BURKINA FASSO : LA REVOLUTION TRAHIE ET RECUPEREE

Luc MICHEL pour EODE Zone Afrique/

Avec AFP – EODE Press Office/ 2014 11 19/

EODE ZA - LM burkina revolution trahie (2014 11 19) FR 1

« Ce n’est pas la gueule de bois mais il y a un peu de ça (…) Personne ne va se tromper, c’est lui qui va diriger le pays ».

– Un diplomate à l’AFP.

 « une confiscation du pouvoir qui ne dit pas son nom par le lieutenant-colonel qui semble faire un one man show »

– Hama Ouédraogo (un fonctionnaire de 28 ans).

 Dès les premières heures de la Révolution Burkinabé, j’avais exprimé sur les plateaux d’AFRIQUE MEDIA TV mes inquiétudes sur la récupération  du soulèvement par les hommes des Occidentaux, l ‘Armée en tête. J’affirmais que ce seraient les agendas de Washington et Paris – qui ne sont pas identiques – qui domineraient in fine. L’actualité confirme mes craintes.

 LE LIEUTENANT-COLONEL ZIDA PREMIER MINISTRE, LES CIVILS INQUIETS

 La transition civile, imposée par Washington sous peine de sanctions, à peine entamée au Burkina Faso, le lieutenant-colonel Isaac Zida, qui avait pris le pouvoir fin octobre à la chute de Blaise Compaoré, a été nommé mercredi Premier ministre, signe que l’armée va conserver toute son influence dans le jeu politique. Ce maintien de l’armée au coeur du pouvoir a suscité une relative inquiétude de la société civile et un mécontentement parmi la plupart des habitants de Ouagadougou, interrogés par l’AFP.

 Le président de la transition Michel Kafando, qui avait pris de lourdes responsabilités dans l’assassinat de Sankara, “décide que (…) M. Yacouba Isaac Zida est nommé Premier ministre”, selon un décret officiel lu à la presse. Michel Kafando, dans un entretien à Radio France internationale (RFI) avait laissé entendre qu’il était prêt à ce que l’officier, inconnu il y a encore trois semaines, “puisse jouer un rôle essentiel dans la stabilisation” du pays, insistant sur “la place” nécessaire de l’armée dans la transition, au vu du rôle qu’elle a joué ces dernières semaines.

Après la chute du président Blaise Compaoré, chassé par la rue le 31 octobre après 27 ans de règne, Isaac Zida, numéro 2 de la garde présidentielle, avait alors soufflé le pouvoir au chef d’état-major des armées, qui s’était pourtant officiellement déclaré. “Il a fait un vrai coup d’Etat”, remarquait un diplomate.

 Au terme d’intenses négociations impliquant l’armée, les partis politiques et la société civile, une charte de transition avait été adoptée en fin de semaine et un nouveau président intérimaire désigné, Michel Kafando, chargé d’organiser des élections générales d’ici novembre 2015.

 La désignation de Kafando, un diplomate expérimenté au profil de technocrate -soutenu par l’armée- avait été saluée par la majorité des Burkinabè. Celle du colonel Zida est en revanche diversement commentée. “Il n’y a pas de problème que Zida soit à la Primature” sachant que la constitution intérimaire “n’interdit pas que le Premier ministre soit un militaire ou un civil”, a commenté Ablassé Ouédrago, l’un des chefs de l’opposition.

 QUELLE SERA LA REACTION DELA RUE ?

 “Nous sommes inquiets, mais pas plus que ça”, a déclaré à l’AFP Me Guy Hervé Kam, porte-parole du BALAI CITOYEN, un mouvement dont les capacités de mobilisation de la jeunesse ont compté dans la chute de Compaoré. Sams’K le Jah, chanteur et co-fondateur du BALAI CITOYEN, dit attendre ses actes pour juger Zida, et relève que, au pouvoir, des civils sont parfois “pires que des militaires”. “Il va falloir voir dans quelle mesure cette nomination est de nature à changer l’orientation de la transition”, a commenté Siaka Coulibaly, politologue et membre de la société civile.

 Mais pour Moussa Yabré, hôtelier de 29 ans à l’air triste, “la révolution vient d’échouer”. L’armée “veut nous voler notre lutte”, peste Assane Ilboudo, étudiant de 25 ans. Même écho chez Hama Ouédraogo, un fonctionnaire de 28 ans, qui dénonce “une confiscation du pouvoir qui ne dit pas son nom” par le lieutenant-colonel qui semble faire un “one man show”.

 La jeunesse, qui a porté la contestation et semble particulièrement hostile à un pouvoir militaire qui serait “une trahison de la révolution”, pourrait cependant réagir avec virulence, avec une possible reprise de la contestation dans la rue. “Il ne reste plus que Kafando nomme un élément de la garde présidentielle comme Premier ministre pour couronner cette mascarade”, lançait l’un d’eux Philippe Edouard Kaboré, 26 ans, applaudi par un groupe d’étudiants, poing dressé…

 ZIDA, UN « MILITAIRE DE L’OMBRE INSTALLE AU COEUR DU POUVOIR »

(DIXIT L’AFP) QUI A PRIS LA MAIN

 EODE ZA - LM burkina revolution trahie (2014 11 19) FR 2

Suspension des conseils municipaux et régionaux, limogeage de deux responsables d’entreprises publiques pour “sabotage”: le lieutenant-colonel, avant même sa nomination par décret mercredi, a montré ces dernières heures qu’il entendait continuer de tenir les rênes. Car dans les faits, le nouveau Premier ministre avait déjà pris la main dans des domaines publics importants. Les patrons de la Société nationale burkinabè des hydrocarbures (Sonabhy) et d’électricité (Sonabel), proches du clan Compaoré, ont en effet été limogés “pour sabotage”. Ces mesures s’ajoutent à la suspension des conseils municipaux et régionaux, dans lesquels les pro-Compaoré étaient fortement majoritaires.

 L’AFP dresse le portrait de Zida : « Solide gaillard à la fine moustache et aux lunettes sans monture, cet officier protestant de 49 ans était inconnu des Burkinabè avant la crise qui a emporté le président Compaoré le 31 octobre, forcé à fuir sous la pression populaire. Depuis lors, le numéro deux de la garde présidentielle a su se rendre incontournable. Durant près de trois semaines, ce natif de Yako (centre) formé au Centre d’entraînement commando de Pô (sud), un lieu stratégique du pouvoir, a exercé sans complexe les fonctions de chef de l’Etat et donné le rythme de la transition. Toujours en uniforme, béret rouge vissé au crâne, c’est lui que viennent alors voir des chefs d’Etat de la région pour tenter d’obtenir le retrait de l’armée. C’est aussi lui qui reçoit les nombreux acteurs de la scène burkinabè, pilotant les tractations sur la transition et négociant chèrement la place des militaires dans la future architecture institutionnelle. »

 L’action du colonel ne peut qu’inquiéter : « Il affiche toutefois une certaine prudence: il établit ses quartiers au Conseil économique et social, et non dans le palais présidentiel déserté.

 Mais le colonel Zida est surtout l’homme des occidentaux, aussi bien de Paris que de Washington : « Dans les heures qui avaient suivi la chute de Compaoré, les hauts gradés de l’armée avaient préféré Zida au chef d’état-major des armées, le général Nabéré Honoré Traoré, qui s’était déclaré mais que beaucoup considéraient comme trop proche de l’ancien président.

Le lieutenant-colonel est, lui, connu pour être un proche du général Gilbert Diendéré, le chef d’état-major particulier de l’ex-chef de l’Etat. Officier discipliné, Zida a intégré la garde présidentielle en 1996 et est respecté de la troupe. Quand éclate en 2011 une mutinerie qui, déjà, faillit faire tomber le régime, il est l’un des rares au sein du RSP à être épargné par les mutins, quand les autres gradés subissent la furie des soldats. Titulaire d’un master en management international de l’université Jean Moulin de Lyon (France), il a exercé entre 2008 et 2009 comme Casque bleu au sein de la Mission onusienne en République démocratique du Congo ». Durant la crise ivoirienne (2002-2011), il fut un officier de liaison dans le cadre de la médiation menée par le président Compaoré.

 Et plus grave encore, il a suivi en 2012 une formation antiterroriste en Floride (Etats-Unis), c’est-à-dire sous le contrôle des grandes agences US, dont la CIA.

 L’UA AFRICAINE BAFOUEE !

 « Mais, s’il donne rapidement des gages de bonne volonté quant à un passage de flambeau aux civils, il se pose aussi en défenseur de la souveraineté nationale », dit avec satisfaction l’AFP.

« Il défie ainsi l’Union africaine (UA), balayant d’un revers de main ultimatum et menaces de sanctions ».

 Le délai de deux semaines fixé par l’UA pour un retour à un pouvoir civil, “ce n’est pas véritablement une préoccupation pour nous”, lance-t-il. “L’UA peut dire +dans trois jours+, ça n’engage que l’Union africaine”.

 Où est la volonté du peuple ivoirien qui a chassé Compaoré dans tout cela ???

 Luc MICHEL

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“La Russia e la Cina sono preoccupate dalla volonta’ degli Stati Uniti di ampliare la loro influenza nella zona dell’Asia e del Pacifico”.

irib

PECHINO (IRIB)

Lo ha detto martedi’ dopo l’incontro con il suo pari cinese il ministro della difesa russo Sergei Shoigu. La dichiarazione e’ giunta dopo che le autorita’ americane hanno indicato la zona del Pacifico come una delle priorita’ della loro politica estera. “Le cooperazioni militari tra Russia e Cina aumenteranno nell’ambito del sistema di sicurezza regionale”, ha proseguito Shoigu.
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“Se eri in Congo ti uccidevo”: giovane massacrato di botte da recidivo

non è avvenuto, è solo una percezione distorta della realtà..è solo uno scambio culturale.
E come possono intervenire i passanti? Se gli aggressori non sono italiani si finisce sul giornale come aggressori razzisti e messi all’indice

 Jesi (Ancona) – Un parcheggio forse troppo vicino al furgone e scattano calci, pugni e insulti: 31enne jesino aggredito venerdì sera, alle 22,45 davanti alla chiesa di San Francesco accanto al circolo omonimo, noto a tutti come il «club». Una tranquilla serata finisce al pronto soccorso per S.A. che racconta quei minuti da incubo, appena uscito, dolorante, dall’ospedale a ritirare i referti.

«Ho parcheggiato accanto alla chiesa, a circa mezzo metro dal furgone. Nello scendere ho controllato che lo sportello non fosse troppo vicino al furgone a bordo del quale stavano salendo due stranieri e poi mi sono avviato verso il bar. Uno dei due mi ha detto: Che cosa hai da guardare?’ Ma io ho fatto finto di nulla, avendo capito che quella persona cercava lo scontro. Ma mi ha raggiunto, strattonato e tirato un pugno in faccia, poi un calcio alle gambe che mi ha fatto cadere a terra. Mi sono trovato in mezzo alla strada, mezzo nudo, con la maglia strappata e con le auto che mi passavano accanto senza fermarsi. Qualcuno ha tentato di intervenire ma lui insultava e minacciava tutti. Ha seminato il panico. Ad un certo punto mi ha detto: Se eri in Congo eri morto’».

Ma il giovane jesino arrivato sul posto assieme a due amici (una ragazza ha dato subito l’allarme col cellulare) non ha reagito, il perché lo spiega lui stesso: «Quel giovane, anche fisicamente ben messo, era mosso da una furia incredibile, avrebbe potuto davvero ammazzarci. Non ho reagito in alcun modo. Lui per provocarmi diceva anche di conoscermi ma io non l’avevo mai visto. Poi mi hanno detto che ha già aggredito senza motivo altre persone».

Si tratta di A.K. 25enne congolese da tempo residente in città. Avrebbe diverse denunce per reati analoghi. E venerdì sera la sua furia si è concentrata anche contro alcuni avventori del bar, fino all’arrivo degli agenti del locale commissariato e dell’ambulanza. A luglio al campo da basket in via Jugoslavia, in pieno giorno, il 25enne aveva aggredito un ragazzo che stava giocando. «Mi chiedo perché racconta il ragazzo picchiato (sei i giorni di prognosi) come si possa consentire ad una persona così di continuare liberamente ad aggredire chiunque abbia la sfortuna di incontrarlo». Circa un mese fa ad essere stato massacrato di botte un 22enne di Filottrano, solo per aver difeso il suo amico più piccolo dal furto del cellulare davanti alla discoteca Miami di Monsano. Pestato a sangue da una banda di rom (tre sono stati presi), Francesco si sta riprendendo egregiamente dal brutto incubo vissuto.

http://www.ilrestodelcarlino.it/ancona/picchiato-parcheggio-jesi-1.407336

In certi casi la reazione è obbligata.

Molesta studentesse su bus: “Da noi si usa”

donne razziste…sono complimenti…non molestie (sono tali se commesse dal fidanzato/marito, secondo il dizionario del regime del pensiero unico

Immigrato molesta studentesse sul bus: corsa fermata, lite con gli agenti

La Volante è intervenuta in Via D’Andreotto – ieri sera, 10 novembre – dove il conducente di un autobus di linea aveva segnalato un passeggero molto molesto che aveva preso di mira, con apprezzamenti pesanti, alcune studentesse. Le giovani spaventate si sono rifugiate vicine al conducente che per non far correre rischi ai passeggeri ha deciso di interrompere la corsa e chiamare il 113.

Gli agenti hanno fermato uno straniero completamente ubriaco che appena gli è stato chiesto di mostrare un documento di identità, ha cominciato ad inveire contro le forze dell’ordine, spintonandone uno e solo a fatica è stato immobilizzato e fatto scendere dall’autobus. Il molestatore è A.K., 31enne ivoriano, che è stat denunciato per interruzione di pubblico servizio e resistenza a pubblico ufficiale.

Potrebbe interessarti: http://www.perugiatoday.it/cronaca/via-andreotto-passeggeri-molestati-ubriaco-bus.html

Immigrati frustano italiano e lo costringono a baciarli i piedi

ma è solo condivisione culturale, non sequestro, razzisti

MACERATA – Avevano sequestrato, picchiato e frustato col guinzaglio del cane un maceratese di 47 anni. Sotto la minaccia di una stecca da biliardo lo avevano anche costretto a denudarsi, poi, come ultimo gesto umiliante, lo avevano obbligato a baciare la suola di una scarpa del capo del branco. La banda di egiziani è stata rinviata a giudizio mentre il capo, Ahmed Adly Abdelaziz Abdel Moteleb, di 32 anni è stato condannato (in abbreviato) a otto anni di reclusione. Due connazionali di 21 e 24 anni – Selim Abdelfattah Mabrouk Gomaa Arafat e Ahmed El Gharib – sono stati rinviati a giudizio, così come la maceratese Maura Fermani, di 55 anni, che però non aveva partecipato al pestaggio restando in un’altra stanza dell’appartamento.Le accuse, a vario titolo, sono pesantissime: estorsione, sequestro di persona, rapina e lesioni aggravate dalla crudeltà e dalle sevizie. I fatti risalgono al 6 settembre del 2013. Questa mattina il Gup Enrico Zampetti ha rinviato a giudizio anche un quarto egiziano Ashraf Emad Ali Ali, di 25 anni, accusato, insieme agli altri connazionali, di estorsione e spaccio. Da luglio del 2012 a novembre del 2013 avrebbero minacciato una straniera di consegnare loro 500 euro altrimenti le avrebbero deturpato il viso. L’avvocato Simone Matraxia, che difende Moteleb, ha annunciato il ricorso in Appello. Gli altri imputati sono difesi dagli avvocati Sante Monti, Giancarlo Giulianelli, Cristina Rieti ed Emanuela Branchesi.

http://www.corriereadriatico.it/MACERATA/pestaggio_guinzaglio_botte_sentenza_otto_anni/notizie/1018688

‘Il tablet è mio!’: ma i messaggi sono scritti in pugliese e lui è straniero

bisogna lasciarsi derubare e non denunciare sennò si è razzisti

Gli agenti hanno fermato e denunciato un 34enne in via San Vitale. Addosso, una tronchese, un cutter, cocaina e un tablet

Redazione 17 Novembre 2014

Alle 2.40 di questa notte gli agenti in servizio ordinario nella zona universitaria hanno notato due uomini confabulare dietro una colonna del portico all’incrocio tra via Petroni e via San Vitale. Uno dei due recava sotto il braccio un sacchetto che conteneva una tronchese di 35 cm, rinvenuta all’atto del controllo.

L’uomo, un tunisino di 34 anni, portava in spalla anche uno zaino: all’interno gli agenti hanno trovato un cutter, un tablet e un involucro contenente cocaina per 0,21 grammi. L’uomo ha riferito di essere il proprietario del tablet: era invece con molta probabilità provento di furto poichè vi erano scritti messaggi in dialetto pugliese. E’ stato denunciato per porto abusivo di armi, ricettazione e detenzione di droga ai fini di spaccio, a causa dei suoi precedenti specifici. Infatti il 34enne era destinatario di divieto di dimora a Bologna, a seguito di un arresto per spaccio, è stato così denunciato anche per inottemperanza.
http://www.bolognatoday.it/cronaca/via-petroni-san-vitale-denuncia-spaccio-ricettazione.html

Preso l’assassino di Andrea: un salvadoregno

non è accaduto, la criminalità da parte di non indigeni è solo frutto di fantasia
Preso l’assassino di Andrea: un salvadoregno
I carabinieri hanno arrestato il presunto assassino di Andrea Pobbiati, l’uomo trovato ucciso in un camper nella periferia milanese: è il 20enne salvadoregno Bryan Ernesto Soto Valladares, bloccato mentre si recava presso un centro televisivo dove, come la vittima, lavorava come comparsa. Pobbiati, un 23enne incensurato, viveva da alcuni mesi all’interno del camper che gli era stato dato in affitto da un 50enne.

Si chiamava Andrea, ed è morto in un camper
Valladares deve rispondere di omicidio volontario (aggravato dall’abuso di alcol) e rapina poiché dopo l’omicidio ha portato via il cellulare ad Andrea Pobbiati, che in un primo momento era stato accusato a sua volta dal sudamericano di avergli rubato il telefonino. A incastrarlo è stato proprio il cellulare, che gli investigatori gli hanno trovato addosso quando lo hanno bloccato all’ingresso degli studi Rai dove era atteso per partecipare, come comparsa tra il pubblico, alla registrazione di una puntata del programma “Detto fatto”.

Ai pm il salvadoregno ha detto di aver accoltellato Pobbiati (ucciso con oltre 20 fendenti) per legittima difesa: secondo il suo racconto, il 23enne lo avrebbe aggredito con il coltello dopo essere stato accusato di furto. L’omicidio è avvenuto tra le 12.30 e le 13 di domenica.

Venerdì i due si erano incontrati al mattino per comprare alcolici, hanno passato la giornata assieme nel camper, si sono ubriacati e il sudamericano ha dato a Pobbiati il cellulare per scaricare alcune canzoni. Attorno alle 20 se ne è andato e ha raggiunto con difficoltà (a causa dello stato di alterazione) la casa dello zio a Gorgonzola.

Il giorno dopo ha smaltito la sbornia e domenica si è accorto di non aver con sé il cellulare e i 160 euro appena incassati per il lavoro mensile da comparsa in tv. E’ quindi andato da Pobbiati – che gli avrebbe offerto della sambuca alle 10.30 – ed scoppiata la lite culminata con l’omicidio.

Valladares è quindi tornato a casa e ha gettato gli abiti nell’Adda. Ma ha tenuto le scarpe sporche di sangue. Martedì si è presentato agli studi Rai come da calendario ed è stato arrestato. A incastrarlo è stato un sms inviato venerdì da Pobbiati alla fidanzata (una sudamericana di 20 anni) in cui diceva di essere con Bryan. La ragazza ha raccontato che era un amico conosciuto al lavoro e così è emerso che il salvadoregno era l’unico del giro con quel nome.

http://www.tgcom24.mediaset.it/cronaca/lombardia/milano-23enne-ucciso-in-un-camper-arrestato-il-presunto-omicida_2080102201402a.shtml

COSA LORO: TUNISINI OCCUPANO CASA POPOLARE DI IRACHENI

come mai su questi episodi silenzio stampa? Sono solo “invenzioni” e “Percezioni”?

NOVEMBRE 19, 2014 REDAZIONE
FIRENZE – Si chiama Hassan ed è un immigrato iracheno che vive con la famiglia alle Piagge, dove il Comune di Firenze gli ha assegnato, ai tempi di Renzi, a discapito di una famiglia italiana una casa popolare. E questa è una cosa normale, soprattutto dove governa il PD.

Ma ora c’è una nuova moda. Poche settimane fa, l’immigrato si è trasferito per qualche giorno in Belgio, e durante la sua assenza la casa popolare è stata occupata da una famiglia tunisina in attesa di una figlia e con un’altra figlia. Immigrato contro immigrato, sulla pelle degli italiani.

A sollevare il caso, questa mattina in conferenza stampa, la sezione fiorentina del Sunia, il sindacato degli inquilini. Il responsabile Simone Porzio ha tentato di convincere la donna a liberare l’immobile, ma per adesso la signora non sembra intenzionata ad andarsene. E così, Hassan è costretto a restare in Belgio visto che ha perso il suo appartamento a Firenze. Lo stesso Hassan, nei giorni scorsi, era rientrato da Bruxelles per sporgere denuncia dell’occupazione della sua casa, una querela che però non è sufficiente a far agire le forze dell’ordine, che necessitano del via libera da parte del magistrato. Un via libera che potrebbe anche tardare ad arrivare visto che la donna occupante è incinta di sette mesi, e che le leggi nate per proteggere le persone deboli, sono sfruttate a dovere dagli immigrati.

Una situazione paradossale, che crea molta preoccupazione tra gli altri abitanti del quartiere, che temono adesso di subire la stessa situazione di Hassan. “Abbiamo paura persino ad uscire per fare la spesa” dicono in tanti.

L’assessore alla casa del Comune, tal Sara Funaro, invece di denunciare i tunisini, ha offerto agli occupanti accoglienza in una delle strutture comunali. Ma dal Sunia tuonano contro tutte le istituzioni, in particolare verso “l’inefficienza della magistratura”. Il Sunia si rivolge pertanto al Procuratore Capo della Repubblica, al Prefetto, al Questore e al sindaco di Firenze per “la risoluzione immediata della vicenda”. Se la situazione non verrà risolta in tempi brevi, annuncia Simone Porzio, “procederemo con un esposto per omissione di atti d’ufficio”.

Vada come vada, tra iracheni e tunisini, a prenderlo in quel posto saranno sempre le famiglie di italiani che la casa se la sognano. O c’è Hassan, o c’è Mohammed.
http://voxnews.info/2014/11/19/cosa-loro-tunisini-occupano-casa-popolare-di-iracheni/

SOFFERENZE bancarie: sempre in aumento. Ma non si andava meglio?

sarà colpa della Bundesbank e dei crucchi come dicono i cartelli alla manifestazione Fiom
Povere banche italiane, che struggimento…..
Scritto il 19 novembre 2014 alle 15:14 da Danilo DT
bank
Questo è un dato che fotografa sempre in modo ideale lo stato di salute di un’economia. Si, economia intesa in senso REALE e non di finanza. Quella economia a cui un giorno si dovrà tornare,verso cui la finanza dovrà quantomeno convergere. Impensabile che tutto possa essere gonfiato ancora per lungo tempo. Prima o poi i nodi verranno al pettine.Ma c’è ancora tempo, mi sa.
 
Intanto, dicevamo, tuffiamoci nuovamente nella triste realtà e parliamo del lato oscuro dei bilanci delle banche italiane. Nella fattispecie di sofferenze bancarie.
Anche se la cosa forse non ha fatto troppo notizia, sappiate che il rapporto mensile ABI segnala sofferenze lorde nuovamente lievitate a 177 miliardi di Euro, in aumento dal mese precedente e a +22% su base annua.
Per farla molto breve, il rapporto tra sofferenze lorde ed impieghi è praticamente raddoppiato.
 
Negli ultimi anni le sofferenze sono più che raddoppiate, sia in termini di numero di affidati che di ammontari. In dettaglio, il numero di affidati in sofferenza è passato da 593.820 nel 2008 ad oltre un milione e duecento mila a giugno 2014, mentre in termini di ammontari le sofferenze sono passate da 41 miliardi a quasi 162,5 miliardi. Se si considera la classe di grandezza fino a 125 mila euro si può riscontrare che a giugno 2014 tale classe ha visto il raggiungimento di oltre un milione di affidati, più 465 mila rispetto a fine 2008. (Source)
 
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E nello stesso tempo le banche che fanno (ovviamente)? Chiudono i rubinetti. Alla faccia diTLTRO e compagnia bella.
 
(…) il totale del prestiti ai residenti (compresa la P.a.) è sceso dell’1,9% rispetto al -2,2% di settembre e in “costante recupero rispetto al picco negativo del -4,5% di novembre 2013″. I finanziamenti a famiglie e imprese sono calati dello 0,8%, lo stesso risultato del mese precedente. A pesare, secondo l’Abi, è l’andamento in calo degli investimenti e la debolezza del ciclo economico. (cit)
 
Si presta di meno, le banche emettono meno bonds, ed in linea di massima, se finanziano qualcuno, lo fanno solo se sono ben certe di non rimetterci e quindi si lavora solo con clienti molto solidi che ovviamente, alla fine fanno loro il prezzo del finanziamento. Mi fa quindi sorridere il ragionamento dell’Abi, che ovviamente è di parte.
 
La situazione però ha qualche riflesso positivo, almeno per i consumatori: le misure di stimolo all’ecoomia della Bce, infatti, fanno scendere i tassi sui nuovi mutui ai livelli di 4 anni fa. Il tasso medio si è ridotto al 2,92% (2,99% il mese precedente). Il tasso medio sulle nuove operazioni di finanziamento alle imprese si è ridotto al 2,82% (il valore più basso da febbraio 2011). (cit)
 
Tutto questo sta a significare che la situazione è ancora in totale difficoltà, totale perché gli unici benefici che stiamo vedendo oggi sono legati NON ad un miglioramento congiunturale ma semplicemente ad un tasso di cambio (EURUSD) che ci permette di esportare di più. Vabbè, da qualche parte occorrerà pur cominciare….
 
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STAY TUNED!
 
 

GLI ATTACCHI A PUTIN DA PARTE DEI LECCAPIEDI DI OBAMA? PERCHE’ PUTIN, PRIMA DI PARTIRE PER L’AUSTRALIA E’ STATO MOLTO CHIARO: “NON HO PAURA DELLA NATO”. GUARDA QUI

toh ma guarda un altro movente contro i “crucchi”, sono troppo vicini alla Russia di Putin….(ma in fondo è perché i tedeschi son cattivi…si sa si sa).
I MEDIA ITALIOTI STANNO DANDO MOLTO RISALTO AGLI ATTACCHI DEL PREMIER CANADESE (NOTORIAMENTE TOTALMENTE ASSERVITO AL NOBEL OBAMA) NEI CONFRONTI DI VLADIMIR PUTIN.
 
DIAMO UNA CHIAVE DI LETTURA A QUESTO ATTACCO “MEDIATICO”: LEGGETE L’INTERVISTA CHE IL PRESIDENTE RUSSO HA CONCESSO IN VISTA DEL G20 AUSTRALIANO, ED ASCOLTATE QUESTA INTERVISTA RILASCIATA IN TV POCHI GIORNI FA.
 
POI, COME SEMPRE, CERCATE DI FERVI UN’OPINIONE INDIPENDENTE DALLA PROPAGANDA DI REGIME.
 
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Putin prima di partire per l’Australia: “non chiederò niente a nessuno”
 
Sabato prossimo a Brisbane, in Australia, inizia il vertice del G20. Alla vigilia della sua partenza per l’Australia Vladimir Putin ha rilasciato all’agenzia d’informazione TASS un’ampia intervista di cui ora vi proponiamo alcuni brani.
 
 
– Lei sta per andare a questo nuovo vertice del G20. Che importanza continua ad avere questo “format” e che logica c’è nel fatto che pur volendo cooperare e sviluppare l’economia globale, i paesi del G20 impongoano sanzioni ad uno dei membri del “gruppo dei 20”?
 
– Credo che il format sia attuale. Perché? Perché è il posto, la sede dove possiamo incontrarci, discutere sia le relazioni bilaterali sui problemi globali e raggiungere almeno una comprensione comune dell’essenza del problema e di come deve essere risolto, indicare la via per il lavoro congiunto. È la cosa più importante, perché sperare che tutto ciò che viene detto in questa sede sarà poi tradotto in fatti concreti non è assolutmente realistico, dato che le decisioni, per loro natura, non sono vincolanti. Infatti, in parte non vengono implementate. Non vengono implementate dove e quando ciò non corrisponde agli interessi di qualcuno, trattandosi innanzitutto degli interessi di giocatori globali. Ad esempio, in uno degli incontri del G20 è stata raggiunta la decisione sul rafforzamento del ruolo dei paesi in via di sviluppo nell’attività dell’FMI, sulla revisione delle quote di capitale. Il Congresso USA ha bloccato questa decisione. Le parti negoziali, i nostri partner dicono: saremmo felici visto che abbiamo firmato e abbiamo votato per questa decisione, ma è il Congresso che non approva. Ecco il valore di tutte le decisioni.
 
Ciò nonostante il fatto stesso che la decisione in tal senso sia stata formulata, che tutti i soggetti della vita internazionale nell’ambito del G20 abbiano ritenuto che sia corretta, giusta e corrisponda alle realtà di oggi, già questo fatto orienta in un determinato modo l’opinione pubblica internazionale e il cervello degli esperti, e non può essere ignorato. Già il fatto che il Congresso USA si sia rifiutato di approvare la relativa legge dimostra che proprio gli USA non s’inquadrano nel contesto generale dei problemi che stanno di fronte alla comunità mondiale. Solo che nessuno lo vuole ricordare. Speculando sul loro ruolo dominante nei mass media internazionali, mettono a tacere questa informazione, quindi essa è come se non esistesse.
 
Tutto ciò però non significa affatto che sia un format inutile, ho già detto perché. Una sua utilità ce l’ha.
 
– Conviene forse dare a queste decisioni una forza vincolante?
 
– Ciò non è possibile. Vi dico che nella prassi internazionale esempi del genere non esistono. Tranne le decisioni del Consiglio di Sicurezza che riguardano la sicurezza internazionale.
 
Ora per quel che riguarda il fatto che alcuni paesi del G20 stanno introducendo sanzioni contro la Russia. Ciò è certamente in contrasto sia con il principio che è alla base dell’attività del G20, sia con il diritto internazionale, perché le sanzioni si possono applicare soltanto nell’ambito dell’ONU e del suo Consiglio di Sicurezza. Anzi, ciò va anche contro i principi del WTO e del cosiddetto GATT – Accordo Generale slle Tariffe ed il Commercio. Nel passato gli USA hanno creato questa organizzazione, ma ora ne stanno violando grossolanamente i principi. È un fatto dannoso che arreca sì un certo danno anche a noi, ma è dannoso anche per loro perché compromette in sostanza tutto il sistema della relazioni economiche internazionali. Spero davvero, tale è il mio ragionamento, che alla fine prevalga la comprensione reciproca e questo fatto rimanga nel passato.
 
– Intende sollevare questo problema al prossimo vertice o ne parlerà alla prima occasione?
 
– Se si comincia a parlarne, certamente mi pronuncerò in merito, ma da solo non intendo sollevare questa problematica – mi sembra inutile. Tutti sono consapevoli di quello che fanno, intendo coloro che stanno introducendo queste sanzioni. Perché dovrei prestarci attenzione, chiedere qualcosa? È inutile. Da loro queste decisioni vengono prese a livello del blocco, a livello nazionale e in funzione di come i nostri partner capiscono i loro interessi geopolitici. Credo che sia un errore persino dal punto di vista dei loro interessi geopoltici.
 
Tutti devono capire che questa economia mondiale e le finanze oggi si trovano in condizioni di straordinaria interdipendenza. Nel nostro caso, per esepio, i partner hanno limitato l’accesso delle nostre istituzioni finanziarie ai mercati internazionali dei capitali. Con i prestiti che noi prendiamo nei mercati finanziari internazionali, le nostre isituzioni finanziarie finanziano le nostre società che comprano prodotti finiti nelle stesse economie evolute, sostenendo così i tassi di occupazione, la sfera sociale e la crescita economica. Se non lo faremo, ci saranno dei problemi. Sono cose di fondo che in apparenza non sono molto visibili.
 
Pertanto tutti i problemi che sorgono, le difficoltà (e sono tante), li dobbiamo affrontare tutti insieme. Se invece seguiremo una strada diversa… In questo momendo, per esempio, gli USA stanno parlando di due associazioni economiche: una Transatlantica, e l’altra Transpacifica. Se saranno due schieramenti chiusi al loro interno, alla lunga ciò porterà non alla soluzione dei problemi, ma ad ulteriori squilibri nell’economia mondiale. Naturalmente noi siamo contro questi squilibri e a favore del lavoro congiunto. Ma sono questioni che possiamo risolvere soltanto insieme.
 
Ancora 20, 30 o 50 anni fa la situazione era diversa. Perché sono tanto certo che soltanto insieme possiamo trovare una soluzione efficiente? Dal punto di vista della parità dei poteri d’acquisto, il PIL aggregato dei paesi BRICS già adesso supera qello dei G7: se non vado errato, quello dei BRICS ammonta a 37,4 trilioni di dollari, mentre quello dei G7 è pari a 34,5 trilioni. In queste condizioni, dire che noi faremo questo e quello in maniera separata e voi fate come vi pare, non porterebbe a nulla tranne che a nuovi squilibri. Se vogliamo risolvere i problemi, dobbiamo affrontarli insieme.
 
– Lei ha parlato degli squilibri dell’economia internaizonale. Ne parla anche l’FMI mettendo in guardia contro le nuove “bolle si sapone”. Ma l’economia della Russia è pronta a contrastare una nuova ondata dalle crisi?
 
– Sì, è pronta. Stiamo considerando tutti gli scenari, compreso quello del crollo catastrofico dei prezzi delle materie energetiche – è una cosa possibile e noi ce ne rendiamo conto. Sia i ministeri dell’Ecomomia e delle Finanze, sia il Governo fanno le loro proiezioni economiche in base a ciascuno di questi scenari.
 
Trattiamo con molta cura le nostre riserve: sia quelle auree, sia le riserve del Governo. Sono abbastanza grandi e ciò ci consente di avere la certezza che rispetteremo con puntualità tutti i nostri impegni sociali e riusciremo a contenere entro determinati limiti il bilancio e l’economia nel suo insieme.
 
– Una delle proposte avanzate nell’ambito della presidenza australiana riguarda la costituzione di un apposito centro per investire nello sviluppo delle infrastrutture. Per la Russia, che già ha dato priorità ai suoi progetti instrastrutturali, ciò è un vantaggio? Oppure, alla luce delle sanzioni, non avrà alcuna attinenza con il lavoro che stiamo facendo?
 
– In questo caso non servono concertazioni o accordi di qualunque tipo con nessuno. Questo fatto dimostra semplicemente che stiamo seguendo la strada giusta, siamo in sintonia con la tendenza generale, e che la posizione della comunità internazionale, in questo caso della comunità economica, in merito alle azioni dei governi nella situazione che si viene a creare, conferma semplicemente che siamo nel giusto. Saperlo è sempre un piacere, ed è anche utile.
 
– Durante il vertice avrà degli incontri separati?
 
– Sì, è previsto un’incontro con il cancelliere della Germania e vari altri.