Scontro M5s-Pd sulla Torino-Lione

http://www.lospiffero.com/ls_article.php?id=38060

La minoranza minaccia di disertare il Consiglio aperto sul Tav del 14 marzo. Lavolta: “Vogliono trasformarlo in una passerella”. Invitati a parlare gli esperti Mercalli, Poggio e Tartaglia

Da una parte il Movimento 5 stelle voleva dimostrare “tecnicamente” l’inutilità dell’opera, dall’altra le opposizioni volevano dar voce a chi potrà beneficiarne per porre l’accento sulle ricadute positive. E alla fine sui binari della Torino-Lione si consuma l’ennesimo scontro. Torna la polemica sul Tav in Valsusa, oggetto di un Consiglio comunale aperto in programma per il prossimo 14 marzo.

Sulla necessità di approfondire la discussione avevano convenuto in modo trasversale i capigruppo di tutte le forze presenti in Sala Rossa, il cortocircuito, però, è avvenuto sul metodo, con le opposizioni che minacciano di disertare “la passerella propagandistica dei grillini” dice il vicepresidente del Consiglio Enzo Lavolta.  Secondo quanto riferisce l’esponente democratico, infatti, “con la capogruppo Chiara Giacosa avevamo concordato la presenza in aula di due esperti che illustrassero tecnicamente le ragioni del sì e del no”, ovviamente ogni schieramento avrebbe scelto il suo. Inoltre, il Pd aveva chiesto e ottenuto di far intervenire associazioni datoriali, industriali, esercenti, artigiani e naturalmente i sindacati. “Questo perché ci interessava non tanto fare una discussione sui processi decisionali relativi all’opera, che non attengono al Comune, quanto piuttosto conoscere le ricadute in termini economici, occupazionali e anche ambientali del Tav su Torino” prosegue Lavolta, secondo il quale ancora una volta “l’ala più dialogante del Movimento ha ceduto agli oltranzisti”.

Questa mattina, infatti, in conferenza dei capigruppo si è presentata la consigliera Maura Paoli, portavoce dei centri sociali ed esponente della frangia più ortodossa della pattuglia grillina, la quale ha fatto sapere che dopo una riunione del gruppo si era deciso di far intervenire tre esperti, senza bisogno di sentire le parti sociali. Così è se vi pare. Il M5s ha anche annunciato i nomi dei tre professionisti interpellati: il meteorologo Luca Mercalli e i professori Alberto Poggio e Angelo Tartaglia.

Tutti e tre facevano già parte del team degli undici esperti nominati dalla sindaca Chiara Appendino subito dopo il suo insediamento per comporre il tavolo del Contro-Osservatorio sul Tav. Una commissione tecnica individuata formalmente da una delibera che porta la firma del vicesindaco Guido Montanari e dell’assessore alla Mobilità e Trasporti Maria Lapietra, con il compito “di effettuare in via preliminare, approfondimenti, confronti e valutazioni sulle tematiche e sui progetti presenti e futuri della nuova linea Torino-Lione”. Centrodestra e centrosinistra hanno fatto sapere che a queste condizioni “non parteciperemo”.

ENCORE UNE ONG OCCIDENTALE DONT LA FACADE SE LEZARDE (III): LE SCANDALE S’AMPLIFIE POUR OXFAM, VISE PAR DE NOUVELLES ACCUSATIONS DE VIOL AU SOUDAN DU SUD !

 

LM/ PANAFRICOM/ 2018 02 13/

Avec AFP – Reuters/

Le scandale s’amplifie pour Oxfam, visé par de nouvelles accusations de viol au Soudan du Sud ! Le scandale entourant l’ONG Oxfam s’étend avec de nouvelles accusations, cette fois de viol contre certains de ses employés au Soudan du Sud, mettant en cause le fonctionnement de ce type d’organisation.

PORT-AU-PRINCE, HAITI - JANUARY 2011: A lartine project led and financed by Oxfam, at the tent camp where 55,000 displaced Haitians are living on the grounds of what was the Club de Petionville on January, 2011 in Port-au-Prince, Haiti.  (Photo by Jonathan Torgovnik/Getty Images)

PORT-AU-PRINCE, HAITI – JANUARY 2011: A lartine project led and financed by Oxfam, at the tent camp where 55,000 displaced Haitians are living on the grounds of what was the Club de Petionville on January, 2011 in Port-au-Prince, Haiti. (Photo by Jonathan Torgovnik/Getty Images)

Helen Evans, directrice de la prévention interne à Oxfam entre 2012 et 2015, a dénoncé sur ‘Channel 4’ l’existence d’une “culture d’abus sexuels au sein de certains bureaux”, faisant état de viols ou tentatives de viols au Soudan du Sud ou d’agressions sur des mineurs bénévoles dans des magasins tenus par l’ONG au Royaume-Uni.

ENTRE 11 ET 14% DES PERSONNELS DEPLOYES PAR OXFAM AVAIENT ETE VICTIMES OU TEMOINS D’AGRESSIONS SEXUELLES !

Selon une enquête interne menée auprès de 120 personnes dans trois pays entre 2013 et 2014, entre 11 et 14% des personnels déployés avaient été victimes ou témoins d’agressions sexuelles. Au Soudan du Sud, quatre personnes avaient été victimes de viols ou de tentatives de viols. “Cela concerne des agissements de salariés sur d’autres salariés. Nous n’avons pas réalisé d’enquête sur les bénéficiaires de nos programmes d’aide. Mais j’étais extrêmement inquiète de ces résultats”, a-t-elle révélé.

Dans un autre cas, une agression d’un mineur par un adulte commise dans un magasin a donné lieu à des poursuites, a-t-elle révélé. Selon ‘Channel 4’, cinq cas de “comportements inappropriés” par des adultes sur des mineurs ont été relevés par Oxfam en 2012/2013, et sept l’année suivante.

Une réunion prévue pour soulever ces sujets avait finalement été annulée, Mark Goldring, le directeur général de l’ONG, estimant qu’il n’y avait “rien à ajouter” au rapport établi par Helen Evans.

Interrogé par la chaine, Mark Goldring s’est excusé pour n’avoir “pas agi assez rapidement”. Mais il a assuré avoir pris la question “au sérieux”. “Nous avons répondu de différentes manières: par la vérification des faits, par la formation, par le développement d’une ligne d’assistance téléphonique”, a-t-il affirmé. Il a exclu de quitter ses fonctions, sauf si le conseil d’administration lui en faisait la demande. Lundi, la directrice générale adjointe de l’ONG, Penny Lawrence, a démissionné, après des révélations sur le recours à des prostituées et de potentiels abus sexuels par certains de ses agents en mission en Haïti et au Tchad.

LE CADRE DES ONG PROPICE AUX ABUS

A la suite de ces accusations, la secrétaire d’Etat britannique au développement international, Penny Mordaunt, a écrit à toutes les ONG pour leur demander de renforcer leurs procédures de contrôle.

Pour Mike Jennings, directeur des études sur le développement à l’Ecole des Etudes Orientales et Africaines de Londres, les situations d’urgence constituent un environnement propice aux comportements abusifs. “Vous avez des personnes extrêmement vulnérables, qui ont tout perdu bien souvent, et d’autres qui ont accès à beaucoup de ressources, ce qui leur donne du pouvoir”, explique-t-il à l’AFP.

“Quand vous avez de tels déséquilibres, le cadre est propice aux abus”. Il estime que les organisations humanitaires doivent concilier deux objectifs contradictoires, entre la nécessité de mettre en place de procédures internes de contrôle, et les attentes des donneurs.

“Beaucoup de gens disent qu’elles dépensent trop d’argent pour l’administration, et pas assez sur le terrain”, souligne-t-il. “Mais pour éviter ce type de comportement, vous devez mettre en place des des contrôles. Et ça coûte de l’argent”.

« LES ABUS SEXUELS SONT “UNE PRATIQUE COURANTE” DANS LE MILIEU HUMANITAIRE »

Les abus sexuels sont “une pratique courante” dans le milieu humanitaire, a estimé mardi sur la BBC Megan Nobert, une jeune femme qui avait été droguée et violée par un confrère lorsqu’elle travaillait pour un programme de l’ONU au Soudan du Sud en 2015. Elle a mis en place une organisation, ‘Report The Abuse’, pour rapporter et documenter ces faits, et dit avoir été dépassée par les sollicitations.

“Le communauté humanitaire n’est que la dernière sur la liste”, estime-t-elle, dans la lignée du scandale Weinstein ou de la campagne #MeToo. “Elle doit maintenant se pencher publiquement sur un problème qu’elle voulait résoudre discrètement”.

* Lire sur PANAFRICOM-NEWS/

ENCORE UNE ONG OCCIDENTALE DONT LA FACADE SE LEZARDE (I): DES EMPLOYES D’OXFAM ACCUSES D’AVOIR ENGAGE DES PROSTITUEES PENDANT UNE MISSION A HAÏTI

Sur http://www.panafricom-tv.com/2018/02/10/panafricom-news-encore-une-ong-occidentale-dont-la-facade-se-lezarde-i-des-employes-doxfam-accuses-davoir-engage-des-prostituees-pendant-une-mission-a-haiti/

* Lire aussi sur PANAFRICOM-NEWS/

ENCORE UNE ONG OCCIDENTALE DONT LA FACADE SE LEZARDE (II): OXFAM IMPLIQUEE DANS DES FETES AVEC DES PROSTITUEES AU TCHAD

Sur http://www.panafricom-tv.com/2018/02/12/panafricom-news-encore-une-ong-occidentale-dont-la-facade-se-lezarde-ii-oxfam-impliquee-dans-des-fetes-avec-des-prostituees-au-tchad/

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“La Tav? Ci siamo sbagliati, ma non è colpa nostra”, dice ora il governo

Che la Tav tra Torino e Lione fosse una boiata pazzesca, senza basi economiche né scientifiche, lo si sapeva da sempre. Gli abitanti della Val Susa si erano opposti subito, vedendo che la linea esistente – non ad alta velocità – era addirittura sottoutilizzata rispetto alle possibilità.

Sul tema, in ambito scientifico, si erano esercitati in molti e da diversi approcci disciplinari – dagli ambientalisti agli ingegneri, dagli scienziati agli esperti di traffico merci – arrivando a una conclusione unanime riversata in diverse pubblicazioni (a noi piace ricordare soprattutto Travolti dall’alta voracità): quell’opera non serve, è dannosa, è un pericolo. Gli unici che ci guadagnano sono le aziende che la costruiscono (mafia compresa), i politici che vengono foraggiati (di quasi tutte le formazioni), i giornalisti ripagati con bonus per parlarne benissimo.

Ora arriva una pensosa riflessione della Presidenza del Consiglio, subito ripresa da Presidio Europa, intitolata “Verifica del modello di esercizio per la tratta nazionale lato Italia – Fase 1 – 2030” che, con tutte i giri di parole del caso,, ammette la stessa cosa.

Per non fare una figura più di merda di quanto non sia nei fatti, provano ad addolcire la pillola con una serie di considerazioni che sarebbero credibili soltanto se lo stesso Stato – con fortissima continuità tra un governo e l’altro – non avesse trasformato la Valle in una zona di guerra pur di imporre l’inizio (solo quello) di un’opera faraonica quanto idiota.

La frase chiave è scritta dall’Osservatorio per il TAV Lyon-Torino che candidamente ammette::Non c’è dubbio che molte previsioni fatte 10 anni fa, in assoluta buona fede, anche appoggiandosi a previsioni ufficiali dell’Unione Europea, siano state smentite dai fattiInsomma, ci siamo sbagliati, ma non siamo stati soli (anche l’Unione Europea aveva condiviso la stessa valutazione) e non potevamo saperlo; è stata colpa della crisi economica (come il “destino cinico e baro” di saragattiana memoria), ecc.

Falso. Completamente falso. Il libro citato prima è del 2006, dodici anni fa, quando della crisi non c’era ancora traccia all’orizzonte. Ma già allora la linea “normale” tra Trino e Lione era sottoutilizzata: solo il 35% del traffico potenziale.

Già allora, insomma, ci si chiedeva – tra le persone normali, che non dovevano guadagnarci tra appalti e mazzette – che senso avesse fare una linea merci ad alta velocità su un percorso già poco sfruttato.

Una linea dedicata solo al trasporto merci, perché era da sempre chiarissimo che ben pochi passeggeri erano interessati a passare da Torino a Lione (esistono altri punti di passaggio, assai più frequentati).

La domanda posta già allora era dunque: ma quali cavolo di merci hanno un forsennato bisogno di arrivare a Lione e viceversa con mezz’ora di anticipo? Nell’era dei carri frigorifero, praticamente nessuna. In ogni caso, non era nemmeno ipotizzabile un rapporto costi/benefici favorevole (la Tav è costata miliardi anche senza essere nemmeno iniziata).

La Francia, nel frattempo, l’aveva depennata già dalla lista delle “opere prioritarie”, mettendola di fatto fuori gioco.

Nonostante questo i pasdaran italici della Tav – su tutti il senatore Pd Roberto Esposito e il giornalista de La Stampa Massimo Numa – continuavano imperterriti a dichiarare guerra al Movimento No Tav, esigendo sanzioni, fogli di via sequestri di beni che la magistratura torinese – o almeno la parte “dedicata” – provvedeva ad emanare.

Chi ripagherà ora gli attivisti delle persecuzioni immotivate e della sofferenze subite? L’elenco è infinito. Ci sono morti, feriti, arrestati, espropriati, “daspati”…

Le “frasi di circostanza” di questo testo, appare subito evidente – sono state elaborate pensando a una possibile class action di migliaia di persone.

Non dimentichiamo nulla, saremo il vostro incubo.

*****

Non c’è dubbio che molte previsioni fatte 10 anni fa, in assoluta buona fede, anche appoggiandosi a previsioni ufficiali dell’Unione Europea, siano state smentite dai fatti

http://presidenza.governo.it/osservatorio_torino_lione/Modello_Esercizio.htmlhttp://presidenza.governo.it/osservatorio_torino_lione/Modello_Esercizio.html

6.3. LA NECESSITÀ DEL “MONITORAGGIO CONTINUO DEL CONTESTO” IN ACCOMPAGNAMENTO AL PROGETTO
La puntuale ricostruzione del processo decisionale e di progettazione ha bene evidenziato come un’opera di questa dimensione e complessità richieda lunghi tempi di analisi, valutazione, decisione e di realizzazione.
Accanto a questa evidenza occorre porne un’altra: nel frattempo il mondo non rimane immutabile, ma cambia rapidamente e in maniera così profonda da mettere spesso fuori gioco anche le più accurate previsioni; l’offerta moderna di sistemi e servizi è in grado di influenzare la domanda di trasporto tanto che se esistono alternative al passo con i tempi in termini di offerta, queste sono in grado di attrarre e polarizzare i traffici; viceversa, un’offerta desueta viene tipicamente scartata dal mercato. Di fronte ai cambiamenti, sorge allora spontanea la domanda: «avessimo saputo ciò che in seguito è accaduto, avremmo preso la stessa decisione?». È una domanda lecita, ma che interessa gli studiosi e gli storici.
La domanda che i decisori devono farsi è invece un’altra: «al punto in cui siamo arrivati, avendo realizzato ciò che già abbiamo fatto, ha senso continuare come previsto allora? Oppure c’è qualcosa da cambiare? O, addirittura, è meglio interrompere e rimettere tutto com’era prima?».
È una domanda importante, che nel corso del prossimo decennio in cui si continuerà a costruire, sarà necessario porsi più volte, soprattutto di fronte ad ogni importante cambiamento del contesto istituzionale, tecnologico o di mercato. È evidente, già dalla descrizione fatta nel presente documento, che molte cose sono già cambiate da quando il progetto è stato redatto: ad esempio, oggi nessuno più immagina di assegnare al trasporto intermodale accompagnato il ruolo ipotizzato nel documento del 2008; questo ha evidenti ricadute, ad esempio sull’assetto dell’interporto di Orbassano.
La polemica degli oppositori alla costruzione del tunnel di base e delle varianti alla linea insiste sul fatto che le analisi a suo tempo fatte siano state “viziate e manipolate”20 con il fine evidente di inficiare il processo di approvazione giunto ormai al suo termine.
Su questo terreno si ritiene che la risposta debba essere formale.
La sostanza è stata ampiamente dibattuta molti anni fa: non ha quindi senso tornare a discutere il merito di argomenti già discussi e sui quali si è già giunti ad una decisione. Le previsioni fatte e i parametri utilizzati rientrano nel campo di valutazioni tecniche che, essendo legate alla previsione di fenomeni incerti e di lungo periodo, non possono non avere un elevato margine di aleatorietà.

Non c’è dubbio, infatti, che molte previsioni fatte quasi 10 anni fa, in assoluta buona fede, anche appoggiandosi a previsioni ufficiali dell’Unione Europea, siano state smentite dai fatti, soprattutto per effetto della grave crisi economica di questi anni, che ha portato anche a nuovi obiettivi per la società, nei trasporti declinabili nel perseguimento di sicurezza, qualità, efficienza.
Lo scenario attuale è, quindi, molto diverso da quello in cui sono state prese a suo tempo le decisioni e nessuna persona di buon senso ed in buona fede può stupirsi di ciò. Occorre quindi lasciare agli studiosi di storia economica la valutazione se le decisioni a suo tempo assunte potevano essere diverse.

Verifica del modello di esercizio per la tratta nazionale invece, valutare se il contesto attuale, del quale fa parte la costruzione del nuovo tunnel di base, ma anche le profonde trasformazioni attivate dal programma TEN-T e dal IV pacchetto ferroviario, richiede e giustifica la costruzione delle opere complementari: queste infatti sono le scelte che saremo chiamati a prendere a breve.
Proprio per la necessità di assumere queste decisioni in modo consapevole, dobbiamo liberarci dall’obbligo di difendere i contenuti analitici delle valutazioni fatte anni fa.
Si ritiene invece necessario sviluppare approfondimenti tecnici ed economici finalizzati a supportare adeguatamente le scelte che andranno ancora fatte e gli eventuali momenti di dibattito pubblico che le dovranno accompagnare.
Si evidenzia pertanto la necessità di rafforzare il quadro conoscitivo, programmatico e strategico volto a promuovere l’utilizzo del vettore ferroviario ai valichi alpini verso la Francia.

Verifica del Modello di Esercizio tratta nazionale 25 settembre 2017

Relazione (It)

Relazione (Fr)

N. 7 Allegati

All. 1 – Sintesi del modello di esercizio 2012

All. 2  – Scenari di sviluppo del traffico merci

All. 3 – Programma di sviluppo del sistema ferroviario metropolitano

All. 4 – Utilizzo a regime della tratta di valico della linea storica

All. 5 – Verifiche di capacitá condotte sulla rete

ALl. 6- Scenari di sviluppo delle tecnologie del materiale rotabile

All. 7 – Autostrada ferroviaria alpina (AFA)

VERIFICA DEL MODELLO DI ESERCIZIO PER LA TRATTA NAZIONALE LATO ITALIA – FASE 1 – 2030 – 10 NOVEMBRE 2017

Con la  legge 5 gennaio 2017 n.1  di ratifica ed esecuzione dell’Accordo Italia Francia per l’avvio dei lavori definitivi della sezione transfrontaliera  e la delibera CIPE n. 67 del 7 agosto 2017 di finanziamento dell’opera per “lotti costruttivi”, si è conclusa in Italia la fase decisionale ed autorizzativa della sezione transfrontaliera;  sono ora in corso di esecuzione le gare d’appalto per la piena realizzazione dell’opera In parallelo in Italia l’Osservatorio ha lavorato per dare piena attuazione al programma di fasaggio 2012 condividendo e formalizzando la Revisione Progettuale voluta dal governo Italiano, che supera le indicazioni del progetto preliminare 2011 (RFI).

Il documento “Verifica del modello di Esercizio per la tratta nazionale lato Italia – Fase 1 – 2030”, predisposto dal Gruppo di Lavoro Modello di Esercizio dell’Osservatorio per l’Asse Ferroviario Torino-Lione, è stato approvato nelle sedute dell’Osservatorio n.  260 del 25/9/2017 e n. 261 del 30/10/2017.

Dopo la consultazione con le amministrazioni coinvolte  la redazione definitiva è stata trasmessa alla Presidenza del Consiglio dei Ministri,  Ministero Infrastrutture e Trasporti, Regione Piemonte,  RFI, TELT il 10 novembre 2017.  Il documento contiene:

  1. una ricognizione e ricostruzione dell’evoluzione del progetto di adeguamento dell’Asse Ferroviario Torino-Lione, nella suddivisione in sezione transfrontaliera e tratta di adduzione lato Italia (ANTEFATTI PROGETTUALI).
  2. la verifica del documento del 2012 (ME2012) attualizzando il quadro delle circolazioni ferroviarie previste all’orizzonte temporale 2030, lungo le tratte ferroviarie  nazionali di Bassa Valle e di adduzione metropolitana e nel Nodo di Torino. Sono qui verificate le misure quantitative dei flussi di traffico, tenendo conto del contesto influenzato dalla durata della gravissima crisi economica (“il decennio perduto”), dalle decisioni politiche europee e nazionali di riequilibrio modale,  dello scenario trasportistico in continua evoluzione, che modifica in modo sostanziale le valutazioni espresse in passato circa l’utilizzabilità della linea storica, nonché le tendenze del traffico merci e passeggeri attraverso le Alpi (SCENARI DI TRAFFICO).
  3. le verifiche di capacità delle infrastrutture proposte, utili ad evidenziare le eventuali criticità delle tratte individuate e quindi, la necessità di interventi infrastrutturali e di misure correttive finalizzate ad incrementare le prestazioni della rete ferroviaria in corrispondenza dei punti critici (VERIFICHE DI CAPACITÀ).
  4. Gli interventi programmati da realizzare sull’infrastruttura ferroviaria sia per la tratta nazionale di adduzione al tunnel di base che per l’attraversamento del Nodo Ferroviario di Torino. Indicando, dove esiste già,  la loroprogrammazione (economico-finanziaria) nell’ambito del contratto di programma MIT-RFI 2017-2020 (PROGRAMMAZIONE DEGLI INTERVENTI).

Il documento recepito dal CIPE del 22/12/2017 vuole anche essere il contributo  dell’Italia alla discussione sugli accessi al tunnel, avviata anche in Francia a seguito della pubblicazione del Rapporto Duron,   per garantire sui due versanti  interventi coerenti e condivisi per capacità, prestazioni, massa trasportata e sagoma.

Il documento è stato formalmente trasmesso  alla delegazione francese del tavolo interministeriale Italia Francia, istituito a seguito del vertice Italia-Francia di Lione del 27 settembre 2017, ed è stato presentato  alla delegazione Francese della CIG Asse Ferroviario Torino Lione nella riunione del 12 dicembre 2017.

Relazione (It)

Relazione (Fr)


Tratta Bussoleno-Avigliana

Interrogazione a risposta indifferibile e urgente n. 540 presentata dalla Consigliera Frediani, inerente a “Gestione linea storica Torino-Modane da parte di TELT e  interventi previsti per la Nuova Linea Torino Lione (NLTL)”

Risposta scritta ad interrogazione 540 CR 23853 1 luglio 2015 Assessore Balocco a Consigliera Francesca Frediani su Linea Storica e Tratta Bussoleno – Avigliana  1 luglio 2015

http://www.cr.piemonte.it/interfo/legislatura/10/atto/540/documento/7356/visualizza

15 febbraio 2018 

SYRIE. LES MASQUES TOMBENT (II): LA ‘COOPERATION HONTEUSE AVEC DES GROUPES EXTREMISTES’ DE TEL-AVIV ET WASHINGTON

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Luc MICHEL pour EODE/

Quotidien géopolitique – Geopolitical Daily/

2018 02 13/

LM.GEOPOL - Syrie les masquent tombent II (2018 02 13) FR (2)

« Israël a attisé les tensions en violant la souveraineté syrienne et libanaise, les résolutions de l’ONU, en ayant une coopération honteuse avec des groupes extrémistes et sans compter ses attaques répétées en Syrie »

– Mme Aida Touma-Suleiman

(député arabe à la Knesset).

I / LES USA ET LEURS ALLIES DJIHADISTES

« La tentative des terroristes de mettre sur pied une base militaire liée aux États-Unis dans la Ghouta orientale de Damas est tombée à l’eau », dit Sana. Les groupes terroristes, se trouvant dans la Ghouta orientale de Damas, principalement le Fabbat al-Nosra (ex al-Qaida en Syrie), « ont échoué dans leur tentative de créer une base et un aéroport militaire, lié aux États-Unis. Leur objectif était d’empêcher l’avancée des forces militaires syriennes en lutte contre le terrorisme dans la région ».

LA TENTATIVE DES DJIHADISTES DE METTRE SUR PIED UNE BASE MILITAIRE LIEE AUX ÉTATS-UNIS DANS LA GHOUTA ORIENTALE DE DAMAS

Les groupes terroristes actifs dans la Ghouta orientale continuent à violer l’accord sur les zones de désescalade. Ils ont visé avec des obus de mortier, ce dimanche 11 février, les quartiers d’habitation dans la ville de Damas. « Trois civils ont été tués et quelques autres blessés », selon Fars News. Les représentants du gouvernement syrien et les opposants armés avaient convenu, le 5 février à Vienne, de mettre en vigueur la trêve élargie dans la Ghouta orientale, mais les terroristes continuent, toujours, de violer cet accord.

« La tentative des terroristes du Front al-Nosra de mettre en place un aéroport et une base militaire dépendant des États-Unis, pour ainsi empêcher l’arrivée des forces syriennes dans la région », a été déjouée, a écrit le journal syrien ‘Al-Watan’. Le quotidien libanais ‘Al-Akhbar’ a annoncé, ce vendredi 9 février, que « l’armée syrienne et ses alliés se dirigeraient bientôt vers le Rif de Damas pour un nettoyage définitif de la Ghouta orientale de la présence des terroristes ».

Les forces syriennes, à l’aide de l’axe de la Résistance, avaient déjà réussi à chasser, il y a un mois, les terroristes de la Ghouta occidentale de Damas. À l’issue de trois mois d’intenses combats militaires, l’armée syrienne a fini par contraindre les terroristes à se soumettre aux conditions de l’axe de la Résistance et à rendre leurs armes.

L’US AIR FORCE FRAPPE LES FORCES DE DAMAS SOUS PRETEXTE DE LUTTE CONTRE LE TERRORISME :

« PLUS DE 100 SOLDATS DE BACHAR AL-ASSAD TUES DANS DES FRAPPES » (AFP)

Plus de 100 membres des forces loyales au régime syrien du président Bachar al-Assad ont été tués dans des frappes effectuées en état de “légitime défense” par la soi-disant « coalition antijihadiste » (sic) menée par les Etats-Unis, a annoncé ce 8 février un responsable militaire américain. « Nous estimons que plus de 100 membres des forces prorégime syriennes ont été tués au cours d’un affrontement avec les Forces démocratiques syriennes (la rébellion … à base soutenue par Washington, ndlr) et les forces de la coalition », a déclaré ce responsable du Central Command US.

La télévision officielle syrienne a dénoncé une « agression » de la part de la coalition. Cette opération menée dans la nuit de mercredi à jeudi a été déclenchée par une attaque desforces de Damas contre des positions des Forces démocratiques syriennes (FDS), une alliance arabo-kurde alliée de Washington. Ces frappes interviennent sur fond de tensions croissantes entre Damas et Washington, les Etats-Unis accusant, une fois de plus, « le régime syrien d’avoir utilisé des armes chimiques ». Ces frappes, menées depuis mercredi, ont répondu à une « attaque non-provoquée contre le quartier général des Forces démocratiques syriennes », a affirmé le responsable américain, expliquant qu’entre vingt et trente obus de chars et d’artillerie avaient atterri à environ 500 mètres de ce quartier général. La coalition a riposté avec des tirs d’artillerie et des frappes aériennes. Environ 500 hommes de la coalition sont engagés dans cette riposte, a précisé le responsable américain.

Les combats ont eu lieu à huit kilomètres à l’est d’une ligne de démarcation fixée par la Russie et les États-Unis le long de l’Euphrate, les forces russes opérant à l’ouest et les forces américaines à l’est. « Les responsables de la coalition ont été régulièrement en contact avec leurs homologues russes avant, pendant et après » les frappes, a ajouté le responsable. Ce que nie Moscou.

II / ISRAEL JOUE ET PERD EN SYRIE …

* Lire aussi sur LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY/ SYRIE D’UNE GUERRE A L’AUTRE (V):

ISRAEL GRAND PERDANT DE LA GUERRE QUI SE TERMINE EN SYRIE

sur http://www.lucmichel.net/2018/01/16/luc-michels-geopolitical-daily-syrie-dune-guerre-a-lautre-v-israel-grand-perdant-de-la-guerre-qui-se-termine-en-syrie/

QUAND ISRAEL S’INGERE OUVERTEMENT DANS LA GUERRE SYRIENNE: « LE F-16

ABATTU: C’EST NETANYAHU LE RESPONSABLE » (DEPUTEE ISRAELIENNE)

Une parlementaire israélienne estime ce 12 février que « la nouvelle attaque contre la Syrie était une tentative de la part de Netanyahu de détourner l’attention du public de son dossier de corruption ». Mais surtout elle dénonce le complicité de Tel-Aviv avec des groupes djihadistes ! La députée de la ‘Liste arabe commune’, Aida Touma-Suleiman, a accusé « le gouvernement de Netanyahu d’être responsable des évènements de samedi matin dans le nord d’Israël » (Palestine occupée, Ndla). Selon cette parlementaire, « le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu cherche à provoquer une guerre en Syrie afin de détourner l’attention du public sur son dossier de corruption et préserver ainsi sa survie politique ».

Le Premier ministre israélien est en effet accusé d’escroquerie, de corruption financière, de complot, de fraude et d’abus de confiance.

Des proches de Netanyahu, dont son épouse, sont également soupçonnés de corruption et d’abus de biens publics. D’autres membres du clan Netanyahu ont été interrogés à plusieurs reprises sur des malversations sur des achats frauduleux. La députée israélienne a rappelé que Tel-Aviv avait attaqué la Syrie samedi, « quelques jours avant que la police ne publie une partie des résultats de l’enquête menée sur plusieurs cas de corruption dans lesquels Netanyahu est impliqué ».

« UNE COOPERATION HONTEUSE AVEC DES GROUPES EXTREMISTES » (DEPUTEE ISRAELIENNE II)

Mais le cœur de sa dénonciation est le suivant :

« Israël a attisé les tensions en violant la souveraineté syrienne et libanaise, les résolutions de l’ONU, en ayant une coopération honteuse avec des groupes extrémistes et sans compter ses attaques répétées en Syrie », a fait remarquer Mme Aida Touma-Suleiman.

Le Premier ministre israélien a, aussitôt après la chute du F-16, repris ses accusations contre l’Iran lui imputant la responsabilité de l’abattage de l’avion de chasse. Le ministère iranien des Affaires étrangères a démenti les allégations d’Israël ; l’un des hauts commandants du Corps des gardiens de la Révolution islamique a même indiqué que « l’Iran n’avait pas besoin de réponde à un régime mensonger ». Malgré toutes ses accusations et menaces contre l’Axe de la Résistance, « Tel-Aviv a supplié auprès de la Russie de calmer l’Iran », comme l’a annoncé Reuters citant des sources diplomatiques israéliennes.

LES REGLES DU JEU ONT CHANGE AVEC LE CRASH CE 10 FEVRIER DU F-16 ISRAELIEN

Pour l’expert iranien des questions internationales, Hossein Cheikh-ol-eslam, dont je partage les conclusions, « la destruction, le 10 février, d’un F-16 israélien par la DCA syrienne a indubitablement changé la donne dans la région, au détriment de la prétendue suprématie militaire israélienne ». Dans une note parue par le journal iranien ‘Hemayat’, l’analyste rappelle que « c’est la première fois qu’Israël annonce que l’un de ses avions de combat a été visé par la DCA syrienne » ; c’est aussi la première fois que les médias israéliens parlent, dans la couverture de cet événement, d’un « coup porté au prestige » de l’aviation israélienne.

« De peur des frappes de l’armée syrienne, les terroristes du Front al-Nosra (rebaptisé Front Fatah al-Cham), déployés dans les hauteurs du Golan et à Quneitra, abandonnent leurs positions, tandis que les Israéliens, soucieux d’entraver les avancées de l’armée syrienne, après le nettoyage de 1 100 km² de terrain de la présence des terroristes, au nord de Hama, se permettent de nouvelles incursions sporadiques contre les unités impliquées dans la lutte contre les terrorises takfiristes. »

L’article précise que « la réponse cinglante apportée par la DCA syrienne aux chasseurs sophistiqués israéliens n’était pas seulement une réaction à l’appui explicite de Washington et Tel-Aviv aux terroristes. Avec cet événement, les capacités de l’armée syrienne en termes de technologie militaire entrent dans une nouvelle phase (…) Il ne faut pas oublier, non plus, cette réalité que dans toutes leurs opérations militaires contre la Syrie, les avions de chasse israéliens avaient jusqu’ici emprunté l’espace aérien des zones occupées par les terroristes ; il s’agissait de zones à problème en termes de couverture radar. La destruction du F-16 israélien montre que le ciel syrien n’est plus sûr pour les avions de chasse israéliens. »

Une deuxième attaque de l’armée israélienne contre la banlieue de Damas a été violemment ripostée. La presse israélienne dénonce même un « piège iranien » (sic) ! D’après l’analyste iranien, « même si l’on accepte la version israélienne des faits sur l’interception d’un drone conçu sur le modèle du RQ-170 au-dessus d’al-Jalil, cela signifierait que les autorités israéliennes reconnaissent le progrès de l’armée syrienne en termes de localisation et de ciblage ».

L’article aborde ensuite l’événement dans ses aspects liés aux caractéristiques militaires techniques :

« Cet événement montre que les avions de combat F-16, après trois décennies de vol au service de l’armée israélienne et quatre décennies au service de l’USAF, et malgré toutes les améliorations et rénovations qu’ils ont adoptées, ont largement perdu de leurs capacités opérationnelles face aux missiles d’artillerie Sam-5, n’étant plus capables, non plus, de mener des opérations secrètes depuis le Liban contre des cibles en Syrie. »

L’analyste iranien conclut ainsi qu’à toute agression israélienne sera désormais réservée une riposte cinglante : « Ces ripostes sont actuellement de nature défensive mais selon les conditions du jour, elles pourraient prendre des allures de mesures offensives à l’avenir.

Une fois que l’armée syrienne aura libéré les 20 % de territoire restant toujours occupés par les terroristes, elle entrera dans une phase nettement offensive, et ni le Dôme de fer, ni la Fronde de David israéliens ne seront alors capables de résister à la pluie de missiles qui tombera sur les territoires occupés (…) l’on pourrait s’attendre à ce que les autorités du régime usurpateur israélien optent pour la retenue, réfrénant leur tentation d’aventurisme dans le ciel syrien.

Car, une confrontation militaire Tel-Aviv-Damas, non seulement affectera les territoires en Palestine occupée, mais encore, exposera le régime israélien au risque d’un fiasco inévitable, dans la confrontation avec une Syrie qui a pour alliés l’Iran, le Hezbollah et la Russie. »

RETOUR SUR LA COLLABORATION D’ISRAEL AVEC LES DJIHADISTES DE TOUS BORDS

L’alliance honteuse mais bien réelle d’Israël avec les djihadistes en Syrie n’est pas nouvelle ! Je la dénonçais en détails dès 2015 (1).

Une opération de piratage informatique de grande envergure contre les ordinateurs d’Israéliens et Américains travaillant étroitement avec la soi-disant « opposition syrienne » révèlait en juillet 2015 les contacts étroits entre les parties, rapportait alors le ‘Times of Israel’. Les auteurs présumés de cette opération de Cyber-guerre auraient été « des membres des Services syriens et du Hezbollah », selon les informations publiées dans le journal libanais ‘Al-Akhbar’, proche de l’organisation chiite.

Al-Akhbar avait ainsi divulgué les contacts entre Mendi Safadi, un conseiller politique druze israélien, qui a dirigé le cabinet de l’ex-vice-ministre de la Coopération régionale Ayoub Kara, et plusieurs membres de la pseudo « opposition syrienne » dans le monde.

Selon le quotidien libanais, « Safadi aurait tenté de recruter des agents en Syrie et au Liban pour le compte du gouvernement israélien mais aussi essayer de signer des contrats d’armement avec l’Etat islamique (EI) et le front al-Nosra, deux organisations terroristes ».

Jabat al-Nosra, ce sont al-Qaida en Syrie, les soi-disant « islamistes modérés » qui combattent DAECH et aussi (surtout) Damas, avec le soutien des USA, de l’OTAN, des Saoudiens, de la Turquie et des Jordaniens.

Interrogé par le Times of Israel, Safadi avait reconnu que son « ordinateur avait été piraté (…) par des agents des unités de cyber-guerre du Hezbollah et du président syrien Bachar al-Assad ». Il avait néanmoins « nié les allégations liées aux dits-contrats d’armement tout en confirmant avoir été en lien avec un homme proche de l’EI, dans le cadre de contacts pour la libération de l’otage jordanien Muaz Kasasbeh » (brûlé vif). Malgré l’ampleur des révélations du quotidien libanais, Safadi a assuré au Times of Israel « qu’aucun de ces contacts n’étaient en danger » (sic). « Dans la plupart des cas, des surnoms étaient utilisés pour masquer la réelle identité de ses sources », a-t-il expliqué.

ISRAËL EST IMPLIQUE DE FACTO EN SYRIE DEPUIS DES ANNEES

A l’inverse, l’homme d’affaire israélo-américain Moti Kohana, également visé par le piratage, s’était dit « plus inquiet des conséquences de ces révélations. Cela peut risquer la vie des gens, y compris des citoyens américains », avait-il confié au Times of Israel.

« Si l’Iran ou le Hezbollah ont piraté mon ordinateur dans le New Jersey, ils ont enfreint la loi américaine, et je vais les poursuivre légalement. Ceci est très grave » (sic), avait poursuivi sans vergogne Kohana.

La version officielle de Tel-Aviv est la suivante : « depuis le début de la guerre civile syrienne il y a plus de 4 ans, Israël s’efforce de ne pas s’impliquer et de s’en tenir au droit humanitaire en soignant les blessés qui arrivent sur son territoire (sic). Néanmoins, le conflit déborde fréquemment du côté israélien de la frontière » (resic). « Tsahal ne vient pas en aide à l’organisations terroriste al-Nosra, mais au secours des blessés syriens qui s’approchent de la frontière » (resic), avait déjà déclaré le porte-parole de l’armée le général Moti Almoz en juin 2015, au lendemain du lynchage d’une ambulance israélienne transportant des blessés djihadistes « syriens ». Selon le ministère israélien de la Santé, en 2015, « près d’un millier de Syriens ont été soignés dans quatre hôpitaux israéliens depuis le début du conflit » …

En juin 2017, Le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, exprimait ses « préoccupations au sujet des contacts entre les soldats de l’armée israélienne et les combattants de différents groupes djihadistes dans le sud de la Syrie (province de Deraa) et dans les hauteurs du Golan ». Dans rapport produit par l’ONU le 8 juin 2017 (2), Antonio Guterres a mis l’accent sur « la montée progressive des contacts entre les deux parties, contacts vérifiés par les observateurs de l’ONU situés dans le Golan ».

Toujours en juin 2017, le ‘Wall Street Journal’ rapportait qu’« Israël continue à fournir et à soutenir différents groupes rebelles engagés dans la lutte contre Assad et ses alliés russes, iraniens et libanais » afin de maintenir une zone tampon près de ses frontières. Selon le journal américain, « en 2016, Israël a créé une unité spéciale qui a eu pour mission de distribuer l’aide israélienne aux différents groupes. L’aide consistait en « armes, munitions et salaires à donner aux djihadistes ». Interviewé par le WSJ, le porte-parole du groupe rebelle Fursan al-Joulan, ou Chevaliers du Golan, (groupe lié à Al-Qaïda), Motassam al Golani, a « remercié Tel-Aviv pour avoir combattu à leurs côtés : indirectement, en fournissant armes et, directement, avec l’aviation et le soutien de l’artillerie ». Le même Al Golani est venu déclarer que « s’il n’y avait pas Israël, on ne pourrait jamais tenir tête à l’armée syrienne de Bashar Al Assad ».

La chaîne Russia Today (RT) avait repris la nouvelle et avait interviewé d’autres militants (3). Le chef d’un autre groupe djihadiste dans le Golan, Abou Sahib, avait alors déclaré : « à titre de commandant, je perçois un salaire annuel de 5 000 dollars versé par Israël ». Au cours de l’entretien, le chef du groupe a indiqué que « la collaboration avec Tel-Aviv continue depuis 2013 et a joué un rôle crucial pour continuer à s’opposer à l’armée loyaliste d’Assad dans toute la région », vu qu’« Israël continue d’envoyer des armes et de l’argent pas seulement à notre groupe, mais à tous les groupes rebelles dans le Golan ».

NOTES :

(1) Cfr. Luc MICHEL, APRES LES USA, VOICI LA COLLABORATION D’ISRAEL AVEC LES DJIHADISTES MISE A NU ! (15 juillet 2015)

sur http://www.lucmichel.net/2015/07/15/lucmichel-net-apres-les-usa-voici-la-collaboration-disrael-avec-les-djihadistes-mise-a-nu/

(2) Cfr. http://www.un.org/ga/search/view_doc.asp?symbol=S/2017/486

(3) Cfr. https://www.wsj.com/articles/israel-gives-secret-aid-to-syrian-rebels-1497813430

(Source : Presse syrienne citée par SANA – Presse arabe et iranienne citée par PARS – Reuters – Al-Akhbar  – Times of Israel – RT – EODE

Think-Tank)

Photo :

Le premier ministre israélien Nétanyahou serre la main d’un terroriste du Jabbat al-Nosra (Al-Qaïda en syrie) dans un hôpital israélien sur le Golan annexé (à la frontière de la Syrie, le 18 février 2014).

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

* Avec le Géopoliticien de l’Axe Eurasie-Afrique :

Géopolitique – Géoéconomie – Géoidéologie – Néoeurasisme – Néopanafricanisme (Vu de Moscou et Malabo) :

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Pamela, sepolta dal cinismo di media e politica

pamela mastropietroC’è qualcuno a cui interessa davvero di Pamela Mastropietro? Della sua vita, del suo destino, del dolore dei suoi genitori? Una ragazza di appena 18 anni, dapprima caduta nel tunnel della droga, ora barbaramente, selvaggiamente uccisa a Macerata, probabilmente dopo essere stata violentata, e il suo corpo smembrato. Per il suo omicidio è stato arrestato un giovane nigeriano, Innocent Osenghale; le prove a suo carico, da quel che si legge, sembrano schiaccianti.
Ma è proprio a questo punto che si cominciano a perdere le tracce di Pamela sui media e anche nella politica. Perché le circostanze e l’autore dell’omicidio danno il via al solito squallido teatrino ideologico. Per i nostri media laicisti sembra proprio che l’omicidio di Pamela (curiosamente in questa circostanza nessuno usa la parola “femminicidio”) sia un po’ meno grave visto che a commetterlo è un immigrato africano.
Certo, c’è anche chi ne approfitta un po’ per alimentare la propria campagna elettorale in chiave anti-immigrazionista; certo, di omicidi efferati ne commettono anche gli italiani, ma accusare di razzismo e xenofobia chiunque fa notare l’anomalia e l’inaccettabilità della presenza di un immigrato senza permesso di soggiorno che vive indisturbato in un piccolo centro e ancora più indisturbato nello stesso piccolo centro spaccia droga, è semplicemente folle.
Non è un caso isolato, purtroppo: di casi di cronaca nera provocati da immigrati nelle stesse condizioni ne abbiamo registrati già diversi, ed è solo la punta di un iceberg: chiunque può vedere gruppi più o meno grandi di immigrati irregolari che vagano per città piccole e grandi facendo nulla o anche spacciando droga. E se la gente non si sente sicura, ha paura, non è per xenofobia o per razzismo.
Ma poi, su una situazione già avvelenata e in cui Pamela, il suo corpo smembrato, è già sullo sfondo, ecco arrivare un altro giovane, Luca Traini, decisamente border-line e forse anche oltre, che decide di tentare una strage di immigrati sparando dalla sua auto. Alla fine il bilancio è di sei feriti. Non c’è nulla al momento che faccia pensare all’azione di un qualche gruppo estremista, sembra proprio l’atto di uno psico-labile esaltato dall’omicidio commesso pochi giorni prima. Ma ecco che a questo punto Pamela sparisce completamente dalla vista; dalle più alte cariche dello Stato all’ultimo degli opinionisti diventa tutto un allarme-razzismo, proclami che sfiorano il ridicolo, la chiamata alla mobilitazione anti-fascista. E non parliamo neanche dei deliri dello scrittore Roberto Saviano. Dai media i sei immigrati feriti vengono subito coccolati ed esaltati, della ragazza fatta a pezzi e messa in due valigie non c’è più traccia.
 
In realtà non interessa a nessuno neanche della storia e della realtà che vivono i sei immigrati feriti, tutto e tutti diventano pretesto per le diverse battaglie politiche e ideologiche. E quindi, esaurita la forza propulsiva della cronaca, si dimenticherà anche questo caso senza che nulla sia stato fatto almeno per minimizzare le condizioni che possono portare a queste tragedie: lo spaccio e il consumo di droga, l’immigrazione senza controllo e le attività illecite degli immigrati. Almeno fino al prossimo caso, quando le reciproche indignazioni si riaffronteranno ancora sopra qualche altro cadavere.
Per quel che ci riguarda, il nostro pensiero torna a Pamela, a una vita di 18 anni stroncata dal vuoto esistenziale riempito con le droghe e dalla violenza di un uomo che non sarebbe neanche dovuto essere lì. Per lei ora possiamo solo pregare per la sua anima – in ogni caso l’aiuto più grande che chiunque può darle -, ma molto altro c’è da fare per evitare che accadano altre tragedie di questo genere.
 
Riccardo Cascioli 05-02-2018

“Tornate a casa vostra”. Quando la sinistra sputava sui profughi istriani

i moralmente superiori approvano certi genocidi. Gli sfregi ai monumenti in ricordo delle norma cossettovittime delle foibe sono continui, si parla di vittime civili, i negazionisti dei gulak a conferma di quanto i tolleranti democratici siano “aperti” versole altrui idee. E’ scomodo ricordare che anche coloro che si ersero dalla parte giusta della storia commettevano gli stessi crimini che si imputano a quelli dalla parte sbagliata della storia? Nella foto la stele  a Norma Cossetto, stuprata e infoibata dai partigiani di Tito

esulegiuliana“Tornate a casa vostra”. Quando la sinistra sputava sui profughi istriani

Il Pci non conobbe la parola “accoglienza”. Per gli italiani di Pola e Fiume solo odio. L’Unità scriveva: “Non meritano la nostra solidarietà né hanno diritto a rubarci il pane”
“Poi una mattina, mentre attraversavamo piazza Venezia per andare a mangiare alla mensa dei poveri, ci trovammo circondati da qualche centinaio di persone che manifestavano.
Da un lato della strada un gruppo gridava: ‘Fuori i fascisti da Trieste’, ‘Viva il comunismo e la libertà’ sventolando bandiere rosse e innalzando striscioni che osannavano Stalin, Tito e Togliatti”. Stefano Zecchi, nel suo romanzo sugli esuli istriani (Quando ci batteva forte il cuore), racconta così il benvenuto del Pci agli italiani che abbandonarono la Jugoslavia per trovare ostilità in Italia. Quella che fino a pochi attimi prima era la loro Patria.
 
Quando alla fine della seconda guerra mondiale, il 10 febbraio 1947, l’Italia firmò il trattato di pace che consegnava le terre dell’Istria e della Dalmazia alla Jugoslavia di Tito, la sinistra non conobbe la parola ‘accoglienza’. Tutt’altro. Si scaglio con rabbia e ferocia contro quei “clandestini” che avevano osato lasciare il paradiso comunista.
Trecentocinquantamila profughi istriani e dalmati. Trecentocinquantamila italiani che la sinistra ha trattato come invasori, come traditori. Ad attenderli nei porti di Bari e Venezia c’erano sì i comunisti, ma per dedicargli insulti, fischi e sputi. A Bologna invece per evitare che il treno con gli esuli si fermasse, i ferrovieri minacciarono uno sciopero. E poi roversciarono il latte raccolto per le donne e i bambini affamati.
 
Ecco. Bisogna dire che Giorgio Napolitano ha ragione: il Pd è l’erede del Pci. Ma oggi la sinistra italiana, che di quella storia è figlia legittima, dimentica gli orrori del febbraio del ’47. Ora si cosparge il capo di cenere e chiede a gran voce che l’Italia apra le porte a tutti i migranti del mondo. Predica l’acccoglienza verso lo straniero che considera un fratello, quando per anni ha considerato stranieri i suoi fratelli. Ma gli unici profughi che la sinistra italiana ha rigettato con violenza erano italiani. Istriani e Dalmati.
 
“Sono comunisti. Gridano ‘fascisti’ a quella povera gente che scende dalla motonave (…). Urlano di ritornare da dove sono venuti”, ricorda Zecchi. Non sono le parole di Matteo Salvini. “Tornate da dove siete venuti” era lo slogan del Partito Comunista di Napolitano, Violante, D’Alema, Berlinguer e Veltroni.
L’Unità, nell’edizione del 30 novembre 1946, scriveva: “Ancora si parla di ‘profughi’: altre le persone, altri i termini del dramma. Non riusciremo mai a considerare aventi diritto ad asilo coloro che si sono riversati nelle nostre grandi città. Non sotto la spinta del nemico incalzante, ma impauriti dall’alito di libertà che precedeva o coincideva con l’avanzata degli eserciti liberatori. I gerarchi, i briganti neri, i profittatori che hanno trovato rifugio nelle città e vi sperperano le ricchezze rapinate e forniscono reclute alla delinquenza comune, non meritano davvero la nostra solidarietà né hanno diritto a rubarci pane e spazio che sono già così scarsi”.
 
Oggi invocano l’asilo per tutti. Si commuovono alla foto del bambino riverso sulla spiaggia. Lo pubblicano in prima pagina. Dedicano attenzione sempre e solo a chi viene da lontano. Agli italiani, invece, a coloro che lasciatono Pola, Fiume e le loro case per rimanere italiani, la sinistra riservò solo odio. Lo stesso che gli permise di nascondere gli orrori delle Foibe.
 
“Non dovevamo dimenticare che eravamo clandestini, anche se eravamo italiani in Italia”
Giuseppe De Lorenzo – Gio, 10/09/2015

Striscione di minacce a Salvini: “Occhio, stavolta spariamo noi”

minacce salvinima per un fotomontaggio si manda la Digos a casa dell’autore. Per le minacce a Salvini? Per il proiettile alla Susanna Ceccardi, immagino nessuna, condanna.

Sputi, insulti e lancio di bottiglie di plastica: Meloni contestata a Livorno

Tolleranza ed eguaglianza strabica, come al solito, solo sulla base di posizioni politiche diverse, così come la condanna e solidarietà alle donne vittime di atti vili, non sono atti vili se le donne in questione non sono “dalla parte giusta” della storia.

Striscione di minacce a Salvini: “Occhio, stavolta spariamo noi”
 
Il leader della Lega, Matteo Salvini, atteso di fronte alla moschea di Umbertide. Appeso uno striscione di minacce ad un cavalcavia
Giuseppe De LorenzoGio, 08/02/2018 –
Matteo Salvini stamattina sarà ad Umbertide per protestare contro la costruzione della nuova moschea in Umbria, una delle più grandi in Italia.
 
Fa parte della nuova offensiva leghista in campagna elettorale, partita con l’annuncio del leader del Carroccio di voler “chiudere tutti i centri islamici illegali in Italia”. Ebbene, nella notte, in attesa dell’arrivo dell’indesiderato ospite, qualcuno ha appeso un cartello di minacce ad un cavalcavia: “Occhio Salvini, stavolta spariamo noi”.
 
Il riferimento, appare ovvio, è alle vicende di Macerata e alla folle caccia all’immigrato messa in campo da Luca Traini. “Mentre a Foligno stavamo esponendo le nostre idee, i nostri progetti per il futuro, e preparando le nostre battaglie – spiega Riccardo Marchetti, coordinatore nazionale Umbria per la Lega e candidato alla Camera – ad Umbertide qualche democratico appendeva sul cavalcavia dell’E45 questo striscione. E poi i brutti e violenti siamo noi. Saremo ancora più numerosi, non abbiamo paura, le idee sono a prova di proiettile!”.
Non è ancora chiaro chi abbia esposto il telo di minacce. Ma è evidente che la presenza di Salvini susciti sentimenti contrapposti in terra umbra. I lavori per la moschea di Umbertide si erano interrotti a causa della mancanza di fondi. Ma sono ripartiti ad inizio anno e il luogo di culto islamico dovrebbe vedere la luce entro la fine di maggio. I fondi, secondo quanto dichiarato dall’imam, Chafiq El Oqayly, proverrebbero tutti dall’Italia e sarebbero “tracciabili”. “Abbiamo ricevuto questi soldi perché i nostri fedeli continuano a donare – ha detto l’imam ad Altotevereoggi – e abbiamo contatti con diverse moschee, per esempio Bologna e Milano. La struttura di Madonna del Moro torna a crescere. La costruzione è oramai quasi al completo ed entro maggio verrà aperta”. Salvini permettendo.

 

Confermato: gli Emirati Arabi finanziano il traffico umano per fare pressione sull’Europa


Feb 07, 2018
 
Migranti nei centri in Libia
 
Un alto funzionario dell’Ufficio di Immigrazione della Libia ha informato questo martedì che gli Emirati Arabi Uniti (EAU) sostengono e finanziano il traffico umano di migranti dall’Africa verso l’Europa per utilizzare queste persone come strumento di pressione contro i paesi europei a proprio beneficio.
 
Senza entrare in dettagli il funzionario ha riferito chegli Emirati Arabi Uniti non hanno una stretta relazione diretta con i commercianti e trafficanti ma offrono soltanto appoggio finanziario al traffico umano per motivi politici”.
L’ufficiale libico, che ha voluto mantenere l’anonimato, basa le sue accuse sulle testimonianze rilasciate dai migranti che si trovano nel centro per i rifugiati alloggiati ion Libia, ed ha precisato che gli Emirati stanno equipaggiando i trafficanti con nuovi veicoli in grado di muioversi agevolmente in aree desertiche, li riforniscono di armi ed aiutano i principali trafficanti a fuggire dopo aver portato a termine i loro viaggi.
Migranti in arrivo su coste italiane
 
Circa le motivazioni che spingono Abi Dabi a sostenere questo traffico, la fonte assicura che si tratta di motivazioni politiche, presumendo che gli emirati promuovono le migrazioni di cittadini africani verso l’Europa per utilizzrli come leva di pressione contro i paesi europei e materializzare così i propri obiettivi politici. E’ noto che gli Emirati sono un paese satellite dell’Arabia Saudita e che questa potenza favorisce l’emigrazione di grandi masse islamiche verso l’Europa dove sono in azione gli iman, formati in Arabia Saudita, per diffondere l’ideologia religiosa wahabita e salafita che è quella vigente a Rijad e nei paesi del Golfo.
Tuttavia lo stesso funzionario spiega che gli Emirati non sono il solo paese implicato nel traffico umano, visto che tale traffico è agevolato anche da gruppi che si trovano in Libia, da altre organizzazioni che sono nel Sudan e nella Nigeria, per quanto le motivazioni di alcuni e di altri non sono le medesime. Allo stesso tempo il funzionario ha segnalato che tra i favoreggiatori e complici del traffico ci sarebbe anche una influente tribù dell’Eritrea.
 
L’Europa, dal Gennaio del 2015, assiste ad un massiccio afflusso di migranti dai paesi africani e dal Medio Oriente, la maggioranza dei quali mettono a rischio la loro vita attraversando il mare dalla Libia verso le coste dell’Italia. Un numero imprecisato di questi migranti ha perso la vita durante il trasferimento in mare.
 
Vari gruppi di difensori dei Diritti Umani, come Amnesty International, hanno criticato la gestione di questo fenomeno fatta dall’Unione Europea.
Fonte: Hispantv
Traduzione: Luciano Lago

IN PENSIONE CON SOLO 5 ANNI DI CONTRIBUTI? VALE SOLO PER GLI IMMIGRATI! ECCO COSA

contributi pensione migrantima non ci pagavano le pensioni? A proposito di legge uguale per tutti eh?


IN PENSIONE CON SOLO 5 ANNI DI CONTRIBUTI? VALE SOLO PER GLI IMMIGRATI! ECCO COSA E’ SCRITTO “NERO SU BIANCO” NEL SITO DELL’INPS
9 FEBBRAIO 2018
Se non versano contributi per almeno 20 anni, i lavoratori italiani perdono tutto il tesoretto versato. “Gli immigrati (invece) prendono la pensione anche con cinque anni di contributi”. E’ quanto riporta un articolo di “La Verità”, nuovo quotidiano fondato da Maurizio Belpietro sbarcato nelle edicole da qualche giorno. L’articolo, firmato dalla penna di Francesco Borgonovo, sottolinea:
 
“E’ tutto scritto lì, sul sito dell’Inps. Con tagliente semplicità, quasi con una punta di burocratico compiacimento, viene illustrato il privilegio di cui godono i lavoratori immigrati”.
 
Di fatto, continua:
 
“non è vero che gli stranieri lasciano un tesoretto: se tornano a casa possono riprendersi ciò che hanno dato. E senza le restrizioni previste per gli italiani. Riscuotono anche se non hanno effettuato i versamenti minimi”.
L’immigrato che decide di rientrare in patria, insomma, non perde i contributi versati.
 
Tutt’altro. Ha diritto ad avere una pensione di vecchiaia erogata dall’Inps esattamente come i cittadini italiani. E qui la questione si fa interessante. Il sito dell’Inps spiega che, per “gli extracomunitari rimpatriati” si devono distinguere due casi, “a seconda che la pensione venga calcolata con il sistema contributivo o retributivo”.
E qui si può andare a leggere quanto risulta dalla pagina del sito Inps che porta il nome “Prestazioni pensionistiche rimpatriati“. Per leggere sul sito dell’Inps, clicca QUI.
Così sotto il titolo “Trattamenti pensionistici ai lavoratori extracomunitari rimpatriati”:
 
“in caso di rimpatrio definitivo il lavoratore extracomunitario con contratto di lavoro diverso da quello stagionale conserva i diritti previdenziali e disicurezza sociale maturati in Italia e può usufruire di tali diritti anche se non sussistono accordi di reciprocità con il Paese di origine”.
 
Sotto il sottotitolo “Pensione di vecchiaia”
  • Si devono distinguere due casi, a seconda che la pensione venga calcolata con il sistema contributivo o retributivo. Nel primo caso, i lavoratori extracomunitari assunti dopo il 1° gennaio 1996, possono percepire, in caso di rimpatrio, la pensione di vecchiaia (calcolata col sistema contributivo) al compimento del 66° anno di età e anche se non sono maturati i previsti requisiti (dunque, anche se hanno meno di 20 anni di contribuzione).
  • Nel secondo caso, i lavoratori extracomunitari assunti prima del 1996 possono percepire, in caso di rimpatrio, la pensione di vecchiaia (calcolata con il sistema retributivo o misto) solo al compimento del 66° anno di età sia per gli uomini che per le donne e con 20 anni di contribuzione.
Questo, quanto scrive l’Inps e riporta il quotidiano La Verità.
 
Andando a scavare più in profondità, si nota tuttavia un articolo pubblicato sul sito Pensionioggi.it che sulla pensione di vecchiaia scrive praticamente la stessa cosa, ma che ricorda come sia stata la legge Bossi-Fini del governo Berlusconi a stabilire il “favoritismo” di cui parla il giornale di Belpietro. Se l’intenzione era di attaccare il governo Renzi o in generale la sinistra, insomma, Belpietro ha fatto una bella gaffe.
 
” Ai lavoratori extracomunitari con rapporto di lavoro a tempo indeterminato o determinato rimpatriati spetta al compimento dei 66 anni di età e 7 mesi (65 anni e 7 mesi le donne). Dal 2018 il requisito sarà parificato a 66 anni e 7 mesi per entrambi i sessi. Fin qui siamo nel solco della norma di carattere generale, quella che non fa differenze in base alla nazionalità del lavoratore. Ma è un altro discorso se si guarda al requisito contributivo (quello appunto citato dal quotidiano La Verità).
 
Qui occorre dividere la materia in due antitetiche situazioni: 1) se la pensione è liquidata con il sistema retributivo o misto (cioè se il lavoratore è in possesso di contribuzione al 31 dicembre 1995), si applica in toto la normativa italiana, senza alcuna deroga; perciò la colf/badante dovrà raggiungere il minimo dei 20 anni di versamenti per avere diritto alla pensione;
 
2) se il lavoratore ricade, invece, nel contributivo puro (cioè non era in possesso di contribuzione al 31 dicembre 1995) la legge Bossi-Fini (legge 189/2002)prevede che la pensione venga pagata anche se l’interessato non ha raggiunto il minimo dei versamenti previsto dalla normativa vigente. Per i cittadini italiani e i comunitari, invece, la pensione di vecchiaia nel sistema contributivo può essere liquidata solo in presenza di almeno 20 anni di contributi a condizione, peraltro, che l’importo dell’assegno non risulti inferiore a 1,5 volte l’importo dell’assegno sociale) oppure, se non è rispettato il predetto importo soglia a 70 anni e 7 mesi in presenza di almeno 5 anni di contributi effettivi. In sostanza pergli extracomunitari nel sistema contributivo, la pensione viene pagata dall’Italia qualunque sia il numero dei contributi versati”.
 
E a tal proposito l’articolo del quotidiano La Verità mette in evidenza che “per gli stranieri, tutte queste restrizioni non esistono”, visto che “l’extracomunitario che, dopo il 1° gennaio 1996, ha versato contributi all’Inps, se torna in patria ha diritto alla pensione anche se non ha raggiunto il minimo di versamenti previsti dalla normativa vigente”.
 
Ora, anche se Pensioni Oggi rileva che “è opportuno ricordare che la legge 189/2002 (dunque Bossi-Fini) ha posto fine a una incredibile facoltà riconosciuta agli extracomunitari dalla legge 335/1995 (legge Dini), in base alla quale chi rientrava in patria senza avere raggiunto il diritto a pensione poteva chiedere la restituzione dei contributi pagati, compresa la quota a carico dell’azienda”, si nota come l’articolo del quotidiano di Belpietro fa riferimento a una normativa non voluta dal governo Renzi, ma addirittura dal governo Berlusconi.

Sisma ad Amatrice, sindaco Pirozzi indagato per omicidio colposo

Pirozzi smsma tu guarda il caso, con tutti i terremoti che ci son stati chi ti incastrano? Il sindaco non allineato, non gradito al regime politically correct, che ha denunciato lo scandalo della raccolta fonti via sms MAI ARRIVATI…che caso Prima che qualcuno pensi ai bravi ragazzi del BUTAC che hanno classificato questo furto come bufala, vorrei che mi spiegasse da quando la Procura indaga su bufale Terremoto, scandalo degli sms per Amatrice: indaga la Procura su 33 milioni mai arrivati


Lʼinchiesta riguarda il crollo di una delle tre palazzine di piazza Augusto Sagnotti, quella ex Ina, in cui la notte del sisma del 24 agosto 2016 persero la vita 7 persone e ne rimasero ferite altre 3

Il sindaco di Amatrice, Sergio Pirozzi, è iscritto nel registro degli indagati dalla procura di Rieti per il crollo, in seguito al sisma del 24 agosto 2016, di una delle tre palazzine di piazza Sagnotti, quella ex Ina casa al civico 1, in cui persero la vita 7 persone e ne rimasero ferite altre 3. Insieme a Pirozzi risultano indagate altre 7 persone. L’ipotesi di reato contestata è omicidio colposo.
“In cooperazione colposa tra loro, nelle rispettive qualità e con le condotte commissive e omissive, non impedivano il crollo dell’edificio”. Recita così uno dei passaggi dell’avviso di conclusione delle indagini notificato questa mattina al sindaco di Amatrice, Sergio Pirozzi, e altre 7 persone tra tecnici e funzionari pubblici, in relazione al crollo di una delle tre palazzine di piazza Sagnotti ad Amatrice in cui persero la vita 7 persone.
 
Nell’inchiesta, oltre al sindaco Sergio Pirozzi, risultano indagati anche il geometra Ivo Carloni, in qualità di progettista e di direttore dei lavori, quattro tra tecnici e dirigenti del Genio Civile di Rieti, Giovanni Conti, Valerio Lucarelli, Maurizio Scacchi e Maurizio Peron, il comandate della Polizia Municipale di Amatrice, Gianfranco Salvatore, e il responsabile dell’Ufficio tecnico dello stesso Comune, Virna Chiaretti. A tutti, nell’avviso di conclusione delle indagini notificatogli oggi, la Procura di Rieti contesta i reati di disastro colposo, omicidio colposo e lesioni personali colpose.
 
Secondo i pm Lorenzo Francia e Rocco Gustavo Maruotti, la palazzina ex Ina casa, che in seguito al sisma de L’Aquila fu sgomberata dall’allora sindaco di Amatrice Carlo Fedeli, fu oggetto di un intervento di ristrutturazione sulla base di un progetto che conteneva “gravi errori”, un “indicatore di rischio inattendibile e non realistico” e un “errato coefficiente di vulnerabilità sismica addirittura superiore a 1”.
 
“Come se l’edificio, progettato e realizzato (ante 1950) con vecchie normative ormai superate, fosse addirittura adeguato rispetto alle norme tecniche del 2008”. Ma così non era, hanno evidenziato le indagini, in quanto la ristrutturazione si limitò a una “scucitura/smontaggio della muratura in pietra che risultava “spanciata” dopo il sisma de L’Aquila” senza collegamenti, ad esempio collegando i solai con “barre d’acciaio”.
 
Per il crollo delle altre due palazzine, ex Iacp, in cui persero la vita altre 19 persone, risultano indagati, dal luglio dello scorso anno, 5 tra ex responsabili di ditte, collaudatori e un ex assessore del Comune.
 
Nardella: “Sindaci parafulmini” – “Pirozzi indagato? Con l’Anci lo diciamo da un sacco di tempo: i sindaci sono diventati parafulmini di tutto ciò che succede nel Paese”. Lo ha detto il sindaco di Firenze, Dario Nardella a chi gli chiedeva un commento sull’inchiesta che ha coinvolto Pirozzi. “Credo ci sia un clima di deresponsabilizzazione molto preoccupante – ha continuato Nardella -. E come l’Anci ha già detto più volte, occorre rimettere a posto il livello di responsabilità di tutte le istituzioni. Occorre restituire dignità al ruolo del sindaco”. Io non entro nel merito della questione che riguarda il collega sindaco Pirozzi, e ovviamente confermo il massimo rispetto per la magistratura. Ma probabilmente non è una questione della magistratura, bensì di leggi. Se si continua a colpevolizzare i sindaci per tutto ciò che succede si rischia di fare un grande danno: non ci saranno più persone brave, capaci, che si prenderanno la briga di fare i sindaci delle proprie città”. Se un sindaco sbaglia, prosegue Nardella, “davvero è bene che paghi, ma non è possibile che la politica e la società scarichino tutte le responsabilità addosso ai sindaci. Ci manca solo che qualcuno chieda al sindaco il risarcimento danni se piove”, ha concluso Nardella