La ‘Coalizione anti -ISIS’ guidata dagli USA batte un nuovo record: 1216 civili uccisi a marzo, tra Siria e Iraq

usa vittime collateraliLa sedicente coalizione anti ISIS, guidata dagli USA, a marzo, ha battuto il record di 1216 civili uccisi in Iraq e la Siria, al cifra più alta da quando ha iniziato le operazioni quasi 3 anni fa.
La stima appare in un rapporto pubblicato, ieri, preparato dall’organizzazione Airwars, che monitora la performance della coalizione nella sua lotta contro il gruppo terroristico Daesh-ISIS. Il rapporto considera una forchetta di civili uccisi dalla coalizione nella cifra compresa tra 477 e 1216 persone, che rappresentano una perdita scioccante con un aumento di vittime innocenti rispetto al mese di febbraio, dove sono stati calcolati in 110 infortuni i morti tra la popolazione.
Si può ricordare inoltre, che il 17 marzo scorso, la coalizione guidata dagli Stati Uniti ha ucciso almeno 200 civili negli attacchi su al-Jadida, nella parte occidentale della città di Mosul, nel nord dell’Iraq.

FABRICE BEAUR (EXPERT EODE) DANS ‘LE DEBAT’ (2 JUIN 2017) : QATAR/ARABIE: LES DESSOUS DE LA CRISE

# SUR PRESS TV (IRAN)/

PCN-TV/ 2017 06 02/

2017-06-04_133730

PRESS TV, la télévision iranienne internationale francophone, débat avec Fabrice BEAUR (Expert EODE, Administrateur de EODE-RUSSIA) …

PRESS TV :
« Les divergences au sein du Conseil de Coopération du golfe Persique ne sont pas chose nouvelle: des conflits d’intérêts ont opposé de tout temps l’Arabie saoudite à d’autres membres du Conseil avec en filigrane, des joutes verbales, des sautes d’humeur et des critiques réciproques. Or, la crise qui a éclaté il y a presque une semaine entre l’Arabie saoudite et le Qatar a ceci de nouveau qu’elle semble être promise à durer. Non seulement le royaume wahhabite a opté pour un ton particulièrement violent à l’égard de l’émirat, mais encore, il a foulé au pied toutes les règles de bienséance en faisant passer sous les fourches caudines les plus hautes autorités qataries.
À en croire la presse saoudienne, la vague de sympathie manifestée par l’émir du Qatar à l’Iran, au Hezbollah et au Hamas serait à l’origine de la colère de Riyad, au demeurant profondément empêtré dans ses rivalités régionales avec l’Iran. Au contraire de ce que veulent faire croire les médias « mainstream », ce n’est pas l’Iran qui serait au cœur du litige, mais les États-Unis eux-mêmes. Ces analystes relèvent que cette crise marque la première étape d’un plan saoudo-américano-émirati, lequel consiste à redéfinir le Moyen-Orient dans un sens parfaitement conforme aux intérêts d’Israël. Cette première étape viserait à isoler sur le plan régional et international le riche émirat du Qatar via une campagne médiatique très soigneusement canalisée.
L’Égypte d’al-Sissi, connu pour sa haine contre les Frères musulmans, est aussi de la partie, elle qui n’entretient plus aucune relation avec le Qatar et la Turquie, les deux grands parrains des Frères musulmans. Le plan précité voudrait dans son second volet faire inclure « les Frères » sur la liste des organisations terroristes, ce qui exclurait de facto la confrérie du circuit financier international. En troisième lieu, ce serait le tour d’Israël de s’engager sur la scène pour déstabiliser le Hamas, proche lui aussi des Frères musulmans, et ce, pour le renverser et le remplacer par le fidèle allié des Émirats à Gaza, à savoir Mohammed Dahlan. Pour de nombreux commentateurs, le fait que la crise saoudo-qatarie éclate à peine dix jours après la visite de Donald Trump en Arabie saoudite reste bien significatif: à Riyad, Trump aurait cherché à accomplir l’une de ses promesses électorales, à savoir « anéantir les Frères musulmans et leur trésorier, le Qatar ».
Partant, le Qatar aurait agi suivant le principe qui dit « l’ennemi de mon ennemi est mon ami ». Totalement mis au ban du parterre des alliés de Washington, l’émirat espère désormais la faveur de l’Iran et du Hezbollah pour contrer la campagne d’hostilité inouïe dont il fait l’objet. Au train où vont les événements, il est parfaitement possible que Doha annonce dans les jours à venir son soutien au leader des chiites de Bahreïn et sa condamnation de la répression sanglante dont est la cible la majorité chiite bahreïnie ! La crise saoudo-qatarie illustre ainsi la querelle des émirs pro-saoudiens et
pro-britanniques: le Royaume-Uni chercherait à faire un grand retour au Moyen-Orient face à un empire américain agonisant. Une chose est
sûre: autant la visite de Trump à Riyad lui a apporté argent et crédit, autant elle s’est avérée une réelle calamité pour le monde arabe… Un monde dont l’existence même est désormais menacée. Quant à l’Iran, il a de quoi se réjouir de voir « cette OTAN anti-Iran » mourir à peine quelques jours après sa naissance. »

CRISE SAOUDO-QATARIE, LES DESSOUS :
QUI TIRE LES FICELLES ?

Dans ‘LE DEBAT’,
PRESS TV (Iran) interroge Fabrice Beaur, expert pour l’ONG EODE, et Catherine Chakdam, directrice de programme pour Shafaqna ;

* Voir sur le Site de PRESS-TV/
Emission complète « Le Débat »
Qatar/Arabie: les dessous de la crise
sur http://www.presstv.com/DetailFr/2017/06/02/523966/Qatar-Arabie-les-dessous-de-la-crise

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DANS ‘REPORTAGE’ (3 JUIN 2017): GEOPOLITIQUE EURASIATIQUE. L’ALLEMAGNE RENFORCE SES LIENS AVEC L’ASIE

# LUC MICHEL SUR PRESS TV (IRAN)/
PCN-TV/ 2017 06 03/

2017-06-04_142904

PRESS TV, la télévision iranienne internationale francophone, interroge le géopoliticien Luc MICHEL sur une potentielle réorientation à l’Est de l’Allemagne de Mme Metkel …

LE COMMENTAIRE DE PRESS TV :
« En déclarant dimanche, dans un discours, que les États-Unis n’étaient plus un allié fiable et que l’Europe devait prendre les choses en main, la chancelière allemande, Angela Merkel, a carrément abordé la crise historique des relations transatlantiques qui a été exposée lors des sommets de l’OTAN et du G7, mais aussi à l’occasion de l’accord de Paris. Un aspect de cette orientation apparaît dans le développement systématique des liens politiques et économiques de Berlin avec l’Asie. Il faut souligner que le Premier ministre chinois Li Keqiang et le Premier ministre indien Narendra Modi se sont récemment rendus en Allemagne. Ce pays européen est d’ores et déjà le partenaire commercial le plus important de l’Inde au sein de l’UE et les relations économiques entre l’Allemagne et la Chine sont plus étroites qu’avec n’importe quel autre pays extérieur à l’Union européenne. Quelle est l’analyse de cette situation ? Est-ce que l’Allemagne laisse tomber l’Amérique pour se rapprocher de plus en plus de ses partenaires asiatiques ? .»

LE COMMENTAIRE DE LUC MICHEL :
« La réorientation à l’Est, vers la Russie ou vers l’Eurasie, est un vieux démon qui hante la géopolitique allemande depuis près d’un siècle. A chaque fois que l’Allemagne est humiliée, elle se souvient de ses racines orientales, prussiennes, détruites systématiquement par ses « alliés » occidentaux. De la « vague de National-bolchévisme » de l’été 1919 (qui s’étendra sur toute la période de Weimar) au Traité de Rapallo de 1922 entre Moscou et Berlin (et la collaboration pendant onze ans entre l’Armée rouge et la Reichwehr) et à la vague « nationale-neutraliste » de la crise des « Euromissiles » au début des Années 1980, puis à la colère de Mme Merkel devant les humilitations de Trump, l’Allemagne a un réflexe, vital, salutaire : la tentation de « l’Orientation à l’Est. Sans oublier cette « autre Allemagne », la DDR de l’Est qui incarna pendant un demi-siècle (avant d’être trahie par Gorbatchev et Wolf) cet autre destin allemand. L’enthousiasme de PRESS TV est prématuré. On reste là dans la « géopolitique de l’émotion » (qui est tout sauf de la Géopolitique) et on ne change pas l’orientation géopolitique fondamentale d’un état sur un coup de colère ou une humiliation. Mais l’idée est là, revenue, puissante et révolutionnaire : l’orientation à l’Est, qu’on appelait en 1919-1933 le « national-bolchévisme » hante de nouveau la grande politique de Berlin. Mais aussi vu la place centrale de l’Allemagne dans l’Union Européenne, celle de Bruxelles. De Wilson à Trump, ce sera toujours l’arrogance américaine qui l’aura provoquée ! »

L’ALLEMAGNE DE MME MERKEL HANTEE PAR SES VIEUX DEMONS GEOPOLITIQUES :
LE RETOUR DE « L’ORIENATION A L’EST » ?

Dans ‘REPORTAGE. L’INTERVIEW’,
PRESS TV (Iran) interroge Luc Michel, géopoliticien … et « prophète du national-bolchevisme » selon l’hebdo parisien Marianne …

* Voir sur le Site de PRESS-TV/
Emission complète « Reportage »
L’Allemagne renforce ses liens avec l’Asie sur http://www.presstv.com/DetailFr/2017/06/03/524110/Merkel-veut-prendre-les-choses-en-main

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ECOLOGIE RADICALE : LES INTERETS GEOECONOMIQUES ET GEOPOLITIQUES DES USA CONTRE L’INTERET ECOLOGIQUE DU MONDE : QU’ATTENDIEZ VOUS D’AUTRE DE TRUMP ET DE L’IMPERIALISME YANKEE ???

# LUCMICHEL. NET/ 512ba7bfaae9cb1aa0b0d8c0e0ce5b8a

 

“L’accord de Paris handicape l’économie américaine au profit des capitales étrangères…
Ils ne mettent pas l’Amérique d’abord, moi oui”
– Donald Trump (ce 1er juin 2017).

Le président Donald Trump a donc annoncé jeudi une sortie des Etats-Unis de l’accord de Paris sur le climat, risquant de provoquer une onde de choc mondiale pour les 194 autres pays signataires de ce texte historique. Confirmation plus qu’annonce, puisque cette décision, pour laquelle les lobbies du charbon et des hydrocarbures de schiste ont contribué puissamment à amener Trump au pouvoir, était au centre de sa campagne (voir mes analyses de novembre 2016).

Après des semaines d’atermoiements, l’homme d’affaires septuagénaire tient ainsi une de ses promesses de campagne au nom de la défense des emplois américains. Avec en arrière-plan les impératifs géopolitiques de la superpuissance américaine. Donald Trump s’était engagé à abandonner un accord multilatéral scellé fin 2015 dans la capitale française et voulu par son prédécesseur Barack Obama, et visant à limiter la hausse de la température moyenne mondiale. “Afin de remplir mon devoir solennel de protection de l’Amérique et de ses citoyens, les Etats-Unis se retireront de l’accord de Paris sur le climat”, a annoncé Donald Trump depuis la roseraie de la Maison Blanche, sous les applaudissements. Il a martelé qu’il ne “voulait rien qui puisse se mettre en travers” de son action pour redresser l’économie de la première puissance mondiale. Mais le président républicain a aussi assuré que son pays était prêt à négocier un nouvel accord climat.

Trump a hésité pendant de longues semaines et de nombreuses voix, sur la scène internationale (Chine et UE en tête), dans le monde des affaires et au sein même de son administration, l’ont appelé à revoir sa position, rappelant ces derniers jours l’urgence d’agir face au réchauffement en cours. Cet accord est “essentiel”, avait martelé jeudi la chancelière allemande Angela Merkel depuis Berlin, à quelques heures de l’annonce de M. Trump. Les Etats-Unis sont le deuxième émetteur mondial de gaz à effet de serre, derrière la Chine.

PEKIN (QUI PENSE A SON PROJET EURASTATIQUE DES « NOUVELLES ROUTES DE LA SOIE ») MONTE AU CRENEAU ET ENFONCE UN COIN DANS LE BLOC GEOPOLITIQUE AMERICANO-OCCIDENTAL !

Un retrait de l’accord de Paris place cependant les Etats-Unis dans une position inconfortable sur la scène internationale. Avant l’allocution présidentielle, la Chine et l’Union européenne étaient montées au créneau pour défendre l’accord qui vise à contenir la hausse de la température moyenne mondiale “bien en deçà” de 2°C par rapport à l’ère pré-industrielle. Depuis Berlin, où il a rencontré la chancelière allemande Angela Merkel, le chef du gouvernement chinois Li Keqiang a assuré que son pays tiendrait ses engagements. “Mais bien sûr, nous espérons aussi le faire avec la coopération des autres”, a-t-il pris soin d’ajouter. Pékin a été, avec l’administration américaine de Barack Obama, l’un des principaux artisans de cet accord sans précédent.

Les responsables de l’Union dite « européenne » ont adopté un ton moins diplomatique. Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker avait jugé un retrait inacceptable. “Je suis un partisan de la relation transatlantique mais (…) dans un texte de loi et dans les accords internationaux, tout ne relève pas des informations bidons”, a-t-il lancé dans une allusion aux accusations récurrentes de Donald Trump contre les “fake news”.

La position même de Donald Trump sur le changement climatique, qu’il a par le passé qualifié de “canular”, reste entourée du plus grand flou.
Le président de la première puissance mondiale croit-il à l’impact des activités humaines sur le réchauffement en cours, sujet qui fait l’objet d’un très large consensus scientifique ? “Je ne peux le dire, je ne lui ai pas demandé”, avait répondu cette semaine son porte-parole sans sourciller …

MALGRE LES VOIX MULTIPLES DU SYSTEME QUI MINIMISENT LES CONSEQUENCES DE LA DECISION ANTI-ECOLOGIQUE DE TRUMP, CELLE-CI FRAPPE AU CŒUR FINANCIER DE LA COP24

Sur le plan financier, cela va compliquer les choses…
“Là oui. Cela va rendre les choses plus difficiles car les États-Unis étaient un gros contributeur. Obama avait promis jusqu’à 10 milliards.
Pour l’instant un seul milliard a été payé. Le reste, on ne le verra pas, avoue la ministre belgicaine de l’environnement.”

CE QUE NE VOUS DISENT PAS LES MEDIAS DE L’OTAN :
LE VERITABLE DOSSIER DERRIERE CELUI DE L’ANTI-ECOLOGISME DE TRUMP C’EST EN REALITE CELUI DU MARCHE MONDIAL DU PETROLE !!!

* Voir sur PCN-TV/
GEO-ECONOMIE & GEOPOLITIQUE :
LUC MICHEL DECRYPTE LA CRISE DU PETROLE ET LES MUTATIONS DE SON ‘NOUVEAU MARCHE MONDIAL’
sur https://vimeo.com/208195737

LUC MICHEL / 1er JUIN 2017

* Ma position pour l’Ecologie radicale (Deep Ecology) :
Lire sur LUC MICHEL/ ЛЮК МИШЕЛЬ/
LA NATURE A DES DROITS … L’ÉCOLOGIE RADICALE ET MOI !
http://www.lucmichel.net/2017/03/31/luc-michel-la-nature-a-des-droits-lecologie-radicale-et-moi/
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LES SYNDICATS DU NON-MARCHAND DANS LA RUE A BRUXELLES CE JEUDI 1ER JUIN 2017 CONTRE LA POLITIQUE ULTRA-LIBERALE ANTI-SOCIALE DU GOUVERNEMENT BELGICAIN !

LA REPUBLIQUE D’EUROPE/ 2017 06 01/

2017-06-01_074351

« Nous n’accepterons pas de crever de faim pendant que le gouvernement met les petits plats dans les grands pour les multinationales »

Solidarité du PCN :
Les syndicats du non-marchand descendent une nouvelle fois dans la rue ce jeudi !

Les syndicats du secteur non-marchand manifestent jeudi à Bruxelles afin de réclamer au gouvernement Michel de “sérieux engagements”. Le dialogue demeure difficile entre les deux parties après cinq mois de discussions et autant de manifestations. Les syndicats tâcheront également de se faire entendre auprès du gouvernement flamand, qui a proposé un accord pour une augmentation salariale à partir de 2020 seulement. Syndicats, employeurs et gouvernements sont à la table des négociations depuis la fin de l’année passée. “Le gouvernement n’a rien fait, à part renvoyer les organisations syndicales vers des groupes de travail techniques afin de ‘discuter’. Mais tout cela, en refusant d’engager sérieusement les moyens financiers nécessaires”, dénonce le SETCa en rappelant que “les mesures d’austérité à répétition ont empêché, ces dernières années, la conclusion de tout accord social”.

Les syndicats réclament un nouvel accord global, alors que ces dernières années ils n’ont vu que la signature de “mini-accords”, selon leurs mots. “Nous réclamons des budgets suffisants, y compris en
2018 et 2019, pour des accords crédibles ainsi que l’utilisation des 480 millions d’euros du tax shift non-marchand pour amplifier les accords”, détaille la CNE qui appelle également à “de réelles négociations”. “Pas question que le gouvernement fédéral confisque l’argent du non-marchand”, ajoute le syndicat chrétien. En Flandre, le dernier accord a expiré en 2015. L’exécutif flamand a donné son accord pour une augmentation des salaires à partir de 2020, mais cette concession arrive trop tard et est trop maigre, estime Bram van Braeckevelt du syndicat libéral. Le front syndical craint ainsi que le gouvernement Bourgeois transmette la patate chaude à la prochaine législature.

Ce jeudi, une délégation du front commun syndical sera reçue à 09h00 au cabinet du Premier ministre. Une heure plus tard, les militants sont appelés à se rassembler, pour le reste de la matinée, sur la Place des Barricades à Bruxelles.
Le 21 mars dernier, une manifestation nationale des secteurs non-marchands avait rassemblé quelque 14.000 personnes dans les rues de la capitale.

LA REPUBLIQUE D’EUROPE/
PCN Wallonie-Bruxelles

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CORRUPTION A LA FRANCAISE : FERRAND, LE COPAIN DE MACRON, EST-IL UN COQUIN ? ‘LE CANARD ENCHAINE’ PERSISTE ET SIGNE …

# LijfzehufjsdHR1945723UCMICHEL. NET/

 

On allait voir ce qu’on allait voir … et on a vu. Un régime Macron qui parle sans vergogne « loi de moralisation » mais accepte les « bonnes affaires » de ses copains goldenboys ! La relation Macron-Ferrand étant au cœur d’un scandale que les « marcheurs » refusent de voir. La corruption n’est pas un accident de parcours du Parlementarisme petit-bourgeois, mais elle lui est consubstantielle (au sens théologique du terme) (*). Que ceux qui ont des doutes lisent ou relisent la trilogie magistrale du britannique Richard Harris consacrée à la vie du politicien et avocat romain Cicéron (rival de Jules César, 106 à 43 av. JC). Aux sources du parlementarisme occidental, resurgi au XVIIIe siècle, on trouve déjà ce mélange consubstantiel corruption-parlementarisme …

Revenons à l’Affaire Ferrand. Le PARISIEN explique comment l’Affaire n’est pas aux marges mais au cœur du parti présidentiel : « La longue séquence internationale, ajouté au pont de l’Ascension, a jusque-là permis à Emmanuel Macron de temporiser. Mais pour le président de la République, l’affaire Ferrand devient de plus en plus embarrassante.
Après s’être fait le chantre de la moralisation, le jeune président, qui était jusque-là auréolé d’un «sans faute», amorce un brutal retour sur terre. Sa position est difficilement tenable. La première loi qu’il doit promouvoir – d’ailleurs opportunément reportée d’une semaine, au 14 juin – doit poser les nouvelles exigences de moralisation de la vie publique. Et ce alors que le ministre dont il est le plus proche, pilier d’En Marche !, est renvoyé à des comportements qui contredisent visiblement cette volonté d’exemplarité. On pense évidemment à François Hollande, promoteur sincère d’une « République exemplaire »… mais rattrapé pendant tout son quinquennat par les turpitudes de certains de ses proches. Pour l’instant, Macron semble marcher sur l’eau, et se diriger vers une solide victoire aux législatives. Mais lui aussi pourrait subir l’impitoyale effet boomerang. Et comme pour son prédécesseur, ce sont les fondations de son mandat naissant qui s’en trouveraient alors lézardées. »

* Vu sur Twitter : la Une du Canard Enchaîné de ce 31 mai 2017. De nouvelles révélations et une question lancinante pour le président Macron « une loi suffira-t-elle a arrêter l’En Marche des affaires » …

LM / 31 MAI 2017

(*) Seul ce concept théologique peut rendre compte du lien corruption-parlementarisme : Consubstantiel. Terme de théologie catholique. « Qui est un par la substance. Il se dit des trois personnes de la Trinité : le Fils est consubstantiel au Père ». Comme la corruption est consubstantielle au parlementarisme.

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TOUT SAVOIR DE TRUMP, DE SON GENDRE KUCHNER ET DES DESSOUS DE LA MAISON BLANCHE …

# LUCMICHEL. NET/
NO COMMENT/

kuchner

« Se faire enseigner par l’ennemi est un honneur et un devoir » disait le géopoliticien Karl Haushofer. Dans le même esprit on trouve dans la presse adverse des infos, et aussi l’esprit même du système combattu.
Cela fait près de 35 ans que je lis la presse US ou israélienne … Aujourd’hui, je vous livre « sans commentaires » les dessous de la nouvelle Maison Blanche, dominée par Trump et son gendre Kuchner, tels que révélés par le TIMES OF ISRAEL … et les enquêtes du FBI et du procureur spécial qui fouille leurs poubelles !

* Lire sur le TIMES OF ISRAEL :
Jared Kushner : ce qu’il faut savoir sur le gendre du président, mis en difficulté http://fr.timesofisrael.com/jared-kushner-ce-quil-faut-savoir-sur-le-gendre-du-president-mis-en-difficulte/

Extrait :
« Kushner s’est vu remettre un grand nombre de responsabilités au sein de la Maison Blanche de Trump, de la restructuration du gouvernement fédéral à la conclusion d’un accord de paix au Moyen Orient. Il a été l’un des architectes du récent voyage de Trump à l’étranger, dont les visites, notamment en Arabie saoudite et en Israël, se sont déroulées sans accroc et presque sans gaffe (…) Kushner connaît le scandale. Si Kushner sort indemne de ce maelstrom, cela ne sera pas la première fois. Quand il était un étudiant en droit de 24 ans, son père a été envoyé en prison pour de fausses déclarations fiscales, des dons illégaux à des campagnes électorales et des représailles contre un témoin. Kushner a repris l’affaire immobilière familiale, acheté l’Observer, un journal new-yorkais immobilier et culturel, et acheté le 666 de la Cinquième avenue pour
1,8 milliard de dollars, l’une des transactions immobilières les plus chères de l’histoire de New York. Et pendant tout ce temps, il allait toutes les semaines voir son père dans une prison de l’Alabama (…) Kushner a aussi acquis la réputation de chercher la vengeance. Il aurait poussé l’équipe de l’Observer à publier des articles négatifs sur ses concurrents, même si aucun n’a jamais été publié. Il aurait aussi banni Chris Christie, gouverneur du New Jersey, l’un des premiers soutiens de Trump, de l’administration. Dix ans plus tôt, Christie était le procureur qui a envoyé le père de Kushner en prison.
»

LM / NO COMMENT / 2017 05 31

Photo : Jared Kushner, à gauche, conseiller du président américain, au mur Occidental avec Donald Trump, à Jérusalem, le 22 mai 2017.
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MACRON RECOIT POUTINE A VERSAILLES : AMBIANCE GLACIAIRE DE GUERRE FROIDE 2.0 …

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Sourires glacés de façade, oppositions de fond fondamentales sur tous les grands dossiers, la Syrie, l’Ukraine, la Cyberguerre, etc … Mais qu’attendre de plus de « Macron l’américain », l’élu de la French American-Foundation (la plus grande opération d’infiltration américaine des quarante dernières années) ?
Reste une grande opération de comm pour Poutine (encore ostracisé à Paris ou Bruxelles il y a quelques semaines), au nom du « soft power russe », dimension de sa puissance, et de l’Histoire européenne de Moscou, ouverte par Pierre le Grand.
Reste aussi une grande opération de comm aussi pour Macron, qui s’est posé en chef d’état « jupitérien » (sic) au milieu des symboles de la puissance française défunte (*). Un macron qui rappelle irrésistiblement un film de Peter Sellers des Années 60, « la souris qui rugissait » … « La diplomatie c’est l’empire du mensonge » disait précisément Poutine en septembre 2014 (au Club Valdai, épicentre du soft power russe précisément) !

LUC MICHEL / 30 MAI 2017

(*) Cfr. EODE THINK TANK/ GEOPOLITIQUE/
POUTINE RECU A VERSAILLES PAR LE NOUVEAU PRESIDENT MACRON : UNE RECEPTION FASTUEUSE AU CŒUR DE LA NOSTALGIE DE LA PUISSANCE FRANCAISE ET QUI POSE DE MULTIPLES QUESTIONS …

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CORBYN TALLONA MAY? URGE ATTENTATO – Trump, clima e l’Arcadia degli ipocriti

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MONDOCANE

DOMENICA 4 GIUGNO 2017

 

(Ci risentiamo tra un po’, sto in giro per il documentario)

Finiti i botti, si può anche sospendere la campagna elettorale

Se lo devono essere detti l’MI5, l’MI6, la loro dependance Scotland Yard, i fratelloni Mossad, CIA e i suoi 14 nipotini in Usa, i cugini delle varie marche imperiali europee, alla vista di uno che s’impegnava per un apocalittico cambio “dalla politica per i pochi alla  politica per i tanti” (Jeremy Corbyn). Roba mai vista da quando l’UE è entrata in funzione su mandato Rothschild, Rockefeller, Bilderberg e galassia finanziaria globale. Anatema. E così, dopo gli impiegati e il poliziotto sul Ponte di Westminster e i ragazzetti al concerto di Manchester, è toccata ai flaneur e alle flaneuses serali sul London Bridge e nei pub sottostanti a finire, come va il trend di questi tempi, sotto un veicolo e tra le lame dei servizi. 4 morti, più 22, più sette = 33, più parecchie decine di feriti, mutilati, menomati. Esito di una battaglia elettorale sul destino dei pochi e dei tanti. La May, primo ministro, ha cancellato quanto restava della campagna dei tanti. Se ne poteva fare a meno. Forse.

A Torino, nel tempo accuratamente costruito dal terrorismo di regime e media, in cui, se cade per terra un mazzo di chiavi,  o esplode una miccetta, o qualcuno starnuta forte, scatta il panico da attentato e conseguente fuga tumultuosa che travolge e schiaccia chi non corre abbastanza veloce, o non trova varchi, o è inciampato, per una partita virtuale su maxischermo si contano mille feriti e alcuni a portata di Caronte. In entrambi i casi, come in tutti quelli del prima e del dopo, il risultato è raggiunto. Colpendo nel mucchio. Di quelli che non c’entrano niente. Di quelli spendibili. Non una volta che si spari una bazookata contro le finestre di Goldman Sachs, o si faccia saltare la corrente alla NATO a Bruxelles, o si infili un candelotto sotto il sedile dell’ambasciatore saudita. Che sia mai. Non facciamoci del male da soli.

A cui si aggiunge un’altra considerazione. Social, vanterie degli specialisti e dei  ministri della “Sicurezza”, gole profonde della NSA, perfino il Report disinquinato di Sigfrido Ranucci (RAI 3), o le voci alternative di Pierluigi Paragone (La7), ci informano a valanga di quanto tutti siamo controllati, di come non sfuggiamo neanche al cesso o nell’alcova, di come il nostro cellulare racconti al collegato di che pasta siamo fatti e che pasta consumiamo, insomma come nulla di nessuno sfugga al Grande Occhio. Grande Occhio onnivedente e onniconoscente che resta cieco o chiuso quando gli formicolano davanti migliaia di reclute dell’Isis (chiamiamole così, per non disturbare), istruite nelle carceri o nei campi di Siria e Iraq, pendolari tra sgozzamenti a Mosul e Raqqa e deflagrazioni o piraterie stradali in Europa. “Li  conoscevamo, li abbiamo anche registrati, ma poi li abbiamo persi di vista…”.  Volatilità, volubilità, spensieratezze, disattenzioni, dei servizi di intelligence. Son ragazzi. Sempre meglio che farsi scoprire mandanti. “Tanto poi li secchiamo tutti”. Basterebbe sparare alle gambe, o tirare una siringa come alle pantere randagie, o un po’ di gas come i russi nel teatro di Mosca….Ma i morti non parlano.

Riscaldamento? Tutte balle.

Veramente volevo parlare d’altro. Poi questi ti prendono alla sprovvista e impongono le loro priorità. La storia migliore di questi giorni, prima di Londra e Torino, era quella di Trump distruttore del clima, terminator del pianeta. Esecrazioni, scomuniche, imprecazioni, sacrilegio. Tutti, nel solito arco da sinistra a destra, dal “manifesto” a Hillary Clinton (gemellaggio di antica data, celebrato da Soros), a fare i belli, puri e lindi e a candeggiare più bianco del bianco  l’unico nero di pelle e il più nero di tutti nell’anima che sia mai entrato nella Casa Bianca. L’ipocrisia al suo sublime.

Vediamo come stanno le cose partendo da un po’ più lontano. Sono i vuoti di memoria con cui ci  fregano.

Quel manigoldo inquinante di Trump, quei santi ecologisti di Clinton, Gore e Obama

C’ero anch’io al vertice del clima di Kyoto, Giappone, che si concluse con il peto omonimo chiamato accordo, del quale tutti poi negli anni, per loro i secola seculorum, se ne sono solennemente impippati. Brava gente, convinta di dover sistemare le cose, era andata fin sotto il Sol Levante a vedere di salvare cormorani, balene, foreste e vecchietti a rischiodi disidratazione. S’era visto un  laborioso tira e molla tra volenterosi (quelli in via di  soffocamento, o di annegamento) e neghittosi (quelli dello “sviluppo”). Si era arrivati a un qualcosa di appena decente che avrebbe dovuto assicurare il contenimento del riscaldamento climatico (a proposito di uova e galline: chi se ne frega se antropico o ciclico: il dato è la temperatura che sale e i gas che contribuiscono), prima che arrivasse Al Gore,. Si, fu quel Al Gore, che successivamente ecologisti e ambientalisti di bocca buona incoronarono principe senza macchia e paura  della, peraltro inusitatamente profittevole, Green Economy, a far saltare tutto.

Kyoto rasa al suolo da Gore

Ricordo che, piombato nella conferenza l’ultimo giorno, a buon accordo concluso, noi cronisti stavamo in una sala d’attesa dove il vice di Bill Clinton (marito della candidata cult del “manifesto”), animalista di prima classe canina, ci aveva lasciato in  compagnia del suo monumentale pastore tedesco. Unico membro della delegazione Usa, avremmo scoperto poi, a non impegnarsi per la rovina del globo. Gore prese a schiaffazzi  chiunque avesse anche solo un cappellino verde in testa, fin i poveri presidenti delle isolette del Pacifico con l’acqua alla gola, cancellò ogni cosa, ogni impegno vincolante e Kyoto generò l’aborto del cosiddetto mercato delle vacche per le emissioni clima mutanti: i ricchi comprano licenze di inquinamento dai poveri puliti. Cioè le multinazionali comprano il diritto a inquinare in altre aree del mondo, appunto quelle povere e sottosviluppate. Gore, tirando pugni sul tavolo, sentenziò che gli Usa non avrebbero firmato nessuna cosa che avrebbe imposto agli Usa e ai paesi industrializzati di ridurre le emissioni. L’inquinamento si fece merce e si poteva vendere e comprare nella forma dei “diritti di inquinamento”.  Accordo di Kyoto a puttane. Né più né meno di Trump.

Un milione a chi trova un presidente Usa ecologista

E né più né meno di Trump pure Obama, al vertice di Copenhagen e poi al COP21 di Parigi, solo che questo imperatoraccio killer di massa, nudo agli occhi di chi ha a cuore le sopravvivenza di sé, dei figli e degli altri viventi, viene rivestito con abiti sfolgoranti di candore da ancelle come “il manifesto” e altri commensali dell’imperialismo. Trovatemi un solo presidente Usa, da quando la questione ambientale e climatica è diventata un dramma della sopravvivenza, che non si sia mosso in direzione ostinata e contraria alla salvaguardia dell’ambiente. Che non sia quello delle tenute sue e dei suoi mandanti e cortigiani.. La linea è sempre quella, come in politica estera: dettata dai rettili aggrovigliati nello Stato Profondo.

Ah, l’Arcadia perduta di Obama!

Grandi annunci, grandi obiettivi, grandi impegni a vincolare il riscaldamento sotto i 2 gradi Ma…. Provvedimenti vincolanti e sanzioni in caso di mancata osservazione, zero. Tutta la COP 21 e i relativi festeggiamenti, fuffa. Anzi, truffa. E Snowden fece trapelare documenti che rivelavano come gli Usa, con le loro agenzie di intelligence, spiassero le altre nazioni (soprattutto le più volenterose: Danimarca e Cina), onde scatenare pressioni e lobby sui reprobi che si fossero azzardati a esigere condizioni vincolanti e sanzionabili.  Le associazioni ambientaliste serie definirono il COP21 una farsa, una vergogna, un raggiro. Le altre, allora a far finta e, oggi, a farsi rapire dalla nostalgia, come nel quadro del fiammingo Frans FranckenII:  pastorelli gioiosi e ninfe infiorettate che intrecciano danze ecologicissime a celebrare una finta Arcadia dell’armoniosa convivenza tra tutte le creature senza, sopra, neanche un filo di fumo nero e, sotto, una goccia d’acqua sozza.

E poi, per clima e ambiente, c’è la cura “guerra”.

Tanto per la coppia ambientalista Obama-Clinton. Quella a cui si ispira l’eco-indignato regime italiota mentre taglia fondi alla rinnovabili, promuove quelle fossili e intossica mari e terre con trivelle e pipeline. Quella del disastro Halliburton-BP nel Golfo del Messico.Quella del lancio delle estrazioni più nocive, inquinanti  e sismogeniche: scisti bituminosi e fracking. Quello delle sette guerre dove far passare oleodotti e gasdotti che rispondessero a Washington e ai suoi ufficiali pagatori nel Big Oil.Sette guerre, Afghanistan, Pakistan, Libia, Siria, Iraq, Yemen, Somalia, che già per conto loro, trasformando trilioni di dollari di cittadini in dimagrimento  in milioni di tank, blindati, veicoli aerei, navi, esplosivi e relativi carburanti, tutti all’ingrasso, tutti climamutanti, sono una bella dimostrazione di quanto Obama fosse migliore dello sproposito Trump. Tanto più che, a forza di uranio impoverito e un trilione per l’ammodernamento delle sue atomiche, ha pensato anche alle generazioni future.

Si, dice, ma ha tolto di mezzo anche alcuni milioni (tre solo in Iraq) di esseri umani e animali. Contro i gas serra, no? Non divoravano, questi qua,  ossigeno ed emettevano anidride carbonica? Gas climamutante. Che bravo Obama. Vero “il manifesto”?

Pubblicato da Fulvio Grimaldi alle ore 16:56

DALLA GRECIA CON AMORE, DOLORE, RABBIA…

http://fulviogrimaldi.blogspot.it/2017/06/dalla-grecia-con-amore-dolore-rabbia.html

MONDOCANE

SABATO 3 GIUGNO 2017

 

Per il capitolo greco del nostro nuovo documentario abbiamo trascorso, io e Sandra Paganini, alcuni giorni ad Atene e dintorni. Nel nostro percorso a individuare i segni, i responsabili e le vittime del disastro inflitto alla Grecia dai carnefici dell’UE e della criminalità finanziaria internazionale, siamo stati accompagnati da Panagiotis Grigoriou, antropologo, etnologo e storico di altissimo livello. La sua conoscenza del paese e del processo che lo ha portato alla presente agonia ci è stato di enorme utilità. Qui, a titolo di anticipazione del nostro docufilm sulla strategia dei mondialisti , della loro arma “Troika” contro i  sud dell’Europa e del mondo e della resistenza a tale strategia, che dovrebbe uscire in autunno, pubblico un resoconto del nostro viaggio come visto da Panagiotis e pubblicato sul suo sito. Panagiotis GRIGORIOU Ethnologue – Historien www.greekcrisis.fr www.greece-terra-incognita.com https://www.facebook.com/greece.terra.incognita www.athenesautrement.com
+30 69 70 36 70 92 mob. GR +33 78 50 15 761 mob. FR panosgrig@gmail.com (personnel)
greece.terra.incognita@gmail.com
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Chiedo scusa a coloro che non conoscono il francese.  Magari si troverà qualche volenteroso che vorrà tradurre il testo? Io purtroppo sono di nuovo di partenza, sempre per il docufilm.

Regard caméra

Intervista al Prof. Babis Zabatis, primario di Oncologia all’Ospedale Metropolitano di Atene

Période quasiment estivale. Aux dires de tout le monde, le gouvernement brasse beaucoup d’air ces derniers jours. La prétendue fameuse “controverse” au sujet de la restructuration la dette grecque, c’est une arlésienne. Alexis Tsipras et les siens prétendront une fois de plus qu’il y aurait blocage dans les “négociations” entre “nous” et la Troïka élargie ; tout cela bien entendu, dans l’indifférence générale. Réalités fallacieuses, futur suspendu.

 
Temps du… renard. Athènes, mai 2017

Les Grecs aiment se raconter volontiers que l’air du temps actuel, est de ce “temps du renard” forcément, autrement-dit, qu’il faut se méfier de tout et de tous et que la suspicion, elle règne naturellement partout en maître. Et c’est très précisément ce temps du… renard, que le réalisateur et journaliste Italien Fulvio Grimaldi et sa compagne Sandra , ont voulu filmer la semaine dernière à Athènes. Fulvio prépare un documentaire, en partie consacré à la crise grecque, surtout maintenant… que “l’affaire grecque est certainement réglée”, d’après la doxa des medias dominants.

Je l’ai accompagné dans sa démarche athénienne, ainsi nous avons croisé nos regards, comme nos manières d’interpréter les gestes et les paroles des personnes et des situations rencontrées. Pour Fulvio, la crise grecque est déjà moins visible de première vue et certainement plus… sournoise que la crise argentine entre 1998 et 2002. L’effondrement grec n’est pas si soudain, ni autant généralisé d’ailleurs. Pourtant, la situation du pays n’est plus du tout celle de 2010, et cela bien entendu, au-delà des apparences, celles notamment familières au… champ visuel touristique.

Fulvio, pour les besoins de son film a interviewé trois personnalités politiques toutes issues de la gauche grecque (dans l’ordre, Alékos Alavános, Katerína Thanopoúlou et Panagiótis Lafazánis), et aussi, Babis Zabatis, chef de service chef au pôle oncologie et chimiothérapie à l’hôpital (Santé Publique) Ágios Sávvas d’Athènes, et enfin Polyxeni, pharmacienne et responsable volontaire au Centre Solidaire médical d’Ellinikón (MKIE), au Sud d’Athènes.

 
Fulvio Grimaldi en filmant. Athènes, mai 2017
 
Alékos Alavános, interviewé par Fulvio Grimaldi. Athènes, le 27 mai 2017
 
Katerína Thanopoúlou, interviewée par Fulvio Grimaldi. Athènes, le 27 mai 2017

Alékos Alavános, ancien chef de SYRIZA avant Alexis Tsipras, ayant quitté cette formation dite de la “Gauche Radicale”, est depuis 2013 le chef du petit mouvement du ‘Plan-B’ (dont le programme prône le retrait de la Grèce de la zone euro, voire de l’UE).

Nous l’avons rencontré sur la terrasse d’un café athénien. Il venait tout juste de participer au débat organisé autour du livre de Katia Charalambaki, psychiatre et analyste: “Familles grecques aux années difficiles. Notes d’une psychiatre” .

Alékos, nous a d’abord exprimé… combien il s’est senti gêné en participant à un tel débat… sur le livre de son épouse (Katia Charalambaki) ! L’ouvrage, évoque d’abord un certain nombre d’expériences (cas cliniques) et en même temps témoignages, tous issus de ceux qui s’expriment (si possible) devant leur psychothérapeute. L’initiation (au sens je dirais multiple et entier du terme) de la crise grecque (économique et sociale), au même titre que sa pérennisation par la suite, auront profondément bouleversé la vie familiale, du point de vue matériel (survie, ressources) et ainsi psychique. Inévitablement, les relations entre ses membres en sortent bouleversées. En réalité, le lien familial a énormément souffert depuis la crise, et dans de bien nombreux cas, il n’existe plus tout simplement, estime alors Katia Charalambaki.

 
Panagiótis Lafazánis, interviewé par Fulvio Grimaldi. Athènes, le 28 mai 2017

Ainsi, pour la thérapeute familiale confrontée à ces expériences si nouvelles, une autre approche devient alors nécessaire. Pour y arriver, Katia Charalambaki a également voulu évoquer l’œuvre de ceux qui par le passé, l’avaient influencé dans sa pratique et dans ses travaux et cela de manière essentielle. Notamment, l’anthropologue Américain Gregory Bateson , le psychiatre Mony Elkaim , et le psychologue Belge Jacques Pluymaekers .

Alékos Alavános, architecte et aussi psychanalyste de formation, se dit autant conscient de cette nécessité… “Il faut aller plus loin, bien au-delà” comme il dit, “en termes de sens”. Ceci, est évidemment valable également en politique, “toute réorientation radicale du pays, surtout pour ce qui est de l’euro et de l’UE, doit être expliquée, portée et profondément soutenue pour ne pas dire initiée, d’en bas. SYRIZA a commis un énorme crime politique… Tout est beaucoup plus dur maintenant” (cité de mémoire).

Katerina Thanopoúlou (elle a quitté le Comité Central SYRIZA pour rejoindre l’Unité Populaire en août 2015), ex-vice-présidente de la Région d’Attique chargé des Affaires Sociales, partage pour ainsi dire ce même avis. “La réaction doit s’organiser d’en bas… sauf qu’elle ne vient pas”. Au même moment, un animal si bienveillant, avait-il… enveloppé de tout son regard la camera de Fulvio Grimaldi durant une bonne partie de l’interview de Katerina. La réaction, elle doit certainement venir de… quelque part, c’est évident.

 
Monument à la gloire des combattants communistes (KKE). Athènes, mai 2017
 
Cabane d’un sans-abri. Athènes, mai 2017
 
Un autre regard… sur la camera de Fulvio Grimaldi. Athènes, mai 2017

Plus… fantaisiste dans ses prévisions je dirais, Panagiótis Lafazánis estime de son côté, “qu’un grand mouvement de révolte est en train de couver et que par exemple, à l’occasion de la date du 5 juillet, c’est-à-dire, deux ans tout juste après le référendum de 2015, ce grand moment du ‘NON’ du peuple grec, ce même peuple se mobilisera”. Le chef de l’Unité Populaire, avait auparavant participé à une réunion du Comité national de son parti. Vers la fin des… travaux, la salle se vidait ainsi peu à peu.

“Camarades, je pense qu’il faut faire venir Mélenchon, dans le cadre des actions de l’Unité Populaire. Bonne idée, non ?” Voilà pour ce qui tient de la dernière idée… comme du dernier orateur. En somme et sans fioritures, après deux ans de “pouvoir” SYRIZA, le pays s’est en réalité… vidé de sa gauche, sa page avait été ainsi tournée, pour ne pas dire déchirée par Alexis Tsipras du paysage politique (et désertique) grec.

Période quasiment estivale, et les Athéniens se rueront sur les plages de l’Attique. Maria la voisine qui s’en sort tout juste, femme aux faibles revenus… faiblement renforcés par ceux de Thanássis, son compagnon, ne s’intéressera plus jamais à la politique (celle des partis) et encore moins aux déclarations d’Alékos, de Katerina ou de Panagiótis, censées ou pas d’ailleurs.

“Il y a un temps pour tout… Thanássis et moi, nous partons enfin durant ce long week-end à Kythnos, notre si belle Cyclade. Nous avons trouvé une chambre pour 40€ par jour, car en plein été c’est impossible. Je ne me plains pas, je travaille… à mon compte et à ma manière. L’État, ainsi que les politiciens sont nos ennemis. Ils veulent nous exterminer. Résister pour survivre, c’est aussi avoir le moins possible de relations avec l’État et avec l’administration. Nous vivons avec peu de moyens et peu de besoins, mais ce peu est bien à nous. En plus, nous n’avons aucune dette, c’est aussi primordial.”

 
Au port du Pirée. Mai 2017

Au même moment à Athènes, ceux par exemple de la cabane des sans-abri (animaux compris), s’agissant d’un ancien kiosque… reconverti, installé en d’autres temps et circonstances près de l’Hôpital Ágios Sávvas, ceux-là ne partiront pas, sauf qu’ils apprécient comme rien au monde, tout simplement la fin de l’hiver.

Devant leur kiosque, un monument du parti communiste grec (KKE), célèbre… seul la mémoire des combattants qui sont tombés à la bataille d’Athènes (Guerre Civile, décembre 1945), “contre la classe bourgeoise et contre l’impérialisme Anglais”. Fulvio a fait remarquer que ce petit monument est bien invisible, en réalité, il est condamné à l’oubli, signe des temps sans doute.

Et au Pirée, tandis que la croisière peut toujours s’amuser, certains cafés resteront fermés, nous l’avons déjà évoqué, la crise grecque est déjà moins visible de première vue, et certainement plus… sournoise que la crise en Argentine. L’effondrement grec n’est pas soudain, ni général d’ailleurs. Sauf à Ágios Sávvas, grand Hôpital de la Santé Publique, spécialisé en cancérologie. Nous y avons rencontré Babis Zabatis, chef de service oncologie et chimiothérapie.

 
Polyxeni, au Centre médical solidaire d’Ellinikón. Le 29 mai 2017
 
Terrasse d’un café à Athènes. Mai 2017
 
Schäuble… Con”. Athènes, mai 2017

Souriant devant la camera de Fulvio Grimaldi (29 mai), c’est par toute sa bonté d’abord, que le docteur Babis Zabatis tenta en vain d’éponger cette amertume de l’air du temps actuel, “temps de renard” forcément.

“La crise pour nous, c’est surtout le manque cruel de personnel. Plusieurs milliers de médecins ont quitté la Grèce. Au lieu de onze internes dans mon service par exemple, je n’en dispose que de deux actuellement, nous ne pouvons plus faire face aux besoins des patients… alors ils meurent, ou ils meurent plus rapidement car souvent ils restent longtemps sans traitement. Fait alors nouveau… nous avons remarqué une surmortalité, jamais vue jusque là chez les médecins. Depuis ces trois ou quatre dernières années de la crise, nous ne tenons plus la route de notre mission, nos efforts sont surhumains, j’ai perdu ainsi cinq collègues, d’un cœur qui lâche, d’un AVC… voire, d’un cancer fulgurant. C’est terrible…”

Polyxeni Papalexi, pharmacienne volontaire au Centre médical Solidaire d’Ellinikón au sud d’Athènes, a également répondu aux questions de Fulvio et de Sandra, en plus, dans un italien impeccable (29 mai).

“Le gouvernement Tsipras a enfin ouvert la porte des hôpitaux aux ‘Sans-Sécu’ (près du tiers de la population du pays tout de même). Sauf que le manque de personnel, de matériel, des ambulances… tout cela rend de fait la situation ingérable. La prise en charge est longue, trop longue, six mois d’attente pour un malade souffrant de cancer devient alors synonyme de… condamnation, puis, il y a l’épineux problème des médicaments. Même au cas où il ne reste qu’une participation à régler pour les patients, nombreux sont ceux qui ne le peuvent pas, assurés ou non d’ailleurs. Ils arrivent finalement au Centre médical Solidaire, pour que nous fournissions tous ces médicaments gratuitement, autant que le lait pour bébés ou encore les couches-culottes.”

Toujours à Ellinikón et sur le coin d’une étagère ainsi nommé… “Musée de la drachme”, les pharmaciens du Centre, collent les emballages de certains médicaments remarqués, car datant du temps d’avant, aux prix exprimés en drachmes. Humour ?

Les journaux quant à eux, ils préféreront s’en inquiéter de la dernière (supposée) négociation entre Tsiprosaures et Troïkans ; “Une solution claire ou sinon la crise” (“Quotidien des Rédacteurs”), ou: “Le pas à faire d’Alexis Tsipras” (devant le précipice), (“Ta Néa”). Kóstas Zachariadis, directeur du groupe des parlementaires SYRIZA bien installée dans l’air du temps, vient de déclarer (radio 99,5 FM, 26 mai 2017):

“Nous, nous le confessons. Nous disons que le pays est au garde-à-vous, il est sous tutelle. Essentiellement, pour ce qui tient de la politique économique et fiscale, nous co-gouvernons avec les institutions, avec la Troïka. Et alors à plusieurs reprises, ils s’emparent de notre main et pour tout dire, ils rédigent ainsi directement nos lois.” C’est le stade suivant de la métadémocratie, après avoir évidemment “gouverné” par décrets ou par ordonnances.

J’ai montré à Fulvio la demeure du Général Ioánnis Metaxás à Kifissiá, quartier de la grande bourgeoisie grecque. En dépit de la fascination de son régime dictatorial (1936-1941), Metaxás était d’abord plus proche des démocraties occidentales que de l’Axe sur le plan diplomatique. Mussolini lui envoya le 28 octobre 1940 un ultimatum prévu pour être inacceptable par l’intermédiaire d’Emanuele Grazzi, alors ambassadeur d’Italie en Grèce. Grazzi s’était rendu à Kifissiá à 3h du matin en ce 28 Octobre, exigeant que La Grèce autorise l’occupation par les armées italiennes de tous ses sites stratégiques. Metaxás a eu son célèbre mot qu’il répondit: “NON” dans cette maison.

L’Italie envahit le 28 octobre la Grèce depuis son protectorat albanais, déclenchant la guerre entre les deux pays. La défense grecque fut héroïque, repoussant les Italiens en Albanie. Mussolini a perdu sa… guerre, cela jusqu’à l’intervention d’Hitler en avril 1941. “C’est notre histoire commune”, avons-nous dit, Fulvio et moi. C’était le temps du ‘NON’ mais les temps historiques peuvent changer.

Au Pirée, certains camions… passéistes demeureront ornés des symboles du pays, les chattons nouveaux sont déjà nés, puis, dans les quartiers aisés de la Riviera d’Athènes, certains… professionnels proposent leurs services… de taxi pour animaux de compagnie.

Période quasiment estivale. Le gouvernement brasse beaucoup d’air ces derniers jours, peine perdue.

Temps actuel, “temps de renard” forcément, sous le regard alors impénétrable des animaux adespotes (sans maître) face à la mer. Regard camera ?

 

Pubblicato da Fulvio Grimaldi alle ore 15:28