‘PEPE’ une plongée dans l’Espagne franquiste

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TEM posts - BD pepe (2013 12 01) (1)

Carlos Gimenez

Éd. Les Échappés

Barcelone, années soixante. José González, celui qu’on appelait Pepe, n’est plus le gamin modeste du Barrio Chino. Devenu dessinateur dans une grande agence espagnole, sa renommée dépasse les frontières, notamment grâce à sa mythique et très sexy Vampirella.

C’est cette période qu’aborde ce Tome 2.

Dessinateur génial mais insouciant invétéré, Pepe séduit les femmes et multiplie les échecs amoureux avec les hommes. Son humour et son talent charment pourtant tous ceux qu’il croise, la midinette comme le général.

De la métamorphose de son service militaire en flamboyant spectacle à l’accueil de star qui lui est réservé à New York, et de l’Espagne franquiste à l’avènement de la démocratie, Carlos Giménez nous entraîne dans les pas de celui qui dessina les plus belles femmes de la bande dessinée.

UNE FORMIDABLE PLONGÉE AU COEUR DE L’ESPAGNE DE FRANCO …

Si tout le monde connaît la mythique et très sexy Vampirella, peu d’entre nous connaissent son auteur. Pourtant José Gonzalez, celui qu’on appelait Pepe, fut un personnage exceptionnel et un remarquable artiste. Chanteur à la carrière aussi brève que flamboyante, homosexuel qui a fait son coming out dans l’Espagne franquiste, son talent de dessinateur fut reconnu dans le monde entier et inspira bien des carrières.

TEM posts - BD pepe (2013 12 01) (2)

Carlos Giménez l’a rencontré au studio Selecciones illustradas et il est devenu un ami proche. A la mort de Pepe, il a décidé de lui consacrer une BD. Cette BD, qui devait faire 50 pages, compte aujourd’hui 5 tomes, tant la vie du dessinateur fut remplie d’anecdotes improbables et hilarantes.

Le premier tome de cette série relatait l’enfance de Pepe dans les rues du Barrio Chino, quartier populaire de Barcelone, et ses premiers pas de dessinateur. Dans ce nouvel opus, Carlos Giménez poursuit l’histoire de celui qui dessina les plus belles femmes de la bande dessinée : son service militaire, son manque d’ambition contradictoire avec son incroyable talent, son succès auprès des femmes, ses échecs amoureux avec les hommes…

Une formidable plongée au coeur de l’Espagne de Franco et dans le petit monde des dessinateurs de BD des années 60.

GIMENEZ : UN GRAND DE LA BD EUROPEENNE

TEM posts - BD pepe (2013 12 01) (4)

Carlos Gimenez est né le 16 mars 1941 dans le quartier des ambassades de Madrid. Après une enfance difficile passée au sein d’organismes religieux très stricts de la dictature franquiste, sa carrière débute lorsqu’il rencontre le dessinateur Lopez Blanco. En 1959, il devient alors son assistant sur “Las Aventuras del F.B.I.”. En même temps, il réalise quelques récits intitulés ‘Curiosidas” pour l’éditeur Ibergraf. En 1961, il dessine quelques épisodes de la série policière “Drake & Drake” ainsi que quelques récits de guerre pour Maga. En 1962-63, il travaille sur “Buck Jones” (Buck John en France chez Impéria) pour le marché français. De 1963 à 1967, il collabore le temps de 24 épisodes de 20 pages avec Manuel Medina sur Gringo pour le compte de l’agence Selecciones Ilustradas de Barcelone.

C’est d’ailleurs pour mieux suivre des paiements ayant tendance à prendre du retard qu’il décide d’aller habiter dans la capitale catalane. Gringo est la première oeuvre importante de Gimenez. D’abord conçu pour l’export (dont la France dans Totem (2e série)), cette série connaitra de nombreuses rééditions dans son pays d’origine. En 1967, Gimenez forme «el grupo de La Floresta» avec ses compères Adolfo Usero, Esteban Maroto, Luís García et Suso Peña avec qui il réalise «Alex, Khan y Khamar» pour l’agence José Ortega, une bande à destination du marché allemand. A la même époque, il dessine aussi quelques épisodes de Delta 99 sur une idée de José Toutain et un scénario de Jesús Flores Thies (puis de Victor Mora) que l’on peut lire chez nous dans Vick et Safari. Il multiplie alors ses travaux comme des épisodes de Tom Berry et Kiko 2000 pour le marché allemand, il crée Copo Loco y Cómputo (1969) une série de SF humoristique ou dessina Dani Futuro (1970) avec Victor Mora. En 1971, il récidive avec Mora sur Ray 25. Dans le début des années 70, il adapte l’Odyssée d’Homère ou L’île au trésor […]

Éditeur : Les Échappés

Langue : Français, traduit de l’espagnol par Alexandra Carrasco-Rahal

88 pages

Format : 22 x 29,6 cm

ISBN : 978-2-35766-065-6

TEM / 1er déc. 2013 /

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COREE DU NORD : LA RUSSIE TIRE CONTRE SON CAMP !

Luc MICHEL/ En Bref /

avec PCN-SPO – La Voix de la Russie/ 2013 12 02/

Voici dont la Russie de Poutine qui prend part aux sanctions contre Pyong-Yang.

« La Russie introduit des sanctions contre la Corée du Nord » annonçait hier la Radio ‘La Voix de la Russie’ …

LM.NET - EN BREF sanctions russes ctre la Rpdc (2013 12 02) FR

Je suis un ami de la Russie. Et je me bat depuis trente ans pour que Moscou, le dernier état véritablement indépendant en Europe, retrouve un destin digne de la “Troisième Rome” comme Piémont d’un “Risorgimento” de la Grande-Europe. De Vladivostok à Reykjavik et Québec. Mais un ami doit aussi savoir dire les choses telles qu’elles sont.

Poutine est un grand président et il a remis le Navire Russie à flot. Mais là, comme quand la Russie de Medvedev en mars 2011 a laissé les occidentaux assassiner la Jamahiriya de Kadhafi, Moscou tire contre son camp !

La RPDC, la Corée du Nord, défend une politique d’indépendance nationale autour de la dissuasion nucléaire « du faible au fort » (selon la théorie du Général Gallois, qui fut aussi notre camarade de combat en Yougoslavie agressée). C’est ni plus ni moins qu’un « Gaullisme nord-coréen).

La Russie est atteinte de schizophrénie.

Comme l’était la France post gaulliste. Avant que les Neocons à passeports français de Sarkozy ne soumettent à nouveau Paris à l’OTAN. Avant que les sociaux-démocrates à passeports français de Hollande ne fassent de la France l’allié privilégié de Washington dans le nouvel ‘Axe stratégique Washington-Paris’. Avant qu’un autre « parti de l’étranger » – dixit de Gaulle -, celui des Likudniks à passeport français n’aligne Paris dans une seconde soumission, celle de Tel-Aviv et du Sionisme …

D’un côté la Russie tient la dragée haute aux USA et à ses valets occidentaux et arabes.

De l’autre elle entend considérer les mêmes comme « des alliés dans la lutte contre le terroriqme ». Ce piège des régimes Bush II et Obama. Elle dialogue avec l’OTAN et la Maison blanche.

Les mêmes qui organisent en ce moment, via leurs domestiques de l’UE, une « révolution de couleur » à Kiev contre les intérêts géopolitiques vitaux de la Russie. Qui déstabilisent la Moldavie. Les mêmes qui ont tenté le même scénario contre-révolutionnaire contre Poutine à Moscou même de décembre 2012 à mars 2013.

La 5e colonne est déjà là en Russie. Celle des libéraux à passeports russes. Depuis les Années Gorbatchev. Elle a déjà détruit l’URSS – cette « catastrophe géopolitique du XXe siècle » dit Poutine -, elle l’a pillé dans les années 1992-2000. Et elle attend son heure à nouveau …

Participer aux sanctions contre la Corée du Nord est un mauvais signal donné à cette cinquième collonne libéralo-occidentale. La place des libéraux russes est avec les oligarques type Kodhorovski. Ou avec ceux d’Ukraine type Timochenko. Elle est où devraient être nos banksters de l’UE. En prison !

Luc MICHEL

Photo : ‘LA CAUSE DES PEUPLES’, revue coéditée par le PCN et le MEDD-MCR …

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Riscaldare casa a 20 euro l’anno? Dal 2013 con E-cat forse lo si potrà fare

http://lospiritodeltempo.wordpress.com/2012/02/07/riscaldare-casa-a-20-euro-lanno-dal-2013-con-e-cat-forse-lo-si-potra-fare/

Pubblicato: 7 febbraio 2012 da ive in EnergiaNews & Articoli 

Traduzione a cura di Ezio Marano

Se tutto va bene, dovreste presto essere in grado di aggiungere al vostro riscaldamento centralizzato esistente un dispositivo rivoluzionario da 400 a 500 dollari / euro con cui potrete riscaldare la vostra casa con una sola cartuccia riciclabile a base di polvere di nichel, per meno di 20 dollari / euro all’anno.

Fino a poco tempo fa, il prezzo del dispositivo è stato stimato a $ 4,000. Grazie alla volontà del suo progettista, l’ingegnere Andrea Rossi (1950), alla partnership industriale con National Instruments negli Stati Uniti, e alla produzione altamente automatizzata, il prezzo è stato diviso per dieci, al fine di tagliar le gambe al mercato di copie per il reverse engineering che sicuramente appariranno una volta che il sistema sarà avviato in larga scala. Obiettivo: 1 milione di unità domestiche all’anno dai primi mesi del 2013. (*)

Delle dimensioni di un computer portatile (il processore è della misura di un pacchetto di sigarette), e di una sicurezza proclamata come totale, questo sistema rivoluzionario, detto di reazione nucleare a bassa energia,  non emette, secondo Rossi (ed il Professor Focardi – Università degli Studi di Bologna) alcuna radiazione o emissione di alcun tipo.

Il nichel è abbondante sulla Terra e non è costoso, ma è tossico, soprattutto in polvere, e il trattamento deve essere fatto da professionisti. La quantità di nickel consumato nel processo è estremamente ridotta. Per farsene una idea, secondo Andrea Rossi, un solo grammo può produrre 23.000 megawatt/ora di energia (sì, ventitremila megawatt/ora !).

L’E-cat è un sistema rivoluzionario che utilizza il calore di polvere di nichel, un’infima quantità di idrogeno, uno o più catalizzatori specifici, come pure delle frequenze radio per mettere in moto le forze repulsive (Coulomb) tra le particelle subatomiche in modo vantaggioso, un po’ come ciò che accade nelle arti marziali orientali.

Al momento del lancio, il processo di preriscaldamento del sistema consuma 3000 watt per un’ora. Poi, una volta avviato, il consumo di potenza diventa insignificante, come un computer, producendo una quantità straordinaria di energia termica per riscaldare l’acqua in modo stabile e controllato a 120°C. Il sistema può essere completamente fermato nel giro di 30 a 60 minuti.

L’E-cat è in corso di certificazione negli Stati Uniti da UL (Underwriters Laboratories). Una fabbrica completamente robotizzata sarebbe in costruzione, a quanto sembra in Massachusetts, con National Instruments come partner industriale.

Nel giro di 12 a 24 mesi, il sistema sarà anche in grado di generare elettricità, una volta superate le difficoltà di mantenere la temperatura a 400°C (anziché gli attuali 120°C).

La distribuzione e la vendita saranno effettuate attraverso partner autorizzati, nonché via Internet. Pre-ordini, senza impegno finanziario, possono essere effettuati già da ora tramite il sito Ecat.com.

Visti i rischi inerenti a questo tipo di avanguardistico progetto industriale, Andrea Rossi non vuole in questa fase aprire il capitale a degli investitori privati, accettando il solo sostegno  delle imprese e organizzazioni che intendono investire piccole somme di denaro.

In conclusione, questi pensieri di Brian Josephson, Premio Nobel per la Fisica 1973: “Ad oggi, non vi è alcuna base per dubitare delle affermazioni di Rossi” e “reattori del tipo Rossi sono già in produzione e secondo M. Dennis Bushnell Chief Scientist alla NASA, potrebbero “cambiare completamente la geo-economia, geopolitica e risolvere i problemi del clima e dell’energia“. (link)

Se confermato, sembra che siamo davvero in presenza di un cambiamento di paradigma nel settore dell’energia. Probabilmente paragonabile alla scoperta della ruota o del fuoco.

A titolo di paragone, il progetto di fusione internazionale (molto) calda ITER a Cadarache (Francia), dal quale, si spera, a botte di decine di miliardi di euro di denaro pubblico, poter estrarre i primi kilowatt tra cinquanta anni o più e di cui oggi si conosce meglio il carattere altamente aleatorio ed irragionevole (vedi l’articolo pubblicato il 13/01/12 su Mediapart: “ITER, il naufragio”),… può andarsi a rivestire e, soprattutto, cercare di riorientarsi verso un progetto più utile per la società.

(*) Andrea Rossi lavora da 14 a 16 ore al giorno su questo progetto e l’intervista da cui è scaturito questo articolo è stata realizzata il 15 Gennaio 2012 dopo una giornata cosi, tra le 11 di sera e l’1 del mattino. Complimenti all’artista! E tutti i nostri migliori auguri.

Fonti per questo articolo: Intervista a Andrea Rossi il 15 Gennaio dal giornalista scientifico Allan Sterling (Notizie Pure Energy Systems). Riassunto in inglese qui (link). Trascrizione dell’intervista in inglese qui (link).
Catalyst énegie Focardi e Rossi (Wikipedia, francese)

Per ulteriori informazioni: E-Cat è stato descritto sulla AgoraVox 22/12/11 (link) e 29/10/11 (link), dopo la decisiva semi-pubblica manifestazione a Bologna, di un generatore di E-cat industriale da 1 megawatt.

NDR: Nel link della fonte, qui sotto, trovate altri spunti interessanti

Fonte: au-bout-de-la-route.blogspot.com

FISCAL COMPACT, LA PIU’ GRANDE INFAMIA CHE LA TROIKA POTESSE PROGETTARE PER RENDERCI I FUTURI SCHIAVI D’EUROPA

attenzione, questo articolo istiga all’odio razziale…(così dicono i banchieri e loro sgherri politically correct, CONTESTARE LA UE significa alimentare la xenofobia, ricordate ad es tal Berardi Bifo?). Ma che sarà un problema importante il fiscal compact? Per fortuna che oggi il governo ha messo la FIDUCIA SULLE MISSIONI DI GUERRA

http://www.publicpolicy.it/governo-ultima-fiducia-missioni-internazionali-risaliva-2006-24010.html

 3 dic 2013 – I drammatici effetti del “Fiscal compact” sulle nostre vite spiegati in modo semplice

Come inciderà sulle nostre vite il Fiscal compact ?!?

Ecco cosa prevede in “Fiscal compact” all’atto pratico:

Il governo italiano, ratificando il fiscal compact dovrà nei prossimi 20 anni, portare il debito pubblico al 60% del PIL mediante una maxi manovra finanziaria all’anno. Stando ai numeri attuali (in via di peggioramento) che vedono il debito pubblico ammontare a 1966 miliardi di euro, con un rapporto tra debito pubblico e PIL del 126%, i governi che si susseguiranno per rientrare nei parametri richiesti dovranno impegnarsi a recuperare 900 miliardi di euro, che dilazionati nei 20 anni fa 45 miliardi all’anno: praticamente per un ventennio gli italiani dovranno sostenere tutti gli anni una stangata come l’ultima montiana manovra.

Mario Monti sostiene che “se il PIL italiano crescesse più del debito pubblico la somma di 45 miliardi all’anno si ridurrebbe” ma se consideriamo che lo scenario attuale è quello inverso, ovvero l’ammontare del debito pubblico è in via di peggioramento, a causa in primis dello spread elevatissimo, mentre il PIL è in contrazione, nei prossimi anni gli attuali 45 miliardi all’anno (necessari per pagare 900 miliardi in 20 anni) lieviteranno, di pari passo con l’ammontare del debito pubblico e la riduzione del PIL: 46, 47, poi 48… 50 miliardi all’anno, e così via, in quanto la somma da corrispondere annualmente è calcolata in base alla cifra necessaria per rientrare nella soglia del 60% debito pubblico – PIL negli anni (del ventennio) residui.

Ricordiamoci inoltre che è stato ratificato il Meccanismo Europeo di Stabilità: che potrà esigere qualsiasi cifra in una settimana, e potrebbe aggravare i conti: l’Italia (come le altre nazioni) non può essere in grado di rastrellare “dall’oggi al domani” cifre imponenti come quelle che il MES potrà liberamente esigere, costringendoci a fare ricorso al FMI, che non vede l’ora di prestare soldi alle nazioni per imporre le proprie condizioni. Fino ad oggi, nonostante i problemi che abbiamo, ci hanno costretto a pagare quasi 50 miliardi di euro per “salvare” le banche altrui, e non c’è motivo per ritenere che gli eurocrati non battano nuovamente cassa.

In caso di inosservanza l’Italia sarebbe sottoposta a sanzioni, che vanno dall’esclusione dai fondi europei alla sospensione di prestiti, fino alle sanzioni economiche.

 Dove troveranno i soldi per pagare questo salasso?

La pressione fiscale è già a livelli insostenibili,  (le tasse potrebbero eventualmente essere aumentate solo ai ricchi, anche se certo questa misura potrebbe rastrellare qualche miliardo all’anno e non risolvere il problema. Inoltre dubitiamo fortemente questo governo o quelli che susseguiranno abbiano intenzione di tassare i ricchi) e comunque la leva fiscale non sarebbe sufficiente e idonea, in quanto aumentando le tasse diminuiscono i consumi, e con loro il gettito fiscale, come è accaduto con le accise sul carburante, per questo, il fiscal compact rappresenterà la devastazione totale dello stato sociale, con probabili, anzi – sicuri -sostanziosi licenziamenti tra gli statali e la svendita del patrimonio pubblico, come avevamo accennato analizzando i dati del FMI.

 La svendita del patrimonio pubblico. Ribadisco: SVENDITA!

Ogni anno, entro Dicembre, i governi dovranno pagare la salatissima rata. Per racimolare i soldi, saranno costretti a mettere in vendita i beni dello stato, ad iniziare dai pacchetti azionari delle principali aziende sane rimaste (parzialmente) pubbliche: ENI, ENEL, Finmeccanica, Poste Italiane, fino ai beni immobili. Lo stato dovrà vendere in fretta, in vista delle scadenze, e questo sul mercato rende ricattabili: un po’ come avviene per le case all’asta, che vengonosempre vendute alle 3° seduta (le prime due aste vanno deserte, ed il prezzo cala vertiginosamente) gli acquirenti si presenteranno al cospetto dello Stato in extremis, quando sarà alla “canna del gas” in vista di dover corrispondere il pagamento. E il prezzo lo faranno gli speculatori. A questo aggiungiamo il fatto che, visto come funzionano le cose, non ci sorprenderemmo se qualche esponente del governo facesse gli interessi degli acquirenti, piuttosto che dei cittadini, sia per i classici “scambi di favori” che per le solite mazzette.

Questi sono gli effetti che produrrà il famoso “Fiscal compact”, la MAZZATA FINALE AI CITTADINI ITALIANI approvata in uno schifoso, trasversale silenzio dal governo, con la complicità dei falsi oppositori di regime.

FONTE:

http://gek60.altervista.org/2013/07/i-drammatici-effetti-del-fiscal-compact-sulle-nostre-vite-spiegati-in-modo-semplice/

http://bastacasta.altervista.org/p7201/

Tunnel di Ghiaccio

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Tunnel di ghiaccio presso il vulcano Mutnovsky, Kamchatka, Russia – La remota penisola della Kamchatka, una delle destinazioni tra le più ambite dai viaggiatori più intrepidi, è ricca di vulcani che si elevano oltre i 2.000 metri, ed in alcuni casi oltre i 4.000 metri. A quelle latititudini ciò significa la presenza di intense nevicate, come succede per il vulcano Mutnovsky, uno dei più attivi della Russia. Presso questo edificio vulcanico si formano, specie alla fine dell’estate, dei particolari tunnel di neve o ghiaccio, che possono raggiungere lunghezze superiori al chilometro. Sono luoghi incredibili, dal grande fascino, ma purtroppo effimeri ed instabili. Sono anche ambiti in cui accedere accompagnati da guide esperte, per minimizzare il rischi di crolli, ma che da soli valgono la spesa per il viaggio, in una delle zone più sperdute dell’emisfero boreale.

Ice tunnel at the Mutnovsky volcano, Kamchatka, Russia – The remote Kamchatka peninsula, one of the most sought after destinations among the most intrepid travelers, is full of volcanoes that rise above 2,000 meters, and in some cases over 4,000 meters . To those latititudini this means the presence of heavy snowfalls, as happens with the volcano Mutnovsky, one of the busiest in Russia. At this volcano are formed, especially in late summer, the special tunnel of snow or ice, which can reach lengths in excess of kilometers. They are amazing places, of great charm, but unfortunately short-lived and unstable. They are also areas where access accompanied by experienced guides, to minimize the risk of collapse, but that alone are worth the money for the trip, in one of the remotest northern hemisphere.

Nessun prete della Valsusa per la messa nel tunnel Tav – Val Susa, preti No Tav, niente messa in galleria

http://torino.repubblica.it/cronaca/2013/12/02/news/nessun_prete_della_valsusa_per_la_messa_nel_tunnel_tav-72529732/

La Curia ha detto no alla richiesta di Ltf di mettere a disposizione un sacerdote per la tradizionale celebrazione di mercoledì per Santa Barbara: “Non ci sono abbastanza officianti”. Si ripete il caso di un anno fa ma il vescovo Badini Confalonieri assicura: “Non c’è polemica”

MARIACHIARA GIACOSA e CARLOTTA ROCCI

Nessun prete della Valsusa   per la messa nel tunnel Tav

Alfonso Badini Confalonieri, vescovo di Susa 

Non sarà valsusino il prete che celebrerà mercoledì la messa di Santa Barbara al cantiere dell’alta velocità di Chiomonte. La tradizionale funzione del 4 dicembre, quando ricorre la festa di operai e minatori, quest’anno si svolgerà all’interno della galleria, ma il prete verrà da fuori.
Si ripete, insomma, la querelle del 2012, quando Ltf chiese alla Curia di Susa di inviare un officiante per celebrare Santa Barbara all’interno del cantiere e vicino allo scavo, appena partito: la messa avrebbe avuto il valore simbolico di una benedizione anche per i lavoratori. Ci furono molte polemiche e alla fine il vescovo Alfonso Badini Confalonieri disse che «la messa si celebra in chiesa, la questione della Tav è delicata, facilmente strumentalizzabile» e che quindi non riteneva opportuno inviare un sacerdote all’interno del cantiere.
Anche quest’anno Ltf ha chiesto la disponibilità di un prete e di nuovo si è vista rispondere un no, più inaspettato del precedente visto che meno di due mesi era stato proprio il vescovo a intervenire sul tema della Torino-Lione e sulla presenza delle forze dell’ordine in Valle sostenendo che fossero lì «a difesa dei diritti democratici, per impedire e contrastare qualsiasi atto criminale.  Se vogliamo la pace nel nostro territorio – aveva aggiunto – tutti devono collaborare a sanare le divisioni e comprendere le posizioni altrui, ascoltando gli altri e rispettando chi la pensa diversamente».
Oggi, a proposito della celebrazione di mercoledì, il vescovo Badini Confalonieri si è invece limitato a dire: «La messa si celebrerà all’interno della galleria ma non credo che ci sia nessun prete della diocesi disponibile perchè non abbiamo abbastanza officianti. Credo che il sacerdote arriverà da fuori, ma non c’è nessuna polemica»

 

Val Susa, preti No Tav, niente messa in galleria 

http://popoff.globalist.it/Secure/Detail_News_Display?ID=92324&typeb=0

Verrà da fuori il prete per la tradizionale messa di S.Barbara. Un rifiuto, quello dei parroci, che vale come un corteo da 40mila persone [Checchino Antonini]

Redazione: martedì 3 dicembre 2013 12:1

di Checchino Antonini

Sarà forse un cappellano militare delle truppe di occupazione a celebrare la messa per Santa Barbara, il 6 dicembre, nella galleria che si sta scavando in Val Susa? Il vescovo di Susa, uno con due cognomi (Baldini Confalonieri) fa il vago: nessuna polemica, ci sono pochi officianti da queste parti, il prete verrà da fuori per quella messa.

Ma Notav.info, uno dei siti del movimento, ha un’altra versione. «La verità la conosciamo tutti, è un’altra e molto più semplice. La valle di Susa rifiuta quest’opera inutile e devastante nella sua totalità, la comunità intera lotta e si espone. Gli stessi parroci insistentemente contattati da LTF, che si occupa dello scavo, hanno rifiutato. Dopo il primo rifiuto di benedizione del tunnel ancora agli inizi, lo scorso anno sempre in occasione della festa dei minatori oggi, ne arriva un altro, ancora più pesante, ancora più netto.

Crolla ogni giorno di più la giustificazione politica accampata dal commissario Virano e dai referenti istituzionali delle cooperative di costruzione-devastazione, la valle non ha cambaito idea, la valle di Susa non vuole una nuova inutile infrastruttura tra le proprie montagne. Sono le balle di fumo raccontate in tv per far credere che il progetto, modificato con le sedute dell’osservatorio speciale è ora condiviso e che solo pochi estremisti si oppongono ancora.

Rifiuti come questo hanno il peso e il valore di un corteo come quello del 16 novembre 2013, oltre 40000 no tav in marcia in una valle che conta poco più di 30000 abitanti. Sono i segni del tempo che cambia, dell’opposizione no tav che cresce e dura nel tempo. Sono piccoli segni che dicono molto».

Santa Barbara è una santa piuttosto indaffarata: è patrona di minatori, artificieri, armaioli e più in generale, di chiunque rischi di morire di morte violenta e improvvisa. Molto invocata dai militari, è anche la protettrice della Marina Militare Italiana, dei Vigili del fuoco, delle armi di Artiglieria e Genio. E trova il tempo per patrocinare geologi, montanari, lavoratori nelle attività minerarie e petrolifere, architetti, stradini, cantonieri, artisti sommersi e campanari, nonché di torri e fortezze.

Kennedy: il Secondo Attentato è Fallito

COSPIRAZIONE massonica? Doveva essere un pazzo questo presidente. Ah vi sembra che i posti chiave siano tutti occupati da grembiulini? Siete dei visionari allucinati
john-f-kennedy
di Viator
 
Quest’anno ricorreva il cinquantesimo anniversario dello attentato in cui fu ucciso il 35° presidente degli USA John Kennedy, di conseguenza l’apparato che amministra la comunicazione di massa ha pensato di intercettare il riflusso di interesse approntando un bouquet di prodotti mediatici appositamente studiati per stroncare a colpi di ottusità qualsiasi tentativo di intavolare una discussione proficua sui motivi che condannarono JFK a quella tragica fine.
 
Ancora oggi le mummie continuano a interrogarsi con aria crucciata sulla possibilità che a Dallas 50 anni fa possa essersi consumato un complotto. Eh già, perché – nonostante i molti elementi che indicano con chiarezza cristallina la matrice cospirativa dell’attentato – incredibilmente continua ad esistere un agguerrito esercito di ‘uomini di cultura’ che sostiene la tesi ‘ufficiale’ del cecchino solitario che spara pallottole telecomandate, per poi essere ucciso a sua volta – appena 24 ore più tardi, all’interno di una stazione di polizia – da un altro sparatore folle.
 
Ci si scorda di contestualizzare, aggiungendo che dopo di John fu la volta di chi aveva il potere ed i mezzi per risalire ai mandanti, ossia il fratello Bob prima, ed il figlio John John dopo, vittima di uno ‘strano’ incidente aereo nel 1999.
 
Ci si scorda di dire che la madre dell’attentatore ‘ufficiale’ ha sempre sostenuto che il figlio lavorasse per i servizi segreti statunitensi, e che fosse stato incastrato ed usato come capro espiatorio.
 
Ci si scorda di indicare – verbali alla mano – gli atti politici compiuti da Kennedy prima di essere ucciso. E’ possibile che abbia assunto dei provvedimenti capaci di motivare una simile – ESEMPLARE – esecuzione pubblica? E chi lo sa? Qui stranamente ci si concentra sulle sue presunte intenzioni; su ciò che forse avrebbe potuto fare (o non fare) se fosse scampato all’attentato. Ottimo passatempo, poco rischioso.
Se invece ci si focalizzasse sui reali provvedimenti politici ed economici entrati in vigore durante la presidenza JFK prima di quel fatale 22 Novembre 1963 – magari confrontandoli a quelli che contraddistinsero altri celebri uomini delle istituzioni cui fu riservato lo stesso trattamento forse, chi lo sa, ci si capirebbe qualcosa.
 
Ma soprattutto i censori delle teorie cospirative tendono sbadatamente a ‘scordarsi’ di sottoporre alla attenzione dei loro spettatori un curioso discorso tenuto dalla vittima in persona, lo stesso presidente Kennedy, nel 1961. Un discorso che come minimo esigerebbe di essere citato da ogni giornalista degno di questo nome, tutte le volte che sia incaricato di occuparsi dell’omicidio più famoso del XX secolo, e che invece non sembra godere dell’interesse della informazione main-stream. Che peccato.
 
Signore e signori, la parola ‘segretezza’ è ripugnante in una società libera e aperta e noi, come popolo, ci siamo opposti, intrinsecamente e storicamente, alle società segrete (ops! n.d.r.), ai giuramenti segreti e alle riunioni segrete.
 
Siamo di fronte, in tutto il mondo, ad una cospirazione (ops! – n.d.r.) monolitica e spietata basata su mezzi segreti per espandere la sua sfera d’influenza, sulla infiltrazione anziché sulla invasione, sulla sovversione anziché sulle elezioni, sulla intimidazione anziché sulla libera scelta.
 
È un sistema che ha reclutato ampie risorse umane e materiali nella costruzione di una macchina affiatata altamente efficiente la quale combina azioni militari, diplomatiche, di intelligence, economiche, scientifiche e politiche.
 
Le sue azioni non vengono diffuse, ma tenute segrete. I suoi errori non vengono messi in evidenza, ma vengono nascosti. I suoi dissidenti non sono elogiati, ma ridotti al silenzio. Nessuna spesa è contestata. Nessun segreto è rivelato. Ecco perché il legislatore ateniese Solone decretò che evitare le controversie fosse un crimine per ogni cittadino.
 
Sto chiedendo il vostro aiuto nel difficilissimo compito di informare e allertare il popolo americano. Sono convinto che con il vostro aiuto l’uomo diventerà ciò per cui è nato: un essere libero e indipendente.”
 
John Fitzgerald Kennedy – dal discorso tenuto presso l’Hotel Waldorf Astoria di New York il 27 aprile 1961 – (Audio originale).
 
Mi piacerebbe conoscere l’opinione di certi ‘autorevoli giornalisti’ in merito al tema affrontato da Kennedy in questo discorso.
 
Di contro, ciò che di JFK tende ad essere evidenziato con ‘sospetta’ insistenza, sotto le mentite spoglie di pseudo-celebrazioni con velleità veristiche – ad esempio nella serie televisiva I Kennedy – oppure indirettamente, tutte le volte che viene narrata la biografia di personaggi come Marilyn o Frank Sinatra – è che fosse un tossicomane, un fedifrago, un malato di sesso puttaniere e impenitente (splendida idea quella di giocare sulla associazione di idee assegnando a Rob Lowe il ruolo del presidente nel film Killing Kennedy) ed un burattino manovrato dal padre e dal fratello.
 
Che Kennedy fosse o meno l’uomo privato descritto in molti film e documentari, oggi non fa molta differenza. Ciò che invece la differenza la fa, è il trattamento riservato dai media alla memoria di molti altri celebri uomini pubblici, i cui vizi privati non sono mai descritti con la passione, minuziosità ed efficacia riservati alla figura di JFK. Chiunque abbia un minimo di dimestichezza con i meccanismi della meta-comunicazione sa che da anni è in corso una campagna finalizzata allo infangamento della memoria di un uomo che ancora oggi – grazie al suo eccezionale esempio di insubordinazione ai poteri forti – per i burattinai continua a rappresentare un problema, un precedente da seppellire sotto quintali di pettegolezzi e illazioni
 
La buona notizia è che la campagna sta facendo un buco nell’acqua. Un recente sondaggio della CNN conferma che JFK sia ancora oggi il presidente più’ popolare del dopoguerra, con il 90% degli americani che approva in pieno il suo operato.” Per non parlare del nostro Paese, nella cui toponomastica Kennedy è il personaggio straniero al quale sono state dedicate più vie e piazze.
 
Perciò niente da fare; missione fallita. La memoria di leader come JFK (e qualsiasi altro leader abbia esercitato il proprio libero arbitrio per disattendere le aspettative dei burattinai) continuerà a rammentare a politicanti, magistrati, intellettuali e giornalisti asserviti che differenza passi tra un uomo e uno strumento. Ancora per molto, molto tempo.
 
 
fonte: Anticorpi

TAV – IL TRENO DEI FUORILEGGE

di FERDINANDO IMPOSIMATO [ 25/11/2013]

L’Alta Velocità, voluta da affaristi e speculatori del territorio, non crea occupazione, viola le norme UE sui rifiuti ed accresce in modo enorme il debito pubblico, gravando sui più poveri, sottraendo 27 miliardi di euro (fonte Boeri, Università Bocconi di Milano) al lavoro, ai giovani, alle piccole e medie imprese, alla scuola, alla cultura e all’arte, senza alcun rischio economico per le imprese private, che non investono un solo euro. Tale enorme somma è destinata ad aumentare, perchè i costi non sono “blindati”.  E l’AV è solo a carico dello Stato, come sempre, mentre alla scuola sono state destinate poche centinaia di milioni di euro.

La legislazione italiana in materia è in contrasto con la normativa comunitaria. La Corte Europea di Giustizia ha condannato più volte  l’Italia per leggi e decreti che avvantaggiano  chi specula sull’AV senza rispettare le direttive europee sui rifiuti, con grave minaccia alla salute delle persone e all’ambiente. In questa situazione i cittadini italiani hanno il diritto di reclamare, anche con la disobbedienza civile, il rispetto della Costituzione (articolo 10: L’Italia si conforma alle norme internazionali generalmente riconosciute), nonchè delle direttive europee che, secondo la Consulta, prevalgono su decreti e leggi italiane. La disobbedienza civile contro la TAV, che distrugge l’ambiente in modo irreversibile, è presupposto di giustizia e di legalità. Afferma la Corte dei Conti sulla TAV, in una relazione del 2008: «quel che appare difficilmente controvertibile è che ai rilevanti oneri caricati sul bilancio dello Stato non corrisponde alcun provento derivante dalle operazioni finanziarie dei privati».

L’ALTOLA’ DELLA CORTE

La Corte dei Conti denunzia che «l’accollo delle due operazioni di investimento nell’AV, del 1996 e 2006,  aveva la dimensione rilevantissima degli oneri caricati allo Stato, la gravosità delle operazioni di debito, la scarsa trasparenza amministrativa e contabile della gestione del debito», e che le stesse operazioni «dovevano essere fermate prima di produrre i pregiudizievoli effetti per la finanza pubblica». Il debito pubblico, che noi tutti dobbiamo pagare, si dilaterebbe ancor di più, senza alcun vantaggio per lavoro, occupazione e giovani, ma con danni irreparabili.

La cosa triste e preoccupante, stigmatizzata dalla Corte dei Conti, è che «a livello parlamentare gli esiti non soddisfacenti (per non dire disastrosi, ndr) di questa operazione non erano stati mai oggetto di approfondita discussione ed analisi critica» (relazione dei magistrati Aldo Carosi e Fabio Viola).

Dobbiamo impedire fin da subito lo sperpero del danaro dei cittadini e la distruzione dell’ambiente e della salute. Si impone dunque una commissione di inchiesta parlamentare per accertare costi delle future opere dell’AV, il ruolo delle società partecipate (TAV e FFSS), la  fattibilità delle opere, la loro convenienza in relazione a traffico di merci e persone. La TAV  in Val di Susa, lo ribadiamo, è un vero e proprio affronto al buon senso e alla legalità: essa rientrava nel corridoio 5, per le merci che da Lisbona avrebbero dovuto raggiungere Kiev. Ma i portoghesi hanno rinunziato al corridoio 5 per gli alti costi: il corridoio dovrebbe partire da Algesiras, nel Sud della Spagna, ove però non è in programma una nuova linea, ma un ammodernamento di quella esistente per trasportare passeggeri e non merci.

Anche in Slovenia l’Alta velocità, come collegamento con l’Italia, è stata archiviata definitivamente. Per la Torino Lione sembra accertato che la Francia nel luglio 2012 richiese un forte  impegno finanziario da parte della Unione Europea, costando quella tratta, da sola, 12 miliardi di euro (Le Figaro del 12 luglio 2012). Lo stesso ministro del Bilancio francese Jerome Cahuzac riconobbe che la Francia aveva previsto una moltitudine di progetti senza avere fatto i conti con i finanziamenti e che il Governo francese avrebbe rinunziato a questa opzione, anche per via del pesante calo registrato  nel trasporto merci, sceso su quella tratta da 11 milioni di tonnellate del 1992 a quattro milioni  nel 2012. D’altra parte, oltre ai problemi del bilancio dello Stato, è necessario tener conto della volontà delle popolazioni interessate: uno dei principi fondativi dell’Unione Europea è quello di sussidiarietà, secondo cui le decisioni vanno prese col consenso dei cittadini. E in Val di Susa le popolazioni interessate sono contrarie. Forte è il sospetto sugli interessi del vasto giro d’affari che ruota attorno al partito degli speculatori selvaggi.

DALLA CULLA ALLA TOMBA

L’ex magistrato Gianfranco Amendola, esperto in materia di reati ambientali, nel settembre scorso ha messo in evidenza che i nostri governanti avevano da sempre sottovalutato  quelle terre da scavo contaminate prodotte dalle grandi opere, in particolare dalla TAV; o scavate in aree fortemente antropizzate o dismesse, già sature di residui e rifiuti di ogni genere. Ciò in contrasto con la normativa europea, secondo la quale le terre da scavo non naturali o contaminate sono, di regola, rifiuti e soggette, “dalla culla alla tomba”, ad una rigorosa disciplina europea, per evitare che provochino pericoli ed inquinamenti, sia all’ambiente che alla salute. Il che, ovviamente, comporterebbe notevoli costi ed impegni per le imprese, nonche´ per i loro titolari, e l’eventualità di subire processi penali in caso di inosservanza (ad esempio, per discarica abusiva). Circostanza spesso ricorrente nel nostro paese soprattutto in concomitanza con i lavori per la TAV.

Da 16 anni la risposta del Governo sembra essere stata uniforme agli interessi degli industriali, nel senso di volere assicurare non il rispetto, ma l’elusione della disciplina europea. Nel 2002 la UE iniziò una nuova procedura di infrazione, al termine della quale l’Italia fu condannata dalla Corte Europea di giustizia con sentenza del 18 dicembre 2007, in quanto «è giocoforza constatare che tali disposizioni finiscono per sottrarre alla qualifica di rifiuto, ai sensi dell’ordinamento italiano, taluni residui che invece corrispondono alla definizione sancita dall’art. 1, lett. a della direttiva». Intanto, numerosi costruttori fuorilegge della TAV erano stati assolti, e il danno ambientale e alla salute di molti cittadini e animali era ormai irreversibile.

Quel che conta è la “sostenibilità economica” per le imprese, non la tutela della salute e dell’ambiente. Nel 2013 il decreto del fare ritorna sulla nuova definizione delle terre da scavo e aggiunge la specificazione che queste «matrici» sono «costituite da una miscela eterogenea di materiale di origine antropica, quali residui e scarti di produzione e di consumo, e di terreno, che compone un orizzonte stratigrafico specifico rispetto alle caratteristiche geologiche e stratigrafiche naturali del terreno in un determinato sito, e utilizzate per la realizzazione di riempimenti, di rilevati e di reinterri».

Proprio mentre la Suprema Corte ribadiva, con riferimento alle modifiche del 2012, esattamente il contrario, e cioè che esse non possono riguardare un terreno composto «da materiali da riporto di provenienza antropica, oltre che da rifiuti di vario genere, costituiti da elettrodomestici o da negozi di fabbri, in nessun caso qualificabili come “suolo” o “materiale allo stato naturale escavato”».

DA VALSUSA A FIRENZE

E’ facile prevedere quale confusione si creerà nell’applicazione di questo assurdo groviglio di leggi, che consentono abusi di ogni genere nella gestione del materiale inquinante e pericoloso per la salute dei cittadini. Confusione destinata a proteggere gli interessi economici dei costruttori di grandi opere, i quali sembrano di fatto esonerati da una normativa europea vincolante, la cui violazione ha comportato la condanna dell’Italia da parte dell’Unione Europea per ben due volte, per leggi in contrasto con la tutela della salute e dell’ambiente.

La gravità delle ipotesi di reato che sono state configurate a Firenze, e che lasciano intravvedere preoccupanti complicità a tutti i livelli, ha spinto il ministro dell’Ambiente a richiedere un colloquio col capo della Procura e coi pm che indagano sulle modalità di attuazione del progetto di sottoattraversamento ferroviario AV nella città, che è patrimonio mondiale dell’Unesco.   

L’associazione ecologista Idra, costituitasi parte civile nel procedimento penale sui gravi danni ambientali prodotti dalla cantierizzazione TAV per la realizzazione della tratta appenninica Bologna-Firenze, e parte ad adiuvandum nel procedimento aperto dalla Corte dei Conti per danno erariale (circa 14 milioni di euro) a carico di pubblici amministratori e dirigenti coinvolti nell’approvazione dell’opera, ha messo a disposizione del ministro dell’Ambiente il suo capitale di informazione e i risultati delle iniziative assunte in sede europea, a partire dal luglio 2012, proprio in relazione al tema caldo che avrebbe spinto il ministro a cercare il contatto con la magistratura fiorentina: la normativa sulle terre da scavo.

Ma nessuno ne parla! E intanto il debito pubblico esplode. Ma Enrico Letta sa niente di questa tragedia italiana? E cosa ne pensa Matteo Renzi, che sembra cadere dalla nuvole? In Toscana e in Italia si potrebbe segnare il crollo di tutte le speranze di rinascita.
http://www.lavocedellevoci.it/inchieste1.php?id=647&pagina=1&pg=potere

Argentina: cattolici difendono cattedrale da manifestanti gay e abortisti

un grande esempio di tolleranza e rispetto.

Lo si esige per sé e per il proprio gruppo fino a sentirsi in diritto di NEGARE IL RISPETTO E L’INTEGRITA’ ALTRUI

DI RASSEGNA VIDEO IN RASSEGNA VIDEO · 2 DICEMBRE 2013 · 
http://www.lintellettualedissidente.it/argentina-cattolici-difendono-cattedrale-manifestanti-gay-abortisti/

Se la libertà diventa omologazione. Il caso della rapper egiziana

di Gian Maria Bavestrello – 29/11/2013

“Sono egiziana, porto il velo e faccio rap. Mi guardano storto, ma non importa”. Il caso della “rapper” diciottenne Mayam, salita alla ribalta di Arab’s got talent,  riporta al centro della scena il complesso tema della libertà e in particolare della libertà femminile in una società conservatrice.  Resta però in ombra la domanda se siamo di fronte a un’autentica domanda di libertà o di globalizzazione, di un mondo migliore e più sensibile ai nostri desideri o solo più povero di linguaggi, di forme espressive, di colori e sfumature.
Quella di Mayam è una storia scritta nel quadro di un format globale, ai margini di un genere musicale anch’esso globale, estrapolato dalle sue origini specifiche e ora in procinto, nel mondo arabo, di un nuovo salto qualitativo. Un salto di genere.
 
Appare sempre più difficile distinguere i due termini, libertà e globalizzazione, non solo in Egitto ma anche in Europa e in Italia. Innegabilmente la globalizzazione rivendica una sua versione di libertà: l’omologazione. Noi stessi ci sentiamo liberi se siamo omo-loghi,  se ci ri-conosciamo identici gli uni agli altri, parti di una società gemellare.  L’unica libertà che sembra interessare ampie fasce di popolazione, in particolare giovanile, è quella di poter essere come “gli altri”, un’aspirazione ansiogena, certamente non nuova, ma che solo oggi si pone come l’orizzonte esclusivo della ricerca di sé e non come mero indugiare nel conformismo.
 
“Sono certa – dice Mayam secondo quanto riporta La Stampa  – che in futuro non sarò l’unica e quando smetterò di rappare ci saranno tante altre come me”.  Voi “come me”, e io come gli altri, ecco il punto. Il diritto all’identità, da diritto a una propria storia e al proprio peculiare destino, si è tramutato in un diritto e in una cultura dell’emulazione, nel segno di un egalitarismo dell’anima, di un collettivismo emozionale senza comunità, di un oblio della provenienza, persino di una comune mediocrità.  Checché se ne dica, la diversità fa paura anche quando viene evocata come valore. Pochi hanno il coraggio di evidenziare come nello stesso universo omosessuale, per portare un esempio di grande attualità, prevalga il desiderio di con-formarsi al modello di famiglia etero-sessuale, basato su matrimonio ed educazione dei figli, piuttosto che la volontà di ricercare una propria via e una propria peculiare collocazione nel diritto e nella società.
Se vi sembra di vivere in un’epoca non solo povera di diversità, ma anche incapace di autentica creatività artistica, avete perfettamente ragione: la creatività è legata a doppio filo alla diversità, all’ignoto, a ciò che ancora non conosciamo e che diventa, tra le mani dell’artista, materia di “opera alchemica”. Dove la diversità cessa di esistere la creatività subisce un tracollo epocale. Noi stiamo assistendo a questo tracollo: la globalizzazione prevede una continua ripetizione dell’identico, un gioco tra le poche varianti interne a un codice linguistico e cromatico ottenuto per svuotamento dei precedenti mondi vernacolari e sostituzione di quei modelli con standard industriali basici, replicati su vasta scala, abilmente promossi attraverso l’ansia di omologazione e conformità.
E allora, buon rap egiziano a tutti.
http://www.ariannaeditrice.it/articolo.php?id_articolo=46649