LA NOUVELLE ‘GUERRE FROIDE’ MENACE LE MONDE (MINISTRE ALLEMAND STEINMEIER)

# EODE/

FLASH GEOPOLITIQUE/

Le ministre allemand des Affaires étrangères Steinmeier dénonce les dangers de la « nouvelle guerre froide » (« guerre glaciaire » disent même les géostratèges américain de Stratfor) …

EODE - FLASHGEO steinmeier guerre froide (2016 10 08) FR

Oubliant que la Grande-Allemagne revancharde de Mme Merkel joue un rôle écrasant dans celle-ci. Steinmeir oublie aussi son propre rôle : architecte de la politique offensive de Berlin en Mittel-Europa contre la Russie et du « retour de l’Allemagne en Afrique » sur fond de nostalgies coloniale, il a une lourde part de responsabilités !

* Voir sur EODE-TV :

LE GRAND JEU. AU CŒUR DE LA GEOPOLITIQUE MONDIALE:

LA GRANDE-ALLEMAGNE DE RETOUR/

PARTIE 1. UNE MENACE POUR L’EUROPE

https://vimeo.com/119400138

PARTIE 2. UNE MENACE SUR L’AFRIQUE

Sur https://vimeo.com/120234429

Avec Afp – Twitter/2016 10 08/

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ЕВРАЗИЙСКИЙ СОВЕТ ЗА ДЕМОКРАТИЮ И ВЫБОРЫ (ЕСДВ)/

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LA SALE GUERRE DE LA COALITION SAOUDIENNE (PARAINNEE PAR WASHINGTON) CONTINUE AU YEMEN !

# EODE/

FLASH GEOPOLITIQUE/

 Ne pas oublier ce que Luc Michel appelle « la seconde guerre du Proche-Orient (avec la Syrie) …

EODE - FLASHGEO yemen (2016 10 08) FR

 * Voir sur EODE-TV :

LUC MICHEL :

GEOPOLITIQUE. GUERRE DU YEMEN ET CHOC TEHERAN-RYAD.

LA SECONDE GUERRE DU PROCHE-ORIENT …

sur https://vimeo.com/152874189

 Avec Afp – Twitter/2016 10 08/

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‘POLITIS’ DENONCE ‘L’EUROPE DES PROFITEURS’ !

# LUCMICHEL. NET/ 

Politis (Paris), la revue de Bernard Langlois, fait sa Une sur les profiteurs de l’Europe (en fait la petite-europe croupion de Bruxelles qui est tout sauf « l’Europe ») :

 LM.NET - VISUAL politis profiteurs (2016 10 08) FR

Extrait : « L’embauche de José Manuel Barroso par Goldman Sachs jette une lumière crue sur le pantouflage des ex-commissaires européens, une pratique très répandue dans cette institution « pro-business » (…) « L’événement est inédit. Il témoigne d’un ras-le-bol du personnel de l’Union européenne face à la multiplication des révélations sur l’avidité et l’affairisme d’ex-commissaires. Mercredi 12 octobre, d’anciens fonctionnaires européens iront remettre à chaque président des trois institutions de l’Union européenne (la Commission, le Conseil et le Parlement) une pétition réclamant « des mesures fortes et exemplaires contre José Manuel Barroso pour avoir rejoint Goldman Sachs ». Lancée en juillet par « un collectif spontané d’employés des institutions européennes », quelques jours après l’annonce de l’embauche de l’ancien président de la Commission européenne par la pieuvre bancaire, cette pétition en sept langues a passé la barre des 150 000 signatures, fin septembre. Si les initiateurs de la pétition, contraints à l’anonymat – leur fonction leur impose un devoir de réserve et de discrétion –, ne remettront pas eux-mêmes ces signatures à Jean-Claude Juncker, à Donald Tusk et à Martin Schulz, les anciens fonctionnaires qui s’en acquitteront à leur place seront bien leurs « porte-parole », nous assure un membre du collectif joint par téléphone. Il nous précise en outre qu’ils seront accompagnés par des représentants des principaux syndicats de fonctionnaires, marquant ainsi leur soutien, et celui de ceux qu’ils représentent, à la démarche. La remise, prévue en présence de la presse, devrait être toutefois très protocolaire en regard de celle qu’ont prévue de faire, le même jour, deux ONG, The Alliance for Lobbying Transparency and Ethics Regulation (Alter-EU) et Transparency International (EU Office), à l’initiative d’une pétition parallèle, « Barroso, ne vendons pas notre intérêt public à Goldman Sachs », signée par plus de 63 000 personnes. Trois mois après son annonce, la reconversion bancaire de l’homme qui, dix ans durant, de 2004 à 2014, a incarné l’Union européenne ne passe décidément pas. »

LUCMICHEL. NET

Avec Politis/ 2016 10 08/

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* Couverture de Politis du 8 oct. 2016.

LUC MICHEL: LE BURUNDI QUITTE LA CPI. QUELLE ANALYSE POUR LA RESISTANCE AFRICAINE ? (SUR LIGNE ROUGE)

PANAFRICOM-TV/ 2016 10 08/

 PANAF-TV - LM burundi quitte la cpi (2016 10 08) FR

Le Burundi veut quitter la CPI !

Le Burundi devient le premier pays africain à engager une procédure de retrait de la CPI !

L’annonce a été faite à la radio nationale par le vice-président burundais Gaston Sindimwo.

Gaston Sindimwo assure que le Burundi est prêt à subir toutes les conséquences qui découleront de son retrait de la Cour pénale internationale (CPI).

 * SUR PANAFRICOM-TV/

LUC MICHEL:

LE BURUNDI QUITTE LA CPI.

QUELLE ANALYSE POUR LA RESISTANCE AFRICAINE ?

https://vimeo.com/186019420

EXTRAIT DE

‘LIGNE ROUGE’ DU 8 OCTOBRE 2016,

LA GRANDE EMISSION MATINALE

SUR AFRIQUE MEDIA.

FILME POUR LE DUPLEX

PAR EODE-TV A BRUXELLES.

A souligner la réaction de la CPI, qui toise Bujumbura. Interrogé par la BBC, Abdoulaye Tine Professeur de droit international et Avocat à la CPI souligne que “même si cette décision est souveraine, le Burundi a obligation de coopérer avec la Cour Pénale Internationale”. Toujours selon Abdoulaye Tine “en dépit du fait que l’article 127 du statut de Rome donne la possibilité à tout état membre de quitter l’organisation, la décision du gouvernement burundais d’annoncer son retrait de la CPI ne suspend pas les enquêtes en cours ” .

Le Burundi est donc le premier africain à franchir cette étape.

En janvier dernier, certains pays africains sur une proposition du Kenya soutenue par le tchadien, Idriss Deby Itno alors président en exercice de l’Union Africaine (UA), avaient fait part lors du sommet de l’UA de leur intention de quitter la CPI. “Ces pays estiment que la CPI ne cible que les dirigeants africains » conclut la BBC.

PANAFRICOM

WebTv/

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Page Officielle/

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Néopanafricanisme (Idéologie)/

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Anziana chiede di sedersi sul bus, immigrato: “Stai a casa tua, vecchia”

sarà kultura anche questa, chissà che ne pensa la Boldrini a cui pare, stia a cuore la condizione delle donne ( o se sono anziane non lo sono più?)
 
venerdì, 7, ottobre, 2016
 
Milano – “Stai a casa tua vecchia…”. E’ quanto si è sentita rispondere una donna anziana sull’autobus 56, secondo quanto riferisce il sindacato dei pensionati Fnp Cisl di Milano, in una lettera mandata a Giuseppe Sala, al prefetto Alessandro Marangoni e al presidente di Atm Bruno Rota. “Un’anziana signora, con problemi di salute, sale sull’autobus 56 nel tratto tra Loreto e Crescenzago. Chiede di sedersi, ma un ragazzo che occupa due posti, in un italiano stentato, le risponde ‘Stai a casa tua vecchia, se devi andare in giro solo per rompere…’.
 
Un (terzo, ndr) passeggero interviene, ma viene minacciato. Gli altri stanno zitti. E’ accaduto a Milano nei giorni scorsi”. Il ragazzo, in modo strafottente e provocatorio, lo apostrofava dicendo: ‘che c.. vuoi tu vecchio… e se proprio vuoi concludere la discussione scendi che ti sparo ….’”.
 
Il sindacato, cui la donna è iscritta, sottolinea come la linea 56 “sia ormai diventata una ‘zona franca’ e si chiede più sicurezza, soprattutto a tutela degli anziani”.

L’Arabia Saudita investe 8.000 milioni per la diffusione dell’Islam più settario

Sauditi-con-Obama
L’Arabia Saudita investe 8.000 milioni per la diffusione dell’Islam più settario
(con la complicità dell’Occidente)
di Rafael Poch
I sauditi contribuirono con il maggior contingente di combattenti stranieri, 5.000 uomini, nella guerra contro i sovietici in Afghanistan; 15 dei 19 terroristi dell’11 Settembre erano sauditi, 115 dei 611 jihadisti prigionieri di Guantanamo sono sauditi. Oggi gli elementi sauditi sono in maggioranza nel collettivo straniero dello Stato Islamico che combatte in Siria ed in Iraq: 2500 miliziani. Tuttavia, dopo l’11-S., gli Stati Uniti non hanno segnalato l’Arabia Saudita come stato terorrista ma lo hanno fatto con l’Iran, con l’Iraq e con ….la Corea del Nord, ed hanno invaso l’Afghanistan e l’Iraq.
Quindici anni dopo, Obama vieta -e tiene problemi per questo- una legge per poter perseguire giudizialmente l’Arabia Saudita (da parte dei parenti delle vittime).
L’Unione Europea le comunica a mezzo lettera il suo appoggio al veto, per paura che gli abusi occidentali possano essere portati in giudizio. “L’immunità di uno Stato deve essere un pilastro del diritto internazionale, ogni eccezione a questo principio rischia di provocare rappresaglie contro altri stati”, recita la lettera.
L’Arabia Saudita diffonde anche, da decenni, la sua versione più settaria, misogena, omofoba, razzista e oscurantista dell’Islam: il wahabismo. Rijad spende per questo una fortuna: “8.000 milioni di dollari all’anno”, qualche cosa di simile a quello che si spende nell’acquisto di armi o che entra con i pellegrinaggi ai luoghi santi dell’Islam.
Una enormità. In Spagna i sauditi hanno finanziato con 6,6 milioni di euro il Centro Cultural islámico de Madrid (la moschea della M-30), a Malaga, un un centro islámico di 3.842 metri quadrati, a Roma finanziarono la Grande Moschea di Roma che fu considerata la più grande d’Europa. Così in tutta Europa.
L’Università di Medina ha formato “dai 25.000 ai 30.000 quadri”, elementi ideologizzati che promuovono l’ideologia wahabita e salafita in tutta Europa. Lo dice Pierre Conesa, un ex alto funzionario del Ministero della Difesa francese, che ha appena pubblicato un libro fondamentale sulla diplomazia religiosa dell’Arabia Saudita (Dr. Saoud et Mr. Djihad) che getta luce sul buco nero di questa scandalosa indulgenza.
Come spiegarla?
Negli anni ottanta, l’ Inghilterra ha venduto 120 caccia Tornado al Regno saudita, il contratto Yamamah, quello che ha salvato la British Aeroespace dal fallimento. Una associazione aveva scoperto che il 30% del contratto se ne andò in commissioni (mazzette) e si appellò al Tribunale dei Conti. Tony Blair vietò ogni tipo di indagine, così che questa complicità viene da lontano. Bisogna spiegare il dannoso buco nero che è rappresentato oggi dall’Arabia Saudita.
Quale è il dualismo che si esprime nel suo libro?
Il regime è composto da due famiglie; i Saud e gli Al ash-Sheij, discendenti di Abd el Wahhab. I primi rappresentanti di facciata del paese alleato nella guerra fredda, con la sua corte di quadri sofisticati incaricati delle finanze, della difesa e del controllo elle elites (occidentali) attraverso la loro corruzione. I secondi si incaricano della dimensione integralista, con le questioni religiose e l’educazione nelle loro mani. Entrambi si necessitano l’un l’altro e operano in parallelo. In Afghanistan, l’Occidente guardava solo la dimensione del confronto Est/Ovest, mentre nello stesso tempo loro (i sauditi) finanziavano le madrassse wahabite. I risultati li vediamo oggi.
Il dualismo è anche la loro debolezza?
Si ogni volta che i Saud necessitano degli occidentali, devono dare spiegazioni agli ulema, che in cambio richiedono più potere. Per esempio, nel 1979, quando i radicali prendono la rande moschea della Mecca e i Saud chiamano la polizia francese per liberarla, devono trasferire più potere ai religiosi per compensare; questo avviene se si chiudono tutti i cinema di Rijad, si obbligano a portare il velo anche le donne straniere. Nel 1991, quando Bin Laden propone di difendere l’Arabia Saudita contro Saddam Hussein e i Saud preferiscono rivolgersi a 100.000 soldati americani, si producono i primi attentati che dimostrano il disaccordo con la richiesta di intervento degli “infedeli”.
Pierre Conesa esperto arabista
Pierre Conesa esperto arabista
Ed oggi abbiamo lo Stato Islamico, che è un prodotto del salafismo che contesta l’Arabia Saudita e si pone al di sopra di quella. E’ una debolezza perchè vediamo come sono superati adesso dai mostri che loro stessi hanno creato.
-La diplomazia religiosa nacque in reazione a Nasser?
Esisteva nel mondo arabo un discorso molto potente contro le monarchie, così che si oppose a queste il panarabismo nazionalista di Nasser, di Gheddafi, degli Assad,  contro il panislamismo dei monarchi sauditi. I sauditi si andarono a cercare gli studenti dell’Università di Università di Al Azhar di  El Cairo per portarli a Medina con borse di studio donate dai Saud. Anni dopo questo ha avuto conseguenze devastanti, che noi conosciamo bene nella zona del Sahel; oggi tutti i responsabili delle grandi organizzazioni mussulmane del Senegal, Malí, Níger, ecc., sono gente che è passata dall’Università di Medina.
E adesso che accade? Bene, per esempio, che il capo del Consiglio mussulmano del Mali si oppone al diritto di famiglia, discriminando le donne e favorendo la concezione salafita. In quel paese si impongono questi quadri formati a Medina, possono leggere il Corano mentre che i Nurid in Senegal, i Tidjanitah del Mali o i Peul non parlano l’ arabo. Loro si presentano come i veri mussulmani e partigiani di un Islam egualitario, non compromesso con i regimi locali stabiliti, cosa che gli fornisce una aureola rivoluzionaria….
Per causa di tutto questo vi è stata una diffusione del salafismo in tutta la regione centro africana in conseguenza di 30 anni di diplomazia religiosa. Vi è una cosa che si chiama attenzione: nei contratti che firmano i titolari di borse di studio vi è l’obbligo di ritornare ai propri paesi, una volta terminati gli studi. Ricordatevi dell’Università Lubumba di Mosca. L’idea era quadri da espandere verso il Terzo Mondo. Si tratta della stessa logica ma sostenuta con molto più denaro: fino a 8.000 milioni anuali, sei o sette volte quello che l’URSS utilizzava per la propaganda nei suoi migliori anni. Per farsi una idea, il budget di spesa annuale del Vaticano nel 2011, fu di 245 milioni.
Hollande con i monarchi sauditi
Hollande con i monarchi sauditi
Quanto influisce la vendita di armi e la politica estera della Francia?
Molto.L’Arabia Saudita è il nostro miglior cliente  per lo meno da 25 anni. Con l’importanza di Airbus, Thalès, Dassault, ecc.., è evidente che si da attenzione al cliente, cosa che porta a situazioni ridicole come le lezioni che si vorrebbero dare all’Iran per cose che sono molto peggiori in Arabia Saudita. Valls risponde sempre dicendo che abbiamo 10.000 milioni in contratti con l’Arabia Saudita. Ed inoltre il Regno ha contrattato quattro delle maggiori agenzie di relazioni pubbliche per gestire la sua immagine.
La Cina è anche un grande cliente e questo non impedisce la stupidata di inviare navi francesi a pattugliare il Mar della Cina.
Quasi tutto il petrolio del Golfo va in Asia. Il giorno in cui i cinesi introducano una nave là, rivendicando la propria offerta ,si discuterà di una interferenza inammissibile. La crisi più mortale dalla fine della seconda guerra mondiale è stata quella del Congo: 2,5 milioni di morti.
Chi decide che la Siria è più importante del Congo?
Ci è stato detto che la Francia mantiene lì “responsabilità storiche”. Se dicono per il piano SykesPicot, meglio sarebbe tacere.
All’ opinione pubblica viene venduto che noi siamo il bene e loro sono il male. Nella campagna elettorale francese nessuno pone la questione sostanziale che sorge spontanea: come è possibile che i nostri soldati non muoiono lì mentre qui i civili vengono uccisi? Dopo gli atentati di Gennaio tutti riflettevano su cone contrarrestare la radicalizzazione dell’ISLAM, l’unico Ministero che non ha fatto mai alcuna autocritica è stato quello degli Esteri.
Traduzione: Luciano Lago

Washington Post: “Gli USA preparano una azione di attacco contro l’Esercito siriano di Assad”

per fortuna che l’america ha il presidente giusto, un premio nobel per la pace,  del Pd per cui il mondo è per forza un posto migliore
 
Portaerei-USA
La scorsa settimana si è tenuta a Washington una riunione di vertice a cui hanno partecipato i responsabili del Diartimento di Stato, della CIA e dello Stato Maggiore congiunto per decidere la possibilità di effettuare un intervento miltare diretto USA in Siria per mezzo di bombardamenti aerei (“military strikes” ) contro le posizioni dell’Esercito siriano, secondo quanto ha informato il Washington Post.
Tra le ipotesi prese in esame, quella di un attacco contro le piste degli aereoporti della Forza Aerea siriana mediante missili da crociera ed altre armi di lunga gittata. Inoltre è stata trattata la proposta di realizzare una operazione coperta per evitare le obiezioni della Casa Bianca ai bombardamenti senza il permesso delle Nazioni Unite.
In pratica una “azione punitiva” per “far pagare ad Assad il prezzo delle sue violazioni della tregua e per i bombardamenti su Aleppo, in modo da costringerlo a sedersi al tavolo delle trattative”, come recita il giornale.
I rappresentanti della CIA e dello Stato Maggiore Congiunto hanno manifestato il loro appoggio all’utilizzo di “azioni cinetiche” contro al Assad. Nello stesso tempo, fra gli organismi militari, vige l’opinione che la caduta di Aleppo danneggerà gli obiettivi degli USA in Siria. In questo senso, risulta poco probabile che Obama possa approvare i bombardamenti contro Assad, segnala il giornale. E’ previsto comunque che questo argomento torni ad essere considerato nella riunione del Consiglio Nazionale di Sicurezza per questo fine di settimana.
 
Questa la notizia data dal Washington Post.
Nota: Le informazioni circa la pianificazione di un attacco della coalizione USA contro le installazioni militari dell’Esercito siriano sono prese molto sul serio a Mosca, dopo la rottura delle trattive diplomatiche per la instaurazione di una tregua in Siria. Questo spiega il rafforzamento del dispositivo militare russo avvenuto negli ultimi giorni con l’attivazione di batterie di missili antiaerei SS-300 a protezione delle basi russe in Siria e con l’arrivo dei componenti del sistema antimissile e anti-aereo SA-23, denominato “Gladiator”, che sono state scaricate nell’ultimo fine settimana, in una base navale russa lungo città costiera di Tartus, in Siria.
Gli esperti militari dicono che questi sistemi saranno destinati a “blindare” i cieli della Siria, in particolare sopra Damasco a protezione delle sedi governative e in prossimità della costa di Latiaka dove si trovano le basi navali ed aeree russe.
 
Inoltre è stato segnalato l’arrivo di altre unità navali russe nel Mediterraneo al largo della costa siriana, in particolare le corvette lanciamissili “El Serpujov” e el “Zelioni Dol”, equipaggiate con i missili Kalibr che vanno a integrare il dispositivo navale russo nel Mediterraneo che dispone anche della portaerei “Ammiraglio Kuznetsov”.
In pratica non c’è alcun dubbio che i russi “si preparino” a difendere le proprie installazioni e quelle delle forze siriane da un possibile attacco delle forze della coalizione USA che, seppure diretto contro le postazioni siriane, inevitabilmente finirebbe per coinvolgere i militari russi che sono presenti sul terreno.
 
L’attacco a sorpresa già effettuato il giorno 17 Settembre contro le posizioni siriane sulla base aerea di Deir Ezzor, per quanto descritto come “un errore” da Washington, con tutta evidenza, deve essere considerato una “prova di fuoco” fatta dall’Amministrazione USA per saggiare le possibili reazioni russe.
Gli analisti militari osservano  che un possibile attacco dell’aviazione USA , se ci sarà, potrebbe essere diretto non solo contro le forze dell’Esercito siriano ma anche per colpire i reparti di Hezbollah che operano sul terreno accanto alle forze siriane. Un “favore” questo, richiesto ad Obama direttamente da governo di Netanyahu che vede il suo più immediato nemico nei reparti libanesi di Hezbollah che potrebbero rivolgere le loro armi contro le forze israeliane, in una prossima invasione del Libano (sarebbe la quarta) che sembra già pianificata dallo Stato Maggiore di Israele.
Fonti:     RT Actualidad      Washington Post
Traduzione e Nota: Luciano Lago

Possibile scontro diretto fra Russia e USA in Siria. Risposta russa e nuove minacce USA

Sistemi-antimissile-russi-in-Siria
Mosca avvisa gli USA: Impediremo attacchi aerei a truppe siriane o russe
 
Gli USA: Non scartiamo l’idea di un attacco diretto a Damasco
La Russia comunica di aver fornito alla Siria sistemi di missili terra aria che possono consentire una zona di esclusione aerea se questa risultasse  necessaria, come ha dichiarato alla Izsvestia il senatore Ígor Morózov, membro del Comitato degli Affari Internazionali della Camera Alta.
Oltre ai missili S-300, il cui invio in Siria è stato confermato dal Ministero della Difesa russo, il parlamentare ha menzionato i Buk-M1, gli Osá ed alcuni altri sistemi missilistici forniti a Damasco nel contesto della coperazione tecnica e militare tra la Russia e le autorità di Damasco.
“Gli USA non potranno ripetere in Siria quello che hanno fatto in Iraq. La Siria conta con un sistema di difesa antiaerea capace di respingere qualsiasi attacco. Inoltre un ipotetico attacco potrebbe colpire anche i consiglieri militari russi, cosa che comporterebbe rappresaglie da parte russa, con la realizzazione di una zona di interdizione aerea sulla Siria”, ha dichiarato Morozov.
 
Per la situazione ad Aleppo sono gli USA i maggiori responsabili di quello che sta accadendo in Siria e nel Medio Oriente“, ha ribadito l’esponente russo.
Poco prima il giornale Washington Post aveva anticipato la possibile decisione di Washington di lanciare attacchi aerei USA diretti contro le postazioni dell’Esercito siriano, sia nella zona di Aleppo che sui centri di comando del Governo di Damasco.
 
Nella giornata di oggi il portavoce del Ministero della Difesa russo Igor Konashenkov ha richiamato l’attenzione delle “teste pazze” (di Washington) che, “dopo l’attacco effettuato il 17.09 dalla coalizione aerea USA su Deir Ezzor, abbiamo preso le misure imprescindibili per evitare che accadano ancora questo tipo di equivoci in riferimento ai militari russi ed agli obiettivi militari in Siria”.
“Attualmente l’Esercito siriano dispone di sistemi missilistici avanzati (S-200 Buk) il cui stato tecnico è stato ultimamente messo a punto per contrastare qualsiasi attacco aereo”, ha segnalato il portavoce russo.
Per altra parte, Konashenkov ha ricordato agli strateghi USA che le basi militari russe di Tartus e Hmeimim sono difese con sistemi di difesa aerea S-400 e S-300 il cui raggio d’azione può individuare qualsiasi oggetto volante non identificato.
 
Il portavoce russo ha commentato, a questo proposito, che la portata di questi sistemi potrebbe “meravigliare” gli statunitensi che potrebbero anche soffrire di una disillusione nello scoprire che i loro aerei non risultano tanto ” invisibili” come pensano.
Queste dichiarazioni sono sembrate una risposta ufficiale alle minacce ventilate di intervento militare diretto dell’aviazione USA contro le forze armate siriane e russe in Siria.
In questo senso il portavoce ha avvisato Washington di “calcolare con attenzione le conseguenze che potrebbero derivare da un attacco alle forze della Siria, visto che Mosca considera qualsiasi attacco alle truppe siriane come una minaccia alla sicurezza della Russia”.
 
“Pertanto qualsiasi attacco aereo o missilisitico sul territorio siriano crerà una minaccia ai soldati russi”, ha riassunto il portavoce russo.
Aggiornamento ultim’ora
Ore 18,23 Il portavoce USA del Pentagono Josh Earnest dichiara: “gli attacchi contro le forze di Damasco possono pregiudicare gli interessi USA ma non possono essere scartati”. Risulta dubbio che le azioni militari contro il regime (di Bashar al-Assad) risolvano la situazione in Aleppo e raggiungere i loro obiettivi, (…) e riducano la violenza. Risulta più probabile che sorgano consegunze non sperate e che possano pregiudicare i nostri interessi nazionali, tuttavia non posso scartare l’analisi di qualsiasi possibile azione”, ha riferito il portavoce Josh Earnest.
Fonti:    Sputnik Mundo        Hispan tv
Traduzione e sintesi: Luciano Lago
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L’arte imprigionata nel Tunnel di Chiomonte

Comunicato Stampa

9.10.2016

www.presidioeuropa.net/blog/?p=10472

L’arte imprigionata nel Tunnel di Chiomonte

Una provocazione “artistica” di TELT

Il Movimento No TAV invia una lettera ai tre artisti

artisti telt 


Apprendiamo sconcertati dai media che la società pubblica franco-italiana TELT[1], ha deciso di compiere degli esperimenti artistici a livello internazionale ospitando la realizzazione di opere nel cuore della montagna, una location sorvegliata da filo spinato e militari in assetto di guerra.

Uno degli aspetti più singolari di questa performance artistica di TELT è che essa è un’attività che esula totalmente dai compiti che Italia e Francia, azionisti di TELT, le hanno affidato.

Nello Statuto di TELT all’Art. 2 – Oggetto è infatti stabilito che questa società è incaricata dalla Francia e dall’Italia di svolgere compiti di direzione strategica e operativa, di concepimento, di realizzazione, sfruttamento, di conclusione e seguito di contratti, di gestione dell’infrastruttura, di fissazione dei diritti d’uso, di altre missioni nel quadro del progetto della nuova linea ferroviaria Torino-Lione.

Ogni campagna pubblicitaria o propagandistica ha i suoi costi e, in via del tutto ipotetica, è probabile che per realizzare questo esperimento provocatorio TELT abbia sostenuto dei costi per organizzare la “mostra” all’interno del suo cantiere e per rimborsare le spese ai tre artisti, compresi eventuali compensi.

Ma se questa è una campagna pubblicitaria, e non un tentativo di far parlare di sé, ci si può chiedere quale mercanzia abbia da vendere TELT e a quale pubblico si rivolga con questa iniziativa. Nessuno ha mai visto nel suo sito un catalogo di prodotti da commercializzare. Risulta a tutti che TELT abbia un solo prodotto nel suo catalogo, che tra l’altro ha già venduto: il Tunnel di 57 km che dovrà costruire seguendo le minuziose istruzioni dell’Italia e della Francia.

E si potrebbe anche ricordare che l’uso del denaro pubblico italiano e francese (quello europeo è già italiano e francese), per uno scopo diverso da quelli previsti all’art. 2, potrebbe interessare la Magistratura contabile o ordinaria che potrebbe approfondire.

Il Movimento No TAV ha inviato un Messaggio ai tre artisti ingaggiati da TELT per metterli al corrente della situazione in cui hanno realizzato le loro opere, ricordando che Questo progetto da ben 26 anni è fortemente contrastato dalla popolazione locale e non solo, in quanto inutile e dannoso e che, a causa delle proteste della popolazione della Valsusa, sostenute a livello nazionale e internazionale, si trova ora all’interno di un’area di interesse strategico nazionale, totalmente militarizzata, circondata da filo spinato e sorvegliata con ogni mezzo 24 ore su 24”.

Nel messaggio è stata sottolineata inoltre una particolare caratteristica di questa esposizione che va oltre la pura propaganda. Si tratterebbe del primo caso di una mostra d’arte “blindata e sorvegliata da militari”, con il risultato che non a tutti sia consentito di visitarla, e per sottoporre i fortunati che riusciranno ad entrare a severi controlli per accertarsi che la loro visita sia guidata unicamente dall’amore per l’arte.

Il messaggio afferma anche che “la libera espressione artistica non debba sottostare a sporchi giochi politico/finanziari”, “in un momento in cui molte  persone Valsusa e in tutta Italia sono colpite da pesanti misure repressive a causa della loro opposizione al progetto TAV Torino-Lione.

Il messaggio del Movimento No TAV termina con l’invito ai tre artisti a “non contribuire con la loro arte a questo devastante progetto e alla repressione dei diritti dei cittadini”.

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[1] www.telt-sas.com/it/home-it/TELT è il Promotore Pubblico italo-francese responsabile della realizzazione e della gestione della sezione transfrontaliera della futura linea Torino-Lione.

Jorge Couso, vice-Presidente Commissione Esteri UE: “Ogni volta che l’Esercito siriano avanza gli USA tentano di bloccare tutto”

Jorge Couso
L’eurodeputato spagnolo, Javier Couso ha accusato gli Stati Uniti di impedire la fine del conflitto in Siria, sempre quando si fa largo la possibilità della pace.
“Ogni volta che c’è un progresso sul terreno del governo siriano, gli Stati Uniti paralizzano tutto”, ha lamentato, oggi, Couso, membro spagnolo del Parlamento europeo di Izquierda Unida (IU).
Inoltre, egli ha definito come ‘irresponsabile’ la decisione degli USA di sospendere i negoziati con la Russia sul cessate il fuoco in Siria. “Gli Stati Uniti cerca di addossare la colpa alla Russia per quanto sta accadendo in Siria”, ha aggiunto Couso.
 
Couso, vice presidente della commissione per gli affari esteri del Parlamento europeo ha sostenuto che Washington ha “una posizione ostruzionista” in Siria e li ha accusati di intervenire nella crisi siriana per i loro interesse ed i loro alleati, non per motivi umanitari.
“Gli USA hanno abbastanza colpa per il punto in cui si è arrivati: da un lato c’è l’attacco contro l’esercito siriano (…) e, in secondo luogo, il fatto di non controllare quello che chiamano opposizione moderata”, ha proseguito Couso, lamentando che tali gruppi impediscono, attraverso l’azione militare, alla popolazione civile di ricevere aiuto.
Tuttavia, ha riconosciuto che ci sono progressi ad Aleppo e altrove da parte delle forze dell’esercito siriano e dei loro alleati contro i gruppi terroristici, tra cui l’ISIS, (Daesh, in arabo).
In conclusione, Couso ha chiesto la ripresa dei negoziati: “È importante che tutti si siedano di nuovo al tavolo dei negoziati il più presto possibile per organizzare corridoi umanitari ed assistere la popolazione civile”.
Fonte: Hispantv
Notizia del: 04/10/2016