PROCHE-ORIENT : VERS UNE NOUVELLE GUERRE ENTRE LE LIBAN ET ISRAEL ?

# LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY/

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/

Luc MICHEL pour EODE/

Quotidien géopolitique – Geopolitical Daily/

2017 11 23/

LM.GEOPOL - Liban vs israel (2017 11 23) FR (2)

« L’armée libanaise en plein état de guerre avec Israël », commentait Reuters ce mardi … « Le Chef d’Etat-Major de l’armée libanaise demande à ses troupes de se mettre en état de préparation maximale à la guerre à la frontière d’Israël ». Il exhorté ses troupes  « à un état de pleine préparation à la frontière sud, afin de faire face aux menaces de l’ennemi israélien et à ses violations », déclare l’armée libanaise dans un tweet ce mardi 21 novembre. Le général a également averti qu’Israël avait « des intentions hostiles contre le Liban, son peuple et son armée ».

 « Avertissement », dit Reuters : « les bruits de bottes à forte résonance nationaliste peuvent aussi servir à masquer le creusement d’une faille intérieure, qui date de l’annonce-surprise de sa démission par Saad Hariri, depuis une terre étrangère, en l’occurrence : l’Arabie Saoudite, Commandeur des 27% de Sunnites libanais, face aux 27% de Chiites, à majorité inféodés au Hezbollah ».

Le véritable bras de fer se joue entre la Ligue Arabe et le Hezbollah :

« L’armée libanaise se porte en bouclier de l’unité de la nation, mais redoute, non sans raison, que conformément aux grandes manœuvres de septembre et à l’accumulation d’indices concordants, comme : la proposition d’échanges de renseignements avec l’Arabie Saoudite, ou l’article du Daily Mail parlant du couronnement proche de Mohammed Bin Salman, suivi d’une tentative d’enrôlement de Tsahal pour une guerre contre le Hezbollah, le temps des conflits subisse une accélération et que le Liban soit pris au dépourvu. »

Le Times of Israel lui révèle les peurs cachées de Tsahal : « Le Hezbollah est devenu le grand marionnettiste des mouvements de troupe de l’armée iranienne, comme le principal pourvoyeur, du reste, de l’armée syrienne d’Assad », affirme-t-il. « En ce sens, ces gesticulations frontalières pourraient aussi servir de camouflage à l’acheminement de moyens logistiques set balistiques du Hezbollah, plus près de la frontière et à l’insu de son plein gré, pour la FINUL, qui n’a jamais servi à grand-chose qu’à compter les points ».

Tsahal se sent sûre d’elle, tellement qu’elle se croit invincible : « Quoi qu’il en soit, Beyrouth n’aurait aucun intérêt à déclenché de lui-seul, une guerre contre Israël, qu’il perdrait aussi tôt qu’il ne l’aurait déclenché, par la destruction systématique de ses infrastructures, en même temps que celles du Hezbollah. Celui-ci doit d’abord revenir de Syrie et panser ses plaies avant d’envisager d’ouvrir un second front qui ne le serait qu’à son détriment. L’armée syrienne ne pourrait non plus venir en renfort, pas plus que les Gardiens de la Révolution ne sont suffisamment implantés dans la région ». Tout en cherchant à se rassurer : « Avec toutes les précautions déjà prises à la frontière libano-israélo-syrienne, gageons qu’il s’agit surtout de grandes manœuvres intérieures pour jouer la comédie de la “souveraineté” : mythe libanais qui n’a plus cours depuis bien longtemps… Ce branle-bas de combat, mimant l’unité de façade, ne devrait éveillé qu’un bâillement du lion israélien ». Les israéliens ont, au Liban, la mémoire bien courte …

UN CONTEXTE GEOPOLITIQUE PLEIN D’INCERTITUDES

Cette tension survient au lendemain du jour où le Président libanais Michel Aoun est apparu pour prendre la défense du Hezbollah autant que nécessaire afin de résister à Israël, à la suite d’un communiqué de la Ligue Arabe accusant le groupe « de terrorisme » et soulignant « qu’il fait néanmoins partie de la coalition gouvernementale du Liban ». « La démultiplication des cibles désignées par Israël (en Syrie) se poursuit et c’est le droit des Libanais de lui résister et de déjouer ses plans par tous les moyens disponibles », a déclaré le bureau de la Présidence, selon une citation relevée dans un tweet.

L’Arabie Saoudite, le grand rival régional de l’Iran, puissance régionale émargente, s’oppose au rôle du Hezbollah en tant que force militaire en Syrie et elle a accusé le Hezbollah « d’aider les insurgés houtis et d’autres djihadistes chiites au Bahrein ». La Ligue Arabe, sous influence saoudienne, s’est réunie dimanche pour discuter de ce qu’elle désigne comme « l’ingérence iranienne dans les affaires des pays arabes » et a accusé « l’allié et subalterne de Téhéran, le Hezbollah, de terrorisme ».

Aoun a rétorque qué le Liban « ne peut pas accepter les suggestions disant que son gouvernement est complice d’actes de terrorisme », selon un autre tweet citant le Secrétaire Général de la Ligue, Ahmed Aboul Gheit, après cette réunion de la Ligue Arabe.

L’Egyptien Aboul Gheit a rectifié en disant à Beyrouth que « personne n’accuse le gouvernement libanais stricto sensu de terrorisme ni ne veut porter préjudice au Liban ». « L’un des partenaires dominants est accusé de cela… c’est un moyen indirect de demander à l’Etat libanais de parler avec ses partenaires et de les convaincre (l’Iran) de restreindre leurs actes (de guerre) sur les terres arabes », a t-il déclaré. « Tout le monde reconnaît la particularité de la situation libanaise (et le rôle politico-militaire central du Hezbollah pro-iranien).

Le Liban est en outre confronté à une crise politique sans précédent, à la suite de la démission brutale de son Premier Ministre Saad Hariri le 4 novembre 2017, dans une déclaration télévisée depuis l’Arabie Saoudite. Sa déclaration de démission a clairement accusé « l’Iran et le Hezbollah de semer le chaos et la discorde » dans les pays arabes.

L’armée libanaise est considérée comme une force largement inefficace. Mais au Liban, les forces du Hezbollah sont par contre « les mieux armées et les plus endurcies ». Le Hezbollah est soutenu par l’Iran, et son aile politique, alliée au Parti ba’ath libanais d’obédience syrienne, fait partie du gouvernement libanais.

HARIRI ET LES SAOUDIENS PLONGENT LE LIBAN DANS UNE CRISE POLITIQUE GRAVE

L’appel d’Aoun pour que ses troupes soient prêtes pour une attaque israélienne survient au milieu de tensions croissantes entre Israël et le Hezbollah ainsi qu’une crise politique entre Beyrouth et l’Arabie saoudite, déclenchée par la démission depuis Riyad du Premier ministre libanais Saad Hariri (vieil allié des saouds et des occidentaux). En démissionnant, Hariri a cité « l’ingérence de l’Iran et de son ami le Hezbollah dans la région », ainsi que les craintes pour sa vie. Sa démission du 4 novembre annoncée depuis la capitale saoudienne est largement considérée comme ayant été orchestrée par le royaume du Golfe.

Le Hezbollah a affirmé ces dernières semaines que « l’Arabie saoudite pressait Israël d’attaquer le Liban ». La Ligue arabe a elle condamné ce lundi l’Iran et son mandataire, le Hezbollah, qu’il a accusé de « terrorisme » et de soutenir des « groupes terroristes dans toute la région ».

En réponse à la condamnation de la Ligue arabe, le président libanais a défendu le Hezbollah, affirmant que son pays avait été soumis à « l’agression israélienne pendant des décennies et avait le droit de se protéger » : « Le Liban a été capable de faire face à l’agression israélienne depuis 1978 jusqu’à la guerre de 2006. Il a été capable de libérer sa terre. Les menaces israéliennes sont toujours en cours. Les Libanais ont le droit de la combattre et de la contrecarrer avec tous les moyens disponibles », a déclaré Michel Aoun.

Pendant ce temps, Israël, le grand bénéficiaire de la déstabilisation du Liban par les Saouds, a déclaré « qu’il ne permettrait pas au Hezbollah – qui se bat en Syrie au nom du gouvernement du président Bachar al-Assad – d’être présent à sa frontière avec la Syrie ». Il a également déclaré que « toute attaque du Hezbollah contre Israël serait considérée comme une attaque provenant du Liban lui-même ».

Cependant Israël et le Hezbollah, ont tous deux déclaré qu’ils n’étaient pas intéressés par une guerre en ce moment. Ce qui ne va pas dans le sens des plans saoudiens. Lundi, le ministre de la Défense israélien, Avigdor Liberman, a exhorté les législateurs « à augmenter les dépenses militaires de plus de 1 milliard de dollars au cours des trois prochaines années », citant l’évolution de la situation en Syrie, notamment « la présence iranienne accrue dans le pays ». Le ministre de la Défense a noté des « pénuries importantes du nombre d’abris anti-aériens dans le nord d’Israël », qui serait la partie du pays la plus touchée par une éventuelle guerre contre le Hezbollah.

UN RETOUR QUI NE CLARIFIE RIEN

La démission de Hariri a été interprétée comme un nouveau bras de fer entre les parrains régionaux des deux camps rivaux au Liban: l’Arabie saoudite qui soutient Hariri, et l’Iran qui appuie le Hezbollah, poids lourd de la politique libanaise.

De retour à Beyrouth, Saad Hariri a annoncé ce mercredi qu’il suspendait sa démission surprise, en attendant des consultations sur des dossiers épineux dont l’implication dans des conflits régionaux du puissant Hezbollah pro-iranien, partenaire de son gouvernement. Cette décision, faite au lendemain de son retour au pays, ne clarifie rien au Liban « pris de court par sa démission annoncée le 4 novembre depuis Ryad, où son séjour prolongé avait alimenté les spéculations sur une interdiction de voyage ». Dans ses interventions à Beyrouth, Hariri n’a pas évoqué les accusations du président Michel Aoun selon lesquelles il avait été “retenu en otage” en Arabie saoudite. Des accusations qu’il avait niées durant son séjour à Ryad.

Le visage grave, M. Hariri s’est exprimé dans une brève allocution télévisée, appelant au “dialogue” dans un pays miné par les crises politiques à répétition opposant les deux principaux blocs, celui emmené par M. Hariri et celui dirigé par le Hezbollah. “J’ai discuté de ma démission avec le président de la République qui m’a enjoint d’attendre avant de la présenter pour permettre davantage de consultations. J’ai accepté cette requête”, a dit Hariri à l’issue d’un entretien avec le président Michel Aoun. Hariri a appelé à éloigner le Liban des conflits au Moyen-Orient et à respecter une “politique de distanciation”, une allusion claire à l’intervention du Hezbollah dans la guerre en Syrie voisine au côté du régime.

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

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LIBYE ET PIEGE MEDIATIQUE SUR L’ESCLAVAGE DES AFRICAINS 

Gilbert NKAMTO  pour ELAC & ALAC COMMITTEES/

2017 11 22/

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Gilbert Nkamto : Un témoin camerounais direct de la prise de la Libye par les islamistes alliés aux occidentaux parle !

Sans toutefois occulter ce qui s’est passé en Libye et qui se passe jusqu’ici à certains endroits du pays au sujet de la pertinente question de l’esclavage, il est clair qu’il faut distinguer les responsabilités de cette tragédie d’une autre époque et les liens qui les impliquent. 

Situer les responsabilités au compte du pauvre libyen, c’est nier ou chercher à nier les souffrances de ce peuple, depuis que plus de 44 pays du monde occidental avec en tête de proue la France de Sarkozy, l’Angleterre de Cameron, les Etats-Unis de Obama, l’Italie de Berlusconi et le monde arabe de Cheikh Hamed ben Khalifa al-Thani du Qatar ont jeté, au printemps 2011, leur dévolu criminel sur ce pays, qui était en plain boom infrastructurel, économique et un levier de développement pour l’Afrique et notamment pour les pays de la zone Censad.

DE QUEL ESCLAVAGE PARLONS-NOUS ?

POURQUOI A-T-ON OCCULTE EN 2011 LES ATROCITES INOMMABLES  DE LA LIBYE PAR LES ISLAMISTES ???

Parce que CNN a suscité l’émoi « nègre » ou du moins de la race noire, alors toutes les télévisions du monde avec en prime certains journalistes espions ou journalistes de l’ordre établi, ont décidé de lancer des campagnes contre le supposé « esclavage en Libye » et comme à l’époque de « je suis Charlie », les Africains ont adhéré à la thèse en convoquant des attaques contre les pauvres libyens et contre la souveraineté de la Libye.

A-t-on subitement oublié 2011 ? Des soldats noirs libyens de l’armée nationale, n’étant pas en zone de combat, reclus dans leur base de cantonnement et dans leur caserne, étaient massacrés aux yeux et aux sus du monde entier, traités de mercenaires pro-Kadhafi. Ces media étaient où ? Des ressortissants africains, tabassés, chosifiés par les mêmes geôliers d’aujourd’hui et sous le film des cameras de ces chaines de télévisons, pourquoi n’avaient-elles pas relayé les images pourtant elles les avaient et les ont gardées dans leurs archives… 

Les familles libyennes, notamment arabes blanches, parce qu’elles soutenaient le Guide Kadhafi, étaient massacrées, vendues aux enchères par les mêmes geôliers d’aujourd’hui… et filmées par les mêmes cameras…. Pourquoi les images n’ont jamais été rendues public pourtant Aljazeera étaient au premier rang de la communication anti-régime Kadhafi… pour rappel, les filles et mères étaient violées, les seins tranchés à la fin de l’œuvre macabre, les organes amputés tels les reins, le foie et autres pour les réseaux mafieux internationaux de vente d’organes humains, les hommes étaient aussi dépecés, et leur chair était servi aux soldats retenus captifs qui devaient la consommer parfois à l’état frais. Je parle des choses factuelles avec des images encore disponibles sur Youtube. Pourquoi ces “merdias” n’avaient-ils pas fait large propagande ???

Je me souviens de cette humble famille libyenne de Misurata, parce qu’elle était sortie manifestée avec la banderole verte, elle a été stoppée net à un checkpoint tenu par les “twars” c’est-à-dire les rebelles, les parents égorgés devant leurs filles âgées autour de 18 et 16 ans et transportés dans un conteneur au centre de Misurata qui servait de lieu d’abattoir et de dépôt de corps, les jeunes filles avaient servi la nuit tombée, le plat sexuel des amis pro-Otan et du Qatar et après le bon travail de nos amis démocrates Us-Otan, elles ont eu les seins tranchées, les yeux transpercés alors qu’elles étaient encore en vie, et petit à petit elles étaient dépecées jusqu’à ce qu’elles rendent leur dernier souffle. Où étaient CNN et consorts ??? Elles étaient là, elles ont les films dans leurs archives… pourquoi n’avaient-elles pas organisé la propagande contre les atrocités commises par leurs partisans pro-démocrates ???  

Le monde s’indigne contre l’esclavage des Africains en Libye et accuse les libyens d’être des esclavagistes ; le faisant, l’occident tente d’occulter ses massacres en Afrique du nord et notamment en Libye avec les séries d’assassinats massifs des Africains et Arabes libyen, marocain, tunisien, algérien, égyptien, syrien, libanais, yéménite, soudanais, érythréen, éthiopien, et subsahariens, qu’il orchestre avec leurs sous-marins positionnés en Méditerranée et en mer libyenne, coulant les canoës, les chaloupes et les bateaux de fortune que ces derniers utilisent pour tenter leur expéditions vers l’eldorado européen.

C’est toujours pour occulter ces massacres d’Africains et Arabes en Libye que l’Otan et l’occident, soucieux de laver leur image ternie avec la déchéance de leur politique internationale en Libye et en Syrie, ont organisé leur propagande autour du sujet de l’émoi du nègre afin de relancer leur campagne d’invasion contre la Libye souveraine qui cherche désespérément à combattre les agents de terreur que sont daesh et ses suppôts des services de renseignement Otan-occident-arabe.

LES LIBYENS A LA CROISEE DES CHEMINS

Entre terreur et esclavage, les Libyens sont pris au piège d’une situation qu’ils n’ont jamais cherché, le « printemps libyen » étant une histoire forgée par l’Otan, la France, l’Angleterre et le Qatar pour assassiner le combattant de la liberté de tous les temps qu’était Mouammar Abou Mnyar Al-Kadhafi. Les Libyens n’avaient jamais protesté contre Kadhafi malgré les images propagandistes orchestrées par les services de renseignement occidentaux et qatari contre la Jamahiriya et son peuple.

Les Libyens sont aujourd’hui esclaves de Daesh et des agents de renseignement Otan-occident-arabe. Prendre les Libyens à partie, en commençant à les victimer dans nos pays en Afrique c’est tomber dans le piège posé par nos geôliers à nous tous, l’Otan-occident et certains pays arabes parmi lesquels le Qatar, l’Arabie Saoudite qui souhaitent à jamais raser la Libye de la carte de l’Afrique. Les Libyens sont pris au piège et sont de notre côté… ils attendent désespérément notre soutien, militaire et humanitaire afin de restaurer l’autorité et l’unité de la Libye.

Dans mon livre achevé depuis 2013 et non encore édité,  “LIBYE 2011 : LE PLAN MACABRE DE LA DESTABILISATION DE KADHAFI”, j’y fais un certains nombre de révélations et de témoignages qui restent à nos jours inconnu du public mais connu des agences de renseignement des pays qui veulent raser la Libye de la carte du monde.

En tant que témoin de l’histoire, ayant vécu la crise libyenne jusqu’à la mort du Colonel, ayant été aux affaires en tant que Coordinateur général de la « Fact Finding Commission on the Libyan Crisis » à Tripoli de février jusqu’au mois de septembre 2011,  je suis ce noir à qui la Libye a tout donné en terme de fonction, de prestige et de notoriété sur la scène politique libyenne et continentale. Je les ai eus grâce aux Libyens que l’Otan-occident tente aujourd’hui de traiter d’esclavagistes. J’étais Noir, Camerounais et non Libyen et j’ai accomplis mon séjour sur cette terre sans jamais connaître l’esclavage que le monde connaît des pays des Emirats et du Liban. Comme moi, de milliers d’Africains ont servi en Libye dans de très grandes structures et intutitions sans la moindre discrimination qu’on connaît parfois même dans nos pays d’origine.

Les Libyens sont des gens bien et ils le demeurent. La Libye a été infestée par des terroristes et ses suppôts Otan-occident, pour définitivement détruire le peu qui reste du patrimoine de la Jamahiriya et de Kadhafi.

EN LIBYE, DES LIBYENS SONT NOIRS !

Que ce soit dans la Tripolitaine, à Tripoli, Zuwara, Garyan, Mizda, Waddan, Ghadamis, Syrte, Bani Walid, la population est composite avec les Noirs libyens qui vivaient et qui vivent en parfaite harmonie avec leurs frères et sœurs de couleur blanche ; en Cyrénaïque, Ajdabiya, Al Jaghbub, elJabel Akdar, Tubruk, Derna ont également toute une population composite et où noir et blanc libyen cohabitent pacifiquement, et enfin dans tous le Fezzan, les Libyens noirs sont majoritaires et dominants et vivent en parfaite harmonie avec les Libyens de couleur blanche. De quel esclavage est-ce qu’on parle en Libye ? Si c’est la problématique du « noir africain » qui semble préoccupante et occupe les présidences en Afrique et en occident, ne s’agirait-il pas là d’une mystification de l’enjeu réel de l’esclavage ? Le problème pour moi est ailleurs. L’esclavage étant réel et encore vivace aussi bien dans nos pays africains, aux USA, en Europe, en Asie. Il faut donc attaquer ce fléau où ca fait mal.

Que ce soit les Libyens noirs ou blancs, ils sont tous aujourd’hui esclaves de certains groupes d’individus affiliés aux réseaux terroristes qui font la pluie et le beau temps sur la  terre du « no man’s land », où aucun pouvoir n’existe et où chacun fait ce qu’il veut et dont les seuls qui dirigent sont l’alliance daesh-état français, britannique, qatari et Us. 

Pour mémoire, Tawargha, petite ville entièrement peuplée de Libyens noirs, autour de 50.000 habitants jusqu’en 2011, située à quelques 40km de Misurata en remontant vers Syrte, fut entièrement rasée par les pro-démocrates Otan-occident-arabes au lendemain de la prise totale de la Tripolitaine par les « twars » français, qatari, britannique et US tout simplement parce qu’elle avait soutenu jusqu’à la dernière minute, Kadhafi et la Jamahiriya. Ces noirs ont été faits prisonniers, transformés en esclaves des pro-démocrates et personne, aucun media encore moins la communauté sous-titrée internationale, n’a eu l’audace de décrier le massacre contre les Noirs libyens. Les Tawargha étaient massacrés, fusillés à bout portant, enterrés dans de fosses communes, forcés à s’exiler dans d’autres villes de la Libye et où ils sont traités en esclaves par les pro-démocrates libyens revenus d’exile. Présidents africains, ne sont-ils pas noirs comme vous ? Qu’aviez-vous fait ?

Vous êtes allés cupidement au siège de l’Union africaine en 2011, annoncer votre adhésion au gouvernement pro-démocratique de la communauté internationale en Libye en méconnaissance des bienfaits et des prouesses que Kadhafi avaient réalisés pour vous et votre peuple, que vous dirigez en mains de maitres d’esclaves. Vous vous indignez aujourd’hui contre l’esclave en Libye ? Avez-vous reconnu votre erreur de jugement qui vous avait poussé à jeter la Libye en pâture, Kadhafi avec ???    

CE QU’IL Y A LIEU DE FAIRE !?

Il est urgent, au lieu de courir derrière les émotions trompe-œil, attaquer le problème libyen dans son fond. Il est urgent de secourir le peuple libyen utile en exil et celui resté sur place sur le plan réellement humanitaire et envahir militairement la Libye par une alliance militaire russo-chino-africaine pour libérer le pays de la peste que constitue daesh et ses parrains Otan-occident-arabe.   

Si la Russie et la Chine se sont engagées militairement en Syrie sur la demande du Président Assad, il n’est pas impossible que l’Union africaine les appelle au secours d’autant plus qu’en Libye, il n’y a aucune autorité réelle qui peut appeler à l’aide de façon à ne pas offusquer d’autres camps à l’intérieur de la Libye. L’autorité de l’Afrique est engagée et c’est là où on attend les Africains.

Le folklore des marches est une illusion car elle ne change pas la donne sur le terrain. Il faut aller à l’action…  

LE RAPATRIEMENT DES AFRICAINS

L’initiative est certes louable mais elle ne manque pas ses nombreux critiques. Le cas libyen n’est pas exceptionnel que les cas d’esclavage qui se produisent au Liban, dans les Emirats Arabes Unis notamment à Dubaï, en Arabie Saoudite où les Africains sont vendus moins chers que la peau de banane.

Partis explorer l’eldorado dans le monde arabe, ces Africains une fois sur place, découvrent macabrement que l’esclavage existe encore au  21ème siècle. Ils font toujours appel à leur pays d’origine qui reste insensible à leur situation d’esclavagisme.

Il y a plus de six mois en Algérie surtout, que les Africains sont pourchassés et interdits de prendre le même moyen de transport que les Algériens. Malgré les campagnes de dénonciation sur les réseaux sociaux, aucune propagande audiovisuelle, aucune réaction officielle d’une chancellerie africaine n’a fait l’objet d’interpellation des autorités algériennes. Les Africains en Algérie sont arrêtés, chosifiés et déportés dans le désert du Niger, considéré comme le dépotoir des nègres. Ce fut le cas aussi avec le Maroc, en Tunisie c’est tous les jours que les autorités tunisiennes déportent les Africains vers le territoire libyen. 

Un nouvel esprit doit voir le jour en Afrique, particulièrement en Afrique subsaharienne. Ca suffit cette tragédie sur les peuples africains quels qu’ils soient, arabes, berbères, sahraouies, soudano-bantou, etc. Ca suffit cette barbarie sur l’Afrique.

Nous devons être un nouveau type de leaders avec un nouveau type de leadership qui passe à l’action et qui ne court pas derrière l’émotion pour s’attaquer aux réels enjeux et défis de l’heure.

Par Gilbert NKAMTO,

Cadre MCR bureau central (2002-2011), Tripoli-Libye.

SG Panafricom (Douala-Cameroun).

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* ELAC WEBSITE :

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For Direct Democracy and Libyan Jamahiriya ! / Le Réseau de Résistance pour la Démocratie Directe et la Jamahiriya libyenne ! / СЕТЬ СОПРОТИВЛЕНИЙ ДЖАМАХИРИИ – За Прямую Демократию и Ливийскую Джамахирию!

WEBTV LA VOIX DE LA GUINEE EQUATORIALE/ AFFAIRE DES BIENS DITS ‘MAL ACQUIS’ : L’ÉTAT FRANÇAIS, RECELEUR

 

WEBTV LA VOIX DE LA GUINEE EQUATORIALE/

Revue de Presse/ 2017 11 22/

WLVDLGE - Bma rp ja agrasc (2017 11 22) FR 1

‘Jeune Afrique’ (ce 22 novembre 2017) publie un article intitulé « Affaire des biens mal acquis: l’État français, receleur malgré lui » (le « malgré lui » étant de trop, voir la video de l’analyse de Luc MICHEL en fin d’article)

QUAND ‘JEUNE AFRIQUE’ FAIT LA PUB DE TRANSPARENCY

Cet article a un but principal, médiatiser la Conférence que Me Bourdon a organisé, fort de ses liaisons politiques, organise ce 23 novembre à … l’Assemblée nationale !

Transparency International France organise une conférence internationale à l’Assemblée Nationale française ce 23 novembre. Thème : « RESTITUTION DES AVOIRS ISSUS DE LA CORRUPTION ». La Guinée Equatoriale y est ciblée particulièrement, le but faire main basse sur les biens confisqués par la Justice française. La conférence est lancée avec un Rapport (auquel a participé HRW) : «LE SORT DES BIENS MAL ACQUIS ET AUTRES AVOIRS ILLICITES ISSUS DE LA GRANDE CORRUPTION. Plaidoyer pour une procédure adaptée, au service des populations victimes ».

Deux semaines après le Débat contre Malabo aux Cortès de Madrid (parlement espagnol), où l’on a appelé à des sanctions de l’UE contre la Guinée Equatoriale, la nouvelle offensive contre le Président Obiang Nguema Mbasogo et les siens s’organise …

EXTRAITS DE ‘JEUNE AFRIQUE’ :

« C’est une curiosité qu’a mise en évidence le verdict rendu à l’issue du procès intenté à Teodorín, le vice-président équato-guinéen : dans l’Hexagone, la justice peut ordonner la vente de biens saisis, mais n’a rien prévu pour que l’argent ainsi récupéré soit reversé aux victimes des détournements.3

« En septembre 2011, Teodorín s’était vu confisquer la partie la plus clinquante de ce que la justice française considérait comme un « recel de blanchiment d’argent », issu d’un détournement des caisses du Trésor équato-guinéen. Nous étions au tout début de l’affaire dite des biens mal acquis, lancée par les ONG Transparency International France et Sherpa. L’épilogue a eu lieu le 27 octobre, devant la 32e chambre correctionnelle de Paris : trois ans d’emprisonnement et 30 millions d’euros d’amende pour Teodorín, le tout assorti de sursis. Décision dont celui-ci a fait appel. La présidente du tribunal, Bénédicte de Perthuis, a par ailleurs confirmé la confiscation des biens (…) Dans l’attente du jugement définitif, rien de tout cela n’a encore été vendu. Les objets sont gardés dans un lieu tenu secret et gérés par l’Agrasc. L’immeuble, qui héberge aujourd’hui l’ambassade équato-guinéenne, fait l’objet d’une autre bataille devant la Cour pénale internationale pour lui faire reconnaître son statut diplomatique (…) L’Agence de gestion et de recouvrement des avoirs saisis et confisqués (Agrasc), qui a supervisé la saisie, l’entretien et la vente pour le compte de l’État français, a le devoir d’être efficace dans ses dépenses… »

LES SILENCES COUPABLES DE L’AGRASC

« Sise au 98, rue de Richelieu, dans le 2e arrondissement de Paris, l’Agence de gestion et de recouvrement des avoirs saisis et confisqués (Agrasc) a été créée en 2011. Elle dépend des ministères de la Justice et des Finances. À sa tête depuis le 25 janvier, la magistrate Anne Kostomaroff, ancienne procureure adjointe du parquet de Bobigny et ancienne juge d’instruction à Limoges. »

« Lors du procès, la défense a alors soulevé une épineuse question : où est passé le fruit de cette vente ? Pourquoi n’a-t-il pas été restitué à l’État équato-guinéen, puisque c’est lui qui est, selon la justice française, lésé dans cette affaire ?

Sollicitée à plusieurs reprises, Anne Kostomaroff, la directrice de l’Agrasc, dit ne pas vouloir « développer une communication de l’Agence à ce stade de la procédure ». Tout juste assure-t-elle que l’argent « a été déposé sur son compte à la Caisse des dépôts et consignation [CDC] » (…) Le sujet fait grincer des dents. Si la restitution d’avoirs issus de détournements de fonds a connu des précédents dans d’autres pays (la Suisse a géré une vingtaine de cas similaires depuis les années 1980, notamment avec l’Angola et le Nigeria), il n’y en a aucun en France. »

« « La procédure suit son cours », explique son avocat, Emmanuel Marsigny. En France, selon la loi, l’argent devrait aller au budget de l’État français. « Ce serait un peu la double peine pour les populations », estime la juriste Maud Perdriel-Vaissière (…)Le 23 novembre, l’ONG, partie civile dans l’affaire Obiang, organise par ailleurs une conférence sur le sujet à l’Assemblée nationale. Parmi les participants, l’avocat de Transparency, William Bourdon, mais aussi la directrice de l’Agrasc. »

COMMENT L’ETAT FRANÇAIS SPOLIE LES ETATS ETRANGERS ET LES POPULATIONS QU’IL PRETEND DEFENDRE ET SE FINANCE SUR LEUR DOS (TRESOR PUBLIC ET AGRASC) !?

« Fin 2016, 829 millions d’euros étaient bloqués sur le compte de l’Agrasc à la CDC, donnant lieu à près de 7,8 millions d’euros d’intérêts qui ont constitué, cette année-là, l’essentiel des revenus de l’agence. »

« Taxe sur les plus-values, intérêts produits par les avoirs, une loi qui ne prévoit aucune restitution… L’État français peut-il s’enrichir à partir des biens visés par une procédure pénale ? Ne profite-t-il pas ainsi du crime ? Dans son livre Le Gabon, de l’héritage au partage (Archipel, 2016), l’avocate d’Ali Bongo Ondimba, Claude Dumont Beghi, s’étonne d’ailleurs que 16 millions d’euros de frais de succession aient été réglés par les héritiers d’Omar Bongo Ondimba alors même que l’héritage comporte des biens confisqués et visés par une affaire de biens mal acquis… »

« Au niveau international, si la Convention des Nations unies contre la corruption admet qu’il faut restituer l’argent aux pays, elle laisse à ses signataires – dont fait partie la France – toute latitude pour mettre en œuvre ce processus.

La Suisse a ainsi choisi de s’appuyer sur la Direction du développement et de la coopération (DDC, équivalente à l’Agence française du développement) pour superviser des projets en Angola.

Mais le manque de transparence de cette restitution, et le fait que, par exemple, des machines de déminage aient été acquises par la DDC auprès d’une société suisse, laissent un arrière-goût sulfureux.

« De même que la mise sous tutelle d’une partie du budget d’un État par un autre État ou une agence lui appartenant fait question quant au principe de souveraineté », conclut Emmanuel Marsigny (…) Pour la défense de Teodorín, c’est déjà le cas : « À partir du moment où le parquet national financier a indiqué qu’il ne permettrait pas que les fonds soient rendus tant que le pays serait gouverné par les dirigeants actuels, la restitution se trouve conditionnée à un changement de régime », soutient Emmanuel Marsigny. Avec l’appel déposé le 3 novembre, les millions équato-guinéens ne sont pas près de retrouver le chemin de Malabo. »

LE MAUVAIS EXEMPLE SUISSE

Olivier Longchamp, spécialiste de la fiscalité et des finances au sein de l’ONG Public Eye (ndlr : ex ‘Déclaration de Berne’ liée à Me Bourdon et aux Réseaux Sorös) soulève un autre problème : « Les modalités de restitution ne doivent pas faire l’objet d’un chantage politique, c’est ce que nous avons craint à un moment en Angola. »

Transparency International met en avant « l’exemple suisse » (Lex Duvalier, Loi LVP de 2015). Mais est-il vraiment exemplaire :

« En 2005, après un accord passé avec le président nigérian Olusegun Obasanjo, quelque 458 millions de dollars (387 millions d’euros) bloqués sur des comptes en Suisse appartenant à l’ancien chef de l’État Sani Abacha sont reversés directement à l’État. La Banque mondiale devait superviser, a posteriori, la bonne utilisation de ces fonds (infrastructures, santé, éducation…). Mais dès la fin de l’année 2006, de nouveaux soupçons de détournement apparaissent : sur les 54 projets sélectionnés et présentés par les Nigérians, 9 avaient déjà été achevés avant la restitution des fonds, 29 n’étaient toujours pas terminés, et nombre d’entre eux ont été arrêtés en cours. Finalement, près de la moitié du demi-milliard de dollars se serait de nouveau envolée. Le même sort a été réservé aux 235 millions de dollars appartenant aussi à Abacha et reversés par le Liechtenstein en juin 2014 : tout a disparu à peine arrivé au Nigeria. »

COMPRENDRE LE DESSOUS DES CARTES

Comment l’Affaire  des Biens dits « mal acquis » est un complot organisé contre Malabo ?

Et comment l’Etat français s’empare des biens « mal acquis » confisqués, devenant receleur :

* Voir Luc MICHEL :

# ECUATORIAL GUINEA TV/ NOUVELLE OFFENSIVE OCCIDENTALE CONTRE MALABO (II): COMMENT TRANSPARENCY INTERNATIONAL VEUT MANIPULER L’ASSEMBLEE NATIONALE FRANCAISE !?

https://vimeo.com/244011217

* Voir aussi sur # EODE-TV/

LUC MICHEL:

AFFAIRE DITE ‘DES BIENS MAL ACQUIS’. COMPLOT CONTRE LA GUINEE EQUATORIALE AU ‘PROCÈS’ DE PARIS

sur https://vimeo.com/198856065

Photos :

Luc Michel (Afrique Media et EODE-TV) avec Me Tomo, un des avocats de la Guinée Equatoriale au procès de Paris (le 26 juin dernier).

La couverture du Rapport bidon de Transparency …

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2017 11 22

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ECUATORIAL GUINEA TV/ NOUVELLE OFFENSIVE OCCIDENTALE CONTRE MALABO (I): L’EX-COLON ESPAGNOL VEUT SANCTIONNER LA GUINEE EQUATORIALE

ECUATORIAL GUINEA TV/

LUC MICHEL: NOUVELLE OFFENSIVE OCCIDENTALE CONTRE MALABO (I):

L’EX-COLON ESPAGNOL AUX CORTES VEUT SANCTIONNER LA GUINEE EQUATORIALE

sur https://vimeo.com/244008070

Vignette EGTV complot ge I

INGERENCE NEO-COLONIALE. LE PARLEMENT ESPAGNOL COMPLOTE CONTRE LA GUINEE EQUATORIALE !

MADRID VEUT A NOUVEAU DESTABILISER SON ANCIENNE COLONIE (QUI S’EST LIBEREE EN 1968) … Débat honteux aux Cortès (initié par le PSOE , soutenu par tous les grands partis) sur les élections législatives et municipales de novembre en Guinée équatoriale (quelques jours avant celles-ci le 12 nov.), pour adopter une « stratégie » en cas de victoire du PDGE (le Parti Démocratique de Guinée Equatoriale du Président Obiang Gnuema Mbasogo, soutenu par une large coalition de partis dans le cadre d’une politique d’union nationale) et « demander des sanctions à l’UE et à l’ONU ».

Vous avez dit ingérence néocoloniale ?

* ANALYSE DE LUC MICHEL :

Comment Madrid entend à nouveau déstabiliser Malabo …

* LE DEBAT DES CORTÈS

Le parlement national espagnol débattant sur la Guinée équatoriale, la démocratie et les droits de l’homme de Malabo (qualifiée de « dictature »), au moment même où Madrid réprime durement (arrestations, prisons préventive, violences policières) les dirigeants autonomistes catalans, le référendum et les manifestants pacifiques catalans … La paille et la poutre, on ne connaît pas semble-t-il à Madrid !

Images : EODE-TV pour AFRIQUE MEDIA

Montage et diffusion : PANAFRICOM-TV et

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10 novembre 2017

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ECUATORIAL GUINEA TV/ NOUVELLE OFFENSIVE OCCIDENTALE CONTRE MALABO (II): COMMENT TRANSPARENCY INTERNATIONAL VEUT MANIPULER L’ASSEMBLEE NATIONALE FRANCAISE !?

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LUC MICCHEL: NOUVELLE OFFENSIVE OCCIDENTALE CONTRE MALABO (II): COMMENT TRANSPARENCY INTERNATIONAL VEUT MANIPULER L’ASSEMBLEE NATIONALE FRANCAISE !?
sur https://vimeo.com/244011217

Vignette EGTV complot ge II

Transparency International France organise une conférence internationale à l’Assemblée Nationale française ce 23 novembre. Thème : « RESTITUTION DES AVOIRS ISSUS DE LA CORRUPTION ».

La Guinée Equatoriale est ciblée particulièrement, le but faire main basse sur les biens confisqués par la Justice française. La conférence est lancée avec un Rapport (auquel a participé HRW) : «LE SORT DES BIENS MAL ACQUIS ET AUTRES AVOIRS ILLICITES ISSUS DE LA GRANDE CORRUPTION. Plaidoyer pour une procédure adaptée, au service des populations victimes ».
Deux semaines après le Débat contre Malabo aux Cortès de Madrid (parlement espagnol), la nouvelle offensive contre le Président Obiang Nguema Mbasogo et les siens s’organise …

Luc Michel vous dit tout et dévoile le dessous des cartes du dossier !
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AVEC SES NOSTALGIES GEOPOLITIQUES DE LA GRANDE-POLOGNE, VARSOVIE SEME LA DIVISION EN MITTEL-EUROPA

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE/
Luc MICHEL pour EODE/
Quotidien géopolitique – Geopolitical Daily/
2017 11 22/

LM.GEOPOL - Grde-pologne et intermarium (2017 11 22) FR 3

« Le nouveau passeport polonais risque d’irriter Vilnius et Kiev », commentait ce 20 novembre l’AFP (Varsovie) …

Washington emploie la vieille stratégie du « diviser pour régner », en jouant habilement des nostalgies géopolitiques des vieux états de la Mittel-Europe : Grande-Pologne ou « Kroletswo Polskie » des (XVe-XVIIe siècle, puis de 1919 à 1939), Grande-Roumanie (1918-1944), sans oublier la Grande-Allemagne des IIe et IIIe Reich … Varsovie, où les géostratéges américains (dont ceux de Stratfor) voient la future grande puissance de l’Europe centrale, émergeant des ruines de la Russie et du renoncement historique du projet européen de Berlin et Bruxelles, joue un rôle de premier plan dans cette habile manipulation …

* Voir LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY/ LE FANTOME GEOPOLITIQUE DE LA MITTELEUROPA (III). LA GRANDE-POLOGNE NOUVEL ALLIE PRINCIPAL DES USA EN EUROPE

sur http://www.lucmichel.net/2017/09/29/luc-michels-geopolitical-daily-le-fantome-geopolitique-de-la-mitteleuropa-iii-la-grande-pologne-nouvel-allie-principal-des-usa-en-europe/

VARSOVIE A LA NOSTALGIE DE SES PROVINCES PERDUES …

Les autorités polonaises ont rendu publique ce lundi la version définitive d’un nouveau passeport dont le projet initial avait suscité des protestations de l’Ukraine et de la Lituanie. Les tensions concernent deux villes jadis habitées par une majorité de Polonais. La capitale lituanienne Vilnius avait fait partie de la Pologne dans l’entre deux guerres. Tout comme Lviv, aujourd’hui ukrainienne. En outre, le royaume de Pologne et le grand duché de Lituanie ont formé un seul Etat entre 1569 et 1795. Et Lviv avait été ville polonaise entre 1386 et 1772.

Le projet du passeport avait suscité des tensions en août dernier entre Varsovie d’une part, Vilnius et Kiev d’autre part, lorsque les premières esquisses du fond de page avaient été connues :

– Le chargé d’affaires ukrainien en Pologne avait critiqué une image du Cimetière des Aiglons à Lviv, où reposent notamment les jeunes défenseurs polonais de la ville lors de la guerre avec les forces ukrainiennes en 1919.
– A Vilnius, l’ambassadeur polonais a été convoqué au ministère des Affaires étrangères où on lui a signifié le mécontentement des Lituaniens au sujet d’une image de la Porte de l’Aurore à Vilnius, un lieu de pèlerinage catholique particulièrement vénéré par les Polonais.

Varsovie semble avoir tenu compte de ces réserves, mais sans renoncer complètement à évoquer la présence polonaise à Lviv et à Vilnius. Car le nouveau passeport doit marquer le centième anniversaire de l’indépendance que la Pologne avait reconquise en 1918, après 123 ans d’occupation russe, prussienne et autrichienne.

Ainsi, si le Cimetière des Aiglons ne figure plus dans le passeport, une des pages destinées à recevoir les visas étrangers a pour fond le portrait d’Antos Petrykiewicz, le plus jeune “aiglon” de Lviv, mort à 13 ans. On y trouve aussi l’image du mausolée de la mère du maréchal Jozef Pilsudski à Vilnius, qui contient également le coeur de celui qui est considéré en Pologne comme le père de l’indépendance nationale. Mais en Lituanie, Pilsudski est vu surtout comme l’inspirateur d’une opération militaire en 1920 qui a abouti à l’intégration de Vilnius et de sa région à la Pologne. Le recours à l’image du mausolée a fait dès septembre l’objet d’un commentaire ironique du chef de la diplomatie lituanienne Linas Linkevicius. “Si on manque en Pologne de sites historiques, peut-être pouvons-nous leur en prêter ? “, a-t-il dit.

LE BASCULEMENT DES USA DE BERLIN VERS VARSOVIE

Le basculement a été opéré entre la « vieille Europe » (Berlin, Paris) et la « nouvelle Europe » (Varsovie et cie) par Washington comme allié privilégié. Basculement amorcé sous Obama et amplifié sous Trump (qui a une aversion personnelle contre Frau Merkel et des sympathies idéologiques pour les régimes de droite de la Mitteleuropa). Dans l’optique de la IIIe guerre mondiale (annoncée brutalement – la brutalité est la marque de la géopolitique américaine depuis la politique du « big stick » de Téodore Roosevelt – dans les analyses prospectives de Stratfor), la Pologne devient l’allié géopolitique principal et l’Allemagne, à la tête d’une UE résiduelle de douze membres, sort de l’Histoire.

Les USA jouent habilement sur la nostalgie à Varsovie de la GRANDE-POLOGNE des XV-XVIIe siècle, capable de rivaliser avec Moscou, dont la sphère d’influence allait de la Baltique à la Mer noire, et qui avait annexé des provinces aujourd’hui bélarusses, roumaines et ukrainiennes. Nostalgie assumée à Varsovie puisque le courant dominant de la géopolitique étatique polonaise se résume lui-même au slogan « de la mer à le mer » ! Dans les plans des géostratèges américains, la Pologne joue un rôle central contre la Russie, puis ensuite comme acteur central de la IIIe guerre mondiale dont le cœur, pronostiquent-ils, sera le combat pour la possession de la Mittel-Europa et des Balkans …

DIVISER POUR REGNER, LA POLITIQUE « WESTPHALIENNE » DE WASHINGTON EN EUROPE

Alors que l’administration Obama (avec Clinton et Kerry) avaient privilégié Berlin (jouant notamment sur les nostalgies géopolitiques de la « Grande-Allemagne » à Berlin), Trump va jouer la « nouvelle Europe » contre la « vieille Europe » (souvenez vous de la crise irakienne en 2002-2003).

Le but c’est paralyser Bruxelles et combattre Moscou = Ici aussi les pays de l’ex Pacte de Varsovie basculés dans l’OTAN et aux mains de forces hostiles à la fois à Moscou et à Bruxelles vont continuer à servir de cheval de Troie américain, Varsovie en tête, qui sera le partenaire principal des USA en Europe pour les décennies 2020-2050 !

LES PROJETS GEOPOLITIQUES DE « L’INTERMARIUM » ET DES « TROIS MERS »

Le tout est théorisé dans deux projets géopolitiques (tous deux dirigés à la fois contre la petite-Europe croupion de Bruxelles et la Grande-Europe eurasiatique de Moscou) :

– l’« Intermarium » (Pologne-Lithuanie-Ukraine, de la Mer baltique à la Mer noire) de Varsovie (que nous rappelle l’actualité), projet qui vise à couper par un corridor « anti-russe » tout rapprochement entre Moscou et Berlin (la grande peur des occidentaux depuis 1919),

– et son amplification par Washington (Conçu sous Obama, repris par Trump et Mattis), le bloc géopolitique dit des « Trois mers » (Baltique-Adriatique-Mer noire) …

(Sources : AFP Varsovie – EODE Think-Tank)

LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE

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SYRIAN GOVERNMENT DAILY AL-THAWRA: SYRIANS ENTITLED TO OPPOSE U.S. PRESENCE IN THEIR COUNTRY BY EVERY POSSIBLE MEANS

SYRIA COMMITTEES/ COMITES SYRIE/

КОМИТЕТЫ СИРИИ/ 2017 11 20/

Russia-Syria-US-flags

“the U.S. forces on Syrian soil will be treated as occupiers that must be opposed”

– Muhriz Al-‘Ali (Al-Thawra columnist).

“now that ISIS has been eliminated by the Syrian governement, there is no longer any justification for the presence of U.S. forces in Syria, which was illegitimate to begin with, and therefore the Syrian people are fully entitled to oppose these forces by every means”

– Mustafa Miqdad (Al-Thawra columnist).

In recent days, the Syrian governement and its allies have reportedly managed to seize the city of Al-Bukamal, on the Syria-Iraq border, from ISIS, thus providing their forces with a land route from Iran through Iraq to Syria.

Following this development, the Syrian government daily AL-THAWRA published a number of articles discussing the possibility of armed resistance against the U.S. forces in Syria. Prominent among them was an article by Al-Thawra columnist Mustafa Miqdad, who wrote that “the next target of the military campaign of the Syrian regime and its allies would be other areas that are not yet under the regime’s control, including Al-Raqqa and additional areas where U.S. forces are present”. He claimed that, “now that ISIS has been eliminated by the Syrian governement, there is no longer any justification for the presence of U.S. forces in Syria, which was illegitimate to begin with, and therefore the Syrian people are fully entitled to oppose these forces by every means.”

Another Al-Thawra columnist, Munir Moussa, likewise called to directly oppose the U.S. forces, writing: “The American aggression will continue as long as its forces do not encounter direct opposition.” He added that the Syrian governement firmly rejects U.S. presence in the country and that this position is “met with understanding on the part of Syria’s allies.”[1] Columnist Muhriz Al-‘Ali wrote that “the U.S. forces on Syrian soil will be treated as occupiers that must be opposed.”[2]

“THE U.S. FORCES ON SYRIAN SOIL WILL BE TREATED AS OCCUPIERS THAT MUST BE OPPOSED”

These statements join similar threats by the Syrian governement and its allies to expel the U.S. troops from the country, threats which were voiced after these troops and the U.S.-allied so-called Syrian Democratic Forces took the city of Al-Raqqa from ISIS.

The following are translated excerpts from the article by Mustafa Miqdad:

“The city of Al-Bukamal has been purged of the ISIS filth, and the engineering units continue their sacred task of digging up the mines and bombs that this terror organization planted in the streets, neighborhoods and buildings of the city. ISIS no longer has any presence in the area, except in a few spots in small villages on the western bank of the Euphrates – and they [too] will not be left out of the [Syrian army’s] reoccupation and purging campaign in the coming days. But what will come after Al-Bukamal and eastern [Syria]? Where will the heroic Arab Syrian army turn and what will it do after eliminating ISIS, simultaneously with its elimination in Iraq?

“There isn’t the slightest doubt that Al-Raqqa and eastern Aleppo areas, as well as other areas in Syria, will be the next target of the sacred military operations, and the illegitimate American presence will have no impact whatsoever on the movement of our national forces. The invading American forces are in violation of international law, and the false pretexts [they use to justify] their presence are completely baseless now that terror has been eliminated by the courageous Arab Syrian army and by its allied forces that are operating on Syrian soil at the explicit request of the national [Syrian] government, in accordance with international law and conventions. The American presence, on the other hand, violates every [international] law and convention and is a flagrant violation of [Syria’s] national sovereignty. Therefore, it is doomed to fail, and it will be unable to present any justifications or excuses [for its presence] to international circles, through false claims about combatting terror. Moreover, national and popular resistance continues to be the potential strategic reserve that is available to all the Syrian people, and will continue to be a legitimate right in every circumstance and every time and place. Therefore, the only remaining means of dealing with the Americans and others [like them] is in the hands of the Syrian people, who has the right to utilize any means and options to eliminate any illegitimate presence throughout Syria.

“Beyond [the discussion] on the means of fighting, [it must be stressed that] the national right and national laws, as well as international law, permit the Syrians to use every existing means to preserve the sovereignty and unity of their homeland. Therefore, the next [phase] is about to become clear; it is a continuation of the national strategy of combating terror and pursuing its remnants so as to eliminate it completely and uproot it throughout the world, since the danger of terror threatens the entire world. Terror and its arms exist not only in Syria. [I am referring to] the countries that supported, sponsored and funded it – including the U.S. and the Arab oil emirates, as well as all the European countries that deceived their citizens and tax payers into supporting terror under the pretext of combatting it. The sacred operations of the heroic Syrian army will continue wherever there are armed groups, whatever their names may be, for none of them can legitimately remain [in Syria] under any false pretext or name that contradicts [our] principles and cultural values. No play of terminology will change the contours of reality. The help of aggressors and colonialists will not change the reality on the ground. Ultimately, the facts on the ground are the decisive factor that will determine the national framework [of the post-war stage]. Only the Syrians will determine this framework, without the intervention of any external element…”

[1] Al-Thawra (Syria), November 19, 2017.

[2] Al-Thawra (Syria), November 17, 2017.

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