PCN-SPO – Assad interview Izvestia (2013 08 27) FR

SYRIA COMMITTEES / BACHAR AL ASSAD : “LA SYRIE NE DEVIENDRA JAMAIS UN ETAT FANTOCHE DE L’OCCIDENT”

 Syria Committes – Comités Syrie /

Avec SANA – Izvestia – PCN-SPO / 2013 08 27 /

http://www.scoop.it/t/pcn-spo

  « Nous sommes un Etat indépendant et nous poursuivront la lutte contre le terrorisme »

« Les grands Etats déclencher les guerres, mais sont-ils à même de les remporter ? »

– Président al-Assad

 Dans une longue interview aux Izvestia russes, ce 26 Août 2013, le président Bachar al-Assad

a affirmé que la Syrie est un Etat indépendant qui va lutter contre le terrorisme et établir des relations avec les Etats qu’elle désire avec liberté et d’une façon qui réalise les intérêts du peuple syrien. “Le message adressé par la Syrie à tout le monde est que le rêve de faire de la Syrie un jouet de l’Occident est irréalisable”, a-t-il déclaré.

 * Interview complète en Anglais sur :

http://www.syria-committees.org/syria-committees-bachar-al-assad-syria-will-never-become-a-western-puppet-state/

  # Extraits et synthèse :

 Le président al-Assad a qualifié les accusations proférées contre la Syrie sur l’usage des armes chimiques de “totalement politisées”, précisant qu’elles interviennent après la progression réalisée par l’armée syrienne face aux terroristes.

 Le président al-Assad a ajouté que le problème qui a causé la poursuite des événements est l’entrée en Syrie d’un grand nombre de terroristes de l’extérieur, plus de dizaines de milliers, dont un grand nombre de takfiris qui portent la pensée d’al-Qaëda, et d’autres qui sont hors-la-loi.

 A une question sur l’existence d’une relation étroite entre Israël et les terroristes, le président al-Assad a indiqué que celui qui parle d’une coopération entre ces deux parties est Israël lui-même qui a proclamé, à plusieurs reprises, avoir soigné des dizaines de terroristes dans ses hôpitaux.

 “LES ETATS-UNIS ESSUIERONT UN ECHEC COMME DANS TOUTES LEURS GUERRES PRECEDENTES, A COMMENCER PAR LE VIETNAM”

 Le président syrien a qualifié d'”insensées” les accusations occidentales sur l’attaque chimique perpétrée par l’armée syrienne et a averti les Etats-Unis que leurs projets sur une intervention militaire en Syrie étaient voués à l’échec.

 “Les déclarations faites par des hommes politiques aux Etats-Unis et en Occident font fi à l’opinion publique”, a-t-il déclaré. “Les Etats-Unis essuieront un échec comme dans toutes leurs guerres précédentes, à commencer par le Vietnam, s’ils décident de mener une opération militaire en Syrie”, a-t-il ajouté.

 A propos de la commission d’enquête internationale, le président al-Assad a indiqué que c’est la Syrie qui était la première à demander cette enquête quand les terroristes avaient lancé des missiles de gaz toxique sur la banlieue d’Alep, au nord de la Syrie, surtout que les déclarations américaines et occidentales, avant cet incident et tout le long de mois, parlaient d’un possible usage par l’Etat des armes chimiques.

 “Lors des dernières semaines un dialogue avait eu lieu entre la Syrie et la commission d’enquête et nous avons mis au point des règles de coopération, où la ligne rouge est la souveraineté nationale”, a précisé le président al-Assad qui a fait noter que ce qui compte n’est pas seulement l’enquête mais ses résultats qui peut être expliqués selon l’humeur des grandes puissances.

 “Nous attendons de la Russie d’empêcher toute explication qui sert les politiques américaines et occidentales, et nous espérons expliquer les résultats d’une façon objective et de faire la distinction entre les accusations occidentales basées sur des prétentions et rumeurs et l’enquête escomptée basée sur des preuves tangibles.

 EN SYRIE C’EST UN TERRORISME QUI ESSAYE DE FRAPPER L’ETAT …

 Concernant les déclarations faites ces derniers jours sur une possible opération militaire contre la Syrie, le président al-Assad a indiqué que la situation en Syrie est claire, ajoutant ce qui s’y déroule n’est ni une révolution populaire ni des demandes de réforme mais un terrorisme qui essaye de frapper l’Etat.

 Il s’est interrogé à cet effet: “Ce n’est pas la 1ère fois que cette question est mise à la table mais qu’est ce que ces pays vont dire à leurs peuples ? Nous partons en Syrie pour soutenir le terrorisme contre l’Etat ?”.

 “Les grands Etats sont capables de déclencher les guerres mais sont-ils capables de remporter la victoire ?”, a poursuivi le président al-Assad.

 L’ALLIANCE AVEC LA RUSSIE

 Le président al-Assad, a, par ailleurs, qualifié de solides ses liens avec le président russe depuis des années avant la crise, précisant que la Russie ne défend pas le président Bachar al-Assad ou l’Etat syrien, mais elle défend en premier lieu les principes auxquels elle croit, dont l’indépendance des Etats et la non-ingérence dans leurs affaires intérieures, surtout que la Russie avait souffert et souffre toujours de cette question. “La deuxième raison est que la Russie défend ses intérêts dans la région, d’autant plus que le terrorisme qui frappe la Syrie aura ses répercussions sur la stabilité du Moyen-Orient, notamment la Syrie, et sur la Russie.

 Le président al-Assad a indiqué que tous les contrats conclus avec la Russie sont en cours d’exécution et que la crise ou les pressions américaines et européennes n’ont pas influé leur mise en vigueur. Il a précisé que ce que fournit la Russie à l’heure actuelle pour aider les Syriens à se défendre entre dans le cadre des accords militaires ce qui aboutira en fin de compte à l’amélioration de la situation économique.

 Au niveau économique, le président al-Assad a souligné que des contrats avaient été conclus avec la Russie sur les denrées et les marchandises de différentes sortes, ce qui constitue une opportunité pour que la Russie ouvre un marché plus grand devant les sociétés russes et une occasion pour la réhabilitation de l’infrastructure et la ranimation de l’économie syrienne.

 Le président al-Assad a fait état d’un changement de positions par certains Etats et d’autres qui ont commencé à rétablir des relations avec la Syrie.

 Le président al-Assad a évoqué plusieurs points qui rendent la relation syro-russe solide, dont le rapprochement culturel, social et intellectuel, à ajouter les intérêts géopolitiques et le pont social, culturel et humain dressé entre les deux pays.

 A une question sur ce qu’attend de la conférence de Genève II, le président al-Assad a indiqué qu’on ne peut pas entamer le volet politique avant l’arrêt du soutien apporté au terrorisme en Syrie par l’exercice de pressions sur les Etats y impliqués, via la mise d’un terme à la contrebande d’armes et l’arrêt de l’envoi des terroristes étrangers vers le pays. “En accomplissant cette étape, il sera facile de travailler sur les étapes politiques, à commencer par le dialogue entre les parties syriennes sur la forme de l’Etat futur, la constitution, les lois et autres.

 SANA / Izvestia / PCN-SPO

 

Tav in Val di Susa, Parigi conferma il rinvio al 2030

http://mazzetta.wordpress.com/2013/08/26/tav-in-val-di-susa-parigi-conferma-il-rinvio-al-2030-il-senatore-esposito-delira/

Pubblicato il 26 agosto 2013

 

stefano-esposito-

 

Il povero senatore del PD Stefano Esposito, un pasdaran del progetto per la linea ferroviaria TAV/TAC che dovrebbe passare per la Val di Susa, ha accolto oggi la notizia di un decreto francese con gioia ed è corso a cantare vittoria sul suo blog. Il decreto appare coerente con il rapporto Mobilité 21, che a giugno ha rimandato il finanziamento e la definizione dell’opera per parte francese oltre il 2030, ma Esposito lo ha tradotto a modo suo, scrivendo: “Secondo la propaganda dei No Tav e dei ‘tecnici’ vicini al Movimento, al di là delle Alpi sarebbe in corso un ripensamento sull’opera tanto da ipotizzare un rinvio dei lavori al 2030“. Secondo Esposito quindi “La Francia, invece, ha confermato di voler procedere e ha adottato strumenti normativi rapidi ed efficaci.”

espositoPeccato per Esposito che la lettura completa della notizia confermi invece quanto stabilito in precedenza e che il decreto appaia, al più, un osso lanciato dal governo francese ai politici transalpini, i sotenitori a oltranza del progetto che come Esposito nelle settimane scorse erano caduti nello sconforto e non ci stanno a passare per sconfitti. Il provvedimento consente loro di terminare i rispettivi mandati continuando a dire che l’opera si farà, e in politica tanto basta.

Entrando nel dettaglio si scopre infatti che il decreto è relativo agli esprori necessari per l’accesso al cantiere del futuro tunnel, dichiarati di “utilità pubblica e urgente“, ma che il tempo entro il quale dovranno essere portati a termine ha ben poco d’urgente:15 anni. Un dettaglio, questo dei 15 anni, che ovviamente Esposito ha omesso di citare nel suo blog, dove non si può commentare perché al nostro piace cantarsela e suonarsela da solo, o al più in compagnia dei giornalisti amici che lo assecondano.

Sommati i 15 anni al 2013 ormai in scadenza, si arriva quasi all’inizio del 2029 ed è chiaro quindi che il governo francese non senta il bisogno di iniziare prima l’opera, visto che senza gli espropri per accedere al cantiere, questo non può verosimilmente neppure essere allestito. Quindi, dato che secondo il governo francese c’è tempo fino al 2029 per realizzare gli esprori per gli accessi al cantiere, si tratta di  un’autorevole conferma del fatto che prima di quella data non c’è alcuna intenzione, meno che mai l’urgenza, di cominciare l’opera.

Esposito, che si è già coperto di ridicolo con comportamenti da estremista e che d’abitudine usa i social network per insultare i Notav, evidentemente non ci vuole stare, ma la matematica non è un’opinione ed è evidente che se Parigi volesse cominciare l’opera prima del 2030, non avrebbe dato tempo fino al 2029 per procedere agli espropri propedeutici alla realizzazione del cantiere.

esposito 2

Aggiornamento: Non bastasse Esposito, interviene su Twitter Michele Ferraudo, che si definisce “Positivista, razionalista, universalista, materialista, ambientalista e progressista favorevole alla libertà di ricerca, agli OGM e all’energia nucleare.avigliana.pdpiemonte.com che dice che non ho capito e che:

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Chiunque può confrontare i testi in lingua originale (quinze = 15 anche nel decreto francese all’art. 2) o anche la stessa intervista de La Repubblica a Esposito, nella quale si parla di 15 anni. Per il fine lavori infine, le fonti (AP ripresa da tutti) usano il verbo “devrait”, che traduce dovrebbe, ma come è emerso e come è confermato dal citato rapporto governativo Mobilité 21, non ci sono stanziamenti relativi all’opera da parte francese fino al 2030.

Aggiornamento: Dopo essere stato accusato di malafede manifesta, Esposito ha inserito il “dettaglio” dei 15 anni sul blog, resta da capire come si concilino i 15 anni con il “senza indugio” nella sua testa. Da notare come il post ora citi un altro pasdaran dell’opera, che afferma motu proprio che il termine dei 15 anni “è solo un termine burocratico, pare destinato a rimanere sulla carta“. Perché lo dice lui mentre s’arrampica sugli specchi.

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Torino-Lione, per i Sì Tav 15 anni in Francia equivalgono a 15 giorni. Espropri nel 2030

http://www.nuovasocieta.it/torino/torino-lione-per-i-si-tav-15-anni-in-francia-equivalgono-a-15-giorni-espropri-nel-2030.html

 

Torino-Lione, per i Sì Tav 15 anni in Francia equivalgono a 15 giorni. Espropri nel 2030

 

di Marta Tondo

Il potere dei Sì Tav riesce anche a toccare la clessidra del tempo. Già, perché tra agenzie stampa, testate nazionali e proclami bipartisan dei politici ringalluzziti, oggi si è fatta molta confusione sull’effettivo impegno da parte della Francia sul Tav.
La strombettata conferma dalla parte Oltr’Alpe che andare avanti nella realizzazione della Torino-Lione in realtà è meno di quello che si pensa.
Infatti, è vero che sul Gazzetta Ufficiale i lavori per creare un itinerario di accesso al cantiere del tunnel di Chambery per la Torino-Lione vengono definiti di “utilità pubblica e prioritari”, ma gli espropri non verranno effettuati in quindici giorni, come trapelato erroneamente in Italia, bensì in quindici anni come si può leggere nel decreto a pagina 4.
La Francia dunque non accelera affatto. Anzi le tempistiche corrispondono a quanto già annunciato, 2030 dunque, che aveva definito il Tav come un progetto non prioritario, aggiungendo che se si sarebbe dovuta per forza fare ciò sarebbe dovuto avvenire non prima del 2030.
Solo la dichiarazione di pubblica utilità e di urgenza dei lavori di corollario alla linea ad Alta Velocità indica un cambio di rotta di Parigi.
«Quinze ans», quindici anni. Che si sono però, varcando il confine, trasformati in quindici giorni.
Difficile credere che sia trattato di un involontario errore di traduzione visto che immediatamente dopo da Stefano Esposito del Partito Democratico a Carossa della Lega Nord si è levato un plauso e un attacco al movimento No Tav accusandolo di aver strumentalizzato il report della Commissione 21 che aveva battezzato come inutile la grande opera.

Tav, via agli espropri in Francia – A Venaus gli universitari del No

26/08/2013

Lo scavo della galleria geognostica a Chiomonte

La Gazzetta Ufficiale di Parigi
pubblica la dichiarazione di pubblica utilità e di urgenza dei lavori di accesso al tunnel di base
nella zona di Chambery.

maurizio tropeano

torino

La conferma che la Francia ha deciso di andare avanti nella realizzazione della Torino-Lione arriva dalla pubblicazione sulla Gazzetta Ufficiale della dichiarazione di utilità pubblica e di urgenza dei lavori per creare un itinerario d’accesso al cantiere del tunnel di base di 57 chilometri nei pressi di Chambery. Entro due settimane, così partirà la procedura di espropri di una serie di terreni situati nei comuni di Saint Jean de Maurienne, Avressieux, Francin e Montme’lian. L’iter, dunque, non si ferma e Ltf annuncia che entro la fine dell’anno sarà organizzata la gara internazionale per affidare i lavori di realizzazione del collegamento tra le discenderie di Saint Martin La Porte e La Praz lunga 9 chilometri. Nelle scorse settimane il commissario straordinario, Mario Virano, aveva spiegato: «E’ un cunicolo esplorativo ma avrà le dimensioni di una canna del tunnel di base e per questo diventerà di fatto, la prima parte del tunnel di base di 57 chilometri». Un lavoro che vale 550 milioni, la quota italiana è stata coperta da Rfi. La decisione di Parigi non ferma la mobilitazione del movimento No Tav: da oggi a Venaus parte il campeggio organizzato dai collettivi universitari e antagonisti di Bologna, Brescia, Cagliari, Catania, Cosenza, Palermo, Pisa, Roma e Torino. «La nostra ambizione – spiegano gli organizzatori – è di far tesoro degli insegnamenti della lotta No Tav nel mondo della formazione e tra il tessuto giovanile metropolitano».

 

Italia auspica missioni di pace e vende i droni della Finmeccanica

di Cristina Amoroso

 L’azienda italiana ha vinto un’importante commessa per la missione delle Nazioni Unite di stabilizzazione nella Repubblica democratica del Congo. Un aereo senza pilota Falco, costruito dalla Selex-Finmeccanica.

 Grande soddisfazione per la Rappresentanza d’Italia presso le Nazioni Unite l’assegnazione a Finmeccanica di un’importante commessa per la fornitura di un servizio di sorveglianza aerea remota alla Monusco, la missione Onu di stabilizzazione schierata nella Repubblica democratica del Congo.

 E’ stato firmato il contratto tra Selex ES, società di Finmeccanica, e il Segretariato delle Nazioni Unite per la fornitura e la gestione di un servizio aereo senza pilota (Uas) costituito da cinque velivoli Uav (Unmanned Aircraft Vehicle) “Falco”, una stazione di controllo a terra, un terminale di gestione dei dati, elementi per il supporto tecnico e logistico e capacità di analisi dei dati raccolti.

 Il compito assegnato al sistema Finmeccanica sarà di contribuire al controllo e alla sorveglianza dell’area di operazioni della missione Onu. Sicurezza dei Caschi Blu sul campo e più efficace attività di protezione dei civili da parte della Monusco le ragioni di fondo che hanno indotto le Nazioni Unite ad avvalersi, per la prima volta in una missione di peacekeeping, di aeromobili a guida remota.

 Finmeccanica è riuscita a prevalere su una concorrenza agguerrita con il velivolo Falco Uav le cui caratteristiche rispondono pienamente alle particolari esigenze operative dell’Onu nel Paese africano: raggio di azione di 250km, autonomia di volo di almeno 12 ore, sensori che consentono una visione attraverso la vegetazione e in grado di individuare, di giorno e di notte, veicoli e persone a notevole distanza.

 La notizia del 2 agosto è riportata dal giornale on line La Voce di New York, mentre Il sole 24 ore aggiunge: … E’ la prima volta che l’Onu utilizza questo tipo di dispositivi in un intervento di peacekeeping, e molti diplomatici sperano che presto i droni potranno essere usati anche nel Sudan del Sud e Costa d’Avorio. Secondo il portavoce delle Nazioni Unite Martin Nesirky, l’attrezzatura “permetterà ai nostri operatori di pace in Congo di monitorare i movimenti dei gruppi armati e proteggere la popolazione civile in modo più efficiente”. Nesirky ha aggiunto che la fornitura “inizierà nelle prossime settimane”.

 Lasciamo gli entusiasmi a chi ne trarrà guadagno. Per noi qualche riflessione. A proposito della Finmeccanica.

 Si tratta dell’azienda italiana semi-pubblica, attiva prevalentemente nella difesa e nell’aerospazio, il cui maggiore azionista è il Ministero dell’Economia italiano, conosciuta anche per commesse miliardarie ed esuberi dolorosi, sospesa tra le pressioni dell’orticello politico nazionale e la sfida dei mercati globali, seguita benevolmente dalla stampa per la squallida vicenda India -Italia- elicotteri Augusta- inchiesta tangenti- marò.

 Si tratta della stessa azienda che ha come presidente l’ex capo della polizia Gianni De Gennaro voluto il 3 luglio dal Governo Letta, nonostante le proteste dell’opposizione contro la nomina per l’uomo che fu “capo della Polizia ai tempi del G8 di Genova 2001, sottosegretario con delega ai servizi segreti durante il governo Monti”, mentre l’ex capo delle forze armate Guido Venturoni continua nel suo ruolo di vice di un’azienda che in gran parte produce sistemi d’arma e apparecchiature per la difesa.

 Si tratta di un classico esempio di “porte girevoli” dove i banchieri diventano ministri del Tesoro (e viceversa) e i militari diventano manager di industrie di stato che trafficano in armi. Tra l’altro questo è quello che prevede l’articolo 48 del decreto legge 69/2013, il cosiddetto decreto del fare. Il comma 1 del provvedimento dice chiaramente che il Ministero della Difesa può svolgere “attività di supporto tecnico-amministrativo ovvero contrattuale, per l’acquisizione di materiali di armamento prodotti dall’industria nazionale anche in uso alle Forze armate e per le correlate esigenze di sostegno logistico e assistenza tecnica”. Che significa? Semplice. Il dicastero di Mauro, attraverso i suoi rappresentanti militari più commercialmente intraprendenti, potrà incoraggiare “l’acquisizione di materiali di armamento” made in Italy, divenendo veri e propri procacciatori di affari per l’industria nazionale. La commistione tra industria militare-  politica- apparati dello stato non può che essere più evidente di così.

 Non basta. L’articolo 48 dice molto di più: “i proventi derivanti dalle attività di cui al comma 1, sono versati all’entrata del bilancio dello Stato per essere integralmente riassegnati ai fondi di cui all’articolo 619” (del codice dell’ordinamento militare). In pratica gli incassi dell’attività di intermediazione di armi da fuoco dovranno essere impiegati esclusivamente per finalità militari. Finché c’è guerra c’è speranza! E’ il caso di dirlo.

 http://www.ilfarosulmondo.it/wp/?p=23217

Riflettori sulla Siria: la guerra del Nuovo Ordine Mondiale

di Roberta Barone – 26/08/2013
Fonte: ilfarosulmondo

I riflettori sono puntati, gli attori non mancano così come la sceneggiatura, forse già abbastanza conosciuta, sembrerebbe prendere forma. E’ il palco ad assumere dimensioni mondiali mentre l’atmosfera, già abbastanza critica, finisce sotto forma di crude immagini nelle tv di ogni angolo della terra.
Anni fa avremmo parlato della Libia, oggi a far preoccupare il mondo è la Siria. Sempre di più sono le stragi di civili innocenti, scene di bambini avvelenati per la sola colpa di essere venuti al mondo in quella terra, da tempo preda di interessi strategici internazionali. La fase della guerra fredda sembrava essere superata, ma oggi sono proprio quei due blocchi a trascinarsi dietro un nuovo quanto già abbastanza consolidato sistema di alleanze. Da un lato la più grande “democrazia” occidentale, quella degli Stati Uniti affiancata a Israele, pronta a finanziare ed appoggiare con ogni mezzo i “ribelli siriani”, gli stessi che quotidianamente si macchiano di crimini orrendi compiendo stragi tra la popolazione e pubblicando foto di teste mozzate di gente che si rifiuta di combattere al loro fianco. Nonostante il parere favorevole della Francia nell’intraprendere un’azione immediata in Siria a fianco di Obama, è lo stesso quotidiano francese “Le Figaro” a sostenere che gli USA da “diversi mesi addestrano con discrezione, in un campo installato alla frontiera giordano-siriana dei combattimenti dell’esercito siriano libero”.
Dall’altro una Russia sempre più determinata a difendere la posizione del Presidente Siriano Bashar Al-Assad. D’altronde, fin dall’inizio, diverse sono state le opinioni su quelle che viene definita “crisi siriana”: lo avevamo visto quando si spaccò il G8 di Enniskillen, nell’Irlanda del Nord. In quella occasione infatti, il tema delle forniture militari lasciò scettica anche l’Europa, mentre gli americani, preoccupati per la presenza delle milizie di Hezbollah a fianco di Assad, insistettero nel realizzare tale progetto tirando in ballo la questione delle armi chimiche ed attribuendo le colpe al regime siriano.
Se è vero che anche la Russia ha i suoi interessi nel non far diventare la Siria una seconda Libia, a parlare di “Nuovo Ordine Mondiale” è stato proprio Vladimir Putin che avrebbe sbugiardato i “ribelli” inviando all’Onu le immagini e i video dei satelliti russi dove si dimostra che i razzi lanciati in Siria e responsabili della morte di circa 1300 persone, sarebbero partiti proprio da zone appartenenti ai gruppi salafiti.
L’obiettivo sarebbe quello dell’instaurazione di un Nuovo Ordine Mondiale, un mondo costituito da una gigantesca massa di individui tutti uguali (sotto la scusa dei “diritti civili” tanto cari a quella gente che si rifiuta di guardare oltre le apparenze) e pronta a sottostare al volere di pochi eletti, della finanza e delle logiche di mercato. Un progetto, quello per la Siria, che avrebbe avuto origini proprio subito dopo gli attentati alle “Twin Towers” a New York, come ha affermato il generale americano Wesley Clark.
Oggi però la Siria non è sola. Da un lato può vantare dell’aiuto di una Russia che intensificherà la sua presenza nel Mediterraneo, come ha annunciato il Colonnello Leonid Ivashov, Presidente dell’accademia russa di problemi geopolitici, dopo la decisione del Pentagono di inviare la nave da guerra USS Mahan negli stessi mari. Dall’altro, ad aggiungersi agli sciiti libanesi dell’Hezbollah vi è anche il sostegno dell’Iran che avrebbe mandato almeno 4 mila guardie rivoluzionarie in territorio siriano per sostenere l’esercito di Assad. “Siamo molto preoccupati – ha detto Abbas Araghchi, portavoce del ministero iraniano degli Esteri – per le informazioni sull’uso di armi chimiche in Siria e condanniamo con forza l’uso di queste armi. Esistono prove che sono stati i gruppi terroristici a commettere simili atti”.
“Rifiutiamo e condanniamo le minacce degli Stati Uniti per lanciare un’aggressione contro la Siria”: anche Nicolas Maduro, presidente del Venezuela, afferma che Obama si sta preparando per una guerra in Medio Oriente, un conflitto che sta già colpendo i popoli siriani ed egiziani.
Nel frattempo, come vi ha già riferito la nostra redazione, è stato scoperto un magazzino dei “ribelli” pieno di barili e maschere antigas di produzione saudita, mentre diversi soldati sono stati ricoverati in ospedale per aver inalato sostanze chimiche. Chi userebbe dunque queste sostanze e contro chi?
Gli Usa mandano gli ispettori Onu in Siria per verificare l’uso di queste maledette armi chimiche mentre il mondo, giustamente impressionato dalle crudeli e massacranti immagini di bambini avvelenati e coperti dalle macerie, presta poca attenzione nel domandarsi da chi realmente questa guerra sia voluta ed alimentata. Mentre l’Italia, dove sembrano più preoccupare le sentenze di Berlusconi piuttosto che la politica estera, diventa sempre più una portaerei americana esposta in primo luogo ad eventuali attacchi da parte dei numerosi nemici degli Stati Uniti d’America.
http://www.ariannaeditrice.it/articolo.php?id_articolo=45986

Perché Assad non si fida dei negoziatori: la trappola è pronta

fingono di attendere le prove inconfutabili. Quel che è certo è che han già deciso e traboccano di malafede.
Kerry: “In Siria attacchi chimici su larga scala, Assad responsabile”
Ma non dovevano aspettare il rapporto dell’Onu? A proposito di prove, gradirei sapere come Kerry commenta

Vladimir Putin che avrebbe sbugiardato i “ribelli” inviando all’Onu le immagini e i video dei satelliti russi dove si dimostra che i razzi lanciati in Siria e responsabili della morte di circa 1300 persone, sarebbero partiti proprio da zone appartenenti ai gruppi salafiti.FONTE

di Maurizio Blondet – 25/08/2013

Fonte: informazionescorretta

Assad armi chimiche israele ispettoriI mass media di tutto il mondo occidentale hanno scatenato una campagna informativa feroce contro il governo di Assad accusandolo di utilizzare le armi chimiche. Tralasciamo il fatto che sia Carla dal Ponte che altri invece le hanno segnalate in possesso dei nemici di Assad, ma andiamo dritti alla domanda che si pone Blondet sul sito effedieffe.it: perché Assad non accetta (per ora) di aprire totalmente agli ispettori dell’Onu? Sarebbe l’unico modo per assicurare al mondo il non utilizzo delle armi.

La risposta è che non si fida. Non si fida proprio perché il capo degli ispettori Onu è Ake Sellstrom, già nel gruppo che trovò le inesistenti armi di distruzione di massa nell’Iraq di Saddam.
E non si fida, ci riporta sempre Blondet, perché la bomba mediatica è stata orchestrata preventivamente come ha avuto modo di affermare Nizar Nayyuf ribelle siriano di base a Londra: “Abbiamo degli scambi di corrispondenza tra dirigenti del Consiglio nazionale siriano e quelli della coalizione, specialmente Georges Sabra, che comprendono indizi e segni su come preparerebbero qualcosa di grave, una sorta di bomba mediatica che esploderebbe al momento stesso in cui la commissione internazionale arriverà in Siria”.
Nella citazione è nominato Georges Sabra, presidente del Sirian National Council, principale coalizione d’opposizione alla Siria che si trova però a fronteggiare AlQuaeda più attiva nel combattere Assad. Per questo sono interessati all’intervento NATO.

Essendo la guerra praticamente finita e volando verso i negoziati Ginevra 2, probabilmente la volontà dei criminali ribelli è quella di destabilizzare, creare caos, morte..per far saltare il tavolo. Senza contare che i video in cui si vedono i bambini colpiti sono del tutto inattendibili, e richiamano più a un set cinematografico che non una realtà (dottori giovanissimi, forse ribelli? bambini dormienti e via dicendo).

Di certo Assad ha arsenali di armi chimiche che servono per difesa nei confronti di Israele che ricordiamo ha centinaia di bombe atomiche: è quindi Israele ad avere tutto l’interesse a fare il primo passo, neutralizzare Assad e le sue difese, per poi avere mano libera e, come ricorda sempre Blondet, puntare all’obiettivo di sempre: l’onnipotenza.
http://www.ariannaeditrice.it/articolo.php?id_articolo=45972