UKRAINE-CRIMEE : LA DANSE DU VENTRE PSEUDO ‘DEMOCRATIQUE’ DE LA JUNTE FASCISTE DE KIEV

Fabrice BEAUR pour PCN-INFO / 2014 03 11 / avec Fakty – Ukrinform – PCN-SPO/

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https://www.facebook.com/PCN.NCP.press.office PIH - FB fascisme au coeur du régime de Kiev (2014 03 11) FR

Yatseniuk, le “premier ministre” de la Junte de Kiev, a annoncé sa « volonté d’organiser un référendum en Crimée sur les droits et les pouvoirs de la péninsule à condition que les troupes russes se retirent ». Selon une déclaration faite aux journalistes des “Nouvelles ukrainiennes”, il déclare que « Nous sommes en mesure de tenir un dialogue national sur les droits et pouvoirs supplémentaires de la République autonome de Crimée, mais pas avec sous les canons russes”.

 LES NON-DITS DE LA JUNTE DE KIEV

Ce que ne nous dit pas ce leader des putschistes du 21 février, c’est :

– que des troupes de l’Armée ukrainienne (enfin celle qui répondent aux ordres) font mouvement dans la région frontalière avec la Crimée.

– Que le “ministre de la défense” de la Junte de Kiev (un Amiral membre depuis longtemps du parti fasciste Svaboda) a donné comme ordre à ses troupes de “réprimer tout activité civile en Crimée”… Traduction : saisir la moindre occasion pour intervenir militairement en Crimée et réprimer dans le sang la volonté populaire exprimée par les députés de l’assemblée de Crimée, légalement élus, et les milices populaires d’auto-défense, expression de la Démocratie Directe en arme.

– Que les milices du groupe nazi “Pravy Sektor” (dont un des leader est le n°2 du “ministère de l’intérieur” de la Junte de Kiev) vont être officialisées et équipées avec du matériel militaire dans le cadre de la « Loi de création de la Garde nationale d’Ukraine ».

Tout ce dispositif est là, et bien là, pour démontrer que c’est l’option de la confrontation armée que la Junte bendériste de Kiev a choisie.  Kiev nous fait une danse du ventre pseudo démocratique. Mais son petit jeu ne tient pas la route pour qui sait ce qui se passe réellement à Kiev et ce que nous préparent tous ces petits soldats ukrainiens de l’OTAN.

 LES MILICES NAZIES DE PRAVIY SEKTOR ET SVOBODA BIENTÔT OFFICIALISEES PAR LA RADA PUTSCHISTE DE KIEV

Le ministère de l’Intérieur de la Junte de Kiev a proposé la création de la « Garde nationale », qui existait déjà entre 1991 et 2000. Selon le ministre ministre de l’Intérieur fasciste du parti Svaboda, Arsen Avakov : “La loi sur la garde nationale a été soumis au Parlement. Dès que possible, nous allons annoncer la mobilisation, 20 000 gardes de défense des frontières et de l’ordre dans le pays” (sur sa page Facebook).

Selon le “ministre”, « la création de la Garde nationale est une réponse aux actions de l’extérieur, visant à la déstabilisation de la situation en Ukraine ». En clair, une réponse à la mobilisation populaire dans l’Est et le Sud de l’Ukraine et tout particulièrement à la prise de contrôle part la population des institutions et du territoire de la péninsule de Crimée. “Ce n’est pas une réponse militaire – ce sera une réponse organisée de la société civile”, a déclaré Avakov.

Derrière ce vocabulaire tout empreint du travail des “communicants” occidentaux et des spindoctors des réseaux OTPOR/CANVAS, c’est bel et bien une officialisation des milices de Svaboda et tout particulièrement de l’organisation nazie “Pravii Sektor” qui va avoir lieue. La demande en avait été faite d’ailleurs il y a quelques jours par Pravii Sektor. Rappelons que le n°2 de ce ministère de l’intérieur est un des leaders de ce même groupe nazi armé.

Rappelons aussi que la garde nationale de l’Ukraine comprenait jadis des unités spéciales militaires d’élite, dispersées sur tout le territoire de l’Ukraine. Une fois encore, c’est donc bien une officialisation du pillage des armureries des casernes à l’Ouest du pays courant février par les milices extrémistes nationalistes qui est en cours à Kiev.

La voie choisie par la Junte de Kiev est bel et bien la répression du mouvement populaire à l’Est et au Sud du pays et donc en réaction à cela à une confrontation avec la Russie qui ne pourra pas ne pas réagir face à la violence fasciste de la Junte de Kiev.

 LES NEOFASCISTES AU CŒUR DU NOUVEAU REGIME DE KIEV

A noter que les extrémistes nationalistes ukrainiens détiennent le Ministère de l’intérieur, le poste du Procureur général (donc la Justice) et le Ministère de la défense. Avec l’organisation au grand jour de la Garde nationale d’Ukraine qui ne sera qu’une couverture pour les milices fascistes, nous avons donc ici la démonstration par les faits que les fascistes montent en puissance et qu’ils mènent la danse au sein du gouvernement putschiste de Kiev.

L’UE comme Washington soutiennent un gouvernement fasciste qui vient de se doter selon son point de vue d’une couverture légale pour ses milices extrémistes, qui ne serviront pas uniquement à défiler à Kiev mais à partir en colonnes infernales pour “mettre au pas” les régions pro-russes. Cette « mise au pas » qui marqua les premiers mois du régime nazi en 1933 …

L’Occident a décidé à faire couler le sang en Ukraine. La Russie a prévenu qu’elle ne laissera pas faire.

Aujourd’hui, comme hier, le rempart contre le fascisme en Europe, c’est Moscou !

Aujourd’hui, comme hier, c’est de Moscou que viendra la victoire !

No Pasaran …

Fabrice BEAUR

Secrétaire-général du PCN

Photo : les leaders du Facho-Maidan. les héritiers directs de Bendera, le leader antisémite du fascisme ukrainien, au service de Berlin puis de la CIA et du MI6 après 1945 :

Arseni Iatseniouk, le nouveau “premier ministre” made in NATO, aux côtés de Wladimir Klitschko (à droite), citoyen allemand et leader d’UDAR filiale de la CDU-CSU de Merkel, et d’Oleh Tyahnybok, leader du parti néonazi Svoboda (ex PNSU) et protégé du BND allemand…

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UKRAINE – LE PARLEMENT DE CRIMEE DECLARE SON INDEPENDANCE

LM pour EODE Press Office / avec AFP – Itar-Tass / 2014 03 11 /

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http://www.eode.org/category/eode-international-elections-monitoring/international-elections-survey/ EODE - Elections news CRIMEE INDEPENDANTE - REF 2 (2014 03 11) FR

Cette étape était indispensable avant le référendum d’auto-détermination de la République de crimée prévu dimanche 16 mars, pour permettre le rattachement de la péninsule à la Russie …

Les députés du Parlement pro-russe de Crimée ont déclaré ce mardi la péninsule indépendante de l’Ukraine, étape préalable avant le référendum de dimanche pour permettre son rattachement à la Russie. Ils ont notamment invoqué le précédent du Kosovo pour justifier leur démarche du point de vue du droit international. Un précédent créé par les occidentaux.

“Une déclaration d’indépendance de la république autonome de Crimée et de la ville de Sébastopol” a été adoptée par 78 des 81 députés présents, selon un communiqué de ce parlement. Considéré comme illégal par les nouvelles autorités de Kiev. Autorités elles-mêmes issues d’un coup d’état armé mené par les milices néofascistes de Svoboda et néonazies de Praviy Sektor (secteur droit), le Putsch du 21 février, et considérées comme « illégales et illégitimes » par la Russie et le président ukrainien élu Ianoukovitch.

 LE DROIT ETABLI DES PEUPLES A L’AUTO-DETERMINATION …

Leur texte invoque la Charte des Nations unies et “toute une série d’autres documents internationaux établissant le droit des peuples à l’autodétermination”, ainsi que l’avis rendu par la Cour internationale de justice le 22 juillet 2010, selon lequel “la proclamation unilatérale d’indépendance par une partie d’un Etat ne viole aucune norme du droit international”.

 “LA REPUBLIQUE DE CRIMEE SERA UN ETAT DEMOCRATIQUE, LAÏQUE ET MULTINATIONAL”

Si le référendum du 16 mars débouche sur le rattachement de la Crimée et de la ville de Sébastopol – qui a un statut spécial de Ville autonome – à la Russie, la Crimée sera déclarée “Etat indépendant et souverain avec une forme républicaine de gouvernement”, indique la déclaration.  “La République de Crimée sera un Etat démocratique, laïque et multinational, qui s’engagera à maintenir la paix et l’entente inter-ethnique et interconfessionnelle sur son territoire”, poursuit le document.

En cas de vote en faveur du rattachement, la Crimée “s’adressera à la Fédération de Russie pour y être admise sur la base d’un accord intergouvernemental idoine en tant que nouveau sujet de la Fédération”, précise la déclaration.

Celle-ci a été adoptée également par le conseil municipal de Sébastopol, ville à statut autonome en Crimée, ajoute le communiqué …

LM / EODE Press Office

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Pinard: il sindaco viene nuovamente smentito.

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 Risposta dura del consigliere comunale Giorgio Guglielmo alle lamentele del sindaco Renzo Pinard sul mancato sostegno ai comuni della valle e ai sindaci favorevoli al Tav. Cifre e dati che contraddicono le affermazioni del sindaco

Posted on 12 marzo 2014

di Davide Amerio    

Dopo lo “sfogo” del sindaco di Chiomonte Renzo Pinard durante l’incontro con il ministro Corrado Passera in visita (passerella) al cantiere di Chiomonte nel quale accusava lo Stato di aver abbandonato i sindaci favorevoli al Tav al proprio destino e, nel suo caso, in balia di numerosi No Tav presenti  negli uffici del comune che gli impediscono di lavorare, Giorgio Guglielmo, consigliere comunale di Chiomonte, ha scritto una dettagliata lettera nella quale smentisce punto su punto le dichiarazioni del sindaco. Una replica, dichiara Guglielmo, dettata da ragioni di “onestà, chiarezza e obiettività”.

Le “boutade” di Pinard, sopratutto in merito alle sue possibili dimissioni o mancate ricandidature sono piovute copiose in questi anni ma questa volta il sindaco avrebbe “passato il segno” incolpando tutti i suoi collaboratori dei suoi fallimenti come amministratore.

“Non ho mai visto dipendenti del comune alle manifestazioni No Tav”, precisa Guglielmo, anche se, ovviamente non ci sarebbe nulla di male se vi partecipassero (in fondo siamo ancora un paese relativamente libero). E incalza : “ Conosco benissimo i dipendenti del Comune, anche se lasciai quell’impegno circa 10 anni fa; la struttura, in particolare quella tecnica, è rimasta inalterata. Sono quindi testimone della loro professionalità, ma soprattutto della loro correttezza ed onestà”.

Anzi, un certo numero di dipendenti ha abbandonato il comune di Chiomonte; per il consigliere i dipendenti preferiti dal sindaco sono del tipo “Yes man”.

Ma sono i dati che fornisce Guglielmo che smentiscono duramente le dichiarazioni del sindaco; un quantità di denaro già ricevuta come “compensazioni” :

 1.100.000 euro da parte della Sitaf, per compensazioni collegate con la realizzazione dell’Autostrada e riconosciute al Comune nel momento in cui non esisteva più un obbligo giuridico ad adempiere da parte della Sitaf stessa (somma, fra l’altro, regolarmente erogata), tanto da costringere il Comune a ricorrere alla consulenza di un legale per giustificare l’introito della somma nelle casse dell’ente ; 800.000 euro promessi da parte della Società Arcus , addirittura ad insaputa della Soprintendenza Archeologica Regionale, che non la prese bene all’inizio, per interventi nella zona Archeologica della Maddalena (intervento poi bloccatosi momentaneamente per noti motivi e per il blocco imposto dal Prefetto sull’area); 310.000 euro circa promessi da parte della Regione Piemonte, per acquistare gli impianti scioviari del Frais (acquisto ad oggi non effettuato per motivi mai resi noti nonostante le richieste dei consiglieri di minoranza); 600.000 euro promessi dalla Regione Piemonte per la realizzazione di una pista ciclabile (somma non utilizzata per scelta dall’amministrazione comunale che ha optato per un regalo Smat, regalo non molto apprezzato dalla popolazione!!!); 200.000 euro dalla Regione Piemonte per interventi di sistemazione idraulica nella frazione Frais; 43.000 euro dalla Provincia di Torino per un intervento sull’edificio della scuola elementare; contributi generosi delle ditte che operano nel cantiere per allacciamenti elettrici tanto da portare le entrate per allacciamenti previste inizialmente in Bilancio Preventivo 2012 in 17.000 euro a ben 410.000 euro alla fine dell’esercizio e quasi analogamente nel 2013 (incassati 398.000euro); 800.000 euro promessi dalla Fondazione Torino 2006 per potenziare gli impianti di innevamento del Pian del Frais; un percorso semplificato per costituire una società con altri Comuni della Valle per il recupero della Centrale Idroelettrica di Chiomonte. 

Una pioggia di denaro consistente, in un periodo di magra, su un comune così piccolo. Di cosa si lamenta Pinard? Se alcune di queste somme messe a disposizione del comune non sono giunte nelle casse della tesoreria il sindaco dovrebbe fare qualche mea culpa sulla gestione del comune ribadisce Guglielmo.

Emerge così un quadro ben diverso da quello disegnato dal sindaco di Chiomonte che dovrebbe, invece di lagnarsi in continuazione di fronte al potente di turno in visita elettorale in Valle, dare conto e ragione della gestione del comune e di come sono stati amministrati tutti questi soldi. Le ripetute minacce di non presentarsi più alle elezioni, se messe in atto, potrebbero far tirare un sospiro di sollievo a molti.

D.A. 11.03.14

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Area 51: cade la censura e arriva la notizia bomba del secolo!

Area 51: cade la censura e arriva la notizia bomba del secolo!

Tutto quello che ci hanno sempre nascosto sarà svelato prossimamente dalla troupe televisiva di Peter Yost che ha avuto accesso alla base segreta americana e promette si svelarci cose incredibili. Ufo? Alieni? Entro la primavera la risposta.

Volete una notizia bomba da far accapponare la pelle? Bene, sedetevi e tenetevi forte: per la prima volta nella storia, un’equipe televisiva è riuscita ad avere tutte le autorizzazioni necessarie per accedere all’interno di tutti gli uffici, laboratori e dipartimenti ubicati all’interno della base aerea Nellis (Nellis Air Force Base) meglio nota come Area 51. Si tratta di una vasta zona militare super-segreta controllata dalle forze armate statunitensi, che si estende per circa 26 mila km2 all’interno del territorio desertico di Groom Lake, detto anche Dreamland (la terra del sogno), nel sud dello Stato del Nevada. La base ha livelli di sicurezza da film di fantascienza, con sensori di movimento, telecamere, controlli satellitari, uomini armati, missili superficie-aria, disseminati un po ovunque lungo il suo perimetro, per impedire l’accesso del personale estraneo e il sorvolo dello spazio aereo da parte di aeromobili non autorizzati. Proprio per questi standard così rigidi, la base aerea Nellis non compare sulle cartine geografiche. Ma cosa accade all’interno dell’area 51 da richiedere una così grande discrezione, inducendo, in passato, il governo americano a sconfessarne addirittura l’esistenza?

Ufficiosamente, il sito è adibito alla progettazione, sviluppo e sperimentazione di nuove apparecchiature, per lo più velivoli tecnologicamente avanzati, come aerei spia e moduli lunari. Qui è stato concepito, ad esempio, il famigerato bombardiere supersonico Stealth-B2, l’aeroplano realizzato con materiali compositi a base polimerica unitamente a rivestimenti superficiali radar-assorbenti, che lo rendono impercettibile o difficilmente individuabile da molti strumenti di localizzazione, inclusa la vista.

La notizia ancora più riservata, da sempre sulla bocca dei curiosi, è che la base venga impiegata per concepire velivoli non convenzionali, funzionanti con generatori ad antimateria asportati da alcune navicelle extraterrestri catturate in seguito a crash, che permetterebbero di attraversare le barriere spazio-temporali a velocità uguali o superiori a quelle della luce! Robert Scott Lazar, un fisico americano che ebbe modo di lavorare all’interno del sito, affermò di aver visto all’interno dei dischi volanti con caratteristiche sorprendenti: cabine di pilotaggio molto piccole che avrebbero potuto ospitare a malapena un bambino e in nessun caso un uomo adulto, velivoli costruiti con materiali sconosciuti sulla Terra e privi di punti di saldatura, come se l’intero chassis fosse stato fuso all’interno di uno stampo. A ciò si aggiungono le testimonianze di alcuni ex dipendenti, che affermerebbero di aver lavorato a contatto con esseri alieni per lo sviluppo di queste nuove tecnologie e i numerosi avvistamenti giornalieri che i turisti e le equipe televisive di tutto il mondo, hanno immortalato in questi anni con le loro videoriprese e foto.

La troupe televisiva che ha avuto accesso all’area 51, filmando i meandri più nascosti della base come mai nessuno aveva fatto prima, è quella del produttore Peter Yost, collaboratore da sempre delle più grandi redazioni televisive del mondo, tra cui NBC News, Discovery-Times e molti altre. L’uomo ha realizzato per la National Geographic Television un documentario – “Area 51 declassified”- destinato a diventare il numero uno nel panorama mondiale degli speciali d’inchiesta, nel quale vengono mostrati documenti declassificati, filmati, fotografie, interviste a ex dipendenti e tante altre cose sottratte per una vita ai nostri occhi e che lo stesso Yost assicura di rilevanza notevole. Infatti, durante la conferenza stampa, tenutasi nel corso della TCA (Television Critics Association) a Los Angeles, l’uomo ha dichiarato: «il programma televisivo pubblicherà foto e filmati esclusivi all’interno della struttura militare, con interviste a ex dipendenti della stessa Area. Alcune delle cose che ci sono state nascoste sono abbastanza notevoli» – ed ha po aggiunto – «Ormai è fatta! Siamo in possesso di migliaia di documenti e filmati unici. E’ tutto vero, è tangibile e verificabile. Ed abbiamo alcune sorprese! E’ davvero eccezionale essere riusciti ad ottenere dalla base militare ultra-segreta l’accesso a dei documenti militari declassificati».

Non resta allora che aspettare per vedere questo capolavoro sui nostri teleschermi e finalmente conoscere la verità su UFO e alieni.

di Roberto Mattei

fonte

Ucraina: quanta fatica sprecata!

Que­sta sera ho scam­biato qual­che chiac­chera via skype con un amico russo, un col­lega fisico nucleare di Mosca.

Boris è classe 1925, ma è in piena atti­vità:  abbiamo appena pub­bli­cato insieme un arti­colo scien­ti­fico sul nostro comune tema di ricerca: la fusione ter­mo­nu­cleare controllata.

Boris ha fatto la guerra, gio­va­nis­simo sol­dato sovie­tico. Temevo di chie­der­gli cosa pen­sasse dell’agonia dell’Ucraina.

La sua rispo­sta è stata lapi­da­ria: “Quanta fatica sprecata!”.

Boris mi rac­conta di Khar­kov, in URSS, quando nel 1943, dopo quat­tro enormi bat­ta­glie san­gui­no­sis­sime, l’Armata Rossa riu­sci a fer­mare la Wer­ma­cht ini­ziando la libe­ra­zione dell’Ucraina dal giogo dell’aquila nazista.

Adesso l’aquila nazi­sta è tor­nata: soste­ni­tori del governo gol­pi­sta hanno preso i fal­chi che l’ex-presidente ucraino Vik­tor Janu­ko­vich alle­vava nella sua resi­denza a Kiev e li hanno tra­sfor­mati in sim­boli viventi di quello che il mondo dovrebbe diven­tare secondo loro: un emblema nazi­sta vivente, cro­ce­fisso in carne viva su un bel labaro.

Il simbolo nazista ritorna in Ucraina, sotto forma di animali crocefissi vivi.
Il sim­bolo nazi­sta ritorna in Ucraina, sotto forma di ani­mali cro­ce­fissi vivi.

Boris mi rac­conta delle loro guerra, quella dell’Armata Rossa con­tro i “Bian­chi”, rea­zio­nari e monar­chici soste­nuti dalle potenze occi­den­tali, dove la parte del leone delle atro­cità che cau­sa­rano circa un mio­lione di morti si deve ai Cosac­chi, gli stessi cosac­chi che poi allea­tisi coi nazi­sti ven­nero man­dati ad occu­pare l’Italia del Nord-Est nel 1944–45, com­piendo atro­cità che — chissà come — i revi­sio­ni­sti che sca­vano nelle foibe si dimen­ti­cano sem­pre di “revisionare”.

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Par­lando con Boris emerge l’amarezza di vedere un governo appog­giato dalle potenze occi­den­tali che feli­ce­mente ha nelle sue file tre mini­stri del trion­fante par­tito neo­na­zi­sta. Sono i primi nazi­sti al governo in un paese dell’Europa, dopo che 70 anni fa milioni di per­sone hanno dato la vita per sba­raz­zarsi di quella fec­cia, inclusi sol­dati ame­ri­cani, inglesi, fran­cesi e par­ti­giani ita­liani, i cui governi adesso tra­di­scono quel loro sacrificio.

Fa poi spe­cie, nei tanti arti­coli e ser­vizi che appa­iono come fun­ghi nei media in que­sti giorni, che nes­suno dica alcune cose BASILARI:

1) L’Ucraina è un paese etni­ca­mente e lin­gui­sti­ca­mente diviso a metà. Si veda schema qui sotto. In giallo le zone a pre­do­mi­nante lin­gua ucraina, in azzurro quelle a pre­do­mi­nante lin­gua russa.

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2) I “mar­tiri” di PIazza Mai­dan sono stati uccisi da cec­chini, com­po­sti da mer­ce­nari stra­nieri e bande neo­na­zi­ste coperte dal governo golpista.

Il mini­stro degli Esteri estone Paet — in una tele­fo­nata tra­pe­lata di recentee da lui stesso poi con­fer­mata uffi­cial­mente come veri­tiera — afferma che  mani­fe­stanti e poli­ziotti ucraini sono stati uccisi dagli stessi cec­chini. Paet visitò Kiev il 25 feb­braio durante i vio­lenti scon­tri tra mani­fe­stanti e forze di sicu­rezza gover­na­tive a piazza Mai­dan. E’ ormai evi­dente che le vio­lenze erano isti­gate da cec­chini e altri pro­vo­ca­tori, come le bande neo­na­zi­ste e di mer­ce­nari stra­nieri pagate dall’opposizione ucraina. I pro­iet­tili che col­pi­rono mani­fe­stanti e poli­ziotti pro­ve­ni­vano tutti dalle stesse armi e l’opposizione copriva i cec­chini: l’opposizione ucraina pro­ba­bil­mente ha ucciso più di 70 suoi soste­ni­tori e poli­ziotti ucraini. Gli attac­chi dei cec­chini sono un’operazione “falsa ban­diera” dell’opposizione ucraina, e dei suoi man­danti occi­den­tali, per gene­rare sim­pa­tia e soste­gno dall’opinione pub­blica.
Letterale:(Paet) “Tutte le prove mostrano che le per­sone uccise da cec­chini, poli­ziotti e mani­fe­stanti, lo furono ad opera degli stessi cec­chini, che ucci­sero per­sone di entrambe le parti. … Alcune foto mostrano  stessi segni e stesso tipo di pro­iet­tili, e la cosa dav­vero inquie­tante è che la nuova coa­li­zione non vuole inda­gare su ciò che è acca­duto esat­ta­mente. Così ora si com­prende meglio che die­tro i cec­chini non c’era Janu­ko­vich, ma gente della nuova coa­li­zione”.

E’ ormai chiaro — se non agli pseu­do­si­ni­stroidi che ten­gono mano al governo gol­pi­sta — che gli avve­ni­menti in Ucraina sono stati pro­gram­mati da pro­vo­ca­tori pro­fes­sio­nali, agi­ta­tori e spe­cia­li­sti di “rivo­lu­zioni” a tema delle buro­cra­zie del dipar­ti­mento di Stato degli Stati Uniti, Cen­tral Intel­li­gence Agency, MI6 inglese e Unione europea.

Monumento a Lenin lordato dai neonazisti ucraini
Monu­mento a Lenin lor­dato dai neo­na­zi­sti ucraini (fonte: “Terra!”, Retequattro)

Il mio amico Boris, quando ha visto le foto dei monu­menti a Lenin abbat­tuti e lor­dati dai cosid­detti “rivo­lu­zio­nari demo­cra­tici” è rima­sto un attimo silen­zioso e poi mi ha detto. “Va bene così, gente del genere Lenin non se lo merita. Pec­cato aver spre­cato tanta fatica: vadano dove gli pare, senza però por­tare dei russi con loro”.

Telefonate ai Ligresti, Cancellieri indagata

La Procura di Roma: “L’ex Guardasigilli ha mentito ai pm”. Lo scrive Repubblica

Telefonate ai Ligresti, Cancellieri indagata

Ansa

L’ex ministro della Giustizia Annamaria Cancellieri indagata dalla procura di Roma con l’accusa di false dichiarazioni a pubblico ministero in merito alle sue telefonate con i Ligresti, per le quali era finita nella bufera . Lo scrive il quotidiano Repubblica. Antonino Ligresti, fratello di Salvatore, era finito agli arresti domiciliari lo scorso 17 luglio assieme alle figlie Giulia e Jonellain merito all’inchiesta Fonsai.Il fascicolo era arrivato dalla procura di Torino a quella di Roma per competenza. Inizialmente non aveva indagati nè ipotesi di reato ma agli atti erano finite alcune telefonate dell’allora Guardasigilli con Antonino Ligresti, nei giorni in cui pendeva la richiesta di arresti domiciliari per la figlia Giulia, malata di anoressia. La Cancellieri si era mossa in prima persona, azione che le era valsa una mozione di sfiducia nei suoi confronti,poi bocciata dalla Camera

L’auto elettrica da 5000 euro: in Germania la produzione che cambierà il mercato delle 4 ruote

http://www.infiltrato.it/lifestyle/moda-tendenze/l-auto-elettrica-da-5000-euro-in-germania-la-produzione-che-cambiera-il-mercato-delle-4-ruote

Scritto da Redazione Infiltrato.it | Pubblicato Martedì, 07 Maggio 2013 05:51

Mentre ognuna delle auto elettriche finora sviluppate dalle grandi case automobilistiche costa non meno di 30mila euro, per acquistare la Streetscooter – così si chiamerà, scrive Repubblica – bisognerà sborsare solo 5mila euro.

Il sogno di un’auto elettrica a prezzi estremamente abbordabili sta per realizzarsi ad Aquisgrana. Ad annunciare alla Frankfurter Allgemeine Zeitung (Faz) che la rivoluzionaria vettura vedrà la luce nella città di Carlo Magno è Achim Kampker, presidente di “Streetscooter”, un pool di una mezza dozzina di aziende tedesche del comparto automobilistico, che sta avviando il progetto studiato da un gruppo di ingegneri della locale RWTH, il politecnico più famoso della Germania.

Mentre ognuna delle auto elettriche finora sviluppate dalle grandi case automobilistiche costa non meno di 30mila euro, per acquistare la Streetscooter bisognerà sborsare solo 5mila euro, più il costo del leasing della batteria.

“Abbiamo scelto Aquisgrana come luogo della fabbrica”, spiega il trentaseienne Kampker, professore universitario nella locale università, “poiché in questo modo i luoghi della produzione e dello sviluppo sono a contatto di gomito”.

La vettura verrà costruita a partire dalla metà del 2014 nella fabbrica appena chiusa del colosso ferroviario canadese Bombardier, con le catene di montaggio che all’inizio sforneranno ogni mese dalle 250 alle 400 vetture elettriche.

Oltre ad un’utilitaria elettrica, Streetscooter produrrà anche un furgone elettrico simile al Caddy della Volkswagen, 50 esemplari dei quali sono stati già ordinati da Deutsche Post. Il furgone elettrico di 4,60 metri di lunghezza avrà una potenza di 45 kilowatt, un’autonomia di 120 km e una velocità massima di 85 km/h.

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Processo ai No Tav. Aria nuova

http://www.tgvallesusa.it/?p=6483

Con i testi a difesa si parla finalmente dei motivi e dei contenuti della lotta al Tav. Continui battibecchi con i pm che non esitano a provocare i testi. Poi il botto a sorpresa che potrebbe essere decisivo. 

di Fabrizio Salmoni

Aula bunker, 11.3.2014.    

 

Aria molto più salubre quella che si respira da quando si sono esaurite le testimonianze dei poliziotti. Finalmente, già dalla scorsa udienza, si parla del contesto in cui sono maturati gli eventi dell’estate 2011 e la qualità stessa delle testimonianze la dice lunga su dove sta la ragione e dove la violenza. Oggi si è avuta l’impressione che il vento stia lentamente cambiando. Lo si è sentito dalle tante opposizioni dei pm respinte dalla Corte che sembrava voler ascoltare qualcosa di più rispetto a chi ha tirato una pietra e dove. Del resto, con le trappoline del “capitolato” ci avevano marciato a lungo i pm quando si trattava di interrogare i poliziotti: domande solo sulle lesioni e non altro. Oggi gli argomenti li dettavano gli avvocati e a poco sono serviti i

tanti tentativi di estrarre dettagli controproducenti ai testi. E il Tribunale fortunatamente si è mostrato coerente. Il risultato è stato un crescente nervosimo dei pm che si abbandonavano a commenti ironici a mezza voce (colti e denunciati a verbale dalla controparte) o a domande crudemente provocatorie (respinte) quasi a cercare il titolo sui giornali più che un risultato effettivo.

Al momento giusto, le difese hanno prodotto a sorpresa il colpo di scena: una lettera della Presidenza del Consiglio dei Ministri datata 24 Maggio 2013, indirizzata al deputato cittadino 5 Stelle Ivan Della Valle (che aveva fatto richiesta di precisazioni) e per conoscenza al Ministero delle Infrastrutture in cui si dichiara che a quella data non risultava pervenuto alcun progetto esecutivo del cantiere!  La lettera, messa subito agli atti e porta cortesemente ai pm dall’avv. Bongiovanni ha avuto l’effeto immediato di far cadere il silenzio in aula e il sorrisino ironico dalle facce dei pm. C’è stata la netta sensazione che fosse stato calato un asso decisivo, perchè senza progetto esecutivo decade la legittimità dell’apertura forzata del cantiere e di conseguenza ne risultano legittimate le reazioni.

Fino ad allora gli sforzi dei procuratori si erano rivolti prevalentemente a sondare l’attendibilità dei testi tramite domandine trappola sulla relazione fra tempi dell’azione e posizione dei testimoni con l’ausilio dei filmati e del relativo minutaggio. Tentativi mai andati a successo malgrado insistenze e pressioni per la sicurezza dei comparenti e anche grazie alla buona coordinazione tra quelli e i difensori che intervenivano con opposizione nei momenti più critici. L’altro punto che i pm cercavano di far emergere era la successione dei tempi dell’aggressione puntando naturalmente sulla reazione della polizia alle pietre dei manifestanti ma anche qui hanno incassato multiple conferme del contrario.

Sono sfilati in sequenza: Giorgio Vair (amm. S. Didero e capogruppo maggioranza in Com. Montana), Valentina Cancelli (amm. Avigliana) , Davide Bono (cons. regionale 5 Stelle), Paolo Anselmo (Cattolici per la vita della Valle), don Silvio Bertolo (parrocchia Almese), Chiara Sasso (giornalista), Claudio Giorno (tecnico Com. Montana), Marco Villa, Chiara Usseglio.

Giorgio Vair. Racconta la storia della Libera Repubblica della Maddalena e cosa ha significato per i valsusini. Ricorda di aver partecipato alla fiaccolata del 26 Giugno sera e di essere rimasto a presidiare l’area insieme a centinaia di altre persone e molti degli amministratori. Conferma che l’area era stata regolarmente autorizzata e che era stato deciso in assemblea di attuare resistenza passiva all’arrivo della polizia. Quando si scatenano i gas lacrimogeni, Vair chiama il cap. Mazzanti per chiedere spiegazioni e ci litiga per telefono. E’ tra gli ultimi a lasciare il piazzale : si ritira sul sentiero di Ramat sotto una pioggia di lacrimogeni che rischiano di incendiare la boscaglia. Vede i più anziani rimanere indietro e patire più di altri i gas venefici, poi constata gli atti di vandalismo sulle tende del presidio, tagliate e insozzate dalla soldataglia. Ricorda il gesto di Turi Vaccaro sull’autostrada.

Ci sono le prime opposizioni della pm Pedrotta che cerca di andare “fuori tema”. Vair ha ancora il tempo di precisare che l’area del cantiere era esterna all’area presidiata.

L’imputato Tobia Imperato ottiene di poter leggere una descrizione sulla natura dei gas Cs e sugli effetti che essi provocano e l’intervento è messo agli atti.

Valentina Cancelli. Racconta la sua esperienza della LRM. Il 27 Giugno mattina era alla centrale elettrica su via Avanà insieme ad altri amministratori e assiste dal muro al tentativo della polizia di agganciare le catene al cancello per strapparlo via; vede l’imputato Fissore che tenta di respingere con la stampella gli scudi degli agenti, vede il successivo lancio di lacrimogeni a tiro diretto sui manifestanti e fin sulle vigne sovrastanti. Si ritira sulla strada per Chiomonte e da li vede il piazzale che si satura di gas. Un filmato agli atti conferma lo sparo dei lacrimogeni precedente la reazione dei manifestanti.

 Davide Bono. Il 27 Giugno mattina è alla centrale elettrica e vede il tentativo di aggancio  del cancello e i lacrimogeni sparati immediatamente dopo. Semisoffocato, ripiega sul muraglione a lato della strada e prosegue per il piazzale dove arriva a sgombero completato e partecipa ai negoziati tra amministratori e dirigenti delle forze dell’ordine per il recupero dei materiali.

I Pm cercano di metterlo in difficoltà ma lui se la cava  solo con qualche esitazione. Loro ridacchiano e fanno pesanti considerazioni a mezza voce per cui insorgono gli avvocati e danno luogo a un fitto battibecco.

Paolo Anselmo. Racconta delle sue frequentazioni alla LRM e della costruzione del pilone votivo a cui col suo gruppo si rivolge in preghiera la sera del 26 Giugno perchè venga risparmiata la Valle. Dopo l’assemblea che decide la resistenza passiva, passa la notte sul piazzale e descrive al Tribunale la folla eterogenea dei presenti: giovani, anziani, famiglie, sindaci. Quando il piazzale viene avvolto dai gas, senza che ci fosse stata da quella parte alcuna violenza, scappa sul sentiero di Ramat, cade più volte soffocato, vede altri come lui in difficoltà e a fatica raggiunge infine, esausto, il piazzale della frazione Ramat.

Don Silvio Bertolo.Quando viene chiamato, dai banchi dei pm altro sarcasmo “Arriva il prete vero...”. Lui forse non sente o non dà retta mentre dai banchi delle difese si rumoreggia. Racconta di aver partecipato a diverse marce No Tav ed in particolare alla fiaccolata del 26 sera; del disagio riscontrato nelle comunità parrocchiali di Valle per l’incedere della contrarietà al progetto e di aver quindi pregato più volte al pilone per la salvaguardia e il rispetto del creato. Nega di aver visto barricate sull’Avanà la sera del 26 Giugno

Chiara Sasso. Descrive nei dettagli le attività della LRM e ne collega lo spirito con i presidi del 2005. Il 26 sera aspetta Marco Revelli a Chiomonte e con lui raggiunge il piazzale dove si sta svolgendo l’assemblea che ratifica la decisione di resistenza passiva in caso di sgombero. Oltre a Revelli, con lei quella sera c’è anche Giulietto Chiesa con cui rimane sul piazzale a vegliare in attesa degli eventi. La pioggia di lacrimogeni copre il piazzale e molta gente sta male e ripiega verso il bosco. Con Chiesa raggiunge Ramat dove la gente del paese li accoglie e soccorre gli intossicati.  Riferisce che sul piazzale non ha visto nè caschi nè armi improprie, solo “gente normale”. La pm Pedrotta ironizza e le chiede, mostrandole un fotogramma degli scontri, se la “gente normale” era quella con caschi, pietre e vestita di nero, o se era gente venuta da fuori. Lei risponde: “C’erano i valsusini, la gente che si vede tutti i giorni per strada e nei negozi…”

Si alza Rinaudo e con la delicatezza che lo contraddistingue le chiede di brutto se è vero che suo marito è stato in Prima Linea ma è un abbaglio, un’omonimia e Rinaudo si risiede tra i boati.

Claudio Giorno. Vuole strafare e parla troppo. I pm si buttano a pesce e lo mettono in difficoltà sulla sua posizione quel mattino del 27 rispetto agli incidenti presso la barricata Stalingrado.  Gli fanno vedere fotografie con l’ora e gli chiedono come mai non ha visto quello che si vede in foto.Lui si districa un po’ in affanno e Padalino insiste con poca grazia. Qualche commento ad alta voce dal fondo dell’aula e il Presidente espelle una donna.

E’a  questo punto che opportunamente l’avv. Bongiovanni introduce la lettera della Presidenza del Consiglio e l’incidente sembra ribaltare la situazione. Tra il pubblico si levano silenziose braccia a ombrello.

A completare un senso di soddisfazione ecco il teste Marco Villa, un personaggio singolare. Ricorda Peter Sellers in Hollywood Party per naturalezza e candore e risponde con una sua particolare sicurezza alle domande incalzanti del controesame. Parla con proprietà ma a brevi pause un po’ strascicate, sembra in difficoltà e tiene tutti sulla corda e invece oppone le risposte giuste con un atteggiamento che pare dire “Facile no?” e un sorriso disarmante da Hrundi Bakshi. La tensione si stempera e tutti se la ridono in silenzio perchè, malgrado le apparenze, se la cava benissimo. Il 26 giugno è alla cancellata dell’Avanà, vicino a Fissore, dopo essere calato all’alba dal piazzale. Descrive la situazione con semplicità e controbatte a modo suo ai pm che si arrendono in fretta. Un mito.

 

Chiara Usseglio. Racconta del suo coinvolgimento nell’organizzazione logistica della LRM e dà una bellissima descrizione della natura collettiva di quell’esperienza. Sottolinea la condivisione dell’informazione e dello studio praticato tramite decine di incontri che affrontavano gli argomenti più disparati con l’aiuto di professori ed esperti. E’ un bel quadro di cosa è veramente stata la LRM ma realisticamente “…non ha mai pensato che le forze esterne che volevano impadronirsi del territorio ci avrebbero lasciato stare. Si era deciso con fermezza di rimanere ma non mi aspettavo di dover far scappare mio padre sui sentieri…”. E’ la descrizione della gente “normale” che popolava la Maddalena a far scattare ancora il sarcasmo di Padalino “C’erano anche donne incinte?” E a ruota la Pedrotta, insinuante, insistente, tenta di farle fare dei nomi ma si scatena la bagarre delle opposizioni.

Da queste poche righe avrete capito quale tensione domina questo processo e non è detto che abbia toccato il culmine. E’ evidente l’obiettivo dei pm di screditare i testi, riportare il quadro sui singoli atti di violenza, puntare sulla tesi degli “esterni” violenti, stabilire la successione degli atti violenti a sfavore delle forze dell’ordine. Non sarà facile neanche per loro e rischiamo di vederne ancora delle belle.

La prossima udienza del 24 Marzo si preannuncia altrettanto interessante: compariranno tra gli altri, Pinard, Marco Scibona, l’ex prefetto Di Pace e Giulietto Chiesa.

NO TAV, BENNI SCRIVE A UN DETENUTO “RESISTI, COMBATTI PER CIÒ IN CUI CREDI”

http://www.lastampa.it/2014/03/11/cronaca/no-tav-benni-scrive-a-mattia-in-carcere-resisti-combatti-per-ci-in-cui-credi-tVlKUQrczQ7YWnPQUXd0MK/pagina.html

ALTA VELOCITÀ – 11/03/2014

Lo scrittore ha inviato una lettera a uno dei quattro giovani in carcere, con l’accusa di terrorismo, per un attacco a un cantiere della Torino-Lione

Stefano Benni

 TORINO

«A volte si è più liberi dietro un muro che in un deserto di indifferenza. Tieni duro». Si chiude così la lettera che lo scrittore Stefano Benni ha indirizzato a uno dei quattro giovani No Tav in carcere con l’accusa di terrorismo.

 «Tu – ha scritto – hai scelto di batterti per le cose in cui credi. Finché ci saranno giovani come voi, anche se diversi nelle idee e nelle forme di lotta, mi viene da pensare che questo paese abbia ancora un pezzo di anima e un respiro di speranza».

Il destinatario della lettera, Mattia Zanotti, con Niccolò Blasi, Chiara Zenobi e Claudio Alberto, era stato arrestato dalla Digos il 9 dicembre scorso. I pm Antonio Rinaudo e Andrea Padalino accusano i quattro militanti di aver avuto uno ruolo direttivo nel corso dell’attacco al cantiere della Torino-Lione avvenuto la notte tra il 14 e il 15 maggio scorso, e di aver lanciato bombe-molotov e bengala a pochi metri dall’ingresso del tunnel geognostico, dove stavano lavorando gli operai addetti allo scavo.

Voto di scambio a Napoli, gli arrestati al telefono: “Trenta euro a persona”

http://www.ilfattoquotidiano.it/2014/03/10/voto-di-scambio-a-napoli-le-intercettazioni-cinquanta-euro-a-persona/908396/?fb_action_ids=491930514268964&fb_action_types=og.recommends&fb_source=other_multiline&action_object_map=%7B%22491930514268964%22%3A373879019417292%7D&action_type_map=%7B%22491930514268964%22%3A%22og.recommends%22%7D&action_ref_map=%5B%5D

 Ecco come sono stati incastrati il consigliere comunale Pdl Gennaro Castiello e i suoi collaboratori, finiti ai domiciliari. Il Gip spiega che le persone da corrompere erano cercate nei quartieri più degradati della città

Carabinieri

Voti acquistati a pacchetti. Voti comprati a 20-30 euro a cranio. Voti cercati, scrive il Gip di NapoliTommaso Miranda, “nei quartieri più degradati della città, connotati da elevata povertà ove la ricerca del consenso dietro corresponsione di denaro è, evidentemente, più agevole”. Il fruscio del denaro contante registrato dalle microspie dei carabinieri, che lo annotano in informativa. La politica è morta nelle 35 pagine dell’ordinanza di custodia cautelare agli arresti domiciliari che inchioda il consigliere comunale di Napoli Gennaro Castiello, eletto nel 2011 nelle fila del Pdl, e tre suoi collaboratori alle accuse di voto di scambio avanzate dal pm Giancarlo Novelli, tra cui Domenico De Santis e Mario Maggio.

Castiello si era candidato alle politiche del 24 e 25 febbraio 2013 come numero due nella circoscrizione Camera di Napoli del Mir, la lista di Samorì alleata con Berlusconi. Castiello è incastrato da decine di intercettazioni telefoniche e ambientali disposte nei giorni immediatamente precedenti e successivi alle consultazioni. Parla lui, parlano i suoi galoppini. Parlano molto. Con disinvoltura. Il 20 febbraio 2013, quattro giorni prima delle elezioni, la cimice piazzata in una Chevrolet Kalos registra questo sfogo di uno di loro: “Perché siamo noi che siamo andati a rompere il cazzo alla gente, non è stata la gente che è venuta vicina a noi e ci ha chiesto qualche cosa”. Noi siamo andati a dire: “Guagliò, venti, trenta euro per voto… erano cinquanta euro per voto… trenta euro glieli davano a loro e venti a noi; e siamo andati noi vicino le persone”.

E ancora, sempre nella stessa auto, uno degli indagati dice: “Ma adesso che ce ne stavamo andando Gennaro Castiello ha dato un mazzo di soldi a quello che abbiamo salutato, a quella persona che stavamo salutando nelle scale… a quello scuro che Mario l’aveva chiamato al telefono. Gli ha dato una mazzetta di soldi…”.

Un altro indagato parla tre giorni dopo il voto: “A P. l’ha pagato?”. Risposta: “P. è stato pagato prima, durante e dopo: per quello che ha portato… In tutto ha portato sessanta voti”. P. ha chiamato Castiello il 14 febbraio: “… Ma non lo tieni un pesce per andare a prenderci una cosa di soldi da qualcuno…”.

Si sa che i patti in politica possono sfumare. O non essere rispettati del tutto. Intercettazione telefonica del 22 febbraio 13, alle ore 23.38. Il chiamante è arrabbiato: “Franchetiello stammi a sentire… lo sai cosa ha fatto questo figlio di mazzo scassato… questo si è chiavato i soldi di Samorì in tasca e a noi ci ha fatto…”. “Non ha avuto niente, io ho parlato con Amedeo quello è l’uomo di Samorì”. “Ma tu pensa una cosa… lui mi ha fatto fare ristoranti, mi ha fatto fare pizzeria… fuori i bar soldi con la pala… mi ha fatto dare 50 euro a 10 rappresentanti di lista neanche le deleghe tengo… al primo che vado a mettere il pesce in bocca è A. B. Io stasera lo devo vedere perché io non prendo sonno ma neanche lui deve dormire”.

Al telefono sono continui i riferimenti a “regali” e “cose per te”. E ad urne chiuse è un continuo rincorrersi a chiudere i conti e intascare il pattuito. Intercettazione ambientale del 28 febbraio, due indagati parlano tra loro in macchina.

Domenico De Santis (D. D.): “Ma non gli ha dato niente Samorì”?

Mario Maggio (M. M.): “Che è”?

D. D: “Non gli andato niente Samorì”?

M. M: “Non lo so, non ma quello a parecchi di loro ha già pagato Mimì”

D. D: (incomprensibile)

M. M: “A parecchi di loro li ha pagati e già questo è un buon segno”.