PANAFRICOM/ 2016 05 09/
L’attaque frontale menée par la presse fantoche burundaise à Bruxelles, mais derrière laquelle se cache fort mal le gouvernement belgicain, la dynastie bourgeoise Louis et Charles Michel et les réseaux affairistes libéraux du MR en Afrique, et surtout les Réseaux de Georges Söros (IWACU est dans l’orbite du MONDE AFRIQUE, officiellement financé par la Fondation sud-africaine OSSIWA de Söros), a conduit à un intéressant débat de fond sur le site même d’IWACU, au-delà des insultes lancées contre Luc MICHEL et le gouvernement burundais.
* Lire l’article d’IWACU (on notera le sponsoring de l’Ambassade US à Bujumbura pour ce site d’opposition … La Voix de son Maître US sans vergogne) et le débat sur :
http://www.iwacu-burundi.org/luc-michel-il-ne-faut-pas-aller-a-arusha-cest-un-piege-des-occidentaux/
L’AFRIQUE A DEJA TRANCHE !
Stan Siyomana y rappelle opportunément que l’Afrique a déjà tranché ce débat. Et au profit du président Nkurunziza et du panafricaniste blanc Luc Michel :
« Le BEAU PAYS DE MWEZI GISABO est devenu un cas célèbre puisque dans sa réflexion sur la problématique d’atteindre la libération complète en Afrique post-coloniale, le tanzanien Evans Rubara (Public and policy engagement expert) fait une remarque intéressante sur « l’oeuvre » de ces africains qui jadis s’étaient engagés « to fight for the liberation of the people », pour lutter pour la libération du peuple, « From Mugabe to Pierre Nkurunziza » dans leurs pays respectifs.
* Cfr. Evans Rubara: … IN THE « POSTCOLONIAL »: Impendiments to achieving complete liberation in Africa », sur http://www.thecitizen.co.tz , (4 May 2016).
QUI AIME VRAIMENT LES BURUNDAIS ?
Un autre lecteur Ntahitangiye pose la bonne question :
« Luc Michel (proche du Gouvernement) conseille les Burundais à être indépendants et Louis Michel (proche du CNARED) milite pour sanctionner le Burundi. Tous les deux sont des Belges . Qui parmi les deux aime les Burundais plus que l’autre ? »
Le CNARED est l’oppositon fantoche « burundaise » à Bruxelles (style CORED équato-guinéenne, notez la proximité des sigles).
On notera encore cette remarque pertinente d’un lecteur anglophone :
« With respect, people who kill their people are not pushed to negotiation but to court. A government which was if not still accused of genocide cannot be asked to talk. The West simply not credible on this and I am afraid to sat that in those conditions, Luc Michel, is right in his observations. »
Un autre, qui lui parle visiblement en connaissance de cause et connait le poids médiatique de Luc MICHEL en Afrique fait remarquer : “It is a public relations action with Bujumbura trying to balance the views of the West. Luc Michel has more following there than Bujumbura so it is a valid strategy.”
Le mot de la fin revient à MUTIMA :
« Va dire ça à Louis Michel qui est le grand conseiller du CNARED. Je suis d’accord avec Luc Michel, « Akava – imuhana, kaza imvura hise » … »
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