STEVEN SPIELBERG PREPARE UN FILM SUR LA LIBYE !

ELAC & ALAC Committees/
Avec PANAFRICOM/ 2016 08 18/
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Le réalisateur amércain Steven Spielberg prépare un film sur la guerre de Libye, centré sur les mémoires de la photographe de guerre Lynsey Addario.
 
L’occasion d’une vision propagandiste de la destruction de la Jamahiriyah libyenne par les USA et l’OTAN en 2011. Spielberg fait partie de la machine de propagande hollywoodienne, au service du Pentagone et de l’impérialisme yankee. Il soutient notamment la candidature de Hillary Clinton, la candidate plébiscitée par Hollywood et l’AIPAC, le puisant lobby pro-israélien …
 
Source :
MARIE CLAIRE, édition belge en néerlandais (mai 2016)
 
ELAC & ALAC COMMITTEES

QUI DESTABILISE LA RDC ???

# PANAFRICOM/
 
Est-ce que ce sont les Ukrainiens pro E.U, les amis de qui ont sait ? “Des casques bleus ukrainiens et un Congolais ont été pris la main dans le sac, hier à Goma, avec des uniformes d’une unité d’élite de l’armée. Une prise qui a immédiatement été liée aux récents massacres de Béni, où les assaillants portaient des uniformes de l’armée congolaise.”
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 GEORGES SORÖS – LE BRAS FINANCIER DES “VITRINES LEGALES DE LA CIA (NED, NDI, USAID ET CIE) – SIEGE AU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE L’ONG ICG …
* Voir l’analyse de Luc MICHEL sur TV50 (Kishasa) sur PANAFRICOM-TV :
LUC MICHEL: GRANDS-LACS. LE PANAFRICANISME FACE AU NEOCOLONIALISME
(DECRYPTAGE, TELE50)
 

REVOLUTION DE COULEUR AFRICAINE : COMPRENDRE CE QUI SE PASSE AVEC LA PRESIDENTIELLE AU GABON !

Luc MICHEL pour PANAFRICOM/

Avec EODE-TV/ 2016 08 15 :

http://www.panafricom-tv.com/

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Que se passe-t-il au Gabon avec cette présidentielle au climat lourd et cette curieuse opposition ?

 La réponse je l’ai donnée il y a il y a déjà vingt mois avec mon émission de géopolitique LE GRAND JEU, qui affirmait : « Gabon. Une révolution de couleur africaine »

PANAF - ce qui se passe au gabon (2016 08 15) FR (1)

* Voir sur EODE-TV :

LE GRAND JEU (4) : GABON.

UNE REVOLUTION DE COULEUR AFRICAINE ?

https://vimeo.com/114560655

Pour cette émission, je décryptais avec l’œil du géopoliticien la déstabilisation du Gabon et la crise ouverte en octobre 2014 par le nouveau livre du français Pierre PEAN « Nouvelles affaires africaines. Mensonges et pillages au Gabon ».

QUELLE EST MA THESE ?

Beaucoup de panafricanistes ont une vision du passé, un logiciel bloqué il y a 10, 20 ou 50 ans. La haine justifiée de la Françafrique leur occulte la réalité de LA RECOLONISATION DE L’AFRIQUE PAR LES USA. Le retour de la France dans l’OTAN organisé par Sarkozy en 2007, la création de l’AFRICOM, le commandement unifié de l’US Army pour l’Afrique par Bush en 2007-2008, sont les marques de naissance d’une nouvelle donne géopolitique en Afrique. Lors du « sommet USA-African Leaders » de Washington début août 2014, Obama a annoncé une vague de changements de régime sur le continent. Le Gabon a été dès la fin de l’été 2014 la première tentative d’imposer ce changement de régime par les méthodes habituelles des USA : « révolution de couleur » ou soi-disant« printemps africain » (le clone du « printemps arabe »), inspiré de la vieille « Théorie des Dominos ». Et le livre de Péan est le détonateur, volontaire ou involontaire il est encore trop tôt pour le dire, d’une opération de déstabilisation politique …

MES ANALYSES :

* Dans LE GRAND JEU, J’expose tout d’abord ma thèse sur la déstabilisation du Gabon et je décrypte les éléments qui composent la crise de régime actuelle

PANAF - ce qui se passe au gabon (2016 08 15) FR (2)

je répond en particulier aux questions suivantes :

Pourquoi l’affaire du Gabon est un dossier explosif ?

Quels sont donc les éléments qui interviennent dans la déstabilisation du Gabon ?

Pourquoi je valide les thèses de la « video du 14 novembre 2014 » sur le Gabon ?

Quels seraient les bénéficiaires de cette opération ?

* Je décrypte ensuite la video apparue le 14 novembre 2014 sur les réseaux sociaux. D’origine anonyme et intitulée « le pompier pyromane », elle dénonçait l’organisation d’une « révolution de couleur » au Gabon, au profit de Jean Ping. Avec ma longue expertise de ces « révolutions » organisées par les USA en Europe de l’Est et dans le Monde arabe, je valide la démonstration et je développe les raisons pour lesquelles je partage ses thèses et la valide …

Il y a un arrière-plan géopolitique à la crise gabonaise. Ma thèse centrale c’est que cet arrière-plan a changé depuis 2007-2008. Il y a donc bien une vision géopolitique ou un plan géopolitique américain, anglo-saxon dites-vous, pour l’Afrique !

A propos du Gabon, je dis que « l’ombre de la marionnette française cache la réalité du marionnettiste américain » !!!

Je parle aussi des « Réseaux OTPOR/CANVAS », que l’on les retrouve derrière les « révolutions de couleur » en Europe de l’Est mais aussi derrière le soi-disant « printemps arabe » . Et je démontre que l’on retrouve la marque de ces réseaux américains aujourd’hui au Gabon. Je met aussi en cause un autre organise américain, la NED, que je qualifie de « financier des révolutions de couleur » .

AI-JE LES PREUVES DE CE QUE J’AVANCE ?

Pour ceux qui douteraient de nos analyses, ou les mettraient en doute (comme les presstitutes de Libération à Paris), je publiE dans mon émission un premier document, des images confidentielles (une séance complète, édifiante, de sept heures !) du « Sommet alternatif » de la NED, Intitulée « Africa Civil Society Conference », à Washington les 5 et 6 août 2014, « en marge du Sommet USA – Afrique ». La Conférence entendait organiser « un programme d’action pour la démocratie », entendez des régimes pro-occidentaux sous influence des USA, et était centrée sur l’action dans les médias. Vous y verrez des centaines et des centaines d’activistes, syndicalistes, et journalistes africains pris en main, y compris et surtout financièrement, par la NED pour déstabiliser l’Afrique.

Pour rappel, la NED a été qualifiée à juste titre de « vitrine légale de la CIA ». Depuis 30 ans, la National Endowment for Democracy sous-traite la partie légale des opérations illégales de la CIA. Sans éveiller de soupçons, elle a mis en place le plus vaste réseau de corruption du monde, achetant syndicalistes, politiciens, activistes et journalistes.

Voici en action la fabrique des mercenaires des changements de régime pro-américains en Afrique !

En conclusion de cette émission du GRAND JEU, je publie un second document : le clip publicitaire du « Sommet Afrique » de la NED (clip de la NED « Africa Civil Society Conference Recap ») ! Vous y verrez la 5e colonne US en Afrique, sûre d’elle, déterminée. A noter l’accent mis sur un activiste de Guinée Equatoriale, mis en avant. Car le Président Obiang Gnema Mbassogo et le nouveau centre du panafricanisme sont une des cibles principales de Washington. On y explique qui sont les partenaires de la NED, notamment les Réseaux OPEN SOCIETY de Georges Söros, un autre des grands organisateurs et financiers des « révolutions de couleur ». Cerise sur le gâteau, la conférence était sponsorisée par FREEDOM HOUSE, un autre organisme US spécialisé dans le financement des changements de régime et … FACEBOOK ! A la fin du clip, comme pour vendre une marque, la NED annonce sans vergogne ses sponsors …

Voilà, vous avez toute l’information véritable, celle que dissimulent les médias de l’OTAN et cette « nouvelle presse africaine » achetée par la NED et Sorös, pour comprendre ce qui est véritablement en jeu au Gabon …

LUC MICHEL

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ORGANISATION ET PRAXIS DU NEOPANAFRICANISME

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« Le Néopanafricanisme est une idée en marche » :

Organisation transnationale – Praxis – Action du Néopanafricanisme …

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* Voir aussi :

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IDEOLOGIE DU NEOPANAFRICANISME

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LA REPUBLIQUE D’EUROPE/ FAILLITE SECURITAIRE ET TERRORISME DJIHADISTE DU NON-ETAT BELGICAIN : L’OPPOSITION BELGO-FLAMANDE REGLE SES COMPTES !

Luc MICHEL pour LA REPUBLIQUE D’EUROPE/

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Faillite sécuritaire et terrorisme djihadistes du non-état belgicain : L’opposition belgo-flamande regle ses comptes !

 REP - LM crombez dénonce (2016 08 15) FR

… MAIS a la mémoire courte !

On notera en effet que cette faillite a commencé alors que cette opposition était au pouvoir en 2011-2014 (1er ministre PS Di R Rupo et ministre de l »intérieur démocrate-chrétienne Milquet, dont le parti CDH est un allié étroit de la CDU-CSU de Merkel et de l’AKP islamo-conservateur d’Erdogan dans le PPE, le parti démocrate-chrétien de toute l’Union Européenne) et laissait se développer les réseaux djihadistes dans le cadre de la politique anti-Assad de l’OTAN …

* Lire sur LLB :

http://www.lalibre.be/actu/politique-belge/john-crombez-dezingue-la-politique-du-gouvernement-en-matiere-de-securite-57b189a835709a31055f70da

Extrait : « Le président du sp.a, John Crombez, a émis des critiques acerbes, lundi sur les ondes de la VRT, à l’égard de la manière dont le gouvernement gère les questions relatives à la sécurité et à la lutte contre le terrorisme. “L’expertise au sein des services de sécurité demeure une question délicate. Et le gouvernement ne réagit pas. On ne sait pas du tout quels combattants de Syrie sont revenus ni qui fait l’objet d’un suivi”, regrette le président des socialistes flamands. John Crombez estime que majorité et opposition devraient collaborer pour élaborer des propositions. Le président du sp.a se prononce d’abord pour une zone de police unique à Bruxelles, pour davantage de moyens en faveur des services de sécurité, pour que l’on travaille sur la détention préventive de 48 heures et pour une amélioration de la base de données centrale utilisée dans la lutte contre le terrorisme. “Après la attentats, une commission contre le terrorisme a été mise sur pied, où tout allait être décidé. Mais rien ne s’est produit. Un exemple: il y a une banque de données pour la lutte contre le terrorisme mais elle ne fonctionne toujours pas comme elle le devrait. C’est comme si vous poursuiviez une voiture de course avec une trottinette”.

* Voir Luc Michel dresser à Damas en 2013 et 2014 le bilan de cette faillite annoncée et de la coupable complicité qui l’a permise :

http://www.syria-committees.org/damas-luc-michel-des-juin-2013-avertit-du-danger-djihadiste-en-europe/

Et http://www.syria-committees.org/syria-committees-damas-1er-dec-2014-luc-michel-annonce-un-11-septembre-en-europe/

Luc MICHEL / LA REPUBLIQUE D’EUROPE

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POUR LA LIBERATION TOTALE ET LA SOUVERAINETE INTEGRALE DU CONTINENT-AFRIQUE !

# PANAFRICOM/

En réponse a un téléspectateur d’Afrique Media (ce samedi soir dans le Mérite panafricain) sur le programme nationaliste nécessaire des partis prétendant parler au nom de l’Afrique et de la nécessité d’écarter les « panafricanistes de margarine » …

PANAFRICOM/ 2016 08 13/

PANAF - NATIONALISME INTEGRAL (2016 08 13) FR

Voici le programme de libération nationale panafricaine de PANAFRICOM :

LES POINTS 19 A 24 DE NOTRE “ABC DU NEOPANAFRICANISME” :

SOUVERAINETE PANAFRICAINE : LIBERER L’AFRIQUE !

19/ Les quatre conditions inséparables de la souveraineté africaine

(Voir le contre-exemple à ne pas suivre de l’UE : géant économico-financier mais nain politique vassalisé par l’OTAN)

20/ La souveraineté militaire: fermeture des bases étrangères, départ des armées étrangères, nouvelles alliances.

(Etat des lieux : AFRICOM, OTAN, VIe Flotte us en Méditéranée, Bases US et françaises, missions militaires des USA et de l’OTAN, missions de la Bundeswehr)

21/ La souveraineté monétaire, clé du développement panafricain

(la question du Franc CFA combat subsidiaire)

22/ La souveraineté politique.

(mettre un terme au parrainage de l’UA par l’UE et au contrôle des élections par les occidentaux)

(La souveraineté judiciaire combat subsidiaire, la question du départ de la CPI)

23/ La souveraineté culturelle

(la souveraineté médiatique combat subsidiaire)

24/ Retour à la Géopolitique : L’Etat auto-centré panafricain.

UNIFICATION ET LIBERATION DE L’AFRIQUE !

LES BASES IDEOLOGIQUES DE PANAFRICOM : L’ABC DU NEOPANAFRICANISME

En 6 videos (Intro – 6 parties – Conclusions), nos bases idéologiques :

Les 33 points de la Libération panafricaine !

Video 1 sur : https://vimeo.com/171024047

Video 2 sur : https://vimeo.com/172043800

Video 3 sur : https://vimeo.com/172044731

Video 4 sur : https://vimeo.com/172047681

Video 5 sur : https://vimeo.com/172601903

Video 6 sur : https://vimeo.com/172606353

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# Page officielle PANAFRICOM/

ORGANISATION ET PRAXIS DU NEOPANAFRICANISME

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« Le Néopanafricanisme est une idée en marche » :

Organisation transnationale – Praxis – Action du Néopanafricanisme …

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* Voir aussi :

Page officielle PANAFRICOM II/

IDEOLOGIE DU NEOPANAFRICANISME

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‘LUC MICHEL NSHIMIRIMANA’ : LA COMMUNAUTE DES BURUNDAIS RECOIT EN SON SEIN LE PANAFRICANISTE LUC MICHEL !

# LUCMICHEL. NET/ PCN-SPO/ 2016 08 10/

https://www.facebook.com/Pcn.luc.Michel/

http://www.lucmichel.net/

 LM.NET - LM général adolphe (2016 08 10) FR

Entre les Burundais, ceux qui sont patriotes et aiment leur patrie, pas les fantoches de Washington, Paris ou Bruxelles (l’ex mandataire colonial, qui a semé la haine au Burundi et au Rwanda), et Luc MICHEL, le « panafricaniste blanc » c’est une grande histoire d’amitié qui va au-delà de l’engagement anti-impérialiste.

Luc MICHEL a fait du Burundi sa cause personnelle et les Barundis le lui rendent bien !

Son dernier voyage au Canada et Québec, avec le Conseiller Willy Nyamitwe (Présidence du Burundi) a été l’occasion de l’accueillir dans la Communauté populaire du Burundi.

Et de lui donner comme nom burundais, celui de « Luc Michel Nshimirimana » en hommage au Général Adolphe Nshimirimana, assassiné il y a tout juste un an par les terroristes instrumentalisés par les occidentaux et leur vassal de Kigali. Une marque d’estime particulièrement appréciée par le géopoliticien panafricaniste …

QUI ETAIT LE GENERAL NSHIMIRIMANA ?

Le général Adolphe Nshimirimana, ancien chef d’état-major de l’ex-rébellion CNDD-FDD parvenue au pouvoir à Bujumbura et l’un des hommes forts du Burundi de Pierre Nkurunziza a été assassiné le 2 août 2015, à Bujumbura dans une attaque à la roquette. Le conseiller en communication de la présidence avait alors déclaré « J’ai perdu un frère, un compagnon de lutte, la triste réalité c’est que le général Adolphe Nshimirimana n’est plus de ce monde », avait écrit sur son compte Twitter Willy Nyamitwe.

“Maillon fort de la galaxie Nkurunziza”, comme le décrivait l’hebdomadaire “Jeune Afrique”, Adolphe Nshimirimana est considéré comme l’artisan de la mobilisation des partisans du président. À la tête durant dix ans du Service national de renseignement (SNR), communément appelé la “Documentation”, celui que ses partisans appelait simplement “Adolphe” était issu des rangs de la rébellion hutue qui affronta les Tutsi durant la guerre civile (1993-2005). « Ses faits d’armes au ‘maquis’ lui ont valu de grimper les échelons jusqu’au sommet de l’état-major de la branche armée du mouvement rebelle hutu CNDD-FDD , transformé en parti politique en 2003, avant de prendre le pouvoir », écrivait le très hostile quotidien “Libération” au service de l’OTAN, dans un portrait consacré au général.

Souvent présenté comme le « bras droit du Président », il était chargé de mission auprès de la Présidence et perçu par beaucoup comme celui qui a empêché la tentative de coup d’Etat pro-occidental, en mai 2015 …

KH / PCN-SPO

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http://www.lucmichel.net/

CRASH D’AIR MALAISA AU-DESSUS DE DONETSK : 2 ANS DEJA !

EODE-TV/ 2016 08 10/ Avec La Voix de la Russie /

https://vimeo.com/eodetv

http://www.afriquemedia-webtv.org/

EODE-TV - AIR MALAISIA deux ans après (2016 08 10) FR

« Le politique belge Luc Michel a tenu à nous livrer, lui aussi, une analyse extraordinaire et pleine de détails inouïs de l’éventuelle organisation de ce crash s’il ne s’agit au moins d’une bavure »

– Radio russe LA VOIX DELA RUSSIE.

 Le crash d’Air Malaisia … 2 ans déjà !

On attend toujours les fameuses « preuves US » dont les Obama, les agences d’espionnage US et les médias de l’OTAN se gargarisaient il y a deux ans.

Mais de plus les hypothèses soulevées par Moscou, qui pointe l’Ukraine d’un doigt accusateur n’ont toujours pas été réfutées …

Mais les sanctions anti-russes, elles sont toujours là, bien là, le dossier du crash d’Air Malaysia étant étroitement lié à celui de ces sanctions et ayant servi de prétexte, un de plus !

2 EMISSIONS CHOC : L’ENQUETE DE LUC MICHEL

POUR EODE-TV ET AFRIQUE MEDIA

Un Boeing 777 malaisien reliant Amsterdam (Pays-Bas) à Kuala Lumpur (Malaisie) avec 280 passagers et 15 membres d’équipage à bord s’étaitt écrasé le jeudi 17 juillet 2014 dans la région ukrainienne de Donetsk (est). Le vol MH17 d’AIR MALAISIA, s’était écrasé à 60 km de la frontière russe, au dessus de ce Donbass en guerre et près de Donetsk la capitale de la République Populaire de Donetsk (DNR), au Cœur de cette Novorossiya qui s’était déclarée indépendante de l’Ukraine en avril 2016.

Immédiatement une guerre médiatique s’était déclarée entre le Bloc russe et l’OTAN et les médias occidentaux s’étaient lancés dans une vague de Russophobie jamais vue encore.

Que penser de tout cela ? Que sait-on du crash de Donetsk ? Qui sont les coupables ???

Avec Luc MICHEL, géopoliticien et expert des mondes russe et ukrainien, le correspondant international d’AFRIQUE MEDIA et sa chaîne EODE-TV, nous avions répondu dans deux émissions choc à toutes ces questions. Deux émission qui deux après vont encore vous surprendre. Car la vérité n’est pas là où Obama, les politiciens occidentaux et les médias de l’OTAN entendaient la monopoliser …

LES DEUX EMISSIONS QUI ACCUSENT L’UKRAINE !

* EODE-TV & AFRIQUE MEDIA/

LE CRASH D’AIR MALAISIA: A QUI PROFITE LE CRIME ?

https://vimeo.com/101242725

* EODE-TV & AFRIQUE MEDIA/

LE CRASH D’AIR MALAYSIA 2: CE QUI ACCUSE KIEV !

https://vimeo.com/102961603

Illustration :

Peinture de l’artiste allemande Amely Rose, montrant ce qui s’est probablement passé ce jour là. Un chasseur ukrainien abat au canon le vol MH17.  Toute l’agitation autour de missiles Bouk n’était qu’écran de fumée pour dissimuler la responsabilité ukrainienne, vassale des USA et de l’OTAN. C’est l’hypothèse soulevée dès 2014 par l’Etat-major russe et le Général Kartapolov. Dont Luc MICHEL parle longuement dans sa seconde émission …

EODE-TV / EODE PRESS OFFICE

https://vimeo.com/eodetv

http://www.afriquemedia-webtv.org/

A proposito di ipocrisie e di coerenza!

Contro l’ipocrisia…”aiutiamoli a casa loro” a suon di bombe…,viva la lotta per “l’utopia” della cancellazione degli eserciti e delle spese militari…se vogliamo evitare la “sicura catastrofe”!

17 agosto 2016 FQ :

Poveri bimbi yemeniti (uccisi dalle bombe partite da Cagliari)

di Alessandro Robecchi 

http://www.ilfattoquotidiano.it/premium/articoli/poveri-bimbi-yemeniti-uccisi-dalle-bombe-partite-da-cagliari/

www.ilfattoquotidiano.it
Nei romanzi gialli c’è sempre un momento in cui si parla dell’arma del delitto. Dove l’hai presa? Chi te l’ha venduta? Così, lette e ascoltate ai Tg alcune notizie sullo Yemen – spesso notiziette corte corte, o qualche secondo nei Tg – e sapendo che la coalizione capeggiata dai sauditi si diverte a bombardare scuole …

Nei romanzi gialli c’è sempre un momento in cui si parla dell’arma del delitto.

Dove l’hai presa? Chi te l’ha venduta?

Così, lette e ascoltate ai Tg alcune notizie sullo Yemen – spesso notiziette corte corte, o qualche secondo nei Tg – e sapendo che la coalizione capeggiata dai sauditi si diverte a bombardare scuole (sabato scorso, 10 ragazzini uccisi) e ospedali (l’altro ieri, bilancio ancora provvisorio, ma molti morti e feriti), veniva da chiedersi chi ha procurato l’arma del delitto. E siamo stati noi, noi intesi come Italia, la grande potenza culturale eccetera eccetera.

Le bombe spedite in Arabia Saudita, si parla di almeno cinque consegne negli ultimi mesi, per nave e per cargo aereo dall’aeroporto di Cagliari, sono costruite dalla RWM Italia, controllata dal grande gruppo tedesco degli armamenti Rheinmetall.

Autorizzazioni alle esportazioni di materiale bellico verso i paesi della coalizione che bombarda lo Yemen erano già state rilasciate dai governi Letta e Monti, e non si sa se ci siano state nuove autorizzazioni da parte del governo Renzi, anche se spedizioni così urgenti (persino in aereo da un aeroporto civile) lo farebbero supporre.

Sia come sia, la ministra Pinotti ha assicurato che è tutto regolare, che si tratta di componenti per un’azienda tedesca, che quindi noi, ahimé, dannazione, siamo tranquilli.

Aggiunge seraficamente la ministra (intervista a Repubblica dicembre 2015): “Non do un giudizio etico, non dico se è giusto o sbagliato, dico che è stato fatto secondo le regole”. Ah, beh, allora.

Le regole, tra l’altro, sono un po’ controverse, perché l’Onu ha già più volte fatto notare che gli attacchi aerei della coalizione a guida saudita su obiettivi civili non vanno per niente bene, e sul bombardamento della scuola di sabato scorso l’Arabia Saudita ha dovuto, obtorto collo, aprire un’inchiesta (che immaginiamo severissima, visto che i sauditi dovranno indagare su un presunto crimine di guerra compiuto dai sauditi, mah…).

Resta il fatto, un po’ si minimizza e un po’ si depista: non è roba nostra, chiedere alla Germania, perché la RWM Italia (sede a Ghedi, stabilimento a Domusnovas, Sulcis, in Sardegna) è roba loro. Peccato che in Germania neghino.

L’otto marzo scorso un’interrogazione parlamentare di Die Linke ha permesso al governo tedesco di chiarire la sua posizione, e la risposta è stata: “Nessuna autorizzazione per l’export di componenti destinati agli stabilimenti Rwm Italia di Domusnovas”.

Come dire che la faccenda delle bombe che vanno dalla Sardegna verso l’Arabia Saudita e poi da lì cascano sugli ospedali dello Yemen sono faccenda nostra. Tutto molto complicato, come al solito, anche se Famiglia Cristiana, in una sua inchiesta, mostra tra l’altro foto di ordigni inesplosi a Sana’a, capitale dello Yemen, e sono proprio giocattolini nostri.

Ora, si sa che il mondo è quello che è e la situazione non è buonissima.

Con tutto questo, la guerra in Yemen rischia di essere un puntino di vernice su un quadro di Pollok, quasi invisibile.

Ma c’è il dettaglio che ogni tanto (spesso, anzi), si colpisce un ospedale, o una scuola, o un deposito di viveri, e persino un campo di rifugiati, e questo, dannazione, diventa una notizia.

Diverse fonti – organizzazioni non governative come Amnesty International, ma anche la Croce Rossa, e pure l’Onu – parlano di catastrofe umanitaria, più di seimila morti, più della metà civili, molte donne e bambini, oltre tre milioni di profughi eccetera eccetera, le solite vergogne.

Lo Yemen è un po’ lontano perché i profughi di quella guerra arrivino qui e chiedano di essere accolti.

Ma, dovesse succedere, sarà un po’ difficile dirgli “Vi aiutiamo a casa vostra”, perché probabilmente ci direbbero, no, no, basta così, a posto, grazie.

OSSERVIAMO PIETOSO SILENZIO SU FIDEL – ROMPIAMO L’INFAME SILENZIO SU SLOBO

MONDOCANE

MARTEDÌ 16 AGOSTO 2016

“La distruzione del mio paese è la dimostrazione che non esiste la globalizzazione, ma solo un nuovo colonialismo…Se le nazioni, gli Stati, i popoli fossero trattati da soggetti pari, non conquistati, stuprati, se il mondo non dovesse appartenere a una minoranza ricca, che deve diventare più ricca mentre gli altri diventano tutti più poveri, si avrebbe la giusta globalizzazione. Non si è mai vista una colonia svilupparsi e conquistare la felicità. Se si perdono l’indipendenza e la libertà, tutte le altre battaglie sono perse. Gli schiavi non prosperano”. (Slobodan Milosevic, ultima intervista. A Fulvio Grimaldi. Marzo 2001).
La Storia mi assolverà?
Per il 90° compleanno di Fidel Castro sono state suonate trombe, cimbali, arpe, violini e organi. Lo sconveniente paradosso è che il 90% di quei celebranti fino all’altro giorno, anno, decennio, secolo, a Fidel dedicavano veleni, calci, bugie, altro che elegiache note. Io tutti quegli strumenti li avevo suonati a distesa da quando avevo raggiunto l’età della ragione professionale e militante. Oggi preferisco stare zitto. Il mio silenzio si allarga tra due sponde che si allontanano l’una dall’altra a velocità impressionante. La Cuba che Fidel, con il Che, Camilo e gli altri, ha conquistato, liberato, costruito, difeso; e la Cuba che gli è stata imposta e che si è lasciato imporre dopo il colpo di Stato effettuato dai militari sotto Raul Castro nella notte tra il 2 e il 3 marzo 2009.
Fu decapitata e annientata la seconda generazione rivoluzionaria, allevata da Fidel, con a capo il delfino del leader maximo Felipe Perez Roque, formidabile ministro degli esteri, coerente antimperialista, terzomondista e grande teorico rivoluzionario, e Carlos Lage, vicepresidente del Consiglio di Stato, segretario del Consiglio dei ministri, già segretario della Gioventù Comunista. Al posto di 60 dirigenti destituiti della generazione dei quarantenni e cinquantenni, subentrarono gli ottuagenari generali di Raul, capi di quelle forze armate che controllano gran parte dell’apparato produttivo e della terra. Per mesi al popolo cubano sull’enorme, drammatico, rivolgimento non fu comunicato assolutamente niente. Alla fine si trovarono raffazzonati e grotteschi pretesti per i quali i rimossi avrebbero brigato con settori Usa e si sarebbero presi gioco di Fidel. Era vero il contrario. Ma tutto il mondo della semisecolare militanza filocubana, che aveva posto Fidel accanto agli irriducibili Ho Ci Minh, Giap, Fedayin, Tupamaros, Che, IRA, si mise a belare appresso ai nuovi pastori. Amici del popolo cubano? Piuttosto appassionati di greggi e di pastori. Pronti, italioticamente, a fare le fusa a chiunque, in qualunque modo, si insediasse nel Capitolio. Ci avevano convenienza.
A Cuba, già modello di emancipazione, socialismo e resistenza all’imperialismo per l’intero mondo, innesco delle emancipazioni latinoamericane, Raul propose come modello il Vietnam. Il Vietnam del nuovo secolo,  ridotto a colonia economica e militare Usa, agitatore anticinese per conto del Pentagono. Vietnam dove, nelle strade di Ho Ci Minh City, Jaguar e Gipponi minacciano di travolgere turbe di pezzenti e prostitute. Poi, a Cuba, come prima in Jugoslavia, arrivarono i papi e presero  ad azzannare pezzi di sanità, istruzione e comunicazione, le chiese riaprirono e si riempirono di cattolici e di sette evangeliche innestate dalla Cia. Obama fu onorato da Raul di “uomo onesto”. La cosa più sconvolgente si ebbe quando la feroce controffensiva Usa contro i paesi latinoamericani dell’A.L.B.A., grazie ai quali Cuba era sopravvissuta dopo l’URSS, liberati dai suoi popoli sotto la guida di Chavez, Morales, Kirchner, Correa, fu celebrata all’Avana con l’arrivo del presidente Usa, la riapertura dell’ambasciata, la privatizzazione di metà dell’economia cubana, la trasformazione in “cuentapropistas“, “imprenditori”, di 500mila dipendenti dello Stato, Cuba spalancata al turismo e alle multinazionali Usa. Naturalmente, per tutto questo, era prima necessario togliere di mezzo chi avrebbe potuto rilevare un certo grado di incoerenza e convincerne il popolo ancorato alla rivoluzione: Perez Roque e gli altri. Il discorso è il solito: “aggiornamento, modernizzazione del socialismo”, come in Vietnam, in Cina. Quanti ne abbiamo visti che dicevano di “modernizzare” Marx!  E dove sono finiti!
Cosa fa questa nuova classe di imprenditori? Bancarelle, taxi, localetti notturni, bische, saloncini di bellezza, ristorantini, tutto il nugolo d mosche che ruota intorno alla torta del turismo (cresciuto dell’11,7% rispetto al 2015, 2,8 miliardi di dollari, fiumi di soldi), si arricchisce e presto pretenderà la sua fettona  della torta economica e politica. Succede così nel privato. La produzione? Al palo, come dopo Che Guevara che, sfortunato ministro dell’industria, voleva farne lo strumento della resilienza e dell’autonomia dal grande padrino sovietico. Così, alla faccia dei charter che fanno arrivare comitive Usa e tornare gusanos pieni di dollari, la crescita si fermerà   sotto l’1%. Il presidente ha ammesso la crisi, ha denunciato voragini di liquidità (ma come, con tutte quelle aperture al mercato?) e annunciato misure per contenere i consumi e le spese in divisa. E la miseria è sempre quella di dieci, venti anni fa, solo non più avvolta nella retorica.
Torneranno i risparmi energetici (il Venezuela, in grossa crisi, ha ridotto a metà il suo rifornimenti di petrolio), iblack out, l’austerità che non è risparmiata a nessun paese che si faccia  abbindolare dagli Usa, che poi è un altro nome per Wall Street. “Verranno tempi duri”, ha detto il modernizzatore. C’è profumo di “periodo especial”, come quello che lasciò l’Isola in braghe di tela quando, con l’URSS, crollò anche la sua idea di divisione internazionale del lavoro. Voi zucchero e rum, noi tutto il resto. E così Cuba non produceva né mattoni, né carta igienica (avendo inesauribili argille e immense foreste). E, avendo giacimenti di metalli, importava chiodi e martelli. Cosa se ne deduce all’Avana? Non si scappa: ciò che Draghi, il FMI, IP Morgan e il principe evasore Juncker comminano ai paesi terroni: accelerazione delle riforme. Conosciamo bene la medicina.  Il 40% della forza lavoro cubana sta già nel settore privato. Che sa come gestirla.
Fidel era tutto. Presidente del Consiglio di Stato e del Consiglio dei Ministri, Primo Segretario del Partito Comunista, comandante in capo delle Forze Armate. Centralizzazione totale. E al popolo stava bene: partecipava, stringeva la cinghia, combatteva, studiava, imparava, cresceva. E le cose andavano bene. Ora tutto questo è Raul. E c’è una bella differenza. E il popolo è spaccato in due: chi naviga sopra, tra tour, voli, hotel, spiagge, mignotte, night club; chi annaspa sotto e  si arrabatta per cavare dal turista quel dollaro anti-fame.. Finiremo mai a romperci la testa se il problema stia nell’uomo, o nel sistema?
Sul Malecon bandiere a stelle e strisce, quelle che sventolano sulle macerie di Iraq, Libia, Siria, Afghanistan, sul dirimpettaio Honduras golpizzato e trasformato in hub della droga e mattatoio degli oppositori e indigeni. Ma embargo ancora in atto e Guantanamo sempre base e carcere della tortura Usa. Se ne parlerà quando la “modernizzazione” sarà compiuta, vedrete. Gli yankee avevano cercato di eliminare Fidel 637 volte, un tentativo al mese. Hanno fallito. Ora ci ha pensato il fratello.
Riferiscono gli apologeti dall’Avana che Fidel insiste sulla certezza che “Cuba non piegherà la testa  perché il suo popolo ha acquisito una profonda coscienza di sé e l’orgoglio dell’indipendenza”. Certo. Ma, davanti, anzi sopra, chi è che dà l’esempio? Basta l’occasionale sparata di Fidel contro Obama o gli Usa sul Gramma? Troppo poco troppo tardi. E fa pure incazzare, pare che il revisionista Raul lo lasci fare, tanto non conta più, povero vecchio….
Il gigante si è ristretto. A volte succede con gli anni. A Malcom X non è successo. Neanche al Che, a Tito,  Gheddafi,  Mao, Saddam, Chavez. Forse perché sono morti in tempo?. Vai a sapere.
Il resto è silenzio. Anche per rispetto all’antico Fidel. E al suo popolo, di cui per molti anni ho detto, scritto, filmato e che ora non mi sento di abbandonare correndo appresso a un Raul qualunque e alla sua modernizzante gerontocrazia con le stellette.
Slobo
 
 
Nel 1999, mentre su Belgrado, Nis, Novi Sad, Pancevo, Kraguyevac piovevano le bombe Nato, a una mia intervista al giornale del Partito Socialista Serbo avevano dato come titolo una mia frase estemporanea: “Meglio serbi che servi”, con evidente allusione al caporalmaggiore Nato Massimo D’Alema che, oltre a fare di Aviano il patibolo su cui decapitare la Serbia, si era messo in prima fila tra i genocidi della Jugoslavia. E se il supercriminale Tony Blair, con alcuni milioni di iracheni sulla coscienza, è stato ridotto al silenzio dalla commissione d’inchiesta che lo ha costretto a fasulle e innocue scuse, il Nostro continua a blaterare, nel rispetto di tutti, soprattutto delle “Sinistre”, visto che ora si scaglia contro le schiforme costituzionali Renzi-Verdini, semplicemente per vendicarsi che le sue, identiche, schiforme con Berlusconi erano state cacciate nella fossa comune in cui la maggioranza del popolo italiano aveva, fino a ieri, seppellito chi intendeva rapinarlo della sua libertà.
Quel titolo a grandi caratteri in apertura del quotidiano sconvolse la ciurmaglia del politically correct, cioè del consociativismo con il non più nemico di classe, dentro al PRC e a tutta la sedicente Sinistra Radicale. Fui sottoposto a un processo da coloro che, riformati da Bertinotti, avevano sostituito temi come imperialismo, lotta di classe, capitalismo, con omofobia, xenofobia, sessimo, misogenia, transfobia. Temi che poi, eclissandosi definitivamente ogni idea scientifica di sinistra, avrebbero trionfato nella più vasta società, anche grazie al formidabile sostegno materiale di George Soros e di Fondazioni come Ford, Rockefeller, Rand Corporation,Open Society, le stesse che, finanziando e così condizionando il World Social Forum (testè riunitosi inutilmente a Montreal), fin dai tempi di Porto Alegre realizzarono lo storico depistaggio di onesti militanti antiglobal verso un’opposizione compatibile con l’esistente:Tobin Tax sulla criminalità finanziaria e tanti gruppi di lavoro che impedissero la costruzione di una piattaforma unitaria e globale contro il capitalismo. Cosa ne sia venuto alle “sinistre”, impelagatesi nell’impresa realizzata con i quattrini del nemico, col fervore patetico dei neofiti imbrogliati o con l’astuzia degli amici del giaguaro, lo vediamo oggi  guardando i detriti che insistono a farci inciampare.
Ma si doveva parlare di Milosevic. Lo spunto è che quella Kangaroo Court dell’Aja, come in inglese si chiamano i tribunali farsa, giorni fa, ha assolto Slobodan Milosevic da ogni accusa di crimini di guerra e contro l’umanità. Assoluzione venuta a 10 anni dalla sua morte dopo cinque anni di carcere all’Aja. Morte voluta e organizzata, preannunciata dallo stesso presidente jugoslavo in una lettere in cui denunciava che lo stavano avvelenando. Altri imputati serbi sono stati uccisi o lasciati morire, come lui. Non avevano saputo produrre la minima prova di una sua anche minima colpevolezza. Così, Slobo doveva morire.
Questa assoluzione è un fatto enorme perché significa che i criminali  veri non erano i serbi (che continuano a dover pagare per i colpevoli veri), né la loro leadership, né colui che, isolato da tutti,   e perciò con troppa disponibilità alla mediazione, aveva difeso la sua federazione, il suo paese, la libera convivenza nel progetto socialista di popoli, etnie, religioni. I criminali, i genocidi erano gli altri, gli aggressori, il papa, la Germania, i narcotrafficanti e pulitori etnici albanesi del Kosovo, Carla del Ponte, D’Alema e gli ignavi del parlamento italiano, i magistrati del tribunale creato e pagato da Washington, tutta robaccia al servizio della Nato e, cioè, del progetto mondialista di frantumare i Balcani, indebolire un’Europa alleata ma vassalla. Come oggi, con l’UE trascinata  a guerre e sanzioni contro gli interessi dei suoi popoli, sommersa da alluvioni migratorie provocate apposta dai signori delle guerre imperiali.
Avevo lasciato la Rai per sempre la mattina dopo i primi bombardamenti su Belgrado, 24 marzo 1999 ed ero andato lì a filmare il genocidio (“Il Popolo invisibile” – “Serbi da morire”  – “Popoli di troppo”) e a raccontarlo a “Liberazione”, finchè non me ne cacciarono. Il bombardamento, tra i primi in ogni guerra Nato, della TV: la vcce dell’altro fa paura, smaschera, va annientata; le bombe sugli ospedali, sulla rete elettrica con lo spegnimento delle incubatrici, i missili su tutte le industrie petrolchimiche di Pancevo per spargere morte con l’inquinamento di terre e acque, le bombe a grappolo, l’uranio a tonnellate per minare le generazioni future, i ponti, le ferrovie, le case, le chiese, la Zastava, fabbrica di automobili, cuore operaio dei Balcani. Ma poi, nel giro di un anno, grazie al governo e alla forza di un grande popolo, una ricostruzione prodigiosa, di quasi tutto.
 Fu la prima delle “rivoluzioni colorate” a risolvere il problema dei serbi riottosi e di un leader che non si piegava. Le bande di Otpor, infestate da cellulari forniti dai padrini dell’annichilimento umano, Steve Jobs e Bill Gates, grazie a quelli disponevano di strumenti di mobilitazione della feccia  e dei famelici, che la resistenza non aveva. I capi di questo mercenariato Nato, poi adoperato per destabilizzazioni di governi disobbedienti in mezzo mondo, mi dichiararono con orgoglio di essere stati addestrati da ufficiali americani a Budapest (non c’era ancora, purtroppo, Orban) e di sentirsi perfettamente in linea con i propositi della Cia per la regione. Per la “sinistre”, al traino dei bombardieri, erano “ribelli”, “democratici”, “rivoluzionari”. Gli stessi di Rossana Rossanda  e del suo sciagurato cucuzzaro di “ragazzi del Novecento”.
Quello che ancora resisteva di una sinistra internazionalista e rivoluzionaria lì perse definitivamente la sua innocenza. Grazie ai buoni uffici dell’ex-ministro degli esteri Jovanovic  riusciì a incontrare Milosevic nella sua casa a Belgrado, tre giorni prima che il rinnegato Zoran Djindjic, abusivo premier, uno che da Vienna aveva fornito alla Nato la mappa degli obiettivi da bombardare, lo facesse arrestare con un colpo di mano che prese alla sprovvista i suoi, evidentemente sprovveduti, sostenitori. Fu l’ultima intervista di Slobo, testimonianza della sua intelligenza, integrità, lungimiranza, umanità, capacità di analizzare le mostruose strategie di dominio globale di un potere dalla ferocia senza pari nella storia umana.
Sull’autentica bomba dell’assoluzione di Slobodan Milosevic, che mette in questione l’intera storia recente dei Balcani, dell’Europa, dell’imperialismo, nessuno ha fiatato. Tanto meno la cialtroneria mediatica di una sinistra fottuta e venduta che della fine della Jugoslavia (e di Libia, Iraq, Afghanistan, Siria) porta responsabilità anche moralmente peggiori di quelle dei killer materiali). Ha scritto qualcosa Giulietto Chiesa. Sì, in difesa di Milosevic e contro l’immancabile megera femminile di ogni cinismo genocida, Madeleine Albright, promotrice del trafficante di droga e organi kosovaro Hashim Thaci. Ma, menzionando la condanna a 40 anni di Radovan Karadzic, poeta serbo e difensore della sua gente, sul quale si è voluto caricare la gigantesca menzogna di Srebrenica, non ha saputo dire niente. Come se quella avesse qualche fondamento di giustizia. Ed è invece l’equivalente criminale del processo-farsa e della morte provocata di Slobo.
La mia intervista a Milosevic fu l’ultima e riassume una vicenda storica dalle grandi e gravi ripercussioni. Un documento giornalistico sicuramente significativo. “Liberazione”, per cui scrivevo, lo rifiutò. “Ci appiattirebbe troppo sulle posizioni di Milosevic”, disse una vicedirettrice imbecille e complice. E il direttore Sandro Curzi, bonzo sopravalutato di Telekabul e poi burattino di Bertinotti, non aggiunse nulla. Il Corriere della Sera, che non temeva appiattimenti, ma sapeva valutare un pezzo giornalistico che sarebbe diventato storia, la pubblicò in forma ridotta. Ve la ripropongo integra e giuro che vale la pena.
MILOSEVIC, ULTIMA INTERVISTA PRIMA DELL’ARRESTO
(marzo 2001)
di  FULVIO GRIMALDI
L’appuntamento con Slobodan Milosevic ricorda quelli che ho avuto
ripetutamente con Yasser Arafat: assoluta incertezza sul luogo e sui
tempi dell’incontro fino alle 19 di venerdì sera, mentre mi accingevo a
partire per Kragujevac per intervistare i dirigenti del sindacato di
sinistra che hanno appena registrato una sorprendente, schiacciante
vittoria sul sindacato vicino al nuovo potere, nelle elezioni per il
rinnovo dei dirigenti sindacali della fabbrica automobilistica
Zastava.  In quel preciso momento arriva l’ex.ministro degli esteri e
oggi vicepresidente del Partito Socialista Serbo, Zivedin Jovanovic,
del quale pure era stato annunciato l’arresto, poi smentito, insieme a
quello, effettivo, di otto alti dirigenti del partito. Vengo portato di
gran carriera alla residenza dell’ex-presidente e nel tragitto
Jovanovic esprime il timore che tutti questi arresti e una feroce
campagna contro Milosevic, allestita dal movimento giovanile del
premier Zoran Djindjic, le “Camicie Nere”, insieme all’organizzazione
Otpor, rivendicata dagli USA come proprio strumento insurrezionale,
stiano cercando di fare il vuoto intorno a Milosevic, in vista
dell’arresto entro il 31 marzo, intimato da Washington pena il rifiuto
di qualsiasi finanziamento e il mantenimento delle sanzioni.
Passati per la cancellata  della residenza, nella periferia di
Belgrado, attraversiamo un ampio parco, fortemente illuminato e
presidiato da militari dell’esercito e da carri armati che mi  dicono
posti a difesa di Milosevic……(leggi tutto al link)
 
Pubblicato da alle ore 18:45

Ferdinando Imposimato a Manziana

A Manziana (RM), incontro pubblico del magistrato FERDINANDO IMPOSIMATO, con GIANLUCA PERILLI, capogruppo regionale M5S, su perchè è vitale votare NO al referendum sulla riforma costituzionale e bloccare la legge elettorale anticostituzionale.
Ha presieduto  FULVIO GRIMALDI.