GAZPROM A INTRODUIT LE REGIME DE PREPAIEMENT POUR LES FOURNITURES DU GAZ RUSSE A L’UKRAINE A CAUSE DU NON-REMBOURSEMENT DE LA DETTE A L’ECHEANCE, COMMUNIQUE LE GROUPE.

# LUCMICHEL. NET/

Alerte info rouge/ PCN-SPO avec LVDLR / 2014 06 16/

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« La décision a été prise suite à des non-paiements réguliers de la part de Naftogaz de l’Ukraine. Les dettes impayées de cette société pour le gaz russe livré constituent 4,458 milliards de dollars dont 1,451 milliard de dollars pour novembre-décembre 2013 et 3,007 milliards pour avril-mai 2014 », indique le communiqué. La facture pour juin n’a pas été non plus payée.

A partir d’aujourd’hui la société ukrainienne ne recevra que des quantités prépayées du gaz russe.

Depuis le putsch du 21 février et malgré des aides occidentales – où va l’argent ? -, la junte de Kiev n’a pas payé un kopec de gaz. Les escrocs de Kiev – dans tous les sens du terme, le ‘ministre’ Avokov par exemple était poursuivi comme escroc international jusqu’au Putsch du 21 février, le ‘premier ministre’ Iatseniuk était un banquier de la secte Scientologie, le ‘président’ Porochenko est lié aux clans mafieux ukrainiens et à la « guerre du cacao » en Afrique, Timochenko a aussi des connections mafieuses – se font passer en Occident pour des victimes mais ont refusé tout accord et tout payement sérieux.

Derrière cette nouvelle « guerre du gaz », il y a la volonté de Washington, dont la junte est la marionnette docile, de détruire le marché euro-russe du gaz, pour lui substituer le gaz de schiste US. Plus cher, le gaz US achèvera de détruire les économies de l’UE et l’Euro – grand rival du dollar -, affaiblira l’économie russe et isolera l’UE de la Russie. La fusion Russie-UE étant le cauchemar géopolitique des USA : ce serait la GRANDE-EUROPE eurasiatique de Vladivostok à Reykjavik …

LM

DONBASS : LA GUERRE TOTALE DE LA JUNTE DE KIEV CONTRE LE PEUPLE DE L’EST

Fabrice BEAUR pour PCN-INFO / 2014 06 16 /

avec Correspondance locale (Donbass) – lucmichel.net – PCN-SPO /

http://www.scoop.it/t/pcn-spo

https://www.facebook.com/PCN.NCP.press.office PIH - FB guerre totale à l'est ukrainien (2014 06 16) FR 1

Ces derniers jours, les combats entre les forces populaires républicaines de Novorossiya et les troupes de la Junte bandériste de Kiev gagnent en intensité.

 LES FORCES DE KIEV ASSIEGEES DANS L’AEROPORT DE LUGANSK

 Hier, c’est un avion de transport de troupes qui a été abattu (49 morts) par l’Armée du Donbass dans la nuit alors qu’il tentait d’atterrir à l’aéroport de Lugansk pour y apporter renforts et approvisionnement. Et ce que ne vous indiqueront pas les media occidentaux, c’est que ce même aéroport est totalement encerclé par l’Armée du Donbass (les fameux pro-russes) dont l’électricité et l’approvisionnement en eau sont coupés.

  « L’aéroport est entièrement bloqué par nos forces » a encore affirmé ce samedi à la presse internationale Vladimir Inogorodski, porte-parole de la République populaire de Lugansk.

Dans un premier rapport, il fut mention d’environ 500 hommes de la Garde nationale à l’aéroport. Mais après un renseignement plus précis, l’Etat-major des républicains à Lugansk déclare que ce sont près de 2.000 hommes de Kiev qui sont encerclés. C’est tout simplement l’essentiel des forces engagés contre la ville de Lugansk qui est donc immobilisée.

 “Aux environs de l’aéroport de Lougansk où l’avion s’est écrasé, des insurgés récupéraient les insignes des parachutistes ukrainiens ou les sachets de produits alimentaires américains. Ils approuvaient l’attaque, disant que l’avion venait pour “tuer le peuple”. ” dixit l’AFP.

LA BATAILLE POUR LE CONTROLLE DE LA FRONTIERE

PIH - FB guerre totale à l'est ukrainien (2014 06 16) FR 2

 Lugansk est en effet le nouvel objectif prioritaire des forces de la Junte qui depuis plusieurs jours perd un peu plus le contrôle de la frontière avec la Fédération de Russie.

Hier dans la nuit, ce sont des avions et des hélicoptères de l’armée ukrainienne qui ont effectué des frappes sur Lugansk contre les barrages tenus par les milices populaires républicaines de défense contre l’offensive des fascistes de Kiev.

 Rappelons que la ville de Lugansk, cité de 500.000 habitants, est proche de la frontière avec la Fédération de Russie. Son contrôle peut décider du devenir du conflit.

 Et c’est une précédente offensive terrestre d’une colonne de blindées ukrainiens qui fut stoppée il y a 24 heures à l’approche de Lugansk par les forces de l’Armée du Donbass, les courageuses milices populaires républicaines. Deux blindés furent détruits lors de l’affrontement provoquant le replis de la colonne à près de 3 km. Exactement la distance pour se protéger des missiles anti-chars. La même distance que tentent d’établir les troupes de Kiev qui encerclent Slaviansk, la ville rebelle, la ville martyre du combat contre le Fascisme et pour Novorossiya !

 DES ARMES RUSSES ?

 Vous comprenez maintenant un peu plus le pourquoi des gesticulations verbales occidentales concernant les « armes en provenance de Russie ».

En effet, ce vendredi « les Etats-Unis ont réaffirmé que la Russie avait fourni aux insurgés prorusses dans l’est de l’Ukraine des chars et des lance-roquettes, du matériel qui a franchi ces derniers jours la frontière entre les deux pays. » (AFP)

 « Nous confirmons avoir reçu des chars. Les blindés seront envoyés dans les secteurs les plus sensibles », a indiqué un représentant des forces de la République populaire de Donetsk ; sans pour autant préciser qui a fourni les chars aux combattants.

 DE NOUVELLES SANCTIONS

 Le refrain yankee des sanctions a ainsi été de nouveau formulé contre la Russie : « Si la Russie ne parvient pas à faire baisser la tension, il y aura un prix supplémentaire » à payer, a prévenu vendredi la porte-parole du département d’Etat américain, Marie Harf.

Nous avons eu également le droit au déclarations du secrétaire général de l’Otan, Anders Fogh Rasmussen, qui s’est déclaré préoccupé par les informations selon lesquelles les groupes prorusses en Ukraine s’équipaient d’ « armes lourdes en provenance de Russie, y compris des tanks ». « Si ces informations étaient confirmées, cela marquerait une sérieuse escalade de la crise dans l’est de l’Ukraine ».

 Sans oublier le président de la Commission européenne José Manuel Barroso qui a demandé à la Russie « d’entamer un processus de désescalade, d’aider à désarmer les rebelles prorusses et stopper le flot d’armes et de combattants entrant en Ukraine », dans un entretien téléphonique vendredi avec Vladimir Poutine.

 Mais la palme de l’hypocrisie revient à la présidence ukrainienne qui avait affirmé jeudi que des « rebelles dans l’Est » (tiens ce ne sont plus des « terroristes »?) avaient « utilisé pour la première fois des chars » ayant « fait incursion depuis la Russie ».

 DES CHARS UKRAINIENS EN RUSSIE !

 C’est oublier que c’est l’armée ukrainienne qui a franchit la frontière avec la Russie, près du village de Millerovo dans la région de Rostov-sur-le-Don, ce  vendredi 13 juin tard dans la nuit.

 Et oui, vous n’êtes peut-être pas au courant mais ce sont bien deux blindés ukrainiens qui ont franchis la frontière russe. Nous ne savons ce qu’ils voulaient bien faire en Russie, mais une malencontreuse panne mécanique d’un des blindés les a immobilisés à 150 mètres à l’intérieur du territoire de la Fédération de Russie. Et comble de mal-chance une patrouille de gardes-frontières russes est arrivée quelques minutes plus tard.

 Ils ont alors agit comme il se doit en de telle circonstance. Les soldats ukrainiens furent désarmés et rejoignirent à pied l’autre blindé qui s’était enfui à l’approche des soldats russes en abandonnant leurs « camarades » sur place. Le comble de l’histoire est qu’un officier ukrainien revint voir les gardes-frontières pour leur intimer l’ordre de restituer le blindé. Un officier russe lui fit remarquer qu’il était de nouveau sur le territoire de la Fédération de Russie et qu’il avait 1 seconde pour faire demi-tour avant de subir le même sort que le dit blindé.

 Nous avons bien à faire à une offensive tout azimut de la Junte qui n’a rien fait, absence de présence policière, ce samedi contre l’attaque du consulat de la Fédération de Russie à Kiev par une centaine d’extrémistes.

Provocations russes ? Provocations ukrainiennes et donc de l’OTAN !

 DES COMBATS INTENSES AUTOUR DE TOUTES LES GRANDES VILLES DU DONBASS

 Des combats ont par ailleurs opposé samedi les forces ukrainiennes aux « séparatistes » (tiens, on ne parle plus de « terroristes » encore une fois ?) dans plusieurs villes de l’Est.

 Les Guignols mythomanes mais assassins de Kiev ont affirmé ce vendredi avoir repris le contrôle de la ville de Marioupol, port stratégique de 500.000 habitants sur les bord de la mer d’Azov et d’y avoir provisoirement installé l’administration de la région de Donetsk.

 Si il est indéniable qu’un groupe de 300 hommes environs du groupe para-militaire (1) du député et ancien candidat à la « présidentielle » ukrainienne, le pédonazi Oleh Liachko, connu pour des affaires relevants de la pédo-criminalité, auquel s’étaient adjoint autant d’hommes des escadrons de la mort des nazis de Praviy Sektor ont attaqué et pris le contrôle de la mairie du centre-ville, il n’en est rien sur le contrôle de la ville en elle-même.

 La preuve le jour même par la contre-offensive menée par l’Armée du Donbass et la milice populaire républicaine de Marioupol qui ont par exemple tendu une embuscade au lance-roquettes sur un convoi de gardes-frontières ukrainiens (tiens qui se repliaient d’où ? Ils étaient pourtant à 50 Km de la frontière russe) en tuant cinq gardes-frontières ukrainiens et en blessant sept autres.

 A Gorlivka, dans la région de Donetsk, entre la ville de Donetsk et de Slaviansk, deux personnes ont été tuées et sept blessées dans des combats dans la nuit de vendredi à samedi. Les troupes de Kiev tirant aux lance-missiles GRAD sur le centre-ville.

Et dans la journée, c’est un bombardement de l’aviation ukrainienne qui eut lieu. Pour son malheur car un des deux avions SU-25 a été abattu et son pilote capturé.

Selon l’Armée du Donbass, « le prisonnier sera traité avec dignité, comme toujours en pareil cas. Nous nous comportons toujours décemment envers les prisonniers. Nous lui avons donné les premiers soins. (…) Nous allons savoir qui donne les ordres  militaires criminels et qui les appliquent. Il est nécessaire de se documenter pour le futur tribunal militaire ».

 Comme l’affirme le « président » ukrainien Poroshenko, nous assistons bien dans le Donbass à une « contre-offensive » de l’armée ukrainienne. Mais à part des affirmations et autres chiffres de matériels détruits et le mensonge de la ville Marioupol qui serait totalement entre les mains des forces de Kiev, nous assistons aussi au renforcement de la combativité de l’Armée du Donbass et de son armement avec les multiples prises de contrôle de bases militaires ukrainiennes.

 La période actuelle est donc cruciale pour la victoire du peuple du Donbass dans son combat contre la Junte de Kiev et ses troupes fascistes qui massacre sur le terrain en utilisant toutes les armes de destruction massive possibles comme les bombes au phosphore tiré sur la ville de Slaviansk comme je l’ai indiqué dans une précédente dépêche pour l’agence de presse PCN-SPO (2).

 LA GUERRE MEDIATIQUE ET PSYCHOLOGIQUE :

ATTENTION A LA 5e COLONNE

 Je me permets de rappeler que la sale guerre de Kiev contre le peuple du Donbass se double d’une guerre psychologique et médiatique.

 Les provocations se multiplient les derniers jours. Certains « journalistes », dont l’existence et l’action ne dépassent pas le monde d’Internet, se permettent sous couvert « d’aider le peuple du Donbass » de placer leur propagande anti-russe via des critiques contre la personne du Président de la Fédération de Russie. Celui-ci « trahirait les populations de Donetsk et de Lugansk » et autres billevesées du même acabit.

 Au-delà du manque de culture politique et géopolitique, de la connaissance des pratiques diplomatiques et des manœuvres d’arrière-plan, au-delà du manque d’inspiration qui poussent ces individus à copier les autres et tout particulièrement les écrits de notre agence de presse PCN-SPO, et d’y ajouter leur médiocrité intellectuelle, nous avons à faire à une campagne de provocation contre le juste combat du Donbass contre le Fascisme et l’OTAN en voulant salir Vladimir POUTINE et donc la Russie.

 La lutte de Donetsk, Lugansk, Slaviansk, Gorgovka, Marioupol et de toutes les autres villes des Républiques populaire de Lugansk et de Donetsk doivent avoir tout notre soutient infaillible !

Le peuple du Donbass comme son Armée ne doutent pas du soutien de la Russie à leur combat pour la liberté !

A bas la clique bandériste de Kiev !

Vive l’Armée du Donbass !

La République de Novorossiya vaincra !

 Fabrice BEAUR

https://www.facebook.com/beaur.fabrice

 

(1) A noter qu’une confusion existe dans la dénomination des bataillons qui combattent en Ukraine et sur qui est qui. Afin de remettre les choses à leur place et d’éviter que ces erreurs perdurent en troublant ainsi la compréhension des événements à Donetsk et Lugansk, je me permet ainsi de préciser ce qui doit l’être :

Le Bataillon “Vostok”, est une des premières formation militaire des républicains de Donetsk. Le Bataillon “Donbass” est une création intégrale des nazis de Praviy Sektor.

Le bataillon “Ukraine” est le plus petit groupe des trois et est une création du député ukrainien pédonazi Oleh Liachko.

Le bataillon “Azov”, lui est financé par l’oligarque Igor Kolomoïskiy. Le propriétaire de Private Bank qui offre 10.000 U.S.$ de récompense pour la capture de tout “mercenaire russse. Le député russe Pouchkov a suggéré que l’attaque contre l’ambassade de Russie pourrait être une action pré-planifiée. Cette information a été confirmée par la police de Kiev. Selon elle, des représentants de bataillon Azov, financé par l’oligarque Igor Kolomoïskiy, sont derrière de cette émeute.

 

(2) PCN-INFO / CRIMES DE GUERRE : A GAZA COMME A SLAVIANSK (NOVOROSSIYA), ON BOMBARDE LES POPULATIONS CIVILES AU PHOSPHORE BLANC !

sur http://www.lucmichel.net/2014/06/13/pcn-info-crimes-de-guerre-a-gaza-comme-a-slaviansk-novorossiya-on-bombarde-les-populations-civiles-au-phosphore-blanc/

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forze anti-terrorismo di Kiev guidate da polacco Dziewulski

Le forze “anti-terrorismo” lanciate da Kiev per opporsi all’indipendenza del Donbas sono dirette dal polacco Jerzy Dziewulski. Consigliere dell’ex-presidente Aleksander Kwasniewski (1995-1997) e deputato (1991-2005), Jerzy Dziewulski è un ufficiale polacco addestrato negli Stati Uniti e che ha operato in Israele.
A sinistra in questa foto scattata nei pressi di Slavjansk la scorsa settimana, insieme ad Aleksandr Turchinov (ex-capo dei servizi segreti e poi presidente temporaneo dell’Ucraina) al centro. L’operazione è condotta sotto la supervisione dell’assistente segretario alla Difesa degli Stati Uniti, Derek Chollet.
La Polonia ha partecipato alla rivolta di Majdan, di cui alcuni dirigenti erano controllati dal rappresentante dell’Unione europea a Kiev, il polacco Jan Tombinski, e alcuni rivoltosi furono addestrati in precedenza dalla polizia polacca. Inoltre, la Polonia è coinvolta nel golpe, il cui avvio sembra essere stato dato dal ministro degli Esteri polacco Radoslaw Sikorski, dopo la riunione di buona volontà tra l’opposizione e il presidente. Sikorski potrebbe essere ringraziato per il suo ruolo sostituendo la baronessa Catherine Ashton come Alto rappresentante dell’Unione per gli affari esteri e la politica di sicurezza.
http://www.voltairenet.org/article184251.html

Sud Corea: esplode il fenomeno dellla prostituzione over 50

venerdì, giugno 13, 2014
Nonostante l’espansione economica del Paese appaia inarrestabile, molti anziani vivono in povertà e abbandonati dalla famiglia, con l’amara conseguenza che le donne per campare hanno cominciato a praticare il mestiere più antico del mondo: la prostituzione.

L’età va dai 50, 60, 70, a volte anche 80 anni e frequentano spesso la stazione Jongno-3 della metropolitana di Seul e si guadagnano da vivere vendendo la Bacchus, una nota bevanda energetica per i clienti uomini, con cui riescono a racimolare circa 3,70 euro al giorno. Una cifra ridicola, tant’è che alcune di loro hanno preferito vendere anche qualcos’altro: il sesso.

La prestazioni sessuali si aggirano sui 14,5 – 22 euro ed avvengono per lo più con altri anziani in un parco nelle vicinanze, spesso dopo aver venduto loro la bevanda.

Ma come è possibile che accada questo in una società all’avanguardia come la Corea del Sud? C’è da considerare che il miracolo economico di Seul è avvenuto in una società che rimane di stampo confuciano, dove i bambini che in futuro avranno successo sono considerati la migliore forma di rendita, ma la modifica repentina degli standard di vita e della mentalità ha fatto sì che ora quei figli non possano permettersi di sostenere i loro genitori in una società frenetica e altamente competitiva come quella della Corea del Sud.

Il governo ha preso atto di questi rapidi cambiamenti e sta cercando di fornire un adeguato sistema di welfare, a fronte di circa 400 donne che hanno iniziato a vendere il proprio corpo in tarda età e di un fenomeno che potrebbe avere ricadute ben più gravi. A quanto pare alcuni uomini anziani si iniettano una sostanza speciale per il raggiungimento dell’erezione, con aghi che però vengono riutilizzati per altre 10-20 volte causando diverse malattie sessuali.

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INTERVIEW DU PRESIDENT DE GUINEE EQUATORIALE OBIANG NGUEMA BASOGO

EODE Press Office/

Avec Africawatch – EODE zone Africa / 2014 06 14 /

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 « L’ingérence de la France et de l’Onu en Côte d’ivoire a crée un mauvais précédent »

EODE - interview président Obiang (2014 06 14) FR

Dans une interview exclusive au magazine Panafricain AFRICAWATCH, le président équato-Guinéen Obiang Nguema Basogo dénonce de manière véhémente l’intervention de la France et de l’ONU dans les conflits ivoirien et libyen . Président en exercice de l’Union Africaine au moment des faits, le Président Obiang s’insurge contre l’internationalisation du conflit par la France qui avant même les élections en Cote d’ivoire avait clairement choisi son camp.

 # Africawatch:

Vous étiez le président de l’Union Africaine de Janvier 2011 à Janvier 2012. Il y a eu plusieurs événements importants au cours de cette période, y compris la famine en Afrique de l’Est, le printemps arabe en Tunisie, Égypte et Libye, et une guerre civile en Côte d’Ivoire. Cela semble avoir été un agenda chargé pour juste sur un année au pouvoir. Comment avez-vous managé dans ces situations difficiles?

 Teodoro Obiang Nguema:

Eh bien, c’était vraiment une période difficile. J’ai fait face à beaucoup de problèmes au cours de mon mandat en tant que président de l’UA, donc je ne sais pas quoi dire. Était-ce la volonté de Dieu pour moi d’être le président de l’UA à ce moment précis pour faire face à tous ces conflits et ces problèmes? Ou était-ce juste une malchance? Je ne sais pas. Tout ce que je peux dire, c’est que j’ai travaillé très dur pour essayer d’apporter la paix à tous les endroits ou il y avait des conflits, et en Afrique en général.

 En ce qui concerne les cas de la Tunisie et  de l’Egypte que vous avez mentionnés, je pense que c’était des questions internes que les gens de ces pays voulaient mettre à l’attention de leurs gouvernements et des présidents. Et il n’y avait pas grand-chose qu’on pourrait faire ou dire à leur sujet au niveau de l’UA ou international. À propos de la Côte d’Ivoire et de la Libye, c’était une autre paire de manches. On peut clairement dire que les deux conflits ont échappé à notre contrôle à cause de l’ingérence extérieure dans les deux pays.

 En Côte d’Ivoire, par exemple, quand j’étais président de l’UA, j’ai parlé et j’ai réussi à convaincre l’ancien président Laurent Gbagbo à démissionner du pouvoir et il a accepté de le faire, j’ai aussi essayé de convaincre l’autre partie à accepter la négociation avec Gbagbo parce qu’il avait accepté de démissionner, mais l’ingérence extérieure n’a pas donné vraiment le temps à Gbagbo de démissionner ou de s’engager dans des négociations avec l’autre partie.

 En fait, le problème ivoirien n’était pas vraiment un problème au début, il s’agissait d’un malentendu. Les gens sont allés à une élection et il y avait un malentendu sur le gagnant. En fait, cela me surprend qu’à partir de ce malentendu est né un énorme conflit qui s’est aggravé au niveau que nous avons vu.

 # Africawatch:

Qu’est ce qui à votre avis a provoqué l’escalade?

 Teodoro Obiang Nguema:

Je crois que c’était l’ingérence de pays étrangers, des Nations Unies et de tous les organismes, qui ont vraiment aggravé le conflit en Côte d’Ivoire. Je me suis demandé pourquoi les Nations Unies, une institution de la paix fondée pour favoriser la paix dans le monde, a pris parti dans un conflit interne et créée l’escalade à l’aide de ses troupes qui sont intervenues, même combattu, pour une partie au conflit.

 Pourquoi n’a-t-elle pas dit: «Eh bien, nous savons que la France s’est impliqué jusqu’au cou dans ce conflit, elle a utilisé ses troupes et s’est battue pour un camp dans le conflit avant les élections, et beaucoup de personnes sont mortes. En tant que tel, la France n’est plus un arbitre impartial en Côte d’Ivoire. Elle devait donc se mettre à l’écart et donner la place à des pays neutres acceptés par les deux parties pour vraiment aider à trouver une solution acceptable en Côte d’Ivoire “.

 Mais non. L’ONU, elle-même, sous l’influence des pays occidentaux au sein du Conseil de sécurité, a déployé ses troupes en tandem avec la France pour attaquer Laurent Gbagbo, le traquer dans le bunker présidentiel, et l’humilier, lui, sa femme et sa famille devant la télévision internationale. Oui, ils l’ont défilé devant la télévision internationale. Cela, pour moi, restera à jamais l’un des points les plus bas, les jours sombres, même des Nations Unies. Pourquoi l’ONU a décidé de descendre si bas dans un conflit international me tourmente. Et beaucoup de gens sont morts en Côte d’Ivoire en raison de l’ingérence extérieure. Ils n’ont vraiment fait qu’aggraver le problème.

 # Africawatch:

En ce qui concerne l’UA, pouvait-elle ou devait-elle intervenir?

 Teodoro Obiang Nguema:

Je crois qu’il était possible à l’UA de trouver une solution, parce que, en tant président de l’UA, j’ai demandé à la communauté internationale de permettre à l’Union africaine de trouver une solution en Côte d’Ivoire. Je leur ai dit que c’était une opportunité pour l’Union africaine et les Africains, pour résoudre le problème. C’était un problème africain qui avait besoin d’une solution africaine.

 Mais ils n’ont pas écouté. Pour eux, il était trop tard, car ils avaient déjà pris la décision d’intervenir et d’utiliser leurs troupes contre Gbagbo, de le retirer de pouvoir au profit de l’autre partie. Ainsi, contrairement à la Tunisie et l’Egypte, ce n’était pas le peuple de Côte d’Ivoire qui a enlevé Gbagbo du pouvoir. Ce sont les Français et les troupes de l’ONU qui l’ont fait. Ce n’était même pas l’armée ivoirienne qui l’a enlevé. Ce sont les français et les troupes de l’ONU, des troupes étrangères.

 # Africawatch:

Pourquoi exactement la France et les Nations Unies ont-elles joué ces rôles importants dans ces conflits africains?

 Teodoro Obiang Nguema:

la France a joué un rôle clé dans le conflit ivoirien parce que la France avait promis de donner le pouvoir à l’autre partie. Mais elle n’allait pas le faire par les urnes ou les négociations, elle avait l’intention d’utiliser l’armée française. Et c’est exactement ce qu’elle a fait. Et quelque soit ce que nous disions en tant que dirigeants de l’Afrique, siégeant à l’Union africaine, n’avait pas d’importance pour eux.

 En Libye, le conflit a aussi commencé comme une affaire interne, comme ce qui s’est passé en Egypte et en Tunisie, mais il a fini dans une rébellion parrainée par les pays étrangers. Tout à coup, les rebelles de l’Est, qui n’avait pas de fusils, ont reçu des armes envoyées par des pays étrangers pour lutter contre le gouvernement du colonel Mouammar Kadhafi, qui avait contribué à la création de l’Union africaine, et a soutenu l’organisation de quelque manière qu’il le pouvait.

 Dans tous les pays, si un gouvernement est attaqué par des rebelles armés, le gouvernement a le droit de se défendre par le déploiement de son armée. C’est inscrit dans le droit international. Et c’est exactement ce que le gouvernement de Kadhafi a tenté de faire.

 En Tunisie et en Egypte, le peuple s’est levé pour exiger un changement de gouvernement sans utiliser les armes. En Libye, c’était différent. La soi-disant armée rebelle dans l’est de la Libye a soudainement obtenu des armes en provenance de pays étrangers et les ont utilisées pour attaquer le gouvernement de Kadhafi.

 On peut donc comprendre ce que Kadhafi a essayé de faire pour se défendre et défendre la souveraineté de son pays. Même si c’était un cas évident d’un gouvernement qui se défend contre l’agression rebelle, contre les rebelles financés et armés par des pays étrangers, les mêmes pays étrangers se sont cachés derrière l’OTAN pour bombarder et de détruire l’armée de Kadhafi et neutraliser sa capacité de se défendre et défendre son pays.

 Ces mêmes pays étrangers ont à nouveau utilisé les Nations Unies pour imposer une «zone d’exclusion aérienne» sur la Libye. Alors, vraiment, les mains et les pieds de Kadhafi étaient attachés par l’ingérence internationale qui a joué un rôle clé dans le conflit libyen, contrairement aux soulèvements en Tunisie et en Egypte, qui ont été autorisés à être des questions purement internes à résoudre par les peuples de ces deux pays , et non par des puissances étrangères.

 On peut donc distinguer entre les soulèvements en Egypte et en Tunisie, d’une part, et les conflits en Côte d’Ivoire et la Libye, d’autre part. Les deux premiers étaient des questions internes qui ont été régler par les peuples de ces pays eux-mêmes, tandis que la Côte d’Ivoire et en Libye ont connus des interférences internationales qui n’ont fait qu’empirer les choses.

 Pour cette raison, nous pensons que les Nations Unies, une institution de la paix, ne devrait pas avoir joué le genre de rôle qu’elle a joué en aidant les puissances étrangères à intervenir en Côte d’Ivoire et en Libye. Ce n’était pas pour cela que l’ONU a été créé. Elle a créé un mauvais précédent dans le monde.

 Africawatch / EODE Press Office

 http://www.eode.org/eode-press-office-verbatim-interview-du-president-de-guinee-equatoriale-obiang-nguema-basogo-2/

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LUC MICHEL : SPECIAL SYRIE III

Emission SPECIAL SYRIE III

Avec Luc MICHEL & Bachir Mohamed LADAN/

 EODE-TV & AFRIQUE MEDIA TV/

2014 06 12 /

Video intégrale sur : https://vimeo.com/98259122 AMTV & PCN-TV - Emission spéciale SYRIA III (2014 06 12)  FR (1)

Luc MICHEL est en Syrie et au Liban avec une Mission d’EODE, l’ Eurasian Observatory for Democracy and Elections, pour le monitoring de l’élections présidentielle en Syrie.

Mais il est aussi là bas avec une équipe video d’EODE-TV pour réaliser en partenariat avec AFRIQUE MEDIA TV une série de reportages et d’interviews sur la situation en Syrie, telle qu’elle est réellement et pour démonter les médiamensonges des journalistes occidentaux. AMTV & PCN-TV - Emission spéciale SYRIA III (2014 06 12)  FR (2)

Voici la troisième partie du grand reportage de Luc MICHEL à Damas et à Beyrouth. Nous le retrouvons dans la capitale syrienne pour analyse pointue de la réalité politique, militaire et surtout géopolitique syrienne …

 # EN PREMIERE PARTIE,

LUC MICHEL REPOND AUX QUESTIONS DE BACHIR MOHAMED LADAN :

AMTV & PCN-TV - Emission spéciale SYRIA III (2014 06 12)  FR (3)

 Le journaliste-vedette de AFRIQUE MEDIA TV interroge Luc MICHEL qui, depuis le grand Hôtel DAMA ROSE au cœur de Damas et de sa vie politique, décrypte et explique cet entretien et qui répond aux grandes questions que pose l’actualité syrienne, notamment au niveau géopolitique …

 * La Syrie d’Assad une dictature comme le disent les occidentaux ? Quelle est la vie politique là bas ?

* Bachar al-Assad un dictateur ou un leader pour ramener la paix en Syrie ? Quelles sont les tâches qui l’attendent après sa victoire à la présidentielle du 3 juin ?

* Venons-en au coeur de votre analyse. Vous parlez de la Syrie comme un cas d’école géopolitique ? Quel rôle joue la géopolitique dans l’équation syrienne ?

* Revenons-en à la présidentielle de ce 3 juin. Quelles vont en être les suites et les conséquences ?

 # EN SECONDE PARTIE,

UN ENTRETIEN EXCLUSIF DE LUC MICHEL AVEC LE PRESIDENT DU PARLEMENT SYRIEN :

 En seconde partie, l’entretien exclusif de Luc MICHEL avec le Président du Parlement Syrien, appelé Conseil du peuple ou Majlis ach-chaab, qui compte 250 membres. La Syrie étant une République avec un système présidentiel et un parlement monocaméral.

Le président du parlement, élu en 2012, MOHAMED DJIHAD LAHHAM, appelé aussi le « speaker » à la britannique, est un avocat, membre de la direction du ‘Parti Ba’ath Arabe Socialiste’, le BASP ou parti de la Renaissance arabe, qui est le parti dirigeant, mais pas unique, depuis la Révolution de 1963. Bachar Al-assad en étant le secrétaire-général.

Après avoir reçu la Mission d’EODE, l’ Eurasian Observatory for Democracy and Elections, pour le monitoring de l’élections présidentielle en Syrie, le président Lahham a accordé un entretien à LM en audience privée, filmé par l’équipe d’EODE-TV pour AFRIQUE MEDIA TV.

 EODE-TV / EODE Press Office

www.eode.org

https://vimeo.com/eodetv/

13 aerei misteriosamente scompaiono dai radar europei

D Gabriele Lombardo –
 
Dopo che un caccia F/A-18 dell’US Navy è precipitato su una città negli Stati Uniti, un aereo militare cinese da addestramento è precipitato su un villaggio della Cina ed un caccia spagnolo Eurofighter si è schiantato in Spagna, adesso, giunge notizia che ben 13 voli civili, tra cui alcuni passeggeri, sarebbero spariti dai radar Austriaci per circa 25 minuti. Il fatto sarebbe avvenuto ben due volte, rispettivamente il 5 giugno ed il 10 giugno di questo stesso anno; gli stessi giorni in cui sono precipitati i tre velivoli militari.
 
Dai dati emersi dalle torri di controllo austriache e le dichiarazioni di Marcus Pohanka di Austro Control, il fenomeno non è nuovo e negli ultimi mesi si era già verificato in Germania e Repubblica ceca. Anche Eurocontrol e la European Aviation Safety Agency dell’UE indagheranno a tal riguardo, oltre Vienna, gli aeroporti precedentemente colpiti sono stati Praga, Monaco di Baviera e Karlsruhe; secondo Pohanka l’anomalia è riconducibile al funzionamento del transponder degli aerei e la causa è da ricercare a Terra (o meglio nella Terra).
 
Fonte: RT
 

La potenza Usa: l’aiuto russo e cinese.

“Boeing guida il programma di cooperazione dell’aviazione USA-Cina, un’iniziativa di governo e compagnie aeree degli Stati Uniti per collaborare con CAAC e compagnie aeree della Cina per svilupparne l’aviazione commerciale. La buona cittadinanza aziendale è sempre stata parte essenziale della Boeing Company. In Cina, la visione della compagnia sul programma di responsabilità sociale della Boeing, allargando competenze e impegno nell’istruzione su scienza, tecnologia, ingegneria e matematica (STEM) dei giovani cinesi, dalla scuola elementare all’università“. (Boeing in Cina, Backgrounder, 14 aprile 2014)
 
E’ una bella cosa che Boeing sostenga l’istruzione STEM in Cina. Ma nell’ambito dell’infrastruttura sensibile delle industrie della Difesa statunitensi, Boeing si lamenta regolarmente delle carenze nell’ingegneria aerospaziale/STEM degli USA. Ad esempio, in una pubblicazione del 2007 v’è l’articolo Engineering Brain Drain? di Louise Wilkerson, in cui si apprende che “Secondo un recente studio della rivista Aviation Week & Space Technology, negli Stati Uniti si laureano solo circa 110.000 ingegneri all’anno rispetto ai 600.000 in Cina e ai 350.000 in India, ogni anno“. Anche se non vi è alcuna prova conclusiva per parlare di carenza di ingegneri aerospaziali negli USA (immigrati o no), il Pentagono e i suoi appaltatori continuano a lamentare e gemere una mitica penuria che in realtà non esiste. 
 
Forse Boeing scommette nel finanziare lo STEM e la ricerca informatica e sui materiali avanzati in Cina. “Boeing ha anche creato la Boeing-China Research&Technology, una sua organizzazione centrale di ricerca e sviluppo avanzata. Il centro si occupa di ricerca in collaborazione con l’Accademia Cinese delle Scienze e le università cinesi. Tre laboratori di ricerca congiunti e un centro comune di ricerca sono stati creati con i partner di ricerca. Le attività sono focalizzate su ambiente, materiali avanzati e tecnologie informatiche avanzate per l’aviazione e il design industriale“. Una delle piattaforme di allerta precoce della difesa missilistica più sofisticate è stata costruita dalla Boeing. Il sistema radar navale in Banda X della società, che attualmente galleggia nel Pacifico, è stato costruito in Russia dalla Vyborg Shipyard. Secondo navaltechnology.com, “Il sistema radar navale in Banda X SBX-1 è un radar di controllo del tiro a metà rotta installato su un impianto semisommergibile. La piattaforma è stata sviluppata da Boeing, nell’ambito della Difesa terreste di metà rotta (GMD), componente del sistema di Difesa antimissile balistico degli Stati Uniti (BMDS). Il GMD intercetta le testate in arrivo. L’SBX è stato trasferito al Comando Militare del trasporto navale (MSC) nel dicembre 2011“.Il sistema radar in banda X a bordo è stato costruito da un altro dei pesi massimi dell’industria della Difesa, la Raytheon Corporation.
 
Jak, Jak.
Lockheed Martin, la maggiore industria della Difesa del mondo, fa notizia come vittima dei militari cinesi dell’ELP, che a quanto pare saerbbero entrati nelle reti informatiche di Lockheed per spionaggio industriale. Eppure Lockheed ha fatto accordi con la Cina nella sicurezza e la costruzione di reattori nucleari. Il suo F-35B ha una sua genesi in Russia. Secondo un comunicato stampa aziendale sul sito della Lockheed Martin, “Lockheed Martin e State Nuclear Power System Automation Engineering Company della Cina (SNPA) hanno firmato un accordo per realizzare prototipi, produrre e qualificare i sistemi di protezione dei reattori di terza generazione delle centrali nucleari in Cina. SNPA è una filiale della China State Nuclear Power Technology Corporation (SNPTC). Lockheed Martin e SNPA svilupperanno strumentazione per la sicurezza nucleare e la piattaforma di controllo, basata sulla tecnologia Field Programmable Gate Array (FPGA) per i sistemi di protezione della nuova generazione di reattori cinesi. I termini dell’accordo non sono stati divulgati“. Si scopre anche che il vantato F-35 ha origini nell’industria aeronautica russa. Secondo Aviation Intel: “La gente guarda l’F-35B e vede una specie di trasformer ultra-moderno, con massicci portelli che si aprono e un tubo di scarico articolato che a comando si piega in basso in modo innaturale. La prossima cosa è vedere il caccia stealth di 5.ta generazione in bilico a mezz’aria. Con un’autonomia decente (per un caccia V/STOL), velocità superiore al Mach, radar e pacchetto avionico più all’avanguardia che mai, e dispone di un design davvero innovativo… Ma il design unico del F-35B è davvero così innovativo? La turboventola di risalita dell’F-35B e il design dell’ugello vettoriale non furono ideati a Fort Worth, Texas, ma a Mosca in Russia, circa 35 anni fa! Lo Jak-41 utilizzava questo stesso concetto, ora conosciuto come Jak-141 nome in codice NATO “Freestyle”, progettato per sostituire il molto carente Jak-38.”E forse una coincidenza, ma Lockheed ha stipulato contratti di sicurezza informatica miliardari con il governo degli Stati Uniti. C’è qualcosa di losco nel spendere miliardi per il cyberattacco e la cyberdifesa quando nessuno sembra poter formulare o quantificare i dati della sicurezza nazionale e aziendali davvero segretamente compromessi da cinesi, russi o studenti liceali di Houston, Texas. I funzionari del governo degli Stati Uniti e della Lockheed non sarebbero attendibili. Forniscono informazioni dubbie su prove specifiche o formule legittimamente quantificabili in dollari nel definire le fughe dei dati. E’ una farsa, non diversamente dall’inventato gap degli ingegneri aerospaziali.
 
Le minacce informatiche sono reali?
Secondo Tereza Pultarova, scrivendo sul Engineering and Technology Magazine (maggio 2014),“Parlando al vertice Reuters sulla cyber-sicurezza di Washington, il vicepresidente della società Chandra McMahon ha detto che solo nel gennaio 2014 l’impresa ha dovuto respingere gli attacchi di 43 gruppi di hacker diversi. Il numero di cyber-attacchi ai sistemi della Lockheed è in costante crescita, nel 2007 dieci attacchi furono individuati mentre tre anni più tardi erano già 28. Oltre ad essere il primo fornitore del Pentagono, Lockheed Martin è anche il maggiore fornitore di tecnologia informatica del governo degli Stati Uniti. I sistemi della società sono ampiamente utilizzati da militari degli Stati Uniti, imprese energetiche, utilities e altre aziende infrastrutturali sensibli. Queste ultime hanno visto, secondo la Lockheed Martin, un aumento sostanziale del numero di attacchi informatici negli ultimi anni. Anche se non abbiamo visto azioni contro obiettivi specifiche, in termini di danni ciò che abbiamo visto negli ultimi anni sono i malware creati e diffusi per danneggiare infrastrutture critiche”, ha detto McMahon… “Lockheed si aspetta la crescita a due cifre nel suo cyber-business, che oggi rappresenta il 10 per cento degli 8 miliardi di dollari di ricavi nei sistemi informatici. Lockheed e altri produttori di armi statunitensi sono spesso bersaglio di gruppi criminali, Stati e altri hacker che cercano di estrarre informazioni preziose sugli avanzati sistemi d’arma. Rapporti dell’intelligence statunitensi citano attacchi lanciati da gruppi in Iran, Cina, Russia e Corea democratica. Lockheed non ha voluto commentare su eventuali dati specifici sulle azioni identificate“.
 

I BOMBARDIERI RUSSI E I CUCCIOLI DI FOCA SCHIACCIATI UNO A UNO

Postato il Venerdì, 13 giugno
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DI TYLER DURDEN
 
 
Il NORAD ammette che 4 bombardieri russi sono stati intercettati a 50 miglia dalla Costa Californiana
 
Nemmeno nei momenti più caldi della guerra fredda li ho mai visti tanto vicini.” Dice un generale delle forze aeree in pensione, secondo quanto riferisce The Washington Free Beacon: Questa settimana quattro bombardieri strategici russi hanno violato i sistemi di difesa aerea USA durante una esercitazione di bombardamento condotta nei pressi dell’Alaska e due aerei TU-95 Bear H (potenzialmente con armi atomiche) sono arrivati a 50 miglia dalla costa della California, come ha confermato mercoledì scorso il NORAD – North American Aerospace Defence Command.
 
Due jet F 22 della US Air Force hanno avvistato ed intercettato dei bombardieri sopra le Aleutine, ma altri due aerei, bombardieri con potenziale nucleare, poi si sono poi diretti verso sud-est entrando nella zona di difesa aerea del nord degli Stati Uniti, al largo della costa della California del Nord, in seguito sono stati avvistati anche da altri due F-15. Connaway, un membro del Comitato per i Servizi Armati,  ha sbraitato ” avremmo dovuto schiacciarli tutti uno ad uno [ i bombardieri ] come cuccioli di foca.”
 
Come spiega The Washington Free BeaconQuesta settimana quattro  bombardieri strategici russi hanno violato i sistemi di difesa aerea U.S.A. durante una esercitazione di bombardamento condotta nei pressi dell’Alaska, e due aerei Tu-95 Bear H sono entrati entro 50 miglia dalla Costa della California,  come ha confermato mercoledì scorso il NORAD – North American Aerospace Defense Command.
 
Davis ha detto che le ultime incursioni di aerei con potenziale H sono cominciate lunedì intorno alle 4:30 del pomeriggio, ora del Pacifico, quando il radar ha inquadrato i quattro turbo-prop equipaggiati con bombe che si stavano avvicinando alla Zona di Difesa Aerea U.S.A intorno alle Isole Aleutine più orientali.
 
Nel monitoraggio radar dei bombardieri si sono visti dirigere verso est, ma due dei quattro Bears hanno virato dirigendosi verso la parte più orientale della Russia. Sembra che bombardieri provenissero dalla base strategica russa vicino a Anadyr, in Russia.
 
Gli altri due bombardieri, con potenziale nucleare, hanno continuato a volare verso sud est e intorno alle 21:30 sono entrati nella zona di difesa aerea del Nord USA, al largo della costa della California.
 
Due jet F-15 americani si sono schierati ed hanno intercettato i bombardieri che stavano volando probabilmente entro le 50 miglia dalla costa prima che virassero tornando verso ovest.
 
Un funzionario della difesa ha detto che i quattro bombardieri si appoggiavano a due aerei cisterna IL-78,  che sono serviti per il rifornimento in volo durante l’operazione.
 
L’incursione dei bombardieri è l’ultima prova di forza nucleare russa che avviene durante la tensione che si è  creata con l’esercito di Mosca a seguito dell’annessione della Crimea ucraina.
 
Il Rep. Mike Conaway  (Texas), membro del Comitato of the House Armed Services, ha definito i voli Russi  come delle “ provocazioni intenzionali.”
 
“Putin sta lo facendo del tutto per schernire gli U.S.A e per provare, almeno facendone parlare nel mondo, i limiti della forza di muscoli-e-nervi, cosa che non ha nessun senso” ha detto Conaway in una intervista. “In verità avremmo dovuto schiacciarli ad uno ad uno questi [bombardieri] come si fa con i cuccioli di foca.
 
“E’ una provocazione e non è necessaria. Ma sta bene con quel genere di macho [Putin] che vuol far vedere quanto è forte” ha detto, aggiungendo che si aspetta anche che la Russia continuerà a provocare altri incidenti di questo genere in futuro.
 
Il Gen. in pensione,Thomas McInerney,  dalla Air Force, ex Capo del North American Aerospace Defense Command, in Alaska ha detto di non ricordare altri casi di bombardieri strategici russi tanto vicini alla costa U.S.A.
 
“Vediamo di nuovo l’amministrazione Obama muoversi in un avventurismo occulto – che Putin sa interpretare – con un disarmo unilaterale, che invita i Russi ad agire” ha detto McInerney con una email.
 
 “Nemmeno al tempo della Guerra Fredda mi ricordo di averli visti tanto vicini.  Putin deve aver approvato questa missione e sta solo mostrando il suo personale  disprezzo per il Presidente Obama dopo il loro incontro in Normandia meno di una settimana fa” ha detto McInerney.
 
 McInerney ha detto che nessun Presidente Americano è mai stato trattato in modo tanto sprezzante nella storia U.S.A.
 
 “Veramente un giorno triste e contemporaneamente sia Mosul che Tikrit [in Iraq] sono cadute in mano agli  Islamici radicali, dopo il fallimento della politica dell’amministrazione Obama in Iraq” ha aggiunto.
 
“Ancora una volta ha strappato la sconfitta dalle fauci della vittoria”
 
 
 
12.06.2014

MH370 è stato abbattuto?

giovedì, giugno 12, 2014
  
Gli scienziati dubitano della qualità dei dati rilasciati dalla società satellitare inglese Inmarsat  utilizzati per determinare dove il volo della Malaysia Airlines MH370 si sarebbe schiantato nell’Oceano Indiano. Hanno detto che le informazioni sono insufficienti per tracciarne la rotta“.
 
Il capo della Emirates Tim Clark si chiede perché i caccia non intercettarono il volo Malaysia Airlines 370 quando andò fuori rotta. Clark ha detto a The Australian Financial Review che l’aereo sarebbe stato intercettato da velivoli militari se avesse volato fuori rotta, negli altri Paesi. ‘Se volando da Londra a Oslo spariste sul Mare del Nord, virando ad ovest sull’Irlanda, in due minuti avreste Tornado, Eurofighter intorno a voi,’ ha detto.”
 
 
MH370 sarebbe stato abbattuto al largo della costa del Vietnam durante un’esercitazione militare congiunta USA-Thailandia. Il volo scomparso Malaysia Airlines MH370 è stato ‘abbattuto’. Mike McKay lavorava sulla piattaforma petrolifera Songa Mercur al largo delle coste del Vietnam. Dice che l’8 marzo 2014 vide ciò che pensa fosse l”MH370 in fiamme’. (Stuff) (DailyMail)
Mike Mckay inviò una e-mail sul suo avvistamento ai suoi dirigenti. L’email è trapelata ai media. L’indirizzo email fu inondato da domande. ‘Divenne tutto insopportabile e fui mandato via dalla piattaforma e mai più richiamato’, ha detto a Sunday Star Times della Nuova Zelanda. Nella sua email, McKay descrive la sua posizione sulla piattaforma petrolifera, la posizione dell’aeromobile in relazione alla piattaforma, la distanza approssimativa dell’aereo dall’impianto di perforazione, la corrente sulla superficie dell’acqua e la direzione del vento. Dopo aver letto l’e-mail, le autorità vietnamite iniziarono una ricerca nel Mar Cinese meridionale. Questa ricerca fu sospesa quando la caccia all’MH370 passò nel Mare delle Andamane e poi nella parte meridionale dell’Oceano Indiano. Da allora, dice, le squadre di ricerca malesi e australiani non lo contattarono più.
 
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Traduzione di Alessandro Lattanzio – SitoAurora