L’EMISSION QUI COMPLETE L’ANALYSE : COMMENT UN ‘PARTI DE LA GUERRE’ AMERICANO-ISRAELIEN A CIBLE TEHERAN ? COMMENT IL ENTEND FAIRE LA GUERRE A L’IRAN …

LM DAILY / COMPLEMENT 224 ter

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE-TV

VIGNETTEdebatpompeo

Débattant sur les menaces de l’administration Trump contre l’Iran, le géopoliticien Luc MICHEL explique que la crise iranienne résulte de la montée en puissance d’un « parti de la guerre » américano-israélien, dont le programme a toujours été la rupture des accords de Genève. Et dont l’élection de Trump a été le choix, au travers d’un scénario électoral planifié.

Le « regime change » en Iran, la guerre économique (sanctions) et l’agression militaire font partie des armes fourbies contre Téhéran …

L’Iran a menacé de déposer une plainte en justice contre les États-Unis après les récentes déclarations faites par le secrétaire d’État Mike Pompeo qui a évoqué l’adoption de nouvelles sanctions. « Les États-Unis prennent le risque d’être traduits en justice s’ils continuent de s’ingérer dans les affaires intérieures de l’Iran », a déclaré lundi le ministère iranien des Affaires étrangères, commentant les récents propos du secrétaire d’État américain Mike Pompeo. « La République islamique d’Iran considère les déclarations scandaleuses du secrétaire d’État américain comme une ingérence flagrante dans ses affaires intérieures et comme une menace illégale contre un État membre de l’ONU. Elle se réserve le droit d’intenter des poursuites judiciaires », a indiqué le ministère dans un communiqué. « Les remarques insignifiantes, inconsistantes et insultantes du nouveau secrétaire d’État américain et son attitude inacceptable envers la grande nation iranienne témoignent du désespoir et de l’impuissance des responsables du gouvernement américain envers les Iraniens », a poursuivi le ministère.

Intervenant lundi à la Heritage Foundation à Washington (un lobby néo-conservateur, proche des « vitrines légales de la CIA » et des réseaux néocons), M. Pompeo a exposé les exigences principales des États-Unis. Selon lui, l’Iran doit mettre fin à son programme nucléaire et balistique, réduire son « influence malveillante » dans la région, en retirant notamment ses troupes de Syrie, et cesser de s’ingérer dans les conflits de la région et de soutenir des groupes tels que le Hezbollah. M. Pompeo a promis d’exercer des pressions financières sans précédent sur Téhéran et a estimé que tous les pays, y compris les membres de l’UE, devaient se rallier aux futures sanctions contre l’Iran.

* Voir sur PCN-TV/

PRESS TV (IRAN) DEBAT AVEC LUC MICHEL:

POMPEO MENACE, L’IRAN REPOND (23 MAI 2018)

sur https://vimeo.com/271821284

# L’ANALYSE DE REFERENCE :

* LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY/

PROCHE-ORIENT. LE PARTI DE LA GUERRE AMERICANO-ISRAELIEN (I) : COMMENT CHANGER LE REGIME EN IRAN LM DAILY 224 LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

sur http://www.lucmichel.net/2018/05/24/luc-michels-geopolitical-daily-proche-orient-le-parti-de-la-guerre-americano-israelien-i-comment-changer-le-regime-en-iran/

_____________________________

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

Géopolitique – Géoéconomie – Géoidéologie – Géohistoire – Géopolitismes – Néoeurasisme – Néopanafricanisme (Vu de Moscou et Malabo) :

PAGE SPECIALE Luc MICHEL’s Geopolitical Daily https://www.facebook.com/LucMICHELgeopoliticalDaily/

LUC MICHEL PAGE OFFICIELLE I/

https://www.facebook.com/Pcn.luc.Michel/

WEBSITE http://www.lucmichel.net/

LUC MICHEL Official International Fan Club https://www.facebook.com/groups/LUCMICHEL.OfficialFanClub/

PROCHE-ORIENT. LE PARTI DE LA GUERRE AMERICANO-ISRAELIEN (I) : COMMENT CHANGER LE REGIME EN IRAN

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Luc MICHEL pour EODE/

Quotidien géopolitique – Geopolitical Daily/

2018 05 24/

zaw1

« Les Iraniens doivent choisir quel type de gouvernement ils veulent »

– Mike Pompeo, secrétaire d’Etat américain (ce 21 mai).

« Les Iraniens doivent choisir quel type de dirigeants ils veulent »

– Mike Pompeo (ce 22 mai).

« Trump est un président dur qui est déterminé à aboutir à un changement de régime »

– Rudy Giuliani, ancien maire de New-York, avocat de Trump

(devant des opposants iraniens en exil ce 7 mai).

« Les exigences de Pompeo ont pour but de renverser le régime des ayatollah. Je pense que c’est le projet de Washington »

– Ram Ben Barak, ancien directeur adjoint du Mossad (ce 22 mai).

« Le ton monte entre l’Iran et les États-Unis: Téhéran refuse la “pression maximale” mise par Washington », commentait hier l’AFP. En annonçant qu’ils allaient « mettre l’Iran sous pression maximale », les Etats-Unis confirment qu’ils veulent faire plier l’Iran afin qu’il « change d’attitude ». « Pour peu, certains iraient jusqu’à penser que Washington ne dédaignerait pas que celui-ci soit renversé et remplacé », ajoute avec pertinence l’agence française . « L’Iran n’aura plus jamais carte blanche pour dominer le Moyen-Orient », a déclaré lundi le secrétaire d’Etat américain, Mike Pompeo, dans un discours exposant la nouvelle stratégie de Washington dans la région. Le chef de la diplomatie américaine a promis que les Etats-Unis allaient exercer une « pression financière sans précédent sur le régime iranien, en instaurant “les sanctions les plus fortes de l’Histoire ».

# PARTIE I –

NE PAS SE TROMPER SUR LA NATURE VERITABLE DE LA CRISE DU NUCLEAIRE IRANIEN

La tension instaurée par Washington n’est pas « une étape vers la guerre ». Elle est un nouveau stade d’un état de guerre rampant, caractéristique des conflits voulus et planifiés par les USA depuis la Fin de la Guerre froide. Un état où la « guerre n’est plus la continuation de la politique par d’autres moyens », selon la formule célèbre de Clausewitz. Mais où la Guerre se continue par tous les moyens, phénomène non plus de « rupture », brutale, comme le conceptualisait le Géostratège allemand (inspiré par Napoléon Ier), mais confrontation rampante. Où se mêlent agression militaire classique, déstabilisation, guerre économique, pressions diplomatiques, guerre médiatique, soft power, sanctions, « révolutions de couleur », théorie des dominos (au cœur du « printemps arabe », ou de son clone le « printemps africain »), une symphonie multiforme qui conduit au « regime change ». L’Iran est confronté à cette agression multiple depuis près d’une décennie.

Mais avec Trump, le « parti de la guerre » israélo-américain – alliance du Likoud, du lobby pro-israélien US AIPAC (bipartisan), des généraux faucons du Pentagone (au cœur du Régime Trump), de la Droite républicaine, des évangélistes et des néocons issus du Régime Bush II – est arrivé au pouvoir !

LA CRISE OUVERTE PAR TRUMP DISSIMULE UNE TRIPLE GUERRE CONTRE TEHERAN

Je peux ainsi résumer ma vision du dossier du Nucléaire iranien et des Accords de Genève : dès la candidature de Trump, qui n’est pas un “candidat hors système” mais bien au contraire le choix des lobbies aux USA opposés à ces accords”, la crise actuelle était clairement annoncée. Le retrait américain du PGAC n’est pas une « étape vers la guerre », comme l’expliquent à tord de nombreux journalistes, mais il est le nouveau stade d’un conflit où se positionne une triple guerre lancée par Washington …

Dans une interview pour la télévision d’Etat francophone iranienne, j’ai analysé cette triple guerre :

– guerre Israël vs Iran (pour la « parité stratégique » au Proche-Orient),

– guerre économique US contre l’Iran, où les sanctions économiques sont une des voies américaines vers la « révolution de couleur » (« révolution verte » – sic – dès les élections de 2010) et le « changement de régime » à Téhéran,

– guerre classique (en préparation) contre l’Iran, où la confrontation s’est déjà amorcée par des guerres locales par procuration (« proxy wars », en Syrie, au Liban, en Irak, au Yemen)

* Voir sur PCN-TV/

PRESS TV (IRAN) INTERROGE LUC MICHEL:

COMMENT LE RETRAIT AMERICAIN DU PGAC EST UNE TRIPLE GUERRE LANCEE PAR WASHINGTON

sur https://vimeo.com/270606245

LA VOLONTE AMERICAINE DE CHANGER LE REGIME IRANIEN

La volonté de changer le régime iranien, l’illusion (qui a déjà coûté si cher en Irak, en Syrie et en Libye) fallacieuse entretenue par des intellectuels et une opposition fantoche en exil que « la rue iranienne va se soulever », l’auto-intoxication des idéologues américains sur la nature de leurs adversaires (en Iran comme ailleurs), et surtout la croyance au rôle absolu des sanctions (guerre économique), tout conduit à la volonté de « regime change » à Téhéran. Un Trump ou un Pompeo expriment caricaturalement cet objectif ultime.

Dans un débat consensuel pour la télévision d’Etat francophone iranienne, j’ai analysé cette victoire du « parti de la guerre ». J’y explique que la crise iranienne résulte de la montée en puissance de ce « parti de la guerre » américano-israélien, dont le programme a toujours été la rupture des accords de Genève. Et dont l’élection de Trump a été le choix, au travers d’un scénario électoral planifié.

Le « regime change » en Iran, la guerre économique (sanctions) et l’agression militaire font partie des armes fourbies contre Téhéran :

* Voir sur PCN-TV/

PRESS TV (IRAN) DEBAT AVEC LUC MICHEL:

POMPEO MENACE, L’IRAN REPOND (23 MAI 2018)

sur https://vimeo.com/271821284

# PARTIE II –

COMMENT WASHINGTON TRAVAILLE A UN CHANGEMENT DE REGIME A TEHERAN ?

Intervenant lundi à la Heritage Foundation à Washington (un lobby néo-conservateur, proche des « vitrines légales de la CIA » et des réseaux néocons), M. Pompeo a exposé les exigences principales des États-Unis. Selon lui, l’Iran doit mettre fin à son programme nucléaire et balistique, réduire son « influence malveillante » dans la région, en retirant notamment ses troupes de Syrie, et cesser de s’ingérer dans les conflits de la région et de soutenir des groupes tels que le Hezbollah. M. Pompeo a promis d’exercer des pressions financières sans précédent sur Téhéran et a estimé que tous les pays, y compris les membres de l’UE, devaient se rallier aux futures sanctions contre l’Iran.

“LES IRANIENS DOIVENT CHOISIR QUEL TYPE DE GOUVERNEMENT ILS VEULENT” (POMPEO)

« Les Iraniens doivent choisir quel type de dirigeants ils veulent » : la petite phrase du secrétaire d’Etat américain Mike Pompeo a relancé les spéculations sur la volonté des Etats-Unis d’oeuvrer à un changement de régime en Iran. « Au bout du compte, le peuple iranien devra faire un choix sur ses dirigeants », avait-il lancé lundi en dévoilant les conditions drastiques émises par Washington pour renouer avec Téhéran, assorties de la menace de sanctions « les plus fortes de l’histoire » et d’une « pression financière sans précédent sur le régime iranien ». Il l’a répété mardi devant la presse. « Les Iraniens doivent choisir quel type de gouvernement ils veulent », a-t-il insisté.

De nombreux experts y ont vu, comme moi, l’aveu d’une stratégie dont l’objectif final est d’aboutir à la chute du régime né de la Révolution islamique de 1979, à la suite de laquelle les relations américano-iraniennes ont été rompues. Une idée défendue par les milieux néoconservateurs (les néocons du régime Bush II se sont ralliés à Trump) et chargée en symboles aux Etats-Unis depuis l’intervention de 2003 en Irak pour renverser Saddam Hussein, aujourd’hui largement considérée comme une erreur, y compris par le président Donald Trump.

LA NATURE FONDAMENTALEMENT ANTI-IRANIENNE DU REGIME TRUMP

Interrogée mardi, la porte-parole du département d’Etat Heather Nauert a d’abord nié que les Américains travaillent ouvertement à un changement de régime. Mais elle n’a pas caché qu’ils ne le verraient pas d’un mauvais oeil. « Notre politique n’est pas le changement de régime. Mais si les Iraniens devaient décider, à un moment donné, d’exprimer leurs opinions, ce serait très bien », a-t-elle dit, évoquant la « frustration croissante » de la population iranienne qui « vit depuis bien trop longtemps sous un régime qui les maltraite ».

Le président Trump lui-même avait alimenté les interrogations le 8 mai, en estimant que les Iraniens « méritent une nation qui rende justice à leurs rêves ». Et son avocat personnel Rudy Giuliani a récemment fait l’éloge devant des opposants iraniens en exil d’un président « dur » qui est « déterminé à aboutir à un changement de régime ».

Des experts notent d’ailleurs que Donald Trump a récemment nommé deux « faucons » à des postes-clés: Mike Pompeo aux Affaires étrangères et John Bolton comme conseiller à la sécurité nationale, qui ont par le passé plaidé pour un changement de régime. « Je suis persuadé que le peuple d’Iran, quand il verra une autre voie où leur pays cesserait de se comporter de la sorte, choisira cette voie », a conclu mardi le secrétaire d’Etat.

LA SATISFACTION DES ISRAELIENS

Ram Ben Barak, ancien directeur adjoint de l’agence d’espionnage du Mossad en Israël, a déclaré mardi que les exigences de Pompeo avaient pour but de renverser le régime des ayatollah. « Je pense que c’est le projet de Washington », a déclaré Ben Barak à la radio de l’armée lorsqu’on lui a demandé si l’immense pression financière que Pompeo a demandée créerait une crise économique si grave qui renverserait le régime islamique.

LES MENACES OUVERTES DE FRAPPE MILITAIRE DE POMPEO

  1. Pompeo à la Heritage Foundation, dans son premier grand discours décrivant la stratégie de Washington pour mettre un terme aux ambitions nucléaires de l’Iran et à son comportement régional « malveillant », ne s’est pas contenté d’évoquer les sanctions économiques.

Le nouveau diplomate en chef du président américain Donald Trump a également fait allusion à la possibilité d’une action militaire au cas où les dirigeants iraniens décideraient de reprendre leur programme nucléaire. « S’ils redémarrent leur programme nucléaire, ils auront de gros problèmes, de plus gros problèmes qu’ils n’en ont jamais eu auparavant », a-t-il dit. Pompeo a également menacé d’“écraser” les mandataires terroristes de l’Iran dans le monde entier.

Pompeo a exigé que l’Iran révèle tous ses travaux nucléaires passés, arrête complètement son enrichissement d’uranium, donne à l’Agence internationale de l’énergie atomique « un accès sans réserve à tous les sites du pays », arrête le développement et les essais de missiles balistiques, cesse son soutien aux « groupes terroristes » du Moyen-Orient et « respecte la souveraineté du gouvernement irakien ».

Les Etats-Unis, répond Téhéran dans une déclaration officielle, n’ont « pas le droit » de dire à l’Iran quelles politiques il doit adopter dans sa propre région, étant donné que « tous les problèmes auxquels est confronté le Moyen-Orient émanent de l’ingérence et de l’empiétement de Washington et des gouvernements dictatoriaux médiévaux de ses alliés ». L’Iran, en revanche, apporte des « mesures de stabilisation et de lutte contre le terrorisme » dans la région et dans le monde. La déclaration dit encore que Téhéran considérait les « remarques effrontées » de Pompeo comme « une ingérence flagrante dans ses affaires intérieures et une menace illégale contre un membre des Nations Unies ».

(Sources : Fars – AFP – Press TV – PCN-TV – Times of Israel – EODE Think Tank)

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

Géopolitique – Géoéconomie – Géoidéologie – Géohistoire –

Géopolitismes – Néoeurasisme – Néopanafricanisme

(Vu de Moscou et Malabo) :

PAGE SPECIALE Luc MICHEL’s Geopolitical Daily

https://www.facebook.com/LucMICHELgeopoliticalDaily/

________________

* Luc MICHEL (Люк МИШЕЛЬ) :

WEBSITE http://www.lucmichel.net/

PAGE OFFICIELLE III – GEOPOLITIQUE

https://www.facebook.com/Pcn.luc.Michel.3.Geopolitique/

TWITTER https://twitter.com/LucMichelPCN

* EODE :

EODE-TV https://vimeo.com/eodetv

WEBSITE http://www.eode.org/

NOUVELLE PROVOCATION CONTRE MOSCOU (III) :   NOVOROSSYA INFO/ НОВОРОССИЯ ИНФО / НОВОСТИ РЕСПУБЛИКИ ДОНБАС И УКРАИНЫ –

# NOVOROSSYA INFO/

 

DONBASS REPUBLICS & UKRAINE NEWS – 25 MAI 2018

Crash MH17: les Pays-Bas n’ont présenté “aucun fait” permettant d’accuser la Russie

Publié le vendredi 25 mai 2018 à 13h31 à MOSCOU (Russia)
NOVO - LM mh17 back III lavrov (2018 05 25) FR

Les Pays-Bas n’ont présenté “aucun fait” permettant d’accuser la Russie et “spéculent (…) à des fins politiques” sur la catastrophe du vol MH17, abattu en 2014 au-dessus de l’Ukraine, a accusé vendredi le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov.Le ministre néerlandais des Affaires étrangères Stef Blok “ne m’a apporté aucune preuve” que le missile ayant abattu le vol MH17 appartenait à l’armée russe, a déclaré M. Lavrov après une conversation téléphonique avec son homologue néerlandais, au lendemain de la publication des résultats de l’enquête internationale accusant la Russie. M. Lavrov a estimé que les Pays-Bas “spéculent” sur cette catastrophe “à des fins politiques”. (Belga)

LA CONTRE-ENQUETE RUSSE DE 2016 QUI DEMONTE LES ACCUSATIONS CONTRE LA RUSSIE :

* Voir sur PCN-TV/

LUC MICHEL :

CRASH DU MH17. LA CONTRE-ENQUETE RUSSE (MINISTERE DE LA DEFENSE ET FABRIQUANT BUK) INVALIDE L’ENQUETE INTERNATIONALE ET CONDUIT A S’INTERROGER SUR LE PARTI-PRIS DE SES EXPERTS OCCIDENTAUX …

sur https://vimeo.com/185230516

* Et voir sur PCN-TV/

CRASH DU VOL MH17 AIR MALAISIA:

LES PREUVES DE LA CONTRE-ENQUETE DES EXPERTS DE BUK (RUSSIE) QUI INVALIDE L’ENQUETE INTERNATIONALE !

(28 septembre 2016)

sur https://vimeo.com/184832497

________________________

# КООРДИНАЦИОННЫЙ ЦЕНТР НОВОРОССИИ /

Поддержка Союза народных республик НОВОРОССИИ /

(Народные республики Донецк – ДНР – и Луганск – ЛНР)

# NOVOROSSIYA COORDINATION CENTER/

Support to the Union of the People Republics of NOVOROSSIYA /

(People Republics of Donetsk – DNR – and Lugansk – LNR)

https://www.facebook.com/novorossiya.center/

 

http://www.scoop.it/t/novorossiya

* Go to LIKE  our Official Page on/

Зайдите на нашу официальную страницу:

https://www.facebook.com/novorossiya.center/

* Read NOVOROSSIYA INFO/

Читайте НОВОРОССИЯ ИНФО:

(Русский – English – French)

http://www.scoop.it/t/novorossiya

 

NOUVELLE PROVOCATION CONTRE MOSCOU (II) : MOSCOU AFFIRME QUE LE MISSILE TIRE SUR L’AVION MH17 D’AIR MALAYSIA EN 2014 N’ETAIT PLUS UTILISE PAR L’ARMEE RUSSE, MAIS BIEN PAR L’ARMEE UKRAINIENNE !

 

NOVOROSSYA INFO/ НОВОРОССИЯ ИНФО /

НОВОСТИ РЕСПУБЛИКИ ДОНБАС И УКРАИНЫ –

DONBASS REPUBLICS & UKRAINE NEWS – 25 MAI 2018
NOVO - LM mh17 back II (2018 05 25) FR

Moscou affirme que le missile tiré sur l’avion n’était plus utilisé par l’armée russe !

Les enquêteurs internationaux de la Joint Investigation Team (JIT) – dont les « preuves », collectées sur les réseaux sociaux,  ne sont pas issues d’un travail professionnel, mais de ‘Bellingscat’, une officine de « journalisme citoyen » (sic) – ont affirmé ce jeudi que « l’avion de la Malaysia Airlines MH17 avait été abattu par un missile Buk tiré par l’armée russe ».

Mais « le modèle évoqué par les enquêteurs n’est plus utilisé par la Russie depuis 2011 », a répondu vendredi le ministère russe de la Défense, cité par des médias locaux. Ces missiles anti-aériens ont été conçu à l’époque soviétique, en 1986. « Ils ont été mis hors service après 25 ans, soit en 2011, pour être remplacés pour des raisons de sécurité par des versions plus modernes », indique le ministère.

L’UKRAINE DISPOSE TOUJOURS DE VINGT MISSILES ANTI-AERIENS BUK !

Selon Moscou, « l’Ukraine dispose de vingt missiles anti-aériens Buk et n’a jamais remplacé son arsenal depuis 1991 ». La Russie « se demande pourquoi les enquêteurs du JIT ne communiquent pas l’endroit où le missile a été retrouvé et de qui ils l’ont obtenu ». Le ministère soupçonne que « l’origine de la “preuve” est délibérément gardé secret parce que le missile vient probablement des forces armées ukrainiennes ».

(interfax – Belga)

LA CONTRE-ENQUETE RUSSE DE 2016 QUI DEMONTE LES ACCUSATIONS CONTRE LA RUSSIE :

* Voir sur PCN-TV/

LUC MICHEL :

CRASH DU MH17. LA CONTRE-ENQUETE RUSSE (MINISTERE DE LA DEFENSE ET FABRIQUANT BUK) INVALIDE L’ENQUETE INTERNATIONALE ET CONDUIT A S’INTERROGER SUR LE PARTI-PRIS DE SES EXPERTS OCCIDENTAUX …

sur https://vimeo.com/185230516

* Et voir sur PCN-TV/

CRASH DU VOL MH17 AIR MALAISIA:

LES PREUVES DE LA CONTRE-ENQUETE DES EXPERTS DE BUK (RUSSIE) QUI INVALIDE L’ENQUETE INTERNATIONALE !

(28 septembre 2016)

sur https://vimeo.com/184832497

________________________

# КООРДИНАЦИОННЫЙ ЦЕНТР НОВОРОССИИ /

Поддержка Союза народных республик НОВОРОССИИ /

(Народные республики Донецк – ДНР – и Луганск – ЛНР)

# NOVOROSSIYA COORDINATION CENTER/

Support to the Union of the People Republics of NOVOROSSIYA /

(People Republics of Donetsk – DNR – and Lugansk – LNR)

https://www.facebook.com/novorossiya.center/

http://www.scoop.it/t/novorossiya

* Go to LIKE  our Official Page on/

Зайдите на нашу официальную страницу:

https://www.facebook.com/novorossiya.center/

* Read NOVOROSSIYA INFO/

Читайте НОВОРОССИЯ ИНФО:

(Русский – English – French)

http://www.scoop.it/t/novorossiya

NOUVELLE PROVOCATION CONTRE MOSCOU (I) : LES PAYS-BAS ET L’AUSTRALIE ACCUSENT LA RUSSIE D’AVOIR ABATTU LE VOL MH17 D’AIR MALAYSIA AU-DESSUS DE DONETSK EN 2014 … APRES UNE ‘ENQUETE’ SUR LES RESEAUX SOCIAUX

LM pour NOVOROSSYA INFO/ НОВОРОССИЯ ИНФО / НОВОСТИ РЕСПУБЛИКИ ДОНБАС И УКРАИНЫ – DONBASS REPUBLICS & UKRAINE NEWS – 24 MAI 2018

NOVO - LM mh17 back I (2018 05 24) FR

Les Pays-Bas (porte-avion des USA en Europe et chien courant de

l’OTAN) et l’Australie (principal plate-forme politiquo-militaire US dans le Pacifique) ont accusé ce vendredi la Russie « de la mort de leurs citoyens dans le vol MH17 » abattu par un missile au-dessus de l’Ukraine en 2014, une déclaration qui « ouvre la voie à une action légale internationale », disent les médias de l’OTAN. Cette annonce intervient au lendemain des « conclusions » biaisées des enquêteurs internationaux (JIT), qui auraient « établi que le missile Bouk qui a abattu l’avion de Malaysia Airlines provenait de la 53e brigade anti-aérienne russe basée à Koursk » … après une enquête sur les réseaux sociaux (sic). La Russie a catégoriquement démenti.

 

Les Pays-Bas et l’Australie, dont de nombreux ressortissants étaient parmi les 298 victimes, « tiennent la Russie responsable pour sa participation dans la destruction » de l’avion, indique le très atlantiste gouvernement néerlandais. »Les deux pays peuvent désormais soumettre ce dossier complexe devant une organisation ou juge international », selon la même source. « Le gouvernement agit ainsi pour rendre la Russie officiellement responsable”, selon le gouvernement néerlandais ».

Dans la foulée, l’Union européenne (devenue le bras politique de

l’OTAN) et l’OTAN ont exhorté la Russie à reconnaître sa « responsabilité et à coopérer pleinement avec tous les efforts visant à établir l’imputabilité » (sic) de la destruction du Boeing de la compagnie Malaysia Airlines qui avait été abattu au-dessus de l’Est séparatiste prorusse de l’Ukraine le 17 juillet 2014.

MOSCOU A UNE NOUVELLE FOIS ET AVEC RAISON NIE TOUTE IMPLICATION DANS LE DRAME.

Les Pays-Bas n’ont présenté “aucun fait” permettant d’accuser la Russie et “spéculent (…) à des fins politiques” sur la catastrophe du vol MH17, a accusé vendredi le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov. Le ministre néerlandais des Affaires étrangères Stef Blok “ne m’a apporté aucune preuve” que le missile ayant abattu l’avion appartenait à l’armée russe, a déclaré M. Lavrov après une conversation téléphonique avec son homologue néerlandais.

Interrogé sur les conclusions internationales jeudi soir au cours d’une conférence de presse avec son homologue français Emmanuel Macron, le président russe Vladimir Poutine a dit ne “pas être au courant des détails” en dénonçant le fait que la Russie ne participe pas à cette équipe d’enquêteurs contrairement à l’Ukraine. Ce qui dit tout !

L’équipe internationale aurait « minutieusement recréé la route empruntée par le convoi militaire depuis Koursk à travers la frontière ukrainienne » (sic) … en utilisant des photos et des vidéos collectées sur les réseaux sociaux !!! Les enquêteurs n’ont en revanche pas dit qui a tiré le missile en appelant « les témoins à apporter des précisions sur les noms des membres de l’équipage du Bouk ou la nature de l’ordre qu’ils ont reçu » (resic).

De son côté, l’armée russe a affirmé que « le missile dont une partie a été présentée par les enquêteurs internationaux jeudi avait été fabriqué en 1986 en URSS, selon le numéro gravé dessus ». Or, « tous les missiles fabriqués en cette année-là ont été retirés du service après 2011 », assure le ministère russe de la Défense. Les missiles fabriqués en 1986 « appartiennent très probablement aux forces armées ukrainiennes ».

LA CONTRE-ENQUETE RUSSE DE 2016 QUI DEMONTE LES ACCUSATIONS CONTRE LA RUSSIE :

* Voir sur PCN-TV/

LUC MICHEL :

CRASH DU MH17. LA CONTRE-ENQUETE RUSSE (MINISTERE DE LA DEFENSE ET FABRIQUANT BUK) INVALIDE L’ENQUETE INTERNATIONALE ET CONDUIT A S’INTERROGER SUR LE PARTI-PRIS DE SES EXPERTS OCCIDENTAUX …

sur https://vimeo.com/185230516

* Et voir sur PCN-TV/

CRASH DU VOL MH17 AIR MALAISIA:

LES PREUVES DE LA CONTRE-ENQUETE DES EXPERTS DE BUK (RUSSIE) QUI INVALIDE L’ENQUETE INTERNATIONALE !

(28 septembre 2016)

sur https://vimeo.com/184832497

Photo :

La russophobie à nouveau déchaînée, ici un torchon polonais … ________________________

# КООРДИНАЦИОННЫЙ ЦЕНТР НОВОРОССИИ /

Поддержка Союза народных республик НОВОРОССИИ / (Народные республики Донецк – ДНР – и Луганск – ЛНР) # NOVOROSSIYA COORDINATION CENTER/ Support to the Union of the People Republics of NOVOROSSIYA / (People Republics of Donetsk – DNR – and Lugansk – LNR) https://www.facebook.com/novorossiya.center/

http://www.scoop.it/t/novorossiya

* Go to LIKE  our Official Page on/

Зайдите на нашу официальную страницу:

https://www.facebook.com/novorossiya.center/

NOVO - LM mh17 back I (2018 05 24) FR

http://www.scoop.it/t/novorossiya

COMMENT L’ECONOMIE BELGE EST PRISE EN ETEAU DANS LES GUERRES ECONOMIQUES AMERICAINES (LA BELGIQUE MAILLON FAIBLE DE L’OTAN ET DE L’UE ? III)

LM DAILY / 2018 05 23/

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

www

La guerre économique n’est pas quelque chose « qui va arrver » ou « qui pourrait arriver » comme nous le répètent inlassablement les médias de l’OTAN. Les (et pas « la ») guerres économiques sont une réalité de la lutte des USA pour l’hégémonie mondiale depuis le début des Annés ’80.

QUELS SONT CES GUERRES ECONOMIQUES LANCEES PAR LES USA :

– La ‘Guerre commerciale USA vs Europe’ (CEE, devenue UE), qui perdure avec des hauts et des bas depuis le début des Années ’80, et que Trump vient de relancer ;

– La ‘Guerre financière Dollar vs Euro’, qui a éclaté dès le lancement de la monnaie unique européenne, qui s’est immédiatement révélée à la fois rivale et alternative (pour la dédollarisation » de l’économie mondiale) à la monnaie hégémonique US ;

– La ‘Guerre des sanctions contre les états dits « voyous » par Washington’ (dont l’Iran) ;

– La ‘Guerre des sanctions contre la Russie’, ouverte par les crises de Crimée et du Donbass, devenue guerre des sanctions avec la Russie, lorsque Moscou a adopté des contre-sanctions, et qui frappe à la fois l’UE et la Russie, tous deux perdants ;

– La ‘Guerre du gaz et des gazoducs’ ;

– La ‘Nouvelle guerre du pétrole’ (connexe aux autres) et liée au nouveau statut d’exportateur mondial d’hydrocarbures de schistes des USA (depuis 2015, en expansion avec Trump, l’anti-écologiste) ;

– La guerre économique qui s’amorce entre Pékin et Washington ;

– Enfin la ‘Guerre des Mines’ (qui s’étend aux « terres rares »), en Amérique Latine et surtout en Afrique.

AU MILIEU DE CES CONFLITS, LA GRANDE « CONTRADICTION INTERNE », MAJEURE, DU BLOC AMERICANO-OCCIDENTAL

Rappelons la donnée fondamentale du Bloc américano-atlantiste :

Ne jamais oublier la contradiction interne fondamentale du Bloc américano-atlantiste, hégémon Washington et Wall-Street (les USA ont deux capitales) : le principal allié militaro-politique des USA est l’OTAN, mais son principal adversaire économico-financier est l’UE et l’Euro !

D’où une Guerre économique USA-UE depuis le début des années 80 (où le long combat entre Concorde et Airbus vs Boeing est emblématique) ;

D’où dès la création de l’Euro, lancé sur une parité Euro Dollar, une Guerre monétaire Euro-Dollar (où la volonté de remplacer par l’Euro dans les transactions la domination du dollar issue de Bretton Woods par certains producteurs de pétrole – Saddam Hussein, Kadhafi – a joué un rôle dans leur élimination brutale).

Deux voies ont été ouvertes par les USA pour résoudre cette contradiction interne à leur seul profit :

– celle d’Obama, avec les traités transatlantiques (TAFTA et CETA), par « avalement » du marché ouest-européen de l’UE par celui du Bloc nord-américain ;

– celle de Trump et des lobbies militaro-industriels qui l’ont amené au pouvoir, par choc frontal pour briser l’UE.

Au milieu de ces conflits, les économies des pays de l’UE sont prises en éteau. En particulier dans la guerre des sanctions lancée par les USA contre Moscou en 2014. Et dont l’UE et la Russie sont les deux grandes perdantes. Guerre suicidaire, qui profite uniquement aux USA, alors que les économies des « deux Europe », celle de Bruxelles (UE) et celle de Moscou (Espace Economique Eurasiatique), sont strictement complémentaires et appelées à fusionner (de Vladivostok à l’Atlantique).

L’ECONOMIE DE LA BELGIQUE EST PARTICULIEREMENT FRAPPEE

Ce qui explique que la Belgique, comme nous l’avons analysé dans deux grandes analyses, est devenue le maillon faible à la fois de l’UE et de l’OTAN. Et qu’elle joue le rôle de poisson-pilote pour renouer le dialogue avec Moscou. Mais derrière Bruxelles, il y a de puissants réseaux politico-économiques, liés à l’UE où à la Dé&mocratie-chrétienne de l’UE. En particulier ces réseaux allemands, qui derrière l’ancien chancelier Schröder (devenu un des dirigeants du russe Gazprom), sont partisans d’une « orientation à l’Est » de l’Allemagne et de l’UE.

Quelles conséquences possibles aux sanctions ?

Des représailles russes sur des produits européens ?

Il « est évident qu’il y a un risque de représailles russes », comme des embargos commerciaux, a souligné un diplomate européen à l’AFP. La Russie est souvent accusée d’utiliser comme moyen de pression diplomatique l’arme commerciale, notamment avec des motifs sanitaires. Moscou a ainsi menacé lundi de limiter les importations de certains fruits en provenance de l’UE et de poulets en provenance des Etats-Unis au motif que la présence d’un insecte ravageur aurait été découverte.

Plus concrètement, les producteurs de fruits belges s’avouent très inquiets pour leurs cargaisons – essentiellement poires et pommes – car la Russie est leur premier acheteur, à hauteur de 160 millions d’euros. A deux semaines des récoltes, « les dommages seraient incalculables si la Russie fermait ses frontières à nos fruits », s’inquiète un producteur sur RTL Belgique.

Le marché du porc européen est lui aussi touché, depuis l’embargo total de la Russie sur les porcins fin janvier. Les producteurs de l’Ouest européen subissent les conséquences de cette mesure drastique, qui représente un manque à gagner de 4 millions d’euros par jour. En France, l’embargo se fait particulièrement ressentir chez les éleveurs bretons, qui subissent une baisse des prix du porc de 10 %.

Le Brexit et le protectionnisme américain défient les ports belges

Publié le jeudi 24 mai 2018 à 02h01 à ZEEBRUGES (BELGIUM)

Le Brexit et le protectionnisme américain constituent d’importants défis pour l’avenir des ports belges, a déclaré le gouverneur de la Banque nationale de Belgique, Jan Smets, mercredi. Il s’est rendu à Bruges pour la présentation d’un rapport sur les intérêts économiques des sites portuaires belges.La sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne pourrait avoir une influence importante sur Zeebruges, selon M. Smets. “Les liaisons avec la Grande Bretagne représentent 45% du trafic à Zeebruges, soit 17,2 millions de tonnes de marchandises traitées sur un total de 37,1 millions de tonnes. En comparaison, ce ratio est de 13,8 millions de tonnes sur 223,6 millions de tonnes à Anvers. Il est pratiquement établi que la position concurrentielle de Zeebruges dans la région va se détériorer face au Havre ou à Hambourg”, selon le gouverneur de la BNB. Jan Smets espère voir aboutir un accord correct de sortie du Royaume-Uni, comprenant une période de transition de 21 mois à compter de mars 2019. “Mais nous devons aussi nous préparer à un échec”, prévient-il. Vient ensuite le protectionnisme appliqué par le président américain Donald Trump comme autre défi pour l’activité portuaire en Belgique. Les taxes imposées sur le métal ou les importations de véhicules pour régler le déficit commercial américain pourraient poser problème au port d’Anvers. Sur 223,6 millions de tonnes traitées à Anvers, 23,1 millions proviennent du trafic avec les États-Unis. L’état de la conjoncture ouvre néanmoins la porte à l’optimisme, selon le gouverneur. “Il y a un refroidissement temporaire, mais il n’est pas question dans l’Union européenne ou en Belgique de recul de la croissance. Nous ne devons pas être aveugles face aux risques, mais je vois dans nos ports beaucoup de dynamisme, de flexibilité et de créativité. Les ports belges vont certainement rester une importante source de prospérité”, a-t-il conclu. (Belga)

Quelles conséquences possibles aux sanctions ?

Des représailles russes sur des produits européens ?

Il « est évident qu’il y a un risque de représailles russes », comme des embargos commerciaux, a souligné un diplomate européen à l’AFP. La Russie est souvent accusée d’utiliser comme moyen de pression diplomatique l’arme commerciale, notamment avec des motifs sanitaires. Moscou a ainsi menacé lundi de limiter les importations de certains fruits en provenance de l’UE et de poulets en provenance des Etats-Unis au motif que la présence d’un insecte ravageur aurait été découverte.

Plus concrètement, les producteurs de fruits belges s’avouent très inquiets pour leurs cargaisons – essentiellement poires et pommes – car la Russie est leur premier acheteur, à hauteur de 160 millions d’euros. A deux semaines des récoltes, « les dommages seraient incalculables si la Russie fermait ses frontières à nos fruits », s’inquiète un producteur sur RTL Belgique.

Le marché du porc européen est lui aussi touché, depuis l’embargo total de la Russie sur les porcins fin janvier. Les producteurs de l’Ouest européen subissent les conséquences de cette mesure drastique, qui représente un manque à gagner de 4 millions d’euros par jour. En France, l’embargo se fait particulièrement ressentir chez les éleveurs bretons, qui subissent une baisse des prix du porc de 10 %.

En savoir plus sur https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2014/07/30/russie-de-nouvelles-sanctions-et-des-consequences-probables_4464666_4355770.html#yBxoOSe1LePyULlB.99

PCN-TV/ LUC MICHEL : GUERRES DES SANCTIONS ECONOMIQUES USA-UE-RUSSIE ET CONTRE LES MEDIA ANTI-OCCIDENTAUX / SUR LA RADIO IRIBADULTE

sur https://vimeo.com/131976638

PCN-TV avec La Voix de la Russie – lucmichel.net /

2014 07 18 /

Victoria Issaïeva & Alexandre Artamonov

interviewent Luc MICHEL pour ‘La Voix de la Russie’:

SANCTIONS ANTI-RUSSES ET RUSSOPHOBIE.

POURQUOI L’UNION EUROPEENNE SUIT-ELLE WASHINGTON ?

https://www.youtube.com/watch?v=8tbxK6Mc6io

# LES ANALYSES DE REFERENCE

SUR LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY :

LES CONTRADICTIONS INTERNES DU BLOC AMERICANO-OCCIDENTAL :

LA BELGIQUE MAILLON FAIBLE DE L’OTAN ET DE L’UE ?

sur http://www.lucmichel.net/2018/03/27/luc-michels-geopolitical-daily-les-contradictions-internes-du-bloc-americano-occidental-la-belgique-maillon-faible-de-lotan-et-de-lue/

LES CONTRADICTIONS INTERNES DU BLOC AMERICANO-OCCIDENTAL (II) :

EXPULSIONS DE DIPLOMATES RUSSES. ‘LA BELGIQUE ABOIE AVEC LES LOUPS DE L’OTAN, MAIS NE MORD PAS MOSCOU’

sur http://www.eode.org/luc-michels-geopolitical-daily-les-contradictions-internes-du-bloc-americano-occidental-ii-expulsions-de-diplomates-russes-la-belgique-aboie-avec-les-loups-de-lotan/

_____________________________

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

Géopolitique – Géoéconomie – Géoidéologie – Géohistoire –

Géopolitismes – Néoeurasisme – Néopanafricanisme

(Vu de Moscou et Malabo) :

PAGE SPECIALE Luc MICHEL’s Geopolitical Daily

https://www.facebook.com/LucMICHELgeopoliticalDaily/

LUC MICHEL PAGE OFFICIELLE I/

https://www.facebook.com/Pcn.luc.Michel/

WEBSITE http://www.lucmichel.net/

LUC MICHEL Official International Fan Club

https://www.facebook.com/groups/LUCMICHEL.OfficialFanClub/

MENACE NEO-OTTOMANE SUR LES BALKANS ET LA BOSNIE (COMMENT LES BALKANS SONT DEVENUS LE VENTRE MOU DE L’EUROPE II)

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Luc MICHEL pour EODE/

Quotidien géopolitique – Geopolitical Daily/

2018 05 22/
LM.GEOPOL - Balkans ventre mou II erdogan (2018 05 22) FR (3)

« Un rassemblement émouvant et romantique des temps coloniaux, où le pauvre sujet local applaudira avec ferveur son sultan (…) On ne mérite pas mieux parce que nous ne respectons ni la liberté ni la dignité »

– Dino Mustafic (réalisateur de théâtre de Sarajevo).

« Par sa présence à Sarajevo, Erdogan joue sur la géopolitique des émotions : celles des Bosniaques à l’égard de la Turquie (qui les a gouvernés pendant cinq siècles) et celles de la Turquie à l’égard de la Bosnie ottomane »

– Edina Becirevic (professeur à l’Université de Sarajevo).

« La Turquie s’est tournée vers les Balkans, région où vivent de nombreux musulmans dont l’identité historique prend sa source dans l’Empire ottoman, et qui ne se reconnaissent pas forcément dans l’État bosnien. Cependant, la Turquie traite toujours ce pays comme une petite province docile aux confins de son empire, et l’utilise pour défier l’Europe »

– Zlatko Dizdarevic, journaliste,

quotidien bosniaque ‘Jutarnji list’).

J’analysais dans une récente analyse quotidienne la façon dont les Balkans sont devenus « le ventre mou de l’Europe », en voie de radicalisation islamiste en Albanie, au Kosovo et surtout en Bosnie. Un ventre mou où se développent les métastases des « cellules djihadistes dormantes » (1). Ces Balkans d’ou va venir la prochaine menace islamiste en Union Européenne, que tout le monde voit venir mais que où personne ne prend les mesures préemptives nécessaires.

* Lire la Partie I de mon analyse :

DES GUERRES DE YOUGOSLAVIE AU BOMBARDEMENT DE BELGRADE PAR L’OTAN : COMMENT LES BALKANS SONT DEVENUS LE VENTRE MOU DE L’EUROPE ET LA PROCHAINE MENACE DJIHADISTE ?

sur http://www.lucmichel.net/2018/03/26/luc-michels-geopolitical-daily-des-guerres-de-yougoslavie-au-bombardement-de-belgrade-par-lotan-comment-les-balkans-sont-devenus-le-ventre-mou-de-leurope-et-la-prochaine/

La situation dramatique dans les Balkans est le résultat de ce « scénario du diable », dont il a été le second laboratoire dans les Années ’90 après l’Afghanistan des Années ’80. C’est là qu’est né le djihadisme européen et qu’il continue à prospérer. Il est l’enfant des guerres occidentales contre les IIe (Tito) et IIIe Yougoslavie (Milosevic) (2) et la JNA, l’Armée Nationale Yougoslave, combattait contre l’OTAN pour la cause des peuples européens (3) en Bosnie et au Kosovo (4).

Au cœur de la radicalisation radicale des Balkans et particulièrement de la Bosnie, loin de cet « Islam des Lumières » (sic) que nous y vantait un BHL il y a vingt-cinq ans, il y a les confréries islamiques radicales. Et il y a leur homme fort, Erdogan, en plein projet géopolitique néo-ottoman …

QUAND LE PRESIDENT TURC ERDOGAN MENE CAMPAGNE EN BOSNIE !

Le président turc islamo-conservateur Recep Tayyip Erdogan, désormais étroit allié des « Loups gris » néofascistes du MHP pan-turc (5), tenait ce dimanche à Sarajevo un meeting électoral qui a reçu le soutien des autorités de Bosnie mais fait grincer les dents d’une partie de la population.

Cette réunion électorale, un peu plus d’un mois avant les élections présidentielle et législatives anticipées que Erdogan a convoquées le 24 juin, s’adresse à la diaspora turque, qui compte plus de trois millions d’électeurs, dont 1,4 million en Allemagne. Ses supporteurs sont venus de toute l’Europe, Allemagne, Autriche, Belgique, Scandinavie, Pays-Bas, Suisse, Italie, Hongrie. Selon la presse bosnienne, 20.000 personnes se sont pressées dans la salle Zetra, patinoire des jeux Olympiques d’Hiver de 1984, où avaient été installés dès samedi deux immenses portraits de Recep Tayyip Erdogan et … d’Atatürk, le premier président turc. Atatürk le bâtisseur laïque anti-islamique de la Turquie moderne sur les ruines de l’empire ottoman après 1918, dont Erdogan détruit l’œuvre d’émancipation nationale. Mais qui est une des figures de son allié MHP, ultra-nationaliste. Erdogan n’est pas une duplicité près ! De même il n’hésite pas à utiliser le drapeau européen sur ses affiches électorales …

LA RUPTURE DE L’AKP AVEC LA DEMOCRATIE-CHRETIENNE DE L’UE

Le choix de Sarajevo intervient alors que plusieurs pays de l’Union européenne, notamment l’Allemagne, avaient empêché la tenue de meetings pro-Erdogan avant le référendum d?avril 2017 sur le renforcement de ses pouvoirs. Ces veto avaient provoqué de vives tensions entre Ankara et Bruxelles. Ils symbolisaient la fin de la longue lune de miel entre les islamo-conservateurs turcs de l’AKP et la Démocratie-chrétienne de l’UE du PPE (comprenant notamment la CDU-CSU de Merkel et les CDH et CDNV belges).

En avril, les autorités néerlandaises (sous pression de l’extrême droite islamophobe de Wilders) et autrichiennes (où l’extrême-droite islamophobe est désormais au pouvoir) ont prévenu qu’elles ne voyaient pas d’un bon oeil la tenue d’une telle réunion politique cette année.

Ironie de l’histoire, alors que Bruxelles a toujours rejeté la Turquie kémaliste et laïque, au destin européen assumé, elle a tissé une alliance politique étroite avec Erdogan. Précisément entre les islamo-conservateurs néo-ottoman de l’AKP (proche des Frères Musulmans) et la Démocratie-chrétienne pilier fondateur de l’UE. L’AKP est en effet membre observateur … du PPE, le « Parti populaire européen » qui unit les partis démocrates-chrétiens de l’UE (CDU-CSU, CDH et CDNV belges, etc) ! Angela Merkel a qualifié le lien entre l’Allemagne et la Turquie de « spécial », malgré les récentes tensions entre les deux pays. « Ce qui rend la relation germano-turque si spéciale est que plus de 3 millions de personnes d’origine turque vivent en Allemagne », a-t-elle précisé au groupe médiatique REDAKTIONSNETZWERK DEUTSCHLAND. Binationaux (l’électorat étant cadenassé par le contrôle des associations turques exercé par l’AKP en alliance avec les « Loups gris » d’extrême-droite), ils y votent et sont un enjeu de politique intérieure. La situation est la même en Belgique, singulièrement en région de Bruxelles-Capitale …

L’AKP TURC ET LE SDA BOSNIAQUE, PARTIS FRERES ISLAMO-CONSERVATEURS, ALLIES AUTOUR DE LA VOLONTE NEO-OTTOMANE DE RECONQUETE DES BALKANS

Avec le choix de Sarajevo, il n’y avait aucun risque de s’exposer à un tel rejet du chef politique des Bosniaques musulmans, Bakir Izetbegovic, fils du leader islamiste radical bosniaque de la fin des Yougoslavie, invité au mariage de la fille du président turc en 2016.

Sa formation politique, le SDA, affiche sa proximité avec le ‘parti de la Justice et du développement’ (AKP, la version turque des Frères Musulmans) de Recep Tayyip Erdogan. Selon les médias bosniaques, « l’AKP compte d’ailleurs ouvrir prochainement une antenne en Bosnie ».

« Nous allons montrer qu’il a des amis et qu’ils sont fiers de lui », a dit le 10 mai à ses partisans le membre bosniaque musulman de la présidence tripartite bosnienne, qui codirige les autorités centrales du pays multicommunautaire avec un Serbe (orthodoxe) et un Croate (catholique). La moitié des 3,5 millions de Bosniens sont des Bosniaques musulmans, un tiers sont serbes orthodoxes, les Croates catholiques comptant pour environ 15% de la population.

Bakir Izetbegovic s’est dit conscient que son invité « n’était pas aimé à l’Ouest et que de nombreux Bosniaques frustrés ne l’aimaient pas dans ce pays » : « Quel est le problème? Le problème est qu’il est un responsable musulman puissant tel que nous n’en avons pas eu depuis longtemps ».

Un groupe Facebook a vu le jour pour souhaiter la « bienvenue au commandant des croyants » ! Mais le soutien n’est pas unanime. Dans un autre groupe, des habitants de Sarajevo appellent « à dire non à la politique extérieure turque et à son ingérence ».

LE NEO-OTTOMANISME NEOCOLONIAL DU « NOUVEAU SULTAN » ERDOGAN MENACE AUSSI LES BALKANS

Beaucoup voient dans cette visite l’expression d’un “néo-ottomanisme”. Les Balkans, et notamment la Bosnie, ont été sous tutelle ottomane pendant plus de quatre siècles, jusqu’en 1878. Le metteur en scène de Sarajevo Dino Mustafic a ironisé sur son compte Twitter, sur ce « rassemblement émouvant et romantique des temps coloniaux », où le pauvre sujet local applaudira avec ferveur son sultan (…) On ne mérite pas mieux parce que nous ne respectons ni la liberté ni la dignité », conclut l’homme de théâtre. Quant au chef politique des Serbes de Bosnie, Milorad Dodik, il a regretté que le président turc « se mêle beaucoup des affaires bosniaques ».

« La Turquie a joué un rôle important dans la reconstruction de ce petit pays des Balkans après la guerre multicommunautaire des années 1992-95, et y mène une politique d’investissement dynamique comme dans tous les Balkans », dit l’AFP. Mais Salko Sokolovic, un transfuge du SDA, met en garde « contre une réaction de l’Allemagne, partenaire économique incomparablement plus important, qui entretient des relations très difficiles avec Recep Tayyip Erdogan » : « Si vous mettez le doigt dans l’oeil d’un ami avec un tel rassemblement, il y aura certainement des conséquences ».

NOTES ET RENVOIS :

(1) Lire mon interview pour SITA (Beyrouth) :

DJIHADISMES – TERRORISME – IMMIGRATION. QUAND L’AGENDA PROCHE-ORIENTAL S’IMPOSE EN EUROPE …

sur http://www.eode.org/eode-think-tank-interview-de-luc-michel-par-le-site-arabe-sita-institute-djihadismes-terrorisme-immigration-quand-lagenda-proche-oriental-s/

(2) Cfr. sur LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY/

DES GUERRES DE YOUGOSLAVIE AU BOMBARDEMENT DE BELGRADE PAR L’OTAN : COMMENT LES BALKANS SONT DEVENUS LE VENTRE MOU DE L’EUROPE ET LA PROCHAINE MENACE DJIHADISTE ?

sur http://www.lucmichel.net/2018/03/26/luc-michels-geopolitical-daily-des-guerres-de-yougoslavie-au-bombardement-de-belgrade-par-lotan-comment-les-balkans-sont-devenus-le-ventre-mou-de-leurope-et-la-prochaine/

(3) Cfr. sur LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY/

* GEOPOLITIQUE RETROSPECTIVE :

LES GUERRES DE YOUGOSLAVIE (I)

sur http://www.lucmichel.net/2017/11/24/luc-michels-geopolitical-daily-geopolitique-retrospective-les-guerres-de-yougoslavie-i/

* Et : GEOPOLITIQUE RETROSPECTIVE :

LE DEFI DE LA YOUGOSLAVIE DE MILOSEVIC

(LES GUERRES DE YOUGOSLAVIE II)

sur http://www.lucmichel.net/2017/11/25/luc-michels-geopolitical-daily-geopolitique-retrospective-le-defi-de-la-yougoslavie-de-milosevic-les-guerres-de-yougoslavie-ii/

(4) Cfr. sur LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY/

RETOUR SUR LES GUERRES DE YOUGOSLAVIE:

LE KOSOVO FRUIT VENIMEUX DE LA POLITIQUE AMERICAINE

sur http://www.lucmichel.net/2018/02/16/luc-michels-geopolitical-daily-retour-sur-les-guerres-de-yougoslavie-le-kosovo-fruit-venimeux-de-la-politique-americaine/

(5) Sur l’alliance étroite entre l’AKP et le MHP :

Cfr. sur EODE/ OBSERVATOIRE DES ELECTIONS/

TURQUIE : POURQUOI LES ELECTIONS LEGISLATIVES ANTICIPEES ?

sur http://www.eode.org/eode-observatoire-des-elections-turquie-pourquoi-les-elections-legislatives-anticipees/

Et sur LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY/

‘RUSSIA-TURKEY-IRAN COALITION DOES NOT EXIST’ (IBRAHIM KARAGÜL, EDITOR-IN-CHIEF OF AKP MOUTHPIECE ‘YENI SAFAK’)

sur http://www.lucmichel.net/2018/04/19/luc-michels-geopolitical-daily-russia-turkey-iran-coalition-does-not-exist-ibrahim-karagul-editor-in-chief-of-akp-mouthpiece-yeni-safak/

(Sources : AFP – Sita/Beyrouth – EODE Think Tank)

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

Géopolitique – Géoéconomie – Géoidéologie – Géohistoire –

Géopolitismes – Néoeurasisme – Néopanafricanisme

(Vu de Moscou et Malabo) :

PAGE SPECIALE Luc MICHEL’s Geopolitical Daily

https://www.facebook.com/LucMICHELgeopoliticalDaily/

________________

* Luc MICHEL (Люк МИШЕЛЬ) :

WEBSITE http://www.lucmichel.net/

PAGE OFFICIELLE III – GEOPOLITIQUE

https://www.facebook.com/Pcn.luc.Michel.3.Geopolitique/

TWITTER https://twitter.com/LucMichelPCN

* EODE :

EODE-TV https://vimeo.com/eodetv

WEBSITE http://www.eode.org/