SCANDALES SEXUELS DES ONG OCCIDENTALES : UNE IMMENSE HYPOCRISIE ALORS QUE LE LIVRE ‘EMERCY SEX’ DENONCAIT DEJA LA CULTURE DE L’IMPUNITE EN 2004 … … LA REPONSE DE L’ONU AVAIT ALORS ETE DE TENTER D’INTERDIRE CE LIVRE !!!

LM/ PANAFRICOM/ 2018 02 22/

Avec Le Temps/

sex

« Haro sur les héros de l’humanitaire. Atteint par l’ouragan des révélations d’abus sexuels, le secteur de l’aide internationale doit rapidement crever l’abcès. Ces révélations ne surprendront que celles et ceux qui sanctifient les humanitaires (…) au contact de populations qui ont tout perdu. Quand certains profitent de la vulnérabilité de celles et ceux qu’ils venaient secourir, c’est doublement révoltant »

– Le Temps (Genève, 20 février 2018).

Au moment où les scandales sexuels (impliquant de nombreux cas de pédophilie et de prostitution de mineures) des Ong occidentales se multiplient (Oxfam, MSF, CICR, Plan International) et font écho à d’autres scandales sexuels sans fin impliquant l’ONU, les Casques bleus ou encore l’Armée française en « mission » en Afrique, les responsables de tout ceci, ceux qui au sommet ont organisé l’impunité et la Loi du silence (l’Omerta mafieuse), feignent de s’indigner.

Mais un livre dénonçait déjà tout cela … en 2004. Et loin de sévir et nettoyer les écuries de l’Humanitaire, l’ONU avait tenté d’interdire ce livre !

L’ONU AVAIT VAINEMENT TENTE D’INTERDIRE LE LIVRE « EMERGENCY SEX (AND OTHER DESPERATE MEASURES) » EN 2004 …

« En 2004 déjà, trois jeunes idéalistes avaient raconté leurs premiers pas puis leur désenchantement dans les missions de maintien de la paix onusiennes des années 1990. Leur livre, que l’ONU avait vainement tenté d’interdire, était intitulé Emergency Sex (and Other Desperate Measures) »

– Le Temps (Genève, 20 février 2018).

Le quotidien suisse ‘Le Temps’ révèle ce scandale dans les scandales :

Extrait : « Ces révélations ne surprendront que celles et ceux qui sanctifient les humanitaires. Ces derniers sont motivés par un altruisme indéniable. Mais il est tout aussi certain que le secteur présente de nombreux facteurs de risque. Comme autant de pièges tendus aux volontaires déployés au contact de populations qui ont tout perdu.

Quand certains profitent de la vulnérabilité de celles et ceux qu’ils venaient secourir, c’est doublement révoltant.

Sans vouloir chercher des excuses à quiconque, le déséquilibre de pouvoir entre bienfaiteurs et bénéficiaires de l’aide est abyssal. En l’absence de solides garde-fous, il peut être source de bien des abus.

Si on ajoute à ce tableau le confinement régulier des volontaires, pour des raisons de sécurité, ainsi qu’une part de néocolonialisme plus au moins conscient, les risques augmentent encore.

En 2004 déjà, trois jeunes idéalistes avaient raconté leurs premiers pas puis leur désenchantement dans les missions de maintien de la paix onusiennes des années 1990. Leur livre, que l’ONU avait vainement tenté d’interdire, était intitulé EMERGENCY SEX (AND OTHER DESPERATE MEASURES). Pour signifier que les rapports sexuels étaient un défouloir du trop-plein d’adrénaline ou de la frustration de leur mission impossible. Dans leur récit, il n’était pas fait mention d’abus sexuels mais le terreau était clairement identifié.

Depuis, les cas de harcèlement ou même de viol visant des Casques bleus ou des employés de l’ONU se sont multipliés. Alors que le scandale s’étend aux ONG, longtemps épargnées, l’industrie de l’aide a tout intérêt à ne pas faire l’autruche. Sinon, les donateurs se détourneront des œuvres d’entraide internationales. D’autant que, sur fond d’un retour du protectionnisme et du nationalisme, le «sans-frontiérisme» n’a plus bonne presse. L’exigence d’une solidarité internationale minimale, qui passe par l’aide des Etats mais aussi par le travail remarquable des ONG, vacille. Les partisans d’un repli sur le réduit national profitent objectivement de ce scandale. Raison supplémentaire pour crever l’abcès. »

A PROPOS DE « EMERGENCY SEX (AND OTHER DESPERATE MEASURES) », LE LIVRE DONT KOFI ANNAN A DEMANDE L’INTERDICTION …

Les auteurs Heidi Postlewait, Kenneth Cain et le Docteur Andrew Thomson sont trois jeunes qui rejoignent les Nations Unies (ONU) au Cambodge « avec le rêve de rendre le monde meilleur ». Situé dans les années 1990, le livre a été publié en 2004.

Thomson est un médecin né en Nouvelle-Zélande « qui est inspiré de travailler au Cambodge après avoir rencontré un étudiant en médecine cambodgien d’âge mûr dans sa classe de l’Université d’Auckland ».

Postlewait est une travailleuse sociale de New York « qui a du mal à joindre les deux bouts après la fin de son mariage ». Cain est « un diplômé idéaliste de Harvard qui ne veut pas entrer dans le droit des sociétés ». Leurs trois histoires se croisent à travers les années du Cambodge, en Somalie, en Haïti, au Rwanda, en Bosnie et au Libéria. Ce livre est le premier compte-rendu des travailleurs de l’ONU sur la ligne de front et « un mémoire honnête sur les succès et les échecs de l’ONU ». « Brutal et émouvant, Sexualité d’urgence (et autres mesures

désespérées) explore les problèmes mondiaux urgents sans jamais perdre le sens du personnel », a dit la critique.

« Profondément critique de l’indifférence de l’Occident envers les pays en développement et de l’échec répété de l’ONU à intervenir de manière décisive », le livre a incité Kofi Annan à demander que le livre soit interdit et qu’il ne puissesusciter un débat … « Brillamment écrit et d’une mordrante rigolade, c’est un livre qui continue de faire des vagues ». Et surtout en ces jours de scandales !

A l’époque, en 2004, les chevaliers blancs de médias aux ordres, instigué par l’ONU, avaient démoli le livre. Notamment le ‘Guardian’

britannique’ (en pointe en 2015-2018 sur ces scadales sexuels) ou le ‘New Yorker’. Le ‘New Yorker’ avait remis en question le comportement des auteurs et avait donné la parole dans sa revue des personnalités critiquées dans le livre.

Loin de dénoncer ces scandales ou de faire un grand nettoyage, ces hauts dirigeants de l’ONU avait combattu les auteurs du livre. Ainsi Shashi Tharoor, Secrétaire général adjoint aux communications et à l’information et un responsable de la Mission de maintien de la paix dans l’ex-Yougoslavie (au service des USA dans la liquidation de la Yougoslavie et la main-mise sur les Balkans) (1) (2), avait déclaré avec un grand mépris qu ‘”il ne semblait pas normal que ces gens travaillent pour l’organisation et ne le fasse pas comme les autres”.

Thompson a répondu : « Je pense que Shashi Tharoor s’est mis lui-même et l’organisation sur une pente vraiment glissante, et à la base de ce que vous rencontrez dans le révisionnisme historique et négationnistes sur l’Holocauste” …

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