“Terra dei fuochi” alle porte di Torino, scoperta una discarica con 450 tonnellate di veleni

“denunciato”……se tu non hai i soldi per pagare una bolletta da pochi euro TI POSSONO fare ingiunzione di pignoramento mentre gli avvelenatori sono “denunciati”
 
Blitz della Guardia di finanza a San Gillio, alle porte del capoluogo: denunciato il titolare di un’immobiliare proprietaria dell’area dove erano stoccati rifiuti industriali pericolosi di ogni tipo compresi 120 quintali di amianto. I complimenti del ministro Galletti: “Liberiamo l’Italia dagli inquinatori”
28 agosto 2015
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I finanzieri torinesi nella discarica abusiva
 
C’erano 450 tonnellate di rifiuti speciali pericolosi in un capannone industriale abbandonato a San Gillio, nel Torinese, alle porte del capoluogo e a ridosso del centro abitato. A scoprire la “terra dei fuochi” piemontese sono stati i militari del Comando provinciale della Guardia di Finanza di Torino. I finanzieri hanno notato sul piazzale, visibile anche dall’esterno, “cumuli disomogenei” di rifiuti in evidente stato di abbandono. Dopo aver individuato il proprietario e l’utilizzatore dell’area, che si estende per circa cinquemila metri quadrati, i “baschi verdi” sono entrati per le verifiche sui materiali eseguite insieme all’Arpa Piemonte. E’ stata confermata la grave pericolosità dei materiali, riconducibili in parte all’attività di officina meccanica ed elettromeccanica e di stampaggio di materiali a freddo, svolta negli anni scorsi da una ditta di San Gillio dichiarata fallita nel maggio 2006, e in parte ad una società immobiliare attuale proprietaria del sito.
 
Amianto e rifiuti chimici, i veleni davanti alle case
 
amianto
 
 
Al termine delle attività di rilevazione, spiega la Finanza, sono stati sequestrati rifiuti speciali e pericolosi per circa 450 tonnellate, delle quali 430 provenienti da lavori di demolizione, 12 da fibra d’amianto e la restante parte, per oltre 6 tonnellate, di prodotti chimici da decontaminare. Il percolato dei materiali rinvenuti dai finanzieri, in parte, avrebbe potuto finire negli scarichi per il recupero dell’acqua piovana. Al momento l’amministratore unico dell’immobiliare proprietaria del sito è stato denunciato per deposito incontrollato di rifiuti; è anche stato segnalato al Comune per le violazioni in materia di edilizia e urbanistica, per avere effettuato lavori di demolizione in assenza di autorizzazione. Proseguono gli accertamenti per la messa in sicurezza del sito e per verificare eventuale contaminazione ambientale.
 
“Liberare l’Italia dagli inquinatori”: ribadendo questo obiettivo il ministro dell’Ambiente, Gian Luca Galletti, si è complimentato con la Guardia di finanza. “Le mie congratulazioni – ha detto – per l’importante operazione che ha permesso il sequestro di 450 tonnellate di rifiuti pericolosi nel Torinese. Contro chi avvelena il nostro territorio abbiamo scelto di condurre una battaglia senza quartiere, affiancando al tenace lavoro di magistrati e forze dell’ordine l’introduzione degli ecoreati nel Codice penale: una vera svolta per restituire la certezza ai cittadini di vivere in zone sicure sotto il profilo ambientale e liberare l’Italia dagli inquinatori”.
 
28 agosto 2015

POUR UNE FOIS NOUS SOMMES D’ACCORD AVEC ‘LIBE’ … MAIS LE QUOTIDIEN NE DIS PAS TOUT. LA HONTE EST AUSSI ET SURTOUT CELLE DU SYSTEME MONDIAL MADE IN USA !

Luc MICHEL  pour PCN-INFO / Avec Libération – PCN-SPO/ 2015 08 28/

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PIH - LM camion de la honte (2015 08 28) FR

« Une macabre découverte a été faite, dans un camion réfrigérant, par un employé de la compagnie des autoroutes, en Autriche ce jeudi. Des dizaines de corps de migrants ont été retrouvés, entre 20 et 50, selon les premières informations (…) La ministre autrichienne de l’Intérieur, Johanna Milk-Leitner, a tout de suite dénoncé les réseaux de passeurs qui sont, selon elle, les premiers responsables de la tragédie » commente Libération. Elle a tort ! Car les coupables sont bien connus …

Coupable : le système mondial globalisé. Capitale politique : Washington, capitale économique : Wall-street, capitale administrative coloniale : Bruxelles. Ses politiciens, ses expéditions militaires en Irak, en Afghanistan, en Syrie, en Somalie, dans le Golfe … Allez voir d’où viennent les émigrants ! Son néocolonialisme politique et économique, ses multinationales.

Coupable encore cet Occident made in USA avec ses plans de remodelage du « Grand Moyen-Orient » ou de l’Afrique, ses docteurs Follamour et ses généraux fous, les théoriciens de le « géostratégie du Chaos ». Ceux qui ont détruit volontairement les états forts et stables en Eurasie et en Afrique : URSS, Yougoslavie, Irak et Syrie baathistes, Jamahiriya libyenne de Kadhafi (le pivot géopolitique de l’Afrique saharienne et subsaharienne). Sans oublier la Somalie socialiste de Syad Baré (le laboratoire de la « somalisation »).

Coupables toujours les Reagan, Bush père et fils, Clinton (mari et femme), les Kissinger, Brezinski, les Neocons et leurs alliés likudniks. Et leurs porteurs de valise les Blair, Cameron, Sarkozy, Hollande, Merkel et cie.

LES ENFANTS PERDUS DE KADHAFI …

Ces émigrants lancés sur les routes de la peur et de l’exploitation mafieuse, ce sont les enfants perdus de Kadhafi ! Et depuis mon premier article sur ce drame en février 2014, rien n’a changé. Au contraire …

* Lire : ELAC & ALAC Website / Réfugiés africains : les enfants perdus de Kadhafi

sur http://www.elac-committees.org/2014/02/10/elac-alac-website-refugies-africains-les-enfants-perdus-de-kadhafi/

Le reste, c’est la juste indignation de Libé. Mais l’indignation sans désigner les coupables n’est qu’agitation stérile !

… ET CEUX DE TITO ET DE MILOSEVIC

Lorsque Libé évoque la crise humanitaire dans les Balkans, il oublie ces coupables qui ont détruit la Yougoslavie : USA, OTAN, Berlin, Paris, sans oublier ce Vatican qui ose donner des leçons de morale au monde. Ces réfugiés ce sont aussi les enfants perdus de Tito et de Milosevic, ces « clandestins originaires des Balkans qui se glissent dans les colonnes de réfugiés syriens et afghans pour tenter de fuir leur pays. Selon Frontex, la moitié des migrants sont actuellement originaires de la région. ». Et la raison de leur présence massive, c’est que « La situation s’est dégradée dans les Balkans pour plusieurs raisons : crise politique en Bosnie, mafia incontrôlable en Macédoine, chômage de masse au Kosovo… La vie devient de plus en plus difficile dans des pays qui ne voient pas de perspective d’intégrer l’Union européenne à moyen terme » (et encore moins à long terme).

Coupables, on y revient, les politiciens de Washington, Bruxelles et Berlin et leurs vaines promesses …

Luc MICHEL

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LUC MICHEL : CAMPAGNE ‘JE SUIS AFRIQUE MEDIA’ IV (10 AOUT 2015)

PANAFRICOM-TV/ 2015 08 10/ Avec AFRIQUE MEDIA TV/

PANAF-TV - campagne JE SUIS AM  IV (2015 08 10) FR

Intervention de Luc MICHEL,

dans l’émission EDITION SPECIALE ‘AFRIQUE MEDIA VS CNC’ :

CAMPAGNE ‘JE SUIS AFRIQUE MEDIA’ IV

Partagez, soutenez, diffusez

la CAMPAGNE DE SOUTIEN A LA TV PANAFRICAINE !!!

« Ils » veulent faire taire AFRIQUE MEDIA …

Video sur le Website d’EODE-TV https://vimeo.com/137435727

Filmé en Duplex audio depuis Bruxelles,

Diffusé en direct sur AFRIQUE MEDIA TV,

Le 10 août 2015 dans l’émission ‘EDITION SPECIALE’,

présentée par Tony Michael MENGA.

* Lire :

# ALERTE ROUGE/ MOBILISATION !!! AFRIQUE MEDIA TV A NOUVEAU ATTAQUEE PAR LA CNC COMPRADORE DU CAMEROUN !

sur le BLOG AFRIQUE MEDIA

http://www.scoop.it/t/afrique-media-tv/p/4049051341/2015/08/06/alerte-rouge-mobilisation-afrique-media-tv-a-nouveau-attaquee-par-la-cnc-compradore-du-cameroun-facebook

PANAFRICOM-TV

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https://www.facebook.com/panafricom

https://vimeo.com/panafricomtv

POURQUOI IL FALLAIT FAIRE TAIRE AFRIQUE MEDIA TV ?

Luc MICHEL/ En Bref/

Avec Libération – Africapresse – Panafricom –

La Nouvelle Expression (Cameroun)/ 2015 08 27/

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La question est simple :

Pourquoi fallait-il faire taire AFRIQUE MEDIA TV ?

La réponse est encore plus simple. Elle ne concerne à aucun moment le droit des médias camerounais, encore moins des procédures judiciaires. La réponse tient aux intérêts géo-économiques de la Françafrique !  

Oubliez les cours de “déontologie” ou les conseils de “modération” (donnés sans vergogne par les membres du CNC ou même un ex journaliste de AM qui a perdu dans un récent “débat” radiodiffusé son honneur dans l’affaire). Le CNC et tous ses complices, esclaves de rédaction en tête, sont de simples porteurs de valise, des domestiques zélés …

Vous avez la réponse maintenant !

LM

* Lire sur Jeune-Afrique :

PORT DE KRIBI : LES FRANÇAIS BOLLORE ET NECOTRANS REMPORTENT OFFICIELLEMENT LA BATAILLE

Extrait : « Le consortium Bolloré/CMA CGM/CHEC remporte l’appel d’offres pour la gestion du terminal à conteneurs du port de Kribi au Cameroun, tandis que l’exploitation du terminal polyvalent revient au groupement Necotrans/KPMO, a appris en exclusivité “Jeune Afrique” (…) Paul Biya a tranché : la gestion du terminal à conteneurs du port en eau profonde de Kribi revient au consortium composé des français Bolloré et CMA CGM et de China Harbour Enginering Company (CHEC). »

http://www.jeuneafrique.com/259922/economie/port-de-kribi-les-francais-bollore-et-necotrans-remportent-officiellement-la-bataille/

* Lire sur Africapresse :

PORT DE KRIBI : PAUL BIYA CHOISIT BOLLORE ET NECOTRANS

Extrait : « Le consortium composé des deux entreprises françaises vient d’être retenu pour la gestion du terminal à conteneurs au détriment du danois Apm et du Philipin ICTSI. Il aura donc fallu attendre sept ans pour trouver une fin au feuilleton de l’attribution du Terminal à conteneurs du Port en eaux profondes de Kribi. Selon des informations obtenues auprès de sources bien introduites, la décision de la Présidence de la République, attendue depuis la «récupération» du dossier (pour étude) en mai dernier a été rendue. C’est l’offre du consortium Bolloré/CMA CGM/CHEC qui a été retenue, dans le cadre de l’appel d’offres émis en 2008, et portant sur «le financement, la construction et l’exploitation du port en eau profonde de Kribi». »

http://www.africapresse.com/port-de-kribi-paul-biya-choisit-bollore-et-necotrans/#sthash.qjWkeECd.7SV2KFth.dpuf

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Luc MICHEL /

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IL GRANDE CINEMA: stuntmen in Belgio, Horror a Roma, pornofreaks a Rimini, Noir ad Atene, giallo a Bangkok

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MONDOCANE

GIOVEDÌ 27 AGOSTO 2015

 
 “Sono qui per denunciare come Comunione e Liberazione sia la più potente lobby italiana. Finalizzata sempre e comunque a denaro e potere”. (Mattia Fantinati, deputato M5S, al Meeting di CL a Rimini)
 
Gran film d’azione in Belgio
E’ diventato il paese degli sbandieratori, l’Occidente, a giudicare dalla frequenza e dalla quantità di False Flags. Ricordate “Flags of our fathers” (Bandiere dei nostri padri), lo stupendo film anti-guerra di Clint Eastwood, in cui si smaschera il falso dei finti marines che issano una finta bandiera Usa sulla finta Iwo Jima? Quell’impresa, realizzata a posteriori in studio (come lo sbarco sulla Luna), ma diventata, nell’infinita credulità degli americani e loro succubi, l’icona dell’eroismo dei soldati Usa nella vittoria sui giapponesi. Una miserabile farsa a oscurare l’orrendo crimine di Hiroshima e Nagasaki. Una bandiera falsa da porre a capostipite di tutte leFalse Flags successive, dall’11/9 a Charlie Hebdo, quelle studiate sul libretto delle istruzioniDall’incrociatore  “Maine” di Cuba a Pearl Harbour al Golfo del Tonchino”.
 
Ebbene, dall’arrampicata delle comparse vestite da marines su una Iwo Jima di cartapesta, all’annientamento di un terrorista musulmano, armato che neanche Mazinga, per mano di una troupe Nato, inevitabilmente composta da eroi statunitensi (dell’Aviazione e della Guardia Nazionale), britannici, francesi, la créme de la crémeatlantica, il passo logico non è neanche di un millimetro. Un francese s’imbatte, nel cesso del treno Bruxelles-Parigi, in un straccione denutrito, scalzo, vestito di maglietta e calzoncini sporchi, da poco levatosi dal consueto giaciglio nei giardini davanti alla Gare du Midi. Entrambi, presi alla sprovvista, fanno aaaahrrrg! Ma il francese ne esce con un graffio da taglierino, che nelle successiva edizioni scompare. Come scompare il mitra con cui, dal cesso, il delinquente avrebbe sparato. Ricomparirà altrove. Non si sa come, taglio di ripresa, e ci si ritrova tutti nello scompartimento del terrorista, impegnati in una lotta furibonda, di quattro contro uno, con il concorso di passeggeri assortiti.
Qui si raggiungono toni da epopea di Iwo Jima. Uno dei militari Usa, bicipiti e testa rasata di ordinanza, strappa di mano al reprobo marocchino niente meno che un Kalachnikov con cui stava sparando sui passeggeri. Poi c’era anche una pistola, 4 (o 9) caricatori, un coltello (o era un taglierino?). Nell’ingaggio, l’aviere Spencer Stone si fa male a un braccio, che poi compare fasciato con tutor. Il figurante francese scompare dal radar. O forse era  lui il professore americano alla Sorbona, Mark Moogalian, capitato su quel treno assieme alla moglie Isabelle Risachèr, una collaboratrice dei Rothschild, e che assieme agli altri ha affrontato il marocchino? Del britannico non si sa bene cosa abbia combinato. L’azione è tutta americana, noblesse  oblige. Delle condizioni del potenziale stragista del treno non si ha notizia. Ma foto e video rivelano un uomo a terra, privo di sensi, legato, inzuppato di sangue. Le presunte sventagliate del mitra sono abilmente dribblate dal quartetto Nato e vengono risparmiate ai passeggeri. Tra i quali c’è un certo trambusto: chi ha udito uno sparo, chi molti spari, chi nessuno sparo. Di fori di proiettili nel treno, e tanto meno sui corpi, nessuna traccia.
Ma, porca miseria, chi è quel fotografo cretino che ha immortalato uno zainetto sul sedile, chiuso e con la canna di un K47 che spunta di qualche centimetro? E’ che nessuno aveva notato, come è ovvio per uno come lui, che sulla scena fosse apparso il mago Silvan che, con rapida bacchettata e un simsalabim, aveva fatto passare l’arma dallo zainetto chiuso nelle braccia dello sprovveduto  Ayub al Ghazzani e poi di nuovo nello zainetto, prima che un poliziotto lo portasse via marciapiede. Sennò che eroismo Nato antiterrorista sarebbe stato? E come si può dare la legion d’onore solo per un paio di sganassoni?
Alek Skarlatos, Spencer Stone, Anthony Sadler, i tre “eroi”, prima di abbattere il terrorista.
Quello che è stato accertato, al di là delle taffazzate dei servizi spagnoli, francesi e belgi, che tutti pretendono di aver saputo che da quelle parti circolava un sicario del califfo pronto a provocare ecatombi, ma poi si sono assopiti, è che sul treno di un terrorista scappato a ogni controllo c’erano 4 cittadini qualsiasi pronti a pestare ogni malintenzionato. E che tutti erano di nazionalità Nato (chissà perché mancava l’israeliano). E che i tre anglosassoni, incontratisi per caso sul treno, si conoscevano, come risulta da una foto dove stanno insieme. E che c’era anche un tale, forse lo stesso fotografo, che della rissa ha girato un bel video e, guarda la combinazione, si tratta di Ahmad Meguini, agente dei servizi Usa e israeliani.  Poi è venuto fuori, da testimoni e compagni di sventura, che Ayub, figlio di una famiglia di Tetuàn che vive di raccolta e vendita di monnezza, era un senzatetto semianalfabeta, che non frequentava moschee, alloggiato tra i cespugli della stazione, morto di fame e che, a quanto racconta, mai più avrebbe pensato di immolarsi per il Califfo, che nemmeno conosceva. Da povero squinternato, aveva pensato di rapinare passeggeri per tirarsi un po’ su, grazie al sacco di armi che aveva scovato ( che gli avevano fatto trovare?) nei giardinetti.
Vi suona assurdo? Può darsi. Può darsi che il meccanismo di questo teatro dell’assurdo sia ancora un altro. Ma rispetto alle variabili della verità forniteci dai protagonisti e relativi corifei mediatici, quella di Ayub è la meno assurda. Quella dell’Ayub massacrato da 4-5 energumeni sul treno. Anche perché di Ayub al Ghazani sembra ne esistano almeno due. Il primo è quello manifestamente pestato dagli eroi Nato. L’altro ci viene descritto da agenzie, media e autorità e sovrapposto al primo. Per quanto da lui diversissimo e dai connotati del classico terrorista che tutti i servizi europei controllavano: in viaggio perenne tra Marocco, Spagna, Francia, Belgio, Germania, Turchia, Siria, e dunque dotato di grandi mezzi e notevoli perizie, fanatico frequentatore di moschee, trafficante di droga, probabile combattente Isis dalle parti di Damasco. Secondo un giornale francese. Voix du Nord, in Siria questo Ayub si sarebbe mosso per conto della Cia.
Intanto, cosa ne è venuto e a beneficio di chi, dall’epopea dei nostri quattro eroi insigniti della massima onorificenza  e applauditi, sui due lati delle sponde Nato, da chi di terrorismo dal vivo, anche sotto le mentite spoglie delle False Flag, è il monopolista planetario? Come dopo ognuno degli episodi precedenti, né è venuto, col panico sociale propizio al tecnonazismo, l’ennesimo pacchetto sicurezza. Ora con capitolo specifico sui controlli anche a stazioni e treni (che fanno un baffo ai terroristi, del resto d’accordo con i controllori, ma che rompono i coglioni ai cittadini) Quella stretta del cappio alla democrazia e ai diritti umani che, tra tanti altri, i vigili di Torino, usciti anch’essi, come i nostri poliziotti, carabinieri, guardie giurate, militari, dalla scuola ACAB di Washington, hanno praticato sul collo del disabile Andrea Soldi fino alla morte. Nessuna legion d’onore per loro? Negli Usa, i robocop hanno ucciso nei primi sei mesi dell’anno 600 neri inermi, superando la media dei 500 all’anno finora registrata. I nostri ne hanno di strada da fare. L’inconsapevole marocchino Ayub e i quattro angeli vendicatori gli danno una mano.
 Casamonica e soci
Gabrielli, scimmietta del noto trio, mediocre successore di Bertolaso a sua volta catastrofico protettore civile e abile predatore di disastri e ricostruzioni, ha detto che non ci sono teste da far rotolare appresso al trionfale funerale del boss Casamonica. E perché dovrebbero? In Italia se rotolano teste sono quelle che danno fastidio al palazzo, non quelle  che nel palazzo ci abitano, o lo puliscono. Non rotolano le teste nemmeno di chi fa funerali di Stato alla Costituzione, al territorio, ai pensionati, ai giovani, al lavoro come voluto negli articoli uno e altri. Quello lasciato praticare alla banda Casamonica è un riconoscimento dello Stato di Renzi e della Chiesa dei Don Abbondio, in perfetta continuità con gli onori papali tributati in Sant’Apollinare a Renatino De Pedis, capo della banda della Magliana e socio, non si sa bene se di maggioranza o minoranza, della secolare società per azioni mista Stato-mafia.
Qui di passaggi di azioni tra i due soci ne vediamo ogni giorno. Ma nessuno, tranne i 5Stelle, ne trae motivo per un ambaradan del tipo scatenato sul tiro a sei, sul carrozzone di Lucky Luciano, e sull’inno del Padrino strombettato sotto l’immagine benevola di un Casamonica-papa affisso su tutta la facciata della chiesa. Se i Casamonica dai rubinetti d’oro sono strozzini, estortori, prevaricatori, violenti, fuorilegge, criminogeni, avanzi di galera, pendagli da forca, cosa vi pare di chi misura ogni suo provvedimento di legge sul tasso di illegalità da far beneficiare a sostenitori, accoliti e sicofanti? Leggi punitive e intimidatorie per i magistrati, decostruzione e disciplinamento dell’istruzione, eliminazione di tutti i contrappesi di controllo, dal senato alle sopraintendenze, legge elettorale finalizzata al totalitarismo, falsi in bilancio restaurati, voto di scambio legalizzato, scudo  ed evasione fiscale garantiti, costituzione disfatta fino allo sventramento dell’art.9 che protegge ambiente e cultura, silenzio –assenso per gli stupratori del territorio, cancellazione del Corpo Forestale dello Stato e rimozione del Colonello Di Caprio (Capitano Ultimo) che a quegli stupratori avevano messo il sale sulla coda, articolo 11 polverizzato dal protagonismo bellico…
Non basterebbero tutti i fogli che ho nella stampante per esaurire l’elenco dei favori all’illegalità, alla corruzione, alla protervia dei malfattori, alle varie criminalità organizzate, fatti dal regime renzian-napolitan-mattarelliano, cose solo sognate dai suoi predecessori..Tornando al corteo trionfale del clan mafioso romano, il dato conclusivo è che tutti sapevano, che tutti hanno lasciato fare, che tutti sono complici. Vigili, carabinieri, polizia, magistrati, prefetti, amministratori, preti, insomma l’intero cucuzzaro istituzionale come lo ha coltivato la terza renziana repubblica. E avevano anche un retropensiero: hai visto mai che un nuovo scandaletto dentro al Comune non possa dare la botta finale al sindaco Marino? Gran farloccone, d’accordo, ma anche uno che pretende di fare un po’di  piazza pulita là dove il pulito non conviene né ai Casamonica, né tanto meno ai soci. E’ alle viste il megabanchetto del Giubileo e il Mondo di Mezzo e il Mondo di Sopra (copyright Carminati) devono spartirsi gli appalti per il banchetto allestito da Bergoglio. Ci pensi il prefetto Gabrielli, piuttosto che l’infido Marino. Ha due formidabili angeli custodi alle spalle: il bluff Cantone e il sottosegretario alla PdC De Vincenti, una garanzia: è colui che è intervenuto sulla magistratura di Savona che ha osato mettere sotto processo gli assassini della Centrale a carbone di Vado. E’ intervenuto. Non dalla parte dei magistrati.
E allora cosa sono gli assordanti schiamazzi, le virulenti proteste, le tonitruanti indignazioni, che si levano da ogni parte, mediatica, politica e un po’ meno clericale (pietas cristiana)? La clamorosa affermazione del controllo Casamonica sul territorio non è che il rovescio plebeo e analfabeta della moneta che sull’altra faccia esibisce la protervia, non meno volgare, ma azzimata e istituzionalizzata, della classe dirigente in colletto bianco. La consociazione deve essere discreta. Al Capone sta da un’altra parte. Già sono risultate spericolate le bisbocce pro-Renzi celebrate insieme, nel segno di Mafiacapitale, da malviventi-ministri e malviventi-malviventi; già erano venute alla luce (grazie, Capitano Ultimo) le tresche estortive e ricattatorie, di classico stampo casamonichiano, tra Giglio magico e generali della Finanza. Bisognava prendere le distanze, almeno dalla manifestazione più rumorosa e rozza di questo grosso grasso matrimonio… di Stato. Gli zingari di Vittorio Casamonica hanno esagerato. Rientrino nei ranghi, stiano al posto loro, si tengano la loro greppia. Vedranno che verranno trattati come il senatore Azzolini. E come i 100 farabutti indagati, processati o condannati che, in larga intesa, dalle poltrone di Senato, Camera e Palazzo Chigi, sorreggono e segnano il governo Renzi.
 
Il Noir ateniese e i suoi figuranti italiani
A proposito di grosso grasso matrimonio greco, quanto è stata straordinaria la lungimiranza dei fan sinistronzi italiani di Tsipras al suo primo apparire, quando la rivoluzione tsiprasiana già si era dichiarata nel solco di Nato ed euro, tanto lo è tuttora la loro chiaroveggenza nel giurare sul pragmatismo tsiprasiano che, presto o tardi, porterà pure all’alternativa radicale promessa e votata dal popolo. Perseverare diabolicum. Il che non distoglie minimamente dalle loro acrobazie dialettiche il “manifesto” e coloro che sotto quel tetto lisergicamente si rattoppano le divise sbrindellate e insistono a figurarsi un esercito e un suo comandante vittorioso. “I resti di quello che fu uno dei più potenti eserciti del mondo (in questo caso si fa per dire) risalgono in disordine e senza speranza le valli, che avevano disceso con orgogliosa sicurezza”: la sindrome è sempre quella.
 Noir, perché in quel genere di film non mancano mai né gli assassini, né i complici, né i cadaveri. E anche perché c’è della necrofilia in chi si affanna a puntellare una carogna affinchè sembri viva e faccia sembrare vivi. Ricorda gli sbirri che fotografarono in piedi il corpo del brigante maremmano Tiburzi,.già in corso di putrefazione. Marco Revelli, maestro tra coloro per cui il “manifesto” afferma che “c’è vita a sinistra”, titola “Tsipras aiuta le sfide d’autunno”. Lì vicino scrive un altro esemplare dell’intellighenzia, Marco Doria, fallimentare sindaco di una Genova che, facendo il verso a Lupi e Incalza, ripete senza posa il mantra: “Il Tav Terzo Valico s’ha da fare, senza se e senza ma”. C’è da chiedersi se, per sfide, Revelli intenda quelle di Tsipras, novello Ferrucci  che, spirando, al all’assassino che gli punta la spada al petto sibila “Vile, tu uccidi un uomo morto!” O quelle di coloro che ai greci, cui non avevano lasciato che gli occhi per piangere, ora strappano anche gli occhi e si bevono le lacrime. Ma no, Revelli, che è fine politico, tattico e stratega, chiarisce subito: “Io credo che la decisione di andare a elezioni anticipate sia un esempio di Grande Politica” (sic, con le iniziali maiuscole). Grande Politica che ha meritato alla Grecia “aiuti” (debito) per altri 86 miliardi. Per ridare fiato ai greci boccheggianti? Come no: 36 milioni vanno a pagare il debito con altri paesi europei, prima la Germania; altri 25 sono destinati a ricapitalizzare le banche elleniche; 18 miliardi pagano gli interessi sul debito accumulato e gli ultimi 7 pagheranno i debiti che lo Stato ha verso le imprese. Ai cittadini? Il famoso becco d’un quattrino.
Plausi all’indirizzo di un furbacchione delle tre carte che, dal cimitero della sinistra, sotto le pietre tombali dell’austerità, incanta il mondo giurando “Restiamo di sinistra e contro l’austerità”. E, per portare a casa (a Bruxelles) il bottino commissionatogli e far fuori quanto di onesto, giusto e coerente si era separato dai fedifraghi di Syriza, ti piazza la tagliola delle elezioni a trenta giorni. Sufficienti per impedire che “Unità Popolare” esca dalla fase delle doglie del parto e appaia sulla scena nazionale. Mossa da magliaro. Magliaro che, liberatosi dei suoi estremisti e felicemente privo di Cinque Stelle, si propone di governare con chi, impinguendosi di suo, Nea Democratia e Pasok, ha favorito che la Grecia morisse d’inedia per alimentare l’obesità dell’orco europeo. Una prospettiva che, per i batraci di questa nuova batrocomiomachia che gracidano dalla loro morta gora, non risulta affatto disdicevole, anzi “Grande Politica” (in maiuscole). Veri radicali. Il modello è italiota: rottamare i dissidenti , resuscitare Berlusconi e via con Merkel, Draghi, Juncker, Lagarde e Squinzi, a compiere quello che il mafiopagliaccio di Arcore non era riuscito a fare. Replay di Tsipras,  che insuffla nuova vita ai Lazzari di Pasok e ND.
Il porno riminese
Immaginatevi con che gusto Fellini avrebbe realizzato una galleria freak delle facce ed espressioni, non dico delle turbe di ragazzotti-bene accoccolati in adorazione un po’ ottusa fin sotto al palco, ma proprio di coloro che sul palco si avvicendano  e poi si pavoneggiano nelle passerelle tra ali di folla festante. Questa CL, braccio mistico e lobby politica della più operativa Compagnia delle Opere, è fantastico come incorpori in sé l’assoluto primato di una caratteristica popolare, il cinismo mascherato dall’ ipocrisia e sublimato in trasformismo. Scilipoti, Razzi, Migliore, Crispi, impallidiscono di fronte a un’organizzazione che per quasi 40 anni ha saputo resistere a qualsiasi visione e azione politica che non fosse quella di reggere lo strascico dei rispettivi e opposti governi e poteri. Reggerlo e, quando del caso, tirarlo. Bersaniani, montiani, berlusconiani, lettiani, finiani, dalemiani… Riapparisse Tambroni, inesorabilmente tambroniani. Nella consecutio temporum,  ma non di alternative, di questa repubblica sempre uguale a sé, CL si è renzizzata, visto che la il tontolone-furbo di Rignano, occupato tutto la spazio storico e attuale delle destra, ora lo sta estendendo a una forma ammodernata di fascismo. Vecchi guru spompati e che non hanno saputo tenere gli affari alla larga della magistratura, come Lupi e Formigoni, al macero. C’è sempre di meglio in Italia.
E così a Rimini, città di Amarcord quanto ai propositi di don Giussani, si va al passo dei tempi e dei personaggioni  e personaggetti che contano e che fruttano. In particolare per istruzione, sanità e Grandi Opere. Argomenti che CL ha dimostrato di saper trattare, dal Mose di Venezia all’Expo a Mafiacapitale e a ogni pateracchio affaristico in cui la magistratura abbia messo, o non ancora messo, il naso. Si chiama “sussidarietà”, parola magica che apre il Sesamo dei forzieri di Stato, ossia dei cittadini, per qualsiasi shopping di cui a CL venisse l’uzzolo. In sintonia con la cupola mondialista suprema: morte al pubblico che dà servizi, viva il privato che se li mangia. Sfilano, tra moti d’affetto e strizzatine d’occhio, tutti coloro in grado di disporre del contenuto di Sesamo: Renzi, al diapason degli slogan da imbonitore di mezza tacca, mezzo gabinetto di Renzi, molti petali del Giglio Magico, tesorieri, cardinali, confindustriali, banchieri, economisti con editore di riferimento a Wall Street e giornalisti a rapporto da cardinali, lobby e Cia. Facce che, non ci avessero convinto, a forza di riproporcele, che sono normali, allo sguardo incontaminato di un bambino apparirebbero come quelle che impressionavano Lombroso.
Viva Mattia!
Ed è questa l’impressione che ne deve aver avuto il temerario Mattia Fantinati, deputato 5Stelle, avventuratosi tra le perplessità e le rimostranze dei suoi, nella fossa dei coccodrilli. E li ha pietrificati a uno a uno, manco fosse la Medusa, gettandogli in faccia l’agghiacciante dimensione della propria turpitudine morale, affaristica, inciuci sta., Turpitudine di cui “Renzi, il presidente imbonitore, viene qua a baciare pantofole e anelli”. Il discorso più di sinistra che sia mai riecheggiato nei meeting, se per sinistra s’intende non ciò che tale si definisce in Italia, ma quanto sta scritto in certi libri di pensiero, di lotta, di Storia. Ma che nessun “sinistro” ha mai pronunciato né dentro né fuori di qui. E ne è risultato coperta di polvere anche la salma parlante del Bertinocchio,  qui assoldato, come dal Circolo miliardario dei Canottieri, o dalle feste di Valeria Marini. Prossima tappa Casa Pound? Di quella risma anche il compagno Luigi Berlinger, venuto qui a commuoversi su come bene sia stato completato, dal compagno Renzi e dai ciellini, la sua opera a beneficio della scuola italiana. Fantinati merita un plauso, eccolo mentre mena..
Ragazzi, mettiamo insieme lo Sblocca Italia, le riforme, l’eliminazione della Guardia Forestale, la liquidazione del capo dei NOE, colonello Di Caprio, alcuni procuratori sotto tiro per aver sfrucugliato delitti di potenti e tutti gli affari in cui si intrecciano gli artigli di regime, mafia, sussidiarietà di coop rosse, bianche e nere, e incominciamo a vedere ergersi potente e definitivo il Partito della Nazione (peraltro poco nazione e molto colonia). E a capire perché ci mancano l’aria e la terra sotto ai piedi. Non poteva mancare all’incoronazione del nuovo uomo solo al comando, la benedizione della Cupola del crimine assoluto. Per Bilderberg, covo di boss con corredo di prostituti, ha officiato a Rimini la presidente della Rai Monica Maggioni. Del resto cosa ha detto il Papa rivoluzionario? Che CL è “autoreferenziale”, mica che sono trafficoni e predatori di appalti.
Quanto all’autoreferenziale, beh, è una malignità. Pensate a quante referenze e riferimenti tengono!
Terrorismo a Bankok (e “il manifesto” ha capito tutto)
Dicevo sopra di “sbandieratori” di False Flags scatenati. Non si danno requie, da un capo all’altro del mondo. Perlopiù sono pressappochisti, spensierati e grossolani, ma le ciambelle gli riescono sempre col buco in virtù di coloro che quelle ciambelle vendono. Come l’ignoto ai più, ma nondimeno gran ciambelliere, Emanuele Giordana, del solito “quotidiano comunista” che, sprecato anni nell’attesa della vittoria della “società civile” afghana sulle ali dei droni e caccia Nato, in virulenze e falsità sui movimenti di liberazione, è piombato come un falco vendicatore su Bangkok. La Bangkok dove un tale, da Giordana descritto “in maglietta gialla” (reiterato tre volte), il 17 agosto, ha fatto saltare in aria il tempio induista di Erawan uccidendo 19 persone e ferendone 117. I media si scapicollano su ogni immaginabile pista, ma escludono i separatisti musulmani del Sud tailandese che, sì, da anni conducono una guerriglia contro gli oppressori buddisti (vedi anche Myanmar), ma non hanno mai messo il naso fuori dalla loro regione.
Cosa individua invece, l’astuto Giordana (e sui grandi media non è il solo)? La pista delle camicie gialle, cui fa mafiosetta allusione  per tutto il pezzo. Sta nel solco del suo giornale che, nel 2009, onorò una rivolta di camicie furbescamente rosse  e trascinò l’intera conventicola di “vite a sinistra” a credere che esse fossero la rappresentanza dei ceti subalterni, sfruttati e oppressi, mentre le “camicie gialle”, che le contrastavano, sarebbero state i miliziani dell’oligarchia capitalista.
Era vero il contrario: Camicie Rosse, come Tsipras e Nato, Camicie Gialle, la sinistra. Come ha potuto passare l’abbaglio? Perché quelle rosse erano sostenute dalla povera popolazione rurale del Nord e da certo sottoproletariato inurbato, mentre le gialle erano di giovani, studenti, intellettualità del ceto medio ed erano sostenute dai militari e dall’amatissimo re Bhumipol.. Ma, si sa, basta dire “contadino” o “operaio” che i sinistronzi s’infervorano e partono per la tangente rivoluzionaria (anche se colorata). Mentre se parli di militari e sovrani, per quanto in questo caso, insofferenti ai furfanti del regime, non puoi che parlare di reazionari e fascisti. Gli è che i rossi strumentalizzavano il disagio di popolazioni arretrate, integraliste, massa di manovra dell’oligarchia stracorrotta al potere. Il punto d’arrivo doveva essere la difesa del clan miliardario dei Shinawatra, il più potente del paese, a partire dalla premier Yingluch Shinawatra, sorella del predecessore Thaksin Shinawatra, un tirannello ladrone che aveva svenduto il paese alla maniera dei gerarchi sudamericani (e dei nostri, dal ’92 in poi), che aveva represso nel sangue le proteste e che era stato spazzato via e in esilio da un’insurrezione di popolo. Neanche il dato che i “rossi” esigevano il ritorno dello spogliatore del paese, aveva suscitato dubbi tra i nostri sinistrati.
La tenzone fu risolta dall’intervento delle forze armate, che, cacciata nel 2014 la sorella pantegana del sorcio scappato nel 2005, costituirono una giunta provvisoria in vista di elezioni entro l’anno.. Proprio quella presa di mira da attentatori e mandanti del 17 agosto. Del resto i “rossi” (colore che tanto incanta “il manifesto”, a prescindere) non le avevano fatto mancare minacce di “rappresaglie”. Un governo che aveva fatto fare al paese una svolta geopolitica epocale. Dall’alleanza stretta e subalterna con gli Usa, all’espansione dei rapporti con Cina e Russia, dalla collaborazione con la Cina per la gigantesca infrastruttura euroasiatica detta “Via della Seta” (Cina alla quale ha addirittura estradato i terroristi uiguri, cari alla Cia), dalla concessione di una base navale alla Cina ai rapporti fattivi con i BRICS e all’ingresso nella Banca d’Investimento Asiatica, temutissimo contraltare dell’FMI. Ce n’è quanto basta e avanza per provocare una gran bella e sanguinaria False Flag. Cia, Mossad, Pentagono, Nato e, ovviamente, Bilderberg, non ne potevano più.
 Ma di questo in Giordana e affini, tutti presi dalla moltiplicazione del lemmo “maglietta gialla”, non c’è accenno. Poco gliene cale. Sono quelli che ogni anno celebrano, in coro con le entità sopra citate, le ricorrenze d’ordinanza: 11 settembre e Srebrenica,
Pubblicato da alle ore 17:42

“Si ostinano a chiamarsi Democratici”

http://www.marcoscibona.it/home/?p=927

 

DELRIO – SCIBONA (M5S): “Si ostinano a chiamarsi Democratici”.

Ogni giorno che passa gli esponenti di questo Governo riescono a consolidare la certezza che di democratico hanno solo il nome.

Mentre continuano a riempire le pagine dei giornali e gli schermi televisivi di trasparenza e condivisione riescono a far rimpiangere chi almeno coerentemente con il proprio ideale dittatoriale imponeva le sue scellerate scelte senza ipocrisia, senza indorare la pillola, semplicemente imponendosi, senza dialogo e senza appunto DEMOCRAZIA.

Così, dopo il cementificatore ad orologeria Lupi, che almeno dalla sua aveva il pregio di non essere democratico per tessera, ecco Delrio.

Cambia lo stile: dimesso al posto che arrogante, al ministero di piazza della Croce Rossa (ospite della holding FS) ci si va in bicicletta invece che con l’Audiblu, ma nulla è davvero cambiato dai tempi di Di Pietro & Bargone, Matteoli & Martinat, Passera & Ciaccia, Lupi & Incalza: la politica delle infrastrutture e dei trasporti non viene decisa tra le mura del ministero, men che meno nelle sedi parlamentari deputate, ma negli studi ( o sulle barche) di improvvisati collaudatori, sperimentati consulenti, impuniti subappaltatori, conclamati bancarottieri.

Il Ministro medio-padano pensa di poter tessere una nuova tela di ragno che dia parvenza di dialogo, discussione e trasparenza continuando la farsa dell’Osservatorio come strumento dedicato a coloro che bramano alle compensazioni piuttosto che al bene dello Stato e del Popolo sovrano.

La politica del “fatto compiuto” in assenza di vero contraddittorio è sintomo di un mal celato governo dittatoriale. È dal 1991 che si continua a dire che la Nuova Linea Torino – Lione non può più essere messa in discussione.

Con buona pace dei proclami d’obbligo ad ogni nubifragio di ferragosto la politica del territorio resta un delirio, con buona pace di Delrio: perché rimane nelle mani di coloro che lo consumano senza tregua e lo squilibrano con interventi dissennati, sottraendo le poche risorse economiche disponibili con la fabbrica del debito pubblico di cui le Grandi Opere sono la “migliore” garanzia.

Delrio stia sereno, stia renzianamente sereno, non c’è e mai ci sarà spazio, tra chi si oppone allo spreco di risorse e di territorio, per chi con supponenza ed imposizione cerca di vendere pentole di cartone a chi non ha di che riempirle.

Potrete, forse, convincerne uno, ma per ogni corrotto altri cento capiranno che serve fare altro, serve il pane, non le brioches.

Marco Scibona – Senatore M5S, Segretario 8° Commissione Lavori pubblici, comunicazioni.

Mantova, corteo Forza Nuova anti migranti: scontri

ma la polizia non difendeva i fascisti? Per fortuna difende mafia capitale
Pubblicato il 27 agosto 2015 11:21 | Ultimo aggiornamento: 27 agosto 2015 11:21
di Redazione Blitz
 
mantova-forza-nuova
Mantova, corteo Forza Nuova anti migranti: scontri con polizia
MANTOVA  – Tensioni e tafferugli nella serata di mercoledì 26 agosto a Virgiliana, quartiere di Mantova, alla manifestazione organizzata da Forza Nuova e dal Fronte Skinheads contro la presenza di profughi in un ex hotel della zona.
 
Circa 150 persone, provenienti in particolare dalle province di Brescia e Verona, si sono radunate davanti all’edificio lanciando slogan contro gli stranieri e inalberando lo striscione ”Mantova ai virgiliani”.
 
Poco distante c’era la contro manifestazione organizzata dai ragazzi dei gruppi di sinistra La Boje e Mantova antifascista. A dividere gli schieramenti i poliziotti in tenuta antisommossa. Ad un tratto i neofascisti hanno tentato di raggiungere i manifestanti di sinistra forzando il blocco dei poliziotti che hanno reagito manganellando i più esagitati.
 
In pochi minuti l’ordine è stato ripristinato e la manifestazione ha potuto concludersi senza altri incidenti. Non si registrano né feriti né fermati.

Silurato il capitano Ultimo. Nelle sue indagini i nomi di Renzi, Napolitano e D’Alema

i moralmente superiori non si possono indagare, finché sono quelli di centro destra se ne può scrivere sui giornali ma se i nomi sono D’Alema e Renzi l’inchiesta deve sparire
 
 
Sconcertanti le modalità del siluramento di Ultimo, fatto fuori con una lettera del Comando generale dei carabinieri datata 4 agosto viene sollevato  dalla guida operativa dei suoi duecento uomini del Noe, addestrati a perseguire reati ambientali, ma anche straordinari segugi capaci di scovare tangenti, abusi, traffici di denari e di influenza. La firma sulla lettera è del generale Tullio Del Sette, il numero uno dell’Arma. Stabilisce che da metà agosto il colonnello De Caprio non svolgerà più funzioni di polizia giudiziaria, manterrà il grado di vicecomandante del Noe, ma senza compiti operativi. Motivo? Non specificato, normale avvicendamento. Anzi: “Cambiamento strategico nell’organizzazione dei reparti”. Cioè? Frazionare quello che fino ad ora era unificato: il comando delle operazioni.
Uomini che stanno nel cuore delle più clamorose inchieste di questi ultimi anni sull’eterna sciagura italiana, la corruzione ad esempio quella sul tesoriere della Lega Francesco Belsito,
 
Scontata la reazione di De Caprio che in data 18 agosto, prende commiato dai suoi reparti con una lettera avvelenata contro i “servi sciocchi” che abusando “delle attribuzioni conferite” prevaricano “e calpestano le persone che avrebbero il dovere di aiutare e sostenere”. Lettera destinata non a chiudere il caso, ma a spalancarlo in pubblico.
 
Ultimo ha trasformato i Nuclei operativi ecologici a sua immagine, macinando indagini, rivelazioni e facendo cadere nella sua rete nomi altisonanti: l’ex tesoriere della Lega Francesco Belsito,  Giuseppe Orsi, l’amministratore delegato di Finmeccanica, Luigi Bisignani discusso finanziere, Alfonso Papa, deputato Pdl.
 
Le sue ultime indagini riguardavano il tesoro di Massimo Ciancimino seguito fino in Romania; quelle su una banda di narcotrafficanti a Pescara, Roberto Maroni, il presidente di Regione Lombardia, accusato di abuso di ufficio per aver fatto assumere due sue collaboratrici grazie a un concorso appositamente truccato e , infine, quella sulla Cpl Concordia, ricca cooperativa rossa che incassava appalti in mezza Italia, distribuiva consulenze e teneva in conto spese il sindaco pd di Ischia, Giosi Ferrandino, e comprava vino e libri da un amico speciale, l’ex presidente del Consiglio Massimo D’Alema. appartengono a queste indagini due intercettazioni importantissime; quella tra Renzi e il generale della Gdf Adinolfi, nella quali l’allora soltanto leader del Pd svelava l’intenzione di fare le scarpe a Enrico Letta per spodestarlo da Palazzo Chigi e quella relativa a un pranzo tra lo stesso Adinolfi, Nardella (allora vicesindaco di Firenze), Maurizio Casasco (presidente dei medici sportivi) e Vincenzo Fortunato (il superburocrate già capo di gabinetto del ministero dell’economia) in cui si faceva riferimento a ricatti attorno al presidente Napolitano per i presunti “altarini” del figlio Giulio.
 
“Tutto vanificato”- scrive Il Fatto Quotidiano-” ora per il “cambiamento strategico nell’organizzazione dei reparti”. Motivazione d’alta sintassi burocratica che a stento coprirà gli applausi della variopinta folla degli indagati (di destra, di centro, di sinistra) e la loro gratitudine per questa inaspettata via d’uscita che riapre le loro carriere, mentre chiude quella di Sergio De Caprio.
 
fonte:ilfattoquotidiano
 
Il 4 agosto il colonnello Sergio De Caprio, meglio noto con il nome di capitano Ultimo,  è stato sollevato dal comando del Noe. Solo un mese prima Il Fatto Quotidiano aveva pubblicato l’intercettazione tra il numero 2 della Gdf Adinolfi e il premier Renzi nell’ambito dell’inchiesta di Napoli sulla Cpl Concordia, condotta proprio dal Noe

LUC MICHEL : CAMPAGNE ‘JE SUIS AFRIQUE MEDIA’ III (9 AOUT 2015)

PANAFRICOM-TV/ 2015 08 09/

Avec AFRIQUE MEDIA TV/

 Intervention de Luc MICHEL,

dans l’émission LE DEBAT PANAFRICAIN :

PANAF-TV - campagne JE SUIS AM  III (2015 08 09) FR

CAMPAGNE ‘JE SUIS AFRIQUE MEDIA’ III

Partagez, soutenez, diffusez

la CAMPAGNE DE SOUTIEN A LA TV PANAFRICAINE !!!

« Ils » veulent faire taire AFRIQUE MEDIA …

 Video sur le Website d’EODE-TV https://vimeo.com/137434378

Filmé en Duplex à Bruxelles par EODE-TV (images brutes),

Diffusé en direct sur AFRIQUE MEDIA TV,

Le 9 août 2015 dans l’émission ‘LE DEBAT PANAFRICAIN’,

présentée par Alain Michel Yetna.

* Lire :

# ALERTE ROUGE/ MOBILISATION !!! AFRIQUE MEDIA TV A NOUVEAU ATTAQUEE PAR LA CNC COMPRADORE DU CAMEROUN !

sur le BLOG AFRIQUE MEDIA

http://www.scoop.it/t/afrique-media-tv/p/4049051341/2015/08/06/alerte-rouge-mobilisation-afrique-media-tv-a-nouveau-attaquee-par-la-cnc-compradore-du-cameroun-facebook

PANAFRICOM-TV

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