LIBYE : ‘DES CONTACTS ENTRE DES ONG ET DES TRAFFIQUANTS DE CHAIR HUMAINE’ ACCUSE UN PROCUREUR ITALIEN !!!

ELAC & ALAC COMMITTEES/
2017 04 24/
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Migrants: Un procureur italien aurait des “preuves de contacts entre des ONG et des trafiquants d’êtres humains en Libye” !
Un procureur italien a affirmé avoir “des preuves” que des navires humanitaires qui secourent des migrants en Méditerranée étaient en contact direct avec des trafiquants d’êtres humains en Libye.
 
LE PROCUREUR ZUCCARO ACCUSE (LA STAMPA)
“Nous avons des preuves qu’il existe des contacts directs entre certaines ONG et des trafiquants d’êtres humains en Libye”, a déclaré le procureur de Catane (Sicile) Carmelo Zuccaro au quotidien italien La Stampa. “Nous ne savons pas encore si et comment nous pourrons utiliser ces preuves devant un tribunal, mais nous sommes plutôt certains de ce que nous avançons; des appels téléphoniques depuis la Libye à certaines ONG, des lampes qui éclairent la route des bateaux de ces organisations, des bateaux qui coupent soudainement leurs transpondeurs (permettant une localisation, NDLR) sont des faits avérés”, a-t-il ajouté.
Le procureur dirige une équipe enquêtant sur tous les aspects légaux de la crise migratoire, notamment l’activité de certaines ONG. Le parquet de Catane a ouvert une enquête pour déterminer qui les finance et dans quel but. Selon La Stampa, les procureurs enquêtent notamment sur certaines ONG récemment créées.
FRONTEX ACCUSE AUSSI !
Un rapport de l’agence européenne de contrôle des frontières Frontex avait évoqué en décembre une possible collusion entre les réseaux de trafiquants de migrants et des navires privés qui les récupèrent en mer “comme des taxis”. Le patron de Frontex, Fabrice Leggeri, avait critiqué les ONG fin février en rappelant que 40% des secours étaient effectuées par des navires privés et non les missions internationales.
* Lire sur AFP/LLB :
(attention Média de l’OTAN ! Lire avec esprit critique …)
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LUC MICHEL DECRYPTE LE DESSOUS DES CARTES DU PREMIER TOUR DE LA PRESIDENTIELLE FRANCAISE 2017 (SUR ‘LIGNE ROUGE’) …

# AFRIQUE MEDIA & EODE-TV/

Ce lundi 24 avril 2017

Dans LIGNE ROUGE

la grande émission matinale de AFRIQUE MEDIA !

Présentée par Vanessa Ngadi Kwa

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Thème de l’émission de ce jour :

« QUELLE LECTURE DES RESULTATS DU PREMIER TOUR DE LA PRESIDENTIELLE FRANCAISE ? QUE DOIT EN PENSER L’AFRIQUE ? »

En direct de Bruxelles, le géopoliticien Luc MICHEL (et patron de EODE Think Tank), dévoile le dessous des cartes du premier tour de cette élection centrale en France …

QUELLE ANALYSE DU PREMIER TOUR DE LA PRESIDENTIELLE FRANCAISE ?

QU’ ATTENDRE DU SECOND TOUR ET DES LEGISLATIVES QUI SUIVRONT ?

QUE DOIVENT EN PENSER LES AFRICAINS ?

Le géopoliticien répondra aux questions :

* Nous allons analyser avec vous les résultats du Premier tour de la Présidentielle française 2017, qui annonce le choc Macron-Le Pen du Second tour. Quelles sont vos premières impression ?

* Vous faites une analyse sans concession et sans indulgence du système politique français. Vous parlez de « manipulations en vue d’imposer un scénario au deuxième tour », celui qui vient de se réaliser. Mais pourquoi imposer Macron et en quoi est-il le choix du Système et de l’oligarchie française et atlantiste ?

* Les analystes classiques parlent à propos de ce premier tour de « séisme politique » et de « recomposition ». Vous parlez vous de « la faillite annoncée du Système » et surtout du « divorce d’une majorité de français avec le système » ?

* Un mot sur le FN, que vous connaissez bien. Certains parlent d’un « succès historique ». D’autres, comme vous, d’une « défaite profonde ». Expliquez-nous votre analyse ?

* Venons-en à ce premier tour lui-même. Quelle enseignements en tirez-vous ?

* Vous concluez sur le fait que les jeux sont faits pour le deuxième tour et que c’était le but du scénario Macron-Le Pen. Selon vous, les enjeux sont juste pour après : la recomposition des forces politiques française, notamment la Droite républicaine et le PS moribond. Mais aussi et surtout les législatives qui suivront la présidentielle ?

* Un mot de conclusion pour l’Afrique et les Africains. Vous insistez depuis des semaines, notamment dans une campagne pour l’Abstention des Africains menée par votre Organisation panafricaine PANAFRICOM, sur le fait que « les africains ne doivent plus choisir dans cette présidentielle ». Ne pas faire comme vous dites « le choix du pire et le pire des choix » ?

EODE-TV / EODE PRESS OFFICE

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SUR AFRIQUE MEDIA/

LUC MICHEL DANS ‘LIGNE ROUGE’

LA GRANDE EMISSION DU MATIN

Ce lundi matin 24 avril 2017

de 05h30 GMT à 08h GMT

(Malabo-Ndjaména-Douala de 6h30 à 9h

et Bruxelles-Paris-Berlin de 7h30 à 10h)

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AFRIQUE MEDIA

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L’accattivante Valutazione di Impatto sulla Salute del cantiere Tav a Chiomonte

lunedì, aprile 24, 2017

Spinta dal Bass

L’accattivante Valutazione di Impatto sulla Salute del cantiere Tav a Chiomonte

Abbiamo avuto la possibilità di leggere la Valutazione di Impatto sulla Salute – Cunicolo Esplorativo de La Maddalena, redatta dal prof. Enrico Pira dell’Università di Torino.

Il Cipe, approvando il progetto del cunicolo geognostico con la delibera 86 del 2010, esigeva la realizzazione di questa valutazione (prescrizione 63). TELT, la società incaricata di realizzare la tratta internazionale della Torino-Lione, a inizio 2015 stipula una convenzione con l’Università per realizzare questo studio, per un importo di 242.000€.

Diversi snodi di questo studio meritano attenzione. Divideremo la nostra analisi in tre punti, provando a dimostrare che:

  • lo studio del prof. Pira è viziato da un problema di fondo: non esistono dati che definiscano la situazione ambientale prima dell’inizio dei lavori al cantiere di Chiomonte;

  • il prof. Pira giustifica la soppressione di un parametro fondamentale del piano di monitoraggio ambientale con una motivazione smentita dai dati di monitoraggio;

  • TELT utilizza la VIS come strumento di propaganda.

Pira e l’ante-operam

Il cosiddetto “ante-operam” (talvolta abbreviato in AO) comprende quella serie di monitoraggi che serve a stabilire la situazione ambientale precedente all’inizio delle attività di cantiere. Si conclude “prima dell’inizio delle attività interferenti con la componente ambientale [Linee guida per il Progetto di Monitoraggio Ambientale delle infrastrutture strategiche ed insediamenti produttivi di cui al Decreto Legislativo 12 aprile 2006, n. 163, p. 6]. Al contrario il monitoraggio in corso d’opera (CO) “comprende tutto il periodo di realizzazione, dall’apertura dei cantieri fino al loro completo smantellamento”. L’allestimento del cantiere è esplicitamente indicato nelle “Linee guida” come attività che fa parte del corso d’opera. L’ante-operam serve a conoscere “il bianco”, la situazione base su cui poi le attività di cantiere potranno eventualmente incidere. È il riferimento fondamentale per valutare qualsiasi modificazione successiva.

Per il cantiere della Maddalena l’ante-operam non è stato fatto. Lo dicono esplicitamente gli stessi documenti progettuali per quanto riguarda l’interno cantiere: “è importante rilevare che l’area di cantiere oggetto delle attività di monitoraggio non è stata sottoposta ad attività di monitoraggio Ante Operam […] Pertanto non è possibile legare univocamente una situazione AO stagionale sull’area specifica di cantiere. Anche misure eseguite in corso di allestimento del cantiere avrebbero dato valori non più rappresentativi.” [Piano di Gestione Ambientale di gennaio 2013 MAD_EXE_VEN_0096_C p. 3].

Giustamente, gli specialisti incaricati da TELT sottolineano che le misure fatte durante l’allestimento del cantiere non possono fornire risultati rappresentativi poiché interferiti dai lavori già in corso.

Le occupazioni delle aree alla Maddalena iniziano a giugno 2011 e terminano il 27 febbraio 2012. Lo scrive la stessa TELT nel’Action Status Report per il finanziamento europeo: “l’11 aprile 2012 il trasferimento delle autorizzazioni d’occupazione temporanea sono state operate a favore del raggruppamento d’impresa CMC. Da questa data, le operazioni di conforto del versante dove si colloca l’ingresso della galleria sono state compiute tramite, in particolare, la realizzazione di una parete berlinese. Inoltre, l’ingresso della galleria è stato realizzato ed i lavori di scavo sono stati avviati alla fine del mese di novembre 2012” (p. 5)

Il monitoraggio all’esterno del cantiere è stato invece avviato nei primi mesi del 2012. Il prof. Pira e TELT lo considerano ante-operam, ma questo è assolutamente improprio. Il cantiere era già in piena attività: movimentazione terra per costruire le vie d’accesso e i piazzali, scavo ed esecuzione della berlinese, disboscamenti e sbancamenti, costruzione dei bacini per il trattamento delle acque e via lavorando. Tutte attività che modificano le componenti da monitorare. Le foto – due di una lunga serie di testimonianze – mostrano inequivocabilmente lo stato del cantiere nel luglio 2012.

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Chiunque può capire che i dati raccolti durante il 2012 non possono in nessun modo restituire la situazione precedente l’inizio dei lavori, perché, semplicemente, i lavori erano già incominciati.

Eppure, nella Valutazione di Impatto sulla Salute il prof. Pira utilizza costantemente i dati del 2012 come riferimento per valutare l’evoluzione negli anni successivi. Senza mai contestualizzarli. Parla di “campionamenti condotti ante-operam in modo sistematico dal gennaio al dicembre 2012” (p. 4) e nelle conclusioni, a pagina 91, scrive che “il complesso dei dati esaminati relativi alla fase di corso d’opera fino al giugno 2016 risulta, al momento, indicativo di una situazione di rispetto dei valori ambientali dei fattori di pressione che risultano non modificati rispetto alla fase ante-operam”.

Si può immaginare (ma non giustificare) l’imbarazzo di TELT su questo argomento. Ma può un illustre docente universitario come il professor Pira non prendere atto dell’evidenza lapalissiana dei fatti?

Pensare che è proprio lo stesso prof. Pira a dare atto dei lavori già in corso, scrivendo, nella Valutazione di Impatto sulla Salute, “aprile 2012 presa in consegna del sito e l’allestimento della base del cantiere” (p. 21). Può l’avvio di un qualsiasi cantiere essere contemporaneo al monitoraggio ante-operam? Possibile che uno studioso del suo calibro non si avveda dell’incongruenza? 

Fino a Giugno 2016 parrebbe di no. Nelle prime due versioni della Valutazione di Impatto sulla Salute (scaricabili qui), Pira continua ad affermare con sicurezza: “le attività di monitoraggio hanno avuto inizio in modo sistematico a gennaio 2012” (p. 14 nella versione di Dicembre 2015 e p. 16 in quella di Giugno 2016). Poi si direbbe che qualcuno faccia notare all’accademico l’evidente incoerenza suggerendo di mettere una pezza sulla bislacca situazione. Infatti nella versione successiva della Valutazione di Impatto sulla Salute (gennaio 2017), il professore sembra correggere il tiro: “le attività di monitoraggio hanno avuto inizio in modo sistematico a gennaio 2012 (quattro mesi prima della consegna del sito)” (p. 24). Un’aggiunta di un inciso che non suona banale.

La versione fino a Giugno 2016

La versione fino a Giugno 2016

La versione da Gennaio 2017

La versione da Gennaio 2017

Ma a contraddire Pira ci pensa la stessa TELT, che nel Rapporto ante-operam scrive “le attività di monitoraggio ante-opera sono state avviate dal mese di marzo 2012, con anticipo già nel mese di gennaio 2012 per la componente Risorse Idriche” (p. 2), mentre per l’amianto aerodisperso i rilievi sono iniziati addirittura il 14 maggio 2012 (p. 81); potremmo dire, parafrasando Pira, “un mese dopo la consegna del sito”.

Persino le singole schede di monitoraggio segnalano il problema. La rilevazione della componente “Rumore” in Borgata Clarea di ottobre 2012 annota “Attività di movimentazione terra e scavi area di cantiere”, oltre a “generatori di corrente a motore”.

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Addirittura ARPA, nella “Valutazione dei risultati del monitoraggio ambientale” approvata il 25/11/2013 riferisce di “attività di cantiere in corso durante i prelievi” delle campagne di monitoraggio dell’amianto ante-operam.

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Tutte queste contraddizioni scompaiono nella Valutazione di Impatto sulla Salute di Pira, per lasciare spazio ad affermazioni tranquillizzanti come:

-Per la componente atmosfera la situazione ante-operam risulta sostanzialmente sovrapponibile alla situazione di cantiere (p. 5)

-Per il particolato aerodisperso […] nel complesso le concentrazioni medie annuali della fase di cantiere sono state sostanzialmente sovrapponibili alla concentrazioni medie rilevate nella fase ante-operam sulle medesime stazioni di monitoraggio (p. 5)

-Non si sono registrati, per gli inquinanti che monitorano la qualità dell’aria (CO, SO2, NOx, NO2, Benzene, Ozono), significativi scostamenti dalle concentrazioni ambientali […] rispetto alla situazione ante-operam (p. 5)

-Il complesso dei dati esaminati è, al momento, indicativo di una situazione di rispetto dei valori ambientali dei fattori di pressione che risultano non modificati rispetto alla fase ante-operam (p.6)

-Riguardo agli NOx erano stati evidenziati alcuni picchi nel 2013, nel 2014 (in corso d’opera) presso la stazione Chiomonte-Frazione La Maddalena, ripetutisi anche nel 2015 (valore max 1h 354,3 μg/m3 il 04 novembre 2015) ma non sono stati considerati come valori anomali correlati all’attività di cantiere in quanto erano analoghi a valori determinati nella fase ante-operam (valore max 1 h 799,9 μg/m3). Nel 2014 si è verificato un superamento del valore limite annuale per la stazione Chiomonte-Frazione La Maddalena, ma totalmente sovrapponibile al valore registrato in ante-operam. (p. 44)

-Si sono verificati alcuni superamenti saltuari del valore limite proposto da alcuni paesi della Comunità Europea per quanto riguarda il Nichel, ma le misurazioni osservate non hanno presentato variazioni significative rispetto ai valori osservati in fase ante-operam. (p. 46)

-Il PM 2.5 è stato monitorato solo nel periodo compreso tra gennaio e giugno 2013 e poi il controllo è stato sospeso in quanto non sono mai state evidenziate situazioni di criticità ambientale. I valori medi sono infatti risultati sovrapponibili a quelli del periodo ante-operam, e come tali sostanzialmente attribuibili alle emissioni da traffico veicolare esterno, indipendente dalla attività di cantiere. (p. 35)

Insomma per il professor Pira va tutto bene, perché il cantiere non fa registrare variazioni rispetto all’ante-operam. Peccato che quell’ante-operam non è tale perché svolto in contemporanea con attività di cantiere!

Pira e il PM 2,5

Fermiamoci sull’ultima affermazione di Pira, relativa al PM 2,5. Questa sembra non solo non avere il supporto dei dati di monitoraggio, ma addirittura essere da questi recisamente smentita. La vicenda del PM 2,5 al cantiere di Chiomonte è un punto decisivo. Il Cipe nella delibera che autorizza il cantiere prescrive esplicitamente che venga monitorato questo parametro: la prescrizione 87 recita “sostituire la misura del PTS con il PM 2,5 (Direttiva Europea 50/2008)”. Non risulta che il Cipe abbia approvato una deroga a tale prescrizione.

Pira scrive che i valori medi registrati fra gennaio e giugno 2013 sono “sovrapponibili” a quelli del periodo 2012 senza però esplicitare questi valori. Lo facciamo noi. Prendiamo in considerazione le due stazioni di monitoraggio più prossime al cantiere, quella sul piazzale della Maddalena e quella nel paese di Chiomonte. Nel 2012 la media del PM 2,5 alla Maddalena, su 63 giorni monitorati, è stata di 14,6μg/m3, nel 2013 su 36 campionamenti la media è stata di 24,9μg/m3 (un incremento del 70%). A Chiomonte in paese nel 2012 la media del PM 2,5 è stata di 11,4μg/m3 su 42 giorni campionati, mentre nel 2013 di 23μg/m3 su 39 giorni (un incremento del 100%). Mettiamo le schede di monitoraggio di seguito così che chiunque possa confrontarle con ciò che sostiene Pira. Davvero il professore ritiene sovrapponibile un valore di 14,6μg/m3 con uno di 24,9μg/m3? E uno di 11,4μg/m3 con quello doppio di 23μg/m3? Quando il valore limite per la protezione della salute umana è pari a 25μg/m3 (D.Lgs 155/2010). Che credibilità ha una Valutazione di Impatto sulla Salute che si basa su simili affermazioni?

Maddalena 2012: campagna 1 campagna 2 campagna 3

Maddalena 2013: campagna 4 campagna 5

Chiomonte 2012: campagna 1 campagna 2

Chiomonte 2013: campagna 1 campagna 2 campagna 3 campagna 4 campagna 5 campagna 6 campagna 7 campagna 8 campagna 9

Pira e la propaganda di TELT

Telt ha più volte utilizzato la Valutazione di Impatto sulla Salute per sostenere che il cantiere di Chiomonte non aveva alcun impatto ambientale, già nel 2015 Pira dichiarava, nella pagina pubblicitaria di Telt su La Valsusa “In questi primi sei mesi abbiamo analizzato tutti i dati disponibili – ante e dopo l’avvio dei lavori – che potrebbero influire sulla salute (dentro e fuori cantiere) […] Non abbiamo registrato nulla di anomalo, tutto entro i limiti proposti dalla Comunità scientifica”. Le analisi di Pira erano anche la base utilizzata da Telt per fare battute di spirito che visto il tema, la salute, avrebbero fatto meglio a evitare. Ma in effetti leggendo la relazione di Pira ci si sente sollevati e rassicurati. Tutto pare andare per il meglio. Anche se alcune insistenze lessicali lasciano qualche dubbio, prendiamo queste tre frasi contenute nello studio di Pira:

-L’Arsenico, la cui presenza è anche stata rilevata nei materiali di scavo, è risultato fuori range solo nella sezione di valle nella campagna di ottobre 2013. (p. 61)

-Per quanto riguarda l’amianto si segnala un solo, minimo, superamento della soglia ambientale di attenzione/Intervento in data 23/01/2014 comunque contenuto entro le 2 ff/L (p. 5)

–Solo 10 campioni su 491 (2%) [amianto nel 2015] sono risultati positivi e con valori o al limite della rilevabilità della metodica, o solo leggermente superiori (p. 34)

-Per il particolato aerodisperso solo nella stazione di rilevamento A5.4 sono stati registrati, nel corso del 2013, 50 superamenti del valore limite di 50 μg/m3, rispetto ai 35 consentiti dalla norma per gli ambienti di vita (p. 5)

-I valori riguardanti l’Ozono sono stati confrontati con i diversi valori soglia di riferimento. […] Sono stati registrati solo pochi superamenti della soglia di Informazione (p. 44)

Le sottolineature sono nostre; l’Arsenico è fuori range? Si, ma solo nella sezione della Dora a valle del cantiere! Si trovano fibre di amianto aerodisperse intorno al cantiere in concentrazione superiore a 1 fibra/litro? Si, ma solo una volta! Alla Maddalena i superamenti del valore limite di PM 10 sono oltre quelli consentiti? Si, ma solo li! Torneremo al fondo di questo scritto su questi punti perché hanno implicazioni interessanti. Per ora ci interessa rilevare come questo reiterato uso del termine “solo” sembra tanto una scusa non richiesta.

Se questo è il tono di molte parti della VIS inevitabilmente TELT vorrà utilizzare, e come abbiamo visto ha già utilizzato, a piene mani questo contributo, e qui veniamo a un punto interessantissimo.

Abbiamo ricevuto lo storyboard di un video promozionale che vorrebbe realizzare TELT (o che forse ha persino già realizzato) sulla Valutazione di Impatto sulla Salute. Per dare l’idea del taglio del video fra gli elementi chiave viene inserito “linguaggio e ritmo accattivanti”, ma lasciamo parlare lo storyboardrispetto all’intervento di Pira: “appaiono velocemente i 40 pallini delle centraline e nel contempo l’ubicazione dei comuni e i numeri importanti. Durante questa animazione, la voce del Prof. Pira ci aiuta ad inquadrare l’ambito territoriale in cui è stato sviluppato lo studio. Mentre il Prof.Pira continua a parlare, passiamo a stacco in un laboratorio del dipartimento dove lo raggiungiamo in volto con una panoramica.Mentre il professore parla in laboratorio si svolgono sullo sfondo le normali attività…”

Chissà quale legame c’è fra il fare informazione sulle implicazioni ambientali del cantiere Tav e l’indicazione che nel laboratorio del professore debbano continuare a svolgersi, durante le riprese, le normali attività?

Non abbiamo idea se Pira si sia effettivamente prestato a questa iniziativa, tantomeno se davvero, come appare nello storyboard, l’Università di Torino abbia accettato di concedere i propri locali e il proprio logo per la realizzazione di questo video promozionale. Ci pare però lampante l’intento propagandistico rispetto alla Valutazione di Impatto sulla Salute, un tema su cui sarebbe meglio non fare propaganda. Certo che se questo è l’utilizzo che viene fatto dello studio di Pira, assumono un rilievo ancora maggiore le questioni poste in precedenza su ante-operam e PM 2,5.

Appendice 1 – Arsenico

Scrive Pira che l’Arsenico è risultato “fuori range” nelle acque della Dora a valle del cantiere nella campagna di Ottobre 2013. Aggiunge che la presenza di Arsenico era stata rilevata nei materiali di scavo. Questa è una informazione preziosa. TELT afferma che nello scavo del cunicolo sono state riscontrate, fra la profondità di 198 e 265 metri, concentrazioni di Arsenico superiori ai limiti di soglia, per un quantitativo di materiale di circa 6.000 tonnellate. Questo materiale è stato portato in discarica. Non sapevamo però che anche nelle acque si erano registrati alti valori di Arsenico, tra l’altro ad Ottobre 2013, proprio il mese in cui avvenne la moria di pesci nel Clarea.

Ma sull’Arsenico la questione è ancora più complessa. La delibera Cipe che autorizzava lo scavo alla Maddalena imponeva di includere l’Arsenico nel monitoraggio ambientale ante-operam delle acque superficiali (prescrizione 88). Dai dati risulta che questo parametro non sia invece stato analizzato nelle campagne di monitoraggio del 2012 [campagna Marzo 2012 campagna Giugno 2012 campagna Settembre 2012 campagna Dicembre 2012]. Chissà perché in questo caso Pira non fa riferimento all’ante-operam

Appendice 2 – PM 10

Scrive Pira che nel 2013 nella stazione di monitoraggio sul piazzale della Maddalena, a Chiomonte, si sono registrati “50 superamenti del valore limite di 50 μg/m3, rispetto ai 35 consentiti dalla norma per gli ambienti di vita”. 35 sforamenti sono il limite annuale previsto dalla legge. Pira avrebbe potuto aggiungere quanti sono stati gli effettivi giorni di campionamento, a noi risulta che non siano stati fatti monitoraggi per tutto Gennaio e per buona parte di Febbraio, Luglio e Agosto. Nei dati che ha consegnato Arpa si evidenziano 46 giornate con concentrazione di PM 10 oltre i limiti su 263 monitorate, se guardiamo ai dati del contaparticelle, installato in parallelo al misuratore tradizionale e attivo anche nei mesi estivi in cui non si hanno i dati di quest’ultimo, i valori sono ancora più alti. Curiosamente sul portale dove Telt dovrebbe caricare tutti i dati di monitoraggio della qualità dell’aria, Ariaweb, per il 2013 ci sono soltanto 229 giorni validi, con 32 superamenti del livello giornaliero di protezione della salute. Mancano giusto quelli che determinerebbero il superamento del limite dei 35 sforamenti. Quando si dice il caso… 

46 superamenti del limite per la protezione della salute umana su 263 giorni ci sembrano molti per un sito come quello di Chiomonte. Tanto per fare un confronto, nel 2013 alla stazione Torino Lingotto si registrarono 89 superamenti del limite su 340 giornate di monitoraggio. Il dato che colpisce è che a Torino Lingotto fra Giugno e Agosto 2013 su 77 giorni validi non si registra nessun superamento del limite; alla Maddalena negli stessi mesi su 49 giorni di campionamento si sono registrate 18 giornate con il valore di PM 10 superiore ai 50 μg/m3. 

[Ecco le schede di monitoraggio di Giugno e Luglio, alcuni di questi valori mancano su Ariaweb: 

PM 5.4 Maddalena 13:5:28 – 13:6:4  PM 5.4 Maddalena 13:6:5-9  PM 5.4 Maddalena 13:6:10-12  PM 5.4 Maddalena 13:6:13-19  PM 5.4 Maddalena 13:6:20-23  PM 5.4 Maddalena 13:6:24 PM 5.4 Maddalena 13:6:25-13:7:15]

Pira aggiunge una postilla al dato dei superamenti del limite per il PM 10 del 2013 scrivendo che “L’area di cantiere e la zona perimetrale strettamente limitrofa monitorata dalla stazione A5.4 costituiscono un sito particolare per cui non sarebbe applicabile il limite normativo previsto dal D.Lgs 155/10. Data infatti la stretta prossimità all’area di lavoro, il sito è indicativo della sola situazione locale e non può essere rappresentativo della esposizione della popolazione”. Fa un certo effetto mettere a confronto quanto scrive oggi Pira con quello che scriveva TELT nelle simulazioni atmosferiche del progetto per il cunicolo di Chiomonte. 

Telt individuava 14 recettori, il primo era proprio il piazzale della Maddalena. Nelle conclusioni scrivevano che “le previsioni dei valori di concentrazione al suolo degli inquinanti atmosferici emessi dalle sorgenti considerate hanno evidenziato il rispetto della legislazione vigente per tutti gli inquinanti di cui si dispone di un dato significativo di concentrazione di fondo (PM 10, PM 2.5, NO2), presso tutti i recettori sensibili individuati” (p. 154); e poco sopra “i limiti di legge, sia annuale che giornaliero, vengono sempre rispettati” (p. 125).

Negli anni successivi, e già dagli ultimi mesi del 2013, i superamenti si sono assai ridotti diventando più sporadici. Ma proprio questo dovrebbe far pensare che nel 2013 in quel cantiere le cose non sono andate nel verso giusto. Quando lo facemmo notare, a inizio 2014, il direttore di Arpa rispose parlando di “qualche valore anomalo per il PM10”. Insomma, prima dei lavori le previsioni sono sempre ottimiste, il cantiere non causerà alcun problema, se poi qualche problema insorge, beh, si tratta “solo” di “qualche valore anomalo”.

Appendice 3 – Amianto

Pira scrive di un superamento della soglia di 1 fibra/litro riscontrata da Telt il 23 gennaio 2014. Telt afferma da sempre a parole di voler essere trasparente nell’informare la popolazione sui dati ambientali. Vi proponiamo la scheda informativa relativa a quel Gennaio 2014. Tale superamento non c’è, non appare, non esiste; e non potrebbe essere altrimenti dal momento che Telt non riporta i dati puntuali, ma delle medie. E così basta che la media sia inferiore a 1 fibra litro per far sembrare, con un bel puntino verde, che tutto sia andato per il meglio.

FRANCIA, HA VINTO IL PEGGIORE

http://fulviogrimaldi.blogspot.it/2017/04/francia-ha-vinto-il-peggiore.html

MONDOCANE

LUNEDÌ 24 APRILE 2017

Ha vinto il banchiere di Rothschild, hanno vinto, per ora, gli atlanto-euro-sionisti, i fautori della guerra, del turbo capitalismo, del neocolonialismo, del terrorismo. Ha vinto il Renzi francese. Ha vinto l’alleanza criminalità mafiosa-criminalità politica. Ha vinto Soros.

CHIUNQUE MEGLIO DI MACRON.

Pubblicato da Fulvio Grimaldi alle ore 06:33