GEOPOLITIQUE DE JERUSALEM (II): LA ‘QUESTION DE JERUSALEM’ AU CENTRE DE LA DIPLOMATIE VATICANE

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Luc MICHEL pour EODE/

Quotidien géopolitique – Geopolitical Daily/

2017 12 12/

LM.GEOPOL - Geopol de jerusalem II (2017 12 12) FR 2

« L’observation des événements historiques, en particulier ceux des cinquante dernières années, montre l’émergence de ce qu’on appelle habituellement « la dimension politique » de Jérusalem, pour désigner la complexité des situations que soulèvent la question du contrôle du territoire et les actions menées pour l’obtenir »

– Mgr Jean-Louis Tauran, Secrétaire pour les relations avec les États.

« J’estime que la négligence dans la recherche d’une juste solution dans le problème de Jérusalem, de même que le renvoi résigné de ce même problème, ne font que compromettre le souhaitable règlement pacifique et équitable de la crise du Proche-Orient tout entier »

– Jean-Paul II (Redemptionis anno, 1984).

La confrontation est frontale entre la vision vaticane de Jérusalem et celle du Likud et de Trump. Une confrontation qui n’a rien de secondaire lorsqu’on connaît le poids géopolitique de la puissante diplomatie vaticane et celui politique de l’Eglise catholique dans le monde …

* Voir sur LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY/ GEOPOLITIQUE DU VATICAN : PUISSANCE POLITIQUE, POUVOIR SPIRITUEL, DIPLOMATIE INFLUENTE, LEADERSHIP, SOFT POWER MONDIAL …

sur http://www.lucmichel.net/2017/12/06/luc-michels-geopolitical-daily-geopolitique-du-vatican-puissance-politique-pouvoir-spirituel-diplomatie-influente-leadership-soft-power-mondial/

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I- L’ORIENT AU CŒUR DE LA DIPLOMATIE VATICANE, JERUSALEM ET LES CHRETIENS D’ORIENT AU CENTRE DE L’ACTION DU VATICAN

À la fin de l’audience générale, ce mercredi 6 décembre au Vatican, le pape François, dont la diplomatie connaît bien le statut de « Ville-Monde » (1) de Jérusalem, a lancé « un appel vibrant pour que tous s’engagent à respecter le statu quo » de Jérusalem, rappelant la position ininterrompue du Saint-Siège sur le sujet depuis 1947.

Avant les annonces de Donald Trump sur Jérusalem, le pape François a donc lancé mercredi 6 décembre un appel pour la Ville sainte, demandant « sagesse et prudence, pour éviter d’ajouter de nouveaux éléments de tension dans un panorama mondial déjà convulsif et marqué par tant de conflits cruels ». « Je ne peux taire ma profonde inquiétude pour la situation qui s’est créée ces derniers jours » autour de Jérusalem, a déclaré le pape à la fin de son audience général du mercredi, dans la salle Paul-VI, adressant « un appel vibrant pour que tous s’engagent à respecter le statu quo de la ville, en conformité avec les résolutions de l’ONU à ce sujet ».

LE SAINT-SIÈGE NE RECONNAÎT PAS L’ANNEXION DE JÉRUSALEM-EST PAR ISRAËL

Le pape, à qui le président palestinien Mahmoud Abbas avait téléphoné la veille, a en fait rappelé ici la position ininterrompue du Vatican depuis 1947 sur Jérusalem. « La position du Saint-Siège est que toute revendication exclusive – qu’elle soit religieuse ou politique – est contraire à la logique véritable de l’identité de la Ville », expliquait Mgr Jean-Louis Tauran, le 26 octobre 1998 à Jérusalem. « Des revendications exclusives selon les critères numériques et historiques sont irrecevables », ajoutait celui qui était alors secrétaire du Saint-Siège pour les relations avec les États.

« De fait, si le Saint-Siège se fait une règle de ne jamais entrer dans les contentieux territoriaux entre États, il ne reconnaît pas pour autant l’annexion de Jérusalem-Est par Israël, s’en tenant à la résolution du 20 août 1980 du Conseil de sécurité de l’ONU condamnant la proclamation par Israël de Jérusalem comme capitale « une et indivisible ». » Il ne cesse, depuis, de demander une « juste solution » pour Jérusalem. « Cela veut dire que les Israéliens et les Palestiniens, en collaboration avec tous ceux qui peuvent les aider, doivent arriver à un accord qui corresponde, en quelque sorte, aux aspirations légitimes et raisonnables de chaque partie, dans le respect des principes de justice », expliquait encore en 1998 Mgr Tauran.

POUR LE VATICAN ET L’EGLISE CATHOLIQUE, « LE CARACTÈRE SACRÉ DE JÉRUSALEM NE SE RESTREINT PAS AUX MONUMENTS »

En 2000, l’Accord fondamental signé entre le Saint-Siège et l’OLP précisera ces « principes de justice », rappelant la nécessité d’« un statut spécial pour Jérusalem », « garanti internationalement » et assurant « la liberté de religion et de conscience », « l’égalité devant la loi des trois religions monothéistes, de leurs institutions et de leurs fidèles dans la ville », « l’identité propre et le caractère sacré de la ville », « la signification universelle de son héritage religieux et culturel » et « la liberté d’accès et de culte pour les Lieux Saints ».

Pour autant, le Vatican ne saurait se satisfaire d’une « simple”extraterritorialité” des Lieux Saints, avec l’assurance que les pèlerins aient la liberté de les visiter sans entraves », comme le proposent le Likud et Trump. Pour lui, en effet, le « caractère sacré » de Jérusalem ne se restreint pas aux monuments « comme s’ils étaient séparés les uns des autres ou isolés dans leur communauté respective » mais « affecte Jérusalem dans sa totalité, ses Lieux Saints comme ses communautés avec leurs écoles, leurs hôpitaux, leurs activités culturelles, sociales et économiques », insistait Mgr Tauran dans ce texte devenu, au Vatican, symbolique de sa position immuable.

LA VISION VATICANE DE JERUSALEM

Les textes pontificaux mettent tantôt l’accent sur certains points et tantôt en nuancent d’autres, ce qui est d’autant plus évident lorsqu’on prend en compte un laps de temps plus important. Ainsi distingue-t-on trois périodes (selon la diplomatie vaticane) :

  1. de 1887 à 1947 (la première guerre entre Arabes et Israéliens), les Papes parlent de la « Terre Sainte en général et de Jérusalem en particulier, en insistant principalement sur la nécessité de défendre l’intégrité physique des Lieux Saints et les besoins des catholiques sur place » ;
  1. de 1947 à 1964 (année du pèlerinage de Paul VI), « l’accent est mis sur la sauvegarde des Lieux Saints, la liberté d’accès pour les croyants des trois religions et le droit pour chacune d’entre elles d’avoir le contrôle de ses propre Lieux Saints » ;
  1. de 1964 à aujourd’hui, on insiste sur « des éléments replaçant Jérusalem dans un contexte global, dans la perspective de la protection de son identité et de sa propre vocation, comme les Lieux Saints, leurs alentours, le respect de toutes les identités culturelles et religieuses, la liberté de religion et de conscience pour les habitants et les pèlerins, la dimension culturelle ».

II- LA POSITION ACTUELLE DU SAINT-SIÈGE SUR LA « QUESTION DE JÉRUSALEM »

Ce 26 octobre, Mgr Jean-Louis Tauran, Secrétaire pour les relations avec les États, a prononcé un discours expliquant la position du Saint-Siège sur la « question de Jérusalem ». Il a pris la parole lors d’un symposium qui s’est tenu à Jérusalem les 26 et 27 octobre (2).

Que dit dans son discours de Mgr Jean-Louis Tauran, Secrétaire pour les relations avec les États :

« La cause de la Ville Sainte est depuis longtemps au centre des préoccupations du Saint-Siège, et elle est l’une de ses premières priorités pour l’action internationale, depuis que se pose la question de Jérusalem.

De fait, il y a un conflit, ou plutôt des conflits, à cause de Jérusalem et en son sein, tous liés à son caractère unique universellement reconnu. Elle est unique en elle-même, et ses conflits le sont également. Elle est différente de toute autre ville. L’introduction d’un livre publié en 1994 par d’éminents universitaires israéliens commence ainsi : « Jérusalem est différente de la plupart des autres lieux au moins à trois égards : la ville est sainte pour les fidèles de trois religions ; elle est l’enjeu des revendications nationales antagonistes de deux peuples ; et sa population est, pour une grande part, hétérogène » (…) Je pense qu’il est important de commencer tout d’abord par préciser, que, lorsque nous parlons de Jérusalem, la distinction faite habituellement entre « la question des Lieux Saints et la question de Jérusalem » est inacceptable pour le Saint-Siège. De toute évidence, les Lieux Saints tirent leur signification et leur identité culturelle et cultuelle de leurs liens intimes avec leur environnement, qui doit être compris non seulement en termes de géographie mais également et plus particulièrement dans ses composantes urbaines et architecturales et surtout en tant que communauté humaine, et dans sa dimension institutionnelle.

L’observation des événements historiques, en particulier ceux des cinquante dernières années, montre l’émergence de ce qu’on appelle habituellement « la dimension politique » de Jérusalem, pour désigner la complexité des situations que soulèvent la question du contrôle du territoire et les actions menées pour l’obtenir.

LA « DIMENSION POLITIQUE » DE JÉRUSALEM :

« EMPÊCHER QUE LA VILLE SAINTE NE DEVIENNE UN CHAMP DE BATAILLE, ET ENSUITE AFIN QU’ELLE NE DEVIENNE PAS, COMME DANS LA SITUATION ACTUELLE, UN CAS PATENT D’INJUSTICE INTERNATIONALE »

Ecoutons toujours Mgr Jean-Louis Tauran :

« La sollicitude exprimée dans les interventions pontificales et dans les autres documents du Saint Siège ne pourrait pas, et ne peut pas, passer sous silence cet aspect. Celui-ci est toujours présent, tout d’abord afin d’empêcher que la Ville Sainte ne devienne un champ de bataille, et ensuite afin qu’elle ne devienne pas, comme dans la situation actuelle, un cas patent d’injustice internationale. La situation actuelle a été établie et maintenue par la violence. Le Saint-Siège s’est élevé contre cela, et continuera à le faire avec force, sans atténuer ses propos, en soutenant constamment la position de la majorité de la communauté internationale, telle qu’elle est surtout exprimée, à juste titre, dans les résolutions des Nations Unies.

Depuis 1967, une partie de la Ville a été occupée militairement, puis annexée. Dans cette partie se trouvent la plupart des Lieux Saints des trois religions monothéistes. Jérusalem-Est est occupée illégalement. Il est donc faux de dire que le Saint Siège n’est intéressé que par le ou les aspects religieux de la Ville et passe sous silence l’aspect politique et territorial. Le Saint Siège est également intéressé par cet aspect et a le droit et le devoir de l’être, et surtout dans la mesure où la question est pendante et reste la cause de conflits, d’injustice, de violations des droits de l’homme, de restrictions de la liberté de religion et de conscience, de peurs et d’insécurité des personnes. Bien évidemment, la préoccupation immédiate et concrète du Saint-Siège est celle des questions religieuses, cependant les autres domaines – politique, économique, etc. – suscitent également son intérêt dans la mesure où ils ont une dimension éthique. Bien que le Saint-Siège ne soit pas compétent pour prendre part aux discussions territoriales entre Nations, ni pour prendre parti et chercher à imposer des solutions détaillées, il a cependant tout à fait le droit, et le devoir, de rappeler aux parties en présence l’obligation de résoudre pacifiquement leurs différends, en accord avec les principes de justice et d’équité, et dans le cadre du droit international. »

QUEL STATUT POUR JERUSALEM ?

« Dans le cas de Jérusalem, les deux aspects, religieux d’une part et politique et territorial d’autre part, sont intrinsèquement liés, bien qu’ils soient différents dans leurs éléments constitutifs, dans la manière de les aborder et d’arriver à une solution », dit encore Mgr Jean-Louis Tauran :

« Tout d’abord, il demande que Jérusalem soit respectée pour ce qu’elle est en elle-même, ou plutôt pour ce qu’elle devrait être, si l’on compare avec ce qu’elle est aujourd’hui.

C’est ce que je définissais tout à l’heure comme la vocation ou l’identité de la Ville Sainte. Jérusalem est un trésor pour toute l’humanité. Lorsqu’on voit la situation de conflit manifeste et la transformation rapide de la Ville Sainte, une solution unilatérale imposée par la force n’est pas, et ne peut pas être une solution.

La position du Saint-Siège est que toute revendication exclusive – qu’elle soit religieuse ou politique – est contraire à la logique véritable de l’identité de la Ville. Je dois le rappeler avec insistance : tout citoyen de Jérusalem et tout visiteur doit faire vivre le message de dialogue, de coexistence et de respect qu’évoque la Ville. Des revendications exclusives selon les critères numériques et historiques sont irrecevables.

Cela dit, je dois ajouter que rien ne peut empêcher Jérusalem, dans son caractère unique et exceptionnel, de devenir le symbole et le centre national de deux peuples qui la revendiquent comme capitale. Mais, si Jérusalem est sacrée pour les juifs, les chrétiens et les musulmans, elle l’est aussi pour beaucoup de personnes dans le monde entier qui la considèrent comme leur capitale spirituelle et viennent ici en pèlerinage, pour prier et retrouver les racines de leur foi. C’est l’héritage culturel de tous, même de ceux qui y viennent simplement en touristes (…) »

« Le Saint-Siège pense donc qu’il faut trouver une solution réaliste aux problèmes de Jérusalem, dans leur ensemble, selon leurs propres caractéristiques.

Il y a tout d’abord un problème politique concernant Jérusalem, pour les Israéliens et les Palestiniens, qui est d’ordre essentiellement pratique. La Conférence de Madrid de 1991 et ses suites ont fait naître des espoirs de paix. Ces espoirs sont fondés sur une volonté de dialogue, de négociation et de recherche de compromis. Ces espoirs apparaissaient bien fondés, d’autant plus qu’ils reposaient sur l’engagement et les efforts d’une grande part de la communauté internationale, notamment des Etats-Unis, comme les événements de Wye Plantation l’ont prouvé ces jours derniers. Espérons que les aspirations au dialogue et à la paix contribueront à réaliser ce qui a été convenu d’un commun accord.

Dans ce contexte, à la fois bien complexe et bien délicat, la question de Jérusalem a été reportée. On comprend que les difficultés et la diplomatie nécessaire aient jusqu’ici conduit à repousser la question de Jérusalem. Mais nous savons tous, et les Israéliens et les Palestiniens les premiers, que la paix et la coexistence en Terre Sainte et dans le Moyen-Orient n’ont pas d’avenir, tant que la question politique de Jérusalem ne sera pas résolue.

Que veut dire le Saint-Siège par une « juste solution » ? Cela veut dire reconnaître qu’actuellement la situation est conflictuelle. Cela veut dire que les Israéliens et les Palestiniens, en collaboration avec tous ceux qui peuvent les aider, doivent arriver à un accord qui corresponde, en quelque sorte, aux aspirations légitimes et raisonnables de chaque partie, dans le respect des principes de justice (…) »

UN STATUT GARANTI SUR LE PLAN INTERNATIONAL

« Pour le Saint-Siège, cependant, la solution du conflit territorial uniquement n’est pas suffisante pour Jérusalem, précisément parce que Jérusalem est une réalité unique : elle fait partie du patrimoine universel. Et le monde entier a montré qu’il en est totalement conscient, à travers par exemple les résolutions que les Nations Unies ont adoptées pour défendre ce patrimoine.

Pour Jérusalem, le Saint-Siège continue à demander qu’elle soit protégée par un statut garanti sur le plan international. Que veut-il dire par cela ? Selon les positions du Saint-Siège :

– les caractéristiques historiques, matérielles, aussi bien que religieuses et culturelles, doivent être préservées, ou plutôt, même, doit-on parler aujourd’hui de restauration et de sauvegarde de ce qui existe encore ;

– il doit y avoir égalité de droits et de traitements pour ceux qui appartiennent aux trois communautés religieuses fondées dans la Ville, dans un contexte de liberté des activités religieuses, culturelles, civiles et économiques ;

– les Lieux Saints situés dans la Ville doivent être protégés, et il faut y garantir les droits de liberté religieuse et de culte, et leur accès, aux habitants et aux pèlerins, qu’ils soient de la Terre Sainte ou de tout autre partie du monde.

Ce qui est en jeu, c’est la question essentielle de la garantie et de la protection de l’identité de la Ville Sainte dans son intégralité, dans chaque aspect. Ainsi, par exemple, la simple « extraterritorialité » des Lieux Saints, avec l’assurance que les pèlerins aient la liberté de les visiter sans entraves, ne serait pas suffisante. L’identité de la Ville comprend un caractère sacré qui n’est pas seulement le fait des sites individuels ou des monuments, comme s’ils étaient séparés les uns des autres ou isolés dans leur communauté respective. Le caractère sacré affecte Jérusalem dans sa totalité, ses Lieux Saints comme ses communautés avec leurs écoles, leurs hôpitaux, leurs activités culturelles, sociales et économiques (…). »

« Il est essentiel que les parties en négociations prennent en compte de manière équitable et adéquate le caractère sacré et universel de la Ville. Ceci suppose que toute solution éventuelle soit soutenue par les trois religions monothéistes, à la fois au niveau local et au niveau international. En outre, lorsqu’elles sont proposées, les négociations doivent inclure la participation des défenseurs du processus de paix et celle d’autres parties invitées. Le Saint-Siège pense qu’il est important d’élargir la participation à la table des négociations, afin de s’assurer que tous les aspects du problème ont été pris en compte et d’affirmer que l’ensemble de la communauté internationale est responsable du caractère unique et sacré de cette Ville incomparable. »

NOTES :

(1) Sur le concept de « Ville-Monde »

Cfr. luc MICHEL, « LE CONCEPT DE JERUSALEM COMME « VILLE-MONDE », in LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY/ ENTRE GÉOPOLITIQUE, HISTOIRE, RELIGION ET IDEOLOGIE : GEOPOLITIQUE DE JERUSALEM, 2017 12 11,

sur https://www.facebook.com/Pcn.luc.Michel/posts/1164520317015718

(2) Symposium en présence des représentants des Conférences épiscopales, invités par Mgr Michel Sabbah, Patriarche latin de Jérusalem, pour un échange d’information sur le thème : « Jérusalem, ville sainte ».

Mgr M. Sabbah a rappelé le Mémorandum des Patriarches et Chefs des Communautés chrétiennes de Jérusalem sur « La signification de Jérusalem pour les chrétiens », publié en novembre 1994 ( DC 1995, n° 2108, p. 85-87).

D’autres points de vue ont été exposés par M. Fayçal Husseini, ministre en charge de Jérusalem à l’Autorité Palestinienne ; M. Haïm Ramon, député travailliste à la Knesset ; M. Harry Hagopian, Directeur du Bureau de Liaison du Conseil des Églises du Moyen-Orient ; le P. Majdi al-Siryani, prêtre et juriste, ainsi que le Métropolite Timothée au nom du Patriarcat grec-orthodoxe de Jérusalem.

(Sources : AFP – La Croix – EODE Think-Tank)

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GEOPOLITIQUE DE JERUSALEM (II): LA ‘QUESTION DE JERUSALEM’ AU CENTRE DE LA DIPLOMATIE VATICANEultima modifica: 2017-12-16T09:20:14+01:00da davi-luciano
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