AU CYCLE DES ‘REVOLUTIONS DE COULEUR’ RAMPANTES CONTRE CARACAS (PRESIDENTIELLE SOUS HAUTE TENSION AU VENEZUELA II)

OBSERVATOIRE DES ELECTIONS/

EODE/ 2018 05 23/

zayyyyy

La Victoire du président Maduro, réélu ce dimanche, malgré l’opposition totale d’une opposition compradore et des USA et du Bloc occidentral, marque l’échec de ce long cycle de “révolutions de couleur” rampantes contre Chavez puis Maduro. Celui que l’on voulait destituer sort vainqueur de son bras de fer avec les affidés de Washington …

COMMENT ON A DESTABILISE LE VENEZUELA ?

Comprendre ce qui vient de se passe » au Venezuela (où s’est jouée la dernière phase d’une décennie de « révolutions de couleur ») :

* Voir sur EODE-TV & AFRIQUE MEDIA/

LUC MICHEL DECRYPTE LA DESTABILISATION DU VENEZUELA PAR LES USA

(APPEL SUR LE CONTINENT, 9 AOUT 2017)

sur https://vimeo.com/231213579

TOUT SAVOIR SUR LES PHASES PRECEDENTES :

Lire sur la phase précédente de 2013, l’analyse exhaustive de Luc Michel, expert des « révolutions de couleur » (qu’il confronte depuis la première de toutes, celle contre Milosevic à Belgrade en 2000) :

* Luc MICHEL / FOCUS / VENEZUELA :

UNE NOUVELLE REVOLUTION DE COULEUR MADE IN USA EST ORGANISEE !

sur http://www.lucmichel.net/2013/04/16/luc-michel-focus-venezuela-une-nouvelle-revolution-de-couleur-made-in-usa-est-organisee/

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‘CASH INVESTIGATION’ (FRANCE2) RELANCE LE TRIPOLIGATE : ‘ON A AIDÉ SARKOZY ET C’EST LA PURE VÉRITÉ’, ASSURE L’ANCIEN INTERPRÈTE DU COLONEL KADHAFI

LM pour ELAC & ALAC WEBSITE/

Avec FranceInfo/ 2018 05 22/

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“On a aidé Sarkozy et c’est la pure vérité”,

assure l’ancien interprète du colonel Kadhafi à “Cash Investigation” …

ELAC - TRIPOLIGATE cash fr2 I missouri (2018 05 22) FR

Extrait du site de ‘FranceInfo’ :

Aujourd’hui encore, Moftah Missouri se présente comme le plus proche conseiller du colonel Kadhafi. Pour le magazine “Cash Investigation”, Moftah Missouri raconte à Elise Lucet, en détails, l’objet de la première rencontre entre Nicolas Sarkozy et le colonel Kadhafi. C’était le 6 octobre 2005 à Tripoli, en Libye.

De quoi parlent-ils ?

“Sarkozy dit au Guide de la Révolution : ‘Je vais me présenter à l’élection présidentielle’…” La journaliste fait remarquer à celui qui a été son interprète officiel pendant quinze ans que “c’est une exclusivité à ce moment-là, qu’il ne l’a annoncé à personne”. “‘L’aide politique’, c’est de l’argent” “Le colonel Kadhafi lui dit : ‘Nous allons vous aider'”, affirme Moftah Missouri.

Ce qui veut dire ? “La Libye n’est pas un pays développé. Elle ne peut aider que par le truchement du pétrole, du gaz ou de l’argent en espèces.” Mouammar Kadhafi lui propose une aide financière ? “Au bureau du Guide, il y a quelque chose qu’on appelle ‘l’aide politique’. Et ‘l’aide politique’, c’est de l’argent. On a aidé Sarkozy et c’est la pure vérité.”

* Voir la video sur FranceInfo :

https://www.francetvinfo.fr/societe/affaire/les-affaires-sarkozy/video-lex-directeur-de-cabinet-du-colonel-kadhafi-se-livre-pour-la-premiere-fois_2756541.html

(attention Média de l’OTAN ! Voir avec esprit critique …)

(Extrait de “Affaire Sarkozy-Kadhafi : soupçons sur des millions”, une enquête de Nicolas Vescovacci diffusée ce mardi 22 mai sur France2

A noter :

Ne se faire aucune illusion sur Elise Lucet (voir sa récentre émission contre le Venezuela socialiste), qui « roule » pour le Régime Macron, décidé à tuer Sarkozy (seule personnalité capable de le défier). Ou encore sur les témoins libyens (ce sont tous des traîtres au Guide, retournés et protégés par les Services français) ou français (tous personnages interlopes de la Françafrique de Chirac-Balladur-Sarkozy) de cette émission …

LM / ELAC WEBSITE /

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* Website :

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For Direct Democracy and Libyan Jamahiriya ! /

Le Réseau de Résistance pour la Démocratie Directe et la Jamahiriya libyenne ! /

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‘CASH INVESTIGATION’ (FRANCE2) RELANCE LE TRIPOLIGATE (II) : ‘KADHAFI AVAIT UN BUDGET SPÉCIAL POUR LES PERSONNES QU’IL SOUHAITAIT SOUTENIR’, AFFIRME L’EX-DIRECTEUR DE CABINET DU GUIDE LIBYEN

LM pour ELAC & ALAC WEBSITE/

Avec FranceInfo/ 2018 05 22/

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“Kadhafi avait un budget spécial pour les personnes qu’il souhaitait soutenir” :

l’ex-directeur de cabinet du guide libyen se confie à “Cash Investigation” (France2).

ELAC - TRIPOLIGATE cash fr2 II saleh (2018 05 22) FR

“Je n’ai jamais donné d’argent pour les élections. Non, non, non… Pas moi, pas moi”, affirme Béchir Saleh au magazine “Cash Investigation. L’ancien directeur de cabinet du chef de l’Etat libyen vit en exil à Johannesbourg, en Afrique du Sud. Après des années de silence, Béchir Saleh, l’homme qui murmurait à l’oreille du colonel Kadhafi, accepte de recevoir le magazine “Cash Investigation” (Facebook, Twitter, #cashinvestigati). Visé par un mandat d’arrêt international, l’ancien directeur de cabinet du chef de l’Etat libyen vit en exil à Johannesbourg, en Afrique du Sud. Il affirme ne rien savoir dans l’affaire Sarkozy-Kadhafi, c’est-à-dire le financement présumé de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007 : “Je n’ai aucune trace, aucune information comme quoi ils ont donné de l’argent. J’étais très proche [de Kadhafi], mais je ne connais pas tout.”

Béchir Saleh n’aurait donc joué, selon lui, aucun rôle dans cette histoire : “Je n’ai jamais donné d’argent pour les élections. Non, non, non… Pas moi, pas moi.” Tous ces Libyens qui accusent Nicolas Sarkozy d’avoir touché de l’argent de la Libye pour sa campagne de 2007 mentiraient ? “Ils disent la vérité, mais où sont les preuves ? Sarkozy va dire : ‘Non, je n’ai pas reçu.'” Et puis, la caméra de “Cash” continue de tourner sans que Béchir Saleh s’en aperçoive…

“Le canal qui donne de l’argent, c’est le ministre des Finances”

Béchir Saleh semble alors changer de discours : “Moi, je crois qu’ils donnent de l’argent. Abdallah Senoussi a dit qu’il donne de l’argent à Nicolas Sarkozy.” Cela a donc eu lieu ? “Oui, c’est vrai, mais avec qui ? Moi ? Ce n’est pas mon canal. Le canal qui donne de l’argent, c’est le ministre des Finances… Kadhafi avait un budget spécial pour les personnes qu’il souhaitait soutenir.” Le colonel Kadhafi avait donc aussi un budget pour donner de l’argent à ses visiteurs ? “Oui, des centaines de millions d’euros : 350 millions, comme ça.” Et à part les valises d’argent liquide, quel autre canal peut-il exister ? Un transfert bancaire à travers une société offshore ? “Il n’y a personne qui accepte les transferts. Sarkozy va accepter un transfert ?” Cela ne peut être que du liquide ? “Que du cash, c’est ça.”

* Voir la video sur FranceInfo :

https://www.francetvinfo.fr/societe/affaire/les-affaires-sarkozy/video-lex-directeur-de-cabinet-du-colonel-kadhafi-se-livre-pour-la-premiere-fois_2756541.html

(attention Média de l’OTAN ! Voir avec esprit critique …)

(Extrait de “Affaire Sarkozy-Kadhafi : soupçons sur des millions”, une enquête de Nicolas Vescovacci diffusée ce mardi 22 mai sur France2)

A noter :

Ne se faire aucune illusion sur Elise Lucet (voir sa récentre émission contre le Venezuela socialiste), qui « roule » pour le Régime Macron, décidé à tuer Sarkozy (seule personnalité capable de le défier). Ou encore sur les témoins libyens (ce sont tous des traîtres au Guide, retournés et protégés par les Services français) ou français (tous personnages interlopes de la Françafrique de Chirac-Balladur-Sarkozy) de cette émission …

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Photo :

Béchir Saleh avec le Guide Kadhafi.

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DOCUMENTS & ACTUALITES : MACRON OU LA JUNGLE SOCIALE ANGLO-AMERICAINE IMPORTEE EN FRANCE ET DANS L’UE

LM DAILY / 2018 05 22/

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

 * Vu sur Twitter/ Revue ‘Politis’ ce 22 mai …

« En France, nous n’avons pas réussi à atteindre le type de compromis social nécessaire pour créer le modèle du monde anglophone, qui tolère bien plus d’inégalités. Nous devons également reconsidérer le système de chômage et de formation professionnelle. Il s’agit de droits et d’obligations; les gens ne devraient pas être autorisés à refuser une offre d’emploi décent si cela correspond à leurs qualifications »

DOC.GEOPOL - Macron modèle social (2018 05 22) FR 1

– Emmanuel Macron (‘Monocle,

New-York, Londres et Hong-Kong, mars 2017).

« Emmanuel Macron dit vouloir faire de la politique autrement, et se pose en défenseur des oubliés du système social. Il défend en fait, en creux, un programme très libéral, largement inspiré du modèle anglo-saxon (…) Sous couvert de générosité sociale, Emmanuel Macron entend donc faire basculer vers la France vers un système beaucoup plus libéral et individualiste. Vous avez dit hypocrisie ? »

– ‘La Tribune’ (Paris, 16 nov. 2016).

« Macron a pour programme et objectifs l’alignement géopolitique de Paris sur Washington (le « renforcement » du « Bloc occidental » dit-il). Mais aussi un objectif social en France et dans l’UE : la liquidation du modèle social euro-français (qui domine aussi notamment en Allemagne ou en Belgique) et l’imposition du modèle social anglo-saxon nord-américain et britannique (« le modèle du monde anglophone, qui tolère bien plus d’inégalités » dit-il aussi). Macron est perçu à juste raison comme « le président des riches ». Mais ce sont les riches définis comme les élites « gagnantes » de la globalisation made in USA : les très riches et les nouvelles classes moyennes émergentes. Macron, rappelons le, est l’élu de cette minorité, 64% des 50% des Français qui sont allés voter (outre les manipulations électorales), soit un tiers des citoyens. Soit une “démocratie“ réduite aux “gagnants de la globalisation” … »

– Luc Michel (‘LM Daily’, 4 mai 2018).

LIRE OU RELIRE MON ANALYSE :

* LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY/

L’ACTUALITE QUI CONFIRME L’ANALYSE : GEOIDEOLOGIE. LE REGIME MACRON OU LE CHOIX DE CEUX QUI VEULENT IMPOSER LE MODELE SOCIAL ANGLO-SAXON EN FRANCE ET EN EUROPE

sur http://www.lucmichel.net/2018/05/04/luc-michels-geopolitical-daily-lactualite-qui-confirme-lanalyse-geoideologie-le-regime-macron-ou-le-choix-de-ceux-qui-veulent-imposer-le-modele-social-anglo-saxon-en-fr/

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* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

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(Vu de Moscou et Malabo) :

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POPULISTI ANTE PORTAS, GLOBALISTI NEL PANICO: E POI DICONO CHE SONO I RUSSI A INTERFERIRE NELLE ELEZIONI — UE: VERSO IL BIO-TECNO-FASCISMO

http://fulviogrimaldi.blogspot.com/2018/05/populisti-ante-portas-globalisti-nel.html

MONDOCANE

MERCOLEDÌ 30 MAGGIO 2018

 

Ci si può illudere e nascondere dietro la formula della “crisi sistemica” del capitalismo, prodromo dell’inesorabile quanto follemente deterministica palingenesi dell’umanità. Ci si può consolare con la visione di un tagliateste (Cotarelli) senza maggioranza che poco avrebbe potuto fare prima che nuove elezioni oppongano al golpe morbido un contraltare elettorale dell’80%. Qualcuno ripiegherà verso il “meno peggio”, inteso come superamento del pericolo mortale “fascioleghista e populista”. Lo scambio tra carnefice e vittima (organico ai nostri tempi) gli consente di convivere con il faux pas mattarelliano per cui la poco istituzionale giustificazione adotta per l’annientamento di una maggioranza di governo, espressa dalla sovranità popolare sancita dalla costituzione, sarebbe “l’irritazione dei mercati”. Quelli che, a loro amici, secondo gli eurofeudatari tedeschi dovrebbero insegnare agli italiani a votarsi contro. E guai a irritare Giove. Per placarlo tocca sgozzare qualcuno sull’ara, fossero anche 17 milioni di elettori. E’ la ciambella di salvataggio che lanciano all’uomo di Castellamare del Golfo (ministro della Difesa che bombardò Belgrado) i progressisti delle varie squalificazioni: dai “comunisti “ sorosiani del manifesto, ai Liberi e Uguali sottopancia del PD, ai benemeriti Cia  di tutta quanta la democratica stampa coloniale.

No Tap e capisci tutto

Era domenica sera a Melendugno, cittadina a cui il gasdotto mafio-amerikano TAP vorrebbe squarciare San Foca, la più bella spiaggia del Salento, prima di sradicare, in combutta con un falso batterio ulivicida, migliaia di ulivi, ossa, pelle e anima della Puglia, per risalire la penisola lungo la faglia sismica che ha raso al suolo il Centroitalia e sistemare miliardi di tonnellate di gas sottoterra nella bassa padana, in una concentrazione demenziale di stoccaggi, a sollecitazione di altre potenzialità sismiche. Gas che serve al Nordeuropa (noi ne siamo saturi) e ai vari tangentari lungo il percorso dall’Azerbaijan.

Insieme alla mia guida pugliese, Francesco, nel bel cinema “Paradiso”, presentavamo il mio documentario “O la Troika o la Vita – Epicentro Sud”, una specie di compendio audiovisivo della guerra che i poteri globalisti conducono contro il Sud d’Europa e del mondo, a forza di Grandi Opere, guerre e migrazioni coatte o indotte. Con sottotitolo: “Non si uccidono così anche le nazioni?”.

La madre di tutti i Mattarella e Cotarelli

Mentre stavo sul palco, via smartphone arriva la notizia della rinuncia del premier incaricato, Conte, causa veto al suo ministro economico di un Mattarella mutato in Mitterand, o Trump, o Poroshenko e, un istante dopo, il minaccioso annuncio che a pensare a noi, e in particolare ai 17 milioni di elettori M5S e Lega, ci sarebbe stato Carlo Cotarelli. A ciò nominato da Mattarella, ma a ciò demandato da una catena decisionale che da Draghi (BCE) risale al FMI dell’inquisita Lagarde, alla Trilateral, il cui fondatore Rockefeller era appena stato beatificato al Quirinale dal nostro pontefice siculo-laico, dunque a Bilderberg, via GoldmanSachs, scuola quadri di tutti loro, per culminare nei siderali spazi dorati dei signori della moneta. Il tutto, come ci insegna Mattarella, si chiama “mercati”. E, come tale, è indiscutibile, inesorabile, implacabile.

In platea c’era un centinaio di persone a rappresentanza di un popolo che, guidato da un Comitato di attivisti, scienziati, giuristi e da un sindaco, Marco Potì, di quelli che ce ne fossero, da quasi due lustri lotta contro lo stupro che prosseneti del gangsterismo capitalistico vogliono infliggere alla loro terra. Popolo che, a sentire gli esiti della manovra quirinalesca, evidentemente pianificata fin dal primo exitpoll favorevole ai “populisti”, non ha esitato a esplodere, come un sol uomo, in un ruggito di consapevole indignazione e collera. Quando tu, radicato nel territorio e nella Storia, da anni ti devi confrontare con aggressori che ti rivolgono contro le armi del sopruso, dell’inganno, delle blandizie, dei diritti interpretati a rovescio, dello strangolamento economico, per sostituirsi a te, alla tua gente, al tuo futuro, le armi oggi brandite contro chi hai eletto, è difficile che un quirinalizio qualsiasi ti possa fregare. Sai cosa c’è dietro, come hai capito cosa ci fosse dietro alle escavatrici, ai manganelli, al “gas per lo sviluppo della tua regione”.

Mondialismo versus sovranità popolare

Tante le analisi della “crisi sistemica”,  del presidente fedele alla, o traditore della, Costituzione,  del Draghi, drago che sputa spread tossici non comprando più titoli italiani, del Mattarella commissariato dall’UE che commissaria governo, parlamento e voto democratico, del Cottarelli virgulto tagliateste FMI che, avendo iniziato, e non terminato, con la “spending review”,  a trasferire in alto e lontano  ricchezza e risparmio degli italiani, è ora incaricato di farla finita con il welfare, la sanità, l’istruzione, l’ambiente, il lavoro. Tutto qui. E’ bastato il sindaco di Melendugno, Marco, a farci allungare lo sguardo ricordando, tra una Napoli e una Margherita, che la cosa forse più importante da fare, dettata da quelli in alto a Cotarelli,  sono le nomine. E’anche e molto da chi metti a capo di Leonardo, Fincantieri, le varie partecipate dello Stato, i servizi, la RAI, che dipende la svendita dei saldi nazionali,  la morbida prosecuzione della grecizzizazione dell’Italia e quindi della desovranizzazione del paese-chiave per Mediterraneo, Africa-Medioriente nel processo di mondializzazione (scusate i tre brutti termini assonanti).

Venendo all’ambaradan allestito al Quirinale in questi giorni per bloccare l’avvento dei “populisti”  e imporre, insieme a un blocco di costoro, che si vorrà in qualche maniera definitivo (vediamo quali altri golpe e golpetti si inventeranno), il sicario voluto dai poteri forti, mi pare ovvio che il nodo “Savona” sia stato un trasparente pretesto per detto blocco e che il furbo Salvini lo abbia condiviso per arrivare a nuove elezioni. Elezioni annunciate dai sondaggi  per lui redditizie, tanto da farlo prevalere definitivamente sul volatile Di Maio, all’affannosa ricerca di captationes benevolentiae e su un deludente e politicamente frastagliato M5S.

A sinistra i ragazzi di bottega

Comunque, qui la questione è infinitamente più grande e testimonia della sclerosi delle sedicenti sinistre il non avvertirne la portata strategica globale. I grandi poteri storici che si esprimono nella finanza e nel militare e utilizzano alcuni Stati forti, come Usa, UK, Germania, per eliminare dalla scena elementi di contrasto che pretendono di avvalersi di costituzioni e sovranità, dalla fine della seconda guerra mondiale manovrano, complottano, drogano, ricattano, invadono, per arrivare a un dominio mondiale che si può ben definire bio-tecno-fascismo. Si chiama globalismo, globalizzazione, mondialismo. Uno dei frutti più riusciti, tali da ridurre ai minimi termini le sovranità democratiche e sociali sorte dalla guerra antifascista, promosso e finanziato dagli Usa fin dal 1948, è l’Unione Europea, modello di anti-democrazia,  con lo strumento valutario della sua dittatura economica, l’euro. Si capisce, allora, l’infingarda strumentalità di certe campagne di distrazione di massa, come quell’ “antifascismo militante”  che se la prende con un infimo folklore, pretende di difendere una democrazia che è un mero simulacro e non vede l’ombra nera del totalitarismo che incombe su noi, sul mondo.

Destra – sinistra

Nazionale o sovranazionale?

Ogni organismo sovranazionale è una piede di porco del mondialismo, dall’UE alla Nato, dal WTO al FMI, dalla BCE al G7, all’ UNHCR che, insieme alle Ong private, governa l’operazione mondialista “migranti” e ai vari trattati transnazionali come TTIP o CETA, e ha per fine l’annientamento della sovranità popolare. Sovranità che rappresenta un ostacolo sia quando si esprime a livello nazionale, nello Stato autodeterminato in legge, economia, socialità, cultura, territorio, sia quando rappresenta il controllo delle popolazioni su territorio, e relativi patrimonio storico, economia, produzione, cultura, progettualità. Vedi gli assalti transnazionali con le Grandi Opere alla Val di Susa, al Salento, a Sardegna e Sicilia con le basi militari, vedi lo svuotamento coatto dei territori terremotati con la rinuncia a ogni ricostruzione e, in generale, dell’improduttivo Sud italiano, vedi la fine della nostra indipendenza alimentare con l’abbandono dell’agricoltura di qualità a vantaggio dello scadente import delle multinazionali. La gigantesca concentrazione di stoccaggi di gas nella bassa padana, in cui lavorano poche decine di tecnici, oltre a costituire un rischio spaventoso per le popolazioni, ha preso il posto di campi che davano lavoro alla regione  e cibo a mezza Italia.

In questi anni abbiamo visto, e in parte ho filmato e raccontato, una serie di “regime change”, colpi di Stato militari, parlamentari, di piazza, guerre e terrorismi: Ucraina, Georgia, Jugoslavia, Honduras, Paraguay, Brasile, Iraq, Libia, Siria, Egitto…In parallelo hanno funzionato i tentacoli economici della piovra, i cannibali dei cosiddetti “mercati” e i loro sicari delle agenzie di rating.

Il Regime change del Quirinale

Tutti della stessa matrice, tutti finalizzati a distruggere autodeterminazione e sovranità. Tutti e tanti altri complotti chiamati rivoluzioni colorate, o sradicamento di popolazioni collocate su depositi di risorse utili al capitale, definito “fughe da fame e guerre”, accompagnati dal plauso di quinte colonne mondialiste, mimetizzate da difensori dei diritti umani. E non è un regime change quello a cui abbiamo assistito in questa primavera arroventata, più che dai gradi, dai degradi della vita politica, civile?  Non lo è quando, subite ingiunzioni da fuori di casa nostra, l’amministratore del condominio butta fuori 17 milioni di inquilini e lo consegna a uno che manco paga l’affitto?

Il laboratorio di Frankenstein

Noi siamo da sempre un laboratorio per operazioni globali. Perlopiù criminogene, sempre antipopolari. Un caso di scuola è la coabitazione tra criminalità organizzata e criminalità politica. Impostaci dagli Usa nel 1945 e felicemente vissuta dai successivi governi di sostanza, o anima, democristiana. Poi adottata a largo raggio. E’ bastata l’incrinatura, provocata da elementi spuri, nella placida consociazione storica tra dominanti e opposizione di sua maestà, consolidatasi in Nato e UE, perché si scatenasse il trambusto cui assistiamo. E’ bastato che qualcuno avesse, alle elementari, espresso qualche dubbio sulla divinità mammonica dell’euro,  è bastato che riecheggiasse al di sotto delle Alpi la formula “prima gli italiani”, che si prendesse sul serio un possibilissimo reddito di cittadinanza. E’ bastato che si sfiorasse la parola “ambiente”, si sospettasse che quest’Europa dell’austerity non serve che a trasferire grana e grano dal basso in alto, che i migranti servissero a farci pagare con le noccioline. Basta e avanza alla grande che si sia osato esprimere riserve sulle missioni militari, come sulla guerra alla Siria.

Mamma li russi!

E qui entriamo in un capitolo che alle sinistre è ostico da quando, con il crollo del muro, è finito il loro punto geopolitico di riferimento e si sono accomodati sotto quello uccidentale. Assolutamente terrorizzante rispetto a un piano strategico coccolato da Yalta in poi era il profumno geopolitico che aleggiava sopra il contratto Salvimaio: un rapporto con la Russia non basato su russofobia a 360 gradi, minacce nucleari, terroristi e provocatori False Flag, satanizzazione di Putin. E che rifiutava le sanzioni, cosa che, vista l’unanimità richieste in queste cose dall’UE, minacciava di far saltare un accerchiamento all’orso russo ininterrottamente progredito da Bush Senior a Trump. Possiamo giurarci che qui, sul negoziato al Quirinale, si è abbattuta, come un rigore di Ronaldo, la gamba tesa di Washington.

Ma, più di ogni altra cosa, è bastato a sconvolgere l’élite il riecheggiare da un capo all’altro della penisola del termine anatemizzato, intollerabile, funesto, coda del diavolo: sovranità. Che poi è sinonimo di libertà. Parole brevi, secche, tronche. Ma ci sono morti in troppi per dimenticarle.

A prescindere dalla maggiore o minore qualità dei politici che hanno dato voce a queste “impertinenze”, quello che ha fatto aprire le porte dell’inferno sono stati i 17 milioni di italiani che,  coscienti perché dotati della maschera antigas dell’intelligenza, hanno dato la maggioranza a un impeto di contrasto e cambiamento. E non sono neanche i soli. Vediamo, ora, cosa si inventeranno per fermarli. Quegli altri sono pochi, ma capaci di tutto. E, visto che la Chiesa si è subito sbracciata in difesa dell’uomo al Quirinale, cioè della divinità parallela Mercati,  hanno dalla loro anche il papa.

 Sguardo innocente

Pubblicato da Fulvio Grimaldi alle ore 18:53

Corte dei Conti, il costo allo Stato di ogni richiedente asilo è di 203 euro al giorno. (altro che 35)

ma no, è solo buon cuore e spirito di solidarietà, mica business colossale che coinvolge tante cosche/coop ma non solo, lobbies tipo gli avvocati che trattano le pratiche, operatori telefonici che incassano per le utenze, anche i fornitori di energia elettrica e gas…affitto degli alberghi

E’ solo per bontà d’animo, i terremotati possono stare nelle casette in mezzo alla neve, le famiglie possono essere sfrattate e vivere in macchina con i bambini, loro non fruttano soldi alle mafie dell’immigrazione. La corte dei conti ora sarà additata come un covo di nazisti, fascisti, leghisti, razzisti etc etc etc
Corte dei Conti, il costo allo Stato di ogni richiedente asilo è di 203 euro al giorno. (altro che 35)
Per l’accoglienza degli immigrati sul territorio italiano, nel 2016, il Fondo nazionale per le politiche e i servizi dell’asilo, gestito dal Ministero dell’interno, senza includere i costi c.d. “indiretti”, ha registrato impegni finanziari per complessivi 1,7 miliardi di euro.
Anche l’Unione europea, per la stessa annualità, ha contribuito con finanziamenti per 46,8 milioni di euro che rappresentano però solo il 2,7 per cento rispetto all’onere gravato sul bilancio dello Stato e sulle spalle dei cittadini italiani.
A ciò deve aggiungersi che per il Paese il costo delle mancate ricollocazioni di migranti negli altri stati europei, alla data del 15 ottobre 2017, ammonta a non meno di 762,5 milioni.
Il documento tecnico contabile ha analizzato, specificatamente per il triennio 2013/2016, la prima accoglienza ossia i servizi resi agli stranieri dallo sbarco fino alla sistemazione nei Cas e successivamente nei Cara. Sono emersi costi elevati a fronte di servizi scarsi, assenza di controlli fiscali adeguati, tempi lunghi per identificazione e domande di asilo, governance territoriale carente da parte del Viminale nei centri di raccolta.
Insomma secondo la corte dei conti il sistema dell’accoglienza sarebbe costoso, inefficace e sommario. Il sistema di gestione dell’accoglienza agli immigrati finito sotto la lente della Corte dei conti ha messo in luce, in un compendio di 150 pagine, tutte le evidenti criticità del fenomeno.
Quando si vanno ad esaminare i costi per le suddette disamine dei documenti per le richieste di asilo viene fuori che nel 2016 sono stati impegnati ben 13,4 milioni di euro mentre, dal 2000 a oggi ben 54,5 milioni.
Vale a dire che in media per valutare l’ipotesi di protezione di ogni immigrato, tra il 2008 e il 2016, si sono spesi 203,95 euro al giorno.
Troppo a fronte del fatto che meno del 10 per cento viene classificato di fatto un rifugiato.
magistrati contabili inoltre dopo aver puntato l’indice hanno anche comminato la dovuta sanzione sulle inadempienze contabili di alcune prefetture che accertavano le spese avvalendosi di autocertificazioni a firma di coop e onlus che si occupavano del servizio di accoglienza.
L‘indagine puntuale è stata svolta in 4 prefetture campione: Treviso, Prato, Avellino e Reggio Calabria.
Nella struttura di Avellino il costo di un migrante è arrivato a toccare i 50,39 euro al giorno + iva ovviamente (a fronte dei 35 + iva); quanto presso il Cas di Reggio Calabria sono emersi una serie di affidamenti diretti troppo agevoli rispetto alle modalità consuete che prevedono invece appositi bandi di gara. Un’attenzione ulteriore ha riguardato il Cie di Modena (Centro identificazione ed espulsione): il costo quotidiano per ogni immigrato detenuto è stato valutato da 56,16 euro fino a 167,81.
Nel 2016, 123.600 persone ….
Leggete il resto su La Voce del Trentino

Bannon attacca Mattarella: “Tolta la sovranità all’Italia, è disgustoso”

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eppure certi italioti danno ragione a Mattarella….se davvero tale impeachment era infondato come sostiene qualcuno, che vuol far cadere nel dimenticatoio questo golpe bianco, come mai al ritiro di Di Maio di tale opzione, Mattarella riapre il tavolo?

Roma, 29 mag 2018 – In questi giorni Steve Bannon è in Italia e ha dunque potuto seguire da vicino gli ultimi sviluppi politici del nostro Paese, con Mattarella che ha impedito a Lega e M5S di formare il governo. E l’ex braccio destro e artefice della campagna elettorale vittoriosa di Donald Trump, nell’analisi degli eventi, ci va giù pesante: «Ciò che è successo ieri è disgustoso, è stata violata la sovranità dell’Italia, ad opera di poteri stranieri, media stranieri, capitali stranieri», ha detto durante un incontro pubblico con la stampa a Roma. «L’Italia era in un momento storico – prosegue Bannon – perché il suo popolo voleva riprendersi il suo Paese, come gli inglesi votando per la Brexit. Ma invece gli è stata tolta la sovranità. Hanno rifiutato un governo scelto dal popolo con oltre il 60% per metterci un altro burocrate che arriva dal Fondo monetario internazionale [Cottarelli, ndr]. Inconcepibile».
Secondo Bannon, l’azione di Mattarella avrebbe volutamente favorito quello che lui chiama il “partito di Davos”, cioè il fronte compatto dei poteri forti e dei mercati finanziari. La stoccata al presidente della Repubblica, seppur non nominato, è forte: «L’Italia è in una crisi di sovranità, non provocata dal popolo italiano ma dal “partito di Davos”. Combattono il popolo mentre questo cerca di riprendersi la sua sovranità. E come scusa usano lo spread, è disgustoso». Bannon fa inoltre mostra delle sue simpatie per Lega e M5S: «Movimento Cinque Stelle e Lega, un partito populista di sinistra e uno populista di destra hanno fatto insieme qualcosa di straordinario, qualcosa mai fatto prima nella storia, riuscendo a unire populisti di diverso orientamento, lavorando su un programma comune che ha senso e mettendo da parte le proprie posizioni personali, mostrando grande abilità e saggezza».
«I loro leader – prosegue Bannon – avevano anche fatto un passo indietro, avevano messo da parte le loro differenze per formare un governo populista. Per capire la difficoltà della sfida è stato come mettere assieme Bernie Sanders e Donald Trump. Noi in America non ci siamo riusciti, voi in Italia stavate per riuscirci, anzi, c’eravate riusciti. Ma il governo del cambiamento è stato stoppato prima». Bannon, però, è tutt’altro che pessimista per quanto riguarda il futuro: «Il partito di Davos, di Berlino, di Londra, di Wall Street vuole impedire un governo populista e nazionalista in Italia. E da qui alle prossime elezioni l’intensità degli attacchi, politici, giornalistici e finanziari aumenterà. Ne vedremo delle belle. Ma per il partito di Davos sarà tutto inutile. Aver impedito la nascita del governo Conte è stato fatale, ha creato i prodromi della sua sconfitta».
Vittoria Fiore

Cottarelli con la lista dei ministri 12 ore dopo l’incarico. Il colpo di Stato era già pronto

Mattarella sa benissimo che Cottarelli non avrà la fiducia, così potrà sciogliere le Camere e azzerare la maggioranza di Lega e M5

Questo era ieri, pare che ora le trattative si riaprono creando un governo sterile, stessa maggioranza MA SENZA PROGRAMMA, un capolavoro. Che lo scopo di quei sondaggi sia di frantumare l’alleanza con i 5S? Visti i risultati oggi 30 maggio…
Roma, 29 mag 2018 – Le “nuove elezioni” fanno parte del colpo di Stato fin dal principio. Tutti ci siamo chiesti che senso aveva mandare Cottarelli in Parlamento dove non avrà la fiducia, “obbligando” così il presidente della Repubblica a sciogliere le Camere. Ma era proprio questo il fine ultimo: azzerare la maggioranza M5S-Lega, che è la saldatura politica della piccola e media borghesia del Nord e del Sud prima divisa, e quindi sterilizzata, fra centrodestra e centrosinistra. E quindi il colpo di Stato non si è esaurito sabato, è in pieno svolgimento e finalizzato a cancellare un Parlamento regolarmente eletto, perché senza la sua eliminazione non sarebbe possibile altro governo se non quello “rifiutato” dal Quirinale.
Nel frattempo mezzibusti, spread, borsa in calo etc. avranno il compito di confondere e intimidire l’elettorato e, se non proprio riportarlo alla Seconda Repubblica, almeno riportare Lega e M5S su posizione divise, l’uno preda di Berlusconi e l’altro del Pd. Andare a votare ad agosto invece che a ottobre serve a mascherare il colpo di Stato all’opinione pubblica (appena Cottarelli manca la fiducia sciogliamo le Camere, siamo democratici), ad eliminare da subito il Parlamento uscito il 4 marzo e, nello stesso tempo, chiudere con lo spread pilotato e la borsa in calo, cosa insostenibile per oltre due-tre mesi.
Solo così si spiega Cottarelli con la lista dei ministri stile Monti-Bis già pronta 12 ore dopo l’incarico. Sono le “menti raffinatissime” che citava Falcone. In realtà a scompaginare il losco disegno c’è il balzo della Lega al 27,5% e il crollo di Fi all’8%, e se il trend continua in questo senso a votare proprio non ci si va, almeno fino a quando Salvini con le spalle al muro non rompe con M5S e accetta di fare il leader del centrodestra. Magari a Berlusconi gli fanno credere che sarà il prossimo presidente della Repubblica. Andreotti non è morto mai.
Luigi Di Stefano