OUI LE « SIFFLET CITOYEN », « TROP C’EST TROP », « CA SUFFIT » ET LEURS CLONES PARTOUT EN AFRIQUE SONT DES MERCENAIRES AU SERVICE DES OCCIDENTAUX ET DE LA RECOLONISATION DE L’AFRIQUE !

Luc MICHEL pour NOUVEAUX HORIZONS MAGAZINE/

Avec PANAFRICOM/ 2016 03 13/

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https://vimeo.com/panafricomtv

NHM - LM balais, sifflet et cie (2016 03 13)

A quelques semaines de la Présidentielle du 11 avril au Tchad, des groupes de jeune s’activent contre la réélection du Président Idriss Déby Itno. Leur nom : « Trop c’est trop », « Cà suffit » (pour les arabophones » ou encore la récente opération du « Sifflet citoyen ». Tous sont des clones des « balais citoyen » burkinabé ou du « Yen a marre » sénégalais. Tous veulent un pseudo « Printemps africain » (dixit Libération à Paris). Eux même des copies conformes des groupes de jeunes du soi-disant « printemps arabe » formé par les activistes des « révolutions de couleur en Eurasie.

Tous, au Tchad comme dans toute l’Afrique, ont les mêmes financiers, les mêmes mentors occidentaux et surtout le même parrain (au sens mafieux du terme), Georges Sorös.

Selon les suporters du « Balais citoyen » (Burkina Faso) ou de « Trop c’est trop » (Tchad) sur les réseaux sociaux, je me « tromperais »(sic) ou je « mentirais » (resic) sur les groupuscules de jeunes activistes. Ouvrez les yeux !

* La preuve par le Site officiel de la NED, « la vitrine légale de la CIA » …

Voici le « Programme Africa » de la NED, la déstabilisation du Continent par la prise en main de la jeunesse :

http://www.ned.org/region/africa/

COMPRENDRE !

Au même moment que le sommet officiel « USA – AFRICAN LEADERS » (où se met en place une vague de changements de régimes en Afrique décidée par Obama, les 4-6 août 2014, dont celui du Tchad), se tenait aussi à Washington un « sommet alternatif » organisé par un organisme d’état US (créé par Ronald Reagan dans les Années 1980), financé sur le budget américain, la NED, que certains analystes qualifient de « vitrine légale de la CIA ». En collaboration avec une de ses filiales, la NDI (lui aussi un organisme d’état US, financé sur le budget américain), l’USAID, l’Open Society de Söros et un ensemble d’ONG et médias que l’on retrouve depuis 15 ans dans les « révolutions de couleur » en Eurasie et le « printemps arabe ». Des centaines d’activistes, de syndicalistes, de journalistes africains surtout y sont pris en main.

* Cfr. PCN-TV/DOCUMENT/ THE MAKING OF THE COLOUR REVOLUTIONS IN AFRICA (1): AFRICAN SUMMIT OF THE NED IN WASHINGTON (AUGUST 5-6,2014)

Un impressionnant document de huit heures, provenant de la NED elle-même, sur la fabrication des 5e colonnes africaines !

Sur https://vimeo.com/114110733

LA CRISE DU BURKINA FASO A REVELE L’EMPRISE DES AGENTS ET DES RESEAUX AMERICAINS SUR L’AFRIQUE

La crise au Burkina Faso, avec le putsch du RSP, a révélé l’emprise des réseaux et des agents d’influence américains sur l’Afrique. Comme je l’annonçais sur les plateaux d’AFRIQUE MEDIA (où certains m’ont alors accusé « d’infantiliser les africains »), la crise au Burkina Faso, comme dans tous les pays déstabilisés par Washington depuis un an, ne pouvait déboucher que sur l’instabilité. L’instauration du chaos est la voie scientifiquement choisie (c’est la Géostratégie du chaos, théorisée notamment par les géopolitologues américains de Stratfor) par les USA pour dominer l’Afrique au XXIe siècle.

Washington est un grand marionnettiste qui a instrumentalisé de nombreuses forces et les lance les unes contre les autres. Au Burkina Faso aussi bien les petites canailles du « Balais citoyen » (les Soros’ boys émergents aussi à la NED) que Zida (formé comme officier à l’ »Ecole des Amériques ») ou Diendéré (homme clé de la collaboration avec l’Africom US) sont sous contrôle US.

Toute force politique ou sociale, tout politicien qui ouvre aujourd’hui une crise en Afrique sur les thèmes de l’agenda américain (les soi-disant « bonne gouvernance », « intangibilité des constitutions », « alternance » etc) démontre qu’il travaille, consciemment ou pas (mais depuis un an personne ne peut plus dire « je ne savais pas »), pour le néocolonialisme américain.

Je ne parle jamais pour être populaire ou agréable, mais pour dire ce que les autres ne disent pas ou ne voient pas, mon but est le développement de la conscience africaine (et européenne en Eurasie, où l’aliénation des masses par le système et ses médias vaut celle de l’Afrique).

L’ « INTERNATIONALE SOROS » EN REUNION A DAKAR

Ecoutons une voix africaine, celle du DAKAROIS, expliquer lors d’une réunion de « l’internationale Soros » à Dakar au printemps dernier, ce que sont les mercenaires des USA et d’où vient leur financement :

« Depuis les élections au Sénégal ou l’ex-président Abdoulaye Wade a voulu se maintenir au pouvoir, un mouvement citoyen appelé « Ya en marre » est né. Le même modèle sera reproduit au Burkina Faso sous l’appellation « Le balai citoyen. » Puis deux mouvements similaires ont également vu le jour en RD Congo, le « Lusha » et le « Filimbi. » Vecteurs d’une nouvelle image de la jeunesse africaine luttant pour l’établissement d’une vraie démocratie dans leurs pays respectifs, ces mouvements ne réussissent pas à tromper les spécialistes des questions politiques en rapport avec l’Afrique. Il suffit de s’interroger sur le financement des activistes pour percevoir une télécommande occidentale pilotant à distance qui parait comme une « génération spontanée. » L’actualité récente en RD Congo nous montre que la rencontre – débat entre les mouvements « Ya en Marre », « Filimbi » et « Balai Citoyen » à Kinshasa où des jeunes activistes ont été arrêtés et jetés en prison, était le fruit de l’organisation et du financement, d’ailleurs revendiqué comme tel de l’USAID (United States Agency for International Development.) Or, il est de notoriété publique que tous ces organismes sont des bras armées des USA au service de leur diplomatie souvent hégémonique en direction des pays généralement pauvres.

Parvenir par d’autres moyens plus fin aux objectifs que la CIA a atteint par le sang, dans la désapprobation ou le déshonneur, c’est le leitmotiv de la création de tous ces réseaux d’organismes. L‘homme orchestre de tout ces systèmes d’organisation au service de la puissance américaine est le financier et philosophe Georges Sorös.

Les suspicions sur la mainmise de Sorös sur ces jeunes activistes africains ont été confirmées par la publication sur les réseaux sociaux de la photo explicite, démontrant les accointances du mouvement Sénégalais Ya en Marre et celui qu’on accuse d’être un paravent de la CIA. Une image qui parle d’elle même. Sorös, l’homme actif dans de nombreux changements de régime, porte le t-shirt estampillé du logo du mouvement « Ya en Marre » et en bon « guru », il enseigne la bonne parole à ses nouveaux disciples. »

… Plus personne ne peut dire “je ne savais pas” !

Luc MICHEL / Ndjanema

(*) QUEL EST LE PROGRAMME DE LA NED POUR CONTROLLER  L’AFRIQUE ?

Le voici (en anglais) exposé par la NED elle-même; lire en particulier (mis en majuscules) l’accent mis sur les financements des groupuscules activistes par l’organisme d’état US, notamment en ce qui concerne le Burkina Faso et la préparation des insurrections, les « révolutions de couleur » à l’africaine :

”AFRICA. The civil society conference NED organized on Capitol Hill during the US-Africa Leaders’ Summit in August 2014 underscored how the demand for democracy in Africa has grown. Human rights, free and fair elections, accountability and transparency, independent media, peace, and a vibrant civil society remain critical issues for which Africans struggle.

NED, its partners, and the Endowment’s core institutes also collaborated on many other efforts in Africa in 2014.

In Zimbabwe, for example, NED and its core institutes, along with leaders in government, the political parties, business, labor, and civil society, came together in an event organized by the SAPES Trust to re-engage and chart a democratic way forward. NED held two important meetings in Washington on the Democratic Republic of the Congo (DRC), and NED’s partners there made significant contributions to that country’s electoral process, as well as human rights and security issues. ON THE SAHEL, NED HELD A SERIES OF MEETINGS WITH POLITICAL AND CIVIL SOCIETY LEADERS ON BURKINA FASO, Niger, and security issues. NED’s program in the Sahel, especially Mali, expanded dramatically in response to the turmoil and tentative democratic restoration there. In Kenya, NED partners convened to strategize and find greater synergies in their work, even as the space for civil society came under threat.

Democracy, however, faced significant challenges in other areas. Violence reversed democratic progress in South Sudan, the Central African Republic, the Democratic Republic of the Congo and northern Nigeria. NED provided assistance in each of these situations. In the Central African Republic, NED supported Search for Common Ground to broadcast messages on community radio and NDI to assist civil society organizations in promoting peace. In South Sudan, NED supported grassroots peace efforts in Jonglei and Equatoria. SOS Femmes en Danger empowered women in eastern Democratic Republic of Congo to fight back against rape, putting attackers in jail. In other conflict environments, NED partners in Cote d’Ivoire sought to reinforce the reconciliation process after that nation’s civil war. In Sudan, NED supported marginalized groups from across the country to work more collaboratively, including efforts in the Nuba Mountains and Darfur.

In much of Africa, the fragility of democracy has become apparent, just as the security threat from terrorists, extremists, and criminal networks has increased. Authoritarian regimes in Africa pushed back against the democratic progress made over the last 25 years, passing anti-terrorist or anti-LGBTI laws that threatened political opposition and civil society. However, NED partners deepened grassroots commitment to democracy and human rights and developed innovative approaches to opening up authoritarian systems. In Zimbabwe, Kenya, Nigeria, and other countries, the Solidarity Center helped trade unions organize informal sector workers and increased awareness of gender issues. In Ethiopia, NED supported the struggle for freedom of the press and association, and CIPE fostered dialogue between the public and private sector. In Rwanda, Human Rights First promoted collaboration between the press and human rights groups. In Uganda and Nigeria NED supported groups struggling for LGBTI rights. NED supported the MakaAngola website and the work of human rights crusader Rafael Marques in Angola.

The Ebola crisis also threatened democratic progress. In Liberia, NED partners such as Liberia Media for Democratic Initiatives and NAYMOTE rose to the challenge, incorporating Ebola awareness efforts into their activities while holding public forums on the political issues at stake. Partners in Sierra Leone advocated for greater transparency in the country’s response to the emergency and broadcast civic education messages on community radio.

NED partners also assisted domestic election observation, trained politicians, conducted voter education, and promoted women’s and youth participation in politics. NED focused on the quality of leadership emerging from these processes as well, ensuring not only that elections are free and fair and that everybody participates and accepts the results, but also that the elected government respects and advances human rights, freedom of the press, assembly, and association; and governs with accountability and transparency. NDI supported the launch of a youth political party training school in Southern Africa; the Institute for Research and Democratic Development in Liberia refined its tracking of legislators’ performance; and the Nigerian Women Trust Fund produced a video and conducted a media campaign promoting women’s participation in the elections. In the DRC, IRI worked with women political leaders, several of whom advanced to prominent positions in the government and political parties.

AT THE END OF THE YEAR A POPULAR UPRISING OVERTHREW BURKINA FASO’S PRESIDENT, BLAISE CAMPAORE, SENDING SHOCK WAVES THROUGHOUT AFRICA. HIS FAILED ATTEMPT TO CHANGE THE CONSTITUTION TO ELIMINATE TERM LIMITS AND EXTEND HIS HOLD ON POWER HAS CHANGED THE CALCULUS OF MANY OTHER AFRICAN HEADS OF STATE WITH A SIMILAR AGENDA.

YOUTH PLAYED A VITAL ROLE IN DRIVING THE CHANGE IN BURKINA FASO, AND ARE DOING SO ACROSS AFRICA, THE YOUNGEST CONTINENT IN THE WORLD, AND NED STRENGTHENED ITS COMMITMENT TO YOUTH ORGANIZATIONS ACROSS AFRICA.

In Uganda, Students for Global Democracy and CIPE promoted youth participation; in Nigeria, the Youth Initiative for Advocacy Growth and Advancement worked with the Electoral Commission to involve youth in upcoming elections. Youngstars and the YMCA trained youth leaders, and YOSPIS trained youth and placed them in democratic institutions in the north. In Zimbabwe, the Youth Forum, ZOYP, the Institute for Young Women Development, and Youth Dialogue promoted youth participation. Innovative use of social media was evident in many programs, especially with youth.

Indeed, despite the setbacks, as a new generation rises, opportunities for democratic progress in Africa have never been greater. To learn more about NED grants and grantees, explore the regional links on this site.”

Photo : Image rare. les cadres des groupuscules activites (dont le Balais citoyen) réunis à Dakar par ‘Y en à marre’ pour recevoir les instructions de leur mentor Georges SOROS (à l’extrême-droite) …

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Comunicato A.N.P.I. Sez. Bussoleno, Foresto e Chianocco sugli arresti dei notav

16 marzo 2016 Comunicato A.N.P.I. Sez. Bussoleno, Foresto e Chianocco sugli arresti dei notav

http://www.notav.info/post/comunicato-a-n-p-i-sez-bussoleno-foresto-e-chianocco-sugli-arresti-dei-notav/

Ieri, 15 marzo 2016, in Valle di Susa sono state effettuate perquisizioni e applicazioni di misure cautelari a danno di attivisti e attiviste del movimento No Tav, tra i quali anche alcuni iscritti alle sezioni Anpi di questo territorio.

Alle prime luci dell’alba, infatti, otto persone si sono viste perquisire casa e notificare quattro obblighi di firma giornaliera e quattro arresti domiciliari senza possibilità di comunicare con l’esterno. La motivazione portata dai carabinieri dei Comandi di Susa e Borgone riguarda un episodio risalente a settembre 2015 quando, nel centro di Bussoleno, si è svolta una manifestazione di solidarietà della popolazione in occasione di un fermo dei Carabinieri che poco aveva a che vedere con un normale controllo. Parliamo di un’azione di solidarietà nei confronti di un commerciante della Valle inseguito e fermato a Bussoleno dopo un’iniziativa nella tanto discussa Val Clarea. Quella sera le persone presenti oltre ad essere state aggredite verbalmente dagli agenti, hanno dovuto assistere a tristi e degradanti affermazioni razziste e fasciste da parte di uno dei carabinieri che, in quell’occasione, si è infatti distinto per aver pronunciato frasi come” ho avuto meno problemi con rumeni e albanesi che con voi” e ” se ci fosse il fascismo non ci sarebbe il problema della vostra protesta”. Una delle denunciate, iscritta alla nostra sezione, è stata addirittura sottoposta alla misura di obbligo di firma semplicemente per aver detto la verità in seguito a queste affermazioni. “Fascisti” è, infatti, la parola che ha portato il PM e il giudice a richiedere per lei questa assurda misura cautelare.

Le misure poste in atto sono assolutamente sproporzionate per gli eventuali reati commessi (chiaramente ancora da giudicare) e fanno percepire un clima ancora più preoccupante di quello già noto in questa vallata: luogo di pesante militarizzazione dove risulta sempre più difficile esercitare il diritto di protesta, sancito dalla costituzione.

Le operazioni sono state condotte bruscamente, con l’umiliazione della perquisizione “personale” che consiste nel fare spogliare integralmente il fermato.

A questa insopportabile vessazione si è aggiunta una scoperta che se risultasse vera disegnerebbe un quadro anco più preoccupante. Sarebbe infatti stato notato un quadro di Mussolini e alcuni suppellettili di tipo fascista in una stanza presso la Caserma di Susa. A raccontarlo sono stati proprio i fermati trasferiti li in modo coatto in mattinata, per la consegna delle notifiche.

Quest’operazione messa in campo dal corpo dei carabinieri e capitanata dalla procura torinese attira la nostra attenzione per le dinamiche nella quale è avvenuta e per le motivazioni che hanno portato.

Facciamo un passo indietro in quanto, anche se per alcuni risulterà ridondante, per noi è assolutamente necessario.

Da 25 anni a questa parte il nostro è un territorio in lotta. Le persone di questa terra hanno deciso molto tempo fa che avrebbero lottato e resistito per tutto il tempo necessario e con mezzi democratici e legittimi per contrastare questa opera, che ricordiamo essere inutile non solo per la gente della Valle ma per tutto il territorio nazionale. Purtroppo però ci troviamo da sempre di fronte istituzioni sorde alle nostre istanze che, da un lato, sono in grado di usare la forza non appena l’ordine costituito viene messo in discussione, dall’altro sono in grado solo di proporre ,come apparente ammortizzatore al falso profumo di democrazia, organi decisionali tecnici per discutere di come fare il Tav. Il tutto senza tenere in conto l’assoluta e determinata contrarietà della maggioranza della popolazione a questo progetto.

In un periodo in cui l’Italia sta andando allo sfascio, le istituzioni nazionali, che governano illegittimamente, non esitano nel continuare a tenere ben alto il baluardo della lobby del Tav, spendendo soldi pubblici in questa a discapito di servizi alla persona, sanità ed istruzione.

Si è appena concluso un congresso provinciale nel quale si è più volte ripetuto quanto il nostro Paese stia attraversando un periodo di crisi dilatata su più livelli (economia, democrazia, politica, sociale) e quanto questa situazione sia da cambiare impegnandosi anche come Associazione in prima persona.

Nella stessa sede ovviamente, sono state tante le affermazioni contro ogni tipo di fascismo passato e presente, contro il quale, come ANPI in particolar modo, siamo costituzionalmente legittimati a mettere in campo iniziative di contrapposizione.

Ieri si è scritta una pagina senza precedenti in Valle di Susa, che, avendo bene impresse in mente le parole espresse da più parti all’ultimo congresso provinciale, chiama la nostra attenzione di sezione ANPI a quanto è accaduto e alla preoccupante evoluzione di ciò che sta accadendo su questo territorio.

A ciò si aggiunge anche la mattinata di oggi, dove a Torino ad altri 7 Antifascisti sono stati imposti gli arresti domiciliari e un obbligo di firma giornaliera, in conseguenza alle legittime proteste di questo autunno contro la propaganda xenofoba portata dal FUAN e dalla sezione giovanile della Lega Nord nelle Università.

Come sezione A.N.P.I di Bussoleno, Foresto e Chianocco non possiamo fare altre che dare tutta la nostra solidarietà ai compagni e alle compagne coinvolte nelle operazioni di questi giorni rilanciando sulla nostra partecipazione alla fiaccolata indetta per domani sera, giovedì 17 marzo, a Susa presso la Stazione Ferroviaria alle ore 20 e 30. Nel farlo,invitiamo tutti gli antifascisti e le sezioni ANPI a fare altrettanto.

ORA E SEMPRE RESISTENZA!

ORA E SEMPRE NO TAV!

Assedio ai carabinieri in Valsusa, arrestati tre No Tav: c’è anche un ex di Prima Linea

Cinque assoluzioni, intanto, per una “passeggiata al cantiere” fatta dagli attivisti a Chiomonte: secondo i giudici “non viola le ordinanze”di JACOPO RICCA

 
15 marzo 2016
Assedio ai carabinieri in Valsusa, arrestati tre No Tav: c'è anche un ex di Prima Linea

Tre No Tav arrestati (ai domiciliari) e un quarto ricercato, più quattro altri attivisti sottoposti agli obblighi di firma. Questa mattina i carabinieri del comando provinciale di Torino, su ordine del gip Rosanna La Rosa, hanno eseguito un’ordinanza di misura cautelare per un episodio avvenuto il 17 settembre in Valsusa. Ai domiciliari è finito anche Stefano Milanesi, ex attivista di Prima Linea passato al movimento No Tav.

Al termine di una manifestazione al cantiere dell’alta velocità di Chiomonte una trentina di persone aveva circondato una pattuglia dei carabinieri della compagnia di Susa che era impegnata, assieme a un secondo equipaggio della stazione di Condove, nel controllo di una vettura con a bordo due attivisti No Tav. Secondo l’indagine, coordinata dal pm Andrea Padalino,  “gli attivisti destinatari delle misure avevano oltraggiato e gravemente minacciato i militari, rifiutando di farsi identificare”, ma durante l’azione avrebbero anche interrotto il traffico della strada statale 25 dove erano in corso i controlli. Due di loro sono ora detenuti agli arresti domiciliari, mentre per gli altri quattro il gip di Torino ha deciso l’obbligo di presentazione giornaliera alla polizia giudiziaria.

 Sono stati intanto assolti dall’accusa di “inosservanza di un provvedimento dell’autorità” cinque No Tav che il 15 settembre 2011 avevano preso parte a una ‘passeggiata’ su un sentiero che costeggia il cantiere del Tav a Chiomonte, in Valle di Susa. La difesa ha sostenuto che l’ordinanza della Prefettura (in vigore dal 29 luglio precedente) di Torino non vietava, in quella zona, il transito delle persone ma solo il traffico veicolare. 

Agli imputati, che a seconda delle singole condotte rispondevano di altri reati (dalla violenza all’oltraggio a pubblico ufficiale) sono stati inflitte condanne di lieve entità.

TAV – SCIBONA, FREDIANI (M5S): “CHIEDIAMO NORMALITA’ PER LA VALSUSA E PER I VALSUSINI”

http://www.marcoscibona.it/home/?p=1014

Normalità, come il resto d’Italia. Questo chiedono gli abitanti della Valle di Susa che invece si vedono sottoposti a perquisizioni, indagini e misure restrittive solo per far parte di un movimento pacifico che si oppone alla realizzazione di una inutile nuova linea ferroviaria. Dopo le scrupolose e attente indagini a cui è stato sottoposto lo storico barbiere di Bussoleno ora anche perquisizioni estese e scrupolose ad alcuni altri attivisti NoTAV. Tutta questa attenzione andrebbe impiegata anche nella totalità dei fenomeni criminosi o meno che accadono nel nostro Paese.

Tali forze andrebbero impiegate, in pari misura, alla lotta alla mafia, a combattere la corruzione, a difendere donne e bambini dalle prepotenze di un mondo che sentiamo non appartenerci. Tutta l’area torinese vede reati ed angherie quotidiane, eppure la Magistratura applica due pesi e due misure e concentra i propri sforzi unicamente alla repressione in Valle di Susa.

Noi non lasceremo solo il popolo NoTAV, a cui apparteniamo. Con loro parteciperemo alle prossime iniziative per ribadire che la Valle di Susa è Italia, non una moderna riserva indiana.

Marco Scibona – Senatore M5S, Segretario 8a Commissione Lavori pubblici, comunicazioni.
Francesca Frediani – Consigliera Regionale Piemonte M5S

Un referendum svizzero che ci riguarda

beato chi ha la democrazia diretta, incubo degli anti populisti pro oligarchia. In Italia regna la società civile del Pd a protezione dei banchieri e cosche varie, è un crimine solo pronunciare sovranità monetaria.
  
banca svizzera
Sabato 5 marzo si è tenuto a Milano un convegno chiamato “Riforma per una moneta intera”, con relatori Konstantin Demeter (coordinatore del comitato “Iniziativa Moneta Libera”), Daniele Pace (esperto di temi monetari), Sergio Morandi (consulente ed esperto finanziario) e il ticinese Marco Saba (autore di “Bankenstein” e membro anch’ egli del comitato “Moneta Libera”).
 
Tra il silenzio assordante dei mezzi di informazione, infatti, entro il 2017 o al massimo nel 2018 si terrà in Svizzera un referendum che potrebbe rivoluzionare e terremotare il sistema finanziario e bancario malato che da tempo, purtroppo, abbiamo imparato a conoscere. Prima di entrare nei dettagli, dobbiamo premettere che il suddetto Comitato, tra l’ostilità generale del sistema bancario elvetico e l’ostracismo dimostrato da tutti i partiti politici di ogni orientamento e colore è riuscito a raccogliere quasi 110.000 firme tra i cittadini svizzeri, nonostante le palesi difficoltà organizzative tra cui la stampa e la traduzione del materiale informativo in ben 3 lingue. L’iniziativa mira a riformare l’articolo 99 della Costituzione svizzera, quello che riguarda l’ordinamento monetario, finanziario e le banche, togliendo alle banche private il diritto di emettere moneta elettronica e dando questa sola facoltà alla Banca Nazionale Svizzera.
 
Cosa succederebbe, dunque, in caso di vittoria dei “sì”? La Banca Nazionale Svizzera sarebbe l’ unico istituto abilitato ad emettere moneta, sia come denaro circolante, sia come denaro elettronico e/o virtuale: attualmente, infatti, solo il 10% del denaro svizzero viene emesso dalla Banca centrale, mentre il restante 90% sono semplicemente cifre digitate sui computer delle banche senza essere mezzi legali di pagamento, ma è con questa massa di denaro “creato da altro denaro” che noi abbiamo i conti correnti, accendiamo i mutui, paghiamo le tasse, le imposte, prendiamo il poco interesse sugli investimenti che ancora le banche commerciali generosamente ci offrono. Si tratta, come avrete capito, di una ingente di massa di soldi creata dal nulla, che solo in Svizzera ha un rapporto di 40:1, cioè per ogni franco stampato dalla Banca Nazionale ne vengono “digitalizzati” altri 40 e a fronte di 570 miliardi di franchi di massa monetaria (denaro circolante e virtuale), solo 75 provengono dai torchi della Banca Nazionale.
 
Questo sistema, che è alla base del debito e di tutte le storture e le aberrazioni che abbiamo imparato ormai a conoscere bene e che ha contribuito largamente alla creazione di una economia globale finanziarizzata, con il circolo vizioso del debito, deflazione, recessione, scarsità di fondi per la spesa pubblica, oltre alle crisi cicliche, le bolle speculative, gli investimenti azzardati (coi nostri soldi!), il disordine monetario, i salvataggi forzati a spese del contribuente, il divario di reddito tra ricchi e poveri (pensiamo che negli ultimi 15 anni, a fronte di una crescita economica svizzera media dell’ 1,4%  annuo, la massa di denaro elettronico è cresciuta del 7,8% sempre annuo, arricchendo i soliti noti) ovviamente non è solo una prerogativa dei nostri vicini svizzeri, ma di tutti i sistemi bancari mondiali. Spezzando queste prerogative che mai, storicamente, sono state delle banche commerciali, si avrebbe il vantaggio incomparabile di avere un sistema molto più snello e gestibile, comprensibile ai più e soprattutto utile per la comunità in quanto verrebbe emessa una massa di denaro secondo le necessità dell’ economia reale, delle spese dello Stato, delle sue esigenze e ciò si riverberebbe a cascata in un effetto domino positivo che migliorerebbe la situazione dei cittadini, garantirebbe i loro risparmi e permetterebbe inoltre una tassazione più leggera senza toccare la spesa pubblica. Essendo infatti i bilanci delle banche commerciali falsati da acrobazie contabili, la massa occulta di denaro elettronico sfugge alla tassazione. Si è calcolato che solo in Italia, se si riuscisse a tassare equamente tutti questi guadagno occulti, lo Stato avrebbe un gettito annuale pari a 600 miliardi di euro, con notevoli conseguenze benefiche per tassazioni e servizi ai cittadini. L’iniziativa popolare (o, se preferite, referendum) che si terrà in Svizzera riguarda tutti noi e per questo è dovere di ciascuno informarsi: anche se censurate dai Tg e dalla stampa “mainstream”, queste notizie in Rete sono disponibili. Serve semplicemente armarsi di un poco di tempo e pazienza, aprendo i siti giusti.
di Simone Torresani – 13/03/2016
 
Fonte: Il giornale del Ribelle

I RUSSI (NON) SE NE VANNO, L’EGITTO ARRIVA, I CURDI FANNO I FIGLI DI BUONA DONNA

http://fulviogrimaldi.blogspot.it/2016/03/i-russi-non-se-ne-vanno-legitto-arriva.html

MONDOCANE

SABATO 19 MARZO 2016

Abbiamo creato le condizioni per un processo di pace. Abbiamo stabilito una collaborazione costruttiva e positiva con gli Usa e altri paesi , con le forze dell’opposizione rispettabile in Siria che sinceramente vogliono porre fine alla guerra e trovare una soluzione politica al conflitto. Voi, soldati russi, avete costruito la strada… Ovviamente torneremo, se ce ne sarà la necessità. In poche ore, la Russia può ricostituire le sue forze in Siria ed essere in grado di affrontare una situazione fuori controllo utilizzando l’intera gamma di mezzi a sua disposizione” (Vladimir Putin)
 
Bicchiere mezzo pieno o mezzo vuoto? Intanto “il manifesto” si beve l’ultimo goccio di credibilità
La trita metafora è rispuntata con virulenza alla notizia del ritiro russo dalla Siria. Notizia imbarazzante per l’Occidente. Tanto che, pur essendo di una notevole importanza geopolitica, perfino storica, è svaporata dai media nel giro di 24 ore. Imbarazzo, irritazione, frustrazione, di fronte a una Russia che, in un modo o nell’altro, mantiene e accentua l’iniziativa e pone sistematicamente gli altri in difficoltà di risposta. Così, attaccandosi alla liana lanciatagli dalle interviste al presidente Al Sisi dai giornaloni italiani, sono tornati a volteggiare sull’argomento nel quale si sentono imbattibili: Regeni. Sapete, il ragazzo fatto trovare morto e torturato tra i piedi del governo egiziano, mentre stava firmando con quello italiano una delle più grosse e reciprocamente proficue intese economiche del nuovo secolo. Regeni, quel ragazzo arrivato da Londra, da quella Oxford Analytica dei superspioni e superkiller McCole e Negroponte. Un collaudato duo operativo angloamericano che tutto vorrebbe tranne che Egitto e Italia si mettano d’accordo sull’autosufficienza energetica e, dio ce ne scampi, sulla Libia, togliendo al consorzio energetico-militare Israele-Turchia-Arabia Saudita-Qatar, sotto regia Nato, il ruolo di protagonista unico nella regione.

Al Sisi, in un’intervista del tutto ragionevole, assennata, convincente, aveva posto sulla bilancia un cui prodest di quella provocazione: il sabotaggio dei buoni e fattivi rapporti italo-egiziani sul piano economico (gas, infrastrutture) e geopolitico (Libia). Sabotaggio che non poteva non essere gradito, sia a chi teme l’emergere di un Egitto di nuovo protagonista autonomo sulla scena mediorientale, sia ai colonialisti occidentali che preparano l’intervento militare per sbranare quel che resta della Libia. Inoppugnabili dati di fatto. Per neutralizzare l’effetto che un simile ragionamento, fondato su fatti e logica, rischiava di avere sull’opinione pubblica, i giullari del sionimperialismo hanno riattivato le katiusce del fango contro l’immane rompitore di coglioni degli assetti occidentali, il Pinochet del Cairo. Le munizioni erano sempre quelle fornite dalla cara Fratellanza Musulmana cui 20 milioni di egiziani in rivolta e i militari avevano impedito di ridurre il paese in un’Araba Saudita.

 Embedded
Più furibondo di tutti, pur nel suo piccolissimo, il “manifesto”, che ha per fonte e guida, privilegiata fino alla sacralità, né l’osservazione fredda dei fatti, né la passione ideologica, ma Amnesty International (Dipartimento di Stato) e Human Rights Watch (Soros). Mobilitati idioti, ignoranti e infiltrati, è arrivato a spapagallare di Amnesty, dopo gli anatemi contro il leader egiziano, anche quelli ai suoi intervistatori di Repubblica e del Corriere, “che ormai hanno perso totalmente il loro status di contropotere, in grado di mettere in difficoltà i potenti anzichè stendere arazzi fiamminghi metaforici  sotto i piedi dell’intervistato… alla faccia del giornalismo come fonte di informazione…”
Secca dover difendere i massimi organi della disinformazione nostrana, ma come evitarlo quando l’attacco proviene da un fogliaccio pseudo- comunista e cripto-Nato che interpreta il suo “contropotere” e il suo “giornalismo come fonte di informazione” nascondendo da un mese dell’affare Regeni l’aspetto incontrovertibilmente più rilevante, anzi decisivo, uscito su mille giornali e schermi e virale in rete: il giovane accademico, sostenitore dei sindacati perseguitati, che lavora a tempo pieno per una lurida impresa di spionaggio e provocazione, agli  ordini di un ex-capo-spione britanico, McLeod, e del politico Usa massimo esperto e gestore di squadroni della morte e False Flag, dall’Honduras dei Contras, all’Iraq delle stragi terroristiche (compreso l’assassinio di Calipari). Che incommensurabile vergogna!  
 
Colpi e contraccolpi
I cripto-Nato del “manifesto” sono anche quelli che la notiziona del ritiro russo l’hanno annegato sotto l’ennesima alluvione di geremiadi sulla scelleratezza europea anti-rifugiati e l’infamia anti-GLBTQ dell’universo mondo. Non così in rete, dove si sono subito scatenati i pro e contro sulla decisione di Putin, per alcuni stupefacente, per altri sconvolgente. Traditi gli uni e gli altri dalla spinta emotiva, o dall frenesia di arrivare primi a illuminare il colto e l’inclita sulla portata dell’accadimento.  Che non è né una ritirata di infingardi che abbandonano l’amico nel momento di massimo bisogno, né il trionfo di una campagna che ha risolto ogni cosa e sbaragliato tutti.
Pochi dubitano del fatto che l’intervento russo abbia sparigliato il gioco e messo alle corde i contendenti dello schieramento anti-Damasco. Usa, Israele, Saud, Qatar,Turchia, con i rispettivi mercenari Isis, Al Qaida-Al Nusra e frattaglie minori, islamiste o “moderate” che le chiamino. Di certo c’è che, dopo cinque anni di incredibile resistenza di popolo, la Siria non precipiterà nel gorgo libico. Le controparti, però, avuto sentore della mossa russa e consapevoli che si verificava a coronamento di una loro semi-disfatta, hanno fatto la mossa del cavallo. Per riprendere l’iniziativa, se non sul campo siro-iracheno, hanno acceso altri due roghi: Libia e Libano. La fibrillazione deve rimanere, la minaccia di una conflagrazione generale deve continuare a poterne discendere, in Medioriente come nel mondo (da altre parti si riattizza l’incendio ucraino e si procede contro la Cina nel Pacifico e contro Brasile, Argentina, Venezuela, Bolivia in America Latina). Ne va della buona salute delle varie Lockheed-Martin, Boeing, Raytheon, Northrop Grumman, General Atomics, insomma del famigerato complesso militar-industriale. E dunque dell’intera economia Usa.
Non è che dal ritiro e dai negoziati di Ginevra fiorisca ora la pace universale. In Libia c’è da evitare a tutti i costi una soluzione fisiologica, cioè inter-araba, per la quale sarebbero pronti e capaci Egitto e la coalizione laico-gheddafiana di Tobruk. Si attivino i Fratelli musulmani e qualche loro intollerabile provocazione su cittadini europei, meglio se italiani come Regeni, scafisti turchi accelerino il trasferimento a Sirte di jihadisti scornati in Iraq e Siria. Dopodichè armiamoci e partite, ascari europei. E su questo scenario Mosca deve ancora dirci qualcosa, al di là del puramente virtuale sostegno, nel Consiglio di Sicurezza, all’altrettando virtuale governo di unità nazionale rintanato tremebondo a Tunisi.
 
Non va in Siria? Proviamo in Libano.
In Libano proliferano gli attentati dei figliocci wahabiti di casa Saud, Isis e Nusra. Si riprova a fomentare una nuova “rivoluzione dei cedri”, stavolta innescata dalla guerra dell’immondizia e dalla paralisi istituzionale. L’Arabia Saudita si rimangia i 4 miliardi di dollari promessi per ammodernare un esercito che va punito perché,  unito agli Hezbollah, insiste a far fronte alle infiltrazioni jihadiste. Riyad opera perché tali infiltrazioni riescano a spaccare in due il paese a partire dalla roccaforte sunnita di Tripoli nel Nord. Ripartirebbe così la guerra civile 1975-1990 in un paese stremato, privato a causa di tutti questi guai anche del sostegno finanziario del ricco turismo del Golfo (Sauditi e Consiglio di Cooperazione del Golfo hanno vietato ai propri nababbi di frequentare i lussuosi agi di Beirut). La situazione diverrebbe ottimale per una nuova invasione israeliana, da lungo tempo vagheggiata per vendicare le due umilianti sconfitte di Tsahal nel 2000 e nel 2006 e assestare un colpo risolutivo a Hezbollah e al suo importantissimo ruolo in Siria. Qualcuno tra gli strateghi di questo scenario pensa che così si creerebbero le condizioni per far rientrare dalla finestra la vertenza con i russi, ora unilateralmente sospesa, e chiudere finalmente il discorso Assad e Siria unita e integra.
 Ritiro tattico, permanenza strategica
Ma, allora, il ritiro delle forze aeree russe apre la porta a prospettive gradite agli aggressori?  Bisogna vedere in che contesto avviene. Nei cinque mesi del loro intervento i russi hanno stroncato la vitale fonte di finanziamento del Califfato, distruggendone impianti e trasporti petroliferi. Hanno tagliato le principali vie di rifornimento dalla Turchia. Hanno aiutato le forze armate e le milizie di autodifesa siriane, assistite dagli iraniani e da Hezbollah, a liberare il 24% del territorio conquistato dai jihadisti (quota più significativa di quanto appaia perché il resto è in gran parte deserto e semideserto disabitati), a liberare i governatorati di Latakia, Aleppo (tranne poche sacche in città), Homs e Hama, ad avvicinarsi a Palmira e Raqqa in vista di offensive possibilmente decisive. Saldamente installati nella base marittima di Tartus e in quella aerea di Khmeimim, con il più avanzato sistema di difesa antiaerea, S400, sul posto, insieme a una permanente presenza navale e aerea, i russi sono in grado di tornare a intervenire nel giro di ore qualora venisse sabotato quello che è il principale dei loro obiettivi, il raggiungimento di un accordo di pace e di un governo di transizione presieduto da Assad, in vista di elezioni (fissate al mese prossimo).
Va anche aggiunto che, dopo anni di finti bombardamenti ed effettivi rifornimenti della Coalizione Occidentale al califfato in Iraq, il centro di coordinamento dell’intelligence russo-iraniano-iracheno ha guidato le forze di Baghdad a riprendersi ben il 40% del territorio perduto. E ora l’esercito, le forze popolari, gli istruttori iraniani, stanno preparandosi all’offensiva su Mosul (tanto ambita dai curdi…).
Risultati dell’intervento russo
La Russia mostrava al mondo di poter bloccare il mostro jihadista in quattro mesi, cosa che non ha saputo (o voluto) fare la coalizione Golfo-Nato in anni. Impediva la rimozione del legittimo governo di Bashar el Assad. Riconfermava la sovranità e integrità territoriale dello Stato siriano contro la dilagante pretesa imperialista dei regime change. Ammodernava e consolidava con armi, dotazioni, intelligence, tecnologie avanzate, un esercito siriano stremato da 4 anni di combattimenti e dalla diserzione di ben 135mila reclute (oggi alle catene di montaggio tedesche). Aiutava i siriani a liberare 400 città e oltre 100mila chilometri quadrati. Ripetutamente bloccava i conati di soluzione bellica di Usa e Turchia (attacchi chimici attribuiti ad Assad, no-fly-zone, zona cuscinetta sul lato siriano del confine turco, false flag Cia a gogò). Mentre faceva tutto questo, diversamente dai suoi antagonisti, Mosca perseguiva con accanimento la via del negoziato e della mediazione. Boicottata pervicacemente dagli attori statali locali, dall’opposizione in armi, mercenaria o autoctona, dalle capitali occidentali da cui si ripeteva l’urlo “Assad se ne deve andare”.
Fino all’altro giorno. Fino a quando la situazione creata da russi e siriani sul campo, non ha prodotto ripensamenti a Washington e in una parte delle forze d’opposizione, a dispetto degli ancora recalcitranti turchi, sauditi e qatarioti. Il gioco si è spostato a Ginevra. Qui si misureranno i rapporti di forza venutisi a stabilire. In ogni caso Putin ne esce come colui che ha usato le armi a difesa del diritto internazionale, dell’autodeterminazione dei popoli, e a promozione del processo diplomatico. L’avrà anche fatto nell’interesse della Russia, avrà anche voluto demolire il mostro jihadista creato dall’Occidente prima che glielo si scatenasse addosso a casa. E allora? Gliene vogliamo fare una colpa?
 Prospettive
Cosa succederà ora non dipende solo dal Putin militare e diplomatico. E’ vero che io non concordo con coloro che attribuiscono facoltà decisionali totalizzanti a questo o a quest’altro leader, o presidente. La moda imperante delle personalizzazioni non coglie quasi mai nel segno. Vedo da sempre un teatro dei pupi in cui marionette si agitano e burattinai nascosti le muovono. Poi, però, a volte saltano fuori burattini che prendono vita e danno in escandescenze e, prima di essere ridotti alla ragione, fanno casini. Vedi Erdogan, o Salman. Quanto alla Turchia, c’è chi pensa che le nefandezze di questo Fratello Musulmano, serial killer e terrorista, ne rendano fragile il potere. Forse non considera che un’opinione pubblica fascistizzata e islamistizzata sostiene la repressione dei curdi, il militarismo espansionista neo-ottomano, il pugno di ferro contro gli “anarchici”, l’atteggiamento duro con l’UE. Lo si vede dai risultati elettorali, brogli o non brogli. Anche in Germania nel ’33 e in Italia nel ’22, intellettuali e giornalisti venivano bastonati e incarcerati, mentre il popolo marciava cantando “Die Fahne hoch”.
E, comunque, con Erdogan stanno la Nato e la Merkel. Tanto che, nel plauso generale perla “soluzione umanitaria” concordata a Bruxelles tra i due poli criminali Ue-Ankara (altro che Al Sisi, Tommaso De Francesco!), in base a una schifosa selezione razzista e di classe, nei lager del “paese sicuro”, perché fascista, vengono rinviati a marcire neri, bruni e afghani, mentre giovani e forti siriani saranno premiati con l’accoglienza UE per essere bianchi, istruiti e, soprattutto, disertori renitenti alla leva e alla difesa della loro patria. Per aver contribuito a fornire mano d’opera qualificata ai tedeschi, contemporaneamente spopolando un paese che spera di divorare, lo psicopatico macellaio di Ankara riceverà 6 miliardi di euro e un buono-pasto a scadenza illimitata ai banchetti dell’élite europea.
Gli fa da pendant europeo, in vista del promesso connubio in UE, il più scatenato tra i capi del terrorismo. E se Merkel lo ha preceduto premiando con una montagna di soldi le mattanze del socio turco, lui ha ricuperato conferendo la Legion d’Onore a Mohammed bin Nayef, principe ereditario saudita. Cerimonia celebrata sulle rive del mar rosso. Rosso del sangue siriano, iracheno e yemenita.
Per la Nato, dopo i contraccolpi in Siria, sono soddisfazioni.
 
Lavoro lasciato a metà?
In ogni caso vedremo presto se Putin ha lasciato il suo lavoro a metà, o se ha avviato una fase in cui il mondo potrà sentirsi rassicurato che non tutte le ciambelle cotte dagli antropofaghi riescono col buco. A parte di cosa verrà fuori dai negoziati di Ginevra, un dato storico, addirittua epocale, è acquisito: il mondo non ha più una sola potenza-guida, ma è diventato di nuovo multipolare. Di questo non possiamo che rallegrarci e renderne tributo a Putin e grazie ai 5 militari russi caduti nell’impresa siriana.Turchi, sauditi, Fratelli Musulmani vari e falchi statunitensi si ritrovano con un governo siriano stabilizzato e difficile ormai da rimuovere con la forza. Non si rassegneranno, ma, essendo una delle articolazioni di un potere che non si priva mai di una pluralità di opzioni e che è più grande e più in alto di loro, come articolazione lo è la fazione di Obama-Kerry, all’apparenza ora risoltasi alla mediazione, borbottando dovranno quanto meno soprassedere.
Seguiranno le direttive di chi manovra i propri strumenti a seconda delle necessità e opportunità. I sauditi si sfogano sullo Yemen, i turchi, posti  da Bruxelles-Berlino sul piedistallo umanitario e su una montagna di soldi, possono procedere con il genocidio dei curdi e, se non dall’Isis, continueranno a gonfiarsi di petrolio dai giacimenti controllati dagli amici peshmerga iracheni, i loro surrogati jihadisti hanno licenza di concentrarsi su Libia ed Egitto. Con occasionali incursori in Occidente, là dove ai regimi democratici occorra giustificare imprese coloniali, o repressione dei sudditi.
Rojava, un postribolo
 curdi e ratti siriani a Kobane
In questo quadro si è insinuata una vipera o, chiedendo scusa ai rettili dell’improprio accostamento, un gran figlio di pessima donna. Proclamando la regione autonoma curda del Rojava, che è divisa in tre cantoni e consiste in buona parte di territorio extra-curdo, sottratto ad arabi, assiri e turcomanni, i curdi siriani, sostenuti militarmente dagli Usa, hanno compiuto un’autentica mascalzonata. Come ha fatto dopo la disfatta dell’Iraq il mafia-Stato di Barzani, garantito dagli Usa e fagocitato da Israele con il suo petrolio e le sue terre fertili, i curdi siriani ora parlano di autonomia regionale all’interno di uno Stato federale delle tante autonomie. Passa il tempo, si consolida la presa su territorio, risorse, consenso o tolleranza internazionali, complicità sionimperialiste, è l’autonomia si trasforma in secessione. Esattamente come previsto da lunga data nei piani USraeliani di smembramento etnico, confessionale, tribale, di tutte le nazioni arabe.
E’ un gioco sporco, quello dei curdi del PYD, forse proprio per questo osannati  dai cripto-Nato sinistri come unica presenza democratica, nobile, emancipata nella sua componente femminile. Per tre anni, hanno svolto il ruolo, concordato con Damasco nel segno dell’unità nazionale, di difensori del proprio territorio da Al Nusra, prima, e poi dall’Isis. Poi, prevedendo imminente la caduta di Damasco, hanno cambiato cavallo. Come uno Scilipoti, o un Badoglio qualunque. Zitti zitti si sono arruffianati i russi, che si fidavano, facendosi però aiutare da bombe e rifornimenti Usa. Sono stati i primi a far entrare in Siria contingenti ufficiali statunitensi, consentendogli di trasformare l’aeroporto agricolo di Rmeilan in base aerea. Ora gli stanno facendo costruire una seconda base su territorio invaso e occupato. Hanno coronato il tradimento dando vita a una formazione mista, “Forze Democratiche Siriane”, insieme a detriti anti-Assad siriani raccattati con le buone o con le cattive (vedi foto). E non ci deve bastare l’ostilità che gli riserva il despota turco per assolverli.
La Storia, e non i farlocconi o ruffianoni del “manifesto”, uniti nei peana ai curdi alla pubblicistica mignotta della Nato, darà il suo giudizio su questa coltellata piantata nella schiena ai siriani. A un popolo, una civiltà, che da quando si è liberata delle catene dei cannibali coloniali, ha dovuto lottare incessantemente contro il revanscismo e la voracità necrofila di Israele, contro i rigurgiti dell’oscurantismo feudale dei petroschiavisti, contro potenze bianche cristiane per cui le parole democrazia e libertà hanno titoli per esistere soltanto al centesimo piano di Goldman Sachs. E i cui capi terroristi (Hollande) conferiscono la Legion d’Onore a protagonisti di mattanze. La trincea siriana è la trincea dell’umanità. Non più quella dei curdi.
Pubblicato da alle ore 18:40

Expo ferroviaria 2016

per questo hanno fatto una retata perquisitoria? Un avvertimento?

CONFERENZA CIFI

CIFI Dopo l’ampio riscontro ottenuto durante le precedenti edizioni di EXPO Ferroviaria, il Collegio Ingegneri Ferroviari Italiani (CIFI) organizza quest’anno un convegno della durata di due giorni dal titolo:

“L’Italia e i Corridoi TEN-T”

Martedì 5 aprile 2016, 15:00 – 18:00
Padiglione 1, Sala Rossa

Mercoledì 6 aprile 2016, 10:00 – 17:00
Padiglione 1, Sala Rossa

In Collaborazione con:   

http://www.expoferroviaria.com/page.cfm/link=98

Expo Ferro 2016

VISITE TECNICHE

GTTTELT In associazione con il Gruppo Torinese Trasporti (GTT) e TELT Tunnel Euralpin Lyon Turin, Mack Brooks Exhibitions offre ai visitatori di EXPO Ferroviaria 2016 la possibilità di visitare i punti focali ferroviari di Torino e dintorni. Gli interessati possono scegliere tra le seguenti visite cliccando sui link sottostanti:
MERCOLEDÌ 6 APRILE 2016

Laura Boldrini, così il Capitale si serve dei migranti

Lei lo sa bene, come tutta la sinistra al caviale, il capitale rende tanto bene anche a loro, non a chi subisce il dumping sociale. 
La questione culturale identitaria però, mentre va protetta quella altrui, quella indigena è vista come un orribile disgustoso pericoloso orpello da distruggere. A proposito di eguaglianza.
 
Scrive Laura Boldrini su Twitter il 12 marzo 2016: “L’Italia è un Paese a crescita zero. Per avere 66milioni di abitanti nel 2055 dovremo accogliere un congruo numero  di ‪#‎migranti‬ ogni anno”. Intanto, mi sia lecito rilevare che non è chiaro perché mai dovremmo per forza salire a 66 milioni: dove sta scritto? Ce lo chiede l’Europa? Per quale ragione bisogna  crescere di numero e raggiungere l’obiettivo dei 66 milioni?  In secondo luogo: non è chiaro perché, anziché favorire politiche sociali di aiuto alle famiglie e alle fasce più deboli della popolazione, si debba crescere numericamente attirando gente che arriva da altre realtà. Insomma, non è chiaro perché la crescita numerica debba avvenire sul fondamento dell’immigrazione. Da tale affermazione, oltretutto, pare che l’immigrazione sia una necessità nostra. E che, dunque, occorrano deportazioni di massa di migranti in funzione del raggiungimento del fatidico numero dei 66 milioni.
 
Il segreto, in fondo, sta tutto qui: la signora Boldrini, “maschera di carattere del capitale” (Marx), ci sta dicendo che l’economia ha bisogno di nuovi schiavi da sfruttare senza riserve: e tali sono i migranti, elogiati di facciata, e poi usati come carne da macello. L’obiettivo, cara signora Boldrini, sappiamo bene qual è: rendere anche noi come i migranti, senza diritti, puri schiavi nomadi alle dipendenze del capitale e delle leggi della delocalizzazione.
 
È sotto questo profilo che emerge il nesso simbiotico che lega la flessibilizzazione delle masse e il nuovo paradigma antropologico dell’homo migrans, con annesse celebrazioni entusiastiche e altamente ideologiche della flessibilità e della migrazione come stili di vita contraddistinti dall’indipendenza e dalla varietà e contrapposti alla precedente eticità stabilizzata borghese e proletaria.
 
La Destra del Denaro vuole i migranti come “esercito industriale di riserva” (Marx) di sfruttati a basto costo, sempre ricattabili; la Sinistra del Costume giustifica questo sfruttamento con la retorica buonista, con la “pappa del cuore” (Hegel) dell’elogio in stile boldriniano dell’immigrazione come ottava meraviglia del mondo (sempre guardandosi bene dal descrivere i traffici, il business e lo sfruttamento legati a tale pratica). La Destra del Denaro pone la struttura, la Sinistra del Costume fissa le sovrastrutture.
 
La condizione dell’homo migrans è quella dell’uomo sradicato e strutturalmente “svuotato” della sua identità, sempre pronto – bagaglio alla mano – a darsi per mare. Privato di una solida struttura simbolica in grado di opporre resistenza e di far valere un’istanza critica rispetto alle logiche illogiche della migrazione, l’homo migrans è chiamato ad adattarsi di volta in volta alle terre e ai contesti in cui è spinto dalla sua condizione flessibile. La sua personalità non può mai stabilizzarsi nella forma di un io solido e radicato, essendo invece sottoposta a un divenire incessante che la rende strutturalmente malleabile e ridefinibile. Egli deve figurare come un sans papier privo di ogni garanzia e disposto a spostarsi per il mondo ridotto a mercato planetario.
 
Con buona pace delle masse lobotomizzate e delle retoriche della sinistra alleata del capitale, a vincere, con i processi di immigrazione di massa, non sono né i migranti, né i lavoratori, formanti entrambi il polo in divenire del nuovo Servo precarizzato e nomade. A trionfare sono, invece, il Signore neo-feudale e il capitale, con la sua insaziabile ricerca di braccia e neuroni disposti a fare il medesimo a un prezzo più basso: il Servo è ora ridotto a massa senza diritti e senza radicamento, in costante mobilità, nomade e alle dipendenze del capitale e delle sue delocalizzazioni.

Referendum per unire l’Irlanda se Londra esce dall’Ue

forse i partiti anti Brexit irlandesi temono che un’Inghilterra fuori dalla UE sia troppo concorrenziale ed attraente per le multinazionali che adesso hanno sede in Irlanda grazie agli sgravi fiscali?
 
mc-guinnes
Martin McGuinness
 
“Il motivo per il quale gli inglesi non hanno mai risolto la questione irlandese è che ogni volta che qualcuno trovava una soluzione gli irlandesi cambiavano i termini del problema”. Così recita un motto di satira in voga nell’Inghilterra degli anni trenta. E come in ogni satira, anche in questa c’è un pizzico di verità.
E lo sa bene Martin McGuinnes, vice primo ministro dell’Irlanda del Nord nonché esponente di spicco del partito indipendentista Sinn Fein, quando afferma al quotidiano The Guardian che: “se la Gran Bretagna lascerà l’Unione Europea è un imperativo democratico garantire ai cittadini irlandesi il diritto di votare in un referendum di confine” – Mc Guinnes poi continua – “la Brexit rappresenterebbe un radicale cambio delle regole del gioco. Il posto dell’Irlanda è in Europa. Se la Gran Bretagna votasse per uscirne ci sarebbero pesanti conseguenze per l’intera isola e ciò contrasterebbe con il volere democratico del popolo irlandese”. E il monito del vice ministro dell’Irlanda del Nord, riguardo il referendum del prossimo 23 giugno sull’uscita della Gran Bretagna dall’Ue, si unisce a quello lanciato qualche settimana fa dalla Premier scozzese Nicola Sturgeon che, durante una conferenza stampa, aveva affermato: “Permettetemi di parlare con chiarezza, io il 23 giugno voglio una vittoria netta in tutta la regione del Regno Unito per restare nell’Unione Europea.” Insomma, nel Regno Unito si allarga il fronte anti-Brexit. Anche se i numeri restano ancora a favore di coloro che auspicano un’uscita dall’Ue.
 
La situazione in Irlanda del Nord
Nelle sei contee dell’Irlanda del Nord tra i partiti più importanti solo i protestanti unionisti del Dup (Democratic Unionist Party) si sono schierati a favore della Brexit. Cosa che, invece, non hanno fatto il Social Democratic and Labour Party (SDLP) e neppure il Sinn Fein che, a onor del vero, un tempo figurava fra i partiti dell’Ulster maggiormente euroscettici.
E l’unione delle sei contee del Nord dell’Irlanda alle ventisei del Sud, mediante un “referendum di confine”, è prevista nero su bianco, secondo Mc Guinness, dall’Accordo del Venerdì Santo che nel 1988 decretò la fine del conflitto armato tra repubblicani ed unionisti. Anche dopo la costituzione del Governo di coalizione che a Belfast fa sedere insieme sui banchi dell’esecutivo sia i membri protestanti del Dup che quelli cattolici del Sinn Fein, secondo quanto previsto dal “Fresh Start”, il patto di Governo fra i due maggiori partiti dell’Ulster, entrato in vigore lo scorso 11 gennaio. Ed è certo che le parole di Mc Guinness non solo apriranno una discussione nell’esecutivo di Belfast ma soprattutto in quello fragile di Dublino, dopo che lo scorso 26 febbraio è stata negata la fiducia al Premier Enda Kenny.
di Fabrizio Ciannamea – 13/03/2016
 
Fonte: Barbadillo
 

E’ il debito pubblico bellezza!

peccato per noi cittadini che chiedere, esigere pretendere la sovranità monetaria (tra le altre varie sovranità) sia considerato nazional-populista quindi assai disdicevole. I banchieri e loro servi continueranno perciò a godere e prosperare sulle miserie altrui
 
di Alberto Micalizzi – 13/03/2016
 
mago
Ieri la BCE ha portato il tasso di sconto a ZERO!
 
Per la prima volta nella moderna storia europea i tassi sui depositi bancari presso la BCE saranno saldamente negativi fino al -0.4%. Ciò vuol dire che la BCE pagherà – anziché ricevere – un interesse sulle somme che le banche commerciali chiederanno di ricevere in prestito dalla BCE stessa.
 
Quindi, su queste somme prese a prestito le banche commerciali guadagneranno due volte:
  • Da un lato il tasso (negativo per la BCE, positivo per loro) sui prestiti dalla BCE
  • Dall’altro il tasso di rendimento sull’acquisto delle obbligazioni di Stato
La quantità di denaro che la BCE metterà in mano alle banche commerciali è di 2.200 miliardi di Euro. Nulla di che, se si pensa che il debito pubblico dei 19 Paesi Euro è di 11.300 miliardi pari al 95% del PIL dell’Eurozona, e se si considera che le banche commerciali devono evacuare dal proprio intestino non meno di 3.000 miliardi di titoli tossici, ovvero di carta stralcia iscritta in bilancio a valore nominale.
 
Tutto ciò ha due ovvie implicazioni rilevanti:
  1. Che il PIL dell’Eurozona è interamente in mano ai creditori, cioè in gran parte alle banche, che di fatto posseggono la ricchezza annuale dell’Eurozona;
  1. Che Draghi sta semplicemente predisponendo la liquidità necessaria per la crescita “patologica” dei debiti pubblici dei Paesi dell’area Euro, cioè rifornire di benzina le forze di occupazione finanziaria dei Paesi.
Si tratta di una immensa operazione di riciclaggio che consente alle banche commerciali di ripulire i propri bilanci succhiando ricchezza reale dalle famiglie e dalle imprese attraverso l’espansione dei debiti pubblici fittizi.
 
E’ l’economia del debito, dove una autoproclamatasi “banca centrale” agisce in realtà come una società per azioni di proprietà privata che per accordo tra Stati si è fatta assegnare il diritto di prestare moneta creata dal nulla, rifornendo le unità corazzate del sistema, ovvero le banche commerciali, affinché queste indebitino fino al collo i Governi e ne determino politiche deflazionistiche rivolte alla svendita dei beni privati e pubblici del Paesi.
 
Quando leggiamo “Draghi sta mettendocela tutta” oppure “gli sforzi della BCE non serviranno all’economia reale” dobbiamo ricordare che la propaganda del regime c’è sempre stata, solo che oggi è più articolata, meno goffa ma per questo più micidiale del passato.
 
Draghi è l’amministratore delegato di una società per azioni il cui vero oggetto sociale consiste nell’asservimento finanziario dell’Eurozona, di gestione della governance, di appropriazione di ricchezza pubblica e privata. Grazie al dipartimento “marketing e comunicazione”, costituito dai media main-stream (posseduti dalle stesse banche e dai magnati della City di Londra) riesce a far passare queste operazioni di annessione graduale di quote di mercato come opere per il bene pubblico, come tentativi di dare ossigeno all’economia. Del resto, essendosi auto-definita “banca centrale” per di più “europea” deve pur dare una parvenza di intervento istituzionale. Geni del marketing, meglio, ILLUSIONISTI!
 
C’è una uscita che non vediamo? No, maledettamente. Siamo conciati per le feste e ci vuole davvero un grande coraggio ed una infinita pazienza per immaginare di uscire da questa trappola.
 
Può esserci una strategia? Si, fortunatamente….ma è prerogativa di menti audaci e geniali, le uniche che possano risolvere il più grande stratagemma ordito ai danni di 200 milioni di persone.
 
Alberto Micalizzi
 
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