‘TEL-AVIV SUR SEINE’. L’OFFENSIVE PROPAGANDISTE DE LA FRANCE SIONISTE DU PS AU FN EN PASSANT PAR LR …

LM & KH pour PCN-INFO / Avec Libération – PCN-SPO/ 2015 08 13/

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« L’événement organisé ce jeudi par la mairie s’est vite transformé en polémique politique. Relançant le débat sur le boycott d’Israël et les moyens pour lutter contre sa politique de colonisation »

– Libération (ce 13 août).

PIH - LM tel-aviv sur seine (2015 08 13) FR 1

« Tel-Aviv sur Seine ». « Une opération de blanchiment d’Israël un an pile après la meurtrière opération contre Gaza » (dixit Libération, Paris). La propagande sioniste qui envahit « Paris Plage » avec l’appui de tout le lobby pro-israélien en France. Avec le soutien du ministre Fabius, du premier ministre Valls, de la maire de Paris Hidalgo. Mais aussi de Philippot, Collard et Wallerand de Saint-Just du FN. Et encore des Républicains (sic) de Sarkozy. Bref du Gratin du Lobby pro-israélien en France.

* Lire pour comprendre l’emprise du Lobby pro-israélien sur la France :

LA ‘FONDATION FRANCE-ISRAEL’ in COMPRENDRE CE QUI SE PASSE EN FRANCE (2) : LA ‘FRENCH-AMERICAN FOUNDATION’ MATRICE DE LA COLLABORATION FRANCAISE

Sur http://www.lucmichel.net/2014/01/11/pcn-info-comprendre-ce-qui-se-passe-en-france-2-la-french-american-foundation-matrice-de-la-collaboration-francaise/

UNE « OPERATION POLITIQUE » DU LOBBY PRO-ISRAELIEN EN FRANCE !

Une opération indécente au regard de ce qui se passe en Israël.

Libération, avec qui nous sommes une fois n’est pas coutume en accord, explique pourquoi : « En Cisjordanie, les exactions commises par les colons israéliens se multiplient, jusqu’à avoir, récemment, entraîné la mort d’un bébé et de son père dans l’incendie criminel de leur maison. À Gaza, un an après l’offensive meurtrière de l’été 2014, le blocus se poursuit, et l’on vient d’apprendre dans un rapport de l’ONU que pour la première fois depuis 50 ans, la mortalité infantile était en hausse. À Paris, pour dénoncer ces crimes, on organise une grande fête sur les bords de Seine, en l’honneur de Tel-Aviv. Vous avez dit indécence ? »

TEL-AVIV, CE NE SERAIT PAS ISRAËL ?

«Mais il ne faut pas confondre Tel-Aviv, une ville, et Israël, un État !», disent-ils.

« L’argument pourrait faire sourire si la situation n’était pas aussi grave, ajoute Libération. Doit-on rappeler aux organisateurs de l’initiative que Tel-Aviv est la seule capitale internationalement reconnue d’Israël, siège de la quasi-totalité des ambassades ? Doit-on préciser que l’agglomération de Tel-Aviv (le «Gush Dan») est de loin la plus peuplée du pays, avec près de 3.5 millions d’habitants, soit près de la moitié de la population du pays ? Doit-on enfin rappeler que Tel-Aviv est la capitale économique et financière d’Israël, et aussi sa capitale technologique, où sont élaborées nombre de petites merveilles à destination de l’armée israélienne ? Non, Anne Hidalgo, Tel-Aviv n’est pas une république autonome (…) si Tel-Aviv était à ce point en rupture avec le gouvernement Netanyahou et les colons, et si «Tel-Aviv ce n’est pas Israël», comment comprendre le soutien apporté à Tel-Aviv sur Seine par le Ministère du tourisme israélien et l’ambassade d’Israël en France, et par des officines aussi amoureuses de la paix que le CRIF ou, pire encore, la Ligue de Défense Juive ? »

PIH - LM tel-aviv sur seine (2015 08 13) FR 2

UNE OPERATION POLITIQUE SIONISTE SOUS HAUTE PROTECTION POLICIERE

La polémique autour de l’événement prévu à Paris ne faiblissant pas, 500 policiers vont être mobilisés. Des associations propalestiniennes organisent de leur côté un «Gaza sur Seine». L’opération controversée «Tel-Aviv sur Seine», à laquelle Manuel Valls a apporté son «soutien total» ce mercredi, mobilisera jeudi environ 500 policiers et gendarmes, ce qui devrait permettre de contenir d’éventuels débordements. «Afin de prévenir tout trouble à l’ordre public, un dispositif renforcé sera mis en oeuvre par la préfecture de police. Jusqu’à cinq unités de forces mobiles pourront être engagées, sur la journée, complétées par des moyens spécialisés», a indiqué mercredi la préfecture de police dans un communiqué. En plus des fouilles des sacs sur le site, une surveillance sera mise en place, en amont et en aval de l’opération, alors que le plan antiterroriste Vigipirate est au niveau le plus élevé en Ile-de-France depuis les attentats de janvier. Hormis ce dispositif de sécurité renforcé, la mairie de Paris ne compte pas dévier de sa ligne et maintient la manifestation telle qu’annoncée.

IL FERA CHAUD A PARIS PLAGE :

GAZA SUR SEINE VERSUS TEL-AVIV SUR SEINE !

Parallèlement à «Tel-Aviv sur Seine», plusieurs organisations propalestiniennes ont annoncé un rassemblement, également sur les bords de Seine, nommé «Gaza sur Seine». Et qui a tout notre soutien. Cette initiative ne vise pas à créer des perturbations : les associations «ont pris l’engagement [devant la préfecture] de laisser la libre circulation des touristes et des familles sur l’espace dédié à Paris Plage, tout en veillant à ce que les personnes attachées aux droits des Palestiniens, à la justice, au respect des Droits de l’Homme et du Droit international, n’aillent pas se mêler aux occupants israéliens autorisés par Madame Hidalgo à squatter l’espace adjacent (entre le Pont Notre Dame et le Pont d’Arcole)», écrivent-elles. «Gaza sur Seine», se tiendra de 12H00 à 21H00 «entre le pont Notre-Dame et le Pont au Change».

« Célébrer Tel-Aviv à Paris, c’est tenter de normaliser la situation de colonisation, d’apartheid et d’épuration ethnique que subit le peuple palestinien », dénonce la campagne BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions), regroupant des militants pour le boycott des produits israéliens.

LE FRONT NATIONAL AU CŒUR DU LOBBY PRO-ISRAELIEN EN FRANCE AVEC LA DROITE RADICALE

Pour ceux qui pensent encore, en Afrique particulièrement, que le « FN serait un parti anti-système » (sic), les choses sont claires. Le FN est au cœur du Lobby pro-israélien en France, au service de cet « Axe Washington-Tel-Aviv » qui charpente géopolitiquement ce même Système et son « Nouvel Ordre Mondial » !

Florian Philippot, vice-président du FN, a déploré «que cette affaire provoque autant d’hystérie», ce qui «démontre la montée du communautarisme en France», selon lui. Une partie non négligeable de la droite la plus dure du parti Les Républicains, ainsi que du FN, a apporté son soutien à «Tel-Aviv sur Seine», afin de pointer par ricochet l’antisémitisme supposé des défenseurs de la Palestine. Le député proche du FN Gilbert Collard (Rassemblement Bleu Marine) a ainsi attaqué le député socialiste Alexis Bachelay, qui a comparé avec raison « le régime israélien à l’apartheid sud-africain » (qui furent effectivement étroitement alliés). Même son de cloche chez Wallerand de Saint-Just, tête de liste FN aux régionales à Paris, qui s’en est pris sur le site du Figaro aux «fanatiques» en défendant un « changement de stratégie du FN (parti historiquement antisémite ! sur le conflit israélo-palestinien ». Un  tournant qui est depuis plusieurs années au cœur de la stratégie Philippot-mariniste (le marionnettiste et sa poupée).

LM & KH / PCN-INFO

# Aller plus loin :

PCN-INFO / GEOPOLITIQUE / LA FRANCE DE DE GAULLE EST TOMBEE DANS LES MAINS DU « PARTI AMERICAIN » ET DU LOBBY SIONISTE

Sur http://www.lucmichel.net/2013/08/31/pcn-info-geopolitique-la-france-de-de-gaulle-est-tombee-dans-les-mains-du-parti-americain-et-du-lobby-sioniste/

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TRE SUONATORI (USA, UE, NATO), TRE SUONATI (GRECIA, CUBA, IRAN). CAP.2. CUBA

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MONDOCANE

VENERDÌ 14 AGOSTO 2015

HASTA LA VICTORIA? NUNCA MAS

  
Questa è la seconda parte di quella che pomposamente chiameremo Trilogia dell’Idra a tre teste e dei suoi pasti nudi. Tocca a Cuba, l’episodio più sconvolgente se si pensa cosa è stata, per l’umanità migliore, la Cuba del Che, di Fidel, dei combattenti della Sierra, dei vincitori della Baia dei Porci, dell’irriducibile resistenza al cannibale del Nord, dei grandi della seconda generazione rivoluzionaria, come Perez Roque e Carlos Lage, cancellati con infamia perché oppositori della svolta che si andava sviluppando.
 
Quelli di “C’è vita a sinistra” camminano in mezzo al bosco, che è poi il 26-27% di cittadini italiani soprattutto di sinistra, accreditato ai 5Stelle, che formano l’unica opposizione effettiva a tutto ciò che la sinistra detesta e, aggirandosi con tanto di lampada di Diogene (“il manifesto”), continuano a chiedersi “dove sono gli alberi?”Per contrappasso, invece, continuano a inebriarsi di tronchi vigorosi e chiome rigogliose, dove sta imperversando un disboscamento selvaggio. Si parla di Cuba, di cui chi scrive è stato da sempre sostenitore militante (vedi i film “El camino del sol”, “Americas Reaparecidas”, “L’asse del bene”). Ma prima si parla del continente per il quale Cuba è stato il faro di resistenza  e l’innesco rivoluzionario per oltre mezzo secolo e che oggi è sotto il tiro del revanscismo colonialista Usa-UE a forza di terrorismo, complotti destabilizzatori, strangolamento economico, ricatti finanziari, sobillazione di minoranze.
 
Assalto all’America Latina. Venezuela.
Sul Venezuela da un anno e mezzo si abbatte la guerra strisciante degli Usa. Obama, Nobel della pace, feldmaresciallo di ben 7 guerre e di infinite operazioni sporche, incurante dell’osceno rovesciamento dei termini del conflitto, l’ha definita “una minaccia rara e straordinaria alla sicurezza nazionale degli Stati Uniti”. Per tutti è stata una dichiarazione di guerra. Reclutamento, foraggiamento, addestramento di elementi fascisti e razzisti, sostenuti dalla Chiesa cattolica locale, tratti da un ceto di speculatori e redditieri alto-borghesi che, con Chavez e Maduro, si sono visti tagliare il cappio stretto da decenni al collo del popolo e del paese; mesi di terrorismo assassino (43 vittime) con pogrom in tutto il paese, strangolamento dell’economia e sabotaggio delle misure governative per il sostegno alle classi meno abbienti (poveri ridotti del 75%) mediante imboscamento di beni primari e loro contrabbando in Colombia, milioni di dollari a Ong imperialiste e agli esponenti della destra terrorista, campagne di diffamazioni tendenti a isolare il Venezuela dal contesto internazionale, innesco di conflitti con i vicini attraverso un intervento abusivo della Exxon in zone di mare assegnate al Venezuela, ma pretese dalla Guyana, infiltrazione di sicari dalla Colombia per attuare attentati ai dirigenti politici. E come apice dell’impudenza, la DEA, agenzia Usa per il narcotraffico e massima curatrice dello stesso nei domini Colombia, Perù, Centroamerica, Messico, Afghanistan, che accusa di narcotraffico Diodado Cabello, presidente del parlamento venezuelano e numero due dello Stato. Altre nefandezze di ogni genere.
 
Il Venezuela ha la colpa di aver sostituito Cuba come modello dell’emancipazione latinoamericana e della sua resistenza all’imperialismo, di aver respinto il trattato capestro di libero scambio con gli Usa, di aver adottato sistemi sociali, economici e di avanzamento democratico che determinano in tutto il mondo lo screditamento del modello neoliberista e di aver promosso, con enorme successo, passaggi verso l’integrazione latinoamericana nel segno della sovranità popolare e della giustizia sociale.
Illustrando al Consiglio politico dell’A.L.B.A, i piani di aggressione all’America Latina, il presidente Maduro ha detto: “I potenti, le antiche metropoli colonialiste, sembrano non voler apprendere la lezione che l’umanità colonizzata gli ha dato negli ultimi cent’anni. E’ evidente  che nel Nord del mondo, dove sono le nuove metropoli imperialiste, si stanno attuando piani di guerra e di ricolonizzazione economica”.
 
Ecuador
Nell’Ecuador di Rafael Correa e del suo partito Alianza Pais, che gode tuttora del quasi 70% dei consensi, dopo il fallito colpo di Stato di settori della polizia nel 2010, gli Usa hanno allestito l’ennesima rivoluzione colorata facendo leva su settori indigeni da sempre subalterni alle classi ricche, istigate dalle solite Ong amerikane, legate al tuttora irriducibile ex-presidente (indigeno) Lucio Gutierrez, un burattino fascistoide degli Usa del tipo Menem in Argentina, Martinelli in Panama, Uribe in Colombia, il golpista Hernàndez in Honduras, spazzato via nel 2005 da una rivoluzione popolare ( i Forajidos) a cui  la maggiore organizzazione indigena si è sottratta. In agosto la CONAIE, una delle federazione delle associazioni indigene, isolata dalle altre che sostengono il governo, diretta da Jorge Herrera con noti legami alla Cia, ha indetto una marcia di massa da varie parti del paese sulla capitale Quito, il 13 agosto giunta a destinazione e accampatasi. Era dichiarato l’intento di travolgere qualsiasi apparato di sicurezza, arrivare ai palazzi di governo e presidenza e tentare il colpo di Stato. A questa manifestazione, che Wikileaks ha rivelato concordata con l’ambasciata Usa, basata su parole d’ordine che accusano, in termini del tutto mistificati e strumentali, il governo della costituzione più ambientalista del continente, di sottrarre terre ai nativi e di favorire la multinazionali (Correa ha già distribuito 580mila ettari a 19mila comunità e altri 100mila titoli verranno assegnati), è assicurato l’appoggio dei ceti altoborghesi sconfitti dalla revolucion ciudadana. Alla sedizione di questi indigeni, cari a prescindere ai sinistrati italioti affetti da romanticismo primitivista, rispondono in questi giorni enormi manifestazioni popolari a difesa dalla rivoluzione.
L’Ecuador ha la colpa di aver respinto il trattato di libero scambio che lo avrebbe  inchiodato alla manomorta dei gangster multinazionali, di aver cacciato dal paese “Manta”, la più grande base Usa nel continente, di partecipare agli organismi inter-latinoamericani di integrazione economica e politica, di aver sollevato dalla povertà milioni di ecuadoriani, di aver costituito uno Stato democratico multietnico e multinazionale, di aver espulso e messo sotto processo i predatori petrolieri OXI e Chevron, di associarsi agli altri paesi latinoamericani e nel mondo nella solidarietà ai paesi mediorientali aggrediti dall’imperialismo, di appoggiare il blocco mondiale alternativo dei BRICS. Ultimo peccato mortale, di aver voluto promulgare una legge sulle eredità (ora in corso di rinegoziato) che avrebbe colpito la trasmissione di immani ricchezze fisco-esenti.
Nel 2005, a Quito, intervistai l’allora presidente della CONAIE, Luis Macas. I suoi propositi spiegano le precedenti e attuali iniziative dell’organizzazione. Ostile alla rivoluzione dei Forajidos che aveva posto fine a una serie di despoti ladroni al soldo degli Usa, vaticinava la dissoluzione dello Stato plurinazionale e l’unificazione dei popoli indigeni di Ecuador, Bolivia e Perù in un’unica grande entità, reminiscenza dell’impero Inca, di natura rigorosamente etnicista e dalle nebulose connotazioni sociali ed economiche, tutto nel nome del “ritorno alle radici”. Un riordinamento dell’America Latina che assomiglia da vicino a quel Nuovo Medioriente che USraele sta cercando di erigere sui frantumi dei suoi Stati.
 
Bolivia, Paraguay, Argentina
 Correa e Kirchner
Di altri esempi attuali di interventismo nordamericano nei paesi del Continente, sia consolidando la subalternità di quelli sottomessisi da tempo, sia aggredendo in varie forme i disobbedienti, ce ne sono quanti sono gli Stati latinoamericani e caraibici. Ci limitiamo a Bolivia, Paraguay e Argentina. Della Bolivia di Morales, che è stata la più dura nei provvedimenti verso diplomatici e Ong statunitensi e la più fervida nella solidarietà alle vittime dell’imperialismo, basta ricordare i continui tentativi di destabilizzazione affidati, vuoi a una infima minoranza indigena contraria al vitale collegamento con il resto del continente, vuoi agli ambienti reazionari secessionisti di terratenientes, annidati nella regione di Santa Cruz. La sua situazione è affine a quella dell’Ecuador. In Paraguay, come in Honduras, il golpe Usa, stavolta parlamentare, ma innescato da un sanguinoso  pogrom organizzato dall’Alcoa, è riuscito, abbattendo il governo del presidente, “vescovo dei poveri” e amico dell’ALBA, Fernando Lugo
L’Argentina, si è sollevata con grande coraggio e determinazione dal crack del 2001, indotto dalla totale svendita del paese per mano del fiduciario delle multinazionali Menem e dal conseguente gigantesco indebitamento nei confronti di banche e FMI. Ha rifiutato la ricetta dei famigerati “aggiustamenti strutturali” dell’FMI e ha imposto la ristrutturazione del debito. Con i due Kirchner, Nestor e Cristina, che hanno dato vita a una forma più avanzata del peronismo di sinistra, promuovendo una forte riduzione della povertà, emancipando la propria economia e assumendo posizioni antimperialiste simili a quelle di Chavez, l’Argentina è tornata ai fasti di un paese prospero e sovrano.Intollerabile. L’imperialismo le ha lanciato contro di tutto, condito dalle solite diffamazioni,.poi propalate dal coro degli sguatteri mediatici (addirittura contro le Madres de Plaza de Majo, bandiera del riscatto. Vedi Guido Gazzoli su “Il Fatto Quotidiano” o, per l’Ecuador, Aldo Zanchetta sul sito “Comune Info”). In vista delle elezioni presidenziali di ottobre, le cui primarie sono state vinte dal kirchneriano Frente para la Victoria(FPV), è scattata l’escalation.
Prima la rivolta dei latifondisti di soia e affini contro una tassazione un po’ meno vantaggiosa sull’export. Poi i tumulti allestiti dal governatore di Buenos Aires, Macrì, di estrema destra, gli avvoltoi bancari, titolari dei residui non concordati del debito (8% del totale) che hanno trascinato il governo davanti a compiacenti giudici Usa, l’operazione “Amia”. “Amia” era la mutua ebrea argentina fatta saltare in aria nel 1994 provocando 85 morti. Un’operazione False Flag, se ce n’è una, che ha consentito a Israele di mettere nel mirino Cristina con l’accusa di voler coprire “i responsabili iraniani” (di un Iran che ha subito decine di attentati del Mossad e dei suoi ascari del MEK e non ne ha mai compiuto uno da nessuna parte). Mesi fa è stato ucciso un giudice, Alberto Nisman, con documentati legami con i servizi Usa, che aveva preparato un dossier di accuse a Cristina per il suo presunto insabbiamento delle indagini in cambio di (inesistente) petrolio iraniano. Il dossier è risultato un’accozzaglia di fole.
Come a Cuba, non poteva mancare il Papa a dare una manina. Subdolamente e incurante dell’assenza di qualsiasi indizio, ha alluso a un’Argentina, primattore del narcotraffico latinoamericano. A confortarne le illazioni si è subito mosso un suo intimo, Gustavo Vera, responsabile del “Movimiento Bien Comun”, che ha accusato l’Argentina di essere “produttore di droga e primo consumatore dell’America Latina e di non combattere il fenomeno, ma di tariffarlo”. Man mano che l’Argentina, prossima a far parte dei BRICS, con le loro alternative finanziarie ed economiche, si avvicinerà alle presidenziali, vedrete che giochetti s’inventeranno,
Tutti questi paesi avranno difetti e ritardi, ma ognuno è governato cento volte meglio di qualsiasi paese della sedicente “comunità internazionale”. Non basta? Oggi come oggi basta.
 
Patria o muerte? Muerte.
Dall’alto al basso: Obama sopra, Raul sotto
Sul Malecon, lungomare dell’Avana, dove avevo filmato le centinaia di bandiere nere a ricordo delle vittime degli Usa (ora scandalosamente ammainate, mentre i tre Marines che avevano ammainato la bandiera Usa nel 1959, ora l’hanno rialzata: uno schiaffone al popolo cubano)
e dai cui muri si giurava, sotto i volti del Che e di Fidel, eterna lotta all’imperialismo, ora sventolano, appaiate a quelle di Cuba, le bandiere a stelle e strisce, ad accogliere degnamente il papa. Quelle che rappresentano un potere che ha ucciso col terrorismo oltre 3000 cubani e per 638 volte ha tentato di uccidere Fidel. Le stesse che le masse latinoamericane bruciano e calpestano in tutto il continente..Quelle che stanno nel logo del National Endowment  for Democracy (NED) e di altre “Ong” analoghe, il bieco organismo cripto-Cia delle rivoluzioni colorate e dei regime change, a cui, in piena euforia riconciliatoria Cuba-Usa, il governo Obama ha proprio ora stanziato 30 milioni “per programmi di promozione della democrazia a Cuba e di rafforzamento della società civile”. Quelle di un paese cui Raul chiede di benevolmente rimuovere Cuba dalla lista dei paesi sponsor di terrorismo e che, essendo il massimo autore e mandante di terrorismo nel mondo, viene per questo applaudito
 
Quanto è onesto lei!
Ai molti, spesso comodamente sistemati in una solidarietà a Cuba che, se assicura continuità e tranquillità di status e benefit, vacanze e onorificenze, va perdendo ogni giustificazione ideologica, sarà entrata in un orecchio e subito uscita dall’altro la frase da Raul Castro rivolta a Obama “Lei è una persona onesta”. A quell’Obama che è il protagonista, con sette aggressioni e associato corredo terroristico, della più estesa carneficina della storia, impegnato nello stesso momento a sovvertire violentemente la comunità latinoamericana di cui Cuba è parte, a soffocare nel sangue o nell’usura istanze di libertà e diritti umani ovunque si manifestino, strumento della riduzione degli Usa a Stato di Polizia agli ordini di Wall Street, comandante in capo di un armageddon che dovrà distruggere la Russia  e chiunque si opponga a questo Quarto Reich. Combacia, questo demenziale tributo all’onestà del serial killer yankee, con la promessa fatta al controrivoluzionario Bergoglio, travestito da Che Guevara per ri-uccidere Che Guevara, quando Raul gli ha detto: “Sono pronto a farmi cattolico e ad andare in chiesa a pregare”. Una bella boccata di “oppio dei popoli”.
La strada lastricata di buone intenzioni (quelle note) da tre pontefici cattolici, in connivenza-concorrenza con le dilaganti sette evangeliche Usa, non poteva non condurre verso l’inferno. Consapevole del contributo, Obama ha voluto rendere grazie per la “svolta” a Bergoglio. Se inferno è, come risulta facendo un giro d’orizzonte, il capitalismo nella sua attuale espressione forsennatamente necrofora. Fidel lo diceva fino a poco tempo fa. Strada che corre parallela alla marcia dalla nuova dirigenza politica del partito e del parlamento. Dissesto economico e relativo degrado sociale furono provocati, sì, dal bloqueo (peraltro ampiamente perforato negli anni recenti da crescenti rapporti con America Latina e altre parti del mondo), ma in misura maggiore da corruzione endemica, burocrazia proterva e ossificata e, dunque, incompetenza, inefficienza, cialtronaggine a tutti i livelli dello Stato, amministrativi, produttivi, di distribuzione, dei servizi. C’è una data che mi sembra evidenziare una svolta: quella della rottamazione di ciò che era stata Cuba, ultimamente più nell’immaginario collettivo che nella realtà, il 2 marzo 2009. Un anno prima Raul era diventato Presidente e successore di Fidel.
 
Colpo di Stato?
Alle quasi idi di marzo, in una notte, vengono rimossi 60 dirigenti dello Stato, in testa Felipe Perez Roque, amatissimo leader della seconda generazione rivoluzionaria, ministro degli esteri rispettato in tutto il mondo antimperialista, considerato fin lì delfino di Fidel, di cui era stato segretario per anni, e Carlos Lage, vicepresidente. Li sostituiscono perlopiù gli ottuagenari comandanti delle forze armate. Per mesi nessuna spiegazione viene data al popolo cubano e ai suoi amici nel mondo, per poi uscirsene con un video in cui Felipe e compagni scherzano lievemente sulle condizioni del vecchio Fidel, accompagnato da oscure accuse di connivenza col nemico. Tutti a Cuba sapevano che Perez Roque era a capo dell’ala più intransigente nel contrasto con gli Usa e dunque incompatibile con il rapprochement che si stava avviando. Poi è un precipitarsi verso il “socialismo aggiornato” sul modello vietnamita..Alla Chiesa la facoltà di intervenire sulle comunicazioni, istruzione, sanità, fin lì monopolio rivoluzionario. Mezzo milioni di dipendenti statali licenziati e nominati cuentapropistas, imprenditori in proprio, ma senza il supporto basilare di investimenti e infrastrutture. Finiranno a infestare Cuba con migliaia di bancarelle di chincaglierie e bibite fatte in casa. Mezza economia cubana è privatizzata.
Poi la pacificazione con il nemico mortale che, per 50 anni, ha invaso, terrorizzato, destabilizzato il paese. Riconoscimenti di probità a Obama, apertura agli investimenti multinazionali, agrobusiness, petrolio, farmaceutica, edilizia, turismo, trasporti compresi. Bandiere statunitense e cubana appaiate fraternamente sul Malecon. Tutto per tutti i gusti dei milionari yankee. Apertura delle ambasciate, quelle che a Cuba e in tutta l’America Latina hanno per attività principale sabotaggi, complotti, infiltrazioni, corruzione, sovversioni. La situazione economica e sociale del popolo cubano era al limite del tragico.
Ma uscirne aprendo al più grande vampiro economico, aggressore dell’America Latina, devastatore di intere regioni del mondo, padrino di ogni terrorismo, proprio nel momento in cui affonda i suoi artigli sui paesi che a Cuba hanno assicurato la sopravvivenza dopo il crollo dell’URSS e della catastrofica divisione internazionale del lavoro che questa aveva imposto agli alleati? Sostituire a Carlos Lage, protagonista dell’economia socialista, l’ex-numero uno dell’FMI divoratore del welfare dei paesi azzannati, Strauss Kahn, col titolo di consulente economico dell’Avana, come rivelano fonti ufficiali francesi al sito “Politico” , è un passo verso l’economia socialista, o verso la globalizzazione dell’economia di mercato? Evitare di porre la chiusura di Guantanamo, pozzo nero di un impero criminale, a precondizione di ogni ambasciata e ogni apertura, piuttosto che rivolgere a Obama una gentile richiesta di restituzione, rappresenta un tributo ai diritti umani e una solidarietà agli ingiustamente detenuti e ferocemente torturati?
E gliene cale qualcosa, ai rivoluzionari fattisi pacificatori, di questa ciliegina sulla torta di cianuro che il Pentagono, è notizia ultimissima, non riportata dai media cubani o altri, lancia una Forza Speciale per l’America Latina?  Si chiama “Punta di lancia JHSV”, è stazionata nella base Usa di Palmerola in Honduras, comprende centinaia di truppe, elicotteri, mezzi da sbarco, verrà utilizzata per “condurre operazioni in America Latina” e si congiungerà con 3000 Marine che in Perù, a settembre, condurranno manovre su vasta scala. Solo, ovviamente, per consolidare gli armoniosi rapporti con Cuba…E nemmeno ha fatto sollevare sopracciglia a qualcuno che gli Usa abbiano minacciato il Salvador di tagliargli gli aiuti e infliggergli sanzioni finanziarie per avere quel governo sostenuto la richiesta di cancellare le sanzioni al Venezuela.
Non significa, tutto questo, una pugnalata alle spalle di quella che si chiama Nuestra America, oltretutto inferta da una zattera dalla dubbia navigazione? Il buonismo diplomatico di Obama, pari a quello impiegato per disossare l’Iran dall’interno, anziché con gli utopici isterismi bellici di Netaniahu, serve a corrompere Cuba, società e apparato politico, là dove mezzo secolo di aggressività non è servita a nulla. Intanto al vertice Africa Asia America Latina a Bandung, il Venezuela ha chiamato a un’alleanza del Sud del mondo per affrontare il dominio imperialista. Evo Morales e Rafael Correa hanno invocato una mobilitazione generale contro le trame dell’imperialismo Usa. Un messaggio neanche tanto trasversale a Raul?
Il “disgelo” con l’iceberg del cinismo serve a togliere di mezzo il principale scoglio ideologico e geopolitico che impedisce agli Usa di piombare sulle riserve petrolifere del Venezuela, le più grandi del mondo e a cancellare quello che è diventato il modello antiliberista e antimperialista di tutta l’America Latina. Raul, 85enne uomo solo al comando di una rivoluzione in disarmo, non può non esserne cosciente.I bonzi e saprofiti della solidarietà organizzata internazionale se ne fregano.Vorremmo essere smentiti e intanto manteniamo tutto il nostro affetto e la nostra vicinanza al popolo che ci ha insegnato tante cose. Ma i compromessi storici tra diseguali si sa dove incominciano e s’è visto dove vanno a finire. Come Pasolini, io so. Io so cosa ne avrebbe detto Che Guevara. Anche se non ne posso esibire le prove.

2 commenti:

alex1 ha detto…

Veramente un bel post, fra l’altro proprio oggi e’ stato arrestato in Italia Markov ucraino russo, entrato con un regolare passaporto ma accusato dall’ambasciatore ucraino di essere fra I “fomentatori” dei “disordini di Odessa”conclusi con la strage dei paranazisti e con le esecuzioni che ne seguirono dei cittadini che si erano rifugiati nella casa dei sindacati ed erano fuggiti dalla mattanza. Ed I funzionari italiani sono scattati sull’attenti ed hanno eseguito l’ordine. La situazione poi si complica se si tiene conto che Markov e’ anche cittadino russo, cosa prevista nell’Ucraina pre Maidan e che lo stesso era parlamentare fino al golpe che ha “licenziato” ed in qualche caso “suicidato” gli esponenti non graditi. Vorrei sapere se adesso si faranno sentire I “democratically correct” che due anni fa strepitavano contro Alfano per il fermo e l’espulsione della moglie del famoso truffatore Kazako, accusando il ministro degli interni di essere “al servizio dell’ambasciatore Kazako. E se metteranno ancora una volta il silenziatori alle posibile rimostranze della Russia. Stiamo a vedere se il malcapitato “filorusso” verra’ consegnato irettamente ai boia di Kiev, o piu’ dirittoumanisticamente sara’ consegnato alla corte dell’Aja, dopve finira’ I suoi giorni in attesa di un processo, come per il comandante Mladic, arrestato quattro anni fa ed ancora in attesa di un processo che probabilmente non si concludera’ mai (chiaro bisogna aspettare fino a che le prove di colpevolezza verranno fuori, si cerca con il lanternino e con pazienza chissa’ non venga fuori qualcosa). A proposito di Mladic, e’ venuto fuori qualche giorno fa sul Corriere la ricostruzione delle organizzazione “contro il genocidio di Srebenica” che dopo l’occupazione serba I prigionieri uomini furono separate da vecchi donne e bambini (quindi le rappresaglie non sarebbero state indiscriminate e “genocide”) e che ci furono fucilazioni, ma che molti degli ottomila, cifra data fin dall’inizio dagli “alleati” , non si trovano nonostante si sia cercati in tutta la Bosnia. Un’ammissione che tale cifra era inventata? o che molti di loro sono all’estero?
14 agosto 2015 18:06

INTERVIEW DE FABRICE BEAUR SUR RADIO SPUTNIK.FR : « ENTRE PHILO-IMPERIALISME ET EURASISME: ULTIMATUM DE L’UE A CHISINAU »

# EODE PRESS OFFICE /  EODE Press Office/2015 08 12/

Avec Radio Sputnik France (Moscou)/

EODE PO - FB sur SPUTNIK.FR crise moldavie (2015 08 12) FR

La MOLDAVIE sujet de l’interview de Fabrice BEAUR, administrateur de la Zone Russia-Caucasus de l’Ong EODE (Eurasian Observatory for Democracy & Elections) par les journalistes Oxana Bobrovitch et Françoise Compoint (Sputnik France, Moscou) ce 12 août 2015 …

Podcast audio sur : http://fr.sputniknews.com/international/20150812/1017504560.html

 # LIRE L’ARTICLE DU WEBSITE SPUTNIK FRANCE :

« ENTRE PHILO-IMPERIALISME ET EURASISME: ULTIMATUM DE L’UE A CHISINAU »

Françoise Compoint :

La Moldavie n’a vraiment pas le choix, semble-t-il: soit elle engage des réformes satisfaisant les appétits du Parlement bruxellois, soit … il en cuira.

Enfin, en termes un peu plus mainstream, elle aura droit à une séance d’élecrothérapie pour le moins maïdanesque. Menace? Mise en garde dictée par un sentiment lointainement altruiste? C’est à M. Thorbjorn Jagland, secrétaire général du Conseil de l’Europe, qu’il conviendrait de poser la question. Quelle que soit la réponse, n’oublions pas qu’un précédent en format réduit avait déjà marqué les jours printaniers de 2009 lorsqu’une révolution du genre “Tweeter” a dégénéré en coup de force avec la prise d’assaut du Parlement: des opposants de tout poil ne voulaient plus de Voronin malgré la légitimité certaine de ce vieux manitou communiste qui a su démissionner avec beaucoup de dignité.

Au fond, s’il y a un dénominateur commun entre le départ de Voronin et la destitution ultra-violente de Ianoukovitch, c’est bien l’obstination des deux leaders à vouloir s’asseoir entre deux chaises. L’effort d’euro-intégration, tantôt affirmé, tantôt refoulé par l’ex-Président ukrainien correspond plus ou moins au souci d’équilibre du PC moldave entre une ouverture au libre-échange unioniste et la volonté de maintenir intact le secteur agricole local et le libre-échange avec la CEI. Non pas que que les deux soient foncièrement incompatibles sous certaines conditions mais les appréhensions de Moscou de se voir submergé d’OGM européens faussement étiquetés se comprennent bien! Qui plus est, on s’est vite aperçu que la signature du traité d’association avec l’UE a entraîné la destruction progressive de ce secteur agricole garant de la survie économique du pays, cela parce qu’il a été jugé non-compétitif.

La Moldavie vers un scénario ukrainien?

Ce n’est plus une question de théorie. Certaines révolutions se font en plusieurs temps, les révolutions oranges ne font pas exception. Il a fallu que le Département d’Etat US attende 10 longues années — entre 2004 et 2014 — pour voir aboutir son projet ukrainien. Le galop d’essai version 2009 en Moldavie a mis à nu l’extrême vulnérabilité d’un pays tiraillé entre un voisin membre de l’OTAN, la Roumanie, et un Etat aujourd’hui en voie de satellisation pro-occidentale, l’Ukraine et secoué par une guerre civile enlisante. Un développement du scénario de 09 n’est donc pas une possibilité à écarter surtout que, comme le disait si bien Von Clausewitz, si une déviation est possible elle en devient par là inévitable. Maintenant, en matière d’application purement pratique, on pourrait se demander si les propos de M. Jagland dépassent l’arsenal verbal en effet très étoffé des technocrates européens sachant que l’exemple donbassien a déjà refroidi bien des ardeurs.

Selon Fabrice Béaur, expert en relations internationales, spécialiste des médias et des réseaux sociaux, secrétaire général de l’EODE, la récente prise de position de Thorbjorn Jagland rime surtout à une menace: soit Chisinau engage les réformes qu’on lui enjoint d’engager avec toute la sauce unioniste qui va avec, soit elle apprendra de quel bois s’est chauffé Kiev fin 2013. Cet ultimatum — car ça en est clairement un — trahit néanmoins une piètre maîtrise du dossier sachant que la présence de casques bleues en Pridniestovje (Transnistrie) et l’identité ethno-culturelle d’une importante partie de la population — beacoup sont titulaires d’un passeport russe — sous-entend une éventuelle confrontation armée avec la Russie en cas d’agression. En voudrait-on au Parlement européen? Rien n’est moins sûr. La seule vraie solution qui vale d’ailleurs autant pour l’Ukraine, “c’est l’édification d’un pont entre deux Europe(s), c’est-à-dire entre l’UE et celle qui s’érige à Moscou autour de l’Union économique eurasienne”.

Malheureusement, le va-t-en-guerrisme incurable du Président ukrainien et les vues de la Roumanie sur Odessa — c’est sans compter les beaux yeux qu’elle fait à la Moldavie — pourrait réveiller le volcan transnistrien. On en a déjà eu des nouvelles en mars 2015 lorsque Porochenko avait tenté de séduire Bucarest en lui promettant de contribuer au dégel d’un conflit dont on se souvient encore à quel point il fut meurtrier en 1990-1991. Peut-on supposer que des négociations entre la partie moldave et Kiev aient déjà eu lieu à huis clos? L’analyse de M. Béaur est sans appel: si c’est le cas, “il ne s’agit pas de négociations mais d’une entente préparant un coup de force puisque rien ni personne ne pourrait conditionner les convictions [des Transnistriens]”. C’est ici en sa qualité d’observateur international que notre expert se prononce lui qui avait assisté au référendum de 2006 sur la volonté d’indépendance de la PMR, ce territoire qui a été baptisé de “Transnistrie” par le gouvernement fasciste roumain de l’entre-deux-guerres et qui ne voudrait pas revivre l’expérience de son occupation en 1941 pas plus qu’elle ne voudrait combler à ses dépens les lacunes d’une Moldavie amplement roumanisée, sans position ferme et que la Banque mondiale a classé pays le plus pauvre d’Europe!

Selon Fabrice Béaur, “Porochenko a une pièce sur son échiquier qu’il pense jouer contre Moscou” mais la manoeuvre en soi est irréaliste: à quoi bon ouvrir un deuxième front quand le premier est ingérable? Cela étant, il est clair que le cas pridniestrovien n’est pas prêt à être résolu. La volonté des peuples à disposer d’eux-mêmes reste une option à la carte répudiée au rang d’abus quand les intérêts géopolitiques de l’OTAN sont concernés, on l’a vu à la lumière des dossiers abkhazien, ossète, pridniestrovien et criméen. Mais justement, reste à savoir jusqu’où irait l’OTAN suite aux insuccès récurrents de la campagne donbassienne et jusqu’à quand est-ce que la Moldavie restera imbue de ses versatilités.

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LUC MICHEL: MAIDAN AU BURUNDI. LE CHAOS IMPORTE DE L’OCCIDENT

PANAFRICOM-TV/ 2015 08 09 / Avec AFRIQUE MEDIA TV/

 Intervention de Luc MICHEL,

Pour LE DEBAT PANAFRICAIN :

MAIDAN AU BURUNDI. LE CHAOS IMPORTE DE WASHINGTON, BRUXELLES ET PARIS …

 PANAF-TV - LM maidan au burundi (2015 08 11) FR (1)

Video sur le Website de PANAFRICOM-TV  https://vimeo.com/135820992

Une révolution de couleur made in USA, transformée en coup d’état avorté. Et aujourd’hui, tout ayant échoué, les élections générales ayant eu lieu et le président ciblé par Obama et Kerry réélu malgré tout, on réessaye le scénario de Kiev, les assassinats et les escadrons de la mort. But : plonger le pays dans une nouvelle guerre civile.

Citoyen du Burundi, Hutus et Tutsis, ouvrez les yeux !

 PANAF-TV - LM maidan au burundi (2015 08 11) FR (2)

Filmé à Bruxelles (images brutes) par EODE-TV,

Le 9 août 2015 pour l’émission ‘LE DEBAT PANAFRICAIN’

 # LUC MICHEL, « EMINENCE GRISE DES FRERES WILLY ET ALAIN NYAMITWE » AU BURUNDI ???

 Il évoque également l’impact de ses thèses dans le débat politique au Burundi et particulièrement les articles inspirés par la puissante « Confédération Juive du Burundi » (CONJUB), le taxant « d’Eminence Grise des frères Willy et Alain Nyamitwe ». Excusez du peu … respectivement conseiller du président burundais et ministre des affaires étrangères (mais révélateur de l’impact de Luc MICHEL au Burundi, où il a introduit le décryptage des révélations de couleur) …

 * Lire :

LUC MICHEL, L’EMINENCE GRISE DES FRERES WILLY ET ALAIN NYAMITWE, PRETEND QUE “NKURINZYA” EST CAPABLE DE DEFIER A LA FOIS LES FOUDRES COMBINÉES DE LA SUPER-PUISSANCE AMÉRICAINE ET L’EMPIRE SOROS,

Sur http://conjub.org/luc-michel-leminence-grise-de-willy-et-alain-nyamitwe-pretend-que-nkurinzya-est-capable-de-defier-a-la-fois-lempire-americain-et-lempire-soros/

(on notera la reproduction de l’affiche serbe de 2000 « Madleen Jungend », reprise du site de PCN-SPO, accusant OTPOR, les pros de la première révolution de couleur à Belgrade, pour ses liens avec les néofascistes serbes et la Secrétaire d’état US Madleen Albright)

 

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Ecco perché Bergoglio li vuole: i loschi affari delle coop vaticane con i profug

NON CHIAMATELA MAFIA CAPITALE, GUAI. SEI CONTRO QUESTI LOSCHI AFFARI? ALLORA SEI UN RAZZISTA. VIVA MAFIA CAPITALE E’ L’ORDINE
 
Falsi profughi, minorenni fasulli, ricorsi di avvocati compiacenti, esami di medici complici e soldi fagocitati dalle associazioni di PD e Vaticano
 
Di seguito un collage di inchieste raccolto in un articolo
 
Arrivano dal Bangladesh, dall’Egitto, dal Nord Africa. Non hanno con sé un documento di identità e tutto quello che dicono è di essere minorenni. Lo fanno apposta, ormai hanno imparato. Quando i vigili urbani o la polizia li fermano per strada, in retate antiabusivismo o per normali controlli, loro alzano le braccia e dicono “minore, minore”. Una parola magica che li sottrae all’espulsione. Così vengono portati nei pronto soccorso della città, visitati, e in 6 minuti netti il medico di turno stabilisce la loro età presunta.
 
Questo gli spalanca le porte dei centri di prima accoglienza dove rimangono per mesi, a volte anni, a spese di un’amministrazione che ha le mani legate di fronte a certificati medici che attestano la minore età dello straniero. Inizia così il business dei finti minorenni. Un business che è costato allo Stato, soltanto nei primi sei mesi del 2012, 55 milioni di euro.
 
SOLIDARIETA’ E BUSINESS – A Roma, da gennaio a giugno, sono stati 2.300 gli “stranieri non accompagnati”, identificati come minorenni, sbarcati nei centri di prima accoglienza della capitale e del Lazio. Di questi il 60% sono maggiorenni. A rivelarlo è un rapporto di Save the children che ha inviato nei centri una squadra per verificarne le condizioni e ha scoperto che, in realtà, si tratta di adulti. “Un aspetto particolarmente critico – si legge nel dossier realizzato da Viviana Velastro – è la presenza di immigrati di dubbia minore età, in alcuni casi palesemente adulti”.
Quando il team capeggiato dalla Velastro chiedeva spiegazioni sulla promiscuità tra adulti e minori, gli operatori “affermavano che erano tutti immigrati la cui minore età era stata certificata con verbali di pronto soccorso, pur ammettendo di avere essi stessi, nella maggior parte dei casi dei dubbi, spesso confermati dagli stranieri”, che affermavano di avere altre età.
 
LA PROSTATA INGROSSATA – Ahmed, un egiziano sedicenne una notte dello scorso aprile si sente male. Ha dolori all’inguine, non riesce a stare sdraiato, sulla sedia non trova pace. Dal centro in cui è ospitato lo portano in ospedale. Diagnosi: problemi alla prostata. Problemi che non si presentano mai prima dei 35/40 anni. Eppure lui per lo stato italiano è un “migrante minorenne”.
 
LA DIAGNOSI LAMPO DI MEDICI COMPLICI – Osman, bengalese, la sera del 31 ottobre del 2011 si presenta all’ambulatorio pediatrico del pronto soccorso del Policlinico Umberto I: “Viene per la determinazione dell’età presunta” c’è scritto nel verbale, stilato tra le 21.02 e le 21.08. In sei minuti il medico di guardia stabilisce che Osman ha “un’età presunta di circa 17 anni e mezzo”. A guardarlo di anni, raccontano gli operatori, ne dimostra almeno 40. Ma, senza indicazioni sulla procedura disposta per determinarne l’età, il verdetto è stato emesso, senza possibilità di appello.
 
IL MONOPOLIO DEI MINORI – Nel Lazio sono 19 le strutture utilizzate per accogliere minori stranieri non accompagnati. Nell’aprile 2011, per far fronte all’ondata di sbarchi a Lampedusa, la Regione Lazio ha messo a disposizione 6 strutture (2 a Roma, 3 a Frosinone e 1 a Latina) e il Comune di Roma ha attivato, per assegnazione diretta, altre 13 strutture, alcune gestite da cooperative sociali, mentre le otto che accolgono il maggior numero di persone sono guidate, tutte, dall’Arciconfraternita del Santissimo Sacramento e Trifone. Uno dei centri dell’Arciconfraternita, quello di Casal Lombroso, un residence per sfrattati, è finito nel mirino della procura lo scorso gennaio per aver omesso di versare l’Iva per una cifra superiore a otto milioni di euro.
 
I FALSI ADOLESCENTI  – Per ogni “minorenne”, compresi quelli che adolescenti non sono, il Ministero del lavoro e delle politiche sociali consegna alle strutture, ogni giorno, 70 euro. Questo significa che in un giorno si spendono, per gli oltre 2000 immigrati accolti, 161.000 euro. Che in un mese fa quasi 5 milioni. Il 60 per cento di questi soldi potrebbe essere risparmiato. Invece non accade. Perché anche quando si scopre che il presunto adolescente minorenne in realtà non è, quel certificato medico, che rappresenta l’unica attestazione di identità valida, impedisce a polizia e carabinieri di fare qualsiasi cosa. Allora: chi è guadagna in questo business? Cosa c’è veramente dietro l’affare?
 
ORA LA PROCURA HA APERTO UN’INCHIESTA – Sul business dei finti minorenni la procura di Roma ha aperto un’inchiesta. Sul tavolo del pubblico ministero Barbara Zuin è finita un’informativa dell’Ufficio Immigrazione della questura di Roma. Lì ci sono 400 identità sospette da analizzare. Tante sono state le pratiche per ottenere il permesso di soggiorno presentate, nel giro di pochi mesi, da sedicenti diciassettenni, prossimi al compimento della maggiore età, ospitati nei centri di prima accoglienza della città.
Quando arrivavano allo sportello dell’ufficio stranieri era evidente, a occhio nudo, che da qualche tempo avevano superato l’adolescenza. Tuttavia un certificato medico che era stato loro rilasciato al momento dell’ingresso nella capitale, garantiva per la loro minore età. Una diagnosi ospedaliera che non poteva in alcun modo essere impugnata dalle forze dell’ordine per ribaltare la verità.
 
Al momento il fascicolo della procura è per falsa dichiarazione alla polizia; nel mirino ci sono gli immigrati indagati per aver detto il falso. Gli inquirenti però stanno cercando di capire se a muovere le fila del business ci sia una vera e propria organizzazione.
Capire chi guadagna in questo giro d’affari gigantesco sarà interessante per comprendere cosa c’è davvero sotto. Anche perché a quanto pare, la maggior parte dei certificati che attestano la minore età degli immigrati sono redatti sempre dagli stessi medici. E ad accompagnare nella stessa struttura gli stranieri sono quasi sempre gli stessi vigili urbani. Le indagini sono appena cominciate e l’inchiesta potrebbe portare presto a nuove iscrizioni nel registro degli indagati.
 
Dalle truffe sull’età alle spese gonfiate
ecco gli affari delle coop – Settanta euro al giorno per ogni “migrante minore non accompagnato” finiscono nelle tasche delle 19 cooperative che gestiscono i centri di accoglienza a Roma e nel Lazio. Un business colossale, che si è gonfiato a dismisura con l’emergenza Nord Africa. E che oggi spreme almeno110 milioni di euro l’anno allo Stato, visto che nei primi sei mesi dell’anno sono stati 2.300 i minorenni, o presunti tali, accolti nella capitale. Ma di certo qualcuno nell’affaire dei finti minorenni sta speculando. 161mila euro al giorno consegnati ai centri e ai falsi ragazzini.
 
LA “PAGHETTA” – Ai falsi ragazzi, come abbiamo già denunciato, spetta anche il “pocket money”, ovvero 5€ al giorno.
Le cooperative che gestiscono i centri di prima accoglienza nel mirino della procura.
La gestione di tanto denaro pubblico – solo nei primi sei mesi dell’anno sono stati spesi a Roma, per i 2.300 immigrati “minori”, 55 milioni e 400mila euro – è finita al vaglio degli inquirenti.
 
Perché il business dei finti adolescenti ospitati nella capitale (ovvero il 60% dei 2.300) è molto più grande di quanto si possa immaginare. Intanto il pubblico ministero Barbara Zuin ha aperto un fascicolo per falsa testimonianza alla polizia: sul tavolo del magistrato è finito un faldone di 1000 pagine prodotto dagli investigatori dell’Ufficio Immigrazione. Lì dentro ci sono i nomi di 400 stranieri minorenni che hanno chiesto il permesso di soggiorno camuffando la loro identità. Ma a certificare la loro età è stato un medico di un pronto soccorso della capitale che, attraverso una visita di 6 minuti in pronto soccorso, ha stabilito quanti anni avevano.
 
Ci sono troppe anomalie nell’affaire finti minorenni, a cominciare dai centri che li ospitano. Impossibile che nessuno si sia accorto degli adulti spacciati per ragazzini. Forse perché la diaria di 70 euro che prima il Governo (in tempo di emergenza sbarchi) e poi il Comune di Roma dà per ogni adolescente è più ricca di quella data a un profugo adulto (per cui sono erogati 3040 euro al giorno)?
 
Da aspirante profugo a falso adolescente
ecco il trucco milionario” – Il business dei finti minorenni porta un timbro. Quello dell’Arciconfraternita del Santissimo Sacramento e Trifone. E della sua costola, Domus Caritatis che a Roma ha inspiegabilmente ottenuto la gestione del maggior numero di centri. Un timbro dunque stampato su tutto ciò che nella capitale (e non solo) riguarda l’assistenza a rifugiati politici stranieri, immigrati, senza casa italiani, mense per poveri e via assistendo, tra assegnazioni irregolari, appalti vinti con procedure poco chiare o annullati per motivi altrettanto oscuri. Ecco gli squali della solidarietà.
 
DA PROFUGO A MINORENNE – Anita Brundu ha lavorato al Cara (Centro accoglienza richiedenti asilo) di Anguillara per adulti, e poi al centro di accoglienza di via Fosso dell’Osa. Entrambi sono gestiti da Domus Caritatis. È lei a spiegarci come l’affaire dei finti minori si autoalimenta. “Qualche mese fa, il giorno dopo essere stata trasferita al centro di via Fosso dell’Osa, incontrai Amir, Ahmed, Khaled e Muhammad. “Non ci chiamiamo più così”, mi dissero. Avevano fatto richiesta per essere riconosciuti come rifugiati politici: una richiesta che viene accolta soltanto nel caso di Paesi in guerra come Somalia, Sudan e Darfur; e loro non venivano da nessuno dei tre. Avrebbero dovuto essere espulsi. Di notte invece erano stati trasferiti nel centro per minorenni e tali, dopo un certificato medico, erano diventati. E il loro caso non era certo l’unico, ma la prassi”.
 
I RIFUGIATI E GLI AVVOCATI COMPLICI
 
In questa storia di mezzo non ci sono soltanto i centri che continuano a incassare sugli adulti che si spacciano per minorenni e che percepiscono rette giornaliere che valgono il doppio. Al ricco piatto da milioni di euro attingono un po’ tutti. Anche gli avvocati. C’è uno studio legale in particolare, al servizio della Domus Caritatis, che si occupa dell’assistenza legale e anche del ricorso per il riconoscimento dello status di rifugiati nel caso in cui venga respinto. Un appello senza senso, a meno che il rifugiato in questione non provenga, appunto, da Paesi in guerra. Ma quel ricorso inutile, tanto inutile non è: costa 250 euro a persona. Naturalmente a spese dello Stato: l’immigrato, il profugo, il rifugiato, non ha i soldi neanche per vestirsi, figurarsi se li ha per pagare un avvocato. E così, si attiva il gratuito patrocinio. Se si calcola che tutti gli ospiti dei vari centri fanno domanda per ottenere lo statuto di rifugiato politico, parliamo di centinaia di migliaia di euro ogni mese. Che si aggiungono ai milioni stanziati prima dal Governo e poi dal Comune per il mantenimento degli ospiti nelle strutture.
 
BAMBINI CON I CAPELLI BIANCHI
In un altro centro, il Sant’Antonio, è Silvia F., un’operatrice, a raccontare il business dei finti minorenni. “Qui ospitiamo settanta persone: di queste solo dieci sono ragazzi. Gli altri tutti adulti, visibilmente adulti: alcuni sono stempiati, altri hanno capelli bianchi. Spesso sono delinquenti. Spesso così violenti che capita di dover difendere i minori, quelli veri: una volta, addirittura, ci siamo dovuti barricare in una stanza con loro”.
 
BUSINESS DELLA SOLIDARIETA’: CARITAS E SANT’EGIDIO
 
La Domus Caritatis a Roma ha in appalto 8 dei 13 centri aperti dal Comune per l’emergenza Nord Africa. Vicina ai Cardinali e a Comunione e Liberazione, l’Arciconfraternita è legata al ras della ristorazione, la società La Cascina – che riforniva le mense scolastiche e ospedaliere di mezza Italia, la buvette del Senato e gestisce anche i buoni pasto Break Time – che già nel 2003 finì al centro di un’inchiesta. Gli appalti per i centri la Domus Caritatis li riceve direttamente dal Governo. Perché?
 
Forse perché i loro referenti sono ai ministeri chiave che si occupano di immigrazione. Nel governo attuale e in quello precedente.
 
Tutte le nostre denunce sullo scandalo dei falsi profughi, e su quello dei falsi profughi che si spacciavano da minorenni, sono risultate vere. I signori della truffa, ovvero tutti coloro (Bergoglio compreso) che campano sul business disgustoso della solidarietà pelosa, devono essere sbattuti in galera.
 
Medici compiacenti che fanno riferimento a queste associazioni devono essere radiati. Gli avvocati di Sindacati e associazioni xenofile che presentano i “ricorsi” , devono essere radiati. I politici che hanno permesso questo scempio, devono essere processati.
 
Ci sono migliaia di finti profughi che ricevono 45€ al giorno di “paga”. E tra loro ci sono migliaia di minorenni à la carte che di euro, ne percepiscono il doppio. Intanto i nostri pensionati al minimo rufolano nella spazzatura.
E’ scandaloso.
 
Ed è scandaloso che ci siano, da parte di queste stesse associazioni e sindacati complici di questo scempio, richieste di “prolungare” i permessi umanitari di questi che sono, non solo clandestini, ma anche delinquenti e parassiti bugiardi. Da oggi è ovvio a tutti il perché Caritas, Sant’Egidio, Cgil e robaccia simile spingano per l’accoglienza: soldi, una barcata di soldi. Per loro.
Per noi il degrado.
 
Caritas e Sant’Egidio da chi dipendono? Dal boss che ha definito ‘atto di guerra’ respingere i clienti profughi.

M5s: Grillo “sconfessa” critici linea dura immigrazione

se sei contro MAFIA CAPITALE, sei un insensibile razzista. Peccato questi signori tutto solidarietà e niente business NON SI SIANO MAI PREOCCUPATI DI DARE UN REDDITO DI CITTADINANZA AI DISOCCUPATI E SFRATTATI ITALIANI
 
 
“Va ricordato – scrive leader M5S – al cittadino Buccarella che nel Movimento non esistono gerarchie, tipiche invece dei partiti”
 
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Duro post di Beppe Grillo contro il senatore M5s Maurizio Buccarella, promotore dell’abolizione del reato di immigrazione clandestina, che aveva criticato la linea dura del consigliere comunale torinese sull’immigrazione. “Va ricordato – scrive Grillo – al cittadino Buccarella che nel M5s non esistono gerarchie, tipiche invece dei partiti”.
 
“Il cittadino portavoce al Senato Buccarella, in un post su Facebook relativo all’intervento sull’immigrazione firmato dal cittadino portavoce al Consiglio Comunale di Torino Bertola, ha parlato di post scritto da chi ‘non conosce a fondo la materia’ aggiungendo che ‘la posizione del M5S in tema di immigrazione e politiche di accoglimento e respingimento di stranieri, è quella del post qui linkato'” precisa Beppe Grillo che ‘bacchetta’ quindi il parlamentare. “Va ricordato al cittadino Buccarella che nel Movimento 5 Stelle non esistono gerarchie, tipiche invece dei partiti. Non c’è differenza fra un portavoce consigliere comunale e un portavoce senatore. Nel Movimento 5 Stelle esistono posizioni e discussioni, come quella in corso sull’immigrazione”.
 
Bertola, in un post pubblicato sabato sul blog di Beppe Grillo aveva fatto 4 proposte sul tema: giro di vite sui permessi di soggiorno per protezione umanitaria; efficientamento dei rimpatri forzati; corsie speciali per i ricorsi contro i dinieghi di asilo e sorveglianza più stretta dei profughi.
Buccarella nel suo intervento ricorda invece che “l’analisi e le proposte finora elaborate dai portavoce parlamentari (a Roma e Bruxelles ed anche portavoce regionali) del M5S sono riassunte in un recente post pubblicato sul Blog. Sono il frutto – scrive – di più di due anni di lavoro e studio di molte persone in commissioni, tavoli di confronto, audizioni, mozioni, interrogazioni, ispezioni, emendamenti e disegni di legge; il tutto con il nostro approccio pragmatico, lontano da “sciacalli”, commenti disinformati “da bar”, “salvinate” e “boldrinate” di sorta”.
  

ORGANISATION DE COMITES DE SOUTIEN A AFRIQUE MEDIA !

A tous les Panafricanistes de Bruxelles et Paris, de Rome et de Berlin,

À tous les Africains de la Diaspora,

Il faut organiser des COMITES DE SOUTIEN A AFRIQUE MEDIA.

En Europe comme en Afrique !

Notre Télévision panafricaniste, qui est aussi la chaîne des Africains en Europe, et celle de tous les Européens qui refusent la domination impérialiste, doit être défendue !

 AMTV - Organiser des Comités (2015 08 10)  FR

Ces Comités doivent être organisés en liaison avec la Direction de la Télévision et sur un plan transnational. AFRIQUE MEDIA a besoin de vous.

J’appelle donc tous ceux qui en Belgique et en France, en Italie, en Allemagne veulent AGIR pour AFRIQUE MEDIA à nous contacter : Nous aiderons tous les Comités pour leur communication, pour la fourniture d’images à la Chaîne, pour les activités … Mais aussi avec notre Groupe de Presse Multimedia.

 Un Comité est déjà en préparation en Italie …

 Nous écrire pour un premier contact : jesuisafriquemedia@gmail.com

 Luc MICHEL

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